Mot de Passe n°2
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Mot de Passe n°2
IN FO D IDAC Année 2002-2003 Numéro 2 Janvier 2003 Dans ce numéro : « MOT DE PASSE » Editorial Il est vrai qu’Infodidac a eu 10 ans en 2002 … mais l’idée de développer des logiciels d’aide à la gestion administrative des établissements d’enseignement, singulièrement les écoles secondaires, était née bien avant cela. C’est en effet en 1986 que le SeGEC, alors encore appelé SNEC, demandait au CERDECAM, le Centre de Recherche et de Développement de l’ECAM, d’œuvrer en ce sens. Ainsi, ce sont tout d’abord quelques enseignants de l’Unité Informatique de l’ECAM qui ont démarré l’analyse de ce qui devait devenir PROSEC, maintenant ProEco, avec l’aide d’un groupe d’accompagnement constitué de directeurs et secrétaires de bonne volonté et de grande patience. Puis fut abordée la programmation, sous DOS, en Pascal, avec l’appui de jeunes ingénieurs et programmeurs, alors sous statut ACS, lesquels sont d’ailleurs aujourd’hui toujours en place comme membres du personnel à part entière au sein d’Infodidac. Enfin vinrent les premiers tests grandeur nature, avec l’aide de quelques écolespilotes qui essuyèrent les plâ- tres avec beaucoup d’enthousiasme et de patience. La formule a marché. Les produits se sont développés. Les bénéficiaires se sont multipliés. L’équipe s’est étoffée. Infodidac est né. Des quelques écoles-pilotes du début, ce sont maintenant près de 1000 établissements d’enseignement, tous niveaux et tous réseaux confondus, qui font aujourd’hui confiance aux produits développés ou distribués par Infodidac et bénéficient des services associés. Service, voilà le mot. Car il est vrai qu’à la base d’Infodidac, il y a une idée fondamentale: rendre le meilleur service possible aux écoles dans tout ce qui touche à l’informatique, aujourd’hui aux technologies d’information et de communication. Pour ce faire, Infodidac s’efforce de fournir un maximum d’établissements de façon à faire bénéficier ceux-ci d’un effet d’échelle optimal permettant d’amortir au mieux les coûts de développement et de limiter ainsi la charge finan- cière du recours au service. Mais c’est aussi dans la perspective de mettre des ressources en commun de manière efficace pour obtenir plus en retour que la simple somme des parties. Pour cela, et pour garantir une adéquation optimale des produits aux besoins, Infodidac se met en permanence à l’écoute des bénéficiaires de ses services. De nouveaux défis attendent les écoles. Ils résultent notamment de l’impact grandissant des technologies d’information et de communication que l’on peut prévoir tant sur le plan de l’administration des établissements que sur le plan pédagogique. Fidèle à sa mission, Infodidac entend vous aider à relever ces défis pour vous assister au mieux dans votre mission prioritaire et primordiale d’éducation. ne vous sont certainement pas inconnues. Mais peutêtre nourrissez-vous quelque inquiétude quant à leur mise en application, notam- 1 Le module de calcul des anciennetés 1 Jacques Houben 2 Les réseaux, c’est pas sorcier ! 2 Qui est-ce ?... 3 Agenda 4 Un conseil : sauvegarder 4 « MOT DE PASSE » paraît en octobre, janvier et avril Prof. ir Philippe MERCENIER Administrateur INFODIDAC Toute l’équipe d’Infodidac vous présente ses meilleurs vœux pour une année 2003 heureuse, active et riche en rencontres et en découvertes. Le calcul des anciennetés ?