vendre la prévoyance en complément de l
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vendre la prévoyance en complément de l
CONCEPTION : KALÉA FORMATION JEUDI 12 AVRIL 2012 Fiches Pratiques Distributeur TECHNIQUES DE VENTE VENDRE LA PRÉVOYANCE EN COMPLÉMENT DE L’ASSURANCE-VIE L’assurance-vie est le support de placement idéal pour préparer financièrement des objectifs à moyen et long termes. On pense naturellement à des objectifs comme la préparation de la retraite, du financement des études des enfants ou de leur entrée dans la vie active, de la constitution d’un capital pour financer un projet futur ou préparer sa succession ... Oui mais voilà ! Ce que l’on appelle les « accidents de la vie » (maladie, accident, invalidité, décès, dépendance) peuvent compromettre une stratégie d’épargne soigneusement élaborée et les objectifs qui l’accompagnent. S’il est plus agréable d’aborder les projets d’avenir que l’on prépare avec l’assurance-vie, le vrai métier de l’assureur consiste essentiellement à protéger les familles contre les coups durs. La maladie, l’accident, le décès n’arrivant pas qu’aux autres, c’est la responsabilité du conseiller de savoir évoquer ces sujets, sans dramatiser outre mesure mais avec lucidité. LA PHRASE PASSERELLE « Nous avons mis en place les bonnes solutions pour réaliser vos objectifs en matière de placement, mon devoir de conseil m’impose d’aborder votre protection contre les coups durs qui pourraient compromettre ces objectifs. » LES ARGUMENTS - Protection qui complète les prestations, appréciables mais insuffisantes, prévues par les régimes sociaux, - Sécurisation des objectifs d’épargne, forcément compromis par une baisse de revenus liée à un coup dur, - Confort financier appréciable, quand un accident de la vie vient bouleverser tout l’équilibre budgétaire d’une famille pas ou peu préparée Assurance-vie + prévoyance = préparer so n avenir serein em ent, au ta nt p ou r se s b on s côtés que pour ses aléas MISE EN SITUATION OPTIMISER LA FISCALITÉ DES RACHATS SUR LES CONTRATS D’ASSURANCE-VIE La fiscalité de l’assurance-vie en fait un outil de placement plébiscité par les Français (141,6 milliards d’euros de collecte en 2011). CHOISIR ENTRE L’IR ET LE PFL SE FAIT AVEC LE CLIENT en fonction de sa tranche marginale d’imposition (taux de la plus haute tranche d’IR appliquée). En conseillant le PFL à 15% pour un client dont le TMI est de 30 % vous divisez l’impôt par 2. Attention au TMI à 0% : le choix de l’IR peut conduire le client à devenir imposable ! APRÈS 8 ANS PROFITEZ DE L’ABATTEMENT Evitez le rachat total qui clôture l’enveloppe (trop d’assurés pensent être arrivés 7 « au bout » de leur placement). Au contraire, valorisez ce contrat qui est à maturité fiscale et en cas de demande de rachat importante, tentez de fractionner les sorties sur plusieurs années civiles : votre client profitera ainsi plusieurs fois de l’abattement. CRÉDIT D’IMPÔT : PRÉVENEZ VOTRE CLIENT Après 8 ans, en cas d’option pour le PFL, votre client profitera de l’abattement sous forme de crédit d’impôt en N+1. Cette particularité est encore aujourd’hui peu connue des assurés et vous permet de mettre en avant votre professionnalisme. Dans certains cas, il est possible d’éviter le jeu du crédit d’impôt en mixant IR et PFL. Fiscalité : 0-4 ans : PFL 35 4-8 ans : PFL 15 % ou IR % ou IR + de 8 ans : PFL 7,5% ou IR aprè s abattement an nuel de 9200 € (marié pacsé) ou 4600 € (cél ibataire) Les PS sont pr is chaque anné e sur les suppor ts en € et lors de s rachats pour le s supports en U C Seuls les gains subissent l’impô t et les PS