Assemblée Générale - La Communauté de Communes Amfreville la
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Assemblée Générale - La Communauté de Communes Amfreville la
COMPTE RENDU CONSEIL COMMUNAUTAIRE Du 21 SEPTEMBRE 2016 LE 21 SEPTEMBRE DEUX MIL SEIZE Les délégués de la Communauté de Communes, dûment convoqués, se sont réunis en Conseil Communautaire au siège de la Communauté de Communes d’AMFREVILLE LA CAMPAGNE, sous la présidence de Monsieur Fernand LENOIR. Membres en exercice : 47 Suffrages exprimés : 33 Présents avec droit vote: 28 AMFREVILLE SAINT AMAND : Françoise BOURGUEL FOUQUEVILLE : Didier LEMOINE LE BOSC DU THEIL : Etienne CALLOUET LA HARENGERE : Fernand LENOIR, Catherine REBOURSIERE LA HAYE DU THEIL : Paulette DEMAEGDT MANDEVILLE : Dominique MEDAERTS ST CYR LA CAMPAGNE : José DA SILVA NETO ST GERMAIN DE PASQUIER : Laurence LAFFILLE ST OUEN DE PONTCHEUIL : Daniel DUVAL ST PIERRE DU BOSGUERARD : Vincent MOENS, Anne STAB LA SAUSSAYE : Isabelle STIEVENARD, Didier GUERINOT LE THUIT DE L’OISON : Gilbert DOUBET, André ODIENNE, Gérard LESUEUR, Christine VAN DUFFEL, Jean MAUGER, Anne DEVAUX, Béatrice AUBIN, Jean BARRIERE, Jean Louis BLONDEAU, Franck BERTIN TOURVILLE LA CAMPAGNE : Hugues BOURGAULT, Ange DIAZ VRAIVILLE : Jacky PAUMIER, Hervé GAMBLIN Pouvoirs : 5 M. ARTAUD délégué de AMFREVILLE SAINT AMAND à Mme BOURGUEL M. DEBUS, délégué de AMFREVILLE SAINT AMAND, à M. LEMOINE M. GUILBERT, délégué de SAINT CYR LA CAMPAGNE, à M. DA SILVA NETO M. LEBRETON, délégué de SAINT MESLIN DU BOSC à M. LENOIR M. HAUDRECHY, délégué de SAINT PIERRE DU BOSGUERARD, à Mme STAB =================== Désignation d’un secrétaire de séance Article 14 du règlement intérieur, « le Président nomme un membre du Conseil Communautaire pour remplir les fonctions de secrétaire. M. PAUMIER, Délégué Communautaire de la commune de VRAIVILLE, se propose comme secrétaire de séance, il lui sera adressé le Compte rendu pour modification et / ou validation. Approbation du dernier compte rendu du Conseil Communautaire du 22 Juin 2016. M. Fernand LENOIR, Président, demande aux élus communautaires l’approbation du compte rendu du Conseil Communautaire du 22 juin 2016. Le Compte rendu du Conseil Communautaire du 22 juin est approuvé à l’unanimité. 1 DELEGATION RESSOURCES COMPTABILITE Décisions modificatives SUR BUDGET PRINCIPAL Décision modificative N° 1 Création d’un conduit de cheminée dans la case N° 185 J du village d’artisans pour un montant de 3 485.03 € Investissement Dépenses Programme 100 (Contrat enfance) Article 2235 (Installations générales) Analytique 16 - 3 485.03 € (ALSH Jeunes) Investissement Dépenses Programme 111 (Village d’Artisans) Article 2235 Analytique 9C + 3 485.03 € (Village d’artisans) A l’unanimité, les élus acceptent cette décision modificative. Décision modificative N° 2 Pour règlement du Décompte Général Définitif de la société SOLUTION pour la construction du Village Artisan de Thuit Anger pour un montant de 1780.00 €. Investissement Dépenses Opération 111 (Village d’Artisans) Article 2315 - 1780.00 € Investissement Dépenses OPFI Développement économique Article 276358 + 1780.00 € A l’unanimité, les élus acceptent cette décision modificative. Décision modificative N° 3 Pour régler les frais de mission des agents du pôle enfance Jeunesse, Vie associative Fonctionnement Dépenses Article 60632 (Fourniture de petit équipement) Analytique 17F - 300.00 € (Extra Scolaire Thuit Signol) Fonctionnement Dépenses Article 6256 (Mission) Analytique 17F + 300.00 € (Extra Scolaire Thuit Signol) A l’unanimité, les élus acceptent cette décision modificative. Décision modificative N° 4 Suite à la contraction de l’emprunt de 90 000 €, pour l’achat et l’installation d’une climatisation dans la case N° 185 H du village d’artisans, le Conseil Communautaire doit prendre une décision modificative pour le montant des frais de dossier à hauteur de 75,00 € et pour le règlement des échéances. 2 Fonctionnement Dépenses Article 611 (Contrat de prestation de services) Analytique 999 - 260.00 € (Global) Fonctionnement Dépenses Article 627 (Services bancaire et assimilés) Analytique 9C + 75.00 € (Village d’artisans) Article 66111 (Intérêts à régler à l’échéance) Analytique 9C + 185 € Investissement Dépenses OPFI Article 1641 Analytique 9C + 2 162 € Programme 95 (Bassins Versants) Article 2031 (Frais d’étude) Analytique 6 - 2 162 € (Oison) A l’unanimité, les élus acceptent cette décision modificative. Décision modificative N° 5 Afin de régler deux factures d’Assistance à Maîtrise d’Ouvrage concernant l’isolation du gymnase et des vestiaires de foot de Saint Pierre des Fleurs. Débit Programme 95 (Bassins versants) Article 2031 (Frais d’étude) Analytique 6 - 4 812.00 € (Oison) Crédit Programme 103 (Gymnase Michel Gomez) Article 2031 Analytique 30 C + 2 844.00 € (Salle des sports Michel Gomez) Programme 106 (Vestiaire Foot St Pierre des Fleurs) Article 2031 Analytique 30 E + 1 968.00 € (Vestiaires St Pierre des Fleurs) A l’unanimité, les élus acceptent cette décision modificative. Décision modificative N° 6 Afin de régler les factures liées à l’AMO fusion, le Conseil communautaire doit délibérer sur la proposition de la DM suivante : Fonctionnement Dépenses Article 61523 (Voie et réseaux) Analytique 2 - 20 000.00 € (Voirie) Article 023 (Virement à la section investissement) Analytique 1E + 20 000.00 € (Direction générale) Investissement Recette OPFI Article 021 (Virement de la section d’exploitation) Analytique 1 E + 20 000.00 € Investissement Dépenses Programme 119 Article 2032 (Frais de recherche et de développement) Analytique 1E + 20 000.00 € A l’unanimité, les élus acceptent cette décision modificative. 