AU SOUVENIR
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AU SOUVENIR
Journal de l'Ain venger des propos malveillants qu'amait tenu sur son compte le sieur Mauiliu, manœuvre, qu'elle lui a tiré deux coups de revolver qui ne l'atteignirent pas. Maudirt a porté plainte à la gendarmerie. La veuve Poupon a été arrêtée. — Samedi dernier, dit Y Abeille, une bande de bohémiens s'installait sur le champ-defoire de Nantua, et le lendemain, sous prétexte de fêter le dimanche, les bomm»™ la troupe vidaient force bouteilles i n « Gros. Les bohémiens, une ui3 i i rent d'abord de payer leur d « P « » ' £ . se tinrent 1^poursuivre e 1 allt J s les•-*^? S »S . e t c h e r ffffi'ïrîTfèS?» « tel point qu'il fallu? nufervention des sergents de ville pour faire cesser le vacarme et conduire les nobles étrangers hors de la ville. — Dimanche vers les huit heures du matin, dit le même journal, M. Blanchy, vétérinaire à Oyonnax, conduisait de Port à Nantoa une voiture dans laquelle se trouvait sa petite nièce, Mlle Duport, lorsque vers le Pré Ricanet, an cheval que M. Blanchy menait ferrer à Nantua et qui, attaché par un icol, suivait la voiture, s'emballa à la vue d'un train, entraîna et renversa dans le pré qui borde le lac, la voiture, les voyageurs et le cheval attelé. M. Blanchy en a été quitte pour la' peur, mais sa nièce a été légèrement contusionnée. — Le 26 avril, un incendie s'est déclaré dans un bois-taillis appartenant à M. Roussel, propriétaire à Poncin. Grâce à la rapidité des secours, le feu a pu être combattu avec succès. Un hectare de boisa été en partie brûlé ou détérioré. Les pertes sont évaluées à 300 francs environ. — Un commencement d'incendie a éclaté l e 2 8 a v r n ° d a n s un bois de kj»""™** St-Didier-d'Aussiat, appartenant a M. Félix, aubergiste-boulanger. On suppose qu'un fumeur imprudent a pu jeter soit une allumette soit u n bout de cigare allumé qui a immédiatement mis le feu aux herbes très sèches de la forêt. Des ouvriers présents ont combattu le feu qu'ils ont pu circonscrire. Les pertes sont estimées à 60 fr. environ. Lors des fêtes-concours des 22 et 23 août, à Nantua, un n o m m é Paul R. se plaignit d'avoir é t é volé à la gare de cette ville, d'une valise contenant des effets et des valeurs. On ne se rendit pas bien compte comment le vol fut commis ; cependant la Compagnie transigea et accorda au soi-disant volé une indemnité de 460 francs. L'Abeille annonce que ce Paul R. vient d'être arrêté a Alais, porteur de la valise qu'il prétendait lui avoir été dérobée. Il se serait donc volé l u i - m ê m e , d'autant qu'il a à sa charge plusieurs exploits du même genre et que Paul R. ne serait pas son véritable nom. — Des voleurs ont pénétré la semaine dernière, à l'aide d'escalade et d'effraction chez le sieur Mottet, Félix, cultivateur à Arbent et lui ont soustrait une somme de 120 francs renfermée dans une petite caisse qui a été retrouvée sous un buisson. Ou n'a pu encore mettre la main sur les voleurs. — Un autre vol à signaler. Le sieur Cocon, demeurant à Senissiat, avait placé dans sa cave une petite botte en fer blanc, contenant 55 francs. Des malfaiteurs étant venus dans la nuit taire nne visite domiciliaire dans la cave, ont découvert le pot-aux-roses et s'en sont emparés. -•-Lèvent dusud avait soufflé trois jours avec une rare intensité. On craignait qu'il n'amenât des averses. Il n'est tombé qu'un peu de pluie samedi et la