Consommation de sucre : raison et sentiments - 03/11/2016
Transcription
Consommation de sucre : raison et sentiments - 03/11/2016
Cedus - 16/02/2017 Consommation de sucre : raison et sentiments - 03/11/2016 CEDUS « 1 sucre ou 2 ? ». La juste dose de sucre revient fréquemment dans les média avec souvent des glissements entre consommation et surconsommation, risques supposés et dangers réels. Une fois n’est pas coutume, une émission radio diffusée sur Europe 1 pose des repères concrets sans diaboliser (ni angéliser) le sucre. « Le muscle, le cerveau,… on a besoin d’énergie, on a besoin de sucre » Pour être tout à fait exact, on a besoin de « glucose », qui est le carburant pour nos cellules. On estime à 120 g la quantité quotidienne de glucose nécessaire à notre seul cerveau ! Le sucre ou sucre de table est une source de glucose, de même que les autres glucides (miel, sucres des fruits, amidon des céréales,etc.). « Si on supprime totalement le sucre ? […] Privation ça veut dire frustration, […] risque de craquage et de surconsommation » C’est effectivement ce que décrivent les psychologues et nutritionnistes. La restriction cognitive favorise la perte de contrôle alors qu’apprécier un aliment sucré (c’est rare de manger du sucre à la petite cuillère), permet d’avoir du plaisir à le manger sans avoir besoin d’en consommer beaucoup. « Consommation excessive de sucre équivaut à prise de poids […] Manger du sucre ne donne pas le diabète mais ça peut, indirectement, aboutir à ce surpoids qui est un facteur de risque de diabète de type 2 » 1/3 Cedus - 16/02/2017 consommation surpoids, Effectivement, lui-même en ceexcès. n’est facteur pas C’est delerisque sucre bien lede en surplus diabète lui-même dede calories qui type pose 2.(sucrées problème oumais non) bien qui favorise sa le « Astuces : […] On va essayer au repas de prendre des féculents, des sucres lents à la place des sucres rapides. On va remplacer le sucre par la stévia ou le sirop d’agave, des édulcorants » Le Dr Gérald Kierzek donne des conseils pratiques pour garder une consommation raisonnable : privilégier les tisanes, repérer les heures critiques d’envies de sucré, privilégier des en-cas apportant d’autres nutriments intéressants (yaourt, pomme), donner une bonne place aux féculents lors des repas. C’était presque un sans-faute mais la référence aux « sucres lents » / « sucres rapides » n’est pas très pertinente . Cette notion désuète est désormais remplacée par la notion d’ index glycémique (notamment utile pour les diabétiques) car la vitesse de digestion des glucides dans les aliments ne dépend pas seulement de leur taille (sucres vs amidon) mais de multiples paramètres (structure physique, cuisson, teneur en fibres et en lipides de l’aliment et du repas…). 2/3 Cedus - 16/02/2017 Voir l’fois intégralité ded’en l’infographie mais le sirop n’est pas édulcorant Quant àsa varier le Iltype possède de produits une sucrants, pourquoi pas valeur calorique comparable àun celle du sucre et ilEn est déconseillé abuser en de richesse en fructose. Le existentielle jour même «d’agave depour cette chronique, une du «Los Angeles Times» se posait labouffe est-ce qu’un excès de bonbons d’Halloween peut vous tuer ». pour dose des létale laboratoire, souris, pour jusqu’à 50% on sait des ce répondre souris que la en moitié àraison une ce genre prise). d’entre de elles soient en organisant (cela «Une La s’appelle grande laquestion DL 50, »de sucre Une pour extrapolée une personne aux humains, pesant 79 lajournaliste kilos valeur fatidique pour lepas serait de 2,36 kilos Angeles le tout, la Times» DL 50 de 295 l’eau mini-barres obtenue par chocolatées les mêmes ,intense. soit !question Attention tout calculs de même est à?décédées ne de l’équivalent 7sucre litres. trop boire selon paille pour le!faire «Los glisser 3/3