3 Décision modificative N° 7 Suite à la renégociation de l’emprunt E 27 d’un montant initial de 500 000.00 € contracté en mai 2013 auprès du Crédit Agricole et renégocié en juin 2016, il convient de prendre la décision modificative suivante : Fonctionnement Dépenses Article 64111 (Rémunération principale) Analytique 999 - 19 386.97 € (Globlal) Article 66111 (Intérêts à régler à l’échéance) Analytique 9 + 4 317.81€ (Développement économique) Article 6682 (Indemnités pour réaménagement d’emprunt) Analytique 9 + 15 069.16 € Investissement Dépenses OPFI Article 1641 (Emprunt en euros) + 431 781.06 € Analytique 9 Programme 111 (Village d’artisans) Article 2315 (Installation, Matériel et outillage) Analytique 9 + 19 386.97 € Investissement Recettes OPNI Article 1641 (Emprunt en euros) Analytique 9 + 451 168.03 € A l’unanimité, les élus acceptent cette décision modificative. Décision modificative N° 8 Suite aux régulations des amortissements après mise à jour de l’état de l’actif de la collectivité avec la trésorerie, les décisions modificatives suivantes sont nécessaires : SUR LE BUDGET GENERAL Dépenses de fonctionnement Recettes de fonctionnement Article 611 - 7 625.63 € Article 6811 + 7 625.63 € SUR LE BUDGET GENERAL Dépenses d’investissement Recettes d’investissement Article 2315 Programme 95 + 7 625.63 € Article 28051 + 273.00 € Article 28135 + 873.34 € Article 281571 + 10 661.47 € Article 28182 + 518.26 € Article 28183 + 4771.26 € Article 28188 – 9 471.70 € A l’unanimité, les élus acceptent cette décision modificative. BUDGET ANNEXE SPANC Décision modificative N°9 Afin de pouvoir régler les factures du SITEUR (de l’année 2016), les interventions futures de l’entreprise Delannoy, les factures de la Métropole de Rouen et pour régler les factures de vêtements de travail, le Conseil Communautaire doit prendre une décision modificative à hauteur de 10 000.00 € comme ci-dessous : 4 SUR LE BUDGET ANNEXE SPANC Fonctionnement Dépenses Fonctionnement Recette Article 61558 (Autres biens mobiliers) Article 758 + 5 951.96 € Analytique C 3 + 10 000.00 € (Part du budget général) (C3 Entretien) Article 6066 (Carburant) Analytique C1 - 1 000.00 € (Hydrocureur) Analytique C2 - 1 500.00 € (Saxo) Article 61551 (Matériel roulant) Analytique C1 - 2 500.00 € Article 60226 (Vêtement de travail) + 551.96 € Article 6262 (télécommunication) + 400.00 € SUR LE BUDGET GENERAL Fonctionnement Dépenses Article 657364 + 5 951.96 € (Part du budget principale sur budget annexe) Article 611 (Contrat et prestation de services) Analytique 999 - 5 951.96 € A l’unanimité, les élus acceptent cette décision modificative. BUDGET ANNEXE SAD Décision modificative N°10 Les inter-vacations ne seront pas mises en place en 2016, le Conseil Communautaire décide de retirer les crédits alloués à ces dernières, pour diminuer la part du budget principal dans le budget SAD. SUR LE BUDGET SAD Dépenses de fonctionnement Recettes de fonctionnement Article 6332 - 51.00 € Article 7751 - 14 955.00 € (Allocation logement) (Quote part budget principale) Article 64111 - 7 071.00 € (Rémunération principale) Article 64131 - 5 556.00 € (Rémunération principale) Article 64511 - 559.00 € (Cotisations URSSAF) Article 64513 - 515.00 € (Cotisation aux caisses de retraite) Article 64514 - 808.00 € (Cotisation à l’ASSEDIC) Article 64548 - 395.00 € (Cotisations aux autres organismes) SUR LE BUDGET GENERAL Dépenses de fonctionnement Recettes de fonctionnement Article 657364 -14 955.00 € (A caractère commercial et industriel) Article 611 (Contrat prestations de services) Analytique 999 + 14 955.00 € A l’unanimité, les élus acceptent cette décision modificative. 5 Fête des Associations : Pour l’organisation de la Fête des Associations sportives et culturelles qui a eu lieu le samedi 10 septembre 2016, la société DESK, nous verse une subvention de 100,00 €. Imputation Chapitre 77 (Produit exceptionnel) Article 7718 (Autre produit exceptionnel sur opération de gestion) Analytique 11 (Vie associative) Il est demandé aux membres du Conseil Communautaire d’autoriser le Président à accepter cette subvention. A l’unanimité, les élus acceptent cette subvention. Annulation de titres : - Pour le Pôle Enfance, Jeunesse et Vie associative, annuler la facture N° F1512000672 de M. MOUCHARD Sandra, 3 Rue de la ville Neuve, 27370 St Didier des Bois pour un montant de 23,00 € (Prestation facturée à tort). Imputation Chapitre 67 (Charges exceptionnelles) Article 678 (Titres annulés sur exercices antérieurs) Analytique 17HK (TAP St Didier des Bois) - Annuler la facture N° F1512000105 de M.BRETON Anthony, 12 Rue des Forrières du Mont, 27370 St Amand des Hautes Terres pour un montant de 25.00 €. (Prestation facturée à tort) Imputation Chapitre 67 (Charges exceptionnelles) Article 678 (Titres annulés sur exercices antérieurs) Analytique 17HA (TAP Amfreville) Les écritures seront inscrites et passées sur le budget 2016. Il est demandé aux membres du Conseil Communautaire d’autoriser le Président à annuler ces titres. A l’unanimité, les élus autorisent ces annulations de titre. RESSOURCES HUMAINES Mise en place du RIFSEEP : Considérant qu’il y a lieu d’appliquer le régime indemnitaire tenant compte des fonctions, des sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel (RIFSEEP). Le Président propose à l’assemblée délibérante d’instaurer le RIFSEEP et d’en déterminer les critères d’attribution. Le RIFSEEP comprend 2 parts : L’indemnité de fonctions, de sujétions et d’expertise liée au poste de l’agent et à son expérience professionnelle Le complément indemnitaire versé selon l’engagement professionnel et la manière de servir de l’agent. 