la france en villes - Monsieur Parchemin

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la france en villes - Monsieur Parchemin
M. Parchemin – Lycée Antoine de Saint-Exupéry – Classes de première générale – Année 2013-2014
LA FRANCE EN VILLES
NOTIONS : métropolisation, agglomération, aire urbaine, étalement urbain, périurbanisation, macrocéphalie,
fragmentation socio-spatiale, rénovation urbaine, polarisation
I – Une France de plus en plus citadine par l’étalement des villes
A – Une croissance urbaine qui a donné naissance à des espaces spécifiques
B – La diffusion de l’urbain et ses conséquences → cours page 132 et 146
C – Les espaces ruraux : nouveaux territoires de l’urbain → cours page 146
II – La France : un territoire fortement métropolisé
→ Cours page 136 : A – Une région capitale puissante et mondialisée
B – Vers un polycentrisme plus affirmé
C – Le destin inégal des villes petites et moyennes
III – Des espaces urbains socialement fragmentés
→ Cours page 142 : A – Une fragmentation urbaine accentuée
B – Peut-on parler de sécession urbaine ?
C – Des politiques de cohésion aux résultats incertains
Introduction page 126 :
- une France très urbaine, fortes mutations
- augmentation de l’étalement et des mobilités
- régions urbaines polycentriques (avec différents niveaux de villes)
- la mondialisation renforce le dynamisme des grandes villes (métropolisation)
- inégalités socio-spatiales
- fin de l’opposition ville/campagne
Quelles évolutions connait actuellement la France des villes ?
I – Une France de plus en plus citadine par l’étalement des villes
A – Une croissance urbaine qui a donné naissance à des espaces spécifiques
Repère B page 132 : Pays de tradition rurale, la France s’est urbanisée tardivement par rapport à
ses voisins (la population urbaine ne dépasse la population rurale qu’en 1931).
Carte 1 page 128 : L’urbanisation du pays se poursuit actuellement avec toutefois des différences
régionales. Les agglomérations du quart Nord-Est et du Centre de la France (y compris Paris) voient
leur population augmenter faiblement (voire diminuer dans le Nord et dans le Centre). À l’inverse
dans tous l’Ouest et le Sud du pays (y compris les Alpes), on constate de fortes augmentations. Il
s’agit là d’un rééquilibrage Est/Ouest (depuis très longtemps, l’Est était plus urbanisé et industrialisé
tandis que l’Ouest était rural et agricole). Cette évolution s’explique par l’attractivité du littoral
(atlantique et méditerranéen) mais aussi le dynamisme des métropoles régionales que sont Rennes,
Nantes, Bordeaux, Toulouse, Montpellier, Marseille, Nice et Lyon.
Étude des photographies aériennes page 127 (Nantes) et 133 (Nîmes).
On peut lire dans l’organisation de la plupart des villes, l’histoire de l’urbanisation de notre pays :
Le centre-ville : la ville de l’époque antique et médiévale
Type de bâti : Forte densité, ruelles, trace des remparts, monuments anciens (cathédrale, hôtel de ville).
Fonctions : les plus prestigieuses, commerce de luxe, banques, sièges sociaux des entreprises, fonctions
administratives (préfecture, palais de justice)
Évolution : Délaissés dans les années 1960 lors de l’arrivée de la voiture individuelle, les centres anciens sont
maintenant réhabilités pour accueillir des populations plus aisées (processus de gentrification).
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Les faubourgs : quartiers d’habitation développés surtout au XIXe siècle
Type de bâti : dense, rues droites, première extension de la ville du temps de l’industrialisation (présence de la
gare, d’anciennes fabriques)
Fonctions : habitat, autrefois fonctions industrielles (présence de la gare et d’anciennes usines)
Évolution : Les usines ont été déplacées à l’extérieur de la ville car trop polluantes et parce qu’elles ont trouvé
des terrains moins cher ailleurs, elles sont remplacées par des équipements collectifs ou du logement.
