La suspension du contrat de travail
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La suspension du contrat de travail
Accueil> Employeur> Calculer les cotisat...> Les éléments à prend...> La prévoyance complé... > Les conditions d’exo...> Le caractère obligat...> La suspension du contrat de travail La prévoyance complémentaire SOMMAIRE Les conditions d’exonération L’objet des garanties Les contributions visant à couvrir une obligation de maintien de salaire Un régime frais de santé responsable Les bénéficiaires des contributions et garanties La nature juridique de l'organisme prestataire La non-substitution des contributions à d'autres éléments de rémunération Les modalités de mise en place Le caractère collectif du régime Le caractère obligatoire du régime Les dispenses d’affiliation autorisées en matière de prévoyance Les cas de dispense dits de plein droit La suspension du contrat de travail Le versement santé La portabilité des garanties de prévoyance La limite de l'exonération sociale (par an et par salarié) Les contributions restant dues La suspension du contrat de travail 08/09/2015 Les garanties mises en place conservent leur caractère collectif et obligatoire si leur bénéfice est maintenu au profit des salariés dont le contrat de travail est suspendu pour une période de maladie, de maternité ou d’accident au titre de laquelle ils bénéficient : soit d'un maintien, total ou partiel, de salaire ; soit d'indemnités journalières complémentaires financées au moins pour partie par l'employeur, qu'elles soient versées directement par l'employeur ou pour son compte par l'intermédiaire d'un tiers (mutuelle, institution de prévoyance). Sauf dans les cas où le régime prévoit un maintien de l’employeur doit continuer à verser la contribution dans le régime de protection sociale complémentaire de même, la part salariale de la contribution reste la garantie à titre gratuit : patronale pendant la période de maintien du salarié absent ; également due. Lorsque le contrat est suspendu sans maintien de salaire, chaque régime est libre d’organiser le maintien ou non des salariés non indemnisés et le maintien éventuel de la contribution de l’employeur.