Léonard de Vinci - ECOVOC La 3e Rencontre Internationale

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Léonard de Vinci - ECOVOC La 3e Rencontre Internationale
Léonard de Vinci - ECOVOC La 3e Rencontre Internationale
Collège Emerson, Forest Row, Angleterre
Le 24-26 octobre, 2012
Titre du project: Formation professionnelle en culture de légumes et fruits
biologiques
Nom du programme: Programme de formation tout au long de la vie
Nom du sous-programme: Transfert d’Innovation Léonard Da Vinci
Numéro de contract: 11/0029-L/4001
Table des matières
Table des matières .................................................................................................. 1
Introduction ............................................................................................................. 2
Les participants de la rencontre ............................................................................... 2
Les objectifs et la construction structurelle du programme de la rencontre ……….…3
L’introduction du collège Emerson (Arjen Huese) ....................................................... 3
Les bases de la culture biodynamique ..................................................................... 4
La présentation et l'évaluation des chapitres complets du "Manuel pratique pour le
lancement d'un jardin biologique" (Organic Market Garden Start-Up Manual)
(discussion)…….…………………………………………………………………………………….5
L’analyse du programme de la formation ............................................................... 10
Les remarques méthodologiques concernant le programme de formation ................. 13
La conférence de l’expert ECVET ............................................................................ 14
L’organisation de la formation d’essai (les dates, les lieux et le contenu) ................. 14
L’opinion des instituts partenaires concernant la formation vocationnelle ................ 14
Excursions professionnelles (images se trouvent dans l’annexe n°4.)...................... 15
Le fermement de la rencontre professionnelle, la discussion sur le délai des tâches
entreprises et sur les dates de la rencontre suivante .............................................. 16
Tableau résumant les délais des chapitres du manuel …………………………………...16
Table des annexes ................................................................................................ 17
1
Introduction
Comme les autres rencontres, la 3ème rencontre aussi a signifié une
excellente opportunité pour les participants de bénéficier des avantages de la
rencontre personnelle. On a fait une énorme étape non seulement dans le
domain de l’écriture du manuel et dans celui de la préparation du
curriculum, mais aussi dans le domain de l’organisation de la formation
d’essai. Suivant notre pratique habituelle, comme au cours de toutes les
rencontres, on a discuté tous les sujets du projet en aussi considérant le
plan d’action.
Les participants de la rencontre
1.
2.
3.
4.
5.
6.
7.
8.
9.
10.
11.
12.
13.
Ududné Szabó Anikó (GAK, HU)
Csapó Beatrix (GAK, HU)
Matthew Hayes (SZIE, HU)
Prokaj Enikő (SZIE, HU)
Claudette Formantin (Ineopole, FR)
Aurélie Chaillot (Ineopole, FR)
Gilles Parcoret (Ineopole, FR)
Charles-André Descombes (Manresa, CAT)
Marta Arce (Manresa, CAT)
Arjen Huese (BDAC, UK)
Ian Bell (BDAC, UK)
Ruud Hendriks (Groenhorst College, NL)
Bart Willems (Groenhorst College, NL)
2
Les objectifs et la construction structurelle du programme de la
rencontre
Les opjectifs principaux de la troisième rencontre étaient les suivants:
l’évaluation des chapitres complets du manuel (S-UM), la discussion et la
précision du curriculum de la formation qui est à réaliser et l’organisation
des formations d’essai. Les discussions à table ronde étaient rendues plus
efficaces par les discussions en petits groupes et les courtes conférences. Le
programme détaillé de la rencontre se trouve dans l’annexe n°1. La structure
des programmes a suivi l’organisation efficace déjà utilisée, c’est-à-dire,
pendant qu’on a passé les manitées en discutant les tâches, les après-midis
étaient passés avec des visites à des sites professionnelles.
L’introduction du collège Emerson (Arjen Huese)
Pendant la première journée de la rencontre, Arjen Huese (hôte) nous a
présenté l’agriculture du Royaume Uni, la stratification des époques
géologiques et l’effet de celle-ci sur la vie de l’île. Il a présenté les avantages
et les désavantages du climat, les possibilités des bons sols. Il a affirmé que
pendant que la production agricole et les prix des produits diminuent, les
étrangers se procurent de plus en plus de terres. Ensuite, il a présenté la
brève histoire du Collège Emerson : en évoquant 1962, l’année de la
fondation, il a accentué l’importance de l’anniversaire du collège qui arrive
cette année. Il nous a présenté l’activité et les cours de l’école, parmi qui on
considère le jardinage biodinamique comme le plus important. Les
différentes activités artistiques ont aussi une grande importance: la peinture,
la sculpture, la narration de contes, l’art de clown, la poésie, l’eurythmie et
l’apiculture. En ce moment, il y a à peu près 100 étudiants à cette école: ce
nombre est en constant changement, parfois il diminue, parfois il est
complété par des étudiants invités qui arrivent de tous les coins du monde.