… Un logiciel le fera pour vous ! Si vous êtes en charge d’une école du réseau libre subventionné, les dispositions du nouveau décret sur le statut des enseignants 1 Editorial ment au niveau du calcul des anciennetés. Pour vous aider, Infodidac (Suite page 2) (Suite de la page 1) vient de reprendre, en collaboration avec le SeGEC et son concepteur (voir article ci-après), un logiciel de calcul des anciennetés. Le dossier enseignant pourra être g énéré/complété par ProEco. Le but de ce module est d'apporter une aide informatique aux PO et aux entités/CES pour l'application du no uveau décret, surtout dans les tâches répétitives de calcul des anciennetés pour l'accès aux fonctions de recrut ement. Le module sera utilisable tant par le Fondamental que par le S econdaire. Il sera disponible gratuit ement à partir de février 2003. Le module est capable de lancer les calculs automatiquement sur tous les dossiers enseignants d'un répertoire et de constituer la "liste anciennetés", qui reprend les résultats des calculs par Enseignant/PO/Fonction dans un f ichier texte regroupant tous les ense ignants. Ces résultats sont imprimables pour que chaque enseignant puisse disposer d'un document détaillé concernant son ancienneté. Ils pe uvent aussi être exportés vers d’autres programmes. Le module permet d'encoder les do nnées de la carrière de l'enseignant n écessaires pour les calculs d’ancienn etés, en se basant sur des tables de r éférence pour les fonctions et abse nces. Les données sont sauvées dans un fichier de type texte par enseignant, appelé "dossier enseignant". Un calcul manuel du nombre de jours d'ancienneté sera possible sur ce rtains critères bien définis (dates, fon ction, PO, ...). Le calcul approximatif de l'ancienneté de pension sera égal ement possible, mais pour information uniquement, n’ayant pas été validé ni testé. Certains points seront traités manue llement par l'utilisateur, tels que : liste des fonctions admissibles (titre requis) suivant diplôme, pose de candidature, faute grave, conditions supplémenta ires pour la religion, avis défavorable du PO, maladies "sur la mutuelle", … La consolidation de plusieurs "dossiers enseignants" pour rassembler les ca rrières d'un enseignant de différentes écoles sera possible, ainsi que la consolidation des "listes anciennetés" de différents PO. 1 Décret du 19 décembre 2002 modifiant certaines dispositions relatives au statut des membres du personnel subsidiés de l'enseignement libre subventionné , publié au Moniteur Belge du 31 décembre 2002, Edition 3 Jacques Houben, un homme passionné Jacques Houben, le concepteur du module de calcul des anciennetés, cultive plusieurs passions avec écle ctisme et un sens remarquable de l’engagement. Il y a tout d’abord, vous vous en do utez, l’informatique, et plus précisément la programmation, que ce professeur de sciences et ancien directeur de l’Institut Saint-Joseph et SainteJulienne à Liège pratique assidûment depuis l’université. Encouragé par la CEMNL, dont il est cadre à l’époque, il développe dans les années 90 la pr emière version de son programme de calcul des traitements et des ancie nnetés. Aujourd’hui, 80 écoles l’util isent, et M. Houben suit en élève libre des cours de graduat en informatique. La deuxième passion de Jacques Houben, non moins exigeante d’ailleurs, c’est le vélo. Sa moyenne annuelle ? 9500 km. Son objectif ? Franchir 1000 cols de montagne différents. Son palmarès actuel ?… 700 ! Et quand on admire ses performances, il Les réseaux, c’est pas sorcier ! L’informatique, comme n’importe quelle autre discipline, véhicule une terminologie propre. Un des objectifs du « Mot de passe » est précisément de vous apporter des éclaircissements sur certains termes qui, s’ils ne sont pas tous barbares, n’en comportent pas moins quelques zones d’ombre pour les non-initiés (et parfois même pour les initiés…). Pour donner le coup d’envoi à cet exercice de vulgarisation dans le meilleur sens du terme, nous avons choisi le mot « RESEAU ». Un réseau est la mise en liaison de plusieurs PC dans le but de partager leurs ressources. Les ressources partageables peuvent être Année 2002-2003 Numéro 2 de plusieurs natures, les plus classiques étant le partage d'un disque dur (donc le partage de programmes et de bases de données), ainsi que le partage d'une imprimante. Mais d'autres choses peuvent être partagées : l'accès à un lecteur de CDRom, un lecteur de disques "Zip", l'accès à l'Internet ou