journée d'hier a été marquée par une température vraiment printanière. Les arbres se couvrent de fleurs et de feuilles presque à vue d'œil. Bientôt le retard éprouvé par la végétation sera réparé. A partir de cette semaine jusqu'aux vacances, les audiences civiles du tribunal de Bourg commenceront au lieu de midi à 8 heures et demie, et les audiences correctionnelles, i 9 heures du matin. Toutefois, pendant le mois de mai seulement, l'audience du mardi continuera à se tenir à midi. r correctionnel d e Trévoux Mercredi le tribunal correctionnel de Trévoux a condamné à 20 jours de prison le nommé Girerd, de St-Maurice-deGourdans pour actes de brutalité sur la personne de sa femme. —• Le n o m m é Duc a été arrêté pour vol d'un pantalon à St-Ëtienne-sur-Chalaronne. Le tribunal le condamne un mois de prison. — Louis Durand sait que nos honorables voyagent gratis en chemin de fer. Il n'est n i député n i sénateur c'est vrai, mais i l est électeur et ne voit pas pourquoi on ne l u i concéderait pas une modeste place de 3 pjur un trajet de peu d'importance. 16 francs d'amende l'engageront peut-être à poser sa candidature a la prochaine législative. — Douze propriétaires de St-Maurice-deGourdans, se sont vu dresser contravention pour infraction a la loi du 14 août 1885 relative à la surveillance des étalons ; ils ont été condamnés chacun à 16 fr. d'amende. Ils pourront ainsi se convaincre que le Journal officiel qui promulgue les lois est quelquefois utile a lire. e Une des plus vaillantes feuilles de notre région, Y Union Franc-Comtoise de Besançon a cessé hier sa publication. Elle en était à sa 42 année. Avec elle disparaît aussi le Courrier Franc-Comtois, feuille hebdomadaire £ ? « de T «20 n ans. l'existence remontait à plus e i c e d o n t Nous ne voulons pas laisser disparaître ces excellents journaux sans leur exprimer nos regrets. Le Journal de l'Ain a toujours en les meilleurs rapports avec Y Union Franc Comtoise, soit du temps qu'elle était dirigée par MM. Michel et Jacquin, soit depuis que ces vénérés confrères avaient pour leur digne successeur M. J . Bonnet. D'une inébranlable fidélité aux principes monarchiques et catholiques, l'Union n'avait jamais dévié de sa ligne politique. Pendant 4 2 ans on la vit à Besançon défendre avec talent et fermeté ces principes qui sont les n ô - 1 —"^^P^ •' • 1 • Le préfet du Rhôns vient de don'er un exemple qu'on voudrait bien soir suivre dans tous les départements. Considérant qu'il est indispensable de prendre des mesures pour garantir les populations du département contre les méfaits des individus vagabonds et nomades, connus sous le nom de bohémiens et autres gens sans aveu, circulant en bandes o u isolés, i l a pris l'arrêté suivant : Le stationnement sur la voie publique ou sur les terrains communaux, des voitures et autres installations servant au logement des bohémiens et autres individus nomades, sans profession avouée, est interdit dans l'étendue du département du Rhône. Les individus de cette catégorie, qui ne justifieront pas de domicile et de moyens d'existence, seront immédiatement arrêtés e\ déférés aux tribunaux comme vagabonds ; leurs voitures et installations seront mines en fourrière jusqu'à la décision judiciaire à intervenir. Des autorisations spécialts et temporaires pourront être accordées à ceux de ces i n d i qui exerceraient une industrie inoffensive. — Un accident est arrivé la semaine