ii - Bibliothèque et Archives Canada
Transcription
ii - Bibliothèque et Archives Canada
II^ Itère U the tliatch-roofej village, the home of Acadian farmers,— ilrn uhnse Hits glide I on like rivern that water Ihr tnwllands, Iwktned Inj shaioxs ofearth, but rejecting cm image of heaven T Waste are thou vUasant farms, and the farmers forever départe! 1 JOSEPH A. A. C U L L E N , J U V O L - Kodactour. DIGBY. I ADRESSESj'AFFAIRES. ~j7l». HOTELS. N . B . , V A L E N T I N f> S E I T E M B R E , A . L A N D R Y . Editour-Proprlotalro. —Vwaruxow, M E R C R E D I . L'AGRICULTURE A. « . , YARMOUTH MOTEL, I'KOCimKUK, KT NOTAIRE. M A I N ST., Y A R M O U T H , N . S KUtfênd likl dust and leaves, when the nxitjhlu blasts %f October! Mie them, on>l whirl them aloft, and ./TinA-iV them/ar o'er tlw ocean. Kaugkt but tradilia,, remains if the beautiful tillage of (Jrand.J'ré. 1 8 8 8 jour de pluie, et toujours a faible dose, le mieux mélangée avec de la terre sèche en poudre si l'on veut la semer, ce qui permet de la répandre également partout. U n autre mode, c'est de la mêlera un compost. Enfin, et c'est ici un excellent moyen d'application, on peut en faire un engrais liquide dont on arrose le sol ; h cet effet, on en délaie la quantité de trois gallons dans un tonneau d'eau.—/.a N O 1 1 Y 0 I E N I 5 D A N S L E S V O S G E S D E D R O I T E A 4 2 G A U C H E Nous lisons dans l'Alsacien Loi-! Il meurt actuellement une centaine rain : de personnes par jour du choléra a A l'KOl'ilS II A C K I C U L T U R r . .vii'AT L A I E KT LA RES M RATION Ne parlons plus politique, leiuv ! I long Kong. Dis donc, Jacques, les vailles donLa respiration est une d e s causes c'est trop rageant Du l'ii•mit if ' '1...-.>'• whim lutin I. i i.ti.|-.i i • N. B RICHIUOUCTOU, ncnt-ellcs beaucoup de lait ? principales d'altération de l'air; elle Kcpoitons nous aux temps passés, Le colonel Ouimel vient d'abanI'lll llli..Ji-[i-:1. Oh ! non, la (bcncrcsse c m si granagit de la manière suivante : T . UWOKT, M . !>., puisque le t e m p s préseni est si triste, donner le c o m m a n d e m e n t du o l é i n e de line les pauvres liétes ne trouvent Si l'air contient 21 0/0 d'oxygène en C'était en 1814, en janvier, lois de bataillon d e Montréal. Ti'imi .t HjRJuiaux imx coiiuiiiH-voyngriirH. HÈUKCIN-OCOUMSTK. presque rien a manger, ct puis je n'ai volume au moment de la lespiialion, l'invasion des alliés. pas lc moyen d e les soigner, elles diMEMRAMÇOOK, • N. «. l'ail c\piré n'en contient plus cpie 1(1 W. II. H. DAHLQKEN, EVopriiUln. Un détachement d e cosaques (el Le Kév. T. Alllieii, général de l'or minuent beaucoup ; nies dix vaches Presse la quantité d'azote n'a pas aug- l'on entendait par cosaques tous les du- des l-'rères hospitaliers, est inorl ne me donnent guère plus que dix Lei NAKDLEA J c l ' w ' l «"<• S p M s J t t * . BOÙCTOUCHE, Co. i>k K e n t , N . B menté ni diminué, l'acide carbonique étrangers) pilla une cabane où vivait à Rome W l'âge d e B i ans. p o i s île lail par jour. Ayant ru V* i l l s l n i m r n U nccnaairr», w u r Voici un nouveau procédé dont un par COMre est en excès, soit trois ou un charbonnier, avec sa mère, sa fera* ( l'est comme chez, moi ; je vais me lea ninUou <!'* «"il" '»'» '", Haltiti Jo choix con tinoellmnent en nuilm ~ l . e s journaux du Manitoba estidit beaucoup de bien : l'.nveloppe/ le quatre <>/<> au lieu de quelques dix mil- me el ses trois enfants. llaiij't .-occaven .lu « I l » b m i i c h o d u n e défaire d e nies vaches; ça ne paye pas. O u p e n t S*y fniro w r v i r u i i mn^ninmii: to lièmes. Il était absent lui ct sa tcuinic ment la récolte du blé dans le Nord luaiiitn- .pécisit-I'.ci à t o u t e lu n i f uiii-.i iju.' UqnMUl il'' ]'i> Telle est la conversation que te-beurre dans un linge bien propre, imL'acide carbonique agit-il comme el ses trois enfanls. Ouest, cette année, lt 1 5 , 0 0 0 , 0 0 0 d e bibé de bon vinaigre, et aspcrgcz-lc luiJiro claHMt. XOKh t l . I.EWEK, naienl l'autre jour sur le man hé, deux 11 était absent lui cl sa femme boisseaux. tous les huit jouis avec i e même vi- toxique, ou bien parce qu'il occupe la 11 y a uiir- bnuiio < ' t. i ! » 1 • • u t t i n a i i t I'll A tel. l)ia\es rultivaleuis qui étaient venus h IKIKLOCEK KT H I J O U T I K U PÛT Yf-nr/. tun Toir. naigre ; place/ le dans une cave aérée, place d'une certaine quantité d'oxigè quand arriva l'ennemi. la ville vendre du Leurre qu'on aurait En rentrant il trouva la grande sèche ct fraîche, et vous conserverez, ne, en un mot, parcequ'il n'est plus Le gouvernement Japonais a déciMONCTON, N. U. pris pour de la graisse ou pour tout D . D . I J V N D K V , I'ro rWlnirc. ainsi voire beurre frais et d'un goût respirable. Orfila défendait la pre- mère et les trois enfants hachés .\ de tie dépenser $ 10,000,000, d'ici à autre chose, el dont ils ne purent obexcellent, pendant plusieurs mois.— mière opinion, mais aujourd'hui on COUPS de sabre, inctitris de coups de cinq ans en achat de vaisseaux deOurlauw laiuutr.s uV iiurcho tic l a S U t i o n tenir que dix centins la livre. ComH O T E L 1 1 U S S , admet la deuxième. L'acide carboni- crosse. au Vi.-liria illo-k. Toujour* e n m a i n s u n J.e hfondt illuilrr, de Monlrotl. guerre. me leur entretien avait piqué ma cli«Morlinicnt l b mon I r.». liorli^i^i, rhalni RUE C E N T R A L E , S U M M E R S I D E , I.P.E que n'est pas un poison, il faut avoir " Ils sont 32, dit la femme, tu ne nique, je m'approchai d e ces braves !... , ttc, f i r . soin de dire que l'oxyde de carbone, pour 1 as eu u n i qu'un ou deux loin au Le Saint T è t e a fait cadeau tie I , Tour détruire les moitthesjitutus qui J . It. RU8SL I'norKiATAiiut. jjens, je liai conversation avec eux el Us |«™>li«rj dm l u n i i i w a r o u i i i n t «ont s'aliaquentaiixmelonsaux concombres son cousin-germain, est toxique lui, au plus, laisse moi faire.je les tuerai tous." 000,000 fr. au collège belge tie Rome. n t i t . r » 1 v . u i r M vciir. je pus apprendre ce qui suit : plus haut degré. Elle recolla dans un panier des lé Celle somme doit élre répartie en 7 UT H O T K 1 . t*t AgréiiltU'inriit r t c o m Accûlèrc lu c u i s s o n , Diejieneo de tout Ni l'un ni l'autre de ces cultivateurs et aux citrouilles, on conseille forteC O B N X W C ) «V « p i I I P M A W , Enfin, passons, le lait est indénia punies échappés au pillage, y {oignit bourses, pour l'éducation de 7 sémiiikhIi'v [émeut •llud* CVhL l'liOti-1 l c autre I n g r é d i e n t o n usage pour fair l e v e r le ment de répandu' une couche de phi ne portait son lait a la beurrerie. Ils blc ; plusieurs personnes réunies dans phi H beutral ttt> In vilto ot i-i • 1« Dunan dé I«ain, lca g&icnux e t géuiSralomout toutva a u des racines d aconit qu'elle alla cueil- naristes belges. AVOCATS, HOI.I.ICITKUltS, N O T A I tic en poudre sur les feuilles el au1WC. I l II *'tô IIH'IIIjIÛ t\ lll'Uf toUttllTIlilTC* créa pfttiisories. R e n d l e paiu p l u s léger, étaient e n n e m i s des innovations et IlKS I ' U I H . I C S , A t J K N T S une pièce non ventilée vicient l'air lir dans les ravins du voisinage ; el, tour des plants. Si la pluie enlève le lllfllt, r t l-ttt l-tl tout UU llûtl'l tlti :n:. ir acceptable a tout e s t o m a c tuouio CUHOrtnutUu préféraient venir veuille leur bcUITC à O'ASSllllANC'Kfi, d o . plâtre, il faudra lecommeucer le tiaite point de le rendre impropre a la vie se dirigeant vers le campement des M. Mercier a reçu île Borne le brel four. EmpDolie la d i m i n u t i o n c a u e é e d e j u i l a line* Montréal dix centins la livre que d'en nient qui a lui très bon eflet sur la Il faudrait donc pour la saule de 1 ha cosaques, elle fit si bien, qu'en siniu tin Souverain l'ontife p u lequel il est I** voUuivh di> r d ô t c l v o n t n'pjlir-rfun'ut farine j a r l ' e m p l o i d'outrés c r m d t m c u t s , obtenir dix huit a la beurrerie et d'en IllIIKAIT, N'U. 10 II '» llUll.lilMI, cuii introduire dans la salle où il y lant une glande peur, elle l'ut arrêtée plante elle-méiiie, en lui donnant une 1 n 1 Chevalier ( tiantl f'mix tie l'Or À la reneootie tou.n ]>••* tntiiiM et lUeilwiii. Ôparpie Ih a u i o u p d e n-s propriétés n u t r i t i v r s , VARMOUTH, N. E. t IratirijHjrtrut, jwiiili'iit I'bIIô e t 1a rt'tour fait litttvr la farine lî. i p . c . de p l u s . C e t t e l'aire au moins 10 <>/i> de plus qu'a la nouvelle vigueni -I.it /'ressf. une grande assemblée u n e certaine par eux et conduite au poste 011 sedre tie Saint Grégoire le Or.nul. Le Ri-conimaiiderjt.tr maison. quantité d'oxigène pur ,\ la dose d'en préparait le popote. n i m . K. CtlHSISll. I.BMTIH C l l i r U A S . li i / . i i <|U. v o n t e t ]• ni--ni <lt> l'IiAlcl u poudre est i m p u t r e s c i b l e . bref était accompagné îles insigne, tic l u chimistes d u fiouvemsmeut d e s Etat*Il n'était pas venu à ces cultivaviron 10 litres par homme. L'air vi l'.lle s'offre comme cmsinièie Ï'EI/TOÎ-*' «fc ( X K J I K J f T N , fiUtion, r t n r * i w g W t t t i t f l I W I l t ^ U n i s , n u Ice m e i l l e u r e m é d e d r u et Iiygié- teurs l'idée de Soigner lenis vaches cié redevicndiait alors 1111 air le pua verse dans la mai mite sus légumes l'ordre. nistes d e l ' A m é r i q u e , et oiloplée pour l'ueaaa E D U C A T I O N A V O C A T S KT PROCUREURS, NO. BONNE TABLE I durant les grandes chaleurs de l'été b l c — C . de r lUt'nois. par l e f î o u v e r n e m e i i t dis E t a t s - E n i - . OaLe tout bien mijoté, elle se» elle La tour suprême des territoires du T A I I Î K S PUBLICS. ATTENTION! ils laissaient rniltic aliMdmiH'lit pure et s a l u b r e . V t n d u e avec dufourragevert ; même la soupe el s'esquive ensuite Nord-Ouest a déclaré iriconstHutiori PMiX MODÊBÈSt YARMOUTH, • • N. E . ulemeut e u bidons. crever leurs bêles dans des pâturages M E T H O D O L O G I E G E N E R A L E Lc cé-lèliie Vin île l luilliiu- île Campbell Inutile de dire que tous ils icudi nette la loi qui donnait le droit d e voest en m t G cher. John Clialtmn, l>i|:l>y. brûlés par le soleil. lent leur âme au diable. Selle d'exhibition n t t f i i m i t rbOted y comle aux femmes. La cause va e u e porA i M t l d'MMfMMM ilf Harlot, contre l e [Mtel L'un avait dix vaches, mais sur ces prie, mit» if curie et Je b o n s c h e v a u x . 1 l y Avec Ictus aunes et leins munitions tée en appel devant la cour suprême fat, l's aeddeab), e l dn v i e , . Agi-nt. jwur U N R A Y O N D E SOLEIL dix, sept étaient d e qualité inféiiciirc ; l.\ luiiMi V M m'iii.uk.—I «a synla " -Nora Scotiu Btuldiag Sodeljr •* le charbonnier et sa femme s'embus des Etats-Unis. 10C W a l l S t . , N e w Y o r k . \ i * n a n o s si;, il avail élevé ces dernières lui-même. thèse part de se qui est déjà connu, querent dans la montagne, el luèient I»a religion est une bonne chose Dans un but d'économie, sans doute, mais il faut que l'objet soit connu C E N T R A I . St., Y A R M O U T H , N.S. HAxrur.ii 11. I'ki,7«s, C.R., Un certain habitant île Massachuil les avait élevées presque à l'eau sous toutes ses laces et choisi d e pré- c'est elle qui fait que l'homme trouve sans piiié tous les envahisseurs qti Kl-OAl: N. Ci.kmk.s-ts, setts demandait, il v a quelque temps, claire et avait par là même détruit, férence parmi les plus simples. L e tant de force et de consolation en le- passaient à portée île fusil. ('ului-jissionli.iif pour Ontario, Notivi-aU' 1 KT HOTKIi ui bien patronna «Ii.uh lc ] l A chaque étranger étendu sm I; mu' femme en mariage par !.. voie des I'rutisH-iik rt Mi 'lltl-ietbl. f no ont encore continui'llfiui'iit le n-rulr/par le début, les qualités laitières que maître a une raison particulière d'ob- vant les yeux au ciel. En moins tic vingt-quatre mousse le charbonnier s'en allait vers journaux. vouh dei touriHtcH, ponenenn^ eio. mtlnwi pouvaient posséder ces animaux qui J'ai vu dans un grand danger un server celte règle en ce que le cercle E . E . COM E A U , heures il reçut -',74g réponses, et il a bien i. « t UibleH d e rtrcininru . ! . ! • . avaient dépensé, dans leur bas-âge, des pensées de ses enfants est encore touchant exemple du courage et desun sapin, ct de la pointe de son 1 ou quitté le pays tout ell'iayé. K. M . N 1 C H O L 8 , PropriûUirr. MARCHAND.TAILLEUR, toutes leurs fîmes vitales pour survi- étroit et borné. 11 doit pouvoir dé- ressources que les idées religieuses tenu, y faisait une entaille. Soixante-seize fois," il grava s, DipISm,' di rfieotc de Kew-York. vre à une si longue diète. Cepen- terminer exactement les limites el peuvent donner à l'homme. IIOTICI, K.O.nBtAItlK Le g o i i v e i i i r i i H - n t espagnol s'effoi dant, cl- brave homme avait ces va-l'étendue de leurs idées et de leurs J'avais accompagne îles pêcheurs à haine ct sa doulctli sur la rudcccoicc DIGIiV, N O U V E L L E - ECOSSE. J . I>. L O M B A R D , PsonntTAiRR. Sa femme, la charbonnière, n'eu e e d'obtenu .In gouvernement tics ches depuis îles années, il les hiver- connaissances, pour ne rien mettre en la mer ; en partant le temps était • nait tant bien que mal, sans seule- avant qui leur soit encore étranger et calme, et le ciel ne présentait aucune ivait envoyé que J i dans un monde Etats Unis qu'il réduire ou qu'il abas • N . S. G U E R I T " ; ; : : ^ : ; : ; " " " tVu&taiiiuii-iit m m a i n . Uli a.s*.orlilut-nt P E T I T - R U I S S E A U , iloune sa demande d'une indemnité ment se douter que deux bonnes va- inconnu. Ainsi, il faut que la matière apparence d e danger n un marin aussi meilleur. lotiipW df .Ini-,-* rt t w e e d * d o prf-miero ipiaÎ ^ I T T Î ? T > " I T ' " I b i n - s , M.ul.i-f Û N F O B T A B L E 1 C E N T ritnée ear lee Jadis, on montrait encore le sapin de $ 1 , 0 0 0 , 0 0 0 , pour les pelles suphi e o n t m t i o u d e e ches lui auraient ilonné autant de des livres, aussi bien que des ques- peu expérimenté que moi. uu. t..>r«ls tlo la belle llaîo S t e . M a r i e e t V 3 T U J l i l V l X portées pai les Américains dans file m u s c l e s , p i é r t t d e l ' i n l l e x i b l i t é d e s jniitluri>s, profit que les sept mauvaises qu'il tions explicatives, soit puisée dans ce Mais, vers le milieu du jour, le vent et ses tragiques 1 ii aim es. tout l e . iiT;ini:i-.'i i | u o reeherehent T . V. U . B U T O A Y «V s o x s m u n i les eutorsi-s e t des e x t e n s i o n s dr m-rfs ; cica- avail, et lui auraient coûté trois fuis qui se passe sous leurs yeux, et q u e lai tourUtea. passa brusquement de l'est au sud- Ouand on fil la route d e la S i hhi de t'tlba t r i w les i t i f u r t r i s s u n s , les b r û l u r e s , coupures, A V O C A T S KT PROCUREURS, moins cher. les scènes du monde y soient éclairées ouest ; ct nous livra a une horrible du, ON le jeta par leire sans qu'un rreVOHses i-t é j ^ a t i ^ l i u r e s . ;uchéolnguc eût l'idée d'en fane une Toutes les machineries du steamer sous toutes leurs laics. Il ne faut tempête. YARMOUTH, NOVA SCOTIA. L'autre cultivateur était à peu près relique de la l'alliecolossal, le " l o c a l Eastern," ont été Lo Moillour R o m c d c Connu pas s'imaginer q u e ces éclaircisseNope peril b.Uimenl élan mule par dans le même cas, excepté qu'il avait D a n s l o M o n d e C o n t r o l e s M a l a enlevées, cl ce vaisseau a élé loué de HOTEL ET RESTAURANT. Lt pourtant ce n'eût pas deshonorei T l l o l l l s V. 11. MKUAY. dies d e s A n i m a u x . moins d e vaches. Tous les deux ments minutieux soient inutiles et les lames, comme s'il cul élé coquille la Clyde a Harrow, ou il scia démoli. (AS. W I S T . HINUAY, y . C . ItKUltllK lllNtlAY, musée d'Kpinal, ce morceau de sa que l'enfant fixe de lui même son atde noix. Après d e vains et longs ef P ">fl rheumaliM.ies, avaient élevé sans discernement ; ils tention sur les objets qui lui tombent E :.'iu,,i;'ii,' ennonoe ri-.|-'.-tinM - m- ut nu tfiTn?"Dl pin qu'on appelait : " le livre du 1 haï On avail proposé de convertir t e vaisDr. E d . H . i.i:«;b:u, î'ii!.]ir iju'il t i e n t u n njuortiinrut coni- XX U i l i l v J . X n o v r a l ^ c e , d e s en< n'avaient pas choisi les sujets, ils n'a sous les yeux. Les choses ordinaires, forts, les matelots perdirent courage. bonnier," cl 1 'élit clé une leçon vi.âh seau eu un hôpital llotiaul, mais ce Le niaitre tic l'équipage suivant les pli't île îutirrlmiLilis'-s à d i s p r i x fort r é d u i t s roueraente, dei m a u x d e p»rge, d u erour valent pas remarqué d e quelles va l t Ê D £ 0 I » KT OH I BUBO I EN, p o u r nr^'-iit c o m p t a n t . projet n'a pas eu île suite. d e la di]ihtbérie e t tout, s autrt s m a l a d i e s ilf elles sortaient les veaux qu'ilsélevaient: par cela même qu'elles sont oulinaires, indications d e sa boussole, gouvernait .