même l'accès direct à un PC voisin (ex: dans une salle de classe, un enseignant accède au travail d'un élève). Dans un réseau, on distingue deux types de PC, les PC "Serveurs", qui partagent une partie de leurs ressources (en fonction de leur installation), et les PC "Clients", qui accèdent aux PC "Serveurs". Il faut savoir que les PC "Serveurs" peuvent appartenir aussi à la deuxième catégorie dans la mesure où ils peuvent toujours être eux- se contente de préciser “ qu’il roule à son rythme ”, “ que c’est une question d’entraînement ” … Vous aurez compris qu’un tel homme ne peut pas rester inactif bien lon gtemps. Nous pouvons vous rassurer : pendant ses heures de loisirs, il s’int éresse à la musique classique, avec une prédilection pour l’opéra baroque sans dédaigner pour autant Berg et Stravinsky. mêmes clients d'un autre serveur. Les réseaux peuvent être "locaux" (LAN : « local area network »), c'est-à-dire propres à un bâtiment (une école, une entreprise), ou "distants" (WAN : « wide area network ») dans le cas de liaisons entre des sites différents par l'intermédiaire de lignes téléphoniques ou de lignes spéciales (p.ex. lignes louées ou tout simplement par l'Internet). Dans les réseaux "locaux", il arrive fréquemment qu'un seul PC soit destiné à être le serveur : c'est sur lui que les informations sont enregistrées, ce qui permet de centraliser l'information et de faciliter les sauvegardes. C'est la solution la plus simple. Mais il est aussi tout à fait possible de construire un réseau dans lequel les informations sont dispersées sur plusieurs PC « Serveurs ». Chaque utilisateur doit alors savoir où se trouvent les données qu'il re- Page 2 cherche et il peut y accéder à partir de son propre poste. C'est une solution envisagée dans le cas de petits réseaux, de petites entités qui ne souhaitent pas faire l'achat d'un PC destiné à être uniquement serveur, les PC « Clients » servant alors à partager les données. Parmi les réseaux "distants", il faut faire la distinction entre les réseaux privés (réservés à une école ou une entreprise, par exemple) et les réseaux ouverts. Le réseau ouvert le plus utilisé est l'Internet, qui relie la majorité des ordinateurs du monde entier. Dans ce gigantesque réseau dont nous sommes les clients, les informations sont dispersées sur différents serveurs que nous consultons, par exemple en visitant des pages « Web » (mot anglais signifiant « toile »). Pourquoi les réseaux "locaux" sont-ils beaucoup plus rapides que les réseaux « distants » ?. Dans un réseau local, les liaisons sont plus courtes, plus faciles à renouveler, et surtout nous sommes moins nombreux à les utiliser. Les réseaux distants demandent généralement l'intervention de lignes téléphoniques (anciennes, de type classique, ou modernes, de type RNIS1 ou ADSL2) et ne per- mettent pas des transferts aussi rapides3. La différence de vitesse peut aller jusqu’à un facteur 100. et de configuration, qu’Infodidac réalise aussi (exemples : imprimante, cd-ROM, Zip, logiciels divers …). De plus en plus souvent, nos réseaux locaux sont reliés aux réseaux distants par l'Internet. Ceci nous permet d'échanger des informations en local, à haut débit, avec nos proches, et d'échanger des informations avec d'autres personnes distantes, ou même de travailler depuis une seconde implantation ou depuis son domicile, à une vitesse moindre. Pour plus d’informations, vous pouvez contacter Philippe Van Roy (vrp@infodidac. be ou par téléphone au 02.527.51.31). Que fait Infodidac en matière de réseaux ? Une des vocations d'Infodidac est d’aider les écoles à s’informatiser. . Il entre donc dans sa mission d’ installer des réseaux, réseaux locaux d’une part, pour partager des informations au sein de votre école, réseaux distants d’autre part, soit pour vous permettre d'accéder à l'Internet à partir de tous les postes de votre réseau, soit pour relier entre elles différentes implantations de votre école et