(DVMB), Paris 16

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(DVMB), Paris 16
BIBLIOGRAPHIE NON EXHAUSTIVE DE SOURCES D'INFORMATION
SUR LE METIER DE DOCUMENTALISTE JURIDIQUE
par Carole Guelfucci
Responsable Documentation
Cabinet Darrois Villey Maillot Brochier (DVMB), Paris 16ème
Mise en ligne d’origine en février 2010
Dernière modification le : 1er avril 2014
Introduction à la bibliographie :
Cette bibliographie s'est imposée lors de la préparation d'un cours de documentation
juridique. Les sources citées étaient toutes présentes sur mon bureau mais n'avaient pas
forcément été consultées dans le détail.
J'en tire quelques conclusions sur l'utilité de se documenter régulièrement sur son
propre métier.
1 – Il s'agit d'une auto-formation qui me semble indispensable si l'on souhaite "rester dans
la course", d'autant plus que le métier de documentaliste juridique de 2011 n'a plus rien à
voir avec le métier à mes débuts (1992).
2 – Lorsque l'on est seule documentaliste à un poste, il est difficile de cumuler toutes les
tâches. Contrairement à ce que l'on peut lire dans certains articles, les activités
traditionnelles de documentation ne disparaissent pas au profit d'activités nouvelles et plus à
la mode, elles se superposent ! Ainsi faut-il dans sa journée trouver du temps pour la
réception physique des documents et pour leur intégration dans un catalogue de
bibliothèque nouvelle génération avec tout ce que cela suppose de connaissances dans
l'administration d'un intranet documentaire (ceci est un exemple parmi d'autres).
Néanmoins, même si l'on ne peut tout faire, ni tout connaître, il est toujours bon d'avoir lu
une explication sur l'existence de telle technologie, telle fonctionnalité d'un moteur de
recherche, tel terme barbare, traduit ou non de l'anglais, qui reviendra sans cesse dans les
articles.
3 – Prendre du recul sur son métier, permet souvent de constater que l'on fait les choses de
manière intuitive avec parfois une certaine efficacité; si ce fonctionnement intuitif donne
satisfaction, il est toujours rassurant de le vérifier; dans le cas contraire, il est toujours temps
d'améliorer un point faible.
4 – Nous n'avons pas attendu l'avènement du web 2.0 pour constater l'efficacité des réseaux
professionnels. Une grande partie de l'information utile sur la profession s'échange entre
professionnels. Elle se trouve au détour d'une conversation téléphonique, d'un déjeuner
informel entre collègues, lors de la réunion d'une association.
5 – Les informations utiles à la profession de documentaliste juridique ne proviennent pas
exclusivement de la sphère juridique. Il faut donc cumuler la lecture d'articles sur la fonction
documentaire au sens large, sur les nouvelles technologies et sur le domaine juridique.
1 – Les ouvrages
Jean-Philippe Accart, Marie-Pierre Réthy. – Le métier de documentaliste. – Paris :
Editions du Cercle de la Librairie, 2008. – 463 p. – ISBN : 978-2-7654-0961-8
Le plus complet sur le métier dans son ensemble. Cet ouvrage présente l'énorme intérêt de
ne pas faire disparaître les tâches traditionnelles d'une documentaliste au profit des
nouvelles technologies. L'ouvrage est très clair, très agréable à lire en continu ou à feuilleter
selon un point précis. Il comporte de nombreux encadrés ou schémas "pratiques" et de très
nombreuses citations. Il ne s'adresse pas spécifiquement à la documentation juridique
(d'ailleurs l'annexe Répertoire des sources pour les textes de lois, p. 377 comporte des
inexactitudes). L'ouvrage est bien découpé. Il est très facile de passer rapidement sur les
1
paragraphes moins pertinents pour l'exercice du métier de documentaliste juridique, bien
qu'une culture générale des pratiques professionnelles dans d'autres milieux soit toujours
utile.