La spécialité de l’école se cache dans la méthode 3 H, c’est-à-dire la théorie
du „head, heart et hands” (tête, coeur et mains) qui suppose que les
étudiants comprennent et apprennent les disciplines scientifiques à l’aide de
leur tête et cerveau, et puis en utilisant les arts, ils mettent leur coeur aussi
dans le procès, et finalement ils réalisent en pratique tous ce qu’ils ont
appris. Selon leur slogan: „il y a plus à découvrir que le monde physique”.
Les gens locaux créent une communauté familiale: ils travaillent, étudient,
mangent, boivent ensemble et même ils organisent des programmes
ensemble dans leur temps libre (regarder des films, raconter des contes).
Egalement, ils célèbrent les fêtes importantes ensemble. C’est selon cette
pratique qu’on a évolué le bâtiment et ses unités. (Le plan du Collège
Emerson se trouve dans l’annexe n°2). Arjen a présenté la structure du
cours de jardinage biodynamique qui se constitue de 3x6 mois. Le premier
trimestre commence en septembre, le deuxième en avril et puis le troisième
en septembre. Une caractéristique importante de la formation c’est que
pendant les matinées on fait des cours dans le bâtiment, et pendant les
après-midis les étudiants participent à des activités pratiques en plein air.
Les activités pratiques se déroulent aux fermes partenaires qui ont des
tailles diverses et qui fournissent des possibilités aux étudiants d’apprendre
la technologie de production des plantes tout à fait différentes.
3
Les bases de la culture biodynamique
Pendant la première journée, l’autre hôte, Ian Bell, chef du programme, a fait
une excellente conférence sur l’essentiel de l’agriculture biodynamique. Il a
présenté les principes biodynamiques à travers l’oeuvre de Rudolf Steiner.
Ces principes disent qu’une ferme ou un jardin sont en fait des êtres vivants
qui produisent les sources qui sont nécessaires pour eux. On ne peut pas
ignorer la philosophie qui se cache derrière la biodinamique selon laquelle
l’agriculture biodynamique nous rend accessible les énergies profondes,
spirituelles qui influencent toute le vie sur Terre. Selon Steiner, on doit
unifier la force de la science, des arts et de la foi pour pouvoir suivre la route
de la connaissance réelle. L’antroposophie est un système pédagogique selon
lequel au-delà de tout ce qui est considéré comme réalité par la science, il
existe beaucoup de choses et processus qui ne peuvent pas être sentis par
des sens humains ou des appareils; en plus, ils peuvent être observés d’une
façon transcendante et recherchés scientifiquement. Pour démonstrer, Ian a
parlé du compostage biodynamique et des plantes qui les catalysent. Il a
également parlé des connexions entre l’humanité, le cosmos et l’agriculture.
Il a expliqué le rôle de la myriophylle, de la camille, de l’ortie, du pissenlit, de
la valériane dans la naissance de l’équilibre nutritif au cours du compostage.
Il a également mentionné la force de la vessie du cerf.
4
La présentation et l'évaluation des chapitres complets du "Manuel
pratique pour le lancement d'un jardin biologique" (Organic Market
Garden Start-Up Manual) (discussion)
Déjà pendant la première journée, on a commencé à discuter les chapitres
du S-UM déjà accomplis et traduis en anglais. Tout d’abord, Matthew Hayes
a esquissé la stratégie et les critères principales qui doivent être suivies par
le S-UM:
•
•
•
•
•
Facilement compéhensible
L’usage des termes techniques ponctuel et conséquent
Facilement lisible
Convient aux exigences du public cible
Contient les informations nécessaires et importantes.
M. Hayes a demandé aux critiques désignés de résumer leur opinion en 5-10
minutes selon le plan original. (Chaque partenaire a reçu un chapitre écrit
par un autre partenaire en avance qu’il devait évaluer à l’oral en considérant
certains aspects). Avant d’écouter les critiques, il fallat clarifier les personnes
qui critiques et les chapitres qui leur appartiennent de nouveau. En
conséquent, on a agréé que ceux qui ont déjà lit les chapitres disent une
opinion récapitulative, et puis le lendemain on allait discuter chaque
chapitre en détails. En plus, on a créé un groupe d’éditeurs dont les
membres sont: M. Hayes (Hongrie), C-A. Descombes (Catalogne) et A. Huese
(Royaume Uni).
L’évaluation a été commencé par B. Willems, du Pays-Bas. A son avis, le SUM doit être global et applicable n’importe où dans le monde, mais cet
objectif peut être réalisé à travers des exemples locaux. Essentiellement, le
livre doit être une oeuvre taquine évoquant des idées concernant le
lancement d’un jardin biologique. Il doit contenir des informations
5
techniques, mais seulement vaguement. Il doit motiver les fermiers pour
commencer une production biologique. Il doit donner une image sur les
règles générales, mais il doit aider le lecteur à trouver les détails spécifiques.
Il doit être approprié aux circonstances du pays donné, il doit argumenter
par la présentation des avantages et des désavantages à travers des
exemples. Il faut présenter des différentes possibilités. Il peut contenir une
petite liste sur les fermiers biologiques européens avec des détails de
contact. Il doit contenir des informations sur les possibilités importationexportation.
