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Le CAPC passe le cap des 40 ans - Libération En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies pour vous proposer des services et offres adaptés à vos centres d'intérêt. En savoir plus Accueil › Next › Culture › 01/05/2014 11:03 FERMER Arts le capc passe le cap des 40 ans ERIC LORET ENVOYÉ SPÉCIAL À BORDEAUX 31 MARS 2013 À 19:16 (MIS À JOUR : 2 AVRIL 2013 À 10:03) "Weener" de Philip Newcombie, présent dans la "table d'orientation". (Photo Courtesy de l'artiste, London) CRITIQUE Cuvée . Le musée d’art contemporain de Bordeaux déroule en 2013 une série d’expos fêtant quatre décennies dynamiques. On s’était dit qu’on intitulerait l’article «Poil incarné», si l’on revient en mai pour l’expo néomonographique de Sylvia Sleigh : il est 15 heures il y a quinze jours, et Alexis Vaillant, le responsable de la programmation du CAPC (Centre d’arts plastiques contemporains) de Bordeaux, détaille le programme de l’année, avec une rallonge de 150 000 euros pour ses 40 ans. Et il s’arrête longtemps sur Sylvia Sleigh, inconnue au bataillon, dont la toile reproduite dans le dossier de presse laisse supposer le pire, une sorte de David Hockney féminin qui aurait rencontré le Douanier Rousseau. «Son œuvre demande un moment d’adaptation dans la réception», glisse Vaillant, se foutant de notre gueule ou pas, on ne sait. «Elle peint en particulier les poils masculins avec une grande minutie.» Et c’est vrai qu’en allant faire un tour sur le site de la Tate Liverpool, où la rétrospective Leigh est présentée avant d’arriver à Bordeaux, horripilation garantie. La Galloise Sylvia Leigh (1916-2010) était l’épouse de Lawrence Alloway, curateur au Guggenheim et inventeur du terme pop art. Ses peintures «réalistes» représentent la faune culturelle de la côte Est des années 60 et 70, sapée et désapée, avec une prédilection pour le nu masculin, genre qu’elle entendait mettre en balance avec le sexisme du nu féminin. «C’était pour justifier, ou plutôt ne pas justifier, qu’on nous traitait comme des objets. Je voulais peindre les hommes tels que je les aimais, dignes, intelligents, des gens sympas», déclarait-elle à la fin de sa vie, dans un entretien pour le MoCA de Los Angeles. Quoi qu’il en soit, du 16 mai au 1er septembre, Alexis Vaillant s’amusera à accrocher les toiles de Sylvia Leigh par genre http://next.liberation.fr/arts/2013/03/31/le-capc-passe-le-cap-des-40-ans_892673 Page 1 of 2 Le CAPC passe le cap des 40 ans - Libération 01/05/2014 11:03 (portrait, intérieur, paysage, peinture historique), histoire de montrer que son œuvre est «disponible» et donc entièrement vivante, puisqu’on peut la réimaginer à volonté. La Britannique n’a en effet jamais revendiqué cette tradition générique. Antireflet. En même temps que Sylvia Leigh, il y aura Markus Schinwald, avec une installation dont un avant-goût, sous le titre Overture, a été montré au Palais de Tokyo à l’automne : la nef du CAPC sera-t-elle habitée par un ou plusieurs caméléons et des fragments de cabinets de curiosités ? Le but avoué serait, selon Vaillant, que les visiteurs soient «davantage vus par l’installation qu’ils ne sont enveloppés par elle», même si «la fascination qu’elle engendre ne manquera pas de capturer leur attention, manière pour l’artiste de jouer sur les réflexes nostalgiques et les désirs, et d’entrer dans un tête-à-tête singulier avec nos vies spectacles et l’attention individuelle qu’elles méritent». Plus tard, à l’automne, le festival happening et musique Sigma (1965-1995) ressuscitera et, avec lui, les figures qu’il avait su faire connaître en France, du Living Theatre à Sun Ra en passant par Fernando Arrabal ou l’artiste cinétique Nicolas Schöffer. Mais, dans l’immédiat, le quarantième printemps du CAPC est occupé par un accrochage hommage aux collections, intitulé «la Sentinelle», dont le commissaire est Didier Arnaudet, critique venu à l’art contemporain par Jean-Louis Froment, personnalité à la fois dans et hors le CAPC. Il a fait dialoguer des œuvres emblématiques avec des textes de Derrida, Cadiot, Baudrillard ou Daney en plusieurs salles thématiques, si la déchirure «en petits carrés» pas forcément «bien réguliers» est un thème, ou la vie nue : Pollen de noisetier, de Wolfgang Laib, et cliché d’intérieur déserté par Noritoshi Hirakawa. En plus de ces extraits de la collection permanente, le CAPC a réactivé en début d’année le Yard (1961), d’Allan Kaprow, 40 tonnes de pneus usagés dans la nef, en guise de socle à l’anniversaire. Dans l’aile Foy, au sud-ouest du bâtiment, on passe aux choses sérieuses : c’est l’espace dévolu aux «tables d’orientation», mini monographies consacrées à des artistes émergents. Pourquoi d’«orientation» ? «Parce que désormais, dans les représentations, tout et son contraire coexistent sans qu’on puisse établir d’échelle de valeur», explique Vaillant. Les «tables» permettent donc de s’orienter dans la purée intellectuelle ambiante en présentant, à chaque fois, deux artistes aux mœurs créatives en quelque sorte opposées. En ce moment, le Suisse Raphaël Hefti (né en 1978), les mains dans la matière, dont le travail culmine dans la série Subtraction As Addition, grandes plaques de verre traité antireflet, mais tellement traité (les couches se superposent) qu’elles deviennent irisées, irréelles et miroirs. ballon de plage. De l’autre côté, le réjouissant et inquiétant Londonien Philip Newcombe, né en 1970, expose de petits objets nommés Weener (une forme phallique enduite de vernis à ongle plaquée au mur), des vis roses, des bouts de fil sur une aiguille, fragments de carte de visite, ou un Post-it portant cette mention manuscrite : «Aujourd’hui risque de ne pas être votre jour de chance. Soyez prudents en sortant d’ici, vous pourriez rencontrer une mort soudaine et affreuse.» Avec le «aujourd’hui» barré et remplacé par «demain». Comme l’accrochage est bien fait, la menace écrite renvoie au ballon de plage installé au sol (Ballon rempli par l’air des poumons d’un mourant, 2010), légèrement grotesque et au parfum zeste citron diffusé, nous dit un cartel, à l’extérieur, car le ballon, c’est bien connu, est bleu comme un citron. D’ailleurs, une sucette au LSD