Les banlieues : développées au XXe siècle, surtout durant les Trente Glorieuses
Type de bâti : bâti peu dense (pavillons ou grands ensembles) développé après-guerre du fait de l’exode rural
(les banlieues populaires séparées du reste de la ville par de fortes discontinuités, ex. autoroute, voie ferrée).
Fonction : habitat, zones commerciales et zones d’activité
Évolution : À l’origine les banlieues étaient très attractives (logements neufs et modernes, quartiers aérés et
arborés adaptés à l’automobile) puis leurs occupants ont déménagé vers des maisons individuelles et ont été
remplacés par des populations pauvres, souvent immigrées. Ce type d’habitat a été dégradé puis stigmatisé (auj.
destruction). Il s’agit également de corriger les défauts de cet espace urbain : faible mixité sociale, chômage,
absence de transport, séparation du reste de la ville par de fortes discontinuités (ex. autoroutes, voies ferrées).
Les espaces périurbains : encore en cours de développement
Type de bâti : habitat individuel sous forme de lotissement greffé à des villages anciens ou de mitage
(Prolifération non maîtrisée de constructions en milieu rural ou périurbain).
Fonction : résidentielle mais aussi commerciale (vastes zones commerciales en périphérie) et même industrielle
(haute technologie), transports (autoroutes, aéroports), loisirs (aires récréatives : forêts, parcs d’attraction).
Évolution : La maison individuelle reste un idéal pour de nombreux citadins. En étant éloigné du centre, le prix
au m² est moins élevé. D’autres avantages séduisent les familles (grande surface, jardin). Pourtant
l’allongement des temps de transports constitue le revers de la médaille.
On constate que globalement :
– plus on s’éloigne du centre, plus le prix du foncier est faible (et donc les possibilités de
construire de vastes équipements ou de l’habitat individuel augmentent)
– plus on s’éloigne du centre, plus la densité du bâti est faible (et donc la densité de population,
repère A page 132).
B – La diffusion de l’urbain et ses conséquences
La périurbanisation est le phénomène qui contribue le plus à la transformation des territoires à
l’heure actuelle, elle se fait quasi-exclusivement sous la forme de maisons individuelles (densité 208
hab./km² contre 800 hab./km² en moyenne dans les pôles urbains). La destruction d’espace ouvert
(naturel ou agricole) par ce phénomène est donc maximal. On estime qu’en 10 ans, la surface
urbanisée en France représente l’équivalent d’un département !
Une concurrence entre acteurs se développe pour des espaces de plus en plus des agglomérations :
l’opposition entre un projet immobilier (construction de lotissement), une exploitation agricole ou la
préservation du paysage peut donner lieu à un conflit d’usage.
Ce nouvel espace pose aussi une question de définition : s’agit-il encore d’une espace rural quand la
plupart des habitants travaillent en ville et on un mode de vie typiquement citadin ?
Auparavant, les agglomérations de plus de 2000 habitants étaient considérées comme urbaines.
Avec les mutations récentes, l’INSEE a décidé de créer un zonage plus précis qui évolue
régulièrement (chiffres modifiés) (doc. 2 page 133) :
✔ L’espace à dominante urbaine (30 % du territoire mais 80 % de la population)
– Un pôle urbain offrant plus de 5000 emplois (chiffre porté depuis à 10 000)
– Des communes périurbaines dont au moins 40 % des actifs travaillent dans le pôle urbain
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✔
L’espace à dominante rurale (70 % du territoire mais 20 % de la population)
– Les petits pôles (entre 2000 et 5000 emplois) et leur périphérie ( 20 % des actifs travaillent
dans le pôle, chiffre ramené depuis à 40 %)
– L’espace rural isolé
Ces définitions statistiques ont ceci de particulier que des petites villes de quelques milliers
d’habitants sont considérées comme de simples pôles de l’espace rural tandis que des villages à
proximité de grandes métropoles seront considérés comme urbains.