6 I – Les bénéficiaires Le présent RIFSEEP est attribué aux agents titulaires, stagiaires ou non titulaires, occupant un poste permanent, ou assurant le remplacement d’un agent occupant un poste permanent de la Communauté de Communes exerçant les fonctions du cadre d’emplois concerné ; ou non titulaires ayant auparavant exercé sous contrat de droit privé au sein de la Communauté de Communes. Les cadres d’emplois concernés par le RIFSEEP sont : Les attachés Les ingénieurs Les rédacteurs Les techniciens Les animateurs Les agents de maitrise Les adjoints administratifs Les agents sociaux Les adjoints d’animations Les adjoints techniques II – les indemnités horaires pour travaux supplémentaires Les agents occupant un emploi à temps complet pourront bénéficier des Indemnités Horaires pour Travaux Supplémentaires instaurées par le décret n° 2002-60 du 14 janvier 2002, dès lors que leur grade est compatible avec le versement de ces indemnités. Le versement de ces indemnités est limité à un contingent mensuel de 25 heures, toute catégorie et par agent confondu. Lorsque des circonstances exceptionnelles le justifient et pour une période limitée, ce contingent mensuel peut être dépassé sur décision de l'Autorité Territoriale selon les modalités instaurées par le décret n° 2002-60 du 14 janvier 2002. III – Mise en place de L’IFSE (Indemnité de fonctions, de sujétions et d’expertise) L’IFSE est une indemnité liée au poste de l’agent et à son expérience professionnelle. Les groupes de fonctions sont déterminés à partir de critères professionnels tenant compte : Des fonctions d’encadrement, de coordination, de pilotage ou de conception, notamment au regard de : o La responsabilité d’encadrement et niveau d’encadrement dans la hiérarchie o La responsabilité de coordination o La responsabilité de projet ou d’opération o La responsabilité de formation d’autrui o L’ampleur du champ d’action (en nombre de missions, de valeurs) o L’influence du poste sur les résultats De la technicité de l’expertise ou de la qualification nécessaire à l’exercice des fonctions au regard de : o Niveau de qualification requis : connaissances, complexité et difficulté des missions o Niveau d’autonomie et d’initiative demandée o La simultanéité des tâches, des dossiers ou des projets à assurer o La diversité des domaines de compétences liées au poste o L’influence et la motivation d’autrui Des sujétions particulières ou du degré d’exposition du poste au regard de son environnement professionnel au regard de : o Risques d’accident et de maladie o L’effort physique, tension nerveuse, mentale demandé o La valeur du matériel utilisé, des dommages, o La responsabilité pour la sécurité d’autrui o La responsabilité financière o Les contraintes horaires ou d’exécutions liées au poste o Le niveau de relations internes et/ou externes o Le niveau de confidentialité requis 7 Les groupes de fonctions sont hiérarchisés, le groupe 1 devant être réservé aux postes les plus lourds. Le Président propose de fixer les groupes et de retenir les montants maximums mensuels, cidessous : Fonctions / Poste de la collectivité Montants mensuels maximums de l’IFSE/AGENT G1 Direction de la collectivité 2450 G2 Directeur de pôle de services 1800 G3 Directeur d’un pôle 1400 Directeur d’un pôle 1400 Groupes A - Attachés A - Ingénieurs G1 B – Rédacteurs / Animateurs G1 Directeur d’un pôle 1400 G2 Directeur adjoint d’un pôle 1000 G3 Directeurs de structure Agents avec expertise 850 G1 Directeur d’un pôle 990 G2 Directeur adjoint d’un pôle G3 Agents techniques avec expertise B - Techniciens 960 945 C - Agents de maitrise G1 Directeur de pôle 945 G2 Agents de maitrise avec expertise 850 C - Adjoints administratifs G1 Assistante de direction 945 G2 Agents administratifs avec expertise 850 8 G3 Agent administratif qualifiée 650 G1 Agent social qualifiée 650 G2 Agent social 450 C - Agents sociaux C - Adjoints d’animation G1 Directeur de structure 850 G2 Directeur adjoint de structure 650 G3 Agent d’animation 450 C - Adjoints techniques G1 Agents techniques avec expertise 850 G2 Agent technique qualifiée 650 G3 Agent technique 450 L’IFSE pourra être modulée en fonction de l’expérience professionnelle. Il est proposé de retenir les critères de modulation suivants : Le parcours professionnel de l’agent Sa capacité à exploiter l’expérience acquise quelle que soit son ancienneté (diffusion de son savoir à autrui, force de proposition dans un nouveau cadre…) Les formations suivies (liées au poste, transversales, préparation concours et examens…) La connaissance de son environnement de travail L’approfondissement des savoirs techniques La réalisation d’un travail exceptionnel Le montant de l’IFSE peut faire l’objet d’un réexamen au regard de l’expérience professionnelle : En cas de changement de fonctions ou d’emploi ; En cas de changement de grade ou de cadre d’emplois à la suite d’une promotion, Au moins tous les 4 ans, en l’absence de changement de fonctions et au vu de l’expérience acquise par l’agent. Périodicité et modalités de versement de l’IFSE : L’IFSE est versée tous les mois dès l’entrée en fonction de l’agent. Son montant est proratisé en fonction du temps de travail. Pour ce qui concerne le cas des agents relevant du cadre d’emploi des agents sociaux et exerçant leurs fonctions comme auxiliaires de vie (qualifiées ou non), ceux-ci verront l’IFSE calculée sur le volume d’heures réellement travaillées. Exclusivité : L’I.F.S.E. et le C.I. sont exclusifs de tout autre régime indemnitaire de même nature. Le R.I.F.S.E.E.P. ne pourra se cumuler avec : 9 la prime de fonction et de résultats (PFR), l’indemnité forfaitaire pour travaux supplémentaires (I.F.T.S.), l’indemnité d’administration et de technicité (I.A.T.), l’indemnité d’exercice de missions des préfectures (I.E.M.P.), la prime de service et de rendement (P.S.R.), l’indemnité spécifique de service (I.S.S.), la prime de fonction informatique L’I.F.S.E. est en revanche cumulable avec : l’indemnisation des dépenses engagées au titre des fonctions exercées (exemple : frais de déplacement), les dispositifs d’intéressement collectif, les indemnités différentielles complétant le traitement indiciaire et la GIPA les sujétions ponctuelles directement liées à la durée du travail (heures supplémentaires, astreintes, …), la prime de responsabilité versée aux agents détachés sur emploi fonctionnel. Attribution : L’attribution individuelle sera décidée par l’autorité territoriale et fera l’objet d’un arrêté. IV – Le complément indemnitaire annuel En plus de l'IFSE, les fonctionnaires pourront bénéficier d'un complément indemnitaire annuel tenant compte de l'engagement professionnel et de la manière de servir, appréciés lors de l’entretien professionnel annuel. Le complément indemnitaire sera déterminé en tenant compte des critères suivants : Valeur professionnelle de l’agent Investissement personnel de l’agent dans l’exercice de ses fonctions Son sens du service public Sa capacité à travailler en équipe et sa contribution au collectif de travail La connaissance de son domaine d’intervention Sa capacité à s’adapter aux exigences du poste, à coopérer avec les partenaires internes ou externes, comme son implication dans les projets du service ou sa participation active à la réalisation des missions rattachées à son environnement professionnel. Détermination du montant annuel : Le complément indemnitaire annuel est de 500€ maximum par an, quelque soit la fonction occupée et le grade de l’agent. Il n'est pas automatiquement reconductible d’une année sur l’autre car il dépend de l’évaluation professionnelle. Périodicité et modalité du versement du CIA : Le CIA est versé annuellement. Pour les agents stagiaires et titulaires, son montant est proratisé en fonction du temps de travail et du temps de présence dans l’établissement, et au bout d’un an de présence dans l’établissement, au moment de l’entretien professionnel pour les agents non titulaires. Pour ce qui concerne le cas des agents relevant du cadre d’emploi des agents sociaux et exerçant leurs fonctions comme auxiliaires de vie (qualifiées ou non), ceux-ci verront le CIA calculé sur le volume d’heures réellement travaillées. Exclusivité : Le complément indemnitaire annuel est exclusif de toutes autres indemnités liées à la manière de servir. Attribution : L’attribution individuelle sera décidée par l’autorité territoriale et fera l’objet d’un arrêté. 10 DISPOSITIONS COMMUNES V - Pour les agents qui intègrent la collectivité en cours d’année, l’IFSE sera versée intégralement dès l’entrée en fonction de l’agent. Le complément indemnitaire annuel sera versé la première année au prorata du nombre de mois de présence. VI – Pour les agents qui quittent la collectivité en cours d’année, l’IFSE ne sera plus due dès le départ de l’agent. Le CIA sera versé au prorata du nombre de mois de présence. Toutefois, lorsque l’agent part à la retraite, l’intégralité du CIA pourra être versée, dès lors qu’il aura au moins été présent sur les 6 premiers mois de l’année. VII - Les conditions de versement du complément indemnitaire annuel Personnels concernés : Au prorata du temps de présence et du temps de travail dans l’établissement pour les agents stagiaires et titulaires. Au bout d’un an de présence dans l’établissement, et au prorata du temps de travail au moment de l’entretien professionnel pour les agents non titulaires. Conditions de versement du CIA : Le versement de la prime est conditionné à 3 critères : - L’engagement professionnel et la manière de servir au professionnel (comme indiqué au chapitre IV) - l’abattement pour congés maladie - la suppression pour cause de sanction disciplinaire regard de l’entretien Des dérogations à la procédure d’abattement sont néanmoins prévues comme indiquées cidessous : 1. L’engagement professionnel et la manière de servir : Celui-ci est apprécié au regard des éléments indiqués sur le tableau d’évaluation des compétences professionnelles du compte rendu de l’entretien professionnel annuel. 2. L’abattement pour congés maladie : Un abattement pour congés maladie (arrêts continus ou discontinus) sera appliqué, selon le nombre de jours calendaires d’absences, consécutifs ou non, comme suit : 100 % du montant attribué de 0 à 15 jours d’absence, 75 % du montant attribué de 16 à 30 jours d’absence, 50 du montant attribué de 31 à 45 jours d’absence, 25 % du montant attribué de 46 à 60 jours d’absence, 0 au-delà de 60 jours d’absence, A la demande des représentants des agents du Comité Technique : En cas d’un arrêt de travail pour congés de maladie continu supérieur à 15 jours, l’agent qui n’aura eu aucune absence pour congé de maladie (hors conditions de non abattement exposées ci-dessous) sur les 2 années précédentes à son évaluation annuelle, ne subira pas d’abattement sur l’IFSE mensuelle, comme sur le CIA. L’agent placé en congé de longue maladie, de congé de grave maladie ou de congé de longue durée, et ayant conservé ses droits à prime (voir ci-dessous les conditions de non abattement) ne percevra le CIA que sur la première année. 