Un complément important au décodage biologique!

Un complément important au décodage biologique!
Par Daniel Miron
Depuis six ans, je cherche de manière intensive un complément au
décodage biologique qui permettrait aux personnes de pouvoir
aller plus loin. J’étais déterminé à le trouver et, c’est maintenant
chose faite. Je remercie le Dr. Claude Sabbah, père de la Biologie
Totale des Êtres Vivants. C’est grâce aux précieuses
connaissances qu’il m’a transmises que j’ai été en mesure d’aller
plus loin.
Je tiens à dire que « La Biologie Totale des Êtres Vivants » est l’outil le plus
puissant pour identifier le conflit que vit une personne. Avec celle-ci, il est
possible de comprendre une dynamique conflictuelle en quelques minutes.
Je n’ai que de l’admiration pour Claude et je reconnais son engagement et sa
pureté d’intention face au concept qu’il a mis sur pied et je souhaite longue vie à
la Biologie Totale des Êtres Vivants. Je reconnais aussi son professionnalisme,
son éthique de travail et son projet de contribuer à rendre le monde meilleur.
Malheureusement, ses enseignements sont parfois mal interprétés et retransmis.
Ceci place la Biologie Totale en situation de danger. Si la tendance se maintient,
elle ne deviendra qu’une autre discipline parmi tant d’autres et, ceci est tragique.
Je souhaite que les consciences se réveillent et que l’amour et le respect d’autrui
deviennent les principaux ingrédients pour tous ceux qui utilisent la Biologie
Totale.
J’ai découvert le complément après six ans d’exploration intensive. J’ai nommé
le concept « La Création Consciente Enrichissante© ». J’ai expérimenté la
C.C.E. depuis septembre 2007 avec plus de 250 participants dans mes
séminaires et ils sont unanimes à dire que leur vie change de manière
significative. Je vous raconte comment j’en suis venu à ceci.
Par le passé, certains de mes clients qui me consultaient repartaient dans la
douleur d’avoir pris connaissance de leur conflit, de leur ressentis et de ne pas
savoir quoi faire pour y mettre fin. Je leur avais transmis toutes les données
concernant leur conflit et si le cerveau ne prenait pas l’information, la personne, à
partir de ce moment ne savait pas quoi faire et en plus elle était en contact avec
la douleur du conflit qui, est à partir de ce moment ce qu’on appelle un état
névrotique.
Je me sentais tellement mal à l’intérieur de moi lorsque la personne ne décodait
pas que ma conscience en était affectée et troublée. J’aurais pu dire comme
certains disent : « Tu connais tout de ton conflit et de ta maladie, si tu ne guéris
pas, c’est de ta faute. » Mais, j’aime trop les gens pour dire ceci. Si vous
entendez ceci de la bouche de quelqu’un, c’est qu’il se sent impuissant et que
son ego est trop touché pour admettre qu’il ne sait plus quoi faire et qu’il est à
cours de ressources.
Une personne qui consulte est déjà fracassée à propos de quelque chose. Elle a
déjà une fracture de l’âme. De grâce, n’en rajoutez pas. Que vos clients ne
deviennent pas votre « punching bag » pour évacuer votre colère lorsque vous
vous sentez impuissant. Prendre connaissance de son conflit et des ressentis qui
l’accompagnent, c’est l’équivalent de rouvrir une plaie et de la laisser à vif. Savoir
qu’il y a quelque chose qui cloche, c’est tel que tel. Par contre, savoir
exactement ce qu’est le conflit et ne pas savoir quoi faire pour y mettre fin, c’est
terrible.
Au cours des six dernières années, aussi bien au Canada qu’en France et en
Belgique, environ 200 personnes comprenant un mélange de thérapeutes et de
clients m’ont écrit, rencontrés lors de séminaires ou de conférences ou m’ont
téléphonés. Ils avaient tous la même interrogation. Ils me demandaient « Qu’estce qu’on fait quand on connaît le conflit? ». Je leur répondais toute la même
chose. Je cherche et lorsque je trouve, je le publie en espérant que la nouvelle
se répande comme une traînée de poudre jusqu’à vous.
