Programme de mathématiques: programme de seconde A
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Programme de mathématiques: programme de seconde A
MINISTERE DE L’EDUCATION NATIONALE -------------DIRECTION DE LA PEDAGOGIE ET DE LA FORMATION CONTINUE REPUBLIQUE DE COTE D’IVOIRE UNION-DISCIPLINE-TRAVAIL -------------- -------------- COORDINATION NATIONALE DE MATHEMATIQUES PROGRAMME DE MATHEMATIQUES PROGRAMME DE PREMIERE A Décembre 1991 COMMENTAIRE GENERAL La classe de Première A, prolongement logique de la Seconde A, est aussi un lieu de découverte, d’exploration de situation concrètes, de consolidation et d’utilisation des acquis antérieurs. Tout en s’appuyant constamment sur les notions étudiées dans le premier cycle et en Seconde, on développera, sans grosse théorie, chez les élèves : La formation personnelle : et principalement l’aptitude à mathématiser une situation à travers l’utilisation de techniques de présentation (schémas, graphiques), de codage (organigrammes, diagrammes), activités qui développent l’esprit critique, la curiosité,… La formation sociale, économique et culturelle ; l’outil mathématique mis en place doit permettre à un élève qui poursuivra ses études dans les sciences humaines d’appréhender de façon plus performante des phénomènes socio-économiques, mais il est illusoire d’espérer qu’un élève fera de lui-même les transferts nécessaires ; il faut l’y entraîner en introduisant les différentes activités mathématiques par des motivations tirées de l’environnement culturel, social, économique et en l’initiant aux méthodes d’information, d’organisation, de traitement de donnée… Il donc souhaitable que le professeur ait toujours à l’esprit ces objectifs qui, bien sûr, ne relèvent pas tous les contenus mathématiques, mais plutôt de la façon de présenter certaines notions, de préparer, de rédiger un travail, de mener une recherche. Aussi, à l’exposé théorique, préférera-t-on une présentation sous forme d’activités. Celles-ci seront motivées par des documents, des enquêtes, des problèmes interdisciplinaires. Afin de ne pas réduire l’enseignement des mathématiques à un bricolage désordonné, le professeur veillera à : dégager les concepts et les utiliser à l’aide d’exercices pris dans le contexte d’étude des élèves ; faire des synthèses après avoir fait comprendre l’utilité de ces concepts. Il est à noter que, durant le cours, les élèves doivent faire un maximum d’exercices. La synthèse des résultats essentiels se fera contrôlée régulièrement. Un exemple de trace écrite par chapitre est d’ailleurs proposé dans le document EM telle qu’elle pourrait figurer dans le cahier de cours des élèves. Remarques 1) la progression proposée ne suit pas complètement l’ordre des chapitres du livre. La présentation des différentes notions dans le document EM correspond à cette progression mais la numérotation des chapitres dans l’en-tête des pages rappelle celle du livre. 2) Le programme qui suit est le même pour toutes les classes de Première A de la République de Côte d’Ivoire. Cependant, les élèves de la série A1 disposent d’une heure de plus que ceux des séries A2 et A3. En conséquence, les professeurs des classes de Première A1 sont invités à enrichir un peu plus leur cours de mathématiques en utilisant, au bénéfice de leurs élèves, cette heure pour faire acquérir non seulement les savoir-faire précisés dans le document EM et qui ne concernent que les seuls élèves de cette classe, mais pour faire des exercices ou des activités supplémentaires d’un niveau supérieur à celui réservé aux séries A2 et A3. I- ORGANISATION DE DONNEES ET DE TACHES a) Les nombres réels Coder, classer, ranger, dénombrer, organiser : à partir de situation variées tirées des sciences économiques et sociales, de la géométrie ou de la vie courante, on montrera la nécessité d’une organisation des données et des tâches à accomplir en utilisant codages, diagrammes, tableaux, arbres, II STATISTIQUES Regroupement de modalités en classes ; représentations graphiques. histogrammes, diagrammes cumulatifs. Caractéristiques de dispersion : variance, écart-type . Exemples de séries chronologiques. Caractéristiques de position : mode, moyenne, médiane seulement dans le cas d’un caractère quantitatif contenu. III- SUITES ET FONCTIONS NUMERIQUES 1. Représentations graphiques de fonctions numériques Etant donnée le représentant graphique d’une fonction f dans un repère orthonormé, représentations graphiques des fonctions : x→ f(x – a) ;. x→ f(x) + b ; x→׀x ׀où a et b sont des nombres réels donnés. Parité, éléments de symétrie de la courbe représentative d’une fonction.. Signe de f(x) suivant les valeurs de x, f désignant une fonction polynôme du second degré. Inéquations du second degré. Problème se ramenant à la résolution de contraintes du second degré. Equations et inéquation associées aux fonctions homographiques. 2- Fonctions polynômes du second degré Divers schémas de calcul. Représentation graphique. Equations du second degré : diverses méthodes de résolution. 3. Fonctions homographiques Divers schémas de calcul. Représentation graphique. Signe de f(x) suivant les valeurs de x, f désignant une fonction homographe. Problèmes se ramenant à la résolution de contraintes associées aux fonctions homographiques. 