C-A. Descombes, de Catalogne, a ajouté que le manuel doit contenir un peu
de statistiques concernant la situation des fermiers biologiques en Europe,
on doit utiliser des figures, des graphies et des tableaux qui communiquent
beaucoup d’informations en peu de place. Le manuel doit aussi donner des
lignes directrices en ce qui concerne la décision sur la conversion biologique.
Après, on a commencé l’évaluation par les chapitres déjà évalués:
1. Les contrôles de durabilité (Label or not label)
Tout d’abord, c’est l’auteur qui a parlé: l’utilisation des labels doit être la
décision du fermier: le chapitre donne un bref aperçu sur l’utilisation des
labels, il énumère des arguments pour et contre leur utilisation, et puis le
chapitre constate que dans le cas où les produits et les consommateurs sont
proches l’un de l’autre dans la ligne, l’utilisation des labels n’est pas
nécessaire.
L’opinion de C-A. Descombes (critique): l’aperçu historique est trop long, il
faut accentuer que les fermiers biologiques européens peuvent utiliser un
nouveau label légal qui n’a pas existé jusq’ici. A son avis, le texte n’est pas
tout à fait univoque: les différents exemples peuvent être placés dans un
tableau pour les rendre plus clairs. Il faut attirer l’attention du lecteur aux
possibilités: quand est-ce qu’il est nécessaire, possible ou il vaut utiliser les
labels?.
M. Hayes: Il faut garder la réglementation et la rendre compréhensible pour
les fermiers qui produisent pour des publics et objectifs différents.
C-A. Descombes: il faut clarifier si on parle des labels collectifs ou
individuels, et si quelqu’un veut utiliser un label, quels sont les coûts
supplémentaires et quels sont les avantages financiers.
G. Parcoret: En France, il y a 8 organisations régionales qui fournissent de
l’assistance aux fermiers de payer les coûts du label. Le manuel pourrait
parler des soutiens financiers des pays différents.
A. Huese: C’est une bonne idée. Du point de vue de la rédaction, ces
exemples (la situation dans les pays différents) pourraient être présents dans
les notes de bas, ou dans des tableaux ou bien en forme des remarques, un
peu séparément du corps du texte. (Tous sont d’accord avec lui)
6
Selon C-A. Descombes pendant que le label individuel peut signifier un
avantage pour les producteurs, le label collectif est avantageux pour les
consommateurs.
Tout le monde est d’accord que les enquêtes et la documentation sont très
importantes dans l’assurance qualité qui doit être présent dans le manuel SUM aussi. Le temps de la conversion devrait être harmonisé dans chaque
pays, ou bien, les règles locales peuvent modifier la réglementation de l’UE
ce qui doit être accentuée dans le manuel aussi.
G. Parcoret a dit que le chapitre a une version différente aussi. On a agréé
qu’on allait le relire et évaluer après.
2. Gestion potentiel humain
Arjen Huese, l’auteur a résumé son chapitre de la façon suivante: l’humain
se développe et change sans cesse, donc son rôle est tout le temps modifié
selon l’époque dans laquelle il vit. C’est le même cas dans la vie des fermes,
et cela est convenable. Le chapitre parle de la choix des personnes aussi
avec qui nous voulons travailler. Pour prendre cette décision, on peut utiliser
l’analyse SWOT, mais il suffit analyser en détails les faiblesses et les forces.
Dans le chapitre on trouve une liste qui est utilie à lire avant d’embaucher
un nouvel employé. Il est possible d’embaucher des étudiants ou utiliser des
employés temporaires. Chacun a des exigences différentes mais il vaut
considérer la règles générale d’éconimisation. Chacun doit trouver le niveau
optimal de son efficacité (position) qui peut développer la ferme aussi.
M. Hayes a évalué le chapitre: beau chapitre, léger, intéressant à lire,
pratique et contient des informations utiles.
Au cours de la discussion, on a eu l’idée que le chapitre pourrait donner des
idées pour la taille convenable de la ferme. Les partenaires hollandais ont
suggéré la possibilité d’un jeu de situation et on a agréé qu’on allait l’essayer
au cours de la rencontre suivante.
3. La planification du marché
Charles-André Descombes, l’auteur a résumé le chapitre de la façon
suivante: idée de base > il n’y a pas de production sans vente. On a besoin
des outils pour savoir où on va. Il faut donner des directions: quels outils
peuvent aider la vente de nos produits; il faut connaitre la stratégie
nécessaire, la priorité des lignes courtes et de la vente directe, les outils
nécessaires pour leur établissement. Comment se passe la vente aux
supermarchés, quel est leur rôle dans la vente des aliments biologiques? Le
plus utile, c’est le réseau de vente construit sur les bases pratiques qui se
concentre sur la communication avec les consommateurs. Quels prix sont
idéaux?
