LE CAFE DES CHASSEURS
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LE CAFE DES CHASSEURS
174 Lesjew rla tout dc rille pofiants de poussiArc.ln SAomeffiedes toits l i r'pond, suruneentAe de la lumiAre.ardoiseou tuile. tofi a coupleur commes'ilslo geaientetprisentaient en(oreun rh;(n qui TLt\\c e4vrt.ll J d toutd?mAme d'unenistet,eJc con,iet??d( mu,lc. ll ne pi',c qtQ trois tauttes4 nc lcs rcnil? nanP for Denain.\a sentirade nou\)eoula biAr?et le tdbdc La rie, quoi LE CAFE DES CHASSEURS Montfavefiavaittnnsform€sa cuisineen atelierde menuisedeet vivait dans son tricycle d'injiroe de eren€. Il ne se ddplagaitplus qu,au rez-de-chaussee de sa maisonqui donnait sur le cours Jules-Taupin. L'dtageet le grcnierlui servaientde pamalis.Il y pensalt rouJourset ne pouvait pas s'y rendre.euand il avaitroumeles bois d'un mobilier de poup6edollt la venterelayait l'argent de sa pensiond,invaliditd et qu'il avaitdonn6A mangerauxamign€es qu'il elevait dansun buffet e portesde verre,dontil dclairaitI'int6rieuravecunerampede n6on,il changeaitde siegeet pa ait faire son foul de ville dans un fauteuil d nrotcuf.On l'entendait e toutesles comesde la rose desventset l'on 6taitheutux qu'il ne circulatjamais :l nuitj il await #veill6 jusqu'auxpienes.Ce bruit .jrrosijoumalier ne le faisait gubreaimer,bien que sa Jonversation fft desplus enrichissantes. Il connatssat! :-ruslesconllirsdeI'histoirc,et il suffisairde te h6ler ..rur qu'il arretatle vacarmede sonenginet vousdon:it la dated'unecontre-offensive da.nsle Jutlandou la * 176 LesjeLx du tour de rille effeclif-et nom\de' chefsOn le volril C\renaique, de couleur'el rl rivre tc frit d arme.iuc.lua chirnger douleur nrrirui qr. t on upptirla causerielledecelte d avoif fcil qu:ont" "rpptiui,de nouspardonner narre. - Pu. du toul' repofldait_ilc'est au contraiE un Elle plaisir.vous mevoye; branlanth caused'Angdle estmollela nuh demidg' - D6so16. - glle aflait avoi{ deux ans Une araignie qui b mon a lous me\ appel'.qur dccourdit rdDondail 'ouple el lerme Bien monsieLr: quiaan'ajr. aooro.n., 'omme rebondrr enctoilc.elle'e laissa:t .;;.e. paltes une balle. pourle conso! disait-on - Vousen avezd'autres ler. un aulre' Lnlln! - Quelel|ecn rcmplace \etc le C'rlt On k lais.dil,.t.111q19'gazet rouler (e5 ded'ln\'ement ou il a!ail quarlier\ desCha\'euf, a la ldblede' inndllajl il s qritt.r Ioues. r"' Lir.s--uJi. pooia.. j"u^ a. lasard qui faisaientplacea des .ur lrrmde \e\ 'ou\enlrs\es fians' con\ef.alionde hLllelint io*u,lonr. ,on a\enir.a de\ leclures ou de revuesde polemologue\' combatlanls .l anciens sdn\ Montlx\erlelaitrbonnea di\er\espublicalion\' speLimen le donr fito,", lro.tlut".., enc)clopedie\ se lui 6lit anivd avecunelefire de souscriptionll ne h d c6dat oassaitd'ailleurs pas de semainequ'il ne conforet sa m6moire6tait i"n ot "olr.rpond*"e' " de touf gemequi metd'histoires t6e pai cesralrg6es Le caft desChasseurs l'77 i sec.Un jour, il arrivaauxChastaientsesfinances seursdansun grandddsarroi. - MonlfavertI Tu en fais une teteI - Jesuisialoux,djt-il simplement el vex6.Jevous parl€d'unvieuxcamamde