et un bonbon à moitié sucé sont aussi exposés. Eric LORET Envoyé spécial à Bordeaux Le CAPC a 40 ans CAPC, 7, rue Ferrère, Bordeaux (33). Jusqu’au 31 décembre. Rens. : www.capc-bordeaux.fr http://next.liberation.fr/arts/2013/03/31/le-capc-passe-le-cap-des-40-ans_892673 Page 2 of 2 Voor 1.000 tot 5.000 euro WAT KUN JE KOPEN VOOR WELKE PRIJS OP ART ROTTERDAM? FOTO RIEN ZILVOLD Voor minder dan 1.000 euro Philip Newcombe, Work, te koop bij Maria Stenfors voor 3.000 euro Voor meer dan 10.000,- FOTO RIEN ZILVOLD 5.000,- tot 10.000,- Maze de Boer, Factory Editions, te koop voor 8,80 euro Door onze redacteur Sandra Smallenburg W at zou ik waard zijn als kunstenaar, op dit punt in mijn carrière? En welk werk word ik geacht te maken? Het waren existentiële vragen die ten grondslag lagen aan het nieuwste beeld van de Zweedse kunstenaar Jonas Lund (1984), te zien op kunstbeurs Art Rotterdam. Lund bestudeerde de werken van de meest succesvolle kunstenaars, liet er wat algoritmes op los en berekende zo wat het meest ideale object zou zijn. Het resultaat is te bewonderen in de stand van Galerie Cokkie Snoei: vier touwen die beschilderd zijn met acrylverf. Afmetingen, kleur, materiaal, titel (Shield Whitechapel isn’t Scoop) en prijs (938,28 euro) zijn allemaal uit de computer komen rollen. Het lijkt erop dat Lund met zijn neoconceptuele kunst een trend te pakken heeft. Want er is opvallend veel ideeënkunst op deze vijftiende editie van Art Rotterdam. De kunstbeurs, die een fantas- tisch nieuw onderkomen heeft gevonden in de Van Nellefabriek, profileert zich nadrukkelijk als een plek om jonge kunst te ontdekken. Dat betekent dat de prijzen er relatief laag zijn. Van kunstenaar Maze de Boer kun je al voor 8,80 euro – de prijs van een pakje Van Nelle – een genummerd en gesigneerd werk in oplage kopen: een blokje hout in de vorm van een pakje shag. In de New Art Section, met solo’s van hip en jong talent, tref je de meest recalcitrante kunst. Zoals bij de minimalistisch ingerichte galerie van Maria Stenfors uit Londen, waar twee mensen gefascineerd staan te kijken naar een ordinaire gele emmer. „Hij was eerst zwart, maar de kunstenaar heeft hem geel gespoten”, zegt de galeriehouder. De prijs voor het beeld, genaamd Work, is 3.000 euro. Van dezelfde maker, Philip Newcombe, is ook het iets goedkopere werk Planet Heavy Shit te zien, een wit bolletje dat tegen de muur geplakt zit en 1.100 euro kost. Volgens de galeriehouder is vooral het materiaal bijzonder: een kant-en-klare toverbal. „Maar de kunstenaar heeft wel aan ‘heavy shit’ gedacht toen hij eraan zoog.” Hans Op de Beeck, Road (2014) kost 8.000 euro Een andere vorm van readymades vind je bij de Japanse galerie Misako & Rosen, waar olieverfdoeken hangen die aan bloemetjesbehang doen denken. Ze blijken in 1966 geschilderd te zijn door de onbekende Japanner Hisachika Takahashi en hebben meer dan een halve eeuw in een opslag gestaan. Totdat een veel jongere Japanse kunstenaar, Yuki Okumura, het werk ontdekte en onder zijn eigen naam tentoon ging stellen, als „vertegenwoordiger van de schilderijen”. De doeken, 22.000 euro per stuk, zijn op de openingsdag meteen verkocht. Maar van wie, is de vraag, heb je dan eigenlijk een werk aan de muur hangen? Okumara’s werk stelt de actuele discussie over auteursrecht en plagiaat weer in een nieuw daglicht. Daarover gesproken: fotograaf Koos Breukel heeft zijn portret van koning Willem-Alexander, dat voor het staatsieportret door Iris van Dongen was nagetekend, plagerig prominent in de stand van Paul Andriesse gehangen. Zodat we allemaal nog even goed kunnen zien hoe het origineel er ook alweer uitzag. Ook de oude garde conceptuele kunste- FOTO GALERIE LUMEN TRAVO Reportage Beeldende kunst Op Art Rotterdam viert conceptuele kunst dit jaar de boventoon FOTO GALERIE RON MANDOS Jong talent is recalcitrant Kathe Burkhart, Kreng (2013) kost 27.000 euro Kunstenaar Philip Newcombe dacht wel aan ‘heavy shit’ toen hij aan deze toverbal zoog (prijs van de bal: 1.100 euro) naars is op Art Rotterdam goed vertegenwoordigd. Willem Baars verkoopt een mooie collage van Jan Dibbets uit 1972, een gekromde horizon van polaroids die niet zou misstaan in bijvoorbeeld het Stedelijk Museum. Met een prijs van „net iets minder dan een ton” is Double Dutch Mountains waarschijnlijk een van de duurste werken op de beurs. De tachtigjarige Marinus Boezem laat bij Upstream Gallery zien dat hij zich nog heel goed kan meten met de jonge garde. Aan de wand hangt uitnodigend zijn nieuwe werk God Bless You (2013), een spiegel die alleen door de beschouwer tot leven geblazen kan worden. Volgens het bijschrift dien je de spiegel eerst door je adem te laten beslaan, er dan met je vinger ‘God bless you’ op te schrijven, en ten slotte te wachten tot je gezicht weer zichtbaar wordt. Voor 5.000 euro kun je dit fijne, lichtvoetige kunstwerk mee naar huis nemen, zodat het je iedere dag weer een hart onder de riem kan steken. Art Rotterdam. T/m 9 febr. in de Van Nellefabriek, Rotterdam. Inl: artrotterdam.com 18.2.2014 Jubiläum: Die Art Rotterdam setzt seit 15 Jahren auf zeitgenössische Kunst | BLOUIN ARTINFO KUNSTPREISE Alles durchsuchen, Orte, Künstler GERMAN BILDENDE KUNST ARCHITEKTUR & DESIGN DARSTELLENDE KUNST GALERIEFÜHRER LIFESTYLE REISE VERANSTALTUNGEN LINKS KUNSTMESSEN HOME NEWS AKTUELL KOMMENDE MESSEN PARTYS "BLOUIN DAILY" DOWNLOAD LINKS ART ROTTERDAM VISUAL ART / FAIRS / ART ROTTERDAM Jubiläum: Die Art Rotterdam setzt seit 15 Jahren auf zeitgenössische Kunst by Marcus Woeller 07/02/14 12:43 PM EST Like 10 Tweet 2 Share 0 Share Michael Johansson "Cube" bei Galerie Ramakers, Art Rotterdam 2014 Im 15. Jahr ihres Bestehens vergrößert sich die Art Rotterdam auf 114 teilnehmende Galerien. Trotz internationalem Anspruch besinnt sich die Messe auf den niederländischen Markt. Die Zielsetzung der Messe bleibt die Konzentration auf junge, internationale Kunst. Insbesondere die Abteilung „New Art“ bekräftigt dies mit einem breiten Spektrum neuester künstlerischer Ambitionen. Doch der Anbieterkreis hat sich zugunsten niederländischer Galerien verschoben. Fons Hof, der die Art Rotterdam seit ihrem Beginn leitet, erklärte: „Mit der Erweiterung der New Art Section präsentiert sich die Art Rotterdam noch besser als internationale Bühne für junge Kunst. Darüber hinaus ist auch die Anzahl der Galerien aus den Niederlanden in der Main Section gewachsen. Daraus resultiert natürlich, dass sich auch die nationale Grundlage der Messe verbreitert hat.