Les aires urbaines permettent d’évaluer l’attractivité des principales villes françaises : le chiffre clé
est celui des 40 % d’actifs qui se déplacent quotidiennement vers le pôle urbain qui offre des
emplois. Les aires urbaines correspondent donc à des bassins d’emploi organisés autour d’une ville.
La tendance à la concentration des emplois dans les villes d’une part, et à l’installation toujours plus
loin des centre-villes d’autre part conduisent à une forte augmentation des mobilités (carte doc. 1
page 140).
→ Activité pages 134-135 : Comment se développe l’aire urbaine de Toulouse?
C – Les espaces ruraux : nouveaux territoires de l’urbain
Alors que dans les années 1960 à 1990, on avait envisagé la désertification du territoire (abandon
des espaces ruraux), on constate que ces sont des espaces de plus en plus intégrés aux
dynamiques urbaines.
Les statistiques de l’INSEE montrent cette évolution par les catégories mêmes qui sont utilisées :
– Grands pôles urbains (plus de 10 000 emplois) et leurs couronnes périurbaines (82 % de la
population)
– Moyens pôles (plus de 5000 emplois) et leurs couronnes périurbaines (3,5 % de la population)
– Petits pôles (plus de 1500 emplois) et leurs couronnes périurbaines (4 % de la population)
– Communes isolées hors influence des pôles (5 % de la population)
– les 5,5 % manquant représentent les communes multipolarisées des petits et moyens pôles.
Entre les années 1990 où les zonage de l’INSEE a été créé (doc. 2 page 133) et aujourd’hui, on
constate l’abandon pur et simple de la mention « rural ». Seuls 5 % de la population vit dans des
communes en dehors de toute influence urbaine (rural isolé) mais les petites villes sont considérées
comme appartenant à l’« espace à dominante rurale » ce qui porte ce chiffre à 18 %.
L’utilisation de l’expression « à dominante » rurale ou urbaine montre que l’INSEE ne peut plus
facilement établir la limite entre villes et campagnes.
Depuis une vingtaine d’années, l’espace ruraux recommencent à gagner des habitants. En réalité, il
faut distinguer plusieurs cas de figure (carte doc. 1 page 147) :
–
Les espaces ruraux périurbains sont très attractifs : la périurbanisation touche des territoires
de plus en plus loin des centres. Prix faible du foncier et confort de vie (maison, jardin) sont
les deux moteurs de cette tendance. Cet espace est donc très dynamique
démographiquement en raison de soldes migratoire (installation de nouveaux habitants) et
naturel (naissances car ce sont des couples actifs qui s’installent) très positifs. De
nombreuses communes rurales passent dans l’aire d’influence des villes : à partir du moment
où 40 % des actifs travaillent dans le pôle urbain, la commune cesse même d’être considérée
comme rurale pour intégrer la couronne du pôle urbain.
→ pourtour de toutes les grandes agglomérations, notamment dans le bassin parisien, sur le
littoral atlantique et toute la franche Est du pays (Alsace, Franche-Comté, Rhône-Alpes,
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–
–
PACA)
Les espaces ruraux touristiques sont dynamisés par leurs atouts naturels : les
aménagements sont alors primordiaux comme les stations intégrées pour le ski ou le tourisme
balnéaire ou encore les parcs régionaux et nationaux peuvent stimuler le tourisme vert. Les
résidences secondaires et l’économie touristique dans son ensemble dynamisent ces
espaces.
→ Littoral atlantique, Sud-Ouest et surtout Sud-Est en particulier les Alpes et les Pyrénées
Les espaces ruraux fragiles constituent une part importante du territoire mais très peu de
population. Il s’agit en effet des espaces ruraux isolés (non polarisés par des pôles d’emplois)
où les seules activités sont l’agriculture et éventuellement des petites industries anciennes. On
y constate un déclin démographique et un important vieillissement de la population. Ce sont
les espaces qui souffrent le plus de la fermeture des commerces ou des services publics de
proximité.