dernière sur !a ligne du P . - L . - M . , entre Villefranche et Anse. Le train qui se dirige vers Paris, à dix heures et demie, arrivait en vue de la gare de Villefranche, lorsqu'un troupeau de moutons appartenant à M. Cornier, fermier à la Prardière, se précipita sur la voie. Le mécanicien fit entendre plusieurs coups de sifflets tout en ralentissant la marche du train ; malgré toutes ces précautious, quatre moutons ont été écrasés. a U N E VICTIME D U DEVOIR. — U Q Chemin gendarme, n o m m é Blaudeau, escortait samedi dans la uit un prisonnier de Limoges. Les deux hommes se trouvaient dans le train 35. Entre Brétfgny et Etampes, le prisonnier parvint à ouvrir sabitement la portière et à sauter sur la voie. Le gendarme n'hésita pas et se précipita à sa suite hors du compartiment. Au même moment passait à toute vapeur le train n u m é r o 40. Le malfaiteur avait eu le temps de traverser la contre-voie. Mais Blaudeau fut renversé : tout le convoi passa sur lui et le réduisit en morceaux informes. Détail horrible : à l'arrivée du train & Paris, les voitures portaient encore des traces de sang et des lambeaux de chair. — M. Guillot, juge d'instruction, a signé l'ordre d'élargissement de Georges Guttentag, qu'on avait cru un instant être le complice de Pranzini. Une affaire de l a plus haute importance avait réuni, dans la salle de la justice de paix de Grignan, de nombreux curieux. Les radicaux du crû s'étaient entendus, comme larrons en foire, pour demander la radiation des 141 Pères Trapistes, du monastère d'Aiguebelle, de la liste électorale, basée sur le motif de notoriété insuffisante. Les demandeurs en radiation sont : A n selme, secrétaire de la mairie ; Estève, valet de ville ; Tortel, lampiste de la mairie, tous trois de Grignan; Bouillane etLachaire, propriétaires à Montjoyer. Les défendeurs sont les PP. Tremblet et Fargier. Il faudrait la plume de l'auteur des Tribunaux comiques pour raconter la scène de la demande. Parmi ces avocats de village, il y en a un qui bégaie outrgeusement, u n autre miaule. C'était à se tordre, surtout quand l'un d'eux a dit que les Trappistes ne paient pas l'impôt. Invités par M. le juge de paix à justifier leurs assertions, nos bons radicaux s'écrient à l'unanimité qu'ils n'en n'ont pas. Le Père Tremblet a exposé la défense des religieux. Et son argumentation sensée, — avec preuves en mains, — sur les ridicules moyens employés par ses adversaires, prouve surabondamment l'inanité des prétentions de ces derniers. M. le juge de paix a débouté Estève et consorts des fins de leur demande en r a diation. Le Père Tremblet a fait toutes réserves dans ses conclusions déposées d'intenter une action correctionnelle aux demandeurs, pour calomnie et diffamation. Le nouveau chiron. — Les bureaux de la guerre viennent de faire choix d'un modèle fort ingénieux et très pratique. Ce clairon, dit clairon-chasseur, présenté par la maison Millereau, de Paris, offre de grands avantages au point de vue de la portée du son et de la justesse. Son prix est de 18 francs. Une disposition ingénieuse lui donne une portée de son bien supérieure aux autres instruments du même genre : le pavillon au lieu d'être tourné en avant, est tourné en arrière. Les corps sont autorisés à se pourvoir de ces nouveaux instruments jusqu'à concurrence de la moitié des clairons d'ordonnance actuels qui deviendront hors de service. car la situation, extérieure n'est pas