donc permettre aux personnes qui se trouvent en dehors de vos bâtiments principaux d'accéder à vos données avec le plus de confort possible. L’installation d’un réseau comporte toute une série de services annexes d’installation 1 RNIS : Réseau Numérique à Intégration de Services 2 L'ADSL utilise les bons vieux câblages téléphoniques... seul un appareil doit être connecté à "la centrale Belgacom" 3 Comparaison du débit : ligne classique : jusqu’à 56 kbits ligne RNIS : jusqu’à 128 kbits ligne ADSL : jusqu’à 2 000 kbits/s En réseau LAN, le débit peut varier de 10 000 à 1 000 000 kbits/s. Qui est-ce ? ... Si vous avez un problème lors du démarrage de ProEco, elle vient à votre secours. Sa voix vous est familière, mais vous n’avez jamais vu son visage. Vous appréciez sa patience et sa compétence, pourtant elle demeure presque une inconnue. “ Elle ”, c’est Anne Mars, qui a accepté de répondre en toute franchise à quelquesunes de nos questions, ce dont nous la remercions vivement. Carte d’identité Nom : MARS Prénom : Anne Age : 37 ans Profession : informaticienne Signe particulier : aime la vie à la campagne Ø Racontez-nous votre parcours professionnel … Au départ, j’ai suivi une formation d’ingénieur industriel en industries agroalimentaires et en biotechnologies à Huy. Après quelques années de travail en laboratoire dans une sucrerie, j’ai été engagée par une société de marketing. C’est là que j’ai tâté pour la première fois à l’informatique. J’ai Année 2002-2003 Numéro 2 aussi fait quelques intérims dans l’enseignement secondaire, en biologie, chimie et physique. Il y a quatre ans, j’ai rejoint l’équipe d’Infodidac. Ø Le virus de l’informatique, vous l’avez donc “ attrapé ” assez récemment. C’est vrai. J’ai commencé à suivre des cours du soir dans le cadre d’une initiation à Windows et Microsoft Office, et cela s’est terminé par un graduat en informatique ! J’ai alors postulé au SeGEC comme informaticienne et j’ai été engagée chez Infodidac. Ø En quoi consiste votre travail chez Infodidac ? Je partage mon temps entre la programmation et l’assistance, dans le cadre du développement de ProEco. Ø Quels sont les aspects les plus intéressants et motivants de votre travail ? Le développement de ProEco est en soi un projet passionnant. Quand on a la chance d’y participer au sein d’une équipe de collègues compétents et dynamiques, en utilisant des outils modernes de programmation comme le langage Delphi et avec toutes les perspectives qu’offre Internet dans le futur, on est d’autant plus motivé. Par ailleurs, la combinaison du travail de programmation et d’assistance est très intéressante : il y a une interaction permanente entre ces deux aspects qui est enrichissante tant d’un point de vue humain qu’au niveau de l’avancement du projet. L’assistance permet en effet d’entrer en contact direct avec l’utilisateur et de mieux comprendre sa perception du logiciel et ses besoins. Ø Quelles sont les difficultés auxquelles vous êtes confrontée ? D’une manière générale, les choses se passent bien. La plupart de nos utilisateurs savent qu’en cas de problème d’utilisation de ProEco, ils doivent d’abord contacter une personneressource ou un relais régional, mon rôle étant d’intervenir en deuxième ligne ou quand il y a une difficulté au niveau du lancement du programme, un “ bug ” ou un plantage. Certains oublient encore de me communiquer d’emblée leur numéro de licence ProEco ou ne respectent pas toujours les horaires d’assistance1, mais ce sont des exceptions ! Ø En guise de conclusion, quelles sont les qualités requises pour remplir une fonction telle que la vôtre ? La logique, la précision et la capacité d’écoute. Ainsi que la volonté d’apprendre, mais cela, c’est important quelle que soit la fonction … Page 3 INFODIDAC A.S.B.L. Siège d’exploitation: Place de Ste-Adresse, 12 1070 Bruxelles Téléphone : 02 527 51 31 Télécopie : 02 527 51 32 Messagerie : [email protected] Editeur responsable: Bertrand Petit Rue du Commerce 82 1040 Bruxelles us Retrouvez-no sur le web! c.be www.infodida AGENDA Formations organisées pendant le deuxième trimestre de l‘année scolaire 2002-2003 : • ProEco fondamental • ProEco Secondaire • Formations comptables ComptEco et BOB • EdT, logiciel d’horaires Les programmes de formations sont disponibles sur notre site ou sur simple demande à notre secrétariat. Le conseil d’un ami qui vous veut du bien : sauvegarder, sauvegarder, et encore sauvegarder … ! On ne le répétera jamais assez : l’informatique est un outil merveilleux dont l’usage en toute sécurité requiert le respect de certaines précautions él émentaires, dont la première est de sa uvegarder ses données. Gérer par ordinateur sans faire régulièrement des sauvegardes, c’est comme sauter d’un avion sans parachute ! Les risques sont en effet omnipr ésents : défaillance du matériel, vol, i ncendie, erreur de manipulation, défaut dans un programme, virus, … Pour bien sauvegarder, il faut avant tout : 1. Définir quelles sont les données à sauvegarder ; 2. Hiérarchiser les données à sauv egarder en fonction de leur impo rtance qualitative et quantitative ; 3. Préciser pour chaque catégorie de données le type de sauvegarde à effectuer (temporaire ou long terme) et la fréquence des sauvegardes (quotidienne, hebdomadaire, …). Il ne faut pas sauver trop souvent, car dans ce cas, on perd ses chances de pouvoir revenir en arrière si on ne constate pas directement le défaut, ni trop peu souvent non plus, car on risque alors de perdre une plus grande quantité de travail. 4. Décider, pour chaque cas, du support approprié. S’il s’agit de sauvegarde temporaire, le temps de réaliser une opération dang ereuse, on copiera les données sur le disque dur ou sur un stick mémoire (extension placée sur le port USB du PC, de très petite taille, et qui se co mporte comme une disquette). Si l’on souhaite sauvegarder à plus long terme, pour se prémunir contre les risques de pertes d'informations , on utilisera une disquette, un disque zip, un cd, une bande magnétique, … Tout ceci en fonction de la quantité de do nnées à sauvegarder. Il faut savoir qu’une disquette peut contenir 1,44Mo de données (et que sa fiabilité laisse très souvent à désirer). Un disque zip peut contenir 100Mo, 250Mo ou 750Mo selon les modèles. Un CD réinscriptible peut aller jusqu’à 550Mo, un CD non réinscriptible ju squ’à 650Mo ou 700Mo selon les m odèles. Une bande magnétique, quant à elle, a une capacité qui dépasse les 4Go, mais son temps d'accès est beaucoup plus élevé. Bien sauvegarder exige par ailleurs un suivi systématique : datation et classement des sauvegardes, respect de leur planification, conservation des supports en lieu sûr (copie dans un autre bâtiment, ramenée à domicile par le responsable), vérification de la fiabilité des supports et remplacement en temps voulu. Il est également r ecommandé de bien maîtriser les tec hniques de récupération des données et de tester la réussite des sauvega rdes. Il n'est en effet pas très agréable de constater, au moment où l’on en a besoin, que les sauvegardes qu'on a réalisées avec régularité d epuis parfois de longs mois n'ont pas fonctionné et qu'on a donc tout perdu malgré tout. Dans la nouvelle version 2.6 de Pr oEco, un message vous rappelant la nécessité de faire des sauvegardes a été ajouté à la sortie du logiciel. Pr oEco demandera donc désormais au gestionnaire principal du logiciel de certifier que des sauvegardes ont été réalisées. Le logiciel n'est bien e ntendu pas capable de vérifier si c’est bien le cas, puisque les sauvegardes sont réalisées au moyen de techn iques extérieures à ProEco, mais ce sont vos données, vous en êtes re sponsables, et le non-respect des règles peut, un jour ou l’autre, se retou rner contre vous. Moyennant la mise en application de ces quelques recommandations, vous limiterez considérablement certains risques inhérents à l’usage de l’info rmatique.