→ Dans l’Ouest, cet espace rural agricole reste dynamisé par les pôles petits et moyens ; la
situation est plus préoccupante dans la diagonale des faibles densités qui s’étend du NordEst au Sud-Ouest du pays.
Pour les espaces ruraux en difficulté, des politiques d’aménagement du territoire spécifiques sont
menées dans un soucis de cohésion :
– création de pôles d’excellence ruraux ou de systèmes productifs locaux pour aider la
production agricole et industrielle locale
– création de zones de revitalisation rurale pour améliorer les services des santé, et valoriser les
espaces naturels et agricoles
– financements du programme européenne « Leader + » pour aider la création de projets
innovants par des acteurs locaux
– possibilité de créer des « pays » : territoire de cohésion géographique, culturelle, économique
et sociale, porteur d’un projet de développement durable qui prend la forme d’une charte de
pays. On compte 350 pays en France qui permettent de dynamiser les espaces ruraux.
→ Analyse de la photographie doc. 2 page 147 :
Expliquez à partir de cette photographie les caractéristiques du phénomène de périurbanisation.
Depuis plusieurs décennies, la France est massivement touchée par le phénomène de
périurbanisation qui consiste à urbaniser des territoires sans continuité avec les agglomérations, le
plus souvent par extension des villages anciens comme nous le montre ce document. Il s’agit d’une
photographie prise dans le village de Trévillers (476 habitants) dans le département du Doubs en
France-Comté. Il s’agit d’une commune appartenant à l’espace rural isolé, pourtant cette
photographie montre qu’elle n’est pas ignorée par le phénomène de périurbanisation. C’est en effet
la forme d’étalement urbain la plus importante à l’heure actuelle. En quoi ce document nous
montre-t-il les principales caractéristiques de ce phénomène ? Nous analyserons pour cela la
photographie en traitant successivement chacun de ses trois plans en commençant par le village à
l’arrière plan, puis le pavillon et son jardin pour finir par le véhicule garé au premier plan.
1. La périurbanisation : une exurbanisation greffée à des noyaux villageois anciens
La maison (neuve) a été construite très près d’un village de très petite taille (clocher et
maisons plus anciennes visibles à l’arrière plan) ce qui prouve une périurbanisation récente
2. L’idéal de l’accession à la propriété en logement individuel
Maison petite mais suffisante pour une famille moyenne, jardin pour les enfants (jeux,
piscine gonflable), prix du foncier plus faible en s’éloignant des grandes agglomérations
3. La périurbanisation a des conséquences sur les mobilités
Emplacement pour deux véhicules, SUV automobile symbole des espaces périurbains,
multiplication des trajets (courses, activités, travail, etc.) et augmentation des distances
(Maîche à 8 km, Montbéliard à 40 km, Besançon à 80 km).
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II – La France : un territoire fortement métropolisé
→ Cours page 136
A – Une région capitale puissante et mondialisée
→ Etude de la carte page 130-131 :
– Paris constitue la seule ville mondiale en Europe avec Londres (elles seules dépassent 10
millions d’habitants)
– En revanche, les autres métropoles françaises sont de taille très limitée en comparaison avec
les métropoles des pays voisins.
– Les métropoles de rang national sont peu nombreuses en comparaison avec les situations du
Royaume-Uni, du Benelux, de l’Allemagne, de l’Italie et même de la Pologne.
On est donc en présence en France d’un réseau urbain macrocéphale où la capitale domine au
détriment des autres métropoles.
→ Cours page 136
On constate en France la métropolisation par la concentration des fonctions de commandement dans
un petit nombre de villes (et avant tout à Paris) :
– fonctions politiques : siège de la présidence de la République et des assemblées,
ministères, ambassades, siège de l’UNESCO
– fonctions économiques : sièges d’entreprises (notamment FTN), bourse
– fonctions culturelles : sièges de grands médias, salles de spectacles, opéras, théâtre,
principaux musées, enceintes sportives...