4. Suites numériques Etude de suites définies par uη = f(n) et par uη+¹= g(uη)exemples de Suites monotones. passage d’une définition à l’autre) ; cas particuliers de suites arithmétiques et géométriques. Problème se ramenant à l’étude de diverses suites numériques (intérêts simples, intérêts composés, démographie,…).. déterminations graphiques des termes d’une suite. Comparaison de suites. 5. Dérivées Approche intuitive de la notion de nombre dérivé ; équation de la tangente en un point de la courbe représentative d’une fonction. Utilisation de la dérivée dans l’étude et la représentation graphique de fonctions polynômes, de fonctions homographiques*. Fonction dérivée ; formules usuelles de dérivation (admises). Aucune notion sur la limite d’une fonction en un point n’est au programme de cette classe. PROGRESSION DE PREMIERE A1, A2 ET A3 Semaine 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 2 heures par semaine 1 heure par semaine Fonctions et représentations graphiques de fonctions Organisation des données 10 heures 9 heures Problèmes du second degré 12 heures Dérivées Fonction homographiques Suites numériques Statistiques 12 heures 2 heures 6 heures 12 heures Révisions 12 heures PROGRAMME DE PREMIERES C ET E Octobre 1998 ACTIVITES GEOMETRIQUES I- GEOMETRIE DE L’ESPACE CONTENU Orthogonalité Droites orthogonales. Droites orthogonales à un plan. Plans perpendiculaires. Propriétés liant l’orthogonalité et le parallélisme. Distance d’un point à un plan. SAVOIR-FAIRE NOUVEAUX Utiliser les propriétés de l’orthogonalité et du parallélisme pour démontrer que : - deux droites sont parallèles ; - deux droites sont orthogonales ; - une droite est parallèle à un plan ; - une droite est orthogonale à un plan ; - deux plans sont perpendiculaires ; - deux plans sont parallèles. Démontrer que deux plans sont sécants. Démontrer que deux droites sont sécantes. Démontrer que trois points sont alignés. COMMENTAIRES Parallélisme dans l’espace a été étudié en Seconde C. On visualisera les définitions et propriétés de l’espace à l’aide de solides, de maquettes et de l’environnement de l’élève. Les dessins seront effectués en perspective cavalière mais aucune théorie sur ce point n’est à développer. On étudiera le plan médiateur d’un segment en travaux dirigés. II- TRIGONOTRIE CONTENU Angles orientés Angles orientés de vecteurs. - somme ; - propriété ; - relation de Chasles. Angles au centre orientés. Angles inscrits orientés. Double d’un angle orienté. Caractérisation du cercle. Cocyclicité de quatre points Mesures d’un angle orienté Définition SAVOIR-FAIRE NOUVEAUX Exploiter la relation de Chasles dans diverses situations. Utiliser l’angle orienté double pour démontrer l’alignement de trois points. Démontrer que quatre points sont cocycliques. Un nombre réel étant donné, placer son point image sur le cercle trigonométrique. Un point étant donné sur le cercle trigonométrique donner une mesure de l’angle orienté associé lorsque cela est possible. Déterminer la mesure principale d’un angle orienté dont on connaît une mesure. Déterminer le sinus, le cosinus, la tangente d’un angle orienté de mesure donnée à l’aide du cercle trigonométrique. Retrouver les formules trigonométriques à l’aide des formules d’addition. Utiliser les formules trigonométriques pour transformer des expressions trigonométriques. Lignes trigonométriques d’un angle orienté Formules trigonométriques Lignes trigonométriques des angles associées. Formules d’addition ; Formules de duplication et de linéarisation. Réduction de a cosx + b sinx. COMMENTAIRES Les angles introduits en Seconde C ainsi que les angles orientés. A partir d’exercices, consolider ces acquis On peut établir en travaux dirigés les propriétés liant : - les angles orientés et les tangentes ; - les angles orientés et la bissectrice. On peut établir en travaux dirigés le lieu des points M tels que : → → → → 2)(MA,MB) = (OA, OB) où O, a et B sont donnés. La notion de congruence n’est pas au programme. A partir des relations entre les angles, on établit des relations entre les mesures en ajoutant k2π (kєZ) CONTENU Equations trigonométriques Inéquations trigonométriques Etude et représentation graphique des fonctions circulaires La fonction sinus. La fonction cosinus. La fonction tangente. SAVOIR-FAIRE NOUVEAUX a étant un nombre réel donné, résoudre dans IR les équations du type ; cos x = cos a, sin x = sin a, tan x = tan a. Résoudre dans IR les équations du type : cos x = a, sin x = b , tan x = c. a cos x + b sin x + c = 0 (a, b et c sont des nombres réels donnés, (a, b , c) #(o, o, o)). Représenter sur le cercle trigonométrique les points images des solutions d’équations trigonométriques. Résoudre les inéquations du type sur un intervalle borné de IR. Représenter sur le cercle trigonométrique les points images des solutions d’inéquations trigonométriques. Etudier et représenter graphiquement les fonctions numériques de la variable réelle du type : x→ sin (ax +b) x→ cos (ax +b). COMMENTAIRES On pourra à cette occasion résoudre quelques équations trigonométriques se ramenant aux cas ci-contre. On pourra à cette occasion résoudre quelques