\ tous ceux qui, eu l i a n e e . oublient B O U C T O U C H E , C O . K E N T , N.lî. 11 t i e n t auAsi u u H 6 t e l rt BeeUniMl pour m ê m e n a t u r e . ces veaux provenaient peut être d'une provoquent rarement l'attention. U n e sans résultats, attendu q u e tout le aujourd'hui les cosaques de 7 0 . — /. Les u s i n e s â papier Van Kced, 1 I'mvuiiiïiii-i.itiiin d e s voyngourx. vache d e qualité inférieure, d'un mau- chose nous est souvent d'autanl plus monde avait abandonné la maineu wnV J-'iji. C D o m l t e t i o n i h Uxttée l n : : n • 2 7 Faite» a t t e n t i o n a l ' e n i e w D e en fact' île l a GRANDE B O U T E I L L E ! Reading, Pennsylvanie, qui pendant la inconnue, qu'elle est plus près de vais reproducteur, du premier avorton S t a t i o n d e Rogerttvillc, I . C . R . R E M E D E P U I S S A N T venu ; n'empêche, c'étaient îles veaux, nous, ct Combien de fois n'arrive t il Lui mèiue ne tarda pas à voir qu'ils L E S C A N A D I E N S - F R A N Ç A I S révolution, fuient utilisées pour mou I I . A . Î . I . I . I S O V . JH. D . , FELIX E. LANDRY. h e île la farine pour l'armée d e A U X E T A T S - U N I S c'était tout ce qu'il leur fallait. Il n'é- pa.» que nous pensons d'autant moins étaient perdus ; il ôta son bonnet de MÉDKC1N.C1IIRUROIEN. DES P L U S E C O N O M I Q U E S ! Rogenrllle, N . H., 25 fév. Washington, oui été entièrement d é Orudui'. de r U n i v e r s i l e d e N e w . Y o r k , 1 8 7 7 ; N . l t . — J e m e rlmrgi'rai rolontlere d e tait ilonc pas étonnant de les voir nos- a une chose, que les occasions d'y ré- laine el dit. Connue il n e C o û t e q u e LÎT» ( V l l f l s . Nous lisons ce qui suit dans un truites par le fcu, E m o t e un souve Unitee fflininleelnni j-'nr ImundeeenetiuetiePi New.York l'clyclinir, 1 8 8 5 . sesseurs île misérables troupeaux de- fléchir sont plus fréquentes ? Enfants, prions ! journal américain de l'Ouest : plancbeH d e p i n , (le pruidie, d'aritml—bois nii historique qui disparaît. Lee riinrmaeii n s e l les m a n - b a u d s l e d i s e n t vaches laitières et d e les entendre se WEYMOUTH, . N.S. Mais le second lui ilit : L'instituteur dis|K>sc les premières f r a n c , frêne, c h ê n e , é r a b l e et bardenux leur meilleure m é d e c i n e m a r c h a n d e . Les conventions c a n a d i e m n t i a u plaindre que ces dernières ne payaient connaissances ainsi préparées ct dé- Pourquoi prier? Voyez ces nuées lattes, etc., etc. aises ont été tenues annuellement de Le gélifiai l'.oiilanger a élé élu .Hi'AuialitA-h : Maladie* d e la Jioitriiie et M E F I E Z V O U S D E S I M I T A T I O N S . point. lfl " terminées, de manière h en faire sortir, qui tout lient nos mâts et nous sépa- 1867 a 1876 ; depuis celle dernière membre île la chambre ties députés des relûmes. U y en a liceDCOUp h- murelié. icnt du ciel ; nos p l a i e s n'arriveront comme une conséquence, la vérité J e lâchai de leur faire comprenC o i i s u l l a t i n u s à toutes h e u r e s . laie, elles ont été tenues en 1 S 7 S , laie, le tlép.iilcnient île la somme. 11 EtICB > S « 14 K I K H SB.. Chaque propo- pas jusqu'en haul. U véritable L I N I M E N T r e t p r e p e r i et dre en quoi ils péchaient en se livrant qu'il veut enseigner. 1HK0, 1884, et 1886. 1 a u s s i oliieuu la majorité îles voles I / I I O I I . I». A . B. A M>Dt i . M U S . S. M c F A D D E N . Le maître allait lui répondre qu'une revêtu de U s i g n a t u r e d e .\ l'élevage des vaches laitières et je sition de cet arrangement deviendra A la convention de 1886, il y 3 5 0 0 lans le départements île Charente ct AVOCAT. C O . K M 11 l i e n s A O I E , leur donnai a ce propos les règles im- une question telle que la réponse prière faile, même du fond d e son lélégués ; a la grande convention de lu Nord. La nouvelle tie t elle triple R U E l ' R I N C E W M , ST. J O H N . portantes qui suivent : ie, N'élever donnée par l'enfant renferme toujours cieur, n'est jamais perdu, lorsqu'il Nashua, on en comptait plus de Soo. let lions a causé une grande excila D O n C H E S T E R , N . 11. 1 ly Yanuoutb, N . S. aperçut, entre les nuées noires qui peque les sujets qui proviennent des l'idée prou ipalc et nouvelle. K T Hrtlel e s t a v a l i t a g e u s e i i i e n t s i t u é a 11 y a aujourd'hui plus d'un million lion â Taris. 4e Une m i n u t e d e u u r e h e e t en raie d u IV. A . B l I H M K M a , meilleurs vaches laitières du troupeau; D'après ce que nous venons de due, saient sur la mer cl obst un issaient le le canadiens liam.aiss aux Etats Unis L ' U N I O N •piai l u t c r u a t i o n n l S . S . , o ù vietiueiit 1 jour, comme une tache d'un beau 2c, Choisir mu jours d e bons produc- on voit que la synthèse commence A V O C A T , N O T A I I t E P U I I L I C , KTC. il la plus glande pallie se sont fait I le grandes fêtCl oui eu hen \ r U s l e a m e r s de l l o s t o n e t du la N o u v e l l e . Ki'ims teurs, laissa, de coté les avortons ; par assembler les panics, puis el- bleu pur. naturaliser. Tous soin d'excellents nnei.in- tie Nolie I laine piès tic Aecomuioilatiou d e p i è a i è n elapse. Prix SIIriDIAC, N. 11. je, Activer la croissance des jeunes le réunit ces parties en un tout, EnïàntS, sV-criatil, voici ouveile citoyens ct pratiquent l'économie. inoilén'S. South lit nil, Indiana, en l'Iuunie 111 l'F.ST ]>articultèrimeut h- «as d a n s l ' u n i o n élèves le plus possible sans toutefois ct finalement elle donne â ce tout un une fenêtre du ciel ! I lieu voit ces Vcli'-z-iious v o i r ! H i y A g e n t d'assuranee contre le fi-u et la L'objet d e ces associations du peu lu 1 inquuniicnii- anniversaire île l'nr' mi la c o n t r a c t i o n d e s h u i l e s v é g é t a l e s les engraisser ; .;e, N e pas craindre pauvres créatures en danger ; il sait »le canadien est de veiller à la con- hnation tin Itev. I*. Soiin, le fonda rie. Tous c o m p t e s r o l l e c l é s a v e e soin e t nom. Ani:iti«v\ n o i s i : . uhim i*s e n s e m b l e eeespeeeiit bt'iiiitij'titiHle. de bien soigner, d e bien traiter les vaI-a caléchisation synthétique com- que nous avons des femmes cl des servation de sa langue, d e sa litléni u n i tic l'Université et le Supérieur (Autrefois oeeupé ]»ar i l . F . Jnnrs) ches laitières ; plus u n e vache est mence par la démonstration, laisse a enfants, et ce rayon de soleil est un turc et des traditions île ses ancêtres, 1 lierai de l't lithe tic Sic. ( 'mix. I .e R. E . D O N H A H , M . I > J T W E Y M O U T H B R I D G E , - N . S S i m p s o n ' s L i n i m e n t ! soignée, plus elle donne de profits. l'enfant lui-même tirer les conséquen- de ses regards. Trions. les premiciS pionniers des Etals de aulinal Cil.lions el île nombreux ar ('IIIRIJIÎOIKN.I)KNTISTK. Alors, tous se tournèrent vers celte l'Ouest; et ces conventions ont ton hevêques el évCqttcs y assistaient. M'ont ils compris? je l'espère, mais ces, et finit p.u donner .\ la vérité Ses i • •: i \ • • i r - |M'lh(r:uits d a n s la CUn de Kim T e n u e s spéciaux a u x coiiimis.voynL;euiH. belle fenêtre du ciel, el adressèrent \ S A U L N 1 EKVILLTî, N . S. m a t i s t n e s , d o u l e u r s a u x d o s , n é v r a l g i e s , je ne l'assure pas, tant la racine est ainsi trouvée l't «pression propre; tanjours obtenu le plus grand succès. Chambres h échautillons. maux d e g o r g e , e t c . , o n t é t é n b e o l u m c u t v é enracinée dans l'esprit de certaines dis que l'analyse montre a l'enfant la l'Etemel une courte et fci vente prière. Les journaux des Etats-Unis parLes canadiens français sont 1res parri liés. PENSION PREMIERE CLASSE. Consultatioas h t o u t e s bcUrea d u j o u r e t Un rayon plus brillant encore senv ticuliers dans la conservation de leui lent tous, d e ce temps-ci du phonomaison toule bâtie, lui apprend la gens.—Lt Nonî, de la u n i t . 1 ly M . James A v r u v , U a l l o r y t o v i i , L e c d J . W . G O O D W I N , Rroprietaire. bla descendre ct porter dans tous les destination de tout, lui en fait remarlies amis d e l'inlangue et se loin un devoir de l'ensei graphe d'Edison Co., O n t . , é c r i t : quer les diverses parties el la manière CGCUri l'espoir et la confiance d'avoir gner a leurs enfants. J . J O I I V S T O M . I I I VU. y u c h p i e t e m p s a p r i s l'arrivée d e votre venienr prédisent qu'à l'avenir les roU O Y A I , IBOTI-:i„ a g e n t ici l'hiver d e r n i e r m o n tils s'est mal* EMPLOIE DE I.A SUIE COMME ENGRAIS dont elles comoiiienl toutes au même été entendus d'en haul. L'histoire de l'Amérique du Non main i n s confieront h u i s icuvres au A V O C A T KT S O L L 1 C I T K U R . JOHN DALEY, . . PnormiâTAïui. h e u r e u s e m e n t t e n d u l e s m u s c l e s d n d o s e t y Tout le monde se mil '. l'œuvre est remplie d'incidents des plus inti phonographe, au lieu île les faite imI-T suie provenant du nettoyage des but ; l'élève apprend .\ connaître une I C I ( . n u n lil<- M . . c o n t m e t a d u froid | * m i avoir n é g l i g é d o maison que d'autres ont bâtie. La avec un nouveau courage el des forprimer cl que le Ici leur, ou plutôt cheminées, des tuyaux, est un excelressauts sur .es premiers français, HALIFAX, N. E. S a l l e s h bains e t é c h a n t i l l o n s h l a dispont* s o i g n e r a t e m p s . Il d u t se m e t t r e .tu l i t synthèse conduit l'enfant sur le ter- ces nouvelles. Quatre heures après y a a peine un Liai dans l't l i i e s i , et cet l'auditeur, n'aura plus qu'à tourner la t i o n d e s h ô t e s : ueegp g r a t u i t . Un ntelier d e y demeura p e n d a n t u n e s e m a i n e e o u f i m n t lent engrais quand on sait l'employer rain, délibère avec lui sur les moyens nous étions dans le port. — Aif/ionse barbier sur les l i e u x . b e e u e o u p . J e l u i d o n n a i d e votre L i n i m e n t convenablement, aussi, ne devrait-on tainciucnt pas un seul dans le N'oid manivelle et à écouler les accents de J A M i s K < ICON IC v . Toujount prêt u n h o n n ê t e charretier p o u r |K>ur en faire u n e cxjiéricnce et il é t a i t m i e u x jamais la laisser perdre, d'autant plus de l'utiliser ct d'y bâtir, die rassemble Km r. Ouest, dont le noms île villes ne ra| son auteur favori. CHIRUROIKN-DKNTISTK, tran«]>orter 1rs m a l l e s , v a l i s e s a l'hôtel e t d e au bout d e v i n g H p i a t r e h e l m ' s . . ! e l e re que sous un volume ct un p o u l s très avec lui lotis les matériaux et lui fait pcllcnt pas le missionnaiie. LA P R I N C E S S E LETITIA commande cordialement. réduits, elle représente une somme de accomplir Délivre sous la surveillance MAIN ST., - YARMOUTH, N. S. la a u x t n u n s ou au ntcaimT. Quand les lacs Supérieur cl limon Il est question de Mgr O'Farreîl, principes fertilisants considérable. Cet du niaitre ; l'élève apprend .\ bâtir la L'impératrice Eugénie a refusé d'as étaient au monde civilisé ce que sont i-vi'que tie Trenton, New Jersey, comA V e n d i f p a r t o u t ]>01ir 85 C e n t s . I . . IV. B O U R R U E , M. I » . , engrais est surtout bon pour les ar-maison. sisler au mariage de la princesse l.éli- aujourd'hui les lacs Tangannyika et me successeur du regretté -Mgr Lynch, A D V E R T I S E ! MÊDECIN-CillRUROIKN. bres fruitiers, |K>ur les prairies charManufacturé. |<ar Forme dm logique.—l.c mot di- lia Bonaparte avec le d u c d'Aosie. Victoria Nyan/a, dans l'Afrique équa a la dignité d'art hevéque de Toronto. gées île mousse, i>our les trèlles, les ologique emporte l'idée d'un entretien, l'.lle a ilonné pour excuse ses vêle- toriale, ce fut le prêtre catholique de M(;r OT'arrcll est bien connu a MontCojiBultatious à toutes heure*. Ilureau: — I N MM. BROWN FRERES & OIE, lu/.ernts. Dans les jardins, il convient d'une conversation. I<e dialogue, ments de deuil qu'elle n'a pas quittés France qui apporta la civilisation aux real, 0Î1 il a exercé longtemps le miHALIFAX, N.-E. l l o l s l i . i .1 SI .-<•<•(, particulièrement pour les oignons, considéré comme forme d'enseigne- depuis la mon du prince impérial. sauvages du Michigan, Wisconsin, nistère comme membre île la compamais il serait plus nuisible qu'utile ment, est une conversation entre deux MONCTON", - N. E. La princesse Lélilia est la sieur du Minnesota, Illinois et des territoires gnie tie Saini Sulpice. 1 ''est un homaux autres légumes. me d'une hauie distinction, d'un caou plusieurs personnes qui ont pour prince Victor que le prince impérial situés sur le Mississipi.—Le Âftsstlg FESTON EARW U. « . MON K O K, A. It., ractère très affable el très bienveillant, Cependant il faut en user avee mo but de s'instruire mutuellement en avait désigné comme son successeur jiii a laissé le*; meilleurs souvenirs en AVOCAT, SOLLICITEUR, N0TAI1IK. dération. En petite quantité, l'em- échangeant entre elles les roles de et comme héritier d e l'empire. Klle L E S S E P T M E R V E I L L E S PUBLIC. elle ville. Il parte parfaitement le Cette forme d'en- est l'unique fille du prince Napoléon ploie d e la suie produit d e bons ré- niaitre ct d'élève. sultats ; employée en grande quanti- seignement se distingue donc com- et de la princesse Clotildc, fille elle DIGBY, N. S. Un é c r i v a i n f r a n ç a i s , M. Félix Belly, français. té, elle désorganise les plantes, elle les plètcuent d e celles que nous avons même de Vietor-K.iumanuel. l'.lle est a f a i t , il y a q u e l q u e s m o i s , un r e l e v é P u b l i s h e d W e e k l y I f i T A t t e n t i o n s o c i a l e d a n s toutes aflaire. Un misérable, Thos. I.cliau, de brûle, elle ronge les feuilles ct les ra-examinées jusqu'ici. la nièce par cela même, du duc d'Ans d e ce q u ' o n t coûté, ce q u ' i l a p p e l a i t «galea. , New Vort, a lue sa femme île la macines, et cela est dû non-seulement à i. Les personnes qui veulent s'ins te, et il a fallu de-s dispenses toutes l e s sept merveilles du monde moderne — A N D 18 — sa force comme engrais, mais surtout truire au moyen d e la forme dialo- spéciales pour ce mariage exception T . c s u k i : v i :. n . <!.. I x s sept merveiller étaient selon lui nière la plus barbare. Il a jeté la i sa couleur noire qui fonce le sol ct gique, doivent se trouver .\ |>eu près nul d'oncle a nièce. T H E GREA les sept t r a v a u x qui ont d ' a v a n t a g e malheureuse par terre, et s'est ensuite A V O C A T , PROCUREUR, N O T A I R E _â 5ELFYVA produit une absorlion trop grande des dans les mêmes conditions d'instrucLe duc d'Aoste, fils de Victor Em- r e n v e r s é l e s b a r r i è r e s p h y s i q u e s d u appliqué .'1 la frapper sur la tête et sur PUIILIC, Ktc. rayons du soleil. tion; il ne doit pas exister une trop manuel et frère du roi Humbert, a été g l o b e . Void leurs noms avec l ' é l é - out le corps avec le talon de ses botWATER STFtKK'P, 1)10BY, N . E. tes, ct Ta ainsi broyée d e coups de — PRINTED-IN T H E — Ce fait nous est parfaitement ex- grande différence dans leurs rapports roi d'Espagne sous le nom d'Amédée v a t i o n d e s d é p e n s e s . 60,000,000 pietls jusqu'à ce qu'elle eut rendu le pliqué parecque nous ressentons nous- extérieurs, afin qu'aucune des deux 1er. Il avait été élu comme tel parChemin cic fer île l ' a n a u u , « . I t A R M I t V . M. Le monstre a voulu mêmes un effet semblable quand nous ne soit disposée a s'emparer par pré- les cortès, en 1 8 7 0 , et abdiqua volon Canal île S u e r , I'llIM II T,AN«IIAC1K 500,000,000 dernier soupir. M É D I C I N C H I R U R O I E N . 90,000,000 également tirer son petit garçon d e voyageons en été en plein soleil. S i férence du rôle de niaitre. tairement après quelques années de T u n n e l île M o n l - C e n i . , 230,000,000 piatre ans, qui, heureusement, a pu nous portons des habits noirs, WEYMOUTH BRIDGE, • N. S. — IN T H E — 3 . Les questions ct les réponses ne règne pour être remplacé par Alphon- T u n n e l île S a i n t - l i r l h a n l , I j brute est sous les 600,000,000 s'échapper. nous n e (anions ]>as .\ être écrasés par doivent pas trop s'éloigner du but pro- se XII. Il était veuf pour la deuxiè- C h e m i n île- 1er 1I11 Pacilopii-, 150,000,000 verrou x. C o n s u l t a t i o n s > toute h e u r e . la chaleur ; si les habits sont gris, nous posé ; sillon il en résulterait une eau me fois lorsqu'il fut pris de cette belle C h e m i n île 1er d a Anilcx, IProvince of ISTova Scotia en sommes infiniment moins incom- série vague et qui ne serait d'aucune flamme pour là fille d e sa sieur. I-a C o u p a g e île l'isllimc a m é r i c a i n , 000,000,000 J O S I l ' H A. NMITII, On va bâtir h Iaondrcs un hôpital 2,520,0^1,000 modés. Le noir est la couleur qui utilité. chose est déjà arrivée précédemment C o n t a i n i n g s population nf nearly 4f>,000 Et h ce propos le même écrivian fai- pour les Français. La première pierAVOCAT, NOTAIRB-PURLIC, Etc., Etc. attire, qui, retient, qui absorbe la plus 3. I.es personnes qui s'entretien- dans la maison de Savoie, alors que Acailians. Tho St. Croix Soup M'f'c Co., grande quantité d e lumière ct de cha- nent sous la forme dialogiquc doivent le cardinal Maurice qui n'était pas sait une réflexion que nous relevons re en a été posée le 2 1 juillet. QuoiWEYMOUTH BRIDGE, N. S. que protestant notre ambassadeur M. C t . C t o p t a . o t t . XT. X3. leur. ( A vrai dire, le noir n'est pas une laisser d e coté toute prétention, toute dans les ordres, obtint du Tape la per- ici : couleur, car il est admis en physique passion et toute partialité ; elles doi- mission d'abandonner la pourpre ro I j guerre de 1 8 7 0 à coûté à la Waddington, qui présidait la cérémoSoin rartioulierilans t o u t e s alfalrea l é g a l e s . que c'est l'absence d e toute couleur.) vent être profondément pénétrées de mainc pour épouser la fille d e son frè- France 13 miliards d e dépenses mili- nie, a voulu appeler sur cette œuvre C i r c u l a t i o n B O S T O N M A R I N E MURDOCH I . A V A C Ï Ï Ë 7 L a r g e s t Ijc blanc pur, au contraire, qui est la l'objet d e la discussion. re, qui était nièce également de Louis taires, y compris les 5 milliards d e sa "es bénédictions tie l'Eglise Catholiréunion, l'ensemble, la combinaison, rançon; ct 27 milliards de destruc- pie, cl il avait invité p o u r cela S. I'm. BAHBIKR. COIFFEUR. 4. D e ce qui précède, il résulte évi- X I I I . of a n y Papor pablishod In t h e enfin, d e toutes les couleurs, est la demment que la forme dialogiquc ne tions ; en tout, 4 0 milliards, exacte- le cardinal Manning, archevêque de La princesse Létitia a été élevée MONCTON, . N. B. I N S U R A N C E C O Lower Provinces. Avant d e réciter les nuance qui repousse, qui rejette le peut être adoptée |x>ur renseignement près de sa mère, la princesse Clotildc, ment ce qu'à coûté aux Etats-Unis la Westminster. 1 M I>(>\ F R I T Z , M . » . , plus l'ardeur des rayons du soleil, et dans les écoles, puisqu'il y a une trop qui habite un château isolé, près d e guerre de la Sécession. 