“ Mit dem Aus für die Art Amsterdam war die Vergrößerung zwangsläufig geworden. Für die nächsten Jahre wird Hofs Augenmerk allerdings der Qualitätsschärfung gelten müssen, denn mit dem Wachstum wurde auch der angestrebte Markenkern etwas verwässert. Dazu mag auch der Umzug in die Van Nellefabriek beigetragen haben. In der http://de.blouinartinfo.com/news/story/1007034/jubilaeum-die-art-rotterdam-setzt-seit-15-jahren-auf 1/3 Architekturikone des Neuen Bauens muss sich die Art Rotterdam erst noch einleben. Von der Eleganz, in der ehemaligen Location, einem alten Kreuzfahrtterminal direkt an der Maas, ist dort wenig zu spüren. Dennoch kann man Entdeckungen machen. Galerien aus London sehen in der Messe jedenfalls noch einen interessanten Marktplatz, auch für schon ältere Werke. Mummery + Schnelle zeigen die geometrisch abstrakte Serie „Black Transformations“ (35.000 €) von David Saunders, die 1973/74 entstanden ist. Saunders war 1969 ein Gründungsmitglied der Systems Group. Die Gruppe teilte ein Interesse an mathematischen Prozessen und der Einheit von Ethik, Logik und Ästhetik. Saunders' Serie zeigt ein System von schwarzen Streifen, die sich auf dem weißen Hintergrund immer stärker überlagern. Farbige Gemälde sind ab 11.000 Euro zu haben. Die Galerie Maria Stenfors überrascht in der New Art Section mit einer sehr experimentellen Installation von kleinen und kleinsten Einzelarbeiten von Philip Newcombe: ein Eimer auf dem Boden, eine an die Wand montierte Kugel, eine Schraube in der Kojenecke, ein Klebeetikett. Die lapidaren Objekte (800 – 3500 €) eröffnen erst bei genauer Untersuchung ihre künstlerische Bearbeitung und erzählen von der Möglichkeit, Erzählstränge konzeptuell zu manipulieren. Auch die Galerie Seventeen unterstreicht den Anspruch Londoner Händler an das Rotterdamer Publikum. Gezeigt werden u. a. ein Video von Sophie Michael und gestische Gemälde von Sachin Kaeley. Interessant bei Edel Assanti sind die Fotografien computergenerierter Architekturen von Noémie Goudal. Aus Paris ist die Galerie Jérôme Poggi angereist. Der Kunsthistoriker und Kritiker fokussiert mit seinem Programm auf Schnittstellen zwischen wirtschaftlichen und historischen wie sozialen Systemen in der Kunst. Der Schweizer Künstler Vittorio Santoro präsentiert eine Reihe von Fotos von Masken, die durch Faltungen zu gleichermaßen plastischen Objekten werden. Die Arbeit mit dem Titel „Si je me taisais, je n'entendrais plus rien. Mais si je me taisais, les autres bruits reprendraient“ von 2013 wird zum Preis von 19.000 Euro angeboten. Sehr haptische und beinahe körperlich anmutende Fotogramme von Juliana Borinski kosten 8.000 Euro. In der New Art Section, die stets einzelne Künstler präsentiert, zeigen die Pariser Galerie Samy Abraham Rauminstallationen von Lisa Beck und xpo gallery digitale C-Type-Prints von Joe Clark. Aus Deutschland ist die Berliner Galerie Klemm's wieder nach Rotterdam gekommen. Nun allerdings nicht mehr in der New Art, sondern in der Main Section. Das bedeutet zwar auch die Möglichkeit, das Programm breiter vorstellen zu können, aber auch höhere Kosten für die reguläre Teilnahme. Galerist Sebastian Klemm verspricht sich jedoch, im Umfeld niederländischer Galerien seine Künstlerin Gwenneth Boelens gut platzieren zu können, die in Amsterdam lebt und arbeitet. Sie zeigt u. a. die großformatige Gewebenetzfaltung „To point or cover“ und einen Ink-Jet-Print aus der Reihe „Tablet“. Die Galerie Parrotta Contemporary Art aus Stuttgart zeigt die 30-teilige Serie „Crazy Horse I“ des deutschen Fotografen Timm Rautert. Die Bildreportage begann er in den 1970er Jahren, als er als Fotojournalist für Magazine tätig war. Große Namen sind durchgehend Mangelware auf der Art Rotterdam, was auch mit dem Fehlen großer internationaler Galerien zusammenhängt. Doch auch die Niederländer haben einiges zu bieten. In Rotterdam selbst verortet ist die Galerie Cokkie Snoei, die mit Aquarellen von Norbert Bisky aufwartet. Willem Baars Art Consultancy aus Amsterdam präsentiert u. a. zwei Zeichnungen von Rene Daniels (15.000/17.000 €), hat aber auch Werke von Jan Dibbets oder Kenneth Noland im Angebot. Die Galerie Ramakers aus Den Haag konnte sich über gute Verkäufe freuen. So fanden etwa mehrere überstickte Fotografien von Julie Cockburn für 3.300 Euro ihre Abnehmer. Der schwedische Künstler Michael Johansson stellt farbkräftige, geometrische Skulpturen aus Alltagsgegenständen her. Sein rotes Objekt „Cube“ aus Koffern, Fernsehern, Brieftaschen und Transistorradios wurde für 15.500 Euro verkauft. Ron Mandos fehlt mit seiner Galerie aus Amsterdam auch nie auf der Art Rotterdam. Für ihn immer eine Gelegenheit, Arbeiten von Hans Op de Beeck zu zeigen. Während er im letzten Jahr noch die Premiere eines neuen Films präsentieren konnte, zeigt er 18.2.2014 Jubiläum: Die Art Rotterdam setzt seit 15 Jahren auf zeitgenössische Kunst | BLOUIN ARTINFO nun die eher zurückhaltenden Aquarelle, die der Künstler gern nachts malt, sozusagen als poetische Rückbesinnung von den Großprojekten, die ihn sonst umtreiben. Spannend darüber hinaus die Medienreflexionen von Rob Johannesma, der sich von Zeitungen und Zeitungsfotos inspirieren lässt. Er zeigt die fünfteilige Flatscreen-Installation „Spots of Time“ und einige Assemblagen, die sich mit dem Bild in neuen Medien und alter Kunstgeschichte auseinandersetzen. Die Art Rotterdam findet noch bis Sonntag, 9. Februar 2014 statt. Like 10 Tweet 2 Pin it Share 0 Share TAGS Zeitgenössische Kunst News Kunstmessen Bildende Kunst Art Rotterdam Marcus Woeller David Saunders Philip Newcombe Sophie Michael Joe Clark Vittorio Santoro. Juliana Borinsk Gwenneth Boelens Timm Rautert Norbert Bisky Rene Daniels Michael Johansson Geben Sie Ihre E-Mail hier http://de.blouinartinfo.com/news/story/1007034/jubilaeum-die-art-rotterdam-setzt-seit-15-jahren-auf 3/3 Paul's Art World: ROTTERDAM 2014: BRITAIN IN THE NETHERLANDS Share 0 More 20/02/2014 11:50 Next Blog» Create