inéquations trigonométriques se ramenant aux cas ci-contre. C’est l’occasion de réinvestir les acquis sur les fonctions associées et la derive de la compose de deux fonctions. III- OUTIL VECTORIEL CONTENU Barycentre de 2, 3 ou 4 points Définition. Isobarycentre. Propriétés : - homogénéité (multiplication des coefficients par un scalaire) ; - réduction vectorielle ; a MA + b MA = (a + ) MG (a + b # 0) ; - barycentre partiel. Coordonnées du barycentre. Lignes de niveau de : - -M→a MA², a + b # o ou a + b = 0 ; - -M→ SAVOIR-FAIRE NOUVEAUX Traduire par une égalité vectorielle qu’un point est le barycentre de 2, 3 ou 4 points. Construire le barycentre de 2, 3 ou 4 points pondérés. Exprimer un point donné d’une droite graduée comme le barycentre de 2 points par lecture graphique. Démontrer qu’un point est barycentre de 2, 3 ou 4 points à partir d’une relation vectorielle. Utiliser la réduction vectorielle pour : - simplifier des relations vectorielles ; - construire un barycentre ; - résoudre des problèmes de concours et d’alignement. Déterminer et construire les lignes de niveau de : - -M→ a MA² + b MB², a + b # 0 ou a + b = 0 ; - M→ COMMENTAIRES Consolider les acquis des élèves sur le calcul vectoriel par quelques exercices (relation de Chasles, construction, alignement,…). Etablir à travers des exercices, le lien avec les autres disciplines (sciences physiques, statistiques). Pour les lignes de niveau, se limiter exclusivement aux lignes citées. L’étude du barycentre de plus de 4 points n’est pas au programme de Première C. Elle sera faite en Terminale C. On utilisera comme notation du barycentre : bar (A,a), (B,b) ou bar Vecteurs de l’espace Vecteurs coplanaires. Vecteurs colinéaires. Produit scalaire. Démontrer que trois vecteurs sont coplanaires. Il s’agit d’élargir, sans théorie, la notion de vecteur du plan à l’espace. On ne développera pas de calculs formels sur les vecteurs de l’espace. On ne s’étendra pas sur la définition et les propriétés du produit scalaire dans l’espace. IV- TRANSFORMATIONS DU PLAN CONTENU Symétries et translations Composée de deux translations. SAVOIR-FAIRE NOUVEAUX Composée de deux symétries orthogonales. Homothéties Composée de deux homothéties Rotation Composée de deux rotations. Utiliser la composée de deux symétries orthogonales ou de deux translations pour : - démontrer une propriété ; - construire une figure ; - déterminer un ensemble de points. Mettre en évidence une homothétie ou une rotation pour : - démontrer une propriété ; - construire une figure ; - déterminer un ensemble de points. Utiliser la composée de deux homothéties ou de deux rotations pour : - démontrer une propriété ; - construire une figure ; - déterminer un ensemble de points. COMMENTAIRES Les symétries orthogonales et les translations ont été étudiées au niveau 2 en Seconde C. La décomposition d’une translation ou d’une rotation n’est pas au programme de Première C et sera faite en Terminale C. On en compose que des transformations de même nature, en particulier les similitudes ne sont pas au programme de Première C mais seront vues en Terminale C. En exercice, on déterminera les expressions analytiques d’une translation, d’une symétrie orthogonale d’axe parallèle aux axes de coordonnées ou d’axe la première bissectrice. La nation d’isométrie n’est pas au programme ; elle sera étudiée en Terminale C. Dans l’utilisation des composées, les transformations et leurs composées doivent être suggérées. V- GEOMETRIE ANALYTIQUE CONTENU Géométrie analytique du plan Vecteur normal à une droite. Distance d’un point à une droite. SAVOIR-FAIRE NOUVEAUX Déterminer un vecteur normal à une droite. Déterminer une équation de la droite définie par un vecteur normal et un point. Calculer la distance d’un point à une droite donnée. Déterminer un repère de l’espace. Déterminer les coordonnées d’un point dans un repère donné. Démontrer que deux vecteurs sont orthogonaux, deux vecteurs sont colinéaires. Démontrer que trois vecteurs sont coplanaires. Utiliser les vecteurs de l’espace ou le repérage pour : - démontrer que quatre points sont coplanaires ; - démontrer que deux droites sont parallèles ou perpendiculaires ; ‘ démontrer qu’une droite est orthogonale à un plan ; - démontrer qu’une droite est parallèle à un plan : - déterminer une équation cartésienne d’un plan connaissant un point et un vecteur normal ; - déterminer une représentation paramétrique d’une droite connaissant un point et un vecteur directeur ; - déterminer la position relative d’une droite et d’un plan connaissant une représentation paramétrique de la droite et une équation cartésienne du plan ; - déterminer la distance d’un point à un plan connaissant une équation cartésienne de ce plan. COMMENTAIRES C’est l’occasion d’entretenir les acquis de Seconde concernant la géométrie analytique, mais on n’en abusera pas. Les représentations paramétriques de plans et les systèmes d’équations cartésiennes de droites ne sont pas au programme. ACTIVITES NUMERIQUES I- CALCUL LITTERAL CONTENU Equations et inéquations du second degré Discriminant. SAVOIR-FAIRE NOUVEAUX Somme et produit des solutions d’une équation du second degré. Interprétation graphique. Equations et inéquations se