7
A. Huese (évalueur), a présenté son opinion sur la chapitre.
La traduction anglaise est resté un peu catalan, très formel, il est difficile à
comprendre et lire. La troisième unité pourrait être placée dans un tableau,
alors le chapitre serait plus court. Il faut aussi changer la structure (l’ordre
des sous-chapitres), par exemple: l’analyse du marché, la vente, analyse
SWOT, planification business arrangés différemment. Il faudrait expliquer
plus de choses: la création du jardin marché, la vente directe, la différence
de la stratégie selon la taille de l’entreprise. Il faut designer le public cible, il
ne faut pas généraliser. L’établissement des prix doit faire partie du chapitre
stratégique. Voire, il doit contenir l’étiquetage, le mesurage, l’emballage et le
traitement. Le reste pourrait être écrit dans la partie entitulé: Le traitement
des supermarchés. Il faudrait énumérer des possibilités à choix pour les
fermes individuelles et celles qui s’opèrent en groupe avec une attitude un
peu plus neutre. A. Huese a accentué l’importance des possibilités à choix.
La réponse de C-A. Descombes: Les expériences sont différentes: en Espagne
il est aussi dificile de vendre en petit que vendre en direct. La réputation des
produits biologiques n’est pas encore extensive. Cependant, il est d’accord
avec l’opinion selon laquelle il faut donner des possibilités à choix, et cela
pourrait être réalisé, selon sa proposition, à travers des exemples pratiques
qui reflètent la situation dans des pays différents.
M. Hayes pense que le jugement des supermarchés est trop positif.
L’interjection de B. Willems: Les supermarchés ont intéressés à la vente des
produits locaux.
C-A. Descombes: attend des propositions pour améliorer le chapitre.
A. Huese: Modifier la structure et embaucher un autre traducteur qui a un
style plus léger.
8
M. Hayes est d’accord avec la proposition. Lui aussi, il pense que
l’élaboration est trop académique et même le contenu est trop théorique. Le
texte doit être plus pratique.
Un grand débat a développé concernant le sujet du „bon prix” et ce que les
auteurs entendent par ce terme. Ce que le „bon prix” signifie pour les petits
fermiers, pour les grands fermiers? Est-ce qu’il contient les coûts, la valeur
supplémentaire du produit? Est-ce que le prix minimal et maximal ont un
sens dans leur cas? Pourquoi les produits biologiques, sont-ils plus chers?
Qu’est-ce qui influence le prix? (l’absence de contamination est inclue etc.)
Selon R. Hendriks il existe plusieurs différents points de vue, mais
l’évaluation sociale doit être présent dans le prix des produits biologiques.
Selon C-A. Descombes, si le prix est trop haut, le prix ne sera pas payable.
A. Huese dit que le fermier biologique aspire à un profit maximal donc il ne
peut pas vendre ses produits bon marché puisqu’il vit et développe à partir
des revenus.
Selon B. Willems il faut définir précisément „le prix commerce équitable” (fair
trade).
Il y a trop de facteurs qui influencent le prix: limite sociale inférieure,
participants des lignes de vente, moeurs, politique, exigence du profit
maximal etc. Les coûts aussi sont inclus dans le prix etc. La solution est
d’éclairer les consommateurs que le produit est cher, mais il vaut le prix. Il
faut également penser à l’autofinancement du fermier. Les ressources
humaines ont une vraiment grande valeur. On peut démonstrer le
développement des prix et des coûts par plus d’exemples pratiques.
4. Outils et équipement (et bâtiments)
Charles-André Descombes, l’auteur, a brièvement présenté le chapitre: on a
besoin d’une meilleure traduction et beaucoup de photos pour l’illustration.
L’opinion de M. Hayes: le chapitre est riche en informations et il est pratique
aussi, mais il faut changer un peu la structure: on a besoin d’une
introduction et on devrait mentionner où on peut se procurer des machines
bon marché, peut-être utilisées. Il faut parler de la façon dont on peut
maintenir et réparer les machines domestiquement. Le mot „bâtiments” doit
être présent dans le titre aussi.
B. Willems a trouvé le chapitre un peu trop détaillé. Pour les différents types
de fermes, on a besoin de différents types de machines.
M. Hayes: il est important de fournir des options différentes. Il faut donner
des examples de ce dont on a besoin et pour quel prix on peut acheter les
choses nécessaires. Selon lui aussi, les images sont nécessaires pour la
compréhension, et peut-être, on pourrait utiliser des liens YouTube pour
qu’on puisse voir le fonctionnement de certaines machines.
9
C-A. Descombesnek a des photos, il va les envoyer en email. La qualité peut
être améliorée par des photos en grande taille et si on les imprime sur toutes
les deux pages.
Au cours de la discussion à table ronde, on a agréé de préparer des études
de cas qui présentent des possibilités différentes pour l’établissement d’une
ferme biologique. (Par exemple: à travers l’exemple de la ferme Tablehurst,
les Anglais présentent la soin sociale qui caractérise l’organisation; les
Français présentent le jardin Cocagne où on peut poursuivre une formation
à long terme et on emploie des chômeurs; les Hollandais écrivent sur
l’agrotourisme; les Catalans présentent la vente de fruits par l’Internet).