Aurélie Bellin : Organiser sa recherche d'informations sur internet. – Voiron :
Territorial éditions, septembre 2008 (dossier d'expert). – 164 p. – ISBN : 978-2-35295531-3
Là encore la spécificité de l'éditeur fait que l'ouvrage s'adresse au départ aux professionnels
de l'information qui officient dans les collectivités locales. Néanmoins, comme pour l'ouvrage
de Didier Frochot, lorsqu'il s'agit de méthode de travail et de recherche, le domaine importe
peu. Le point fort de l'ouvrage est qu'il est richement illustré de copies d'écran et de fiches de
synthèses très pratiques. Ici aussi, l'auteur aborde une matière en constante évolution ce qui
signifie qu'elle devra régulièrement publier de nouvelles éditions afin de suivre l'évolution des
outils. Aurélie Bellin est aussi l'auteur de la très professionnelle lettre d'information
hebdomadaire du réseau documentation de Territorial, ce qui constitue une parfaite mise à
jour de son ouvrage.
http://www.territorial.fr/
COLLECTIF. – La recherche d’information et le travail documentaire. – Paris : Nathan,
2012. – 144 p. – Repères Pratiques. – ISBN : 978-2-09-162043-5.
Une assistante de mon cabinet qui a de nombreuses « qualités documentaires » vient
d’acheter pour son fils, élève de collège, un ouvrage co-écrit par plusieurs documentalistes
dont
certaines
travaillent
justement
dans
le
collège
en
question.
Ce livre, après un rapide feuilletage, m’a semblé à la fois pratique et concis et tout à fait
recommandable à un professionnel en activité qui souhaiterait faire le point sur une
technologie récente, par exemples : Réaliser une carte heuristique pp. 130-131 ou Partager
ses fichiers avec le cloud computing, p. 117. Cela ne fait pas de mal non plus de prendre 5
minutes pour revoir des fonctionnalités de base, par exemple, les fonctions de recherche
avancée de Google p. 75.
Certes, certains chapitres peuvent paraître un peu trop succincts ou scolaires pour des
documentalistes spécialisées, ceci dit, le chapitre Les textes législatifs et réglementaires pp.
50 et 51, devrait être mis entre toutes les mains des stagiaires collèges et lycée dès leur
arrivée (parachutage ?) dans une bibliothèque juridique.
Comme la 4ème de couverture le précise : ce livre vise les élèves de lycées, les étudiants en
documentation et « tous ceux qui souhaitent améliorer leurs techniques de recherches
d’information et de travail documentaire ». Pour un élève de collège, le niveau me semble
d’ailleurs un peu trop élevé mais l’acquisition de bons réflexes peut commencer jeune.
Reprise du résumé de présentation : Rédigé par des professionnelles de l'informationdocumentation, cet ouvrage présente une méthodologie de la recherche d'information. Il
propose des outils, des ressources et des lieux à connaître pour réussir une recherche
documentaire. Les conseils et la méthode de travail indiqués dans ce livre guideront le
lecteur dans sa démarche, afin qu'il appréhende au mieux les techniques les plus pointues et
mène à bien tout projet de recherche (exposé, mémoire, thèse), de l'analyse du sujet à la
présentation finale.
Vos cours de catalogage sont loin, besoin d’un rappel sur les règles de citation ? Voir Citer
les sources, pp. 132-133
Je précise que je n’ai pas d’actions chez Nathan mais quand un ouvrage qui concerne notre
métier est utile (et pas cher, prix éditeur = 12,20 EUR), il faut le dire.
2
COLLECTIF, sous la direction d'Isabelle Fructus. – Méthodologie de la recherche
documentaire juridique. – Larcier, 2014. – 320 p. - 1ère éd.– Paradigme - Méthode. –
ISBN : 9782350209586
L'ouvrage est divisé en trois parties fondées sur les trois principales sources du droit : la
législation (1ère partie), la jurisprudence (2ème partie) et la doctrine (3ème partie), nombreuses
copies d'écran, Si l'on ne souhaite pas entrer dans les détails, la partie IV (Les essentiels)
permet d'avoir une vision d'ensemble synthétique sur la méthodologie de recherche, la
recherche de législation, la recherche de jurisprudence, la recherche de doctrine, la veille en
droit et la recherche comparée et outils de traduction juridique.
Stéphane Cottin : La gestion de la documentation juridique. – Paris : LGDJ, Système
Droit, 2011. – 252 p. – ISBN : 978-2-275-03534-5
Présentation par l'éditeur
Trouver l’information juridique pertinente, de façon rapide et économique, est un gage de
réussite pour tous les juristes, de l’universitaire, étudiant ou chercheur, au professionnel
confirmé, mais aussi pour tous ceux qui, un jour, sont confrontés à un problème de droit.