ramenant au second degré Equations et inéquation bicarrées. Equations et inéquations irrationnelles. Systèmes d’équation linéaires dans IR³ Calculer le discriminant d’une équation du second degré. Utiliser le discriminant pour : - prouver l’existence des solutions d’une équation du second degré. - factoriser un polynôme du second degré ; - étudier le signe d’un polynôme du second degré ; - résoudre une équation du second degré. Utiliser la résolution des équations ou inéquations du second degré pour résoudre des problèmes concrets. Déterminer deux nombres réels connaissant leur somme et leur produit. Utiliser la somme ou le produit des solutions d’une équation du second degré pour déterminer une solution connaissant l’autre. Résoudre graphiquement une équation ou une inéquation du second degré. Résoudre des équation ou inéquations bicarrées. Résoudre des équations et inéquations irrationnelles du type : √p(x) = q(x), √p(x.) ≤q(x), √p(x) ≤q(x). Résoudre des systèmes de trois équations linéaires dans IR³ ayant une solution unique : - par la méthode de substitution ; - par la méthode du pivot de Gaus. COMMENTAIRES A propos des équations ou inéquations paramétriques du second degré éviter toute étude exhaustive du type « discuter suivant les valeurs de m… » et privilégier des situations portant sur des cas particuliers tels que : - déterminer les valeurs de m pour que …» p et q sont des polynômes tels que d°(p) ≤ 2 et d°(q)≤ 1. La méthode de pivot de Gauss se fera sur des exemples sans théorie. II- ORGANISATION DES DONNEES CONTENU Fonctions et applications Restriction d’une fonction. Prolongement d’une fonction. Composée de fonctions. Application injective. Application subjective. Bijection. Bijection réciproque d’une bijection. f étant une bijection de E sur G, f◦f‾¹ = IdG, f‾¹◦f = IdE. Opérations sur les fonctions numériques : somme, produit et quotient de deux fonctions. COMMENTAIRES Fonctions associées : x→f(x-a) ; x→f(x) + b ; x→ f(x-a) + b ; x→(-x) ; x→-f(x) ; x→ f(x)׀. Représentation graphique de la réciproque d’une bijection dans un repère orthonormé. Comparaisons de deux fonctions. Majorant, minorant, fonction bornée. Encadrement d’une fonction par deux fonctions. SAVOIR-FAIRE NOUVEAUX Déterminer la restriction d’une fonction à un intervalle. Déterminer un prolongement d’une fonction sur un intervalle. Déterminer l’ensemble de définition d’une fonction composée. Composer des fonctions. Démontrer qu’une application est : - injective, - surjective, Bijective. Ecrire une fonction comme somme, produit ou quotient de fonctions lorsque cela est possible. Déterminer l’ensemble de définition de la somme, du produit, du quotient de deux fonctions. Connaissant la courbe représentative de f, représenter graphiquement les fonctions associées : x→ f(x-a) ; x→f(x) + b ; x→-f(x - a) + b ; x→ f(-x) ; x→ - f(x) ; x→ ׀f(x) ׀. La représentation graphique d’une fonction bijective étant donnée, construire la représentation graphique de sa bijection réciproque. Résoudre algébriquement et graphiquement l’inéquation (f(x) ≤ g(x). Interpréter graphiquement l’inéquation (f(x) ≤ g(x) (position relative des représentations graphiques de f et g) La construction de quelques points de la courbe représentative de la composée de deux fonctions se fera en activité pour initier les élèves à des manipulations graphiques qui seront réinvesties dans les suites numériques. On fera remarquer qu’une application bijective est à la fois surjective et injective. Démontrer qu’une application est injective est une occasion d’introduire la contraposée d’une implication. CONTENU Parité : - définition ; - interprétation graphique. Périodicité : - définition ; - interprétation graphique. Axe et centre de symétrie. Limite et continuité Limites des fonctions de référence : x→ k ; x→ ab + b ; x→ xⁿ ; x→ (n є IN*) ; x→ √x. Théorèmes de comparaison. Opérations sur les limites. Limite d’une fonction en xο. Limite à droite, limite à gauche. Théorèmes : limite en l’infini des fonctions polynômes et des fonctions rationnelles. Notion d’asymptotes horizontale et verticale. CONTENU SAVOIR-FAIRE NOUVEAUX Démontrer qu’une fonction est paire ou impaire. Connaissant la représentation graphique d’une fonction paire ou impaire sur un ensemble d’étude, la construire sur son ensemble de définition. Conjecturer la représentation graphique d’une fonction paire ou impaire. Connaissant la représentation graphique d’une fonction périodique sur un intervalle d’amplitude p (p en étant la période) construire sa représentation graphique sur son ensemble de définition. Un nombre réel strictement positif p étant donné, vérifier que p est une période d’une fonction. Conjecturer la représentation graphique d’une fonction périodique et en conjecturer la période. Démontrer que la droite d’équation x = a est un axe de symétrie de la courbe représentative d’une fonction dans un repère orthogonal. Démontrer qu’un point donné est centre de symétrie de la courbe représentative d’une fonction. Conjecturer à partir de la courbe représentative d’une fonction les éléments de symétrie. Conjecturer une limite sur une représentation graphique. Utiliser les théorèmes de comparaison ou les opérations sur