suffisamment dégagée et la spéculation est encore indécise. Cependant ii y a une^ amélioration marquée dans ta ^tetiuoi de la «ote, q.ii permet de compter sur une piochaine reprise. Nos Rentes sont en progrès : le 3 0 n <"û 80 75, l'Amortissable 8i et le 4 1 2 109 90. Les fonds étrangeis suivent ce mouvement, les Consolidés an$l,iis arrivent à 102 8 4, l'Italien touche 98, l'ExféJifure Espagnole fait 65 et l'Unifiée Egyptienne 385. Les établissements de crédit restent toujours un peu faibles. Le marché en Banque est insignifiant ; le Cornet est cependant demandé à 115. Le ïurr s'avance à 13 7Q. G u o r i ï o n radicale des R h t m s B , Toux opiniâtres, Catarrhes, Bronchiiai, Coqueluche, Grippe, Maux de Gorge, Fatigue de la voix, Aathm» _ Enrouement ^ ^ ^ # ^ S ? C T ? Y * . ^ B ^ ^ L A I I MULES ,e BOURSE BILLET D'ALLER ET RETOUR De Lyon et Genève à Milan, Via MontCenis. Valables pendant 30 jours; délivrés du 15 mai au 30 septembre 1887 inclusivement. De Genève, {'" classe, 75 fr. — 2 classe, 55 fr. De Lyon, \ " classe. 81 f r . — 2" classe, 59 fr. Et de Lyon et Genève à Venue, Via MontCenis. Valables pendant 30 jours; délivrés jusqu'au 25 octobre 1887 inclusivement. De Genève, l classe» 117 fr. — 2" classe, 83 fr. De Lyon, 123 fr. — 2" classe, 87 fr. Billets donnant droit d'arrêt, tant à l'aller qu'au retour, à toutes les gares situées sur le parcours, en France et en Italie, valables pour tous les trains comportant de voitures de la classe du billet, aux conditions indiquées dans l'affiche de la marche des trains de chacune des compagnies française et italienne. Franchise de bagages de 30 kilog. sur le parcours P . - L . - M . , rien en Italie. On peut se procurer des billets à Genève à la gare, et au Bureau-succursale, Grand quai, 28. A Lyon, gare de Lyon-Perrache. e e — ^ CHAMONIX. — Oa lit dans l'Avenir les-Bains : d'Aix- Aujourd'hui la route merveilleuse de FlumetMégève, commencée il y a plus de vingt ans, peut être employée. Un service de voiture extra-poste permettra aux familles munies de leurs bagages dese rendre d^nnecy à Chamonix tout d'une traite c'est-à-dire en 9 h. 30 de route (82 kilomètres). Le parcours fait par cette nouvelle voie des Alpes est plus court que celui de Genève-Chamonix par la vallée de l'Arve ; il aura, en outre, l'avantage de desservir directement le village de Saint-Gervais, dépourvu jusqu'à présent de communications avec les services empruntant cette vallée. Voilà une nouvelle et pittoresque route qui sera agréable aux nombreux touristes de notre région et en même temps plus courte. L'on pourra donc d'Aix-les-Bains se rendre i Chamonix en très peu de temps. FAITS DIVERS LES DRAMES DE LA MER. — Le 23 avril, le paquebot de la Compagnie générale transat lantique La Normandie, capitaine de Kersa biec, allant de New-York au Havre, a rencontré, vers six heures du matin, deux embarcations en détresse portant les quatorze hommes formant l'équipage d u trois-mâts norvégien Kjùkan qui avait sombré en al lant de Newport (Angleterre) à Québec (Ga nada). Ces malheureux étaient depuis sept Une exposition de chiens va avoir lieu à Marseille. Un poète du cru a chanté les merveilles de cette exhibition. Voici le couplet de la fin : Puis leurs couronnes sur la tête Ils sont rentrés chez leurs papas : Les accessits la queue en bas, Les grands prix la queue en trompette. Un carlin qui n'avait rien eu, Vouiail se noyer : pauvre bête ! Mais les autres l'ont retenu. Il n'y a plus d'enfants. — Je t'en supplie, ma tille, prends modèle sur ton amie Louise... vois comme elle est modeste, comme elle baisse les yeux. — Mon Dieu ! que tu es jeune, ma chère mère ! Elle pose pour les longs cils : voilà tout. DERNIÈRES NOUVELLES Service télégraphique spécial du Journal de l'Ain Paris, 2 mai, 11 h., matin. Elections de la Haute-Garonne, ballotage: Calvinhac, républicain. . . 