1-cs sept en- formules liturgiques, l'illustre prélat P A I D U P C A P I T A L : $1,000,000 la répulsion ou l'ahsoition est plus ou grande différence, sous tous les rap- Turin, et vit dans la solitude. Le treprises internationales que je viens anglais a prononcé un discours remMÉDKC1N.C1IIRUR0IEN. moins grande pour les nuances inter- ports, entre 1rs individus qui s'y trou- nom de Létitia vient de la mère mê- de raconter n'auront coûté en tout, au pli de bons sentiments pnui la France. DIGBY, . i . j; has kii : médiaires, suivant qu'elle se rappro- vent. Il peut cc|>cndant y avoir des me d e Napoléon 1er, bisaïeule de la monde entier, que deux milliards cl che plus ou moins du blanc ou du établissements dont le programme dé- jeune princesse. demi ; la moitié de la rançon payée ,\ On vient d e faire en F'rance des exStmiautui M a l a d i e , d e s f e m m e s , dea e n . lloosrs- Bating Bros. & Co., London noir. Will Sud L'Évangelme one of the la Prusse, le tiers d u budget annuel périenecs avec le fameux fusil 1.cl ici, signe l'une ou l'autre leçon comme jgg et d u ij-.Uin» n « r r e u i . des armées permanentes ; le quinziè- réputé le meilleur qui existe. On tira L ' I V R O G N E R I E U n autre fait h l'appui, et que tout admettant les observations, questions, A. n . L E G E R , me d e la perte totale de la France ct sur des cadavres non réclamés, venant LOSSES PAID P R O M P T L Y . le monde observe chaque printemps : doutes, scrupules, opinions, avis, etc., Un statisticien américain a calculé des Etats-Unis dans une seule guerre ; des hôpitaux. Les médecins Chauvcl H O R L O G E R ET B I J O U T I E R , R t a k . t a k e n o n V o . a o l . , C a r c o e . la nc'gc non souillée met un temps e t c , émis par les élèves. le centième enfin d e ce qu'.\ dévoré ct Minion annoncent que dans les eno n it F r e i g h t . , B a n k F L h i n a ; V e a i i s l . considérable à fondre au soleil, au lieu Ccsdiffércntcs formes d'observations que sur une population d e 8 0 0 , 0 0 0 SriEDIAC, N . B. a n d O u t lit.. que si elle tire plus ou moins sur le ne peuvent jamais être considérées pauvres, soixante-seize |K>ur cent doi- le militarisme curojiécn depuis Napo- gagements futurs où figurera le lusil noir, elle disparaît h vue dVil. que comme des éclaircissements, des vent rapiiortcr leur indigence h l'ivro- léon ; et elles auront décuplé ct peut- I.eliel, les chirurgiens d e Tannée enABONNEZ VOUS + + + + être centuplé la puissance d'expansion nemie n'auront plus h s'occuper a exRANSOM I FULLER TM0S. H. LORD J e prie le lecteur d e me pardonner renseignements, des explications d e la gnerie. •+ + + k I . ' É V A N G É L I N E Secretary. l*residtnt. Sur lc même nombre il faut défal- ct de transformation pacifique du peu- traire les balles du corps des soldats cette petite diversion q u e j'ai cru n'ê-part de celui qui dirige la discussion. blessés. L'expérience a démontré quer 80,000 idiots, aux Etats-Unis ple civilisé ! tre pas déplacée ici, ct je termine par [ A suivre] que la balle passe à travers le corps, ANNONCEZ I»A\S ilcprrscntinl b r seulement et les trois quarts de ces quelques mois sur le mode d'emploi STORE. CHAS. B U R R I L L Ac CO., A g e n t s de la suie. malheureux sont les enfants nés d e G r a i n e s n o u v e l l e s île t o u t e s sortes e n v e n t e os comme chair, même quand elle est L huile J e foie i l e m o r u e . S U i e i i a . C a m p b e l l tirée à une distance de 2,100 verges. a la l ' h a r m a c i e C h a l o n e r , Digbjr, WET1IOUT1I Bill DOE, N . 8 . L ' E V A N G E L I N E ! . Il convient d e l'appliquer par un e i t e n v e n t e k 1a P h a r n u c i e C h a l o n e r , IJicbr paient-, ivrognes. 1 V u e i i lP P\ Absolutely Pure. C r v C , C | , s MAGASIN, r L - C F A I T la F O R C E , ' C SOAP T H E ONLY N E W S P A P E R N ADVERTISERS Best Advertising Mediums in the Maritime Provinces I vk\\\\\\\\\Wk\\\\\\\\\\\\\\ L'EVANGELINE. D1GBY, N. R , MERCREDI, 5 SEPTEMBRE, 1888 çaise au onzième siècle. St. Dénoit dant, que l'artiste lui-même, M- Le dont elle est couverte d'abord ne don- velle province que Nicholson s'enor1 8 8 8 gueillissait d'avoir conquise pour R O S E S ! R O S E S ! était l'apôtre qui l'affermit en Krance. Goft* qui l'a modelée lui disait absolu nait pas la satisfaction voulue. R O S E S ! Elle perdait par là Dans la veillée du dix huit ultimo l'Angleterre. J O U R N A L ment la même chose, l'expliquant pat Le même art a fait naître l'Acadie h l'importance qu'on y attachait. I les artistes assistés de quelques musiune illusion d'optique produite par la prospérité relative dont elle jouit dorure dont on l'a recouverte malgré ciens de la localité donnèrent un con effet, les Elançais partis, la Nouvelle aujourd'hui ; elle la maintiendra flo- lui. cert dans le St Mary's Hall qui a pro Ecosse n'était plus qu'un désert hanté ABONNEMENT 1 Ce n'est qu'un détail aptes tout et duit $ 7 1 . 8 0 . La quête qui a été faite par des tribus sauvages, ennemis Ira rissante et ferme pourvu que les abUn An, p s y a b l e dins l ' A n n c e $1.00 nous ne le chicanerons pas pour cela, pendant la grand'messe le jour sui- dilioimels et inréconciliablcs des an to i i i T - o i i i i i - q u i arl Six Mots . . . •50 bés li'n h.uci, les Oucllcl, les Michaud, 1 8 8 8 . glais 1. Port Royal, la seule plai attendu qu'il en a assez par le temps vant s'est élevée à $ 8 0 . 0 0 . se multiplient pour en prêcher l'imporv a l e u r «lo 9 S . O O o u t i n d e ù î t Trois Mois, . . . •30 fortifiée dont la subsistance dépci qui court à se débattre contre ses amis Chnrlottotowu P o u r l ' E u r o p e , port sfïniriclii ]mi noun, a . o o tance au point de vue national et reli et ses ennemis tant au |>oint de vue dait des colons, serait forcément aban II. 11. Smith, d e cette cité, a été donnée 2. tof On lit /'fui s abonnir moins i/ut eicux, et, s'il se peut, pour eu donner j>oliliq.ic qu'au point de vue littéraire. condamné à deux mois de prison pour " W ^ E . M I L L E H Nicholson nelecomprit quclrop, et M. Frechette est un talent incontesta pour trois mois. l'exemple. violation du Scott Act. pour éviter ce désastre, il ne craignit Quels que soient vos progrès sous blc, une gloire même pour la lillératn iiyiiiil r i e n qn'iiii n o m b r e l i i n i i é ,1,. c e t l„.|l™ il,.,,™ do Paris, I-Vun,-.-. c e u x , . , . 1 . . . . . , Une nouvelle ligne télégraphique a TARIF DES ANNONCES poitrt de violer le traité de paix et re d e notre jeune pays. Il n'est pas t i e n . I V ,,-ter ,1,» o b . i u . u n a feront 1.1,,,, ,l„ v e n i r s v a n t ,,,.' .||,.„ , , . ' compatriotes sans reproches, ni sans défauts, mais il été posée sur la rivière Hillsborough, désobéir ouvertement aux ordres S o . 1 0 le rapport intellectuel, Premiere Insertion, la ligne, Il CM, ' ..i:lh [• -, rtlKJUc «.'le., etc.,, 0.04 bien aimés, n'oubliez pas que l'agricul- a le mérite d'être assez-impersonnel et entre cette cité et Kelley's l'ove, la se- sa souveraine. Il mil les Acadiens Insertion subsequent, ! Ï Ï *c'eut . c ï chrx £?" «»• -i" : t t valant 6 0, fi-Httt, 5.00 ture est l.i pierre angulaire d e votre je ne sache pas qu'il "ait un ennemi ir maine dernière, par les officiers du A. dans l'impossibilité de vendre leurs A d r e s s e s d'Aftaires, l'Année, Ileum p . i i n i d nM'itt < A. Telegraph Co. terres et leurs effets en défendant aux édifice national et la clef de votre réconciliahle dans la grammaire Iran Nous sommes heureux d'apprendre anglais de rien acheter d'eux. Il Lts rtmists peuvent ilrt fuites par çaise" selon les paroles de Victorien . t i l l I I I Sr r e e l mandats Jt poste, ou far lettie en régis avenir. terdit l'accès des ports aux navire Sardôu à l'adresse d'Alphonse l>au que M. ('. A. Campbell, étudiant N . B . — Q u a n d n u n v i e n d r a n e n t i e n n e i eo j o u r n a l . ' Y A R M O U T H , N.S. Maintenant que vous ave/ trois avo- det qui vient de faire paraitre trit français qui devaient leur apporter /.'/ni collège Romain, à Koine, a réussi Nous ne nous tiendrons fas respon- cats pour protéger vos intérêts, dé- mortel dans lequel il bat en brèche et obtenir les degrés d e bachelier en les agrès nécessaires aux embarcations Philosophie après un brillant examen. qu'ils avaient c o n s t r u i t e s . Il leur lit sables des opinions de nos correspon- fendre vos droits acquis, vous éclai- Académie et Académiciens. dants. défense d'écrire à l l o s t o n , pour en faire L'étude de M, Frechette sur Sic Collegium. rer au flambeau de la science dans le Annonces commerciales publiés à des venir ; il alla jusqu'à laire saisir leurs S u III 111. 1 • i il'' Anne d'Aurayest très intéressante. Ce tortueux sentier de l'avenir, eflofcexd i r e c t s taux modérés. ne sont pas là de ces descriptions lia Après la dernière tempête l e s rap- bateaux et leurs chaloupes. En ni I m p o r t a i t u > v Les manuscrits ne seront pas rendus tous de vaincre les obstacles qui pour nales qui foisonnent dans les articles ports étaient que les blés e l l e s avoi- mol, il les retint prisonniers chez eux (f/roi et Detail.) Les annonces de Mariages, Naissan- raient encore intimider votre courage, à la vapeur de certains écrivains mo nes avaient é t é presque complètement connue devait le faire plus lard |. ces, Décès sont insérés g r a t i s . et Dieu aidant vous vous maintiendrez dernes. Il y a du nerf, de l'imprévu, nichés sur le sol. I.a lem|iête a é t é misérable Lawrence avant d e les dis p c n e r a i U quatre coins du ciel 3. Toutes connut, uitions concernant le honorablement au niveau des races de l'original, du pittoresque et un na sérieuse à Souris ; à peu près 1B0 goéjournal, remises, correspondances, oul'.n menu-tempsileherchaàlessédui NOUVELLES turc! de bon aloi qui en rend la Ici lettes d u pêche ont d u s e réfugier e n vrages pour impression, etc., doivent hétérogènes qui coparlageiit avec vous turc aussi agréable que facile. lerre d e brise lames par dessus lequel parlespioniessesles plus flatteuses, leur le sol fécond que vous ont légué vos tlie adressés <) D'après des éludes très-fortes et la mer se brisait e t s e soulevait à la offrant, s'ils voulaient resler, les mêmes fil droits et privilèges qu'avaient les ancêtres. une expérience raisonnable, AI. Fre- hauteur d e s mâts des g o é l e l t C S . i: A. LANDRY, ( ) glorieuse terre d'Aradic, I lieu le chette soutient, à l'encontre de tous Les exportations par l e steamer jets anglais..). Ce fut lui également ou simplement Princess of Wales" pour la semaine qui inaugura à l'égard des missionnai veut ! le sang innocent que tu as lui les historiens, que nous sommes phi L'E VANGÊUNE, tôt Bretons que Normands. I-a plu- finissant l e vingt huH ultimo sont res des acadiens le système d e vexa H i S.S. " D.iiimm," " V m nvt-r," e l " U r i Digh, N. S. va produire d'abarulontes moissons. part des noms de famille canadienne (inline suit: icufs $.t57«i;yili agneau lions dont ils eurent tout plus (iifli Q w e a / * v i a I l n l i f a x , « i . V u . . Courage, magnanimes fils de Pou se rencontrent toujours en Hretagne $ 1 1 1 0 ; ; .j moulins h battre $ 1 2 0 0 moins à souffrir dans la suite. Ces I.im; v i n !'•••-'. m. prêtres étaient les seuls hommes ins tiincoiiri, l'aube blanchissante de l'a et rarement en Normandie, d'où veL'EVANGELINE quarts d e maquereau $ 1 0 8 5 ; 5 trilits qu'il y eut parmi eux,et par con naient le clergé, les religieuses et les hevaux $ 8 7 5 ; 1 3 1 0 lbs d e venir se déroule |Kiur vous pleine de familles nobles. Les noms bourgeois uir $ 5 5 8 ; 140a livres d e laine sequent les mieux en état de les éclai D i g b y , W.-E., 5 S e p t e m b r e 1 8 8 8 brillantes espérances. et roturiers viennent d e Hretagne. $,17,1 ; 2 0 bl d e lard $ J . | o ; 1 0 co- rcr. Nicholson leur fit défense de se Nos Importations Completes Quanti nos expressions populaires, lions $143 j 2 2 3 iniiiots d'avoine mêler en rien de leurs affaires el /.PCS ACADIENS AI.I'IIA Pour ]<* ]>• hitt'iirjH ilf elles y pullulent, dit M. Frechette, $ 1 1 2 ; 2 0 bottes d e homard $100 leur donner des conseils, comme leur qualité de prêtres leurs enlevait surtout dans la Hretagne Nantaise. Le peaux $ 8 5 ; 2 bestiaux $60 ; fruit La parole du ptjalmittc l'accomplil. l e digne et savant jeune homme paysan breton dira il mouille au lieu les tilres d e citoyens el île français, et Ia-s nuages «le l'infortune - m t p e u qui nous a fait l'honneur de publier les de il pleut, il ignore le verbe pleuvoir $,i;; divers $,51. Total, $10,344. les privait du droit de donner a di M a r c h a n d i s e s Exporté sur sur d'autres vaisseaux dant longtemps flotté sur les hauteur! fort belles et instructives lettres que 11 dira par exemple : " Espérez, j e placés dans les cirions pendant le mime intervalle 2.11 boi- compatriotes tances les plus difficiles, des avis qui vais aller çu'ri les sicaux ]ioiir tirer de l'Aeailie, mais l ' a n g e g a r d i e n î l e s lui ont inspiré une promenade sur 11 res île jMiisson e n conserve évalue à ceux-ci leur demandaient Le but il peuples veillait s u r e l l e . I.écrivain le du Cap-Breton et au Nouveau- les vaches.—" J'y ai retrouvé, dit l'au- $ r 2 2 o . T o t a l — $ 1 1 5 6 4 . Y A R M O U T H , N . S . , S è c h e s V a r i é e s ses défenses était évident : celait teur, la câline, le 1er, les bourriers, les sacré a dit : " ccu\ qui sèment d a n s Brunswick est prié d'agréer nos rcde mieux profiter de l'ignorance des nwllieres. J'ai vu des gens qui avaient Sont l e * t t r i n d t a u i t l s i i u B u t i i r i m les pleurs moissonneront d a n s l ' a l l é inerciements.el pour les services de sa de quoi à ne savoir «V» le niettre. Puis E C L A I R C I S S E M E N T S S U R L A Acadiens laissés à eux mêmes, et d e Q U E S T I O N A C A D I E N N E surprendre plus facilement leur bonne gressc", et si les ancêtres d e ceus qui vaillante plume, et pour ses paroles l'auteur finit par dir e: "Ainsi les foi. T A P I S I habitent aujourd'hui l e p a y s d'Evan- peut être trop flatteuses a notie égard mêmes noms, le même language, les X.O ... riiifii t 1] .111'V.i 'iv 111 «va mêmes légendes, les mêmes coutugéline ont semé d a n s une t e r r e a r r o - Succès et longue vie à Alpha. mes, une parenté frappante dans [Suite.] li) L e s s a u v a g e s ties m i s s i o n s fiançaise E-« sée de larmes, on peut d i r e , c e qui les phisionomies, le même patron Par le tiaité d'L'lrecht conclu en d e s c o s i e s île l'Aeailie sont e n n e m i s si i n é confirme la promesse d u chantre s a populaire: Sf Jean, la même dévo- 1713,l'Acadie fut cédée définitivement e o n c i l i a h t c s d e la nation a n g l a i s e i ) u e toute; Médecines—Une Varitie, & c . •—1 LE C A N A D A - F R A N Ç A I S o s h a r a n g u e * les plus pacilii(ucs n e peuvent ^. tion traditionnelle à la " bonne Sic. à la Crande Hretagne, et les colons nleur cré, que les descendants d e l'arbre i m p r i m e r d e Ile point l l o u l i l e r s o n coin I I !.. M : . A n n e ; " je n'en ai pas demandé plus français de cette province, qui reçut m e r e c ; i l s pillent e l ont ; ill. plusictiis d e généalogique acadien commencent à pour nie fixer. Je me crois breton, alors le nom d e Nouvelle-Iùosse, pas- leurs b â t i m e n t s , e m p ê c h e n t (île p ê c h e r ) d a n s P E I N T U K I Î S , moissonner dans l'allégresse. "Qui M. le A'édactcur, bien breton, et très breton. Et avec sèrent sous la couronne d e l'Angle les h a v i e s d e la d i t e c o s t e d e l ' A c a d i e . V PS Nous en avions fini avec le Si;kseminant in lacrymis in jtlbibttfone l'entêtement du Breton, je n'en dé- terrre. Mais, par une clause spéciale vaisseau d e d o u z e à i p i a l o i r e c a n o n s sVlant o H UII.ES, m i : n i D'ALLÉGEANCE, ce point resté perdu sut u n e petite île d a n s la k i y c française mêlent." mordent! pas sans résistance. du traité, "il était expressément con S a i n t - G c i l l g e , ; • : les éipiipas;es s e s.v.ivè noir dans la grande question acadienVERRERIES. à lerre a v e c la plus c r a m l c partie 1-cs premiers jours d e l'existence ne et que l'abbé Casgrain vient de C'est assez concluant. On ne sau- venu qu'ilsavaient la liberté d e se reti- rent leuls marchandises, les d i u sauvages y oui nationale de ce petit peuple o n t é t émettre en plein jour, l'éclairant de rait apporter de meilleures-preuves .à rer ailleurs, dans l'espace d'un an, al«o,,!é un t i o m l i i e d e v i n g l h o m m e s a r m é s e l e sont r e n d e s maîtres d e tout c e qu'ils ont pu une chaîne non interrompue d e m i s é tons les feux de l'histoire impartiale l'appui d'une thèse aussi importante et avec tous leurs effets mobiliers écrite d e la main même d e ceux-là intéressante que celle-là. Nous féli- Q u e ceux néanmoins qui voudraient y • p a r t e ! a v e c e u s , a p t e s e n a v o i r c h a s s é i res. En 1 7 5 5 , au moment o ù l e s o -qui avaient cs|>éré voir l'omble de l'a- citons l'auteur de " I-a Légende d'un demeurer et rester sous la domination iris . . . . étjuipages a n g l a i s , d e s q u e l s il» ont m ê m e t u é u n h o m m e et loiMpi'un leur a d leil de l'Irlande commençait à s ' o l i s venir planer sans cesse sur leurs mé- peuple." de la Grande Hretagne, devraient n-.andé- la r a i s o n ipii les o b l i g e î l e Hier d e eurcir, la main glacée du m a l h e u r po- faits odieux. Passons maintenant des jouir de l'exercice d e la religion ca- g e n s ipii 11e s e délenilaieiil p o i n t , ils o n l t é Ctis. A. Gauvreau. tholique et romaine, autant que le p o n d u q u e c'était pour faire peur a u x a u ' i c sait son crêpe fatal sur le front s o u - questions arides à la poésie. TONNES lie n u e o r pour a u r o l i s e l leur v i o l e n c e , ils disent t|lli permettaient les lois de la CramleVoici le /lira's Vita d e M. J. A. cieux de l'Acadie ; et dès l o r s s'ouvrit tous les s a u v a g e s d e leur nation nieiin-rir util QUA. N O U V E L L E - E C O S S E llrclagne." Poisson. Les lecteurs savent déjà ce M i n e s er iplc e'esl par un poison q u e l i s A n pour elle une période mouvementée i s m-s •<•/.. Peu de jours apiès la signature du (liais leur o n l d o n n é ; le Sieur (ïaulill le: que nous pensons du poète d'Art haPnbulcii qui fera a jamais la honte de s e s p e r - basics. Il est de l'étoffe dont on fait traité ( 1 1 avril 1 7 1 3 ) , la reine Anne, m e n a c é s d e n e plus l e s confesser s'ils n e res ItAICILN . 