les limites pour déterminer des limites de fonctions. Calculer les limites de fonctions polynômes et des fonctions rationnelles en l’infini. Interpréter graphique : lim f(x) = b, lim (f(x) = ◦◦ x→● SAVOIR-FAIRE NOUVEAUX COMMENTAIRES Mettre en évidence l’existence de fonctions ni paires ni impaires. L’axe et le centre de symétrie seront toujours donnés. Dans l’étude introductive de la notion de limite, on pourra utiliser la calculatrice pour conjecturer des limites de fonctions convenablement choisies. L’unicité de la limite en un point fera l’objet d’une remarque. Pour les limites des fonctions composées, on s’en tiendra aux fonctions : x→ f(ax + b) où f est une fonction de référence. COMMENTAIRES Continuité en un point Définition de la continuité en un point Démontrer qu’une fonction est continue en un point donné. Les fonctions définies par raccordement sont hors programme. Prolonger par continuité une fonction en un point. Tous ces théorèmes sont admis. Calculer le nombre dérivé d’une fonction en un point. Déterminer une équation de la tangente à une courbe en un point donné. Tableau des dérivées des fonctions de référence : x→ k, x→ ax + b,x→ xⁿ, x→ (n є IN*), x→ √x, x→ cos x, x→ sin x, x→ tan x. Connaissant le nombre dérivé de f en xο, construire la tangente à la courbe au point d’abscisse xο sans utiliser une équation de cette tangente. Utiliser la notion de dérivée pour résoudre des problèmes d’optimatisation. Opérations sur les fonctions dérivables (somme, produit, inverse, quotient). Déterminer la fonction dérivée d’une fonction sur un intervalle. Les fonctions : x→ k, x→ ax + b, x→ xⁿ, x→ (n є IN*), x→ √x, les fonctions polynômes et rationnelles sont continues en tout point de leur ensemble de défini. Prolongement par continuité. Dérivation Nombre dérivé en un point. Interprétation graphique du nombre dérivé en un point. Fonctions dérivables sur un intervalle : - définition. Théorème (admis) donnant le sens de variation d’une fonction dérivable sur un intervalle à partir du signe de sa dérivée. Extremum relatif d’une fonction. CONTENU Représentations graphiques de fonctions Fonctions polynômes de degré inférieur ou égal à trois. Fonctions homographiques. Fonctions du type x→ ax + b + Notion d’asymptote oblique. SAVOIR-FAIRE NOUVEAUX Représenter graphiquement les fonctions polynômes de degré inférieur ou égal à trois. Représenter graphiquement les fonctions homographiques. Représenter graphiquement les fonctions du type x→ ax + b + Donner l’allure de la représentation graphique d’une fonction à partir de son tableau de variation. Dresser le tableau de variation d’une fonction à partir de sa représentation graphique. Démontrer qu’une droite donnée est asymptote oblique à la représentation graphique d’une fonction. Interpréter graphiquement lim (f(x) – (ax + b) = 0 Calculer Card (AUB). Utiliser un arbre de choix, un tableau, un diagramme,… pour dénombrer. Calculer le nombre de p-listes d’un ensemble à n éléments. Calculer le nombre d’arrangements à p éléments d’un ensemble à n éléments (n ≥ p). Calculer le nombre de permutations d’un ensemble à n éléments. COMMENTAIRES Toute étude de fonction doit être guidée. L’étude d’une fonction comprendre tous les éléments utiles au tracé de sa représentation graphique. Ce thème ne concerne que les ensembles finis. La théorie des ensembles n’est pas au programme. A travers des exercices simples, établir le lien entre : - le nombre de p-listes et le nombre d’applications d’un ensemble de p éléments dans un ensemble à n éléments ; - le nombre d’arrangements et le nombre bijections. L’utilisation des n !, (n ≥ p). ne doit pas faire l’objet de calculs formels mais doit s’inscrire dans le cadre d’activités de dénombrement. Le triangle de Pascal est utilisé pour calculer rapidement les C La formule du binôme est hors programme x→◦◦ Dénombrement Cardinal d’un ensemble fini. Produit cartésien. - p-listes. - Arrangements. - Permutations. - Notation factorielle. Partition d’un ensemble. - combinaisons. Propriétés : - triangle de Pascal Utiliser à bon escient les trois notions fondamentales : p-listes, arrangement, combinaison. Calculer : (n ≥ p). CONTENU Suites numériques Définition d’une suite numérique : - par une formule explicite ; -par une formule de récurrence. Suites arithmétiques et suites géométriques : - définition ; - expression du terme général en fonction d’un terme quelconque et de la raison ; - somme de n termes consécutifs. SAVOIR-FAIRE NOUVEAUX Calculer les premiers termes d’une suite. Représenter graphiquement les premiers termes d’une suite numérique. Démontrer qu’une suite est arithmétique ou géographique. Calculer la raison d’une suite arithmétique ou géométrique. Connaissant un terme quelconque et sa raison, calculer un terme de rang quelconque. Calculer la somme de n termes consécutifs d’une suite arithmétique ou géométrique. COMMENTAIRES La convergence d’une suite n’est pas au programme de cette classe. CONTENU Statistiques Séries statistiques représentant des regroupements en classes. - Effectifs cumulés. - Fréquences cumulées. SAVOIR-FAIRE NOUVEAUX - caractéristiques de position - caractéristiques de dispersion : écart, moyen, variance, écart-type. Séries