Blog Sign In Paul's Art World The former Editor at Large of Art World magazine, sets out ten recommended contemporary art shows in London now. He currently writes freelance, including for Art Monthly, The Art Newspaper, Photomonitor, STATE and Border Crossings, and has a quirky weekly online column at FAD Art News - see www.fadwebsite.com/?s=carey-kent+. Followers Join this site with Google Friend Connect Members (155) More » Saturday, 15 February 2014 ROTTERDAM 2014: BRITAIN IN THE NETHERLANDS Rotterdam remains Europe's largest container port, though recently overtaken in world terms by Shanghai and Singapore. It has a distinct dynamism and, having been obliterated in the 1940’s, a modern architecture to match. The demise of Art Amsterdam has consolidated Art Rotterdam’s position as the leading Dutch fair, and this year (February 6-9) it moved to a striking and spacious new location at Van Nellefabriek, a former coffee, tea and tobacco processing plant, built in 1925-31, which is something of a modernist industrial icon.That enabled various pop-up shows and the unusual video section to be brought together. The Fair was busy, but the pace was measured. According to Seventeen’s Dave Hoyland, continental collectors take their time, returning to consider work repeatedly before buying, and the sales action is spread out over the week. That contrasts with America, where almost all sale are made in the first three hours: the assumption is that anything which no one else wants immediately can’t be much of an investment. Already a member? Sign in Blog Archive ▼ 2014 (5) ▼ February (5) TOP TEN UP NOW CHOICES FROM 2014 NOW CLOSED ROTTERDAM 2014: DOUBLE DUTCH ROTTERDAM 2014: BRITAIN IN THE NETHERLANDS PAUL'S ART STUFF ON A TRAIN 31-40 ► ► ► ► ► 2013 2012 2011 2010 2009 (33) (23) (25) (36) (6) http://paulsartworld.blogspot.co.uk/2014/02/rotterdam-2014-britain-in-netherlands.html Page 1 of 12 Paul's Art World: ROTTERDAM 2014: BRITAIN IN THE NETHERLANDS 20/02/2014 11:50 About Me Paul Carey-Kent Southampton, Hampshire, United Kingdom I was in my leisure time Editor at Large of Art World magazine (which ran 2007-09)and now write freelance. I visit many art galleries and write widely on contemporary art. My tastes are fairly broad: to illustrate, I have written catalogue essays on Joseph Beuys, German abstractionist Richard Schur, Spanish figurative painter Chema Cobo and London-based New Zealander David Rickard and . My interview features have included Arte Povera sculptor Giuseppe Penone, my favourite video artists Anri Sala and Aernout Mik and the multimedia Mexico-based Belgian Francis Alÿs. Among British-based artists I have interviewed such as Boo Ritson, Jemima Stehli, Nogah Engler, Roger Hiorns and Phyllida Barlow. I also favour 'picture essays', for example on destroying the gallery and on the upsidedown in art, and enjoy setting quizzes. Going back a bit my main writing background is poetry. My day job is the financial management of social care for Surrey County Council. View my complete profile Van Nellefabriek There was the usual range of eccentric projects. Mobile inflatable sculptures; a five day concert made by ‘playing’ the factory’s fuse box and adding street sounds; a booth turned into a bar, where I was buttonholed by a comedic woman (she asked if I wanted a double entendre, and I agreed she could give me one) who turned out to be an art action. All the leading Dutch galleries attended, yet the British, along with Germans and Belgians, were also very much visible. There were eight of our galleries among the 118 attending, and plenty of British artists popped up elsewhere: Jonathan Callan, Charles Avery, Shezad Dawood, Kate MccGwire and Julie Cockburn were among those making a good impression. The weather also felt British: just as wet as back home just now, and with enough wind swirling around the buildings that Maria Stenfors complained that there was nowhere calm enough to smoke... http://paulsartworld.blogspot.co.uk/2014/02/rotterdam-2014-britain-in-netherlands.html Page 2 of 12 Paul's Art World: ROTTERDAM 2014: BRITAIN IN THE NETHERLANDS 20/02/2014 11:50 Philip Newcombe: Blow at Maria Stenfors, London One of the most striking stands in the New Art section of solo presentations was by German-born (1970) but London-based Philip Newcombe: ten richly playful yet barely-there works ranged like occasional notes across the stand’s white score. They ran from a trumpet mouthpiece, attached as if to suggest the full instrument behind the wall, painted with Vaseline and hung hip-height to accentuate the sex in the title, Blow; a gobstopper-as-planet which had been sucked whilst 'thinking about heavy shit'; and a 'No Games' sign which appeared to have been vandalously inverted: there certainly were games here, so it was natural to read the words as ‘Game On’. http://paulsartworld.blogspot.co.uk/2014/02/rotterdam-2014-britain-in-netherlands.html Page 8 of 12 PHILIP NEWCOMBE POLLEN EXPOSITION-TABLE D’ORIENTATION #1 / Exhibition-Panoramic Table #1 Commissaire de l’exposition / Curator of the exhibition: Alexis Vaillant, responsable de la programmation au CAPC / Chief Curator at the CAPC Galerie Foy, rez-de-chaussée / Ground Floor CAPC MUSÉE D’ART CONTEMPORAIN DE BORDEAUX 28.02.2013 – 21.04.2013 LES TABLES D’ORIENTATION / PANORAMIC TABLES Les tables d’orientation sont des expositions dédiées à de jeunes artistes dessinant actuellement des pistes conceptuelles et esthétiques nouvelles et incidentes. En résonnance aux modalités contemporaines de coexistence des formats, des temporalités, des contraires et des expressions, les voies d’exploration que dessinent ces expositions se donnent à penser dans la dynamique qui est celle du CAPC, musée laboratoire, incubateur et inspirateur de projets. A la lumière des expositions majeures de cette année anniversaire, les tables d’orientation expriment la tentative du CAPC de faire exister un concept curatorial dans le temps et d’y confronter le visiteur par l’appréhension des réseaux de sens qui sous-tendent cette démarche. Panoramic tables are exhibitions dedicated to young artists drawing now new and incidental conceptual and aesthetical tracks. As an echo to contemporary modalities of coexisting formats, temporality, ties and expressions, the ways of explorations that draws these exhibitions make think in the dynamics which is one of the CAPC; a museum laboratory, incubator and inspirer of projects. In the light of the major exhibitions of this anniversary program, Panoramic tables express the attempt of the CAPC to make exist a curatorial concept in time and to confront the visitor by the apprehension of the networks of senses which underlie this approach. 