I AgricolePalaai souvent neuvelNousavonsfait les mdmeshopiiauxlMais c'cst bien un ParisienlI1 o'y elr a que pour Paris! ! Angene m'a mCmepasfhit signe! Paris,toujours j'6tais enterredansca trouI Commesi - De quois'agit-il? - D'un hautfaitI - Alors,de quoite plains{u? Montfavef sodt un fasciculed'une des sacoches du tdcycle. - Unennuvelle publi.ation. Le prcmiernumdro. Tris cher,tropcher!Enfin,le papierestglacd.Et au Suis.le loujour bedumilieuje lombecurPalaneuvel sonalni?Je vousfaisjuge. On t'6coute. - Qas'intitule: < L'outrage>. Le cabaretierappotait du vin blanc. - Un r'.rce dedenicrclc. fagol..dil-iljoycusement.Unenouvellesource.Vousn'allezplusla quitlerl - Non, coupaMontfaveit en repoussantla bollDu rouge,s'il te plait teille,pasaujourd'hui. - elonnir. re. mai.la marndu paral)lique La lablee Le rougeariva et il commenga: uit imp€rieuse. L'autrdge 1?8 Lesjett:( dti to r de rille s €laitlaircuireun Quandil lut qu un Scandrnave AgricolePala lnconnu (tui \ur ta flammedu Soldal <d ler neuvelar\-aeli\.erleloumal.fetma 'eu\ dan' de douleur ch se roulan;,et se. mainsbldnchirent 'il q luEtte tant senerles accoudoirsll y avait belle avait vers6 sa demidrelarme, h-bas, au tbnd de sa suefe, et si d'aufes malheu$ avaientfondu depuls i- t" poyt, aucun acte n'apprcchaiten vilenie du quel'on venaitalerelater'enpleinepaix'e h sacrilCee de I'Armis veile ie d€filerpourla commdmoration pour appe tdl6phonique sonappareil tice. Il al6crocha se le pdpos6s Des ier le Ministre qui le pensionnait' put obteff il ne de burcauen buleau'rnais nassBrent ie secrdtairegdn€ralqu'il connaissaitsuffisanmenl qur Dourlui dlrc son indignationau nom de tousceux elxienl orri mdisle' emplo]€s ir'ort.n, o'. l appcler. la presse lre a malin€e passant leur tou. au courrnl._gubre avait Agricole s'6moovoir' paraissaient ne ricanc_ quelques l dcouLeur danmime cru perceroLr ments.o Il n'y a plus rien de bon i attendre'gemit-il' sousle Dlusrien fli de toin ni de prCs> Il se trouvart tes rappela il se et ier d'uneProvidencequi sesoulage promcnade' de' iburmisq'-r'iluimaitaro'cr cu ha'ard er de' beroin..aulrefoi. Toul 'e lient conge'ilil et il ajouta: < Puisqu'ilsrle veulentpasm'eDtendreils La conciergecleson immeublevint le sofiir de son dancld'cen'eur'Agri 6rigeet lc pou\sa cinquieme la rueeLl-ildFmaffel dlns ..lc Prlaneu.e'e relroura rueslespluspas Les le petitmoleurde sonfauteuil santes.les carrefoursne l'eftiayaientpas.consclen'ou Le cafAdes Chasseurs 179 dangerqu'il faisait naife chez les automobilisteset malg.€sa ddsesp6rance comptanttoujou$ qu'il inspiraitdela piti6et doncdesattentions. Lesquolibets,les nturesne manquaienl pa. de pleuvobsur cependant lui et les conseilsdu genre: < Resteav€c ta nounou! >, < Plante-toiau soleil, qa repoussera ! >. Ah, cefles,il pouvaitparlerde la mdchancet6, de la goujaterie humairles! Il retenaitce ainesmalveillances, les duel6s les mieux venuespour les mppotteraux amjsqui setrouventdansle memedtatquelui et il les compamita cellesqu'eux,momes avaiententendues. Il leur arivait d'en prendredes fous rires. Leu6 