3. La suppression pour cause de sanction disciplinaire : Toute sanction disciplinaire, intervenue en cours d’année, entraîne obligatoirement la suppression du versement du CIA. Les conditions de non abattement du CIA : L’abattement sur le CIA ne sera pas appliqué dans les cas suivants : 11 - en cas d'autorisations spéciales d'absence - en cas de congés maternité, paternité, d'adoption - en cas d’un arrêt lié à un accident de service ou de travail, d’une maladie professionnelle, - en cas d’un arrêt maladie lié à la maternité (à partir de la déclaration de grossesse à l’employeur) ou d’un arrêt lié à l’accompagnement de fin de vie du conjoint, d’un ascendant ou descendant direct ou d’un arrêt lié à une hospitalisation (un bulletin d’hospitalisation sera demandé). - en cas d’arrêt lié à une affection visée aux articles L.324-1 et R.613-69 du code de la Sécurité Sociale. Une attestation du médecin pourra être demandée. VIII - Le versement de l’IFSE mensuelle est assujetti aux mêmes conditions d’abattement pour congés maladie et de non abattement que celles du complément indemnitaire annuel, énoncés précédemment. X - La période de référence pour l’application du barème dégressif est fixée comme suit : - pour l’IFSE mensuelle : du 1er janvier au 31 décembre de l’année en cours. L’agent placé en congé maladie au 1er janvier de l’année et subissant un abattement de son régime indemnitaire ne peut prétendre à faire valoir un nouveau décompte qu’après reprise du travail. - pour le CIA : période correspondant aux 12 mois précédent l’entretien annuel d’évaluation. XI - En finalité, le régime indemnitaire suit le sort du traitement en cas de réduction de traitement pour congés de maladie. V – Clause de revalorisation Les montants maxima évoluent selon les mêmes conditions que les montants applicables aux fonctionnaires de l’Etat. VI - Conformément aux dispositions de l'article 88 alinéa 2, dans la loi du 26/01/1984, les agents qui subiraient une baisse de leur régime indemnitaire, dans le cadre de la mise en place de nouvelles dispositions réglementaires, pourront bénéficier à titre individuel du maintien du montant indemnitaire dont ils bénéficiaient en application des dispositions réglementaires intérieures. Date d'effet : Les dispositions de la présente délibération prendront effet au 1er octobre 2016. La ou les délibérations instaurant le régime indemnitaire antérieurement sont modifiées ou abrogées en conséquence. Les crédits correspondants seront prévus et inscrits au budget. Vu l’avis du Comité Technique en date du 20 septembre 2016 relatif à la mise en place des critères professionnels liés aux fonctions et à la prise en compte de l’expérience professionnelle en vue de l’application du RIFSEEP aux agents de la collectivité, avec 2 voix pour et 4 abstentions. Après avoir exposé, le Président demande au Conseil Communautaire: D’instaurer l’IFSE dans les conditions indiquées ci-dessus D’instaurer le complément indemnitaire dans les conditions indiquées ci-dessus (le cas échéant) de prévoir la possibilité du maintien, aux fonctionnaires concernés à titre individuel, de leur montant antérieur plus élevé en application de l’article 88 de la loi du 26 janvier 1984 Que les primes et indemnités seront revalorisées automatiquement dans les limites fixées par les textes de référence Que les crédits correspondants seront calculés dans les limites fixées par les textes de référence et inscrits chaque année au budget Les élus communautaires autorisent le Président à mettre en place du RIFSEEP. 12 Créations et suppressions de postes : Il est proposé la création de postes suivants : Au 1er octobre 2016 : - 3 postes d’adjoints techniques 1ère classe Suite réussite examen professionnel Il est proposé la suppression de postes suivants : Au 1er septembre 2016 : - 1 poste d’attaché principal Au 1er octobre 2016 : - 2 postes d’adjoints techniques 2ème classe A l’unanimité, les élus communautaires autorisent la création et la suppression de ces postes. Régime indemnitaire des cadres d’emplois des éducateurs jeunes enfants et des auxiliaires de puériculture Suite à la mise en place du RIFSEEP, au sein de la Communauté de Communes d’Amfreville la Campagne, il est demandé au Conseil Communautaire de redéfinir, au 1er octobre 2016, le régime indemnitaire institué au profit des agents titulaires ou non titulaires, occupant un poste permanent, ou assurant le remplacement d’un agent occupant un poste permanent, de la Communauté de Communes, relevant des cadres d’emploi des éducateurs de jeunes enfants et des auxiliaires de puériculture. I - Les agents occupant un emploi à temps complet pourront bénéficier des Indemnités Horaires pour Travaux Supplémentaires instaurées par le décret n° 2002-60 du 14 janvier 2002, dès lors que leur grade est compatible avec le versement de ces indemnités. Le versement de ces indemnités est limité à un contingent mensuel de 25 heures, toute catégorie et par agent confondu. Lorsque des circonstances exceptionnelles le justifient et pour une période limitée, ce contingent mensuel peut être dépassé sur décision de l'Autorité Territoriale selon les modalités instaurées par le décret n° 2002-60 du 14 janvier 2002. II– Les agents relevant du cadre d’emploi éducateurs de jeunes enfants ou des auxiliaires de puériculture pourront percevoir et dans la mesure où leur grade est compatible avec son versement les indemnités suivantes : L’autorité territoriale fixera les montants applicables pour chacune de ces primes en fonction de la catégorie d’emploi de l’agent et en fonction de l’importance des sujétions engendrées par le service en charge, notamment en matière des connaissances spécialisées requises, de la notion d’effectif à encadrer, de gestion d’un service… L’indemnité forfaitaire représentative de sujétions et de travaux supplémentaires des éducateurs de jeunes enfants, définie par le décret n° 2012-1504 du 27 septembre 2012. L’autorité territoriale fixera le montant individuel en fonction de l’importance des critères énoncés précédemment. La prime forfaitaire mensuelle des auxiliaires de soins ou de