2 PHILIP NEWCOMBE Philip Newcombe altère avec finesse des objets quotidiens dénués d’intérêt, générant à travers les manipulations qu’il opère par rapport à leur fonction d’origine une multiplicité de récits possibles. Ces objets, comme un ballon de plage qui se dégonfle ou un morceau de papier plié et porté dans la poche arrière, dépassent le cadre spatio-temporel de l’exposition. Certains s’érigent en monuments performatifs comme le fait d’avoir sucé un gobstopper* ou laissé tomber un bout de fil. S’ils sont parfois insaisissables, les objets de Philip Newcombe n’en restent pas moins soucieux de communiquer directement et de façon intime avec celui et celle qui les regardent. Philip Newcombe subtly alters everyday objects devoid of any interest, creating, through the manipulations he makes in relation to their original function, a whole host of possible narratives. Like a beach ball deflating or a folded piece of paper carried in a back pocket, these objects go beyond the exhibition’s space/time-frame. Some are erected as performative monuments, like the fact of sucking a gobstopper or dropping a piece of thread. They are at times elusive, but Philip Newcombe’s objects are nevertheless still concerned with communicating directly and intimately with the onlooker. Born in Germany in 1970, Philip Newcombe lives and works in London. His recent works have been exhibited in London, Rotterdam, Paris, Melbourne and Bordeaux. Né en Allemagne en 1970, Philip Newcombe vit et travaille à Londres. Ses travaux récents ont été exposés à Londres, Rotterdam, Paris, Melbourne et Bordeaux. * gros bonbon rond anglais à sucer, familièrement appelé couille de mammouth. 3 QUELQUES QUESTIONS À PHILIP NEWCOMBE A FEW QUESTIONS TO PHILIP NEWCOMBE Propos recueillis par Radio Nova Bordeaux / Interview by Radio Nova Bordeaux Philip Newcombe : Je suis vraiment très heureux de présenter mon travail au CAPC, vraiment. L’espace est grand, il est caverneux, il permet aux travaux d’avoir assez d’espace autour d’eux et d’exister individuellement. Je disais à Alexis Vaillant hier, que quand j’ai fais ces choses, je ne pensais pas particulièrement à une série. Je ne travaille pas les séries et fais donc des objets individuels que je vois séparément. Nova : Pourquoi Pollen ? Pourquoi ce titre ? PN : Le nom de l’exposition est Pollen car… C’est juste venu de quelque chose qui est minuscule et qui peut interférer, ou pas… Je veux dire, cela peut interférer avec toi et t’affecter d’une certaine manière, ou cela peut juste passer à côté de toi. Je pense que ce vers quoi tends mon travail a des similarités avec ça. Il tend vers une sorte de mouvement, n’est jamais réellement fixe, si on peut parler ainsi. Nova : Combien d’œuvres présentes-tu ? PN : J’en présente 22. Il est intéressant d’être installé à coté de Raphaël Hefti et de voir comment notre travail est très différent à l’un et à l’autre. Mais il semble qu’il y ait une sorte de corrélation. Nova : Tous tes travaux sont petits… PN : Oui, tout tient dans une valise! Je n’ai pas d’atelier, je travaille sur un espace tout petit, sur un bureau ou juste en déambulant et en ramassant des choses. Philip Newcombe: I’m actually very exited to present my work at the CAPC, definitely. The space is big, it’s cavernous. It allows the works to have enough space around them and also to exist individually. I was telling Alexis Vaillant yesterday, when I made this things, I never particularly think about series. I don’t work series so they are all very individual objects and I have always seen them as quite separate. Nova: Why Pollen? Why this title? PN: The exhibition name is Pollen because … It just came about from something that is quite small and interferes or doesn’t… I mean, it can interfere with you and affect you in some sort of way, or it can also just pass you by. I think a lot about my work tends to have a similarity to that. It tends to a sort of move around and not to be completely fixed, so to speak. Nova: How many works do you presenting? PN: I am presenting 22 pieces. It’s interesting being put a long side, Raphael Hefti, and see the two of us completely different in terms of the work we do. But it seems to be sort of a strange correlation. Nova: All your works are quite small… PN: Yes everything goes in a suit case! I don’t have a studio, that’s all, I work in very small space, on a desk, or just wondering around, picking things up. 4 ŒUVRES EXPOSÉES / EXHIBITED ARTWORKS Flag, 2011 Paire de tennis Reebok ‘Classics’ / Reebok ‘Classics’ trainers 40 x 21 x 20 cm SALLE 3 AU SOL / ON THE FLOOR Black Dog, 2008 Canne ultraplate peinte en noir mat peint à la bombe / Ultra-flat matt black spray painted cane 70 cm Work, 2011 Seau, peinture en spray jaune brillant / Bucket, yellow gloss spray paint 35 x 26 x 23 cm Sculpture for Birds, 2013 Distributeur de parfum placé à l’extérieur du bâtiment, lançant divers « zestes de citron », à intervalles réguliers / Scent dispenser placed on the exterior of the building, emitting a burst of ‘Lemon Zest’, at regular intervals 22 x 8 x 7 cm Weener, 2012 Bronze, vernis à ongles / Bronze, nail varnish 15 x 1,5 cm SALLE 5 SALLE 1 AU SOL / ON THE FLOOR Amateur, 2007 Étiquette sur club de golf / Sticker on golf club 90 x 10 cm Solo (I am Damo Suzuki), 2003 Baguette de tambour réduite / Shaved drumstick 37 cm À L’EXTÉRIEUR / OUTSIDE DERRIÈRE / BEHIND Pink Screw, 2007 Vis peinte / Painted screw 0,7 x 3 cm Pop!, 2007 Sucette, LSD liquide / Lollipop, liquid LSD 9,5 cm SALLE 4 SALLE 2 Untitled, 2009 Autocollant ‘Smiley World’ modifié / Altered ‘Smiley World’ sticker 8 cm (diamètre / diameter) Pink Cloud, 2010 Impression jet d’encre / Inkjet print 30,5 x 25,5 cm Void, 2012 Autocollant / Sticker on wall 2,5 x 1,5 cm Note to Self, 2007 Post-it, crayon / Post-it note, pencil 7,7 x 7,7 cm AU SOL / ON THE FLOOR Thanks for helping me get off my face, 2010 Cartes de visite professionnelles / Other people’s business cards 3 x 1,5 cm (approx.) Beach ball filled with air from the lungs of a dying man, 2010 Objet appelé à rendre l’âme / Object to expire over time 61 x 61 x 61 cm The Most Beautiful Place in the World, 2010 Le plus bel endroit du monde selon Google, replié et transporté dans ma poche arrière / The most beautiful place in the world, according to Google, folded up and carried around in my back pocket 3 x 1,5 cm (approx.) 