r€unionssepassaienttoujouNau Champ-de-Mals et par tempsdepluiedansl'un descaf6sproches de I'Ecole Mililaire. On les poussaitau-delhde I'arridrc-salledes billads dansune sofle de pergolaaux murs aveugles oir le public n'allait gxdreet d'ol) i1spouvaientsui\.Te les poules que les joueurs disputaientou les programmesde la t6l€visionsur l'6cran r6serv€au personnel. Les sefieurs prenaieDtld leurs repas aux heurcscreuses du matinet de l'aprCsrmidi. I1 s,y re. tlouvait pafois quatreou cinq petitesvoitures,mals A$icole Palaneuve pouvaittoujourscomptersur celle de JacquesMouchelinqui ne quittait gubrct,endroit, habitaitle qua ier, n'activait ses roues qu'avec les mainset queles amissumommaient le Casanier.Agricole,ce jourlA! avait d6cid€de leur soumetEele probleme,d'envisagerune riposte au gesteblasph6matoire du Scandinaveet de commencetpar signer ensemble unelette auMinistrepourlui monfer qu'ils n'enfendaient pasque l'outragereslatimpuni. La vue 180 Le caf' desChasxeurs Lesjetlt du ton de |ille petile al'unmarchdetennisjou6pardeshandicapes.en le i"ta;e passailenAm€riqueet r"rtr"l".-""J." parrlleur t"i"i"*, o" loumoib la lin du reponage de' limdle r i-f"-t * 'r*to. e.larcnrde loie sutfle Un deuxirmbe' 'ur reurs ;;;;;';i;;"'.", 'a"Jril"ri'pu.to tou. ropergolaet le hautmur aveugle leurslrravos' oui ' la fermajtrenvoya Le' iour\ lds'Jrcnl\"'l' po'tr lr lellre Asricole rniva deu' 'em"ine'arri' \ 13 ,.;:;;;,il;. qul la lrrlde Palsneuve le. ami'erourerent nersola 'J ldrs'Jilfercer'on emouon lcfe rorr. re \4rnrshe que le mieu\ ....en."""", majsliri'ailenlenJre ajou souvenir' arait on ;." insanild ;;;i"d';;il. ce sacr6 endroiT cet en iult-il. J. g"s"t pto, ienobles lr prerdre de q'ri n etait pa. une lillson celles Le ScJndina\c ii^,r-. oouiun I€.haudde cui'ine eri o-"i. qprFsuneforledmcndeil dtail 'e lermin'ril "iJ, ldr i.i",. ""nu-a"tua. t"tton'iere Ld ellre - bien qu en vigilance' la a " u-,]"'"rtron",lon lemp[ lnrnoin..oa.. o-' rtsauresnulelreeInul mJlird( p"i..* a!r. a l abn d une'ouillurele ' rue de "" es!i touslesco " menhl '''- *ii". maisd' ' rgl, pa\d uncrue drlcasanier' la plusbelleavenuedu monde' - Certes! direntles autrcs larcJ dc\ gdrdiens: le nLrmbre - Ou il. doublent I quand perdu i" n en ldm'u' de I argenl ,qe,i.ol-". s" xcit d honneur. J 6 n e n r e n O rl ei rh er l \ o i \ i n d e s b o u l e ' d e h i l l d r d vdcann' des'alle\' -i semblrble3u nrmeurdssourdie despoulaiilers. l , I { l t i 181 - J'ai uneid6e,dit Agricolequeles autresregardaicnt depuis un moment, Nous allons t'offrir un moteuret tu mettrasta part, Casanier. - Je n'en ai pasbesoin!s'icria le manuel. - C'est indispensable, dit Palaneuve,tu regretteruisdene pasen avoir e! doncde nepasen CtreI Bien quetu soisle seuld faire bandee pafi, en un sens. - Je suisici, s'dcriaCasanier, bienplus souvent quevous! C'esItoujoursmoi qui vousallends ! Cettefois nousserons?iI'heurc,tousles six,et ensemble,et sur le mCmemng et d'autresencore! J'ajoutequenousauronstousun moleul,pour avalt et pourapres. - Avant, apresquoi? demandaient les autres. - Mes amis... Et il leur exposale prcjet