1 . - SOIlA, tiluaient l e w s p i l l a g e s , C e l a n e leur M. l'abbé Sullivan était ici le 1 5 sécuteurs. ayant appris qu'à sa demande le roi de primé a u c u n s c i u p u l c î l e c o n s c i e n c e : bien au les penseurs et nous croyons bien du mois dernier. trance avait accordé la liberté à des contraire i l s lui o n t «lit qu'ils n e lui d e m a n d e l)~ I t 1 I C I C M i l i S Les années qui suivirent n'ont p a s que son étoile brillera lumineuse au Ce jour était la fête de l'AssompTOBACCO.' prisonniers détenus aux galères pour raient jamai-. plus l i e n . J e v o u s assure ciel poétique de notre jeune pays. Il été marquées par des événements ausproduit j u s assez pour pouvoir tion, et, pour un grand nombre dé- cause de religion, voulut en témoigner M o n s e i g n e u r , q u e c e sont là î l e s a n i m a u x - n B O I T E S T O I I A C 4 O. si tristes, mais l a m e chrétiennement être jugé il sa juste valeur. Les rares jeunes personnes d e celte paroisse le sa satisfaction en octroyant aux habi- bien dilITciles à c o n d u i r e . J'ai écrit à leur H/ i » i : . T i i . i t o i T i : s i i < - t u e c h e f lout c e q u e j e d e v a i s sur c e sujet p a l I; affectueuse de l'Acadie souffrait en- pièces île poésie qu'il égrène par ci plus beau jour d e la vie, le jour d e la tants français de la Nouvelle-Ecosse l i e d e M. t l a u l l l i . J'aurai l ' h o n n e u r .l'en première communion. les conditions plus favorables que par là ne sont pas de nature à former iyer la c o p i e d e ma IcUfc à V o t r e Grande core des blessures qu'elles avait reçues. Ces heureux jeunes gens suivirent idles stipulées dans le traité. Elle pour q u ' e l l e •'aperçoive q u e j e n e négligi un tout qui se lie dans l'ensemble et lieu L'œil plein du tableau des malheurs tient comme les mailles ou les au préalable les exercices du catéchis- lit adresser, en conséquence, au géné- p e u pdl ees .c e qui doit c a l m e r la l é r o c i l é d e c e s SELS, K i r l T I i K , m u t A X , qu'elle avait subis, le courage paraly- anneaux d'une chaîne forte et résistan- me tous les jours pendant six semaines ral Nicholson, gouverneur de la NuitALUM, III.ANC D'KSl'AHNE, " D r : CoSTBBBLLK. Il est donc impossible au critique et ceux-là seuls qui purent subir un Ve)le-EcOSSC, une lettre dans laquelle sé, elle contemplait l'avenir qui se d é - te. " A u l'oit D a u p h i n , l e o n i c / l u e , 1 7 1 5 . ' vi-'.i:i;i:s, MASTIC. examen assez-sévère sur l'instruction elle lui donnait des ordres qu'il est imA r c h i v e s d e la M a i i n e et d e s C o l o n i e s , 11 roulait à l'horizon avec une confiance impartial de lui faire une place à part, même par la comparaison avec préparatoire furent admis .à approcher portant de citer textuellement . " V o u s U o y a l e . C o r r e s p o n d a n c e o é n é i a l c . Lettre mtOSSKS D E TOUTES SOUTES. fugitive tant les vents désastreux d e nos auteurs, nos poètes français mo la table eucharistique. permettrez, y disait-elle, el allouerez à au C o n s e i l d e M a i i n e , a n n é e s 1 7 1 2 - 1 7 1 6 . II.U.AIS, HKAI'X, ETC., ETC l'injustice avaient poussé s a barque denies. Il a du Musset assurément La matinée du quinze était belle,et ceux de ses sujets (du loi de France) Vol. I, folio I2.S, v e r s o . C e s MMNMIS d u île la M a i i n e |>orlent )M,ur s l g n a t u i c s de bonne heure dans l'avant midi, les qui ont des terres et des emplace- L. •ose-il dans sa poésie. Il aies tenthessesde loin du port de la nationalité. A . d e Hoiirbou, L e M a r é c h a l d'1-lstrécs. Dans son ode île Léon enfants du catéchisme commencèrent ments en notre gouvernement d'Aca ( > ) " • • • • In case y c l-'rench quit u s vie Les choses ne devaient continuer Lamartine, M i l , il ) a du /.écoute de /.isle, dit à affluer vers le temple. IjCS petites die, qui ont été ou qui sont attachés à hall never b e a b l e t o m a i n t a i n or protect our ainsi ; la foi inébranlable du peuple ( 'lis. 1- uster dans le .Semeur de Paris. filles toutes en blanc présentaient un nous en vertu du dernier traité de- Lnejish families from y e insults o f Indian: M A E C Ï Ï A N D I S E S méritait un meilleur sort. Malgré les Voilà, croyons-nous, la trinité des po- coup d'i cil charmant sous leur voile paix el sont dans la volonté de deve- ye worst o f e n n e m i e s , w h i c h y e F r e n c h , by t h e i i s s t a y i n g , Will, in a great m e a s u r e , vsend lliiiiH lu lii'iitilô doa ligiirs e t tin nut nussl lili'li qui? (Inns l a n e t t o U do la e o i i i t r u c t i o n , calomnies qui pesaient sur son ber ètes en qui se résume Adolphe Pois d'éclatante virginale blancheur ; les nir nos sujets, de retenir et posséder off, for their o w n s a k e . — J N ' o v a S c o t i a Ar lu qiinlitii rt lo v o l u m e i'ii son iion o r g u e s ur p e u v e n t être s u r p l u s e s . N o u s ^nrsiitLs.soiis ceau, cette race héroïque, puisant la son, un des plus en vue parmi la jeu- petits garçons de noir habillés et por- les dites terres et emplacements sans chives. 1.1,.tJul-. Caultield l o Hoard of T i a d . s a t i s faction, l'rix : 1 • . •. 1'atalogun 11 iti ' 1 • r t lino liste tirs prix m i v o y ô s rair ibnuruitlQ nesse littéraire en Canada. Pourtant tant une écharpe blanche au bras aucun paiement, loyers ou troubles ami I'l.intalions, p . 9. force dans la douleur même qui l'opari'iuijMirlf q u e l l e .itlnttso. T o u s n o s iiiHlninit'iita g a r a n t i s . !.,) P i è c e o m i s e d a n s l e v o l u m e d ' A r c h i v e s Poisson n'est pas jeune, au moins par gauche contrastaient harmonieuse quelconques, aussi pleinement ou pressait, lutta contre le sort jusqu'à ce l'Age, car il frise s'il ne passe pas la ments avec leurs petites s i e u r s . abondamment el librement que nos d e la N o u v e l l e - K c o s s c , publié à H a l i f a x . N o u s a v o n s ouvort u n D E F a c t o r y a n d H e a d Office : Y a r m o u t h , N . S. * ' . . . . T h e y had buiit a b u n d a n c e of small P A R T E M E N T Murs 1C 10 j D E C O U T U R E , qu'enfin le firmament de son existen- quarantaine. C'est un diplômé, avec Les communiants occupaient les pre autres sujets l'ont ou peuvent possé- vessels t o c a i r y t h e m s e l v e s a n d effects t o Ca|>e v e r s l o 1 e r d u m o i s d ' A v r i l d e r notre I. Edmond Roy, Notaire, de m i e n bancs de la nef.et leurs pieux pa der leurs tern s et biens, ou d e les ven- I t i i t t o i i . — [ I ' u b . Kecord (Mlice. L c l l r e fr< ce s'éclairât de quelques étoiles. nier, sous la direction d o M m e , Levis, de la soi ii-té Royale du Cana- rants étaient le plus près d'eux possible dre s'ils aiment mieux se retirer ail Sam. Y c t c l . t o Hoard of T r a d e , S e p t . 2nd, G u y C . J o n e s , q u i o s t p a r f a i t o ETABLIE I860 Dieu le voulait, les étoiles se multida. I ieu\ futurs membres assuré- priant pour qu'ils conservassent long- leurs." 1 l'.n présence d'ordres aussi 1 7 1 5 . — Voir H o c . i n é d i t s , N o . X V I I I , | m o n t a u f a i t d o l ' a r t d o f a i r e d o E . B . C A N N , 115. Piece omise dans le volume d'Aichive plièrent et le jour de la prospérité ne ment de l'honorable Institut d'Ottabelles robos, oto. H a r d e s faites temps les sentiments d'amour, d'espéu n e spocialito. formels, il .semble que le gouverneur publié à H a l i f a x . tarda guère à poindre. Les enfants de wa. rance, de foi, et de charité dont ces e C a p o n lui ayant dit T a i l l e u r W I L L I A M L A W & C I E M a r c h c m d de la Nouvelle Ecosse n'aurait dfl (à "M.. î.l e. .C oLs el e Sl ileclul el ) dqu'ils ces héros se sont doublés, triplés en l l e t o i e n t arrivé ehers |iclits étaient animés en c e mosinger qu'à les exécuter. Il n'en fil aucuns n o u v e a u x ordres d e la C o u r d ' A n g l e Mais nous n'avons rien dit de lire ulent solennel de leur vie. Kiira!it''tint et Miiri'liiiuils à Commission, nombre, et à l'heure qu'il est, les \< .1 vis vita de Poisson. Comment anarien cependant ; et ce fut là le coin rerre pour lever l e s difficultés q u e le général Entêtera G é n é r e u x , oto. —NEGOCIANT DR — Nous avons eu le plaisir de la visi- meticcmcnt des infidélités commises N i c h o l s o n lit e n 1 7 1 4 . " — [ C o n s e i l d e la M a diens sont un peuple vigoureux d'au- lyser aussi ces vingt six alexandrins t i n e , 2S m a r s . 171I1. te du grand historien, M. Rameau, delà 1 3 0 , 0 0 0 hommes. par îles subalternes qui ne devaient classiques ? il faudrait plutôt les citer (a) M . N i c h o l s o n leur a fait dire q u e dimanche, le 1 1 du mois dernier,mais être que trop imités plus tard et de H A R L E S F A I T E S AGENTS DES ASSURANCES : ib- roils genmi ^t jmiiit tons 1rs gofitii. Les Acadiens n'ont pas seulement en entrer. Voici : c e u x qui v o u d r o i e n t rester sur leurs t e l l e s nous regrettons qu'il n'ait pu nous faigrandi en nombre ; ils ont poussé en Mon iqasiil eperda sondsll la nei uni bor- re qu'une visite à tire d'aile. Il nous valent finir par consommer la ruine jouiront d e s m é i i i e s privilèges q u e l e s sujels île b H e i n e e l q u e si leurs prêtres n e voulaine. des malheureux Acadiens. Chapeaux et Casques. vigueur intellectuelle, l'éj.'t plusieurs Kl l.i, seul, j e songeais, l'esprit it'veiil c l est arrivé à l'improviste, d e sorte que, p a s lester q u e la H e i n e leur e n enverrait I>ès que ceux ci eurent appris que ent Nuit uni- liste d e e HeOlettKa [Réparations d'Irlande ; c e qui csl sur, c'est q u ' o n n e doit nmritiau grand regret de nos paroissiens d e branches tributaires du grand fleuve leur pays avait été cédé définitivement rien épargnée pour q u e c e c e s h a b i t a n t s sur In jour u n e nous Importune d i r e e t m e n t , e t ( I n i i i t a l , $1,000,000) A la vit: éphémère, à not juin-, t|tii s'en v o n t Pubnico, il nous a été impossible île de la science fécondent l'intelligence Plus vite ijiie les eaux d u tlt-nve vagabond. à l'Angleterre, ils avaient résolu una tellt, il est très sur qui* s'ils s o r t e n t , l e s A n lin- n o u s pouTons v e n d r e \v m e i l l e u r m a r e b s Fournitures de t o u t e s s o r t e s lui faire une réception digne de celui g l o i s n e peuvent BAIllei l ' A c a d i e : la p e i i n i s pseelblo : Le tint pousse le llol ; c l d e m i m e l e s h o m nullement d e l'abandonner el d'aller P H Œ N I X ( C O N T R E LO F O U ) en certaines parties du pays. Le < "' qui a tant fait pour la nation acadiension d e la H e i n e n e sert d e rien : il est d é mes, se réfugier soit à l'Ile Royale, soil à lege St. Juseph de Memraincook est nttBMM sur Dette Icrie ainsi o u c d e s fjnt.V ne. Nous aimerions a faire,par l'entrefendu a u x Anjjlois d e rien a c h e t e r . — [ L e t t r e l'Ile St. Jean. Ils étaient d'autant d u major L ' I l e i m i l e au C o n s e i l d e Marine Mien's Lunj,' Balsam. G l a s g o t o e t L o n d r e s mise d e votre vaillante feuille, une mes, devenu Université, et une foule d e peplus portés h prendre ce parti que, (otintrtr lo fou). 29 aoiu, 1714. August F l o w e r (Green's). T o m U n l p o o l f.iiie place à c e u x du Iciidc invitation à ce distingué monsieur d e tits ruisseaux scmlilent être pleins de d'une part, le gouvernement français main. ICA KICK'S B L O C K , Boschee'8 German Syrup. revisiter Pubnico à u n e date prochaiMol.ilc est l'océan : ainsi le g e n d r e h u m a i n voulant les attirer à l'Ile Royale, leur l'espérance de devenir fleuves. L'UON. W . L A U R I E R ne, avec l'espérance qu'il pourra resIiiii'tloek l i l o o d Hitters a n d REVERE COPPER COMPANY. Les generations .se s u c c i s l e n l , s ' e n t a u e n t mirait des secours pour s'y transpor Les arts et les sciences sont culti- Sans reran d'un m o m e n t , c o m m e les Ilots ter plus longtemps au milieu de nous ter avec leurs effets et s'y établir; Y A R M O U T H , N. E. Pills. Et In. T i ni],, 1, u n , . «pu p a s s e n t . pour faire bénilicier nos compatriotes vés avec un succès relatif, et les letN. S. SUGAR REFINERY. Mali c c i d e r n i e r s du m o i n s n ' o n t - l l i p a s leur de quelques unes de s e s recherches cl que, de l'autre, ils avaient à si Beef;iron and Wmo(Myetli's) M." S. I'. Spcncc a eu une entrevue tres sont en plein épanouissement. plaindre des procédés du général Ni reflux historiques. A U X N E G O C I A N T S cholson. Au reste, la conduite de ce récente avec l.'hon. Wilfred Laurier, Campell's Cathartic Comp'nd Encore quelques années, et l'Acadie Vers leur s o u i c c nus jours ne n o u s raiiH-nenl plus. l.i religion catholique à Shelbume gouverneur n'avait pas soulevé moins chef du parti libéral, sur la question ( "astoria. A t t e n t i o n e n é e i e l e d o n n é e A la t r e n t o d e — D A N S LK — pourra compter sur l'appui de plusieurs Totijouts mûr est l'épi, l a m n à v i n toujours L'hon. I^aurier a Tohnson's Liniment de mécontentement parmi les An- de la tempérance. est simplement à l'état naissant. prilc littérateurs de mérite. Ia-s bourPour le t e m p s sans pitié, faucheur ipte rien S t o c k d o B a n q u e s , d'AssuranNous avons une jolie petite église glais qu'il commandait à Port-I loyal, dit à ce gentleman qu'il n'était pas K i d n e y W o r t . Commerce des Habits. geois et les l'oirier sont nos deux pren'airêtc ; finie à l'intérieur et à l'extérieur due que parmi les Acadiens. "Nouses personnellement, ni son parti opposé ces ot toutos sortes d o stock. mières abeilles ; plusieurs pages que l'a c o m m e o n voit la plaine o n d u l e r M M l e s presqu'entièrement a u x généreuses périons, écrivait l'un d'eux, qu'à son ar- au Scott Act, une mesure qui avait K e n d a l l ' s Spavin (hire. — MANUFACTURIERS — Bien Fonds, oto. vents, ne désavoueraient pas les meilleurs S o n Miuflle c l o u e au sol la lOOfbe d e s v i v a n t s contributions de feu M l'abbé Walsh rivée le gouverneur paierait la garni- été mise dans les Statuts par son col Lactated Food. lègue et ex-chef du parti libéral, l'hon son, et mettrait la place sur un M c L e a n ' s W o r m Syrup. hommes de lettres du Canada-Fran- La poussière des mûris couvre la lerre c n l i è i c .D. D., cl quelques catholiques rési H A B I T S P O U R H O M M E S , bon pied ; mais au contraire il nous Alex. MacKenzie. A Québec cette lit ce glolic n'est plus qu'un v a s l e c i m e t i è r e . çais les ont depuis longtemps fait re Chercher la forêt vierge o ù l'on ne trouve dents de cette localité. tSJ~ V e n i c e A l ' e n e b i r e régulleree a jetés dans la plus grande con- loi n'a pas réussi. I-a raison, a conti Minard's L i n i m e n t . M. l'abbé Sullivan a célébré les G A R O O N S E T E N F A N T S DSI marquer du monde littéraire et savant fusion. 11 a renversé les fortifica- nué M. Laurier, esl assez simple. A Warner's Safe Cure ami Pills les ruunedl h d e u x heures, p . m . L e s v e s t i g e s île l'homme e l l'osuvre d u tré- saints mystères a Lockport dimanche, tions, mis dehors les français, et chas- Québec nous avons une loi prohibit!' Ici et a l'étranger. Wells, Richardson & Go's pas I le 3 0 du mois dernier. L i s Meilleurs Manufacturés en Canada sé tous les anglais qu'il a pu, de fa- ve d e paroisse qui donne aux parois Ossuaire sans fin, les c i m e s et les p l a i n e s Butter Color, q u e l q u e chr*u L'éloquence de la chaire et l'élo S o n t , du n o t d a u m i d i , d ' o s s e m e n t s toutes çon que la place est presque déserte, ses l'autorité d e délcndrc la vente des CONSIGNATIONS SOLICITÉES. il'inroitiKirnlili' ]tour nuiôlinrrr la conpleines ; quenec politique ne sont certes pas à lriir ilu b r u m r n b i v e r . ILE DU PRINCE-EDOUARD l'.n un mot, si ses ordres avaient été liqueurs dans ses limites, scion qu'elKt sur tout c e t h u m u s entassé par le T e m p s , de ruiner le pays, il n'aurait pu agir les jugent la chose opportune. La l'arrière plan ; les Cormier, les bour- S e croyant i m m o r t e l s , l e s h u m a i n s h a l e t a n t s McLaughlan'8 Harness a n d I S o n i o i i M u r i n e I t u i l f l i i i g . C l a y t o n & F i l s , loi est très-sévère et règle générale elle mieux qu'il n'a L-\it." L'intérieur d e l'église catholique d e geois, les Richard, les Poucet, les Pour les s i è c l e s futurs é l è v c n t s l e u r s d e m e u A x l e Oil. est bien observée oit on l'a adoptée Yaniioutli, N . S. celte vieille paroisse, que des artistes Landry, les Poirier et quelques au [Jdand la mort sans merci leur d i s p u t e les en renom viennent de peindre à fresH A l i l F A X , X . H. De son côté, le colonel Vetch man- Le peuple d e la Province respecte Sabin's B e e s w a x Oil D r e s s heures ! cette loi, et il n'invoque pas règle gétrès font réellement honneur à leur que, est maintenant un véritable petit dait aux Lords du commerce : H l f J S , for Hoots, 11.,11,oto, "Je crois d e mon devoir d'avertir nérale l'opération d'un acte qui lui est A part quelques rimes défectueuses bijou. Les murs sont peints de façon D0WMAN u. I.AW patrie. '.'. 