Savoir comment cette information est produite, diffusée et traitée par les différents acteurs
de la chaîne de production documentaire (jurisprudence, norme, doctrine) est aussi un
moyen de s’approprier les usages et les bonnes pratiques de recherche et d’écriture du droit.
Voici les objectifs que ce manuel de gestion de la documentation juridique souhaite remplir,
en présentant les méthodes les plus éprouvées ainsi que les plus innovantes de traitement
et de recherche de l’information juridique.
L’auteur, de double formation juriste et documentaliste, a créé le système d’information du
Conseil constitutionnel et été éditeur juridique en ligne. Il est, depuis 2008, chargé de
mission « Valorisation des ressources documentaires » auprès du Secrétaire général du
Gouvernement.
Avec tout le respect que je porte à mon collègue Stéphane Cottin, je pense que le titre du
l’ouvrage ci-dessus peut porter à confusion. C’est un formidable ouvrage pour tout savoir sur
les données juridiques publiques et privées en France, en Europe et aux USA. A noter
notamment un remarquable historique des bases de données en France (p. 105) grâce
auquel on comprend mieux ce que l’on peut trouver en ligne et ce que l’on ne trouvera
jamais. Néanmoins ce n’est pas un livre sur la gestion documentaire au sens classique du
terme.
La position de l’auteur, chargé de mission auprès du Secrétaire général du Gouvernement,
influence largement le point de vue de l’ouvrage. L’auteur détaille de manière exhaustive
l’offre des bases de données juridiques publiques (notamment Légifrance) et aborde des
sujets habituellement peu traités en documentation juridique (bien que passionnants !)
comme la légistique.
Béatrice Foenix-Riou : Recherche éveillée sur Internet : mode d’emploi. –
Bases/Lavoisier, 2011 – 368 p. – ISBN : 978-2-7430-1342-4
Outils et méthodes pour explorer le Web, web visible, web invisible, web social, web temps
réels.
Beatrice Foenix-Riou est directrice de BFR Consultants, un cabinet spécialisé dans la
recherche experte et la veille sur internet. Elle anime en particulier des formations intra- et
inter-entreprises sur le thème de cet ouvrage.
3
Elle est par ailleurs, rédactrice en chef des lettres Bases et Netsources, éditées par Bases
Publications ; ces deux lettres concernent respectivement les banques de données et la
recherche sur Internet.
Dans sa forme, l’ouvrage est très agréable à consulter :grosse spirale facilitant l’ouverture à
côté de l’ordinateur, mise en page agréable, livre bien chapitré et largement illustré
d’exemples.
Quant au fond, l’ouvrage est limpide et très pédagogique : l’état de l’art en matière de
recherche sur internet à jour à décembre 2010. On peut envisager son acquisition, soit
comme excellent support de cours d’une formation suivie avec Madame Foenix-Riou, soit
comme outil pédagogique afin de s’auto-former. Dans ce cas, il est possible de naviguer
dans l’ouvrage et il est conseillé d’expérimenter devant écran les astuces suggérées par
l’auteur. Les sous-titres percutant de certaines parties sont autant de moyens
mnémotechniques pour mémoriser les astuces de recherche (« les accents : oui merci »,
« les guillemets : une précision délicate »…). Une large partie de l’ouvrage est dévolue à
Google même si l’auteur ne manque pas une occasion d’indiquer d’autres pistes de
recherche et de souligner ses limites dans certains cas. Les 2ème et 3ème de couverture
reproduisent la quintessence de l’ouvrage à savoir : le cadre méthodologique pour une
recherche éveillée sur internet et le tableau comparatif des fonctions avancées des moteurs,
il est bien pratique de les avoir sous la main.
Certaines parties de l’ouvrage ouvrent de véritables perspectives d’évolution
méthodologiques même pour un professionnel averti, je pense notamment à la méthodologie
de recherche d’information sur une personne en exploitant les sources en langue étrangère
(p. 285) ou certaines fiches outils très détaillées.
Attention, l’ouvrage en question n’est pas spécialisé dans la recherche juridique, ce qui
importe peu en l’occurrence puisque les outils et méthodes sont tout à fait transposables
dans ce domaine.