5 Reading short stories to a dead tree, 2006 Photographie couleur / Color photograph 30,5 x 25,5 cm Signal, 2012 Aiguille, fil d’un bouton tombé de ton manteau et trempé dans du parfum / Needle, thread from the button that fell from your coat dipped in perfume 7 x 10 cm Untitled (Fluff), 2012 Goupille en acier, peluche / Steel pin, fluff 2,5 cm Planet Heavy Shit, 2010 Bonbon sucré sucé en pensant à des choses merdiques / Gobstopper sucked whilst thinking about heavy shit 2 cm (diamètre / diameter) Steel Pin and Two Piercings, 2012 Goupille en acier, deux percings / Steel pin, two piercings 2,5 x 2,5 cm SUR SOCLE / ON PEDESTAL Gobshite!, 2007 Tablettes de chewing-gum, percing pour langue / Chewing gum, tongue piercing 8 x 1,5 x 1,5 cm Toutes les œuvres exposées sont courtesy de l’artiste, Londres / All works exhibited are courtesy of the artist, London VISUELS DISPONIBLES / PICTURES AVAILABLE Philip Newcombe, Signal, 2012 Aiguille, fil d'un bouton tombé de ton manteau et trempé dans du parfun / Needle, thread from the button that fell from your coat dipped in perfume, 7 x 10 cm. Courtesy de l’artiste, Londres / Courtesy of the artist, London Philip Newcombe, Void, 2012 Autocollant / Sticker on wall, 2,5 x 1,5 cm. Courtesy de l’artiste, Londres / Courtesy of the artist, London Philip Newcombe, Weener, 2012 Bronze, vernis à ongles / Bronze, nail varnish, 15 x 1,5 cm Courtesy de l’artiste, Londres / Courtesy of the artist, London Philip Newcombe, Work, 2011 Seau, peinture en spray jaune brillant / Bucket, yellow gloss spray paint, 35 x 26 x 23 cm. Courtesy de l’artiste, Londres / Courtesy of the artist, London 6 Philip Newcombe, Gobshite!, 2007 Tablette de chewing gum, piercing pour langue / Chewing gum, tongue piercing, 8 x 1,5 x 1,5 cm. Courtesy de l’artiste, Londres / Courtesy of the artist, London Philip Newcombe, The Most Beautiful Place in the World, 2010 Le plus bel endroit du monde selon Google, replié et transporté dans ma poche arrière /The most beautiful place in the world, according to Google, folded up and carried around in my back pocket, 3 x 1.5 cm (approx). Courtesy de l’artiste, Londres / Courtesy of the artist, London Philip Newcombe, Untitled, 2009 Autocollant "Smiley World" modifié / Altered 'Smiley World' sticker, Ø 8 cm. Courtesy de l’artiste, Londres / Courtesy of the artist, London Philip Newcombe, Beach ball filled with air from the lungs of a dying man, 2010 Objet appelé à rendre l'âme / Object to expire over time. 61 x 61 x 61 cm Courtesy de l’artiste, Londres / Courtesy of the artist, London 7 INFOS PRATIQUES / PRACTICAL INFORMATION EXPOSITION / EXHIBITION PHILIP NEWCOMBE Pollen 28.02.2013 – 21.04.2013 Galerie Foy, rez-de-chaussée / ground floor Commissaire de l’exposition / Curator of the exhibition: Alexis Vaillant, responsable de la programmation au CAPC / Chief Curator at the CAPC Vernissage public / Public Opening Jeudi 28 février 2013 - 19:00 / Thursday February 28, 7 pm Conférence / Lecture TRISTAN GARCIA, écrivain et philosophe / Writer and philosoper Jeudi 28 février 2013 - 18:00 / Thursday February 28, 6 pm Concert / Event HELLO BYE BYE French electro-pop band Jeudi 28 février 2013 - 20:00 / Thursday February 28, 8 pm Autres expositions / Other Exhibitions ALLAN KAPROW Yard 1961/ 2013 28.02.2013 – 31.03.2013 LA SENTINELLE Conversations, dédicaces, et autres partitions / Conversations, dedications and other scores 28.02.2013 – 08.12.2013 RAPHAËL HEFTI Nature more 28.02.2013 – 21.04.2013 PRESSE / PRESS INFO CAPC musée d’art contemporain Blaise Mercier Tél. +33 (0)5 56 00 81 70 - +33 (0)6 71 12 79 48 [email protected] [email protected] Mairie de Bordeaux Service presse Tél. +33 (0)5 56 10 20 46 [email protected] Claudine Colin Communication Samya Ramdane Tél. +33 (0)1 42 72 60 01 [email protected] SUIVEZ-NOUS / FOLLOW US http://twitter.com/CAPCmusee http://www.scoop.it/t/capc http://www.facebook.com/capc.musee PARTENAIRES / PARTNERS Partenaires fondateurs / Founding Partners Les Amis du CAPC Partenaires bienfaiteurs / Leading Partners Air France Partenaires donateurs / Partners Lyonnaise des Eaux Château Chasse-Spleen Lacoste Traiteur, une marque du Groupe AROM Farrow & Ball Château Haut Selve Partenaires culturels / Cultural Partners Librairie Mollat I.Boat Station Ausone Partenaires media / Media Partners Libération Radio Nova CAPC musée d’art contemporain Entrepôt Lainé. 7, rue Ferrère F-33000 Bordeaux Tél. +33 (0)5 56 00 81 50 Fax. +33 (0)5 56 44 12 07 [email protected] www.capc-bordeaux.fr Accès tram / Access by Tram Ligne B, arrêt CAPC, ligne C, arrêt Jardin Public / B line, CAPC stop, C line, Jardin Public stop Horaires / Schedules 11:00 -18:00 / 20:00 les mercredis / Wednesdays Fermé les lundis et jours fériés / Closed on Mondays and public holidays Visites guidées / Guided Tours 16:00 les samedis et dimanches / Saturdays and Sundays Sur rendez-vous pour les groupes / by appointment for groups Tél. +33 (0)5 56 00 81 78 La Bibliothèque / Library Sur rendez-vous / by appointment Tél. +33 (0)5 56 00 81 58 / 59 ACAPULCO by CAPC / Museum Shop 11:00 -18:00 / 20:00 les mercredis / Wednesdays Tél. +33 (0)5 56 00 81 69 ARC EN RÊVE CENTRE D’ARCHITECTURE Tél. +33 (0)5 56 52 78 36 [email protected] LE CAFÉ ANDRÉE PUTMAN Restaurant 12:00 -17:00 du mardi au dimanche / Tuesday to Sunday Tél. +33 (0)5 56 44 71 61 2013 est donc une année importante pour l’histoire du CAPC. Programmations artistique et culturelle ont été pensées en conséquence. Passé, présent et émergence se côtoient ainsi dans une programmation