11 : 1 \m I.AW. B u r r e l l - J o h n s o n comme vont et vagabond, hommes et à imiter la pierre d'un gris bleuâtre vos Seigneuries, en vue du bien pu- inférieur sous tous les rapports. Dans Gilbert's Lye. Ici comme ailleurs on semble com- fantômes—: a part quelque compa- avec fils gris argentins qui produisent blic, de l'état où se trouve !e pays de- maintes d e nos paroisses on n e vend Imperial Baking Powder, P H A R M A C I E prendre l'importance qu'il y a pour raison plus ou moins juste, comme : (Limitée) un magnifique effet Dans sa nou- là Nouvelle-Ecosse.... Les habitants pas une goutte de liqueur, ces parois- lioyal Y e a s t Cakes. tout homme qui veut jouer un role de Le dot / • ••- le flot, et île même les hommes velle toilette, l'église gagne beaucoup fiançais sont en quelque sorte forcés ses étant sous l'acte provincial. Par- Mucilage. en lumière comparée a son premier de quitter le pays par suite des traite- lant de la résolution Mill, il a dit qu'C H A L O N E R ! quelqu'importancc dans le monde d e ments qu'ils ont reçus d e M. Nichol- elle était éminemment propre et que Carter's I n k s , etc. cl F o n d e u r s île Fer. s'exercer à parler en public. L'ora- Tombent pour lairc place a ceux du lende- é t a t Les images en grand des apô- son." tous ses alliés en chambre l'avaient tres paraissent comme si elles étaient C o r . S\ il m i . u n i U n l o r Hit* main— teur qui prend sa mission au sérieux appuyée d e leur vote. Elle signifie Nicholson s'était dallé que les Acatout est grand, noble, bien dit ; des statues nichées, tant elles sont — vsKrrain-r'nmvi i * — est une puissance L'occasion de c'est de la poésie large qui ne parle bien peintes. I.cs apotres St. Simon diens n'abandonneraient pas facile- simplement que le gouvernement mé- • :<-1111111 i 11 <> 11 -1 i t i ; \ p i h > i i t i i m i D I G B Y , N . S . porter la parole se présente fréquem- pas pour ne rien dire. On sent le et St Jude paraissent andessus des ment les fertiles terres qu'ils occu- ritait d'être blâmé pour n'avoir pas Kiir O r i i i i i i i t l f . mis le Scott.Act en force et pour n'aE l'inj'ïh't.iip' qui a rie Ttniitlnnt h ]wu K N G I N S A VAPEUR, ment, voire même dans les assemblées soufile poétique passer a travers cha- portes de la sacristie et de chaque paient ; aussi fut-il surpris autant que voir pas pris les moyens pécuniaires ]ir.':i l r.'iitc mill l'un t i n l'Iinnimrii ns l.-i POMPES A VAPKUR, coté d e l'autel, qui a été doré à ncul. déconcerté en apprenant qu'après que strophe et l'on est tenté d e reprodes conseils municipaux, dans les cop l u s r n r n i n m do ln cité d e S t . Juftli, N . M en vue de le mettre en force. E n tercher au i>oètc qui nous a tenu sous la I-cs chapiteaux des colonnes qui mon- avoir mûrement délibéré, en assem- minant, il ajouta que son parti avait POMPES A INCENDIE ]->••..'-It-, i l puis d i x Ain iju'il rat riUiMi h mices agricoles et souvent avec profit tent dans les trumeaux ont été dorés. blées publiques, sur le parti qu'ils charme d e s'être arrêté si vite. D i g b y , N . S . , 1a m e i l l e u r e PhArmacie do 1a a vapeur. ébauché la mesure, qu'avait-il été dans les simples réunions de famille. Il y a aussi d e l'or dans les arches, ce avaient h prendre, ils avaient résolu Province, Nous voici rendu à l'article d e L. REMORQUEURS, qui forme un magnifique contraste unanimement d e partir sans délai. en pouvoir il eut ou mis l'acte en forA u dire d m vlnitruni àtrangern. 1a PliurSi les arts libéraux ont fait quelques IL Frechette intitulé "Ste Anne d'Aumncio CtiAloner cat ]n ]iltu d i g n e d u \<\\inSTEAMERSk fret et .\ passagers arec la peinture. Ils lui avaient signifié leur résolution ce, ou il l'eut révoqué. I.c parlement n a g e p u b l i e (bina t o u t lo N o r d d e l'Auiériiiue. sensibles progrès en Acadic pendant ray et ses environs.—C'est de la prorar leurs députés, et, joignant l'action a accepté l'acic unanimement quand r ô t i r » , Onvrafirs e n fonto ]>oiir v s l s w n u x , se, mes amis, mais riche, nerLos m é d e c i n * d e c e t t e l^rovinr^ 1a i t comLe tout offre un très-joli coup d'oeil "1 fut d'abord introduit. lit je répète ia dernière décade surtout, il est aussi M n c h i n m e e |K>nr riitsilius, e t c . m a n d e n t n u w ï tri'-t f a v o r a b l e m e n t . veuse, pleine de vie, au style large et milite hautement en faveur du con- 1 la parole, ils s'étaient mis immédi- encore, dit-il, vous pouvez toujours atement h construire des bateaux et certain que l'art agricole a progressé et poétique à certains endroits. Il y fiûy~ " n y trouvo coiiNtamment d m drogue* traetcur M. Mélodie, de Montréal. des chaloupes pour se transporter compter que le |>arti libéral en Canado t o u t e r,.i]iri'.-, Ik rli'H, p o u d r e s tinotorialrA, rationnellement. La culture du sol a bien quelques réflexions ou reserves Douic artistes ont travaillé sous la BQ)'" Miinlim. A w.in rntntnirfH I t t t r n t f a p u r ini'ilic.'imrtiin pnUmtéa. pAxfumcrJr*, p c l g n e i avec leurs familles, leurs bestiaux et da est en faveur de la tcmjiérancc ne s'y fait presque plus par routine, et h faire au sujet de sa fameuse descrip- direction d e M. Mclochc, à Tignish. leurs effects. parmi le peuple. r.lmihii., graii H-fl pour In nourri t un- d e s oImoaux , Lnnti c-t erririiin A vnrieur i - u i M i f » • <mr sritSeirilito. tion de la statue d e Stc. Anne d'Aué p o n g e * o t u n e v a r i é t é do t o u t e s l e s j o u d r e s Le coût de ces travaux durables qui la propice agriculture parait être, sans E c r i v e s pour m v o i r 1rs p r i x . ray où il dit : "I.a statue elle-même Les conséquences d'une telle déterqui entrent dans la composition des medjalnes E T C I E . le moindre doute, la vocation spéciale a l'air aussi d e ivus tendre la main font honneur aux catholiques d e Tig- mination étaient fatales pour la nouMaintenant donc, le parti libéral les plus c o m m u n é m e n t employées e n ce pays. nish est de $ 3 , 1 0 0 . combat bravement pour les deux granJ. ( H . Ù O . M K . du peuple acadien. comme pour vous demander quelque Le toit d e l'église a été recouvert (I) " A r c h i v e s d e s affaires é t r a n g è r e s , " Ta- des réformes du jour, la Tcm|iérancc 1 L'agriculture a sauvé l'Europe fran- chose." Il a soin d'ajouter cepen- en bardeaux étant donné que l'ardoise et la Réciprocité. Annoncez dans j/Evangkukk W e y m o u t h D r i d g e , Î 7 Mer» L" E V A N G E L I N E PRINTEMPS h COMETE Poli pour Poêles. Le Meilleur sur la Terre ! CHUTE, H A L L & ÉIE 1 1 DE MODES Boston Marine C i e IRON C O . L Burrell-Johnson IronCompanv YARMOUTH, N . E . L'EVANGELINE, DIG BY, N. B., MERCREDI, 5 SEPTEMBRE, 1888 NOUVELLES LOCALES AU MADAWASKA D I S C O U R S Dans ces circonstances difficiles, MARKFTS. P O U R Q U O I H E S I T E Z - V O U S ? MM., le clergé se montra à la hauteur BOUTON riticr.fi. PROUOTLOO P N R M . L ' A B B O N ONOLLOT I.cs foins se font bien lentement. de sa position. 11 lui fallut faire des P o t a t o e s — K o * ' , .10e; l l e h r o i n , Mie; w h i l e NU B A N Q U N T RNUTONU. Température changeante depuis le M M G i v e * de St. Jean, N.-II., et prodiges de tact cl de délicatesse pour s t o e k , 4 0 c ; H u r U n k i i , 0 0 c ; Prolific*, 6 0 e ; commencement d'août [ D u M o n i t e u r AcadienJ Mme Garden, de Frédençton, deux contenir dans de justes bornes la 1' 1C I s l n u d KlieiiangocH, 4 0 e tu SFIC ; b'cotch S i Vous v o u l e z d'un S a v o n s a n s é g a l e u pureté et e u q u a l i t é Val. A. I-andry, Ecr., Jîditcur-proil. U prtaidtnt, M. Rameau, Xtuitun, nation surexcitée, et l'arrêter sur le C h a m p i o n , 4 0 e ; C r n u a u , 4 0 c . priétaire d e I ' E v a n c é l i n e est passé O n t * — N o . 1 white, per h i i s l i e l , 4 9 e t o 6 0 c ; Deux sentiments toujours vivaces bord de la révolte et du crime. Usant N o . 2 w h i t e , Jiei husliel, 4 0 e ; N o 1 m i x e d , en cette ville (Edmundston) ces jours 1 à h avaient passé quelque temps en derniers, en route pour une promena- se partagent le cceur d e l'homme de son autorité sur les esprits, joignant lier h u s l i r l , 4 3 e ; N o . 2 m i x e d , per h u s h e l , Sous le R a p p o r t Général d u L a v a g e îoolepout leur place reipeçtive, k se- nade au lac Témiscouata. Mr. Lan- bien né, et surtout le cieur du Français la fermeté à la douceur, il put calmer 4 1 c . KgK"— K n e t e m extra», I D j c t o 2 0 c ; 1' K I les passions et maintenir l'ordre au ECONOMIE D'ARGENT! maine dernière. dry devait continuer .'1 la Rivière du digne de ce nom : l'amour d e la milieu du tumulte général ta est sa 1 8 c : d u c k e g g s , per dozoii, 2 0 c T h c m a r k e t f.»r cgg» LION n o t boon v e r y Loup jusqu'à Batburst et d e là h Dig- patrie et l'amour de la religion. Ni le gloire, là est son triomphe. - ACHETEZ LEa c t i v e MOL q u o t a t i o n s an- without material Nous voila en septembre. Scion by, N . - E . Mr. I-andry est toujours temps, ni la distance, ni l'adversité, ni J ' N I T. J>IVMIII l'aMortlmeitl LIA [A Suivra.] change. Kxtra caiileni arc BTILL ill l i g h t apparences, ce mois sera comme aimable, affable et gentilhomme, ce la richesse, ni la pauvreté ne sauront s u p p l y nt 2 0 c . P K Inland nud N o v a S c o t i a jamais étouffer dans l'âme d'un noble S i dernier, magnifique sous tous les qui fait q u e les nombreux amis au a n d N e w l l r u n s w i c k choioe malkit are g e n B A Z A R D E R O G E R S V I L L E M,„K,rts I . ' é l é a M l>ien beau, ni Madawaska aiment toujours à le ren- enfant de la France l'estime et la e n i l l y h e l d nt l o $ e , h u t n good m a n y liftv M l B L A N T E R I E ! vénération qu'il chérit envers le lieu t o LIE sold a t 1 8 c , i , chaud ni trop froid, d'une tempé- contrer. I .1 suivante e s t une liste des prix de sa naissance, lc pays de ses ancêF i s h — H e r r i n g , p i e k l e d , I j i t i m d o r , p e r rature asrcaWe pour tous. YlW Dig- M. le Dr. Félix Sirois est définiti- tres. If |ilu> ititi-iili'iitMi- et lr>].lusiii>HLTRIH-•{tiii.it (Jui e s t a d a p t é à tout»»» l e s e x i g e n c e s d u m é n a g e . remportés au Bazar de Itogersville hlil, $ 4 ; h a y shore, s p l i t , $.1.SO; r o u n d shore, j'ITNIIILN vtv v u t-ii Dette villi-, .iiiiM-staiil \sitvement laissé St. llasilc pour Kort $ 3 ; c o d , d r y , s l i o n * , large, 5 4 t o $ 4 . 7 5 ; coil tii-lli-iiKiit id- : Il peut arriver que, dans un moment GRANDE L O T E R I E Kent, où il devra désormais piatiqucr d r y , iihores, m i s p u u i , $ 4 ; p l a i n , N o . 3 , new* 2 3 1 6 , C o u s s i n , Miirpuîritc Kicluiril, V i l Il y aura grand picpieniquc A C o r sa profession favorite. Nous aurions de regrettable indifférence, la patrie m a c k e r e l , $ 1 0 . a O ; r i m , N o . a, n e w niaekerel, • I u|i|itii-ILH |n.III In cuit»- ili-rt uUlrweriM. berrie, Co. de Digby, mardi le 11 depourtant bien aimé à le conserver nu néglige, oublie même une partie de la;;u K l o h l b o a ê t o ; " 3 5 0 , î x i r t m i t , A g n o Ç10. MKllK/.-VOUS DES CONTREFAÇONS. Hi'imrry, B h f - b r a o k a ; 3 2 9 4 , b o n n e t d'EN m u m » i l l - grvtiHtflMI totted portcf i w tourtwau T h e m a r k e t (or codfish is i p i i e t w i t h priei £ptenibre p r i e n t . S'il arrivai que milieu de nous. C'est un gai compa- ses enfants exposés, sur une terre faut, M a l t h n w T r a m e r , llurniitiy H i v e r ; til'7. ehiujua |»n LE v i n i l u luoyetiiMiil u n inula h e l d as last q u o t e d . M a c k e r e l are in l i g h t te temps ne fût pas favorable, Iç pi-gnon et ce qui plus est, un médecin étrangère, h de pénibles vexations ; :II"!ITN K u l i , ' J N N R Coljiitt, Jiarnnliy il'i'IiliUVf. s u p p l y a n d steady hut q u i e t , halm h e i n g mais ceux-ci conserveront encore un H i v e r ; 1 2 4 7 , p o r t r a i t , F. G a l l a n t , T i g n l s h nueniJpie sera remis au premier beau émérite et un chirurgien très-habile. M A N t l F A L ' i T K F . SF.l'I.I'.MF.NT A l ' X confined t o s m a l l lot* for i m m e d i a t e u s e . héroïque attachement même pour 4 1 3 2 , ixirtriiit, l t e v . P i n D a l y , M . t c g l i n i i . : • • • u i i - m"• n i q u ' u n I I I D I ' i U ' o H B a i L , . Ce pique-nique est pour venu HT. J O H N PRICKS. I.es élèves des différents collèges dona c o c o m t o , o t I O H t • • m o i r . i m en aide aux habitants de Corberne sont comme les oiseaux à l'approche la mère qui méconnaît ainsi son de- N . s ; 3 1 4 5 , d o n l o r ilu ohalaa ( K o 4 ) , J o - F i a h — C o d f i s h , p e r q u i n t a l , large, d r y sejih D . UernnnlfKogiTsvilIc ; ltfO^Souliern, S T E W A R T ' S S T E A M S O A P W O R K S , l>OH ?.ont d o j a u o m b r o u x o n l o u r $4 t o $ 4 . 2 5 ; .'..ill.' jicr q u i n t a l , inediiu. dans la construction de leur église. de l'automne : encore quelques jours voir. favour. U a T D o m a n d o z ]>our IOH Mais si un pays abandonne quelque Kloïwi D u g a l , S t . i f i a i l t ; 2 1 1 2 , d o s s i e r «1. Mrv, tf-l ; h e r r i n g , hay, s p l i t , par l u i , $ 2 . 5 0 Toutes les personnes des paroisses en- et ils seront tous dans leurs pensions ELINISE ( N u . 3 1 , Clura l>.illou, It.irnaliy Hiver 20 G E R M A I N S T . , S T . J O H N . N . B. cortilicatu. vironnante» se feront, nous osons es- respectives. Le Madawaska fournil fois ses enfants, fa Religion chrétienne, 3 3 F I 5 , HFLLLLIEM, .TiiHehh H . G a l l a n t , K p i i o n t to $ 2 . 7 5 . ( l a t a — F e e d i n g , 5 0 c . Hny ; 7 1 , b o t t i n e s , M a x i m o K. Hich.inl, Cnp pérer, un plaisir d'aller .\ ce pique- annucllemant aux Collèges d e Ste. elle, ne délaisse jamais les siens. 1'ola.OEH, tier, iilliiltel, OOR. Itii-hiltouetoti ; 40IÎ8, coussin h é p i n g l e s , nique. E g g s p : '!"- , f r e s h , 1 7 e . •AILED, Anne, de Memramcook, d e St. Lau Elle les accueille avec tendresse I*lataà P u d d i n g ; C w w r o l i a d e I c i b a t t u J o s e p h M c l . e n l l , A n t l g o n i s ' l ; 4 0 "3 4 , livre d e C O L L E G E A u g 2 9 , s c h r - y a i b t W a v e l ' i e t t , for N e w 11 IIRDITIIIIRIT* ; p l n U a gâtr.iux n u i p e u v e n t rent.de Québec et de Van-l!uren, Me., leur entrée dans la vie, les entoure d e t l i è , a v e c p r i x , J u s t i n e II. A n e n a u l t , Coc-v 1111.11'AX MUCK*. York. igaliiiii-ut M-rvir un b u t ; p l n U .1 biit d o t n û Mme Gravdle, de New-York, qui un nombre d'élèves d'environ 180 et ses plus affectueuses sollicitudes pen c n e ; 2(J4 h o r l o g e , S u / u n e K. H . i i g l e , S i Potatoea—Melntym, per b u s h e l , •.'.'"-. t o 30, s e i n s T i l IL-i'ris, Mi-Luison, lue l i i l b n n t * s g n m i b u r u ; UaanuM d e 1er klane est iiassie en cette ville, la semaine plus. Certes, c'est un magnifique ré dant le cours de leur pèlerinage Igni ; 1 1 1 1 , |>ortrnit, A r c a d e A r s e n e a n . 3'LC. S A I N T - J O S E P H , B o s t o n ; K B N c w c o m b , A l l e n , f>>r R o c k 1 t.TIIK-, giimnlirt PIIUR b-UR NILI«lit« e t b-ur mortel, les accompagne de ses voeux t'np Kgtiiout ; 4i>, m a n c h o n , D o s i t l i é e ] . • O a t s — 1 " . K. 1., Iter rjtlahel 4 7 c . t o 5 0 c . dernière, doit conduire son fils au Col- sultat si on considère les distances land, Me. *btrabibt<", u n b o n aaaartlaaeut aTaarieitea à 1m.iv . tloger*ville ; 3 0 5 , ooejejln a é p i n g l e * F i s h — H e r r i n g , round s h o r e , N o . 1 , $ 4 ; 31, brigt A k l i a r , ( A i n ) H o l m e s , d u C u b a lege St Joseph pour lui faire faire un respectives, la rareté d'argent, et les et de ses prières même au delà d e la M tarten, rttoaj bMona ù eafii *-t à tin'*, ekaav M c n i r d i n v o o l : , .V. me J . W . (ilrviin, Kingston, N . It.; 4424 d r y etui, p e r q u i n t a l , large, s h o r e , from s t o r e , tombe. tlroin* ilf b r b l a u e (•••'.! riiulitun-s; s - t u i i i r s ; cours spécial de langue française. nombreux sacrifices que les familles s o u v e n i r , H e v . l'ère M i l i a n , S t . Herimrd's, $ 4 . 3 5 t o $ 4 . 7 5 ; s m a l l , s h o r e , p r i m e , $-1 t o A j ri ' . n i . . C l n i x r u u v o N , & c . clrnndtetea *b- e n i v r e ; eoflreta; ranilelra; Pour accomplir cette belle et su- N . S . ; 4B04, v o i l u r e , C.ilbert D i s l t o c h ™ , 1 . 6 0 ; mackerel, extra N o . I , $ 1 3 . 6 0 ; N o . Mile Wainright, aussi de New-York, s'imposent pour donner h leurs en PROSPECTUS: Ar at V a r m i i u t h , A u g 2 5 , btigt L o u i s a o h j e t n d e t*iib-tti' el rrne foole «l'ipbjet-* d e et sœur de Mme Gravellc, est passée fants le seul et vrai héritage qui ne blime mission, qu'elle a reçue de ciel, l l i a c o n c l i e -, 5 2 2 , doaater >le c l m ù e ( N o . 1 ) 1, $ 1 2 5 0 ; LARGE N o . 2 $ 1 0 . 5 0 TO $ 1 1 ; N o . C o i j i e l , P a r k e r , Barbatlo-.; srhr W l l l l c i Cot é t o M i a a e m e n l cal MHM la d n 1 TLI.LL TAILTM-IE, RTE., RTE. la Religion a formé une milice sacrée- M<le DOMIIIIV l U o b a r d , l t i e h i h o u c l o i i ; 4 9 7 1 2 , $ 1 0 ; large N o . 3 , $11.75 TO $ 1 0 . 6 0 ; N o 3 , S m i t h , B a r t o l , f i s h i n g : > 7 , t c h i A K O ' L c a r y , en cette ville lundi midi accompagnée périt jamais. 1, ilea Itoliffieui d>- B t e . C r o i x . c o u n t n n epiiigleii, P r e n J o a e n h , O n t a r i o B o u d r c a u , B e r m u d a ; , i o , ichra Laura ( !, de son fils étudiant au collège St. Jo- Cette année nous avons eu dans une armée d'hommes choisis dont la 3IU1, mmliers ( N o . 3 ) , H. Z . w a l k e r , l'iuup $ ( 1 . 5 0 . li. Lea n a t t è r e a IPII y i o u l r m a c ^ i o f a for> G r u n d m a r k , St J o h n ; S a r a h J a n e K i l t a m , m i n t d e u x c o u n i l i i t l n c t a : lo c o u r a c o i n m c r SeUl A g r i l l I»PIII 1rs |n»*lrs discipline admirable possède toutes hrlltoli | 2 0 0 2 , é e r i t o i r e , J o l i u l l ' U r i c i i , liai seph. Ces deux dames tiennent en leurs nouveaux costumes la visite de M c C t a i r , ( îlouccstcr* A B O N N E M E N T S REÇUS eitd ot )•- count OIMWI(|UO< Le courucoiiiincr honneur le culte de la langue mater- MM. Regis Gagnonet Paul Dufour, les conditions propres a la faire arriver imby Hiver | | 1 8 3 t , m a t te, Ë X o s a r o v e , N e l s o n M A X Chinaaon, R i e h l b u c t o V i l l a g e $ 0 5 0 rial 1'iiiupri-inl ipiatn- Bliiiocu; l« couru cliui' Cld A u g 2 S , sehrs F . l w a n l B l a k e , T i n g au but que son divin Auteur s'est 4 8 3 1 , e s s u i e p l l l l u i , Joseph K. (.'.'Unlet, M' nelle, el les démarches qu'elles font ecclésiastiques du Collège St. Joseph l e y , P i c t o u ; C a n d o r , S w i m , l ' i c t o u ; I tia dtquo eat DU o l m j HUH. CHARTER O A K 30 proposé en fondant son Eglise. Or, c o u c h e ; "21103, souliers ( N o . 