statistiques à deux caractères. - Nuage de points. - Ajustement linéaire. Construire l’histogramme d’une série statistique représentant un regroupement en classes données, d’amplitudes différentes. Déterminer les effectifs, les fréquences, les effectifs cumulés, les fréquences cumulées d’une série statistique regroupée en classes. Construire les polygones correspondant aux effectifs cumulés et aux fréquences cumulées. Une série statistique représentant un regroupement en classes étant donnée ; - déterminer une classe modale ; - déterminer la médiane : - graphiquement, - algébriquement (interpolation linéaire) ; - calculer la moyenne ; - calculer l’écart moyen, la variance et l’écarttype ; - interpréter ces paramètres. Représenter une série statistique à deux caractères par un nuage de points. Représenter une série statistique à deux caractères par un tableau à double entrée. Calculer la covariance et le coefficient de corrélation linéaire. Déterminer les droites d’ajustement linéaire (les droites de régression) par la méthode des moindres carrés. Construire les droites d’ajustement linéaire. Apprécier la fiabilité d’une estimation en fonction du coefficient de corrélation. COMMENTAIRES Les classes ne sont pas nécessairement de même amplitude. L’élève a déjà travaillé sur ces notions dans le cas des séries à variables discrètes. On lui fera remarquer qu’il suffit ici de remplacer dans les calculs les modalités par les centres des classes. Ces séries seront étudiées sur des exemples concrets. Détermination des droites d’ajustement linéaire (lorsque le nuage de points le suggère) par la méthode des moindres carrés sera privilégiée en première C. PROGRAMME DE PREMIERE D Octobre 1998 I- GEOMETRIE DE L’ESPACE CONTENU Droites orthogonales Droites et plans orthogonaux Propriétés. Orthogonalité et parallélisme. Plans perpendiculaires Projection orthogonale sur un plan Image d’un point, d’une droite, d’un segment. Propriété de l’image du milieu d’un segment. SAVOIR-FAIRE NOUVEAUX Sur une configuration donnée ; - conjecturer deux droites orthogonales ; - justifier que deux droites sont orthogonales. Sur une configuration donnée : - conjecturer l’orthogonalité d’une droite et d’un plan ; - justifier qu’ne droite et un plan, ou deux droites ou deux plans sont parallèles. Sur une configuration donnée : - conjecturer la perpendicularité de deux plans ; - justifier que deux plans sont perpendiculaires. Sur un pavé droit déterminer le projeté de points, de droites, de segments. COMMENTAIRES On visualisera les définitions et les propriétés de l’espace à l’aide de solides, de maquettes et de l’environnement de l’élève. Les dessins seront effectués en perspective cavalière mais aucune théorie sur ce point n’est à développer. II- TRIGONOMETRIE CONTENU Mesures d’un angle orienté Relation de Chasles. Ensemble de mesures SAVOIR-FAIRE NOUVEAUX Fonctions sinus, cosinus, tangente Définition du sinus, du cosinus, de la tangente d’un nombre réel. Propriétés du sinus, du cosinus, de la tangente d’angle orientés associés. Représentation graphique des fonctions sinus, cosinus et tangente. Equations trigonométriques Formules usuelles de transformation Formules d’addition. Formules de duplication. Réduction de a cos x + b sin x. Déterminer la mesure principale d’un angle orienté dont on connaît une mesure. Utiliser la relation de Chasles pour déterminer une mesure de la somme de deux angles orientés. Justifier que deux nombres réels donnés sont des mesures d’un même angle orienté. Déterminer le sinus, le cosinus, la tangente d’un nombre réel. Utiliser les lignes trigonométriques des angles associés pour : - calculer de nouvelles mesures ; - transformer des expressions trigonométriques. Résoudre graphiquement les inéquations trigonométriques du type : cos x ≤ a, sin x ≤b, tan ≤ c (a, b, c sont des nombres réels donnés). a étant un nombre réel donné, résoudre dans IR les équations du type : cos x = cos a, sin x = sin a, tan x = tan a. Résoudre dans IR les équations du type ; cos x = a, sin x = b, tan x = c (a, b, et c sont des nombres réels donnés). Représenter sur le cercle trigonométrique les points images des solutions d’équations trigonométriques. COMMENTAIRES Les mesures des angles orientés sont exprimées en radians. On entraînera les élèves à retrouver ces formules d’angles orientés a l’aide du cercle trigonométrique ou d’une figure. ,on pourra à cette occasion résoudre quelques équations trigonométriques se ramenant aux cas ci-contre. Utiliser les formules d’addition et de duplication pour : - calculer des lignes trigonométriques ; - transformer des expressions trigonométriques. Résoudre l’équation a cos x + b sin x + c = 0 (a # 0 et b # 0). III- OUTIL VECTORIEL CONTENU Barycentre de 2 ou 3 points pondérés Barycentre de 2 points pondérés. Barycentre de 3 points pondérés. - Barycentre partiel. Isobarycentre : - caractérisation vectorielle du milieu d’un segment ; - caractérisation du centre de gravité d’un triangle. Coordonnées du barycentre. IV- SAVOIR-FAIRE NOUVEAUX Construire le barycentre de 2 ou 3 points pondérés donnés. A partir d’une écriture vectorielle, nommer un barycentre. Justifier qu’un point donné est barycentre de 2 ou 3 points