puériculture, définie par le décret n° 98-1057 du 16 novembre 1998. Son montant évoluera dans les mêmes proportions que pour les agents de l’Etat. La prime de service définie par le décret n° 98-1057 du 16 novembre 1998. Cette prime sera liquidée de manière similaire aux primes versées aux agents des services techniques et administratifs. L’autorité territoriale fixera le montant applicable de cette prime en fonction de l’importance des sujétions engendrées par le service. La prime de service sera versée en deux parts : 13 - - une fraction qui sera liquidée mensuellement qui constitue un complément de salaire. L’autorité territoriale fixera le montant individuel en fonction de l’importance des critères énoncés précédemment. et une fraction annuelle d’un montant de 0 à 500 euros, modulée en fonction de la manière de servir tel que défini par le compte rendu de l’entretien professionnel annuel, en tenant compte des critères suivants : Valeur professionnelle de l’agent Investissement personnel de l’agent dans l’exercice de ses fonctions Son sens du service public Sa capacité à travailler en équipe et sa contribution au collectif de travail La connaissance de son domaine d’intervention Sa capacité à s’adapter aux exigences du poste, à coopérer avec les partenaires internes ou externes, comme son implication dans les projets du service ou sa participation active à la réalisation des missions rattachées à son environnement professionnel La prime spéciale de sujétions des auxiliaires de puériculture ou de soins, définie par le décret n° 98-1057 du 16 novembre 1998, sera versée mensuellement dans la limite des maxima règlementaires. L’Autorité territoriale fixera le montant individuel en fonction de l’importance des critères énoncés précédemment. L’indemnité de sujétions spéciales définie par le décret n° 98-1057 du 16 novembre 1998 sera versée mensuellement dans la limite des maxima règlementaires. L’Autorité territoriale fixera le montant individuel en fonction de l’importance des critères énoncés précédemment. DISPOSITIONS COMMUNES III – Concernant les primes versées mensuellement, les différents montants susmentionnés feront l’objet chaque année, au 1 er janvier, d’une revalorisation dans les mêmes proportions que l’indice 100, dès lors que les modalités des décrets correspondants le prévoient. IV - Pour les agents qui intègrent la collectivité en cours d’année, les indemnités versées selon une périodicité mensuelle seront versées intégralement dès l’entrée en fonction de l’agent. Les primes versées selon une périodicité annuelle seront versées la première année au prorata du nombre de mois de présence. V - Pour les agents qui quittent la collectivité en cours d’année, les indemnités versées selon une périodicité mensuelle ne seront plus dues dès le départ de l’agent. Les primes versées selon une périodicité annuelle seront versées au prorata du nombre de mois de présence. Toutefois, lorsque l’agent part à la retraite, l’intégralité de la prime pourra être versée, dès lors qu’il aura au moins été présent sur les 6 premiers mois de l’année. VI - Les conditions de versement de la part annuelle Personnels concernés ; Au prorata du temps de présence et du temps de travail dans l’établissement pour les agents stagiaires et titulaires. Au bout d’un an de présence dans l’établissement et au prorata du temps de travail, au moment de l’entretien professionnel pour les agents non titulaires. Conditions de versement de la prime annuelle : Le versement de la prime est conditionné à 3 critères : - l’engagement professionnel et la valeur de servir au regard de l’entretien professionnel (comme indiqué au chapitre II) 14 - l’abattement pour congés maladie la suppression pour cause de sanction disciplinaire Des dérogations à la procédure d’abattement sont néanmoins prévues comme indiqué cidessous : 1. L’engagement professionnel et la manière de servir : Le mérite est apprécié au regard des éléments indiqués sur le tableau d’évaluation des compétences professionnelles du compte rendu de l’entretien professionnel annuel. 2. L’abattement pour congés maladie : Un abattement pour congés maladie (arrêts continus ou discontinus) sera appliqué, selon le nombre de jours calendaires d’absences, consécutifs ou non, comme suit : 100 % du montant attribué de 0 à 15 jours d’absence, 75 % du montant attribué de 16 à 30 jours d’absence, 50 % du montant attribué de 31 à 45 jours d’absence, 25 % du montant attribué de 46 à 60 jours d’absence, 0 au-delà de 60 jours d’absence, A la demande des représentants des agents du Comité Technique : En cas d’un arrêt de travail pour congés de maladie continu supérieur à 15 jours, l’agent qui n’aura eu aucune absence pour congé de maladie (hors conditions de non abattement exposées ci-dessous) sur les 2 années précédentes à son évaluation annuelle, ne subira pas d’abattement sur la fraction mensuelle comme annuelle. L’agent placé en congé de longue maladie, de congé de grave maladie ou de congé de longue durée, et ayant conservé ses droits à prime (voir ci-dessous les conditions de non abattement) ne percevra la prime annuelle que sur la première année. 