annuelle à géométrie variable, chaque projet ayant une taille et une temporalité propres. Cela afin de regarder, ensemble, avec des artistes, des performers, des musiciens et des philosophes notamment, comment archives, formes inédites, concepts émergents donnent la parole au présent. Entre exposition-anniversaire, néomonographique, réinvention et table d’orientation le CAPC met en scène le régime contemporain des images, rappelant autant son rôle de générateur/incubateur dans le champ culturel que son statut de machine à rêves branchée sur les cultures de son temps. Le CAPC a 40 ans 1973 — 2013 Centre d’Arts Plastiques Contemporains devenu musée en 1984, le CAPC affirme depuis quarante ans son ancrage dans le présent. Une orientation que la puissance physique de l’Entrepôt, - le bâtiment qui l’abrite - a inspiré et magnifiquement porté depuis quatre décennies, relayant une programmation pionnière et internationale exemplaire. Façonné par les cultures contemporaines, le CAPC est un lieu pour tous dans lequel l’apprentissage des enjeux de la culture passe par la découverte de l’art de notre temps. The CAPC is forty The CAPC started out as a Centre of Contemporary Visual Arts, before becoming a museum in 1984. For forty years it has been firmly rooted in the present. This is a direction which the physical power of the Entrepôt—the former warehouse housing the CAPC—has inspired and splendidly represented for four decades, broadcasting an exemplary pioneering and international programme. Forged by contemporary cultures, the CAPC is a place for one and all, in which an apprenticeship in the challenges posed by culture proceeds by way of a discovery of the art of our time. 1973 — 2013 So 2013 is an important year for the CAPC’s history. Artistic and cultural programmes have been accordingly worked out. Past, present and emergence thus rub shoulders in an annual schedule based on variable geometry, with each project having its personal dimension and time-frame. This is in order to take a look, together with artists, performers, and philosophers in particular, at how archives, new forms and emerging concepts are all let the present talk. Somewhere between anniversary-exhibition, neo-monograph, re-invention and panoramic table, the CAPC is presenting--and staging--the contemporary spirit of images, reminding us of its role as a generator/incubator in the cultural arena as much as its status as a dream machine hooked up to the cultures of its time. PHILIP NEWCOMBE [ Pollen ] Exposition Table d’orientation #1 4. * gros bonbon rond anglais à sucer, familièrement appelé couille de mammouth. 28.02.2013 — 21.04.2013 Philip Newcombe altère avec finesse des objets quotidiens dénués d’intérêt, générant à travers les manipulations qu’il opère par rapport à leur fonction d’origine une multiplicité de récits possibles. Ces objets, comme un ballon de plage qui se dégonfle ou un morceau de papier plié et porté dans la poche arrière, dépassent le cadre spatio-temporel de l’exposition. Certains s’érigent en monuments performatifs comme le fait d’avoir sucé un gobstopper* ou laissé tomber un bout de fil. S’ils sont parfois insaisissables, les objets de Philip Newcombe n’en restent pas moins soucieux de communiquer directement et de façon intime avec celui et celle qui les regardent. Né en Allemagne en 1970, Philip Newcombe vit et travaille à Londres. Ses travaux récents ont été exposés à Londres, Rotterdam, Paris, Melbourne et Bordeaux. Philip Newcombe subtly alters everyday objects devoid of any interest, creating, through the manipulations he makes in relation to their original function, a whole host of possible narratives. Like a beach ball deflating or a folded piece of paper carried in a back pocket, these objects go beyond the exhibition’s space/timeframe. Some are erected as performative monuments, like the fact of sucking a gobstopper or dropping a piece of thread. They are at times elusive, but Philip Newcombe’s objects are nevertheless still concerned with communicating directly and intimately with the onlooker. Born in Germany in 1970, Philip Newcombe lives and works in London. His recent works have been exhibited in London, Rotterdam, Paris, Melbourne and Bordeaux. PENSER… POUR VOIR François Cusset invite au CAPC huit figures intellectuelles majeures à prendre la parole. Huit conférencesévénements, pour expérimenter en direct la puissance d’évocation, d’élucidation, de révélation propre à la pensée critique contemporaine. Huit penseurs, pour voir le monde autrement en renouant avec l’étymologie du mot «théorie», le theorein, qui qualifiait chez les Grecs l’aptitude à voir ce qui survient, ce qui arrive de nouveau. Huit voix pour penser l’utopie, l’émotion, la ressemblance, le sexe, la dette, le corps, le cerveau, la politique sous un jour neuf. Professeur à l’université de Paris Ouest Nanterre, ancien directeur du Bureau du Livre Français de New York, chroniqueur à la radio et dans la presse écrite, François Cusset est l’auteur de plusieurs essais de référence, dont French Theory et La Décennie (La Découverte, 2003 et 2006). Ainsi que d’un premier roman, paru à l’automne 2012 aux éditions P.O.L : A l’abri du déclin du monde. Ce que nous dit la critique aujourd’hui Programme de conférences conçu et présenté par François Cusset TRISTAN GARCIA 28.02.2013 – 18 h L’intensité Tristan Garcia est philosophe et romancier. Capable de reprendre à zéro toute la métaphysique aussi bien que de disséquer les inventions plus récentes de la pop culture, Tristan Garcia est l’un des esprits les plus vifs de sa (jeune) génération. Dernier essai paru : Six Feet Under. Nos vies sans destin (PUF, 2012). ENZO TRAVERSO 21.03.2013 - 19 h Mémoire et utopie au tournant du XXIe siècle Enzo Traverso est spécialiste d’histoire politique et intellectuelle. Il est actuellement professeur invité à Cornell University. Ses travaux sur la crise de la modernité, les exils et la question juive, ou la guerre civile européenne au XXe siècle, font tous date. Dernier ouvrage à paraître : La Fin de la modernité juive (La Découverte, 2013). FRANÇOIS NOUDELMANN 17.04.2013 – 19 h Les airs de famille : une sécession philosophique et esthétique Producteur à