1), ('lenient Celiiao A A l l a i n , StCaatlti IWUR l'instruction de leurs enfants sont de Memramcook. m o n d ) S w a l n c , S y d n e y ; 2 " , brig A c a d i a , Ce sont deux en cette milice, cette armée d'élit J . N u l I'liivi' n'eat a d m i s nu couru ctaani< C o r m i e r , jtogel-sville ; .'t'.'l'R, Imite (le papier I 01) S i m o n I. lîourgeoi», Coenutio Du p l u s , UN IHUI BMortinwnl île niaguiityuea M . u r i l l , P I c l o u ; s c h n l l a t l l e R , B o u d r c a u , ipii* ipi'il n ' a i t iiimpli'té s o u c o u l a c o n m i e r un bel exemple qu'on pourra méditer fants du Madawaska. M. Dufour doit c'est le clergé catholique. J o s e p h A. I l a b l u e a u , ! G a n l n e r , M a s s . ; 1811 1 0 1 ) S y d n e y ; 2 S , schr J o e K i n n e y , F X I.T-ger, ItarnchiiiH McClair i-ial. Li's laiigtien fraiirai^- i-t nngbiisi- v en Acadie. entrer au grand Séminaire d e Quéilossirr d e c h a i s e ( N o , 21, J e r e m i a h U o u c e l , ( i l o u c e s t e r ; 3 0 , s e b r s R o w d y , For l i e s . W o * hi' POKI.KS P O U R SALON* MINT l'objrt d'uni- i-gale .sollieilinle. RIIILINA D U U , N . 1>. d u LAE 6 0 J e vous remercie, Messieurs, de Rnattco, bec pour y faire sa Philosophie et sa H a r b o r ; E v a M c , M c i ' a i i h y , P u b n t c o j ,;i I. ('oiiroriiieiin-iil i n n ri^'h'--* DR ril.rhli.SVE. Geo Ilei-nU, •• ET CUISINE, P E R S O N N E L Théologie e t M. Gagnon retourne au l'intérêt que vous ave/ manifesté en s c h r s B o n h o m i e , H e v c a u , B o s t o n ; L.111.1 C , im-nt, I'iiiHlnit'tiou ELIIKSI-pie eointiiunii|Ui>r A U T R E S LOTERIES 1 ut) ( t t u n d m a t k , S t J o h n . P A t'loutier, •' Collège St. Joseph pour y enseigner acclamant le toast porté au clergé, AUK I'li'IVI*H -MILL IKVSDISNIILH'i' DI- Prsprit eliri'CIIAI'I>IF;I;KS, TIIKIF:I:I:S, (.'ouverteile Mile I ) . B u c k l e y , H e n r y Murauquel j'ai l'honneur d'appartenir. 1 0 0 H i l a i r e P e l l e t i e r , N I ' , Kdliitlllilatotl A T at H a l i f a x , A u g 24, K h i J a n i e R, tii'ir et i i i t i T p r i t i • • mi point »b' vin* n l i a i e t t x . M. Vf. 11. Yail, autrelois ministre une classe d e latin. M. Gagnon est n*/, Kugeraville ; eotltttill ( N o . 11, W i l f r e d i ' I I A I ' L > R ( i N S , Kn-., Kn-. 1 0 0 Bruce, Shelburne. i>. IT11 I'LI«ve arrivant D ' u n a n t r e i t a b l i s s e . W J O'ltrien, l l a l l n i l s t de la milice, est en celte ville depuis un élève de Ste. Anne qui a donné Vous avez deviné la pensée que je l.eg,'re, Hogrrsville ; I-UIIKOII ( N o . 2 ) , lf S i d 2.1, barcjne t i e o r g e D n v b i I M I'hila iiii-nt n u i r , i pn-MUtir u n c r t i f u - u t d e b o n n e voulais émettre, qui est celle-ci : lc .10 Mixta J I / ' l l l a l i e . '•' I l'ère l'ellelier, S t . L o u i s ; m o n t r e d'or, I>.Il'éducation a nos premiers prêtrrs quelques jours. d e l pi d a . roii.Inib* da I n part d n |«ésn*denl d u dit é t n clergé est le meilleur ami du peuple. l l l i u i i p i e d a l l a n t , I t o g e r s v i l l e ; l i u i l l i e r e l l ar- M m e M a i 1' 1'oiri. r, l'."U. l u i i e h e . . 1 00 M. 11. Jones, député fédéral rxiurlc Acadiens. A r at S a l e m , A u g 2 2 , schr l ù i r e k a , Del* bli^si-nieiit. A g e n t IT h 1. • xmniniiA toutes les époques de la vie, le g e n t , A g n e s Keellftll, CaUlplH-lltoii ; m a i s o n F. II T h e r i a u l t , Kohirhaiid I'll 1 0 0 pi.:', W e y m o u t h . comté de Digby, était en cette ville ti. Len lattfea e t e n v o i e ndrcuaea a n i élo> ITLV.ITTIUI I d e |HIUR lr I-c Ifcv. M. Joseph Ouellet, curé prêtre se voit à côté du chrétien. le siiere, Pierre CaJaîle,jItogaraviUo J Kufatit AT at B o s t o n , A u g 2 2 , schrs Knltan, Rtibi- VT*, nu T ' \ | * T D I I S |«.ir i ' U \ , MMIT s..IILUI*t H P i n . 1 0 0 L e a n A l l a i n , Itolleloii'-lie jeudi dernier, de retour de Hear River de Ste. Marie, Co. de Kent, est au du maguii Hteillenret J e a n s , M a g g i e I t o l l i e e , Hooeravilla ; b o t t i n e chcau, Meteghan; Ariel, Nickeison, I.ockeQue la cloche du village annonce s ] » i t i i u i d u Pri'iident O H d e M M deU-gll*. [1 b- p h u m li*|in' I oii il était allé s'enquérir a propos d'un Madawaska pour une visite d'une 1 .11. i w r t . o r n e m e n t é e , M a g g i e M e l ' h e e , I t o g e r s v i l l e ; Mine I V s i r e l a ' l t l a u e , \V A i i e l i a t . , 7. I*i'.-* parenta recevront à c h a q u e t e n n e par ses joyeuses volées qu'un petit l i v r e île prières, 'J'illie M e l ' h e e , H o g e r s v i l l e L o u i s 1. Lager, C u c i g u e quai 1 00 S i d from S w a n s e a , Attfi 22,bnitpSC l l u r y quinzaine de jours. Ses parents et v o g u e ••aimi h- g r a n d n o m b r e d'aulréa *'iû1111 bulli-tiii oonatatanf lee progrèa, l'applien 3 0 B a i l e y , Hi a t , B a t h u r s t , N i l . M. Anselme Cormier, de la Petite ses nombreux amis seront heureux de enfant vient d'être régénéré dans les t é d'or, l'aeitiipie Araeneau, B o g e r a v i l l e M i l e Sara i i i i " i i . u i l . l'II'agiiii l i a r . . t i o n , In c o n d u i t e , l i s a n t s - , alnai r|ne w a i U > ntOIIHj atijouiil'liui f i l llsiigii. iln si, i chai**,., Hev. l'ère M e a l i a n , Moue AT at N o r t h S y d n e y , A u g 2 5 , u n i q u e Venn* ] .hi Kivière Bouctouche, N.-Il., était de le revoir après douze ans d'absence. eaux du baptême, vous savez de suite t o n ; s e r i n s , Mile Hngcr l-'laiiagan, C h a t h a m Enaebe Chlassoii, Little Hiver, (.'11. penaea d e l e a n i n f a n t s . KttclUi P e a r y , B u e n o s A y i e s . D. Lea é l i v e a f|ui n*arrivu-ut quNiittca la A g i i i t |wiii b u *s»lrbn'H passage sur le Secret vendredi dernier M. Ouellet est frais et bien portant, que le prêtre est à son poste. D e 1 00 ortléiill, C a l i x l e ChlajSOII, Hogersville Nectaire M a i l l n , » A r at R i c h H w c t o , A u g 2 5 , I n r q u c i M a d * r e n t r a i r é g u l i è r e o u t droil à n u e ddduetfon de retour de Crand-l'ré, N.-E., en rou- on est toujours charmé de le voir et jeunes fiancés, rayonnants d e bonheur l'alilltere o t n e n i e n l é e , l . i v a i n t.'. V a u t o u r , Si Luc Clilasson, 1 0 0 r o d , F u l t o n , a n d K o n o m a , ' r i i n m p s o n , Liv" de prix p o u r le titup-I écould ; m a i s totll m o i s et suivis de leurs patents et de leurs L o u i s ; prix île f è v e s , J o h n M o n a l i n n , N e l erpool. te pour chez lui. sa présence évoque toujours les noms 1 00 Lubniti '1' Chliuwoti, " iiiiliniinri' tloit Ttle |>ayé e n i-ntier. C h i 2 4 , barque V a l u n a , A n d i e w s , L i v e r MM. l'elton & Bingay, avocats, du des autres enfants du Madawaska. amis, se rendent à l'église afin d'être son ; itortrait d u H e v . l'ère K i e h a n l ( N o . Il, Kdouortl Itamord, V. On reçoit u e i dleven .'i a u c u n tcni|Wi île 1 0 0 IXji >l, " M d e T h . (.avilie, I t o g e r a v i l l o ; o r n e m e n t ih unis par les liens du mariage ; là se Yarmouth, N.-E., étaient en celte ville MM. Ouellet, Micbaud et Pelletier, CouvorLs Marbres è M e s Uealis, Fannoo. 1 00 " trouve le piètre pour attirer sur eux s a l o n , (leorgu b i v o i e , Hogersrille ; portrait Aimi'-iIi'i K O i n i i i i T , 10. L o i paii'ini-iiis M- font e n i|untre jeudi de la .semaine dernière. trois véritables apôtres qui n'oublient illl H e v . l'ère H i e h a n l ( N o . 2 1 , A d o l p h e Ar- S i m o n (j t'LIIIIKSNII, 1 00 ** Vriir-' voir ne f û t - c e <|ue |ionr v o i r l les bénédictions du ciel. t e n n e e , Invnrtnblentent d'nvnuee, e n or ou e n .M. H. C. Creed, A. M., professeur point le Madawaska—bien qu'ils en -eneall, H o g e r i v i l l e ; | i e t i l l i v r e d e sucre, " I 00 aigent \ 'Le glas funèbre se fait entendre. l l i l o O d i l o n Mellaril, H o g e r s v i l l e ; p e n d a n t ! W p l i L i l l i a n . - , agrégé de l'Ecole Normale de P'réde- sont éloignés. J oseph Ethier, 1 1 . Dea irltgfenarg d o n n e n t l e n t a t t e n t i o n I oo Le prêtre, où est-il ? Il est au chevet l'oreilles d'or, E d w a r d foUInne, W i i i n i j e - g . Tlioa M Itoooli, Obcllctnip ricton, N.-l!., et son fils Harry étaient nu aoin e t A la propreté dea j e n r t n e n t a n t a Le Rév. l'ère l'erquis, C. S. C , du de l'agonisant, il est à l'église, il est au Miwfft I toil'I rut, '* Wiyiiioulli lind^.', N . S. 1 00 de passage sur le Secret jeudi dernier, Collège de St. Joseph, était en visite ntis^i bii-n nu'iiii lingi' »l«-s é l i v i •» e n g e n e r a l . N . I I . - I . e s p r i x c i d e s s u s s e r o n t liLen denii-penajonnaiTeM e o n c h a n t nu C o l . de retour d ' u n e promenade à Wolf- ici ces jours derniers en roule pour la cimetière, occupé à rendre les derniers v r é s à d e m a n d e o ù e x p é d i é s d ' a p r è s C'LT.I v Moiii>otir<]u< t t e , l / A n l o i a a t.<- o « riiici- <-i !<• I M c l l l c n r 1 Mll<- l'hil n«- .1 l U l i i i . ' . m , S t . I T H . i l i 1 0 0 l i g e , pair ut riiu'ii utti* R . r i t i n s [HUIT l'usjipville. M. I. I!. Oakes qui était aussi Rivière du lxnip. Lc but de la visite devoirs à son cher paroissien. (le I» S a i s o n ! instructions reçues d e s intéressés. I , À. d n lit. abord a accepté la position de princi- du Rév. l'ère était comme c'est la U n grand malheur vient de frapper M . I'. Richard, l ' i r e . Pour \'. ftiiipl.s inli>ruiatioii*I t-'inli* s-«i n MARCHAI'U-DETAILLEUR, S H A R P ' S B A L S A M pal de l'Académie de Wolfville, N.-)'.. coutume chez les Pères de Memram- une famille, une paroisse ; le prêtre C. L U F ' l - J D V H K . C.S.C., C o m p o * n ( l ' u n i - , e t d o p l a n t e » A i. ; < i • •• Il prendra charge de cette institution cook, de visiter les différentes familles est encore là, prodiguant toutes les REMERCIEMENTS Church-Point, Baie Ste. Marie C O R B E R B I E , I V *J DR Ut cet automne. l i M" gucrit p-is TI.'I'I". l e s m a l a d i e s < \ n'est |ui envoient leurs enfants au Collège, consolations que sa charité peut lui Le pasteur de Rogcrsville ainsi que (vas u n r c m è t l c d'hirr. Il est e n usage i l M. Harry Schofield, d e la cité de afin d'encourager les parents et de inspirer. Ntil'S VENDONS I puis q u a r a n t e a n s , Kemèile agréable i J e u d i , 11 Septembre, '88 MM., le temps que j'ai .\ ma dis- ses paroissiens désirent exprimer leur St. Jean, N.-l)., est passé ici vendredi faire une nouvelle levée de leurs suil Kui'rit p r o o i p t e n e n t l e C r o u p . T o u x profonde reconnaissance aux amis position ne me permet pas de dernier en route pour St. Jean. et Rburoet* l a C o g u e l u c h e c l la Diphtheric* jets pour lc Collège. On a généralelit ci mut nirt inn i|i< I'Kglis** l'IMX M O D E R E S I M m e EmmaGravelle, de New-York, ment, et je pourrais dire toujours, (pie m'étendre sur les vertus et les quali pour le patronage accordé à leur ba- S H A R P ' S H A L S A M M A N U K ' t ï C I K . Prill r uiilerO.«UIIH K. S t . . b u n BiiptiHle. Nous reconnais1" F, eouneigné' offre «m v e n t e u n e e x c e l l e n t e du clergé catholique en général. zar et pique nique. et sa S i e u r Mme veuve Robichaud, des compliments .à l'adresse des bons ST IKAN, N . . 1_J ferme s i t u é e dana u n e m l r o i t c o m m o d e sons que n o u s sommes immensément F A R I N E un FLEURI BLR ITINDKI de San José, Cal., sont passées en cet- pères qui se dévouent avec tant de Qu'il me suffise de vous rappeler en A M U S E M E N T S mi grand n o i n b r o c l v a - dr W i i t e r l o n l , C... DE IH^BY, N . K . KIIi te ville vendredi en route pour Hali- zèle et pour une si petite rénuméra- quelques phrases son ministère vrai- redevables à nos généreux patrons qui GKOCEUIBSI rié*. Hansen, p'Vtii', pnniii-nudi-M mu la ri- «•ntitii-nt ïlfiO aerit* d e trru* Hiir LRT*ipleb nuit s'intéressent à nous et à P i e u v r e de la BUT if:, d e u x l i o n n e s ré-mlnier privi-ea, d e u x fax, où elles doivent faire visite à leur tion à l'avancement et à la diffusion ment apostolique parmi le peuple rivière, etc., etc. colonisation, et nous prions l'Auteur pinifii-s, un* f i i i i i e e t ntitreu K'itisuen e n bon MUHÙ'Uu di' t o u t e '-nit--. s i e u r , la plus ancienne religieuse aca- d'une saine éducation parmi notre po- acadien, si dignement représenté a .TIa;I,ASSI';S : siimmvs I de tous les dons, qui ne laisse pas un lU!raii-his.spniiiits pout 1"« gi»'it« plufl éttit. C e t t e f e n u o eat a m p l e m e n t fournbi d e cette agréable fête de famille. dienne de la Nouvelle-Ecosse, Elles pulation française des trois Sieurs. bois d e eh au trille (troit a ipmtrr m il I»*** i-iirUfficitea. verre d'eau donné en s o n nom, sans C. C . K K I I A K D S * C I K . , retourneront dans leur foyer après N u u s aolietotia l l a n e l i e a d e diflSreiitee ipiiiVoulez-vous connaître l'histoire du K l l l n e Mir 1RS l i e u x , *J6eti*. Hilirr IT '.'III- ij- • -!- buis franc e t m o u ) , BUIS d e eonatrue* Hector Cameron. M. P., était de récompense, de bénir el de combler MESSIKUkS,* J'at fait -II..Tr;e î l e votre MI* U o o . e t rut a v a n t a g e u a e m e u t Hitnée s u r 1rs litéa, Itnis dr c l m u l l i t g r h 1m eorilo, ( R u f a , quelques j o u r s de visite .H Halifax. clergé en Acadie ? passage ici ces jours derniers en comde faveurs Célestes tous ceux et celles N A R I i ' S I . I N I M K N T d a n s m a famille >er, 2 5 i l i u n i n . KnfiUit.s e n ban d e VI u n s b o n 1.1 d e In Baie S t e , .Marie. llenrre et antrea produite. Lisez l'histoire de ce pays ; chaque A nioilii prix d i m s totti l e s caa. f.c Dr. Jones, Rédacteur du Digby pagnie de John G. McDonald. On I Î M I I L I a 1 IONS Si*atoiAUOf. — M é r i n o a , pii ont contribué au succès de notre p e n d a n t plusicut» anni'e.% et j e c r o i t qu'il est C e t t e ferme eai e n l»"ti i t a t d e c n l t n r e : o n N . B . — S i le t«-ni]IRS n'eat paa f a r o r a l i k tiCornier, s'est embarqué sur le Secret croit qu'ils ont eu une entrevue avec page vous mettra sous les yeux des organisation. • le m e i l l e u r r e m è d e en v e n t e c.it il fait tout T w c e d a Aindalii et Keeanase, Drapa d e c o u l e u r l l , b ' piipic-urjiH* ei-haiit MtU i r m i s 1111 p n - . pent y n - r o U n d r 3 0 à 10 t o n n é e d e foin par c e jxnir l e q u e l il est f e c m n i n a n d r , en ointe pour St. Jean, lundi dernier. J. W. Cram, N . 13. Railway Co., preuves éclatantes du dévouement et noire e t bleue, r t e . , I n d i e n n e s , n ht m o d e , a n n é e . 1*-H rugrai-* eonl b c l l e a à o b t e n i r , e l n i e r bean J e w . lionliciir, prospérité el succès à tous I-tela rte, et u n e g r a n d e v a r i é t é d e e n e e e e e n i U n i kl K i I'.KM K A I I . h-s a v a n t a n e m a r i t i m e s d r l'endroit t o u t e z pour localiser la station a Edmunds- de l'héroïsme dont le clergé n'a cessé nos généreux bienfaiteurs. de donner l'exemple. En effet, quelle cdlenta, II y a n n e b o n n e é c o l e û u n d e m i UMIge d a n s 1rs f a m i l l e s . Cnnaati F o r k s , N.-lï, OBITUAIR.E U I S T A I I C A X T i>oi< I ; T ton, du chemin de Témiscouata. M. K R I C H A R D , Pire. m i l l e d e d i s t a n t e dr lu iVrim-, r t Fé^lisr e n . est la patrie du ministre de l'autel ? $0' Venea el raHotatacei | m n roua rueniea. J O H N MAt»i:k, tic M a h o n e H a y , n o u i i n Un convoi transportant lesanimaux, tliolii*ni- n'i-u »».t rhii^iirf *[iir D ' u n m i l l i - r t Rogcrsville, 25 aoCl 1888. MILL ST., PORTLAND, N . - I I . forme qu'il s'e^t puéri «l'une d i t e a t t a q u e î l e ("est avec douleur (pic nous enre- chevaux, moutons, porcs de race ache- C'est le lieu où il y a la plus grande demi. K h u m a t i s m e r u u t i a u l usape d u M I N A U I >'S gistrons aujourd'hui la mort du Révé- tés des vieux pays par le Gouverne- somme de bien à faire ; c'est l'endroit Hrlix fulliillfs i n plus j u t i v r i i t hVtahlir I.INIM KNT. I T U É à urn- m i n u t e d e i i i a n l i e d e la S t a A B A T O N S R O M P U S rend Frère Adrien—autrefois Donald ment Provincial pour l'usage d e la où l'appellent l'obéissance el le sacrit i n pont r a e q u é r i r e n tout tion L C . R. «'t d m i i ' i n r restiUIDiiit dtl sur c e t t e ffriur. fice. fui « u n n r t i a n v e e <iu eana le foin à d e bonnea !.. McLeod—arrivée h Haltimorc, Ferme modèle et des différentes sot«î d e P o r t l a n d . I;- ; • h tmiti' h r u n - . L'Ecole Normale de l'rédericton, eoiidittoiiN. Il ne faut donc pas s'étonner de H . i i t r r s INUKTAMTIII-nt 1-11 m a i n s , I x a j u u n u l vendredi, le 16 juillet, dans la trentiè- ciétés ont passé par Edmundston ces Pour p l u s a m plea Infeewaliunte nu | m i t N.-]!., a été réouverte lundi, le deux h i- :i niareliii. U n e visit*- (tolliiiti-r. me année de son âge. N é g o c i a n t . jours derniers. On vante beaucoup rencontrer le prêtre au milieu des courant. H'uiIri'HSRR n u bureau DR I / K V A S O B L I N H u n ,H»HN* D O F C K T . l.c défunt était fils de M. Neil Me- l'achat de gouvernement tant que pour premiers colons qui aient foulé le sol mi ttenaaigné : acadien. ta mission de l'Eglise Lend, de llroad Core Ponds, Co. In- le choix et lc prix. M. et Mme LuW . C. D E N T O N , l i e n t roiislniiiuirut r u iiixiii A West Head, Cape Island, le nouL ' E M U L S I O N .].- P U T T N E I t Wiitrif. r.l, Oo. D i g b y , N , E, verness, C.-H., neveu du Rév. M.Win. grin étaient de passage ici en même Romaine, la mission du clergé est M u n i c i p a l i t é de Clare M juin, '80. Non veau phare a été inauguré lundi soir, P o u r 1 r s . Foninirim o t I n n E u f a n t n d o McLeod, de Pubnico, N.-E., et un temps. M. Lugrin comme secrétaire essentiellement civilisatrice. llloatu Fournitures de Salon N E A S S E M B L É E S P É C I A L E du Coufrère du curé actuel de Main a Dieu, du liurcau d'Agriculture était venu seulement les besoins spirituels, mais le se du mois dernier. prouvera won ellicni-itr ; r]]* nStaliltra 1» tv»nt<f. BRIL Miiiiiripal \»>i\r LA Muiiii'ipulit»' DR Cil. rencontrer le convoi afin que tout fut de plus le bien-être temporel du peuple DE C H A M B R E S - D O R T O I R S , C e u x q u i «outlreiit il»' la débi l i t a KiMl^Mle, M L'assemblée annuelle des instituC l n w fut tenue a 1 h A t e l t l e v i l l a tin Glare, l e frère Adrien est mort des suites transporté en ordre. M. Lugrin est sont l'objet de la sollicitude du misteurs du comté de Westmorland, N. r a n o i n i e , e t des uialadlffl porUeullirn aux S A M E D I , lr lrte j o u r d u 11min d ' A O U T , sionaire catholique. Cabinets de Travail, Etc, Etc d'un mal de jambe qui le lit souffrir un grand amaatcur d'agriculture. différent*», f ô i e n , tfOUVerOUt qui' OM Keiiwv- 1 8 6 3 , neloii L'rtvis jmur tin d e iioiiinn r dea PETIT-RUISSEAU, A peine quelques courageux pion- 11., aura lieu à DoJchcstcr, le 27 et le tion.i dé*uu^r''nldr!