pondérés donnés. Soit A, B et G trois points alignés. Déterminer des nombres réels a et β pour que G soit barycentre des points pondérés (A, a) et (B,β) COMMENTAIRES Mettre en œuvre la notion de barycentre dans des problèmes concrets. Calculer les coordonnées d’un barycentre dans un repère donné. TRANSFORMATIONS DU PLAN CONTENU Homothétie – Rotation Translation. Homothétie. Rotation. Composée d’homothétie de même centre. Composée de rotations de même centre. SAVOIR-FAIRE NOUVEAUX Utiliser l’homothétie ou la rotation pour : - démontrer des propriétés ; - résoudre des problèmes de construction ; - déterminer des lieux géométriques. Construire l’image d’un point, d’un segment, d’une droite, d’un triangle par la composée de deux homothéties de même centre ou de deux rotations de même centre. Utiliser les propriétés, pour justifier un résultat. Reconnaître des images de points par la composée de deux homothéties de même centre ou de deux rotations de même centre sur des configurations données. COMMENTAIRES Renforcer les savoir-faire de niveau 1 vus en seconde en ajoutant les savoir-faire de niveau 2. ACTIVITES NUMERIQUES I- CALCUL LITTERAL CONTENU Equation et inéquation du second degré Discriminant. SAVOIR-FAIRE NOUVEAUX Utiliser le discriminant pour : - résoudre une équation du second degré ; - étudier le signe d’un polynôme du second degré ; - factoriser un polynôme du second degré. Somme et produit des solutions d’une équation du second degré. Utiliser la somme ou le produit des solutions pour trouver une solution connaissant l’autre. Déterminer deux nombres connaissant leur somme et leur produit. Interprétation graphique. Résoudre une inéquation du second degré. Résoudre graphiquement une équation ou une inéquation de second degré. Equation et inéquation irrationnelles Systèmes de 3 équations linéaires dans IR³ Système d’inéquations dans IR³ COMMENTAIRES On préférera la terminologie « zéro » d’un polynôme à « racine » d’un polynôme. Résoudre une équation du type : √p(x) = q(x). Résoudre une inéquation du type : √p(x) ≤ q(x). P et q sont des polynômes tels que d°(p)≤ 2 et d°(q) ≤ 1. Résoudre un système de trois équations linéaires dans IR³, ayant une unique solution. Aucune théorie sur la méthode du pivot de Gauss n’est exigible. On privilégiera la méthode de triangularisation (ou trigonalisation). On traitera 1 ou 2 problèmes de programmation linéaire sans exigence de savoir-faire. II- ORGANISATION DES DONNEES CONTENU Généralités sur les fonctions Restriction d’une fonction : définition. Comparaison de deux fonctions. SAVOIR-FAIRE NOUVEAUX Comparer deux fonctions définies par leurs représentations graphiques. Comparer deux fonctions définies par leurs formules explicite. Déterminer les extremums relatifs d’une fonction à l’aide de sa représentation graphique. Interpréter graphiquement l’inéquation, f(x) ≤ g(x) (positions relatives des représentations graphiques de f et g). Extremums relatifs. Opérations sur les fonctions : somme, produit, quotient de deux fonctions. Composition de deux fonctions : ensemble de définition. Bijection, bijection réciproque, représentation graphique de la bijection réciproque d’une bijection dans un repère orthonormé. Représentation graphique des fonctions associées : x→ f(x – b) ; x→ f(x) + b ; x→ f(x – a) +b . x→ f(-x) ; x→ - f(x) ; x→ ׀f(x)׀. Connaissant la courbe représentative de f, représenter graphiquement les fonctions associées : x→ f(x – a) ; x→ f(x) + b ; x→ f(x – a) + b ; x→ f(-x) ; x→ - f(x) ; x→ ׀f(x)׀. Parité : - définition ; - interprétation graphique. Démontrer qu’une fonction est paire ou impaire. Connaissant la représentation graphique d’une fonction paire ou impaire sur un ensemble d’étude, la construire sur son ensemble de définition. Conjecturer la représentation graphique d’une fonction paire ou impaire. COMMENTAIRES Déterminer l’ensemble de définition de la composée de deux fonctions. Déterminer la formule explicite de la composée de deux fonctions. Dans les composées de deux fonctions, on se limitera à des fonctions simples. On limitera les choix de la fonction f aux fonctions de référence. Dans le cas contraire, on fournira la courbe représentative de f. Mettre en évidence l’existence de fonctions ni paires ni impaires. Conjecturer la représentation graphique d’une bijection. Construire la courbe représentative de la bijection réciproque d’une bijection dans un repère orthonormé. CONTENU Périodicité : - définition - interprétation graphique Axe et centre de symétrie. Limite et continuité Approche intuitive de la notion de limite finie et infinie. Opérations sur les limites. Limites de fonctions de référence. Continuités d’une fonction en un point. SAVOIR-FAIRE NOUVEAUX Connaissant la représentation graphique d’une fonction périodique sur un intervalle d’amplitude p (p en étant la période) construire sa représentation graphique sur son ensemble de définition. Un nombre réel strictement positif p étant donné, vérifier que p est une période d’une fonction f. Conjecturer la représentation graphique d’une fonction périodique et en conjecturer une période. COMMENTAIRES Démontrer que la droite d’équation x = a est un axe de symétrie de la courbe représentative d’une fonction