Cette concentration peut se mesurer par la présence des emplois métropolitains supérieurs
(cadres des fonctions métropolitaines) → Carte doc. 1 page 137.
→ Sujet d’analyse de documents page 158-159 sur « les tours dans les villes françaises, reflets de la
métropolisation ? »
B – Vers un polycentrisme plus affirmé
→ Doc. 1 page 137
Un petit nombre de métropoles françaises tend à se développer avec un doublement des emplois
métropolitains supérieurs entre 1990 et 2007. Cette France du dynamisme métropolitain recoupe
exactement la France du dynamisme démographique (le renforcement des fonctions métropolitaines
est en effet un important facteur d’attractivité) : Ouest, Sud et Sud-Est.
Huit grandes villes (Lille, Nantes, Bordeaux, Toulouse, Marseille, Lyon, Strasbourg, Nancy-Metz) ont
été choisis dès les années 1960 pour devenir des « métropoles d’équilibre », c’est -à-dire rééquilibré
l’influence trop importante exercée par Paris.
Avec d’autres métropoles plus modestes, elles structurent le territoire français et polarisent leurs
environnement régional (ex. doc. 3 page 137). On y retrouve à leur échelles les fonctions de
commandement politique (conseils régionaux, administrations), économiques (principaux pôles
d’emplois, entreprises, commerces ou équipements rares) et culturels (universités, musées, salles de
spectacles et enceintes sportives).
→ Exemple pages 138-139 : les enjeux de la métropole lilloise
Les métropoles régionales françaises tendent à avoir de plus en pus de relations entre elles (réseau
autoroutier et désormais TGV sans passer par Paris) ou avec d’autres villes européennes avec
lesquelles elles sot en concurrence.
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→ Cours page 136
C – Le destin inégal des villes petites et moyennes
Rôle important pour l’organisation du territoire car elles offrent les services de proximité (santé,
éducation, commerce). Lorsqu’elles sont à proximité d’une métropole, elles peuvent participer au
dynamisme de leur aire d’influence (notamment dans le Sud et l’Ouest où la démographie est
dynamique) mais les villes petites et moyennes isolées sont en déclin et menacées par la fermeture
des services de base et la mise à l’écart des réseaux de transports modernes.
→ Cours page 136
III – Des espaces urbains socialement fragmentés
→ Cours page 142
→ Doc. 2 page 141 : Les aires urbaines sont-elles socialement homogènes ?
A – Une fragmentation urbaine accentuée
→ Cours page 142
→ Doc. 1 page 143, doc. 3 page 143, repère page 142
B – Peut-on parler de sécession urbaine ?
→ Cours page 142
→ Doc. 2 page 143
C – Des politiques de cohésion aux résultats incertains
→ Cours page 142
→ Activité page 144-145 sur la « fracture urbaine à Lyon »
Conclusion
La France des villes connait donc des mutations importantes qui changent le territoire :
métropolisation, périurbanisation et fragmentation socio-spatiale sont trois dimensions d’une même
évolution. La concentration des fonctions dans un nombre réduit de métropoles tend à mettre en
difficulté les espaces les plus isolés tandis que le prix du foncier et les aspirations des Français les
poussent à habiter toujours plus loin des centre favorisant un étalement urbain destructeur pour
l’environnement. La fragmentation des villes tend à se renforcer avec des discontinuités toujours plus
importantes entre des quartiers aux difficultés économiques et sociales et d’autres plus aisés. Dans
tous les cas, l’implication des acteurs politiques est nécessaire pour réduire les fractures dans la ville,
accompagner l’étalement urbain mais aussi renforcer l’attractivité des métropoles françaises dans la
compétition internationale.
Révisions pages 162 et 163
Croquis à réaliser : Les dynamiques urbaines en France
Composition : La métropolisation en France
Composition : Les dynamiques urbaines en France
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