* et ininiiétiinti-H iliHpariii.s rwsi'shrurH D'itu|HITH d e comtt, **T u n bureau d e pendant longtemps. 28 de ce mois. niers ont-ils pratiqué une trouée dans s o n t p a r l'uaiicedfl I/KUULSIOV \>r. PUTT r i v i a e u r a et d'appel cnnformiîmont mi c l i a p '.' HAIT. S A I S I I ' - M A M I : , N O I ' V K I . I . K - K I - O S S K , Amortlnmiit complet en IIOUIOU nini|deiiient l e s Àrti'H d e 1 8 8 3 , u n nete 1-11 v u e D'aini-lidi r NKIC. la foret et procuré un modeste abri à P E T I T E S N O T E S TININ en bols de James Croucher.de l'rencli Village, e t du nuis*>li* 1er 1*H a e t m relatifs n u x n.ssinsrKilo r e n o u v e l l e le t e i n t r)irr. Irfl enfalltH. leurs ramilles qu'une humble chapelle, D E S A S T R E M A R I T I M E E U e l e u r e s t e u ruinie t e m p s n n e rmurriture n t e n t e m u n i e i p a n x . Lee p e r a o n n e a a u j v a n t e a " V e n d e n Detail C H E N E , Il y aura environ vingt étudiants couronnée de l'emblème du salut, Haie Stc Marguerite, a célébré le 100 precii-UM-, e t U i l'diinrnt l o u t , f u m i t iionini*-es iu**eA.si-IIRN par ordre d e D i s 1.% m a t e l o t * d o n o y o . dans la classe Frèshman d e l'Univer- s'élève audessus d e s autres habita- anniversaire de sa naissance lundi de HOT* Pi-majnlez-rn il votre J'Imrumrien. t r i r t : So. C, S a t n r i u A . Qattdet : M a 10, — X NTBH — N O Y E II, sité du Nouveau Drunswick cette an- tions comme pour les protéger et si- la semaine dernière. A peu près 20 E l l e e«t e n t i è r e m e n t d i W e t i n t f dt-i «utnin ferre F . Boni-neuf : N o . l l 8 A v e r i n M e l a n - > Une dépêche de Stc. Klavie, en bas n é e . gnifier que sa destination est la plus de ses amis s'étaient réunis chez lui >K-|«ration% e t r*»t snp[xirtnl>lf m ê m e jiar e o n e t Philoiurm R o M c h a n d ] N o . 1 2 . A m * p u i s : M O D E R E S de liimouski, Québec, mande en date F R E N E , E t c irn efitoniRe^i len p h u délie»In. Ainni v o y e x b r o U c J . D ev e a u et R. N". B e v e t r i d n e ; N o . pour la circonstance. haute et la plus noble. von.1 d o n n e e*'ll«—de rUTTNKK— l-l, Hainca S a b c a n ; et •••:.! c o n a t u n e r n u du 28 du mois dernier que le " S.S. Parmi ces personnes étaient des qu'on F A R I N E D E FLEUR, Ce fait a été bien des fois vérifié deLa recolle dans le comté d e l'ictou q u a n d voiut e n '1- m.iii'I<t. Kn Tetile e h r e BURPAIT d e n-vision et *t'np|**-l : J o h n B. B e l liratsberg," chargé d e charbon, en enfants, des petits fils et des arrières toiw le.s Vharmtvienri. Prix OOrtn. 1 l y r e a u , A . i l . M e l a n e o n , J o h n Z. L r B l a u e . SOMMIERS, BLÉ D'INDE, route de Sydney, C.-R., pour Mont- N.-E., est meilleur celte année q u e puis la fondation de l'Eglise. Par i.nlrr d u C o n s e i l , Mais l'ancienne Acadie, plus que petits fils du centenaire. réal, a heurté contre un rocher près pendant les années précédentes der< I I M variai a l i G R O C E R I E S . A . M. COM E A U , BUREAUX, tout autre pays, a éprouvé d'une NAISSANC3 de Cap Chattes et a été considérable- puis longtemps. cl« te M u n i c i p a l , l . c l ) r . Mi Kay, M. I'. P., voyagant manière frappante, l'influence bien P ISS I N K S , Clare, LR 1 S o m i t , A . I ) . , 1H82. ment endommagée. Elle fut imméde Bridgeport aux reserved Mines A u 1 "ci it Korhcr, l e I Q c o u r a n t , Ha-la me Molaccos, Sirop:, Sucres, Tho. Tabac Près de la station de West River, faisante du clergé catholique. Dès pendant la tempête du 2S ult., est en- D r . K. X . C n m e a u , un (;arçun. diatement tournée pour la terre et elle rétablissement de la colonie française B U R E A U X D E T OILETTE, s'atterra samedi le 25 tilt., près d e N. E., un fermier du nom d e Donald ot Marchandircs Sochoo. tré dans une maison pour faire visite L I B R A I I I I E Ste. Félicité, neuf milles en bas de llaillie a |>crdu tout son troupeau de dans la Nouvelle-Ecosse, le prêtre fut TABLES-CENTRALES, M A R I A G E S à l'égard des fidèles confiés à son zèle, à un malade. Pendant que le médeMatane, d'où le capt. Neilson télégra- moutons. O s malheureux ours! — I)K — tout a la fois pasteur, avocat, institu cin en question était dans la maison NmiM aclieloiM jilunrhm (la illITdnuite. '(imGARDE-ROBES, phia le lendemain a Québec pour du A Gardner, m.i. ... l e 2 0 a o û t , par l e celle-ci fut frappé par la foudre et le K é v . M . lîianntle, M. J o s e p h llouryeiuï. ft teur, juge, notaire et conciliateur lit^H, lioin iln ohauflaga i\ la imnli', ii-nri, secours. Dimanche soir une affreuse Dans la tragédie sur la rivière T o Y A E M O U T B Dr. McKay reçut une blessure à la entre les partis opposés, llesoin n'est C o u chettes M l l e I.ir/ie C. Itihxleau, tous d e u x s a t i f i d e tempête commença, et le jour suivant, bique, N.-H., la sœur de Phllipin et bonrro et a n t r e , p r o d u i t . , le capitaine et deux dames furent obli- son frère donnent témoignage de cul- pas d'ajouter que, sous un régime jambe et fut autrement gravement C c c a y n e . A ( i r a n l e l ) i j ; n c , le 10 « n u l , |»ai U- U. 1*. •Siinjilrs r t nut rit*. gés d'abandonner le S.S. liratsberg. pabilité contre deux des prisonniers aussi pacifique, régnaient partout la blessé. E w a n & Cie. I.--;: Monsieur F e r d i n a n d S . d a l l a n t A paix, la simplicité, le contentement et L'équipage composé de 1 7 hommes accusés du récent meurtre. M l l e H é b e r t , Idle d e Monsieur L a u r e n t , ti>u*> F a u t e u i l s et • bel - M do Jonc vt Riittee de tnutfls la douce amitié. Il n'y a que le doigt U n e goélette qui faisait lapcchcsur d e u x d e la dite paroisse. Honneur aux nouV l d o r l u Illock, lf/. / . / / » »I resta abord jusqu'au vingt-huit au maM n l n H t r o o t , 'JflOitf JOIt. TOUJOURS EN MAIN : de Dieu qui puisse opérer de sembla les bancs de Terre-Neuve a été, écrit v e a u x é m o i * v n r i é t r i r t lOOJ Iri • tin, quand ils commencèrent a. crainIjl compagnie des mines Cowrie, .\ A la C a i t u ' d r a l e S l c . M a r i e , H a l i f a x , l e 2 7 le capt. Nelson, louée par une baleine F o u r n i t u r e d e S a l o n . dre pour leur vie. l.c steamer com- Cow-Bay, C - U . est sur lc point d e blcs merveilles. Toujour** «MI m a i n u n n-^ortiiiu-ut runi|ilrt u l t . , par G f i c c M-;T O ' l t r i e n , assistée d u Un iBMwliiiMiit eornplet de qui a accroché l'ancre dans sa gueule COINS E N C H E N E . mença a se briser, et les hommes du faire construire onze fourneaux pour • •• . .i d r ( o t i t i s K»rt<-% llli:rilir><t, rtnirrs J e le ré|)ètc, lc clergé a toujours été, R é v . E . F . M u r p h y , J.IS. W . , fil* d e l'hun. et l'entraînait hors de vue des dorées ji roi>*•.•*, •• .r: )•.•::• vnrir***», plum*-**, iVun», Wtn'MOUTII-BRIDOE, N . 8. bord débarquèrent sur deux chalou- la manufacture du charbon désulphu- aux heures les plus orageuses, lc Moïse M . J . P o w e r , orateur d e l ' À i s e m l d é e - L é i ' i s * l ly drntrllrriis, f i e . , etc. pes, mais peu après leur départ du ré, le charbon de la localité étant pro- du peuple acadien, qui n'est pas sans de la goélette quand on s'appCTÇUt l a t i v e , a M l l e . Ajoncs Itlair.lillie d e M . J a m e s quel était le remorqueur invisible. I-a W a l l a c e , d e Halifax. I'lu*ii*»um r o u t u r i i n ' s KOIII n n i i l o y » r s d a n s vaisseau abandonné, les chaloupes fu- pre à la manufactute de ce genre d e quelques traits de ressemblance avec I t dfjtfirtt n u n t à nbee de 1'ntrlirr «lr M l l r . D . F O N T A I N E , rent chavirées et 15 des hommes fu- char lion. le peuple hébreux.lc peuple choisi d e chaîne fut rompue et le monstre conIlouiRroii. X'tio v i s i t o fuit t o u j o u r s plaisir. D E C E S rent submergés. Douze cadavres ont Dieu. Les Hébreux ont dû passer tinua à fendre les ondes a p n t toujours R O G E R S V I L L E , N. B . Mllo. SARA BOURGEOIS, Mod. Fournitures ( ilnasiqucs été recouverts et une enquête a été par de longues et rudes épreuves avant l'ancre dans sa gueule. C'est pas trop A M o n c l u n , l e 22 août, a l'Age <le 14 a n s , lu t o u t r s siirten, l't lllir TURII'ti'' il'.'irtirlrii il< bëtc jiour une baleine? Le chemin de fer de la Rivière du ouverte L'assistance demandée de d'entrer dans la terre promise. L a ('OIIHTMINIKIIT n i m a i n s : 6 m o t s c l 17 jniii •, et m u n i e tic t o u s les s e fnuUisir. H A T H E W A Y & O i e , Québec n'était pas encore sur le théa- Loup, Q U E . , sera ouvert au trafic nation acadienrle, après de terribles cours d e la r e l i g i o n , N a t h a l i e , tille d e M . Marchandises Sèches, GroceI * traité des pêcheries,comme nous Charles et M m e H e n r i e t t e L é g e r . ire du sinistre a huit heures ce matin. vers lc quinze de ce mois. Ce chemin vicissitudes, arrive enfin, je le crois du de fer rapproche Montréal et l'ouest moins, au terme d e ses malheurs ; croyons l'avoir déjà annoncé a été re- A u Petit 1 I;.r: s , m>courant, J e a n - E m - L I V R E S D E P R I E R E S , 22 Ceutral Wharf, BOSTON Mass, ries et Quincailleries. A n g l a i s o t F r n n o a i s . Canadien de 50 milles plus près de une ère nouvelle se lève, la terre pro- jeté par le sénat des Etats-Unis par m a n u e l , â g é d e 2 nns et 7 m o i s , ni* u n i q u e Marchands à Commission et AfembttS d e Ktiftin cl A d e l i n e R i c h a r d , L'enfant Les rapports concernant l'améliora- St. Jean qu'ils ne sont d'Halifax, par mise parait h l'horizon, et le vent d e 30 contre 27 voil!. C'est c e que l'on était t o m b é la veille d a n s u n e c u v e d'eau K / ^ v Viinttt-noua voir ! ilÉD BOWES I MÉDECINES I de i Association Com me m'aie. voie Intercolonial. la prospérité commence h souffler sur peu appeler un stricte vote de parti. bouillante et e n fut retiré p a r Min |>ère aussi tion dans les frets sont des plus ennos campagnes jadis rendues fertiles Ce rejet du traité fait sensation a u x p r o m p t e m e n t q u e poMtl>te; m a i s avant qu'on courageants, de même que ceux qui ChauHBuros o n Cuir it lui e n l e v e r s e s v ê l e m e n t s il étai: d é j à E w a n *& C i e . , N O U S ont trait a la construction des navires. ta steur de l'hilipin dit q u e Traf- par les labeurs et les sueurs de nos Klats,méme en Angleterre où les jour- lorrttilcmcnt A C H E T O N S brûlé. Il e x p i r a l e l e n d e m a i n ot o n C n o u t o h o a o , naux en parlent beaucoup. Faut eslon a tiré lc premier coup sur la per- glorieux ancêtres. d a n s l e s plus a t r o c e s souffrances. K y c m o i l Itloi'k, . " t a i n M r i i l . l ' a l a d - , I'oIhmoh, IMviix, et C h a p o a n X , C a a q u o s pérer que les conséquences de ce resonne dont nous avons rapporté le A u C o u v e n t «le S t . L o u i s , l e 31 j u i l l e t , Mais il ne faut pas anticiper sur les Un journal de Charlottetown, Ile meurtre, sur la Rivière Tobiquc la seI r n i i T - c » lie i l i r i a i n «le Ter jet n'auront rien de bien grave en con- M a r i e J u l i e D i î g t e , fille b i e n - a i n i é e d e C a Y a r n i o u t l i , H . F.., 2 0 Anflt. événements. du Prince Edouard, dit qu'il a plu maine dernière. Il est rumeur q u e HARDES FAITES, ETC. I t u IN î l e C I I I I » ! r u c l i n 11, 1.a I séquences |)our les deux pays plus l i x l e O . D a i f d e , d ' A c a d i e v i l l e , N . - B . , à l ' à c e Il me reste encore à réveiller les presque continûment en celte cité ded e 9 a n s et 5 m o i s , aurcs u n e m a l a d i e d ' u n I c- , 11 a ni a i i l et n i a <<i i l e les accusés plaideront coupables. plus nobles souvenirs, les plus im- spécialement concernés. Tout n- qu* r on ;n*ii/ itchtter dans un MO m o t s soufferte a v e e rtSt^natioa et m u n i e d e puis le quatorze de juillet. Une granr e n i n , ]m>Innoii kcIo Des témoins seront assermentés pour périssables gloircsdu clergé en Acadie. ffiitin puerai. t o n s l e s s e c o u r s d e l'église. Rlle a été inhude quantité de foin a subi des domC t n u n s V C U l l o l l H I^c I'iquc-Niquc de Houctouchc, le procès. m é e d a n s l e c i m e t i è r e d e S t . L o u i s oit r e p o N o s c l i r n U trOQVefOnt m o n ... • ,u ta jour néfaste était venu. L'Acamages sur l'Ile. n cotniiilHMlon s e n t d e u x d e s e s petites sorurs. N.-B., a été un magnifique succès fic o i n | i l r t , r n i u p n liant u n e foule d'olijeb* q u ' i l die allait courber son front superbe A T u s k e t W e d g e , N . - K . , l e 26 u l t . , d s n s est iin]tnwil>lr dV'iiuiuên'r i c i , et mrn p r i x nancier. Il y avait une foule de gens Lc nombre total des vaisseaux qui sous lc joug britannique. 0 moment sa Sjrnc a n n é e , M a d a m e M a r t h e C o t r c a u , JsaSrTonHi^iiM.noiis VIM ralaseatut r t n o n . ont moderés. U tempête de dimanche, le ao ult, ont entré dans lc port de Québec de- inéluctable où les preux Acadiens, d e Moncton à Houctouchc pendant a p r è s u n e l o n g u e m a l a d i e e t fortifiée d e t o u s ASSORTIMENT VARIE TOUA olitiftndrons 1rs j i l a i limita p r i x d u les deux jours qu'a duré lc pique-nil e s s e c o u r i d e l'église. E l l e laisse un époux " n T u e u s e à Nicolet, en bas puis l'ouverture de la navigation jus- trahis et lâchement abandonnés par marché. E . B I D E N , ne Québec. Un homme du nom d e qu'au 2 9 août, est de 3 8 9 , u n e dimi- leurs protecteurs légitimes, jetèrent que. I .es gens de Houctouchc méri- e t trois e n f a n t s pour pleurer sa p e r t e . A Kairville, S t . J e a n , le 27 a o û t , MarieLongralc a été tué sous sa maison que nution de 33 comparé h l'an dernier. pour la dernière fois leurs yeux bai- tent certainement des éloges pour leur J e a n n e , enfant d ' A i m é P. G a l l a n t , , â g é e d e COUCHETTES, BUFFETS, A Y I S Ï ™ « ! e . « douse ou quinze lc trafic du bois de construction, gnés de larmes sur le drapeau français dévouement dans cette œuvre qui est quatre m o t s . S f f i , " bâtisses ont été Dans A Piu-sville, I P . K . , l e 28 a o û t , d e i»arail y a eu des ventes de chêne et de pin qui les avait conduits si souvent à la au fond d'un caractère religieux. F. «ouhsitfiui dnnup, imr 1A prieeDte, uvi» CH1 FFOKNIEltS, TAULES, culbutés. La grêle est tombée épais- de deuxième qualité, mais les chiffres victoire et a la gloire ! Cependant, ils I.e t h é â t r e du pique-nique était ma- l é s i e , K l i c a b e l h , enfant chérie d e M . et M m e nuu cvui . ( m l u i d o i v e n t d e p u i s un nn — CONSTANTLY O N H A N D — F r a n ç o i s G a l l a n t , à P i g e d e d e u x a n s et s i x se et «t nu *l-'ÎA .|ii • letlTI eomptei s e r o n t m i s e n t r e exacts n'ont pas encore été obtenus. ne maudirent point leur patrie. L a gnifiquement ornementé. L a bande m o i s . I I c u r c u x ceux qui m e u r e n t e n l a s â g e . A LARGS ( j i i a n t i t y OF l u i in.'iiini d e l a l o i j-.ur c o l l e c t i o n • -'il•• n'ont d e Moncton y n b e a u c o u p étonné les France était alors lc jouet d'intriguants CHAISES DBRCBUSES. Les quelques radeaux qui n'ont pas ^ eau s est élevée beaucoup audessus 11. 'M-- nvec l u i e n t r e i c i « t la m o i s d ' o c t o S o a p , P a n e r , ro% M - , m a i r c dans la riviè- encore été vendus sont retenus pour qui travaillaient à ladéshonorcr. N o n gens, et même les chevaux qui étaient re p r o e b t i n . MARINE. r •» Nicolet, empêchant les moulins de plus haut prix, et les manufactu- ils ne maudirent point, car lc vrai à une certaine distance. Tout a été a n d P a p e r B a g s U n int*r*jt d o 7 \nx c e n t e e m cluirgé «ur «fonctionner, Le > < . riers ne sont pas disposés h reculer. chrétien ne sait pas maudire j et l'aca- fait avec gout et l'ordre lc plus parfait t o u t c o m p t e d û ilejmis a a delA d ' u n A n — x t i r A t e l i e r iirt« 1'F.glisa i l n Riuro-Casur, FORT OF DIOBY. lee moln n d d i t i o n n e h s e u l e m e n t . A l s o , .N;;.ni tor Gravi-atoncs a n d M O N . Il est dit que le tonnage du bois qui dien est foncièrement chrétien. I l a régné pendant ces deux jours d e de m ? ** ~ Be Atuiivrj). gala. E n veiiAiit v o u s a m u g a r a v e c m o i cela u m r n t s . , i l ' ' . C o . d e R i m o u s k i . L e à - sera laissé a'Québcc durant l'hiver sera pardonne, la loi évangélique le lui VOUA é v i t e r a d e s frais d o cour. A U E I 8 , schr-yacht W a v e C r c . l , ( i i f N c w 1 m• m ' 1 beaucoup moindre que l'an dernier, ce commande. Mais rien ne lui défend Pierre TuruuF. X. VAUTOUIt. M . llidcu rsl A c " ! R » £ „ ? * * • * ' P° P o o r l e t h r o u c s a c h e v e u x , é p o n g e s , par- Y o r k ) Irnm S i J o h n , N i l . F. E. COMEAU, et il se souqui porte à croire à une augmentation de se souvenir I V t i t ' l t u i s s c a u , Baio S t e , M a r i e . lalrra c t Ira M o n m u r u t a . S e p t 3 , U i , ; t E s t c l l a , M e r r i l l , a m i schr fumes, savon à toilette, peignes e t laniaisics vient I . . . . de prix. S a u l n i r r r i l l r , N . K., 1 7 a o û t . 39 3 m Uigliy, N , 8 . P e r c y I I R e e i l , A n t h o n y , from l l o s l o n . TROUVE ENFIN ! ta CELEBRE MAPLE LEAF ! ( Grand Pique-Nique Ferme a Vendre ! 1 T. F. BOUROUE, S P J. D. LOMBARD, U a Magasin de Modes t i Livres d'Ecole. Fourniture ! a r c n v c r s c t u u n m a u l r e c e x c c p t i o n n e l I e V C i > u C c o r d S a L g r o j s c u r i s u S i r l e s t l i s c ] o n a n u l a r a n c l a q u o n u r r a l c < l o l t c r U R a i l e s a la T h a r m a c l e C h a l o n c r , D i g l i y . L'EVANGELTNE, DIG BY, N. E., MERCREDI, 5 SEPTEMBRE, 1888 J J i l u l c s s x f l a t M n s L'EVANGELINE! T I R E U S E S D E C A R T E S l'ibrac, d o u x , approuva, réveiller tout il l'ait pour dé- g n é de Y e s o u l un peu prositive. 