55,006 voix. Duboul, conservateur . - . 53,137. M. Gilvinhac est élu : au premier tour i l avait eu 2,000 voix de minorité. — Une dépêche adressée au Journal de Bordeaux dit que le prince J é r ô m e Napoléon aurait été frappé hier d'une attaque d'apoplexie. Son état serait très grave. —Le Voltaire affirme que M. Schnœbelé sera maintenu en activité après un congé temporaire. O e o r g e s BULLETIN Participation BÊLE,. n>,Vï\ CIEIt T Financière, rue Pigalle, 16 30 avril 1887. Pans. Bien que les nouvelles ne soient plus inquiétantes, la Bourse n'a pas repris toute son assurance, LA I0ITI X fr. as Chez A. NICKLÈS, pb..e l"el. Crand» Rat, 128 tt tout» Ph" • 35 ICONSTIPATION, D I A R H M t l o&jiTfuu, » É M taaunow, f PARIS du 29 du 31 8 0/0 S0.50 80.70 3 0/0 amortissable «3.85 83 90 4 4/2 0/0* 1883 109.55 109.75 Obligations du Trésor 61 » blO. » Banque de France 4.110. » 4.120. » ACTIONS < tr. 3 Q U BotU. POMMADE FONTAINE (Avril) Comptoir d'Escompte Crédit Foncier Crédit Lyonnais Société générale. Est Lyon Midi. .. ........... Nord....' Orléans Ouest Canal de Suez Id. Délégations». Autrichiens, or,40/0 Italien Canal de Panama 1 IGRAIftE O E L I N TARIN 1.001.2* 1.006.2* 1 370. » 1.367.50 545. » 350. » 455. • 455. » 800. • 800. » 1.265. > 1 .271.25 1.155-, » 1.160. » 1.520. » 1.520. » 1.298.75 1.303 75 865.» 865. » 2 022.50 2 025. » 96>. > 970. » ». » ». » 97.80 97 85 406.25 4 1 0 . » ROUOEUM. — u y* a tt. à SAGAER en l un moi! | 'AVEO' m achetant Immédiatement on FONDS D'ETAT. ° • PREUVES A L'APPUI. — Ecrire a !a terrupondinot Fintncière, 28, r. Si-laiare, Paris. Bulletin agricole et commercial Paris, 30 amil 1887, — Malgré les prévisions contraires, la hausse continue sur les blés; les apports de la cullure sont toujours restreints et la fermeté domine encore. Les prix sont d'ailleurs bien tenus en ce moment sur la plupart des marchés agricoles. Le dernier prix moyen du quintal métrique pour toute la France a été ainsi établi : Blé, 24,40, hausse de- 32 cent, sur les prix de la semaine précédente. Seigle, 15,77, hausse de 25 centimes. Orge, 14,73, baisse de 42 cent. Avoine, 16,39, hausse de 03 centimes. Voici pour la région de l'Est, les prix par quinOBLIGATIONS tal métrique des différentes céréales. Bons de liquid. 1874-76 . . . 524. > 5?3. » tu IligU ktmt Orji Dép.delaSeine(Emp.l857) 270.» 277.75 26 » 16 « » » 16 20 Crédit f. obi. corn. 1879... 475. » 477. » Ain Bourg — Pont-de-Vaux . » » » » » » Est 3 0/0 rembour. à 500.. • 384. » 382. » 25 25 14 75 15 50 14 50 Lyon 3 0/0 rembour. à 500 384. » 385. » Côte-d'Or. D i j o n . . . Doub8. Besancon . . . fi » 25 » 16 » » » Dauphiné 3 0,0 remb. à 500 387. » 386. » Isère. Bourgoin.... 25 a 14 75 14 » 15 » Genève 1855, g. par l'Etat. 386. » 385. » Jura. Dôle 24 75 14 10 14 50 13 75 Méditerranée3 0/0 386.5) 3 8 1 . » Rhône. Lyon 25 60 15 25 » » 16 10 P-L-M (fusion) 3 0/0 r. à 500 386.25 385. » Satae-ef-ioire.Chaloa 24 75 14 25 14 50 1E 75 » » 15 25 Victor-Em. 3 0/0 r. à 500.. ». » » . » Hie-Sauote. Annecy . . 