qui devaitfairer6fl6chirle cuisinier de l'Incofiru et ranimer I'affarre que tous ;touffaient, du Ministre au demier passant.Sous la pergolacouraiten liseronsurtoutgschoses et sul les six iniimes le silencepaficulier des comploteu$ que flcud du pavillonpaleet multipledesquestions l'on n'ose poseret qui attendentpour tombcl le souffledu plus courageux.Le Casmricrs.3langa: - Nousne sommes pasen nombresuffisant? - NousalloDsbatlrele ban et I'arriire-bandes pour dil Ar'ricole, con\oquer sJnscrnli.alion notre\. affaireimpollanleles conccmant. C'estmoi qui leur palerai.Nou.(omme5 lundi.Je \eu\ tor. nouivoir jours et nousarrCterons la manceuvre. dansdeux Bienqu'il n'e0tjamaisd6pass€ le gradede seryent, -{gdcolePalaleuveparlaitsansreplique,en g6n6ralis- r82 Lesjew du tour de fille commele pius sime, et les autresle reconnaissaient d6cid6et le plusadroitd'entreeux.Agdcoleressentait lout celaet de ce fait sentaitla victoirc au boutde ses oralres.Il renlrachezld et Ie Casanier,exceptionnelle_ qui aumoleur menl,Iui fil unboulderoule.suppl€ant la maintenant il sentait et dont lui manqlraitencore main d une Tenanl poigne d'acier. par une n6cessile d'Agnsonguidon,il avaitsaisidel'autrcl'accoudoir de cole et selaissaremorquersur la longueur I'aron_ dissement.Il Ucha Palaneuveh rcgrel et le rcgalda s'6loigner,qui reprenaitsa grandevitesseet doublait les plus rapidesdesPi6tons. ce qu'ils aime_ a nossemblables Si I'on demandait raient sauverd'un d€sastreabsolu'ce serartpour la de ce plupanuneirnageou une lettre,la photographie qui leur est le plus cher ou la ddclarationque leur a faite leur plus haut amoul.La signaturepeut varier e I'infini, d'un enfanta une mire, d'une 6poNe a un chef. Agricole ne prenaitsesdecisionset sessonges qu'en faced'un mot sign6par le g6n€ralde Gaulle.II l'avait mis sousvere, enca&6d'unebagletteen peau de sa tablede nuit de chevalet suspenduau_dessus Il regardala signatue prestigieuseet sourit: le dont Agn_ G6n€ralseraitd'accordavec1'6v6nement 6chaplaissant les lBvres, en rcmuant cole I'emefenait du cot€ pour s'excuser et le, comme per un mot,ici il rcdey mais pourraient voir, que d'aucuns farceur vint $ave et eut une nuit d'un sommeil profond. commeil n'en avaitcolrnuautrefoisqu'd la veille des attaques,faisantpour ainsi dire le vide de lui_memeel d'un honmeneufet disponible. I'apprCt Le caf4dei Chastews 183 Ce fut un vendrediqu'Agricole et les siensruppeldrcntI'atlentiondu mondesur le devouement de ceux qui sont morts poul que les auhesvivent. Il ne songeaitpasquelaverla tached'un affrontc,estencorele rappeleret que vouer Un Tel aux g6moniesc'est le remettreau premier rang. Le Scandinaveallait coDnaifeune nouvelleflamb€e,si I'on peut se permetre cetteimage.L'oubli si prdfdrablen'est pasdif, ficile,il estimpossible. Les Anciensd'un rdgiments'6taientgroupesce jourle, selonI'habitude de cettequotidienne c6r6monie,versle hautdesChamps-Elysdes, occupant le tro! roir avantde defilersurIa chau\.