Les délais de la préparation et l’évaluation des chapitres manqués se
trouvent dans le tableau de récapitulation.
L’analyse du programme de la formation
1. Introduction à la culture et jardinage biologique
La proportion théorie-pratique: 80%:20%. Il faut discuter sur la
réglementation, il faut comparer la culture biologique à la culture
traditionnelle, peut-être par des visites de fermes faites par les étudiants. Il
ne faut pas présenter la culture traditionnelle négativement, il faut éclairer
que les objectifs sont identiques, seulement les outils sont différents. Il faut
accentuer qu’on aspire à utiliser des technologies écologiques dans la culture
traditionnelle aussi. Chez les Français, aux cours théoriques, les étudiants
préparent des questionnaires ensemble, et après ils cherchent les réponses
au cours des stages sur les fermes. Ils analysent les réponses reçues
ensemble au cours en classe. L’aperçu historique peut être nécessaire au
cours des études, et clarifier le terme „bio” et les aspirations biologiques peut
être aussi utile. Il faut compléter le programme de formation par des
compétences. La question a émergé si on devrait inclure l’agroécologie parmi
les matières. Il faut faire attention à la choix du bon moment, considérer le
bon temps pour l’enseignement des différentes parties dépendemment des
autres matières/modules.
2. Les sciences fondamentales
Il est important pour les étudiants de voir l’ensemble du processus. Il
doivent voir la réalisation de la biodiversité à la ferme. Il faut que les
étudiants conversent avec le fermier sur ce sujet: comment il voit et ce qu’il
fait pour la biodiversité (par exemple: Comment mesure-t-il les changements
météorologiques, les caractéristiques de sol etc.?) Il faut également
mentionner la relation entre sol et plante, le rôle des organismes utiles et
nuisibles. Il faut que les étudiants reçoivent un cours de chimie de base pour
qu’ils connaissent les différences entre les compositions chimiques
organiques et synthétiques. Il vaudrait relier les parties pédologiques avec la
maintenance de la fertilité des sols à travers le réseau alimentaire du sol (soil
food web).
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3. Santé, sécurité, sécurité au travail
Selon les partenaires français, c’est une partie très imporante, il vaut la
répéter souvent en forme pratique. On peut essayer, par exemple, de monter
ou descendre d’un tracteur sans accident, ou définir les horaires de travail,
la façon de travailler et la posture appropriés pour que le travail ne
surcharge pas notre corps ergonomiquement. Faire un peu de gymnastique
(du yoga, du pilates) à la fin du jour peut faire du bien et peut mettre à place
les muscles et os fatigués par le travail monotone.
Le chapitre peut aussi être lié à la planification, il faut considérer les risques
de sécurité de travail.
4. Les machines du jardinage, les connaissances techniques
fondamentales
La question a émergé si les équipements de production appartiennent à ce
chapitre ou non. Il faut accentuer l’importance de la maintenance. Les
machines de l’irrigation peuvent être transférées au sujet de l’irrigation.
L’utilisation des ressources animales est remarquable (traction). La
proportion théorie-pratique = 20%:80%.
5. La maintenance de la fertilité des sols
Les étudiants devraient comparer les différentes possibilités du nettoyage
des sols selon leur avantages et désavantages. Il faut apprendre les principes
fondamentaux du compostage. Il faut mentionner les plantes qui améliorent
les sols. Il est important que les étudiants voient les processus. Cette partie
peut être combinée avec la pédologie.
6. Protection des plantes biologiques
Il faut accentuer la prévention de tous les aspects. On doit souligner que les
activités pendant une année donnée influenceront l’année suivante. La
rotation des cultures est la base de tout: cela pourrait être un module séparé
avec des exemples pour les situations et les tailles de fermes différentes. Il ne
faut pas essayer de planifier tout à l’avance, il faut essayer d’établir des
situations d’équilibre, et faire voir aux étudiants cet équilibre. Les images de
maladies et de dégats sont bien séparables de la réglementation des
mauvaises herbes. On a besoin d’une connaissance de base microbiologique.
Le problème des OMG, des hybrides, de l’utilisation des espèces, ses
avantages et inconvénients. On peut également parler de la conservation
génétique ou des hybrides à pollinisation libre.
Du point de vue méthodologique, la détermination des compétences est
importante, il ne suffit pas d’être capable d’utiliser son savoir mais il faut
aussi justifier sa décision.
7. Le travail du sol
Il faut l’enseigner plus tard, au cours de la deuxième année, si on l’aura. La
théorie doit être étroitement liée à la pratique.
8. L’irrigation
Le titre pourrait être complété avec le drainage. On doit inclure la
planification, la réalisation, des calculations. L’ approche
biodynamique
11
serait très appropriée ici: le besoin en eau, la racine, la relation du sol et
l’eau d’irrigation doit être complexe. Chez les Français, l’enseignement de
cette matière est effectué par une entreprise professionnelle d’irrigation. Les
parties des systèmes d’irrigation peuvent être observés en pratique.