24 35 » » Midi 3 0/0 remb. à 500.... 390.» 390.» Moyenne d l a région 25 12 15 26 15 38 15 67 Nord 3 0/0 remb. à 500... 399. » 400 » St-LAURENT, 30 avril 1887. Orléans 3 0/0 remb. à 500. 393.50 393.50 Froment, l'hectolitre 19,16 19,83 Suez 5 0 '0 remb. à 500 . . . 381. » 580.50 Seigle, 10,66 11, »» 20,50 Panama 6 0/0 remb. à 1.000 4'38, » 469. » Méteil, 11,33 12,33 12,66 LYON Orge, »»,»» »»,»» 13,»» Vflle de Lyon 1880. oblig.. 96 50 96.75 Avoine, 7,»» T,33 »»,»» Dombes et Sud-Est, obi.. 378.bO 377.50 Sarrasin, 7,66 10, »» 10,33 Gaz de Lyon actions 1.002 50 1.0J1.25 Maïs, 11, »» 12, »» 10,66 Fonderies de Terre-N™ id. ». » » . » Fèves, »»,»» »»,»» 13,»» — A. de la marine . . ». » » . » Colza, »»,»» »».»» »»,»» — du Creusot.... id. » . » » . ». » »»,»» Froment, les 100 kil., 25,75. — Seigle, 15,44. — Mines de la Loire 17L. » 172 50 Méteil, 17,50.— Orge, •»»,»». — Avoine, 15,63. — — de St-Etienne 260. » » . » Fèves, »»,»». — Sarrasin, 15,77. — Maïs, 15,82. — de Rive-de-Gier 14.50 14 50 — Colza, »»,»». — Paille, 4,60, 4,85 et 5,10. — Foin, 5,50, 6,50 et 7,50. — Pommes de terre, 4,20, 4,60, et 5,»». — Porcs tués, 100,105,»», 110 les 100 kil. DEPUIS 9 ANS preuve. Envoi d'an flacon franco contre mandat-poste 3 f. 50 adressé à MM. Baric et O , pharmaciens, à Deuil (Seine-et-Oise.) Dépôt & Bourg, parfumerie Barbier, 2, faubourg des Halles ; à Belley, parfumerie Candy, 15, place des Terreaux. (966) 4—4 11. AIVS D E S U C C È S ! MAISON D E C O N F I A N C E AU S O U V E N I R (989) 4b 7 8 - 7 2 c. K. LEBABS-HOIIET ^JSSS. 52, rue de la République, Lyon, a l'honneur d« prévenir sa clientèle qu'il se rendra les I " mercredi et jeudi de chaque mois, H6tel de France à Bourg. (6) — SI c. Dépôt des Dentifrices chez M . Morand, eoiffenr, place d'Armes, 3, i Bourg. e PAPIER WLINSI • Remède souverain pour la Guérison des Rhumes, Irritations. de Poitrine, Maux de Gorge, D o u l e u r * , , Rhumatiamea, etc. — 1 fr. 50 la botte. Exiger le nom WLIKHM LE VIN G. SEGUIN Reveille l'appétit, ftictlite la digestion, coupe les fièvres, combat . la Chlorose et VAnémie ; U convicut a tous fi les tempéraments affaiblis. Paris. 378, rue Saint-Honoré. LYON, marché de la Guillotière du 30 avril. Farines premières : vente au commerce, de 46 fr. »» à 47 fr. 50 le sac de 125 kil. ; vente en boulangerie, de 49 fr. »» à 50 fr. »». Farines deuxièmes, de 43 fr. 50 à 45 fr. »». Blés de pays, de 25 fr. 75 à 26 fr. »». Blés du Bourbonnais, de 26 fr. 50 à 26 fr. 75. Blés du Nord, de 24fr.50 à 25 fr. »». Blés du Dauphiné, de 25 fr. »» à 25 fr. 50. Elés de Marseille, de 20fr. »» à 26 fr. »». Seigle, de 15 fr. »» à 15fr.50. Avoine, de 15fr.»» à 16 fr. 50. Maïs, de 13 fr. »» à 15 fr. »». Sarrazin, de 13 fr. 50 à 14fr.»». Son et recoupe, de 9 fr. »» à 10 fr. »». Pleurage, de 14 fr. »» à 15fr.»» CHALON, 29 avril 1887. filé, 1 « quai., 25,»» ; 2<> qualité, 24,50; 3<>qnal., 24,»». Seigle, 15,»». Orge, 15,»». Sarrasin, 15,»». Navette nouvelle, »»,»». Colza nouveau, »»,»». Maïs vert, 15,»»; sec, 16,»»; moulu, 19,»». Pois, 13,25. Haricots blancs, 21,»»; rouges, 15,50; jaunes 21,50. Fèves, »»,»». Vesces, »»,»». Avoine, l « qualité, 17,»»; 2« qualité, 15,»». Porr.mes de terre, 4,50. Foin, 8,»». Paille, 5,50. Farine, i™ qualité, les 125 kil., 45,25; 2«, 42,50; 3 , 40,»». r R Lhouit, (propriété exclusive avec marque déposée de M. Bonniau, dentiste-hygiéniste, 2, ruedu Gouvernement, Bourg) estaujourd'hui le dentifrice sérieusement hygiénique de la région, à base des cressons de Bresse si r i ches en fer et en iode, i l raffermit les gencives, les empêche de saigner, consolide les dents chancelantes, arrête la carie ou la prévient en assainissant les cavités bucales. Se trouve dans toutes les bonnes pharmacies et parfumeries, ne se vend qu'en flacon à 2 fr. 25 ; exiger la marque BONNIAU. Chez M. Picard, pharmacien à Bourg, ou chez M. Bonniau. (696) 24—18 q. 1. 