VENDRE L`ASSURANCE AUTO AU KILOMETRE
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VENDRE L`ASSURANCE AUTO AU KILOMETRE
CONCEPTION : KALÉA FORMATION TECHNIQUES DE VENTE JEUDI 21 JUIN 2012 Fiches Pratiques Distributeur VENDRE L’ASSURANCE AUTO AU KILOMETRE Assurance « au kilomètre », « petit rouleur » ou « Pay as you drive (PAYD) » sont des offres apparues depuis une dizaine d’années, avec pour objectif de réduire la facture d’assurance auto. PRINCIPES DE TARIFICATION - au forfait : à la souscription, l’assuré choisit une formule avec un forfait annuel de kilomètres à ne pas dépasser (généralement entre 4 000 et 9 000 km). Il déclare le kilométrage de son véhicule à chaque échéance annuelle ou le fait vérifier chez un garagiste agréé par l’assureur. Un contrôle est fait également à l’occasion des sinistres (et parfois de manière aléatoire). En cas de dépassement, l’assuré acquitte une surprime. Certains contrats prévoient un remboursement des kilomètres non utilisés ou le report sur l’année suivante. - au kilomètre parcouru : l’assuré est facturé selon le décompte exact de kilomètres effectués dans l’année. Le véhicule est équipé d’un boîtier GPS, dont la pose, effectuée dans un garage agréé, peut être payante ou gratuite. Certains assureurs modulent la tarification selon les conditions de conduite (horaires de circulation, vitesse, routes empruntées, …). La collecte et l’utilisation de ces informations est encadrée par la CNIL. POUR QUELS CONDUCTEURS ? Les principales cibles sont les jeunes conducteurs roulant peu, les retraités, les utilisateurs de transports en commun, les personnes n’utilisant leur véhicule que pour des trajets privés, les citadins, etc. Les économies tarifaires sont de l’ordre de 15 à 30% par rapport à une formule classique. Attention toutefois à bien vérifier les conditions appliquées en cas de dépassement et surtout, à éviter toute fausse déclaration de kilométrage, pour ne pas s‘exposer à une nullité de contrat. MISE EN SITUATION ASSURANCE-VIE ET FORMALISATION DU DEVOIR DE CONSEIL L’assurance-vie reste encore aujourd’hui le placement préféré des Français. Les crises financières successives ont conduit de nombreux épargnants ayant investi en UC à voir fondre leur capital. Certains n’avaient pas pris la mesure des risques encourus. 7 DES OBLIGATIONS RENFORCEES En matière d’assurance-vie, le législateur va encore plus loin : votre proposition doit évidemment être adaptée aux objectifs du client et à sa situation financière, mais vous devez également vous assurer de son niveau de connaissance et de son expérience en matière financière. Plus que les autres contrats, l’assurance-vie cristallise cette nécessité de permettre à l’assuré de « choisir en toute connaissance de cause ». Pour vous accompagner, les assureurs ont inséré dans leurs documents de souscription un « questionnaire financier ». Vous devez donc, comme pour tout contrat d’assurance, remettre à votre client un document reprenant ses exigences et besoins ainsi que les raisons motivant le conseil et le contrat proposé. Il peut arriver que vos clients trouvent certaines questions intrusives. Pour limiter ce « blocage », évitez d’aborder le questionnaire comme une simple formalité supplémentaire. INTEGREZ VOS QUESTIONS AU COURS DE L’ENTRETIEN COMMERCIAL Dès que l’intérêt du client pour l’assurance-vie est identifié, faites preuve de pédagogie et expliquez l’objectif de vos questions : pouvoir lui proposer un placement adapté à ses besoins et dont il peut comprendre le fonctionnement du couple risque/espérance de gain. NE NEGLIGEZ PAS UN AUTRE ASPECT FONDAMENTAL L’assurance-vie est plus q’un simple produit d’épargne. Le travail sur la clause bénéficiaire et la prise en compte de son environnement familial doivent rester des points clefs de l’entretien.