9. La culture légumière
L’importance des rotations des cultures doit être répétée. On doit accentuer
l’importance des cultivars traditionnels. Il faut détailler les possibilités du
ramassage des graines. La réglementation du ramassage des graines dans
les pays différents pose des questions.
10.
La culture fruitière
La plus grande différence entre la culture traditionnelle et biologique se
trouve dans ce sujet. Les modes de reproduction sont importants.
11.
Des possibilités simples de la transformation alimentaire.
La pratique est important, il serait utile d’établir une cuisine
d’enseignement. Les étudiants doivent s’occuper de la nutrition humaine et
de la séciurité alimentaire. La perspective de la consommation peut émerger
également, bien qu’il appartienne plutôt au chapitre de marketing.
12.
Marketing
C’est un chapitre important, il faut s’en occuper en plus de détails. La
découverte de la niche de marché, l’emballage, le traitement des produits.
Les niveaux différents (vente en détail, vente en gros, le vente directe) exigent
des stratégies différentes.
13.
Les ressources humaines et le traitement de la main d’oeuvre
Ce sujet exige une approche pratique même au cours d’un travail en petits
groupes. Ecriture d’un curriculum vitae. Ecriture d’une lettre de motivation.
Formation connaissance de soi, publicité: ce sont d’autres sujets qui peuvent
être inclus. La choix et l’embauchement de la main d’oeuvre.
14.
La gestion d’entreprise
L’établissement d’un plan d’affaires.
15.
Langue étrangère
Les relations d’échange peuvent aider dans la pratique de langue.
16.
Les ressources d’énergie alternatives
Est-ce que cette partie est importante? Quelle est son importance?
17.
La communication
18.
Soutiens financiers, bourses et applications
On n’avait pas de remarques concernant les deux derniers chapitres.
12
Les remarques
formation
méthodologiques
concernant
le
programme
de
Les matières sont assez séparées, il serait mieux d’avoir des matières plus
integrées, liées à l’aide des liens. Il faut répéter les sujets importants autant
que possible. Eclairons comment les règles et les contextes appairessent
dans l’économie en influençant la production.
B. Willems: la formation doit être pratique en plus grande proportion, le
jargon technique doit être présent, l’utilisation exacte des termes techniques
doit être apprise en réalité au cours du travail sur les fermes. La pratique
doit s’appuyer sur la théorie. Les légumes peuvent être combinés avec des
fruits.
R. Hendriks: l’année scolaire peut s’adapter au cycle automne-hiverprintemps, la saison hivernale devrait être plutôt théorique.
A. Huese: Le rythme est important. La ferme paysanne traditionnelle avait
aussi son rythme journalier, hebdomadaire, mensuel et annuel. La
continuité et la stabilité sont aussi importantes, puisqu’il y a beaucoup de
facteurs variables. On peut créer des cours en bloques (4-5 semaines). Les
étudiants invités peuvent aussi participer à ces cours: ils étudient seulement
la matière de certains cours (payant). Il faut permettre la participation des
étudiants d’une autre spécialisation plus générale en cas des matières qui
sont convenables dans la culture traditionnelle et biologique à la fois.
R. Hendriksen: il faut éclairer le processus entier.
A. Chaillot: Chez eux, l’enseignement théorique et pratique sont isolés. La
courte partie théorique est suivie d’un stage de 15 semaines qui a lieu à une
ferme où les étudiants arrivent avec un questionnaire. Après le stage, il
discutent les réponses acquises au cours d’une nouvelle partie théorique, ils
évoluent ce qu’ils ont vu et donnent des rapports au fermier. En général, la
discussion d’évaluation se déroule en petits groupes.
A. Huese: la meilleure méthode est de motiver les étudiants en forme des
exposés, jeu de rôles, expérimentations pratiques, et puis, les étudiants
évaluent et discutent ces activités ensemble. (par exemple: des jeux de
situation pour la recherche d’embauche, observation des plantes, s’imaginer
être à sa place, dire ce qu’elles sentent etc.)
B. Willems: On peut poser des questions à une plante au cours d’un jeu de
situation.
Naturellement, ces méthodes ne sont pas applicables pour toutes les
matières, mais si elles sont appropriées, elles seront éfficaces.
13
La conférence de l’expert ECVET
Roger Hobbs ([email protected]) – expert ECVET – a accepté notre invitation et
il a essayé d’adapter sa conférence à nos exigences. Il a parlé de l’importance
de la mobilité au sein de l’UE; il a affirmé que cela nécessite l’harmonisation
des formations. Le système crédit et la distribution des crédits selon des
principes unifiés servent à atteindre ce but. L’ECVET est l’organisation qui
nous aide à le réaliser (http://www.ecvet-team.eu/en/content/europeanecvet-network). Une unité signifie 60 points crédit qui peuvent être répartis
pour une année et qui sont constitués de plus petites unités de 5-7 crédits.
Un crédit nécessite étudier pendant 10 heures. Les expériences pratiques
des fermiers, qui sont évaluées au cours d’un examen, sont aussi calculées
dans le système de modules. Les diapositives de la conférence ECVET se
trouvent dans l’annexe n°3.