45, rue de la République, TRÉVOUX, 30 avril. — Favorisée par un temps doux, la foire de ce jour avait attiré un grand nombre de vendeurs et d'acheteurs. Sur le quai, les petits porcs qui approvisionnent presqu'exciusivement le marché, étaient très nombreux et se sont vendus à des prix très élevés. On les a coté 25 à 35 fr., suivant grosseur. Les graines de chanvre se sont vendues 5 fr. et 5 fr. 50 le double-décalitre. NANTUA, 30 avril. — Froment, 4 fr. Orge, 2,50. Avoine, 1,50. Maïs, 2,50. Fèves, 3. Esparcelte,2,25. Pesette, 2,40. Lundi dernier, le bétail était abondant à la foire de Montréal. Les bœufs gras se vendaient de 28 à 30 fr. le quintal ; mais peu de marchés se sont conclus. v L A CRESSONNUSE, d'après les recettes du D Spécialité pour D E U I L Grand choix de Lainages de Soieries noires Modèles nouveaux en Manteaux, Robes — La Justice dit que le gouvernement Chapeaux et lingerie français a répondu à la communication de D E U I L E X 6 H E U R E S M. de Bismarck par une courte note dans laquelle i l fait ses réserves au sujet des affirmations du chancelier sur l'arrestation de M. Schnœbelé. —La France avait ouvert une souscription pour offrir une croix en diamants à M . Schnœbelé, celui-ci vient d'écrire à ce journal une lettre par laquelle il refuse de bénéficier de cette souscription qu'il déclare inopportune. ^«^^CiSÛU^ïfoî^ Depoi a buuig, (jtiaruiacie P I C A K D . Cuiseaux (Saône-et-Loire), le 18 février 1887. — Depuis neuf ans, ma femme souf— Mlle de Sombreuil a trouvé le moyen le frait de maux d'estomac qui luirendaient tout Plus simple pour se mettre à l'abri de toutravail impossible; elle avait aussi de grands tes les lois d'expulsion qui peuvent frapper, maux de t ê t e ; elle s'affaiblissait de jour en les étrangers résidant en France. jour, et tous les remèdes qu'elle avait pris Elle va épouser un Français et devenir ne lui avaient donné aucun résultat. Mais par conséquent Française par son mariage. depuis qu'elle fait usage des Pilules suisses Mais comme elle a toujours ajouté à ses à f fr. 50 la boîte, ses maux d'estomac ont moindres actes une note d'originalité toute disparu complètement» ses digestions se font personnelle, elle a décidé que l'homme q u i très bien et elle n'a plus de maux de tête. lui donnerait son nom recevrait en échange J'autorise M . Hertzog, pharmacien, 28, rue une rente de douze cents francs moyennant ds Grammont, à publier ma lettre. Genty, laquelle ce mari abandonnerait toute sortes cantonnier. Signature légalisée. (247) de droits. L'affaire est conclue : des qualités de demandes ont été adressées à Mlle de SomPourquoi crier au miracle ? breuil, à Saint-Lazart ; et le fiancé qu'elle a 11 ne faut pas erier sa miracle ai & l'impossible, choisi est un honnête cultivateur, âgé de ni croire que l'on fait acte de charlatanisme en soixante-treize ans et sans aucune ressource. disant que la Lotion régénératrice du D* Saïdi, Mlle de Sombreuil ne l'a