dans un repère orthogonal. Démontrer qu’un point donné est centre de symétrie de la courbe représentative d’une fonction. Conjecturer à partir de la courbe représentative d’une fonction les éléments de symétrie. L’axe et le centre de symétrie seront toujours donnés. Justifier qu’une fonction est continue en un point. Conjecturer graphiquement qu’une fonction est continue en un point ou non. Utiliser les opération sur les limites pour calculer les limites éventuelles de certaines fonctions. La calculatrice peut être une aide pour l’approche intuitive de la notion de limite. CONTENU Dérivée Fonction dérivable en un point, nombre dérivé. Interprétation géométrique du nombre dérivé, équation de la tangente. Fonction dérivable sur un intervalle ouvert. Fonctions dérivées des fonctions de référence. Opérations sur les fonctions dérivables (somme, produit, inverse, quotient). Fonction dérivée de la fonction x→ f(ax + b) où f est une fonction de référence. Lien entre le signe de la dérivée et le sens de variation d’une fonction sur un intervalle. Lien entre dérivée et extremum. Extension de la notion de limite Limite à l’infini d’une fonction polynôme, d’une fonction rationnelle. Asymptotes verticales et horizontales. Etude et représentation graphique d’une fonction Fonctions polynômes de degré inférieur ou égal à 3. Fonctions rationnelles : - fonctions homographiques ; - fonctions du type x→ ax + b + Asymptotes obliques. SAVOIR-FAIRE NOUVEAUX Calculer le nombre dérivé d’une fonction en un point ; Déterminer une équation de la tangente. Construire la tangente en un point de la courbe représentative d’une fonction sans utiliser une équation de la tangente. Déterminer la fonction dérivée d’une fonction sur un intervalle. x→ xⁿ (n є IN*) ; x→ ; x→ cos x ; x→ sin x ; x→ tan x ; x→ (n є IN*) ; On ne demandera pas de justifier qu’une fonction est dérivable sur un intervalle. Démontrer qu’une droite donnée est asymptote verticale ou horizontale à une représentation graphique d’une fonction donnée. Une fonction polynôme ou rationnelle f étant donnée par une formule explicite, déterminer, après avoir trouvé son ensemble de définition : - le tableau de variation de f ; - les extremums relatifs éventuels de f ; - les asymptotes verticales ou horizontales à la courbe de f. Utiliser les représentations graphiques des fonctions f et g pour résoudre graphiquement des équations ou des inéquations du type : f(x) = gx), f(x) ≤ g(x). x→√x ; Utiliser les opérations sur les fonctions dérivables et les dérivées des fonctions de référence pour calculer des fonctions dérivées. Utiliser le signe de la dérivée d’une fonction pour déterminer son sens de variation sur un intervalle donné. Utiliser la dérivée pour chercher un extremum d’une fonction. COMMENTAIRES Les fonctions de référence considérées ici sont les suivantes : x→ ax + b ; Lorsque la fonction est paire ou impaire, on le suggérera à l’élève. CONTENU Suites numériques Définition. Suite déterminée par : - une formule explicite ; - une formule de récurrence. Suites arithmétiques, suites géométriques. - Expression du terme général en fonction d’un terme quelconque et de la raison. - Somme de n termes consécutifs. SAVOIR-FAIRE NOUVEAUX Dénombrement Card(A B) = Card(A) + Card(B) – Card(A ). Card (A x B) = Card (A) x Card (B). Card (Ap) = (Card A)p, P є IN*. Listes à p éléments : p-listes. Nombre de p-listes d’un ensemble à n éléments (répétition) : n° Nombre de p-listes d’un ensemble à n éléments (sans répétition) ou parrangements) : A , Nombre de combinaisons à p éléments d’un ensemble à n éléments (n ≥ p) : Calculer les premiers termes d’une suite. Représenter graphiquement les premiers termes d’une suite. Justifier qu’une suite est arithmétique, géométrique. Déterminer ma raison d’une suite arithmétique ou géométrique. Calculer une somme de termes consécutifs d’une suite arithmétique, géométrique. Utiliser ces égalités pour résoudre des problèmes de dénombrement. Utiliser un arbre de choix, un tableau, un diagramme, … pour dénombrer. Résoudre un problème de dénombrement en justifiant la démarche. COMMENTAIRES Les suites arithmétiques et géométriques doivent être introduites à partir de problèmes concrets (économie, démographie, biologie, etc). La convergence d’une suite est hors programme. CONTENU Statistiques Séries statistiques regroupées en classes. SAVOIR-FAIRE NOUVEAUX Représentation graphique : histogramme, courbe cumulative, polygones des effectifs et des fréquences. Classes modales. Caractéristiques : - de position ( moyenne, médiane ) et de dispersion (variance, écart-type) ; - des séries statistiques regroupées en classes. Regrouper les modalités en classes données, d’amplitudes différentes. Construire l’histogramme des effectifs et des fréquences d’une série statistique regroupée en classes d’amplitudes différentes. Construire des courbes cumulatives. Construire des polygones des effectifs et des fréquences. Déterminer une classe modale d’une série statistique regroupée en classes d’amplitudes différentes. Calculer les paramètres de position et de dispersion d’une série statistique regroupée en classes. COMMENTAIRES Les séries statistiques à deux caractères sont hors programme.