L’organisation de la formation d’essai (les dates, les lieux et le
contenu)
Host Partner
Guest Partner
P1,P0
P2
P1,P0
P5
P2
P5
P4
P3
L’opinion des
vocationnelle
instituts
Subject
1 day fruits, 1 day
vegetables, soil
sampling, seeding,
pruning, tree planting
same
Dates
04-05.03.2013
25-26.02.2013
09-10.01.2013
Etheric Foramtive
Forces in Plants
partenaires
concernant
22-23.02.2013
la
formation
L’opinion unanime des partenaires est la suivante: au cas de l’éducation des
adultes, le cours durerait entre janvier et décembre; juillet et août devraient
rester des vacances. Si c’est possible, le programme devrait être très
concentré, et il faudrait que le travail des sols obtienne un grand accent.
Puisqu’on attend des gens avec des intérêts très différents, il vaut mieux
inclure plusieurs cultures avec des consultations en petits groupes si
possible.
Chez les Français, il existe une formation similaire à celle qu’on a décrit.
Chez eux, les 60 cours obligatoires constituent le cours de base (cela peut
être suivi en ligne optionnellement). Les matières spécifiques y sont
attachées, par exemple la protection des plantes, les technologies de culture
des plantes différentes etc. Si les cours se déroulent pendant une seule
14
journée, alors ils doivent être très efficaces. Les étudiants reçoivent le
curriculum en forme imprimée.
Excursions professionnelles (images se trouvent dans l’annexe n°4.)
1. Cherry Gardens Farm (http://cherrygardensfarm.co.uk/index.php
La ferme est caractérisée par une culture légumière et fruitière biologique,
vente en leur propre magasin, une floriculture en petite quantité selon les
obligations biodynamiques Demeter.
La ferme se trouve à la frontière de Kent et East-Sussex, près du
village charmant appelé Groombridge, dans le voisinage d’Ashdown Forest
qui est caractérisée d’une extraordinaire beauté naturelle.
Le magasin vend des légumes et des fruits cultivés par eux-mêmes, et
pour augmenter l’offre, de la viande, du lait, des oeufs, du miel et de la
confiture produits par les gens locaux y sont vendus aussi.
Pendant les mois d’été, la récolte des framboises, des mûres, des
groseilles et des haricots à rames se déroule en mouvement „fais-le toimême”.
La territoire de la ferme est d’environ 13 hectares, avec 6 grandes
tentes de polyester où ils satisfont leurs propres besoins en plantules. De
très jolies haies constituent la bordure des tableaux, en augmentant ainsi la
biodiversité. Cette année, les teignes du poireau causaient beaucoup de
problèmes: contre elles, on se défend avec des nettes agros qui sont très
chers mais utilisable plusieurs fois.
2. La viticulture biodynamique Sedlescombe
(http://www.tor.co.uk/sedlescombe/;
http://www.englishorganicwine.co.uk/acatalog/index.htm)
La viticulture pionnière d’Angleterre a une territoire d’environ 8.5 hectares.
Roy Cook, qui produit du vin bio depuis presque 30 ans, peut se vanter
d’une production de 10 à 20000 bouteilles de vin annuellement parmi
lesquelles on trouve du vin blanc, rouge, rosé et mousseux également pour
un prix assez élevé. Ils produisent des excellentes liqueurs de framboises et
de groseilles. Ils vendent leurs produits et d’autres produits locaux dans leur
propre magasin. Pour améliorer le contenu d’alcool du vin, ils appliquent le
sucrage dans la mesure autorisée. On a participé à un tour accompagné
d’un goûter de vin.
3. La ferme Tablehurst Farm – Une ferme agricole soutenue par la
communauté (http://www.tablehurstandplawhatch.co.uk/)
La ferme d’environ 80 hectares se trouve de quelques pas de Forest Row. La
culture biodynamique se déroule ici depuis environ 40 ans. La territoire de la
ferme est en train d’aggrandir, en ce moment aussi, on loue de grandes
territoires pour compléter les territoires possédées: la totalité des territoires
est de 200 hectares. Le profil principal de la ferme est la production de
15
viande: ils se concentrent sur l’élevage des boeufs, agneaux, porcs et
volailles. Au cas des volailles, la vente entière se passe dans le petit magasin
local. On produit de la farine aussi qui est utilisée par la boulangerie locale.
Au coeur de la ferme, on trouve un verger de pommiers de 6 hectares qui est
partiellement une entreprise autonome à l’intérieur de la ferme, mais aux
magasins, on peut trouver les pommes Jonagold et Elstars produites ici en
automne et hiver, et puis au printemps et en été, on peut acheter du jus de
pommes. La ferme s’opère à l’aide du soutien de la communauté en aussi
effectuant des tâches d’éducation.
Le fermement de la rencontre professionnelle, la discussion sur le
délai des tâches entreprises et sur les dates de la rencontre suivante
Date et lieu de la 4ème rencontre internationale: le 19-21 mars 2013,
Catalogne, Manresa
Date et lieu de la 5ème rencontre internationale: le 23-25 septembre 2013,
France.