À travers l’identification du conflit et des ressentis, est identifié ce que la
personne « NE VEUT PAS ». C’est ce qui est souffrant pour la personne. Si ça
ne passe pas dans la conscience de la personne, elle repart avec ce qu’elle ne
veut pas. Elle souffre de savoir ceci et elle ne sait pas quoi faire.
Ce que je vais vous révéler vous paraîtra probablement insignifiant mais, c’est là
que réside la clé de l’énigme. Dans un conflit, la personne sait tout ce qu’elle
« NE VEUT PAS ». Elle dit « c’est fini, je ne tolèrerai plus ceci. Il n’en est plus
question. Je le jure. » Pourtant, peu de temps après, la personne revit la même
chose. Pourquoi? Pourtant, elle se l’était jurée. Tant que la personne ne sait pas
« CE QU’ELLE VEUT », elle tourne en rond. Le cerveau n’entend pas la
négation. Mais, il s’avère que définir ce que nous voulons est la chose la plus
ardue et épeurant qu’il soit. Les êtres humains ne savent pas ce qu’ils veulent.
C’est à ce moment que ce que j’ai découvert devient capital. En séminaire, j’aide
les gens à trouver ce qu’ils veulent et à cheminer vers ceci. Maintenant, voici les
interrogations possibles.
Comment faire pour savoir si je prends la bonne décision, s’il s’agit vraiment de
ce que je veux? J’ai peur de me tromper. J’ai mis au point un puissant outil que
j’ai nommé le « GPS émotionnel© » et, j’enseigne comment l’utiliser.
Une autre interrogation est « Lorsque je connais l’événement et mon ressenti qui
me font souffrir, qu’est-ce que je fais pour le changer? » J’ai mis au point trois
exercices que j’ai nommés :
1) L’exercice du pédalier de la bicyclette©
2) L’exercice des 12 secondes©
3) L’empreinte émotionnelle©
Tous ces exercices ont été conçus pour travailler plus efficacement avec la loi
d’attraction.
La rapidité auxquels les changements se passent est saisissante. Le tout se fait
en douceur, sans heurts et dans le respect de son entourage.
Mon livre intitulé « Décodage psychosomatique des maladies et comportements
connexes », Éditions Quintessence, ISBN 978-2-913281-70-7 et mon « Précis de
décodages biologique et comportemental des malaises et maladies » qui est une
édition thérapeutique maison de plus de 1100 pages contiennent tout ce que la
personne ne veut pas et devient un outil précieux pour démarrer le processus de
changement. Par exemple, une personne qui souffre d’hypothyroïdie vit de
l’impuissance. C’est ce qu’elle ne veut pas. Après, elle doit déterminer ce qu’elle
veut et, garder son point d’attraction sur son choix. J’enseigne également
l’importance du point d’attraction et comment l’utiliser dans la vie quotidienne.
Mon intention est que le complément que j’ai découvert puisse contribuer à
rendre la Biologie Totale des Êtres Vivants encore plus performante afin qu’elle
puisse un jour être acceptée de tous et faire partie de votre vie quotidienne
comme elle en fait partie de la mienne.
En terminant, j’appelle à l’unification et puissiez vous faire un avec le tout. Je
vous remercie d’avoir pris le temps de lire cet article et j’espère que ceci fera son
chemin dans le cœur et la conscience de chacun d’entre vous.
Gracieusement,
Daniel Miron
[email protected]
Auteur, conférencier et formateur
LIVRES
Pour le livre de « Décodage Psychosomatique des maladies et comportements
connexes », consultez le lien
suivant http://www.alchymed.com/auteur/biblio.asp?ID_Auteur=1716
Pour le « Précis de décodages biologique et comportemental des malaises et
maladies », édition février 2006, consultez le lien suivant pour visualiser un
extrait : http://www.dmjc.ca/?page=articles/art2.html