Cette matière évolue très vite, suivre l’actualité et la mise à jour de l’ouvrage sur le blog de
l’auteur : http://blog.recherche-eveillee.com
Didier Frochot : Information, documentation et veille juridiques. - Voiron : Territorial
éditions, mars 2007 (dossier d'experts) – 265 p. – ISBN : 978-2-35295-062-2
A ma connaissance le seul ouvrage récent sur la documentation juridique. La spécificité de
l'éditeur fait que l'orientation de l'ouvrage sera plus droit public que droit privé. Cette
spécificité se retrouve surtout dans les exemples donnés qui concernent le plus souvent les
collectivités locales mais cela ne change en rien à l'utilité de l'ouvrage.
Le point fort de l'ouvrage est l'aspect culture professionnelle abordée à la fois sous l'angle
historique (par exemple l'historique des bases de données publiques et privées) et sous
l'angle pratique (par exemple : nombreuses méthodes de recherche). Le point faible de
l'ouvrage est l'évolution très rapide de la matière. L'édition de mars 2007, lue fin 2009 et déjà
en partie obsolète sur certains aspects (notamment l'évocation des cédéroms). Didier
Frochot, qui en est déjà à sa deuxième version avec l'édition 2007, devra sans doute
régulièrement revoir certains chapitres (notamment le domaine de la veille qui évolue aussi
très vite). Un bon moyen de patienter en attendant la mise à jour est de consulter le site
internet des auteurs (Didier Frochot et Fabrice Molinaro) : http://www.les-infostrateges.com/
Les Infostratèges : la veille juridique, concepts, techniques et outils, module d’autoformation à jour septembre 2010 disponible sur le site mentionné ci-dessus.
« L’information juridique est souvent présentée comme une forme de documentation
spécialisée au côté de l’information scientifique, médicale, musicale, etc. C’est une erreur de
vue. Tout comme le droit s’impose à tout homme vivant en société, l’information juridique
doit être maîtrisée, au moins dans ses bases par tout responsable d’informationdocumentation. » (page 175).
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Le mode d’édition de cet ouvrage (pdf envoyé par les auteurs) permet je suppose d’avoir une
version à jour au moment de l’achat ce qui est un avantage dans une matière qui évolue vite.
L’esprit module d’autoformation est bien respecté puisque le document est largement illustré.
Idéalement il est préférable d’expérimenter en ligne quelques astuces, néanmoins on peut
progresser facilement en ne consultant que le papier (pratique pour une lecture dans les
transports par exemple). De nombreux outils gratuits sont traités avec plusieurs pages
consacrées à Google (astuces de recherche dans Google, Google actualités, Google alertes,
Google reader, Google CSE). Les annexes sont tout aussi intéressantes que la partie
principale avec notamment une Présentation générale du droit (citation ci-dessus) que
j’aurais aimé avoir en école de documentaliste et que j’ai eu plaisir à relire.
Dominic Jensen. – Cabinet d’avocats, création et stratégie, organisation et gestion. –
Paris : Dalloz, 2010. – (dalloz référence)
Voir notamment les chapitres :
333 - Documentation
332 – Gestion de la connaissance (knowledge management) du cabinet
et éventuellement :
262 – Mise en œuvre d’une stratégie de marketing et de communication
263 – Présence et stratégie internet du cabinet
273 – Ecritures d’ouvrages et d’articles
Le chapitre sur la Documentation bien que très synthétique m’a semblé complet et à jour.
L’accent est mis sur l’importance du rôle de la documentaliste.
On n’en attendait pas moins de l’auteur, ancien créateur de Legalnews, base de données de
veille juridique à laquelle ont participé et participent toujours de nombreu(x)ses
documentalistes.
« La ou le bibliothécaire, jadis peu considéré(e), est remplacé(e) par des professionnels de
l’information qui participent à la réflexion stratégique du cabinet. La gestion de la
connaissance du cabinet, l’administration des Intranets et sites internet du cabinet sont
fréquemment du ressort de ces nouveaux documentalistes » (page 299)
Présence de données chiffrées sur le coût de la documentation (tout comme dans Le Monde
du Droit n° 24 du 1er mars 2009 du même éditeur/auteur), ces données sont souvent difficiles
à obtenir, concurrence des structures oblige.
Véronique Mesguich et Armelle Thomas. - Net recherche 2013 : surveiller le web et
trouver l'information utile. – Paris : ADBS éditions/De Boeck, 2013. – 263 p. – 5ème éd.
refondue et mise à jour.