jamais vu ; elle fait repousser les cheveux, enlève les pellicules déclare quelle ne le verra qu'un instant... et arrêta la chute des cheveux. Ne faites-vous à l a mairie, et ce sera tout. Le fiancé a pas revivre one plante qui semblait prête a mourir, par des soins et on engrais convenables ? De accepté. C'est le mariage civil dans toute sa splen- même pour le cheveu, tant que la racine n'est de fer de Paris à Lyon et à la pas morte il peat repousser ; ave a qaelqnes fladeur. Méditerranée cons de 3 fr. de Lotion Saïdi voua en verrez la r Tribunal jours, dans ces embarcations* Depuis c i n quaute-six heures, ils n'avaient plus une seule goutte d'eau douce, et buvaient de l'eau de mer pour se désaltérer. Us avaient vu plusieurs navire? passer, mais aucun d'eux ne les a probablement aperçus. Depuis le 22 au soir, le vent était violent dn nord, *t1a nier était grosse Malgré cela, la Normand e a réussi a sauver saus accident les 14 hommes du KjïiLan. I'.s étaient dans ua état pitoyable et plusieurs d'entre eux avaient perdu connaissance. Il n'était que temps de secourir ces «lalhetireux, c i F à onze heuresTiin violenteoup de veut N.-Q. se déclarait, la mer était devenue énorme et les 14 naufragés auraient certainement péri dans la tourmente. Le capitaine norvégien dit qu'il n'avait d û son salut, dans la nuit du 22 au 23 avril, qu'aux 70 litres de pétrole embarqués par l u i avant d'abandonner son navire. 11 répandait ce pétrole sur l'eau autour de ses embarcations et les lames arrivaient sans déferler jusqu'à eux. tres et qui se résument par ces deux mots « Religion et Paine. * La Franche-Comté va recueillir la succession de Y Union et du Courrier. Nom Jm souhaitons bonne réussite. e DOLE, 23avril.—Blé.les 100 k i l 24 fr. 75. Seigle, 14 fr. 58. Orge, 14 fr. 50. Avoine, 14 fr. 25. LONS-LE-SAUNIER, 28 avril 1887 Froment, le d.-d., i™ qualité, 4 fr. 15. 2«' 3 fr. 90 ; 3<>, 3 fr. 75. Orge, 2 fr. 20. Seigle, 2 fr. 20. Avoine, 1 fr. 50. Sarrasin, 2 fr. 30. Fèves, 2 fr. 80. Maïs vert, 2 fr. 30. Maïs sec, 2 fr. 80. Pommes de terre, 0 fr. 60. Haricots blancs, 4fr.50. Navettes, 4 fr. »». Vesces, 2fr.40. Foin, les 500 kil., 28fr.Paille, les 500 kil., 10 fr. v BESANÇON, 29 avril. - Avoine, 1,32 le d.-d. (prix moven). Foin, 27,78 les 500 kil. Paille, 18,20 les 500 kil. Gex, 29 avril 1887. — Favorisée par un beau temps, la foire de lundi a été des plus belles et des plus animées. La place de Perdtemps était littéralement envahie par le bétail qui était très-beau. Des acheteurs venus de tous côtés s'y étaient donné rendez-vous et de nombreuses transactions ont été faites. Voici les prix approximatifs des marchés : Rœufs gras, 75 a 80 fr. les cent kilog. Bœufs de travail, 700 à 1,000 fr. la paire. Génisses, 300 à 350 fr. la paire. Vaches prêtes au veau, 350 à 450 fr. Vaches laitières, 350 à 450 fr. Chèvres, 30 à 35 fr. Moutons, 25 à 35 fr. Porcs de 2 mois, 55 à 60 fr. Porcs de 4 mois, 35 à 40 fr. GENÈVE, 27 avril 1887. Blé, 23,50 à 24,50 les 100 kil. Seigle, 17,»» à 18,»». Avoine, 16,50 à 18,»». Orge, 16,»» à 17,»». Farine, 1 « du pays, 34,»» à 34,50. 2«, 29,.» à 29,50. Son, 10,»» à 11,»». Pommes de terre, 6,50 à 7,o». Foin 6,50 à 7,50. Paille, 7,»» à 8,»». Œufs, »,65 à »,80 la douzaine. Beurre, 2,»» à 2,30 le kil. Bétail de boucherie, poids vif. Bœuf, »,76, à 0,90, le kil. Veau, l r e q i . 70 à »,86. — 2« quai., 0,60 à »,70. Mouton, 1,50 à 1,70. Porc, »,95 à 1,05. Ua Bj