3. La suppression pour cause de sanction disciplinaire : Toute sanction disciplinaire, intervenue en cours d’année, entraîne obligatoirement la suppression du versement de la prime. Les conditions de non abattement de la prime : L’abattement sur la prime annuelle ne sera pas appliqué dans les cas suivants : - en cas d'autorisations spéciales d'absence - en cas de congés maternité, paternité, d'adoption - en cas d’un arrêt lié à un accident de service ou de travail, d’une maladie professionnelle, - en cas d’un arrêt maladie lié à la maternité (à partir de la déclaration de grossesse à l’employeur) ou d’un arrêt lié à l’accompagnement de fin de vie du conjoint, d’un ascendant ou descendant direct ou d’un arrêt lié à une hospitalisation (un bulletin d’hospitalisation sera demandé). - en cas d’arrêt lié à une affection visée aux articles L.324-1 et R.613-69 du code de la Sécurité Sociale. Une attestation du médecin pourra être demandée. VII - Le versement de la fraction mensuelle est assujetti aux mêmes conditions d’abattement pour congés maladie et de non abattement de la fraction annuelle, énoncés précédemment. VIII - La période de référence pour l’application du barème dégressif est fixée comme suit : - pour la fraction mensuelle : du 1er janvier au 31 décembre de l’année en cours. L’agent placé en congé maladie au 1er janvier de l’année et subissant un abattement de son régime indemnitaire ne peut prétendre à faire valoir un nouveau décompte qu’après reprise du travail. - pour la fraction annuelle : période correspondant aux 12 mois précédent l’entretien annuel d’évaluation. 15 IX - En finalité, le régime indemnitaire suit le sort du traitement en cas de réduction de traitement pour congés de maladie. X - Conformément aux dispositions de l'article 88 alinéa 2, dans la loi du 26/01/1984, les agents qui subiraient une baisse de leur régime indemnitaire, dans le cadre de la mise en place de nouvelles dispositions réglementaires, pourront bénéficier à titre individuel du maintien du montant indemnitaire dont ils bénéficiaient en application des dispositions réglementaires intérieures. Vu l’avis du Comité Technique en date du 20 septembre 2016 relatif à la mise en place des critères professionnels liés aux fonctions et à la prise en compte de l’expérience professionnelle en vue de l’application du RIFSEEP aux agents de la collectivité avec 2 voix pour et 4 abstentions. Date d’effet : Les dispositions de la présente délibération prendront effet au 1er octobre 2016. La ou les délibérations instaurant le régime indemnitaire antérieurement sont modifiées ou abrogées en conséquence. Les crédits correspondants seront prévus et inscrits au budget. Après exposé du Président, il est demandé au Conseil Communautaire de décider de redéfinir, au 1er octobre 2016, le régime indemnitaire institué au profit des agents titulaires ou non titulaires, occupant un poste permanent, ou assurant le remplacement d’un agent occupant un poste permanent, de la Communauté de Communes, relevant des cadres d’emploi des éducateurs de jeunes enfants et des auxiliaires de puériculture. A l’unanimité, les élus communautaires autorisent la création et la suppression de ces postes. DELEGATION CADRE DE VIE ENVIRONNEMENT Signature de l’avenant n° 1 au groupement de commande pour la collecte des ordures ménagères et des emballages ménagers Dans le cadre du groupement de commande pour le marché de collecte avec la Société DE RICHEBOURG, un avenant a été effectué pour modifier l’article 5 comme suit : Article 5 bis : le coordinateur adressera aux membres du groupement des demandes de remboursement mensuelles chiffrées et détaillées. Il est demandé aux membres du Conseil Communautaire d’autoriser le Président à signer l’avenant n°1 à la convention de groupement pour la collecte des ordures ménagères et des emballages ménagers. A l’unanimité, les élus communautaires autorisent le Président à la signature de l'avenant. Exonération de la Taxe d’Enlèvement des Ordures Ménagères L’article 1521-III. 1. du code général des impôts permet aux conseils municipaux des communes qui ont institué la TEOM, de décider, par délibération, d’exonérer totalement de la taxe les locaux à usage industriel ou commercial. 16 L’exonération est décidée par les organes délibérants des groupements de communes lorsque ces derniers sont substitués aux communes pour l’institution de la TEOM (article 1521-III. 3. du CGI). La SC Foncières Chabrière, Intermarché de Saint Pierre des Fleurs, faisant collecter ses déchets par la société VEOLIA demande l’exonération de sa Taxe d’Enlèvement des Ordures Ménagères pour l’année 2017 (9568 € en 2015). La délibération doit intervenir avant le 15 octobre d’une année pour être applicable à compter du 1er janvier de l’année suivante (art. 1639 A bis – II. 1 du CGI). Elle n’est applicable que pendant un an et devra donc être renouvelée chaque année, le cas échéant. Lors du Bureau Communautaire du 7 Septembre 2016, les élus ont demandé à ce que soit étudiée cette exonération en Commission Environnement. Vu la commission environnement du 19 septembre 2016, les élus ont voté en majorité contre l’exonération de la Taxe d’enlèvement des Ordures Ménagères. Mme VAN DUFFEL précise que suite au Comité syndical du SDOMODE de ce jour, seule la CDC de Brionne exonère les maisons de retraites avec mise en place de la redevance spéciale. Il est demandé au Conseil de ne pas exonérer la SC Foncières Chabrière, Intermarché de Saint Pierre des Fleurs de sa Taxe d’Enlèvement des Ordures Ménagères pour l’année 2017, ainsi que toute entreprise qui pourrait en faire la demande. Avec une abstention, à la majorité les élus communautaires décident de ne pas exonérer les entreprises de la Taxe d’Enlèvement des Ordures Ménagères pour l’année 2017. DELEGATION COHESION SOCIALE ENFANCE JEUNESSE SPORT ET VIE ASSOCIATIVE Adhésion des familles pour l’accueil jeunes Il est proposé aux membres du Conseil Communautaire de mettre en place une tarification supplémentaire sous forme d’adhésion annuelle pour les familles dont les enfants fréquentent le nouvel accueil jeunes. Cette tarification supplémentaire permettrait de comptabiliser plus d’heures de présence pour la CAF et augmenterait ainsi les versements des prestations de service. Cette adhésion peut très bien être symbolique (1€/an) ou plus conséquente. Il est demandé aux membres du Conseil Communautaire de mettre en place une tarification supplémentaire sous forme d’adhésion annuelle pour les familles dont les enfants fréquentent le nouvel accueil jeunes au tarif de 1€ par an. A l’unanimité les élus communautaires acceptent la mise en place de cette tarification supplémentaire pour l’accueil jeunes. M. GAMBLIN demande si cela permettra de diminuer le coût des familles pour les rythmes scolaires. Il ajoute que comparé aux tarifs de la CASE, les tarifs aux familles sont très chers. M. GUERINOT répond que cela ne concerne pas les rythmes scolaires mais l'accueil jeunes et que lors de la fusion, les tarifs seront unifiés pour l'ensemble des familles du territoire. 