€e. drapeaux en rdle. ver(l L.toileel l lnconnuqu'ilsallaientlleurir.C irail toujoursun difficile probldme,une aggravatjonde la circulationtoujoursdensea ce$eheuleet en ce lieu, ma1gr6le nombreaccru des gardiensde la paix, soupleset efficaces,dansle cafouseldesvoitures,Les hommesddco#s, coiffds de b6rctset de calots, tapaientla semelleet se donnaientdes nouvelles, venues detouslescoinsdeFrance. MalgrdIe froid,les tracesde neige,le givre suI les arbresnus, unebotrne humeurl6gnait,car I'on parlaitde la vie, des naissances et desagrandissements, desfiedainesde ceux qui les avaientquitt€sdepuisla demibreranimationde la Flammeet du plaisir simple, fondamental,d'6tre eniemble.toujoursfidilesau posle.La ceremonie en devenaitsecondaire et I'on songeaitpar petitsgroupes aurcpasde souventsanosdqui suiwait avantderegagner chaclrnson coin. Tout a coup on entenditune rumeur qui venait du rond-point, dans le bas, un 13:l Lcs icurdu tan de \illc 'rnlvrrril couccndc L|Ixorrsqui grtgnaill'rvenuc'1 ' u : l . ' rl r r ' o ' r l l " r n , . ' t.,r,ll.,l,,rl . ' ' l ' l 1 l r ' ' \ ' r r o r ' r l . ' \ 1 , r . . . P . . , r r ' .c F l ri el rr ' , ' - ' l ' , . . i . , . r " rr c e t r i r " r b ' . de lous le' rnolcu$ qu ils xrrricnt grgndc ar'cc lcLrh N Lr pous\xnt g;rz louf's coinsde h crpitalcet. lcs l'rrtr' dc l'un n:Lnrleur roui. .lrtnqrnti deux hrr! la nlolln suf une sculefile hofironlalc,ils bouchalcnl tlo: montNlc dos ChampsElys6os.Dclrnt eux ]c tldn'I! corrprcl dcs \'oilufcs s aloigrrxitl'ndr5 tluc l'' {l0rr\l impos\ibilit6de doublcflcs pirf'r\litltLcs' c'ller' ii 'Lgghtircf, i ! vihicdes conmrenqaierl ' rcDfendfedillicilenenl e dcux kilom'lrcs_hcufc' ryth lors lcs tous sLrf rnugir'.i donnclrie l'alcrtis:icur iorcc dl in""-"t r r.". t-. u^."uu" PrcnriLl'r don\ilri'h dc' x\'rLil bruil to,r.. ci tiui. cl. eornmch rrrcf.le lo|lllr 'lan un nou\'cl d.s rcPrises' subites. relombdcs la lignc diis tr _ dcvanl pcrdu. N{tintennnt, ct dible r,.uils roLilanrs.l rvcnue it.ril pfcsquc d6g:Lg'c Lc' hLtLrI llIr1prd.rircss'rLllu rIicnt. l-es Anciens li lN nrnrpoLrf rcgrrdcr chirussac la s'avc tu|arcntsur dci_ fcsllrtion, ct dcs pronlcnstuscL)rnlrlcnqrisnla cn ser' mafclrer de surlfis cendrc lL'ts PaliLrrclNc. \illlet d Lrr: inlcrsesuf h voic libf!'.strn\Lcmoindfc 'r" r l ' r r r r r l' l r l ' . n r' l \ i l " I r'' ' I I 'lr' n r ( . " . 1 ' l rJ . di\r , rL r.. L,oli. i'.- rl J 'rr' . r -" . - . . " ,r "r r . \ ' ' ' ' '.\' 'r 'lclr l:'rl 'ir'fl f c u x d e c i f c t r l i l i o l r . l i r c L r r ' i o s i l cL l c s c o n ( l L r c t c L r r ' L' l enporlirnt sur lou| prcssc hrbituclle AgrLcolc Lc t fi tlesChtlss.lns 185 . i . , . , rr . f r " . ' t . \ ' . L ll i . . i . \ i " c ile.lusrlui l'os. Ccrliljns\e delll ndricrlts ils lienul3isils foular€nl. :ricnl lc coupi sqn:r la Flrunmc. f r ' . r l i r e . . . . . 1 . . . . o| e . : r . t r ' - o . r u . \ 1l||ivrientru lnilicu dc lcrf feine. ir rni chcrnilrdu lofsque envelotprnldc bLrac. iom rc. lcurrorLlflclcs dc sa ',rficol{s€ntrlnl lriblif lcs lnrscles Plhnculc. nupcet non pointsn lcl\'cur.s'arrsrntrussiriLrclcs 'a1on\rlhicnl prl bonhomie, gcntille\se rmLrsencnl. . lirrccicurbrrTcrh r lc ct l'ahLr.