France Culture, professeur de philosophie à l’Université de Paris-8 et à New York University, François Noudelmann confronte la philosophie moderne et contemporaine à ses dehors les plus intimes, comme la musique, le regard, ou la question généalogique. Dernier ouvrage paru : Les Airs de famille. Une philosophie des affinités (Gallimard, 2012). CATHERINE MALABOU 22.05.2013 – 19 h Cerveau émotionnel et plasticité Professeure de philosophie à Kingston University, Catherine Malabou élabore une «ontologie plastique» avec des terrains d’expérimentation aussi variés que l’aide sociale, les neurosciences, ou le féminisme. Elle a profondément renouvelé la lecture de Hegel, Heidegger, ou encore Jacques Derrida. Dernier ouvrage à paraître : Self and Emotional Life (Columbia University Press, 2013). Les conférences de Judith Butler et Gayatri Chakravorty Spivak prononcées en anglais sont traduites simultanément en français. BEATRIZ PRECIADO 05.06.2013 - 19 h Voir le genre / voir le sexe Philosophe proche des mouvements queer et transgenre, chercheuse à Princeton University et au MACBA (Musée d’Art Contemporain de Barcelone), Beatriz Preciado pense et expérimente le genre sexuel et l’identité au croisement des nouvelles technologies, de l’induction mentale et des luttes minoritaires. Dernier ouvrage paru : Pornotopie. Playboy et l’invention de la sexualité multimédia (Climats, 2011). MAURIZIO LAZZARATO 16.10.2013 - 19 h L’économie de la dette infinie Chercheur indépendant, philosophe et sociologue, Maurizio Lazzarato a écrit sur le travail immatériel, la fin du salariat et le capitalisme cognitif contemporain. Sa théorie de la «dette infinie» comme nouvelle forme de domination jette une lumière neuve sur la crise actuelle. Dernier ouvrage paru : La Fabrique de l’homme endetté. Essai sur la condition néolibérale (Amsterdam, 2011). JUDITH BUTLER 20.11.2013 - 19 h Vulnérabilité et résistance : vers un nouveau corps politique Figure capitale de la philosophie politique et de la théorie féministe, pionnière des études de genre (gender studies), professeure à Berkeley University, la philosophe Judith Butler s’est vu attribuer en 2012 le prestigieux Prix Adorno pour l’ensemble de son oeuvre. Derniers ouvrages parus : Défaire le genre (Amsterdam, 2012) et Parting Ways: Jewishness and the Critique of Zionism (Columbia University Press, 2012). GAYATRI CHAKRAVORTY SPIVAK 04.12.2013 - 19 h Notre monde, notre temps ? Spécialiste du féminisme, de la question postcoloniale et des rapports nord-sud, introductrice de l’œuvre de Jacques Derrida aux Etats-Unis, la philosophe Gayatri Spivak, née en Inde en 1942, est professeure à Columbia University. Référence majeure de la pensée critique contemporaine, elle a reçu en 2012 le célèbre Prix Kyoto pour son action «contre le colonialisme intellectuel». Derniers ouvrages parus : Nationalisme et Imagination (Payot, 2011) et An Aesthetic Education in the Era of Globalization (Harvard University Press, 2012). LE CAPC A 40 ANS / THE CAPC IS FORTY [ Agenda ] Soirée d’ouverture / Opening night Jeudi 28 février 2013 / Thursday 28 February 2013 18 heures : Conférence inaugurale 6 pm : Inaugural lecture — TRISTAN GARCIA écrivain et philosophe writer and philosopher 19 heures : Vernissage des expositions 7 pm : Public opening of the exhibitions — ALLAN KAPROW LA SENTINELLE RAPHAEL HEFTI PHILIP NEWCOMBE 20 heures : Concert / 8 pm : Concert — HELLO BYE BYE French electro-pop band Jeudi 16 mai 2013 Thursday 16 May 2013 19 heures : Vernissage des expositions 7 pm : Opening of the exhibitions — MARKUS SCHINWALD SYLVIA SLEIGH DAVID LIESKE PAULINE BOUDRY & RENATE LORENZ Jeudi 14 novembre 2013 Thursday 14 November 2013 19 heures : Vernissage des expositions 7 pm : Opening of the exhibitions — X SIGMA ANDRA URSATA MICHAEL E. SMITH CHARLOTTE LAUBARD Directrice du CAPC musée d’art contemporain de Bordeaux La programmation 2013, année des 40 ans du CAPC, est conçue par ALEXIS VAILLANT Responsable de la programmation au CAPC Directrice de publication Charlotte Laubard (directrice du CAPC) Textes Alexis Vaillant, Blaise Mercier, Michaël Dion Conception éditoriale Alexis Vaillant (responsable de la programmation) & Blaise Mercier (responsable de la communication) Relecture Romaric Favre Traduction Simon Pleasance Conception graphique Ill-Studio, Paris Impression BM Imprimerie, Canéjan Secrétariat de rédaction Karine Daviaud BLAISE MERCIER Responsable des relations extérieures, de la communication et la presse au CAPC [email protected] Tel. +33 (0)5 56 00 81 70 / Port. +33 (0)6 71 12 79 48 Remerciement à nos partenaires / Thanks to our partners Air France, Lyonnaise des Eaux, Château Chasse-Spleen, Lacoste Traiteur une marque du Groupe AROM, Farrow & Ball, Château Haut Selve, Librairie Mollat, I.Boat, Station Ausone Radio Nova, 20 minutes Les Amis du CAPC Visuels : 1. Allan Kaprow : Yard, 1990. Edition of XIV. Courtesy Allan Kaprow Estate and Hauser & Wirth - 2. Peter Halley : The Color Wheel 2011. Courtesy Peter Halley & Galerie Xippas © Frédéric Lanternier - 3. Raphaël Hefti : From the series «As yet untitled» 2008. Courtesy de l’artiste – 4. Philip Newcombe : Gobshite!, 2007. Courtesy de l’artiste – 5. Markus Schinwald : Ken, 2011 Courtesy Gio Marconi Gallery, Milan – 6. Sylvia Sleigh : Three Women (for cover of Time Magazine), 1972. Courtesy Peter Doctor Memorial Indian Scholarship Foundation, Basom – 7. Pauline Boudry & Renate Lorenz : No Future / No Past, 2011. Courtesy des artistes. Photo Andrea Thal – 8. David Lieske : Style and Subversion / Fig.6 (Portrait of the Artist as a young Dealer), 2012. Courtesy Corvi-Mora Gallery, London – 9. X, 2013 - 10. Affiche du corticalart / s.n. 1971 ©Archives municipales de Bordeaux, fonds Sigma - 11. Andra Ursuta : Crush, 2011. Courtesy de l’artiste et Ramiken Crucible Gallery, New-York – 12. Michaël E. Smith Untitled, 2011. Courtesy Kow Gallery, Berlin - 13. Jonathan Horowitz : Official Portrait of George W Bush Available for Free From the White House Hung Upside Down, 2001. Courtesy Gavin Brown’s enterprise, New York - 14. Marc Camille Chaimowicz : vue de l’installation Celebration? Realife Revisited (detail), 1972 – 2006 Courtesy Cabinet, London and the artist