Résolution de problème Flute de Pan
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Résolution de problème Flute de Pan
Résolution de problème Flute de Pan La colonne d’air contenue dans un des tuyaux d’une flute de pan est ouverte en haut (là où on souffle) et fermée en bas. On peut accorder le tuyau en faisant couler de la cire dedans. La pression acoustique qui est la grandeur vibrant spatio-temporellement est donc astreinte à posséder un ventre en bas et un nœud en haut. Les notes de la gamme sont ainsi étagées, la première ligne donne les fréquences en Hz. 261.6 277.2 293.7 311.1 329.6 349.2 370.0 392.0 415.3 440.0 466.2 493.9 523.3 554.4 587.3 Do3 do re re mi fa fa sol sol La3 la si Do4 do re 1 1 1 2 31 14 5 6 7 12 8 2 212 212 212 212 212 212 2122 6 2 4 =1 1.059463094 1.189207115 23 1.334839854 1.414 1.498307077 1.122462048 1.259921050 9 10 11 12 13 14 212 212 212 212 =2 212 212 Tierce Quinte septiè octave neuviè avec avec me avec me do3 do3 avec do3 avec do3 do3 Dessiner cote à cote et à l’échelle les tuyaux qui jouent les notes de la gamme du do3 au do4 supérieur en passant par le la3 qui sonne 440 Hz. Ne pas dessiner les tuyaux qui joueraient les Réponse : On considère un des tuyaux de la flute de pan de longueur L dans lequel la célérité des ondes sonores est celle des ondes acoustique dans l’air c=340m/s. On écrit l’onde stationnaire qui y règne sous la forme p(x,t)=p 0 sin(kx) sin ( t) . La relation entre les fréquences de vibrations possibles fermé est : n c 4L nc 2L (2n 1) c 4L n et un entier n et la longueur L du tuyau ouvert relation équivalente à : n 4L 2n 1 si on se limite aux fondamentales : les tuyaux les plus longs sont les plus graves 0 L c 4 0 Do3 re mi fa sol la si Do4 261.6 32.5 293.7 28.9 329.6 25.8 349.2 24.3 392.0 21.7 440.0 19.3 493.9 17.2 523.3 16.2 0 n N c 4L L c 4 0 pointplot({[1,16.2],[2,17.2],[3,19.3],[4,21.68],[5,24.34],[6,25.78],[7,28.9],[8,32.5]}); Do3 re mi fa sol Do4 si la Pour une flute qui joue du do3 au do 4 Ici on présente les tuyaux dans l’ordre plus aigu au plus grave soit la gamme inversée do, si, la, sol, fa, mi, ré, do. Les passages si-do et mi-fa diffèrent clairement des autres car il n’y a là qu’un ½ ton.