Werk zoeken blijft een serieuze zaak: ook voor jongeren

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Werk zoeken blijft een serieuze zaak: ook voor jongeren
Communiqué de presse
25 mai 2009
CHERCHER DU TRAVAIL RESTE UNE AFFAIRE
SERIEUSE : POUR LES JEUNES AUSSI
Dans leur recherche d’emploi, les jeunes se focalisent en premier lieu sur le contenu de la
fonction. Le premier job est un tremplin qui leur permet ensuite de sauter d’un job à l’autre. Les
possibilités de carrière comptent davantage que le salaire. Les formations sont elles aussi bien
accueillies. Ils ne considèrent plus leur patron comme un patron, mais plutôt comme un
conseiller. Ce sont leurs amis et leur famille qui les influencent le plus dans leur choix pour un job
particulier.
Dans leur recherche d’emploi, les jeunes consultent en premier lieu les médias de recrutement
classiques, papier et online. Un peu d’humour est acceptable mais chercher du travail reste une
affaire sérieuse. Bien qu’ils semblent très classiques dans l’utilisation de canaux de recrutement,
ils sont par ailleurs toujours connectés et bien représentés dans les nouveaux médias. Selor
souhaite davantage toucher les jeunes via ces canaux et jouer la carte des médias sociaux.
Enquête de Trendwolves sur les canaux et tendances de recrutement
Début 2009, Selor a chargé le bureau gantois Trendwolves de mener une enquête sur les canaux et
tendances de recrutement qu’utilisent les jeunes diplômés du supérieur (entre 21 et 26 ans) et les jeunes
étudiants (qui arriveront sur le marché de l’emploi dans 5 ans). L’enquête consistait en un sondage en
ligne et en des discussions ciblées avec le groupe cible. En tout, ce ne sont pas moins de 1.194
personnes qui ont répondu aux questions en ligne :
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54% de néerlandophones contre 46% de francophones
50% de garçons contre 50% de filles
56% possèdent un diplôme de master ou sont sur le point de l’obtenir, 26% ont (presque) un
diplôme de bachelier, et 18% ont un diplôme du secondaire, ou doivent encore l’obtenir.
16% ont obtenu un diplôme dans une filière économique, ou font des études en économie, 15%
en sciences politiques, sociales ou psychologiques, 13% en lettres et philosophie, 11% en
communication et marketing et 10% en sciences. On trouve le reste des diplômes en sciences
industrielles et architecture, droit, éducation, soins de santé, …
43% sont des challengers qui considèrent leur job comme une opportunité qui leur permet
d’apprendre à connaître leurs capacités et à repousser leurs limites. Les expériences variées et
les formations font partie de leur job. 25% sont des réseauteurs sociaux et considèrent le travail
en équipe plus important que le salaire et la carrière. 14% sont de purs carriéristes qui planifient
leur carrière depuis leurs études et qui accordent une grande importance à la rémunération et au
statut. 13% sont des chercheurs de sécurité prudents pour qui les responsabilités ne constituent
pas un must.
Contenu du job, possibilités d’évolution et écoute des conseils des amis
Le pourcentage des jeunes pour qui le contenu de la fonction est déterminant dans le choix de poser sa
candidature est particulièrement importante (86%). Lors des discussions ciblées, il est clairement ressorti
que les jeunes souhaitent évoluer dans leur carrière. Ils souhaitent occuper plusieurs fonctions différentes
chez un même employeur, tout en montant dans la hiérarchie. Ce sont surtout les challengers et les
carriéristes qui sont motivés par les possibilités de carrière. Ils saisissent à deux mains les possibilités de
formation et aiment le challenge qu’offre un environnement bilingue, si on leur propose au moins une
formation en langue. Le salaire ne joue plus un rôle majeur auprès des jeunes. Seuls les carriéristes – qui
ont souvent un diplôme d’économie en poche – considèrent le salaire comme un facteur déterminant
dans leur choix (66%).
A la question « qui vous tient au courant des offres d’emploi intéressantes? », la réponse des jeunes est
unanime : les amis (84%) et la famille (70%). L’avis d’unami ou d’un frère est beaucoup plus important
que ce que les médias racontent.
‘Hop, skip, jump’ : changer de job au sein de l’administration publique
Si la rotation d’emploi est un facteur tellement important pour les jeunes, il semble qu’ils suivent la
tendance générale ‘hop, skip, jump’ que Trendwolves observe chez les jeunes. Selor veut profiter de cet
élément en informant les jeunes de manière optimale sur les possibilités de changement de fonctions au
sein de l’administration publique : changer de fonction tout simplement via le marché interne ou évoluer
grâce à des tests de promotion. Les fonctionnaires sont eux-mêmes trop peu au courant de ces
possibilités. C’est pourquoi Selor souhaite mener, en 2010, une campagne sur la rotation d’emploi.
Les possibilités de formation doivent aussi être mises davantage en évidence. A l’administration, les
collaborateurs peuvent perfectionner leurs compétences grâce à des formations et des séminaires, et ce
pendant les heures de travail.
Chercher du travail : sur papier et en ligne mais pas lors d’une jobparty ou sur Facebook
Les canaux de recrutements que les jeunes mentionnent dans le cadre de l’enquête sont plutôt
classiques. Ils nomment les journaux et sites Internet de recrutement connus. L’importance du site du
Forem/Actiris est toutefois remarquable (71%).
45% se rendent à des salons de recrutement. La plupart s’y rend car l’offre y est importante, sans
chercher un job, un secteur ou une entreprise en particulier. Les Jobparties, par contre, il ne faut surtout
pas y penser. Il est ressorti des discussions ciblées que c’est not done de boire un verre avec son futur
employeur.
Les personnes interrogées n’utilisent certainement pas Facebook pour trouver un job. Facebook est
réservé pour leur vie privée. Il en va de même pour YouTube qui n’est pas spontanément consulté pour
la recherche d’emploi. Ils sont par contre ouverts aux petits films de recrutement clairs et sont prêts à
envisager Linkedin car il s’agit d’un réseau professionnel.
Selor affronte les médias sociaux
Bien que les jeunes ne consultent pas (encore) les médias sociaux quand ils cherchent un emploi, Selor
souhaite y accroître sa présence. En collaboration avec l’agence de communication en recrutement
tmp.adcomms, Selor développe de multiples moyens pour toucher les jeunes via Facebook et Linkedin. Il
s’agit aussi bien de faire la promotion de certains jobs que de permettre aux jeunes de faire la
connaissance de Selor de manière acceptable et ludique. Selor envisage aussi l’utilisation de Twitter pour
communiquer et vise la première place dans les moteurs de recherche. Les jeunes nés après 1987 ont
été nourris à force de Google et c’est là qu’ils commencent leur recherche d’emploi. Selor souhaite
laisser les jeunes parler de Selor et veut stimuler le user generated content. En octobre, une première
campagne croisée sur plusieurs médias sera lancée pour les ingénieurs et IT.
Pour plus d’information, vous pouvez contacter :
STEFANIE BILLIET - Communication and Recruitment manager
Tél 02/788.67.07 – GSM 0485/ 95 99 47
[email protected]
BISCHOFFSHEIMLAAN / BOULEVARD BISCHOFFSHEIM 15
1000 BRUSSEL / BRUXELLES
SELOR – http://www.selor.be

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