|LfEl I'ordrcquc r! .omprgnons.rltcrd.rrurll. -- Ilolcur I l r ( r n , , , 1. . i . L ' , ' " . c r r J . ^l r . n . L n i r , . lr1 lLuffi! fepritdc plus bclic cl lcs irit tcl quc rxli\ Agricolc lrc I'cilr esp6f6-Ce n'alril plu! dcs roLibcl!.dr rnoin\ le fcns.ritil, rtis une riLlc. ilLr'irnpoJtele flr(nill Tous ccs gue llrt\ 6l.ucDtlcs 'il 169is\it. Ils riouleienl .l;cofrteu|S du llailtfc q et lespliarcs. A lil htntlrufdes nlinrcrlrrrlcslilnrcrnes sc ftrlilarcnt enlfc cu\ cl hcicfs. lc\ pofte drrLfllrLrri. Js voitLucs. Atricrl!'dcJrlndx.Luxsicnsdo rtlcnlir. Le sen'iccd'ordrc s r Taphce de l'itoilo 1csattcnduit. r..s scrlcs voiruresqui rouleicnlsc faulil ient ir la Jfiphafie.Les fcljpnNrblcsdcs glirdionscl dcs \rcicns prcn.ticnlccllc m.rnifcstriior irrprav[c pouf t . , r . . r . . r t r i . n . . r tt r r . . . r r J n r 'i . r r : , u \ rrteuilr roulmts L aisucc qu il lcur falhit. Au bcau 'rilieu dc le pl.tcc,ii ccnt f.Ls,:lel'InconDu,Agdcole :ra1rsr nrrchifccl sr l|oufe fit corclcrluloLrdc lui. n bllnc de .hironris. drs rcportsrsarnrteul1\fhoto 186 du taut de rille Les.ieuJi enlleles,elcnddrd' i lnulclJ..couraienl srrnhirient tr"] Lr \ille hurlJrt irr."".4.."""i*t t')'rerique\' - Et slors?cria un firgaoler' * Avancez!lanqaun aure' mlrrntenam I-esasenBaleh 'irculadonentounient ne-hronchJrl '^";"'iin.'. mai' A:ricolePdlJ'lc!'ve d une \dcoche.de'a i"'. ii tit, .olenneilement 'ur pdrc' r,narrl ct le lais'dto'nber le Lachine "'i"'t.to""*m" de casa_ des Ancicnss'approcha Dequelrigiquec'est?demanda-t-il : Qu'esi-ce mentdtes-vou\? on \0x' - e. ez dctrnt.dir AeriLolemdinlencnl ut" 'ou' t fuc allcquail./ tr.iqu" *ilitoi'" tJ"ie rverlr\ louc ci,r,,t,' i;po,t. on les ar'e1d'il ,Le' li .ircJl' dc :.;,:'.:;i"i;;";'. o""s le srondemerL tri'lc'qeinfi_ uncri'l Llne ,iunr"pr'r.'u"af itonfnnqa LecJ\aniclpencllc ni" *t'n" uanu't 'n "ulrelemlc lui pressrla mdLn ' vers "''-' P,llaneuvc dxn'Iejoumcl'dir n;''ii;". t;t .elademain e r:enl t;i;: P"'r ceuxquire cro:enr o;";,;' 'i.jir" llammF lx retrrdricnr p"ii \oirurc"ils r' Agri'ole "'t PouI ,u r'r.u quel3 nuil cui\rail ".Ie" O, c"f devaitirrc air'i en fo'nrede lln'c el de 'on fauleuilcc ""t" 11"-.pr""'" n *".l ft' "ccoudoiJ' il \entaitmonterdeslxmes' ' e\a4our'\1r' I i"'uni.t. Oirll conmcle clairon u el loust ! Chrcun\r roulecomme.firc\ di:per.ion m(LlfeirLr p"lgofrfvo' lamoe'en bra''ardlI ri lJrl fraisdu vin d'Alsace Le cafl desChasseurs 187 €taitdevenusilencieuxLes Le Cafi desChasseuN qui s'€taienlgrcup€sregagn'rent ronsommateurs leurschaises. leu$ tablesen mpportant Pala- Alors,dil Monlfave d'unevoix tragiquc, neuvcn'aumi!pasPu me fairesigne? - Certes ! dit uncvoix faible.Un amiestd'abord pcnseArvous,mais peut-etrea-t qui un homme ? voulut'dpargnerle d€Placenent de samachine' accoudoirs les Monlfaverllapasul - lc peu\Ira\elscr xreci:l: L Frdnce - Oui, c'est un couprude! L'outrageest aussr tombercettepublica' lu laisses pourloi. 6videmmen!, Iion? ce - J'ai cnvoy6mon chCqoede souscription matin,r6pliqra Monlfavert,dbs I'ouverturede la poste.Po;r moi f iuniti6,c'estaussid'oubliertout un c6t6de I'ami.