Tout simplement passionnant surtout lorsque l'histoire personnelle du lecteur se confond
avec l'histoire de la recherche sur internet, des débuts du web des pionniers, jusqu'aux
nouvelles technologies les plus sophistiquées de recherche sur internet. Un livre qui
intéressera les documentalistes mais aussi toutes les professions liées au web comme
webmasters, professionnels du référencement, etc…Même les technologies les plus
abstraites sont clairement expliquées et font l'objet d'exemples concrets. Là aussi la matière
évolue très vite mais cet ouvrage en est déjà à sa cinquième édition ce qui prouve que les
auteurs n'hésitent pas à le remanier régulièrement pour coller au plus près de l'évolution des
technologies.
L'édition 2013 inclut des méthodes de recherche dans le web social, l'open data, le web
temps réel…
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2 – Sites
http://www.precisement.org/ : incontournable site du non moins incontournable
documentaliste juridique, à savoir Emmanuel Barthe. Il a su faire évoluer son site avec les
technologies. Il est très réactif et prend position, souvent de manière assez virulente, ce qui
n'est pas forcément du goût de tout le monde mais sans lui la documentation juridique n'en
serait pas là.
Sur son site : blog d'un documentaliste juridique, voir aussi son annuaires de liens juridiques
et ses supports de cours.
3 – Listes de diffusion et newsletters
Même si les listes de diffusion ont tendances parfois à être détournées par les membres
pour y solliciter des échanges de services, elles restent néanmoins une source importante
d'information.
ADBS-juridique
L'ADBS est l'association de documentalistes la plus importante en France. Elle est répartie
en délégations régionales et en secteurs d'activités. C'est ainsi qu'existe un Groupe sectoriel
de documentation juridique. Il faut être membre de l'association pour recevoir la liste de
discussion généraliste et la liste de discussion juridique.
http://www.adbs.fr
CUJAS
Flash Cujas : Lettre bimestrielle réalisée par la bibliothèque Cujas, à destination des
professionnels de l'information en sciences juridiques.
Cette publication recense les nouvelles parutions en sciences de l'information, des
documents en texte intégral, des brèves (actualités ou informations rapides), les nouveaux
sites internet, les sommaires des revues professionnelles.
Pour chaque rubrique les informations concernent les sciences de l'information et les
sciences juridiques.
Vous trouverez tous les numéros en texte intégral, depuis 2005
<http://bcujas-digitool.univparis1.fr/R/GQ22J9GHFQKURIVLMCATBNCGYUVKHN1N1FKBLPB27VMJDLKSBD01917?func=collections-result&collection_id=8881>
Est également consultable la lettre @lice, ciblée sur les ressources électroniques (bases de
données, trucs et astuces, thèses en ligne, signets, guide d'utilisation..), à destination de nos
lecteurs étudiants mais des informations peuvent intéresser un public plus large.
<http://bcujas-digitool.univparis1.fr/R/GQ22J9GHFQKURIVLMCATBNCGYUVKHN1N1FKBLPB27VMJDLKSBD01501?func=collections-result&collection_id=8883>
JURICONNEXION : association fondée en 1988 par des documentalistes et juristes avec
pour objectif de devenir un club d'utilisateurs de bases de données juridiques. L'évolution
des techniques a permis à l'association de diversifier ses activités tout en restant dans son
objectif initial : suivre tous les produits juridiques au format électronique quel qu'en soit le
support et les modalités d'accès. Liste de discussion publique et modérée ouverte à toute
personne souhaitant y participer (pas d'adhésion nécessaire)
http://www.juriconnexion.info/
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TERRITORIAL : éditeur de la Lettre du cadre territorial qui diffuse une newsletter
hebdomadaire dite "réseau documentation", gratuite, orientée web 2.0 et juridique
http://www.territorial.fr
4 – Périodiques
Archimag : mensuel qui aborde les thèmes suivants : knowledge management, veille et
intélligence économique, GED workflow, stockage, internet-intranet, portail-content
management,
documentation,
bibliothèque,
archives,
records
management.
http://archimag.com/fr/
Publie régulièrement des numéros spéciaux sur un sujet
Documentaliste sciences de l'information : revue trimestrielle éditée par l'ADBS depuis
1964. La revue aborde tous les aspects professionnels de l'information-documentation :
techniques, outils, métiers, droit, politiques, etc. ainsi que la recherche en sciences de
l'information.
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