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J O U R N É E I N T E R N AT I O N A L E D E L A PA I X
LA
JOURNÉE INTERNATIONALE DE LA PAIX
GUERRE D'ESPAGNE
DIRECTION DE LA COMMUNICATION
Collectif pour la culture de la paix
01 79 61 63 10
LA
[email protected]
GUERRE D'ESPAGNE
D’HIER À AUJOURD’HUI,
VIVE LA DÉMOCRATIE !
MÉDIATHÈQUE BORIS VIAN
25, avenue Franklin-Roosevelt
http://mediatheque.ville-chevilly-larue.fr
THÉÂTRE ANDRÉ MALRAUX
102, avenue du Général de Gaulle
www.theatrechevillylarue.fr
SERVICE DOCUMENTATION - ARCHIVES
Relais mairie Larue  55, boulevard Jean Mermoz
doc.archives@ville-chevilly-larue
01 45 60 19 90
01 41 80 69 60
01 45 60 18 33
illustration de couverture : ©Musée de la Résistance nationale de Champigny-sur-Marne
DU
21 30 SEPTEMBRE 2016
AU
GUERRE
D'ESPAGNE
LA
L’Histoire éclaire
notre mémoire collective.
À la lumière du passé, affirmer haut
et fort notre attachement à la démocratie entre en résonnance avec le
combat des républicains espagnols et
des Brigades internationales. La lutte
anti-fasciste, portée par la jeunesse
d’alors, criante d’actualité, anime les
cœurs et les esprits
d’hier à aujourd’hui.
Dans la cadre de la Journée
internationale de la paix,
Chevilly-Larue célèbre les valeurs
fondamentales de la démocratie.
Un hommage aux combattants
volontaires, à leur idéal de liberté.
Universel et intemporel
du XXe au XXIe siècle.
EXPOSITION À LA MÉDIATHÈQUE BORIS VIAN
DU
21 AU 30 SEPTEMBRE
"Levés avant le jour, les Brigades
internationales de l’Espagne à la
Résistance"
conçue par l’Office national des anciens combattants et victimes de
guerre (ONACVG) et l'association des Amis des combattants en
Espagne Républicaine (ACER)
Revisitez l’histoire de ces volontaires de
toutes nationalités venus en Espagne, en
juillet 1936, pour défendre la République
après le putsch du général Franco. Au sein
de l’armée républicaine, ils constituent un
appui décisif dans la défense de Madrid, la
bataille de l’Èbre ou les combats de Catalogne. Parmi eux : Georges Orwell, André
Malraux ou Simone Weil. Après la défaite,
exilés en France, beaucoup s’engagent dans
l’armée française et la Résistance. La mémoire
de leur combat a longtemps été oubliée.
En France, il a fallu attendre 1996 pour la
reconnaissance du titre d’ancien combattant.
Repères
> La guerre civile espagnole : 986 jours de combat > 1 million de morts
> Les Brigades internationales : 32 000 à 35 000 combattants antifascistes > 15 000 morts
> L’épopée des Brigades internationales : 18 juillet 1936 > soulèvement militaire du Général Franco :
début de la guerre civile espagnole
> 12 octobre 1936 : arrivée du 1er contingent des Brigades internationales à Figueras :
500 Français, Allemands, Hongrois, Bulgares, Yougoslaves
> 22 octobre 1936 : création officielle par décret des Brigades internationales
> 15 novembre 1938 : adieux des Brigades internationales sur les ramblas de Barcelone
> 28 mars 1939 : chute de Madrid : Franco, nommé Caudillo, y installe son gouvernement
DIMANCHE
25 SEPTEMBRE
SAMEDI 24 SEPTEMBRE
Vernissage de l’exposition
à 17 h
Visite commentée par Claire Rol-Tanguy,
Secrétaire générale de l'ACER
Conférence-débat
L’épopée des Brigades internationales
La naissance du photojournalisme
Avec la participation de :
 Michel Lefèbvre, journaliste au Monde
auteur de Kessel, Moral : deux reporters
dans la guerre d’Espagne (Tallandier, 2006), de
Brigades internationales, images retrouvées
avec Rémi Skoutelsky (Seuil, 2003) et de Robert Capa : traces d’une légende (éd. de la
Martinière, 2011) avec Bernard Lebrun.
 Rémi Skoutelsky, historien, chercheur
au Centre d'histoire sociale du XXe siècle à
l'université Paris I, auteur de L'Espoir guidait
leurs pas (Grasset, 1998).
15h30

place de l'Église.
Dévoilement des plaques
à la mémoire de Gabriel Rouge et John
Nicolétis. Un hommage aux Chevillais
investis aux côtés de l’armée républicaine
espagnole.
Gabriel Rouge s’engage le 28 novembre
1936 dans la 13e brigade internationale.
Blessé au combat, il meurt à l’âge de 21
ans à l’hôpital de Benicassim.
John Nicolétis, polytechnicien et ingénieur chimiste, effectue quatre missions
de conseiller technique en explosifs pour
le gouvernement républicain espagnol.
Il entre dans la Résistance et cache son ami
juif, le sculpteur chevillais Morice Lipsi.
17h

au Théâtre André Malraux
Projection
La mémoire dans la chair
de Dominique Maillet, 2010, 1h44.
Tomás, après 15 ans d’exil, revient en
Espagne pour les obsèques de son père,
un combattant républicain de la première
heure capturé par le régime de Franco,
qui vient de finir ses jours en prison.
En novembre 1975, à l’époque de l’agonie
du Caudillo, cuisent et recuisent les vengeances du passé dans un pays encore
conservateur, aux portes de la Movida,
où l’Histoire bascule.
Entrée gratuite