Au cours de la rencontre suivante on va discuter de nouvelles méthodes
pédagogiques.
Tableau résumant les délais des chapitres du manuel
Chapter Title
Writer
Organic farming systems
UK
Organic certification
Fra
Land and location
Fra
Planning the market
(marketing
alternatives,
and marketing plan)
Cat
Crops,
products
production plan
and
Investments and business
planning
Tools and equipment
Deadline
re-write
17.11.12
re-write
17.11.12
Nl
Reviewer
Deadline
Nl
30.11.12
Cat
re-chek
30.11.12
Cat
30.11.12
UK
re-chek
30.11.12
UK
10.11.12
Nl
01.11.12
Fr
10.11.12
Cat
re-write
17.11.12
Hu
re-chek
31.11.12
16
Protected cropping
water systems
and
Nl
10.11.12
Hu
17.11.12
Human
potential
management
(staff and volunteering)
UK
Hu
Support
sevices
(EU
structural
funds,
extension
services,
information and advice)
Hu
Fr
17.11.12
Multi-functional
opportunities (a few case
studies)
Hu
(every
parters)
Nl
(every
partners)
30.11.12
(30.11.12)
Cat
12.11.17
Sustainability cheks
Hu
17.11.12
(30.11.12)
Le délai de l’écriture de S-UM est le 31 décembre 2012, le délai de la publication
c’est le 1er septembre 2013.
Table des annexes
Annexe
Annexe
Annexe
Annexe
n°1:
n°2:
n°3:
n°4:
Le programme de la 3e rencontre internationale
La plan du Collège Emerson
La conférence ECVET
Photos prises à l’excursion professionnelle.
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Annexe n°1: Le programme de la 3e rencontre internationale
Programme of the 3rd International Meeting
Leonardo da Vinci - ECOVOC
Forest Row, England
24-26 October 2012
Tuesday, 23 October
Arrival of participants
Wednesday, 24 October
08:30-10:00 Opening of the meeting, presentation of Emerson College (Arjen
Huese/ 30min)
The basics of biodynamic farming (Ian Bell/ 60 min.)
10:00-10:30 Coffee break
10:30-12:30 Organic Market Start-up Manual: chapter presentations by peer
reviewer with plenaries (Manresa, SZIE, Warmonderhof, Ineopole) ~10
min./partner/chapter)
Organic farming systems
(author UK, reviewer NL)
Organic certification
(author Fra, reviewer Cat)
Human potencial management
(author UK, reviewer HU)
Support services
(author HU, reviewer Fra)
12:45-14:00 Lunch
14:00-17:00 Professional visit, evaluation of the day, plenary
(Cherry Gardens Farm, http://cherrygardensfarm.co.uk)
18:15-
Dinner
Thursday, 25 October
8:30-10:00
Curriculum discussion I.: Title and content of subjects/modules
(Short presentation by Matthew Hayes/ 30 min.)
(Round table discussion and plenaries 60 min.)
18
10:00-10:30 Coffee break
10:30-12:00 ECVET presentation (ECVET Experts)
12:00-13:00 Organic Market Garden Start-up Manual: chapter presentations by
peer reviewer with plenaries ( Emerson College, Ineopole, SZIE,
Warmonderhof ~10 min./partner/chapter)
Planning the market
(author Cat, reviewer UK)
Investments and business planning
(author NL, reviewer Fra)
Tools and equipment
(author Cat, reviewer HU)
Sustainability checks
(author HU, reviewer NL)
13:15-14:15 Lunch
14:15-17:00 Professional visit, evaluation of the day, plenary
(Sedlescombe biodynamic vineyards,
http://www.englishorganicwine.co.uk/acatalog/)
18:15
Dinner
19:30
Storytelling performance
Friday, 26 October
8:30-10:00
Curriculum discussion II: structure of the curriculum (importance of
subjects/modules) (Round table discussion and plenaries 90 min.)
10:00-10:30 Coffee break
10:30-11:00 Organization of pilot trainings (Matthew Hayes)
11:00-11:30 Adult education at partner institutions (Beatrix Csapó)
11:30-12:30 HOPPNET: Application form, practical placement abroad
(Beatrix Csapó)
in small simultaneous groups:
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Financial aspects (Anikó Szabó)
Summaries of tasks, deadlines, dates of the next international meeting
(Beatrix Csapó)
12:45-14:00 Lunch
14:00-17:00 Professional visit (Tablehurst Farm- Community Supported Agriculture
Farm, http://www.tablehurstandplawhatch.co.uk/)
18:15
Dinner
Saturday, 27 October
Departure of participants
Annexe n°2: La plan du Collège Emerson
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Annexe n°3: La conférence ECVET
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22
23
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Annexe n°4: Photos prises à l’excursion professionnelle
Cherry Gardens Farm
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La viticulture biodynamique Sedlescombe
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La ferme Tablehurst Farm – Une ferme agricole soutenue par la
communauté
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