17 Avenant au Contrat Enfance Jeunesse de l’Accueil Jeunes Au vu du vif engouement des jeunes de 11 à 14 ans, suite à l’extension de l’accueil jeunes, la Communauté de communes a du demander à la CAF de l’Eure, l’augmentation du nombre de places par jour (de 24 à 36 places par jour). Afin de pouvoir rester dans le cadre du Contrat Enfance Jeunesse de la CAF, il est nécessaire de signer un avenant au contrat Enfance Jeunesse. Il est demandé au Conseil Communautaire d’autoriser le Président à signer un avenant au contrat CEJ avec la CAF de l’Eure. A l'unanimité, les élus communautaires autorise la signature de l'avenant au contrat CEJ avec la CAF de l’Eure. INFORMATIONS DIVERSES Modification des statuts Comme suite à la mise à jour du règlement Intérieur de la Communauté de Communes, l’article XIV des statuts à été modifié. Une copie des nouveaux statuts sera adressée par mail aux mairies. Restitution des documents financiers pour le Bureau d’Etude Calia M. FOUET informe les élus que certaines mairies n’ont pas retourné tous les documents dont la Cabinet CALIA CONSEIL a besoin pour travailler sur la fusion. Il est demandé aux élus de remonter l’information auprès des secrétaires de mairies. Constitution de groupes de travail thématiques Afin de pouvoir travailler sur les groupes de travail thématique, il est demandé de désigner trois élus pour les thématiques suivantes : - urbanisme – PLUI - voirie - équipements sportifs et culturels en intégrant les transports Scolaire Ces groupes de travail seront constitués de : - un membre du COPIL - un membre du Conseil Communautaire - un DGS - un technicien Les élus se prononçant sont : - urbanisme – PLUI : M. BOURGAULT - voirie : M. GAMBLIN - équipements sportifs et culturels en intégrant les transports Scolaire : M. GUERINOT Questions diverses Plan Local d’Urbanisme : M. BOURGAULT dit qu'il serait intéressant qu'il y ait un positionnement des équipes de travail de la fusion à ce sujet et demande que les communes finissent le travail demandé de mise en place du PLU sur leur commune. 18 M. FOUET précise que c'est pour cette raison que des réunions thématiques ont été demandées au bureau d'étude afin de pouvoir étudier tous ces points. Zone Développement Eolien : M. BOURGAULT informe que le conseil communautaire s'est positionné sur le développement de l’éolien et souhaiterait avoir la délibération. C.D.C.I. du 9 septembre 2016 : M. BOURGAULT souhaite revenir sur la décision qui a été prise par la CDCI. Il rappelle qu'un amendement a été déposé par la Communauté de Communes pour rester seule et regrette de ne pas avoir été sollicité au préalable sur l'amendement déposé. Il ajoute qu’il s'est rendu à la CDCI pour représenter les élus qui voulaient rester seuls. Il trouve que les propos tenus lors de la CDCI par Messieurs HAUDRECHY et VANHEULE à l’encontre de Monsieur LENOIR n’étaient pas corrects, voir diffamatoires et condamne ces propos. Pour que l’amendement soit validé il fallait la majorité, soit 32 voix et les élus ont voté à 30 voix. De plus, il met en doute le moyen de vote de la CDCI. M. LENOIR trouve que M. BOURGAULT a très bien résumé la réunion de la CDCI. Ajoute que la CASE ne paye que trois fois rien et que tout le bénéfice que l’on pouvait gagner est partit pour nous. M. BOURGAULT ajoute que les communes ont le choix de sortir du périmètre de la fusion et que pour sa part il se devait de représenter l’avis de sa commune et de son conseil municipal. M. FOUET précise que les communes qui souhaitent sortir du périmètre devront le faire l’année prochaine pour sortir au 1er janvier 2018. Mme VAN DUFFEL ajoute qu’elle ne comprend pas pourquoi M. BOURGAULT s’est présenté pour participer au COTECH Urbanisme PLU alors qu’il souhaite sortir du territoire. M. GAMBLIN précise que ce choix de participation est pour poursuivre la démarche de fusion jusqu'au bout, pour travailler ensemble et que le choix de sortie sera future. M. BOURGAULT ajoute que cela ne pâtira pas dans son implication dans le COTECH et qu’il travaille souvent dans des projets où il n’est pas forcément en accord. Mme STAB déplore que les élus aient été informé le 30 aout pour une fusion avec le Neubourg alors que l'amendement déposé était de rester seul. M. LENOIR informe que le vendredi précèdent, il y a eu une CDCI blanche ; Il a appris qu’il ne pouvait plus fusionner avec le Neubourg, son périmètre étant déjà défini. Il ne restait que la solution de rester seul. Mme STAB espère que l’intérêt de la CDC sera maintenu dans la fusion. M. LENOIR répond que les COTECH et COPIL ne sont pas effectués dans l’intérêt de nuire aux CDC mais pour les défendre et que sinon il n'y aurait pas d'intérêt à travailler dans des réunions jusqu'à 22 heures. Il ajoute que le travail sera maintenu jusqu'au 31 décembre. Les élus communautaires n’ayant pas d’autres questions, la séance est levée. Fin de la réunion : 18h50 19