1 1 en voulait à la cou- frotta une a l l u m e t t e sur le fendre s o n lit. On vient d'enterrer h l'aris une S i j e volai* i-oiuliii* l e . uium-lir*. L e camarade, après tout, sine de n'avoir pas trouvé dessous de l a table, alluma sa vieille femme qui s'était fait d'assez J'irain nana peur q u e t u m e Unrobes grosses rentes en exploitant l'imbécildevait avoir le sommeil tran- autre chose à dire à ce petit cigarette et resta muet. Uc^anltT ilium lr» j o l i s y e u x Il était do plus en plus gi lité des gens : elle avail gagné six cent E t a b l i e N o v . . 1 8 8 7 . LVitiuct'llc d'or du l<-iirn l e u x . quille, Eu s'a]longeant, sur qui était là, tout raide, tout F O N T T J 1 T R I C H E S A I T C X T O T J V E A T 7 mille francs en lisant l'avenir dans les Il n'osait pas parler C k i u i K C u t o o m p l o t o i u c u t l o HHIIR d o t o u t l o a y k t o m o o u t r o t , m o l . . En le foin, il avait souillé un peu blanc, et. qui ne sentait, plus né. cartes. Kl IUUH in chevelure noiro j i r o u n n t u n o P i l i i l o o h n q u o n o i r p o n d a n t I n 1" l o m n l n e i , o n r e o o u v r o l a En voila une qui devait trouver que n u u t o H i c o i n o i t p o b k l b l o . P o u r M a l n d l o . d o F e m m e , OOH P i l u l e » n ' o n t comme un h o m m e las. Main- de mouches vertes, collées cette créature de mine basse J'aurni.* d r s n-lli-l. d o u x d<- moire, tenant ou ne l'entendait, seu- maintenant à ses paupières du petit roman d'amour dr la naïveté publique a du bon. Elle p o i n t d ' é g a l e * Ë e a i n o d o o i u n o n f o n t n . n g o d a i m l o u r p r a t i q u e . E n v e n t o J e volirai» d a n s le* bain-ru s'appelait Mine Moreau. Je dois p a r t o u t , o u o x p n d l o c . p a r l a n i a l l o p o u r ï î ï i o . o n t i m b r e Circulaire» J O U R N A L De ta bouclip n o n a u x rowii-rs. lement plus. Et ramenant à ses lèvres, buvant, l'eau ro- Rosn et du jeune chasseur d( ajouter, comme détail particulier, qu'- K r u t l * . I . S- J O H N S O N & C I E , B o » t o n , M a » . 11 lui semblait elle s'était mariée .. l'âge de soixante sa couverture sur ses y e u x , se qui coulait goutte à gout te Yincennes. Ku U i u r d n m i a h l dans t e s o r e i l h a = OKOUl», A S T H . M i : , i t u o \ < 1 1 1 1 B ; . \ B : La vie n'é- que, même pour s'inforiuei et onze ans. l'ilirac, hospitalier, avait re- do ses blessures. .le t e chanterai» tirs t n e r r e l l l f j , _ V l t A M . ' l i : . ICI11 M A T I S N i : . LE LlNlL i cartomancie, ou "divination au de son adresse, la bion-aiméc tait vraiment pas drôle. A t trouvé son rêve interrompu, \ M EXT ANODIN DE JOHNSON (l/taffc interne et ExCelles q u e disent lee n n o u n M i T i i r moyen des cartes," est peut-être, de terne) soulagera I n i b u i t a n â m à n t eoa mtiltuliiK trrrilil»*» et Q a e j e u n e . Allée a i m a i t toujours. A l'air frais de l'aulie, le tristé', il ouvrit les deux au- lui saurait- mauvais gré d'aI giii'iini ]»oHttivriiii-nt n e u f <*fw «ur «lix. ihn iiiformuLiniiK toutes les espèces de divinations, ecl — i'OBLlÉ À— voir parlé d'elle à cette fille tres lettres. * u u v i n t s a u v e r bleil d e t vteè, e n r o y é e t KIUIR fraia j m r la jeune fantassin entr'ouvrit les les dont les extravagances se sont le — . — _ — " " ' Oui si jV-tai.H enntnie une mouelie, —_—niiitlV. NY t a n l r z JWH u n iuhLnnt. Il v n u t m i e u x provenir Tout de suite, il se seul it déjà engourdie par des tour plus généralement répandues dans •pi.; il.. Kiwrir. I , K M M . Y I O T t \ 0 1 M \ D E ( O U N S O N guofit N.'yeux. Queltpio chose le gêJ e n ' e n d o r u i l r n l s Mir ta Kmelie M G I i Y , N . S . vnil^if, (irijijw. D o u l e u r s île Poitrine, liLMuorrliiu/iu tien l'oumnuH, Kiiruumtent cliruniijut', nait. S a capote semblait touché- Ah ! la brave en- nées de cassis il l'eau de vio. toutes les classes de la société. lltiiuatit Ion parfumé, Toux a i g u ë . T o u x mtlluiite Diarrhée elinulque, Pxnenterlo, Cliolérn m o r b u s , Mmu d e L'une des plus habiles cartoman A v e c s o n doigt, bêtement, il l'iii. tluttx que la brise de tuai. être collée à son liane. Ma- enfant ! elle s'appelait liosa demies fut la célèbre Mlle I.cnor Iteina, fialailicf «le l'Kljiine ilonalo. E u vent* partout. OinmUIrei ^ n i t i s . I-.S. J O H N S O N k 0 1 K , U o e r o M , M A I » . chinalement, il porta la main et, mettait son adresse s o u s dessinait des rondscl descai maud, morte a l'aris, en 1 8 4 3 . A C h a n t a n t au feu île clirmiliée d e • liLi.jnc Beuialne. barrière du rés dans la mousse échappe l'en croire, elle avail prédit la Révoà son c e l l e , la ramena toute la signature J e ilematiile t o n t e r u n l l é e Elle n'était pas fian- de la bauteille et. répandu* lution plusieurs années avant qu'elle j ; ; ; : . r r K ï s « P A i T baignée do sang et, terrifié, se Troue. Que P i e u Rem. d e v a n t t e s p a . Elle no parlait sur la table mal lavée. Et la éclatât. Devenue une sorte d'ora- lUAUX tluiiK ce p a y s , s o n t m i l v a l e u r ; f|U« l;i l'mulre •!<• C o n . t i t i o n il» Slicridau i-(tt nlisnluTout l e b o n h e u r q u e j e n'ai | « s ' dressant d'un bond, il crut un cée, celle-là. cle dans It quartier du faubourg Saint iiieuL pure e l iiie.stiiniiMe. 1,ieii ne fera jHiuiliv les ]-o;i!> , column la Poudro de Condition lié instant qu'il avait été lilessé pas, " d u mignon," des choux fille le trouvait genl il, bien Germain, elle mettait un certain appa Sheridan* Dose, 1 cuiller h Uié jK»ur cha.]ue d i o p i u c d e nourriture. P r c v i e m l n i f t L'iihini J O S . A . A . C U L L E N , ('ruelle, tu laine, lesroiles pendant son sommeil. -Mais et d e s carottes de monsieur propre, avec ses manières po- reil A développer le "grand jeu" ou le Mircmcut le c n O L E R A D E S P O U L E T S E T D E S P O R C S , e t c . Ku Vente Satattcur. De tea ravissantes vtniles : p a r t o u t , ou e n v o y é par l a malle j lî5c. e n timbre». Cire.jlairen gratia. Elle n o lui doman- lies et sa tunique de drap lin, "petit." il comprit bion vite ce qui son père. Allien, uni vie eat un soupir. VALENTIN A . LANDRY I. S . J O H N S O N k C I E , B O S T O N , MAKH. Son intimité avec Joséphine, femme s'élait passé. Sur la paille, nait pas de rappprter ses marquée aux marches d'un J e l'aime et t u m e fais mourir. ft'.titeur-Projirt/taire. de Bonaparte, (pic sa crédulité de —A. un chasseur de Vineciines chaussettes et ses mouchoirs. galon de sergent. de créole ignorante et sa crainte d'é était venu mourir, C'était ( "est lui qu'elle voulait, enEllll s'assura que la brasse- tre délaissée amenaient chez, la "devi presque un e n f a n t l'ilirac, tier, pour l'aimer ; blessé, rie était sans clients et, d'un neressc," permettait a celle-ci d'être L e P e t i t C h a s s e u r un peu frisonnant, constata pour le soigner et le guérir. coup d'icil net, elle interrogea parfaitement informéede certains faits. \insi, la femme du général Moerau Est l a soulo fouillo ft-ansaiso que son camarade de lit avail Ca, c'était dos lettres toutes le soldat. étant venue la consulter en 1 X 0 5 , elle publico dn us l a Nouvollo-Ecosreçu un coup, à la poitrine, pleines de beaux sentiments Non, merci, dil Pi iirac. lui dil que son mari portait ombrage l'Ai! IIECTOII l'ESSAHU 80, o t l a t r n i s i o i n o i l u n s l e s P r o vinces Maritimes. d'effrayants coups de pointe sur le drapeau, sur la France. Pas aujourd'hui, J e suis à Bonaparte cl qu'il n'était que temps N o u s étions bion fatigués. et (pie sa vie était sortie très Mlle voulait savoir s'il avait pressé. J e cherche qiu ilqil'r pour lui de quitter la France. Une indiscrétion de Joséphine avait cer Tout le j o u r ou s'étail battu vile par toutes ses béantes eu peur, la première fois, ou un. tainement livré a Mlle Lcnormand le sur des pentes raides, nus issues. bien si, crânement, il avait reQui ça '. demanda E n aillant (|iio la chose fille, secret de l'attestation résolue par Ho rayons d'un soleil île juin. I.e naparle. gardé le danger en face, ferme en se rasseyant. sera possible, n o u s donnerons Il n'avait pas du souffrir. képi en arrière, nccroupîs ou Un certain général Dubuc, condaml ' n e demoiselle, Mais V O U S d e s nouvelles du Noveattsur s e s jarrets, leste ainsi qu'endossés et regardant sans Son visage, si blGine quo sa né a mort pour fait d'espionnage, dil ne la connaissez pas. Hrunswick, de l ' i l e d u l'rinceil l'était faisant l'exercice à la Et moustache à peine blonde omvoir, les h o m m e s harassés atloin haut, eu marchant vers te pelo comme pour s'exercer à sa ton d'exécution, qu'il regrettait bien Edourd, de l'Ile du Cap-Brobaïonnette sur les glacis du brait vigoureusement sa lèt e n d a i e n t Maintenant, c'étnil douloureuse mission, i I ra- de n'avoir pas écouté Mlle LcnorIon, d e s E t a t s - U n i s , des Pays fini. L'ennemi battait en re- vre, n'avait gardé aucune ex- fort de Vinconncs. d'Europe, C L sui-tout do lu Entre lit alors, l'ilirac, une larme coula l'histoire, disant qu'il mand, qui l'avait engagé à s'enfuir. traite, au loin, tachant de ses pression do douleur. Si le fait est vrai, il prouve seulement Nouvelle-Ecosse. les paupières mal jointes,l'ieil au coin de l'ieil, se mordant ivait vu mourir lo petit cl que la prophétesse était bien renseiuniformes blancs les ombres pi'il rapportait d e s lettre: à gnée. Ses prédictions à Joséphine U n e déduction l i b é m l o s o i u se devinait interrogeant le les lèvres, la peau grillé d'un c o m m e n ç a n t e s de la nuit. sur l'imminence d'un divorce qui se toujours faite aux porsonr. >s mystère d e s éternelles tenè- frisson, se figurait, le petit <a maîtresse. rnNKTAM M RKT RM HA INK LXfl FIAMOfl — A la lin île la journée, un bies. l'ilirac. curieux, com- mort, entouré par des cava.Mais [{osa, c'est, moi, s'é- réalisa, ne furent (pic la conséquence H A L L E T & D A V I S , B o n t o n ; W E E L O C K , N o w Y o r k i B A U S . N o w - Y o r k i qui voudront annoncer dans violent orage avait passé. des confidences journalières de l'imses colonnes. P o u r plus amme tous les j e u n e s 1,'ens, des liers, défendant sapeau, pa- cria la débitante, En voilà pératrice cl ne peuvent guère émerS T E V E N S O N , Kînj;ton. Ont., D O M I N I O N , B o w m a u v i U e , Ont. l ' n e odeur fade de terre déples informations, on peut choses de la mort, regardait rant les coups, lardant le gar- une affaire 1 C o m m e n t ce veiller. trempée et de saii;r vous le0RGU ES i m l ï i c L ut iroul rutr .fHr.r umnidvHo Mi r u: - Mason & Hamlin et le Dominion, s'adresser à PEdUeur-Propri le c i e u r serré, ce compagnon rot d e s chevaux, sentant se vauvre A d o l p h e n été t u é Ue Comme tous ceux qui se disent sort nuiait le cœur. < >n avait L'orgue DK1.I. (original) v e n d u s e u l e m e n t ; : le Mountain*mi ses l u ^ n U . N e nininiue7. claire. dont il avait entendu le der- refermer sur lui le cercle des 1110 le rappelle bien. 11 ve- ciers, d'ailleurs, Mlle Lcnormandétai- l'écrire i w i r coiitmilrc iiwai prix <pii sont députa Ç-f» .\ $f»i) nu*<lenoui de l a m o y e n n e e n e i beaucoup tué et par place, impuissante a connaître sa propre • s autrea n e g o d a n t a , e l roua aurez, toujours un i n s t r u m e n t , p i a n o ou o t g u r , d e première nier souille, sans s'en douter, assaillants, ébloui par l'éclat nait de temps en temps, à sur les plans inclinés, aux <I<T • a n s l'aider d'un serrement d e s s a b r e s s'ébréchant sur le cette heure-ci. j u s t e m e n t . Il destinée : elle ne put prévoir ni son 'lusse. nières lueurs du crdpose i arrestation en 1 7 9 4 , ni son incarsérai • main. 11 se reprochait son canon de son fusil, puis tout me racontait ses histoires. Il tion en 1 8 0 3 cl en 1 8 0 g , ni sa con- U \ II. J O H N S TON, i2i I T i 2 . Î MOLLIS S T R E E T , H A L I F A X , N . S . AGENTS on voyait de petites rig i .erlie. ( "était stlipide d'a- à c o u p aveuglé, touché d'un n'avait j a m a i s d'argent. < >h! damnation h Bruxelles en 1 8 3 1 ; d'aus e glissant s o u s des tas de RAILWAYS S T K A A I H K S me l'a toujours rendu ! Ses tre part elle avait prédit qu'elle atvoir dormi connue une brute c o u p d e p o i n t e au défaut de morts et ressortant ton teindrait l'âge de cent vingt quatre l'épaule, laissant tomber son parents étaient de Vcsoul. n'Ctait pas propendant que le pauvre gar(' ans, et elle mourut dans sa soixante- The Direct k Cheapest Route rollLMl'S. î i ' E v a n g e l i ï i e : p r e e t pour dormir, tout à , cou ràleit à ses cotés, lit il arme et comprenant qu'il Aisés, niais rats, niais r a t s ! quinzième année. T u A M I PIIOU était perdu. Les tireuses de cartes auraient dù ins. Alors il .le n'en re vieil, l'heure, on serait très mal, se disait qu'il aurait pu Être le . S y l v a t u Baruralt. disparaître depuis longtemps. Mais Western Counties Railway. AAreiatdl ml etv,i lCH . l i o n . laidore L e D l a n i . d a n s ces flaques. Il fallait à la pince du petit chasseur, ( 'ependnnt dans les rem- a été tué ! les superstitions ne se déracinent pas B O S T Ô l s T Ariohat Ooeat, C i l . . . C a p t S 1' L e B l a n e . < lui, fit l'ibrac, e t le vous facilement. r u n : TAiti.K. trouver ailleurs un abri, un gi- avoir, me lui, d e s trous plis de terrain, entre les entiAdamaville, M i . André J Arwiiaul). Quoi d'étonnant, dès nir: nM.r Ui l e n c i i i g MONDAY, M a , 1 1 , 1 8 S 7 . B o n e t o n e b e , " . . . . . V I* L a n d r y . lors, qu'il se trouve des gens pour t e a v a n t l a nuit qui s e hâtait, dans la poitrine et être la, ties, sur l e s m a m e l o n s , l e s tein- rapporte vos lettres. BaUmnt, « . . . . . r J iji'jpiiiit'. M e s lettres ? Ali oui ! j e exploiter la bêlise humaine ! No 1 Ni» 3 B e l U r e a u a Cove, N S A u g 1) U e l a n a o n . No 4 bours et les clairons sonnaient No a nuire, profonde. étendu, blanc, fini. Dans un procès qu'on vient de juBelleville, N S . Léon Potbier. IIETWERN A l'endroit ou où la rouie m Petit n petit iublia.il le et battaient les marches de lui ai fait, écrire deux fois par ger en Corse, une tireuse de cartes, Cameanvllle, N S , . . . . II BelUveau. a m U, m le cantinier du fort, parce que Chnroh Point, .... . i l'ait un un «onde, une | mort pour ne songer qu'à lui- régiments, pour rallier les M M. ,-.! ,. nommée Madeleine Profelti, a joué caissce lait coût NOVA S C O T I A Corlwrrie, " . . . . . A I ' M -•!•.' • moi, j e n'ai pas d'instruction. un des premiers roles. Il s'agissait AND charrette reposait inclinée s u r même, it la di tuleur d e s siens homines dispersés la veilleau Corail»', N l ï . M i l l e LV'linii Hilfxlruu. 49 / i l l d'un assassinat : une femme, Marie STATK in a —-. E t. g Cape B a M . N l l « J u d o L Hrun. ses brancards. Sou conduc- s il venait a être tue et au soir par les hasards et les in- Mais le cant inier en a. lui. Cassoprana, avait fait tuer son amant BOSTON. us . D o i i i i n i . j U f ClieimrJ. Ganquet, M i C c'est un h o m m e qui n étébien. £1 a M S S ÏVRsroiiKif, C H . . . . A n j * u s . M c N e i l , Sln-rit'. teur, surpris sans doute par clingiïn qu'il ressentirait à cidents de la bataille. par jalousie. Or, cette femme était a . ^ w 1a E < l l ! I U I h l s t n n , X I ' . . . . J r Itiee, Shérif. C O . «r: O H a Cette idée bisl'ibrac boucla son ceintu- Dites donc, sergent, voulez- allée «lie/ Madeleine I'rofetli et lui I N T E R N A T I O N A L S. S. les premiers feux de nos ti- être m o r t ï 2. K g m c n t l t a y , l'KI . . . S y l v a i n K Q a l l a n t . j s vous prendre quelque chose > avait dit : " J ' a i fait le projet de me railleurs, avail dételé et pris cornue le lit rire, sans qu'il ron, jeta son sac sur ses épauDigby and Annapolis Diroct Lino a» Grand E t a n g , C H . . . • J o a e p h Doucet. A. U. A. U. L v o Ar l-.U. I-. u (îrosM'H Cotjut'.t, N S . . D a n i e l L e B l a n e . pourquoi. les, et se mit en roule, au pas C'est moi qui paye, on souve- débarrasser d'un homme qui me gène : for Boston, Tuesdays & l-'idnyB. la fuite. Rempli do fourrages, put comprendre croyez vous que ce projet réussisse?" Yarmouth 7 16 (! 3 0 G 0(1 Qrand'Anae, N H . . . . * O n é d m o B l a n e h a f i l , J V le lourd chariot était resté lit, Est-ce qu'il croyait it l'immor- iccéloré. l'uis il s'arrêta brus- nir du p e t t i t Tin- Btcntncr N o w I t m i i i i w i c k w i l l l e a v e Madeleine I'rofetli tira les caries el Hebron 7 '.'.l C I S S 47 Havri! Bouelier, N S . . S 1' Dniroii. Piorre II (>nudut. Ohio dit : " O u i , l'homme en question sera A n n a p o l i s m u t | l i | ; t i y l'or l'.nston t l i n v t , 7 :\c 7 3 » « oa S l'i Kfldare S t a t i o n , PKI .. Ijazare depuis ce malin, protégeant lalité de lïiine ; 11 n'en sa- q u e m e n t , relit le chemin parLoUlone. (IV.-ry TUESDIV llllil FlllDAY llfti-rnnnns. P i t m a n Itoad Little R i v e r , O U • • • • tué." vait rien, au juste, l u i ce . J D Loniliiirtl. contre la pluie une étroite O D Y S S E E D ' U N E L E T T R E couru, regarda une dernière Returning will leavu C " irclal W l m r 7 fi» 7 40 B r * a l l L a k e S 48 s se Littlt: lirook, N S . . . . J o a e p l i LeBlane. B o s t o n , e v e r y U O X O A V a w l THO M O A T Norwood On voit par la qu'il se mêle du ira llaiîprrce l i s t , C H . . . bande de terrain. I >n pour- moment, il n'eût p o i n t été fâ- fois le petit chasseur, lui en• • • • .l,uc LeBlane. r u l n g s a t 8 . 3 0 o ' c l o c k , - f o r D i g u r an.I 8 11 S 2-1 S (13 Mary.iri't! F o r k s , C H . Une distraction d'une seconde gique aux histoires des tireuses de ilcctanooga 8 23 .'Jean S C amlet. Et alors, il veloppa la tête dans son vieux rait dormir en paix s o u s ce ché d'y croire. 4 6 9 4 41) Mtaoouolif, P E I . . . . S IH 8 3 6 U e t e g b a o amène souvent une révolution dans cartes ; niais il y a aussi des aventures A n n a s o l l i i , . L N B o o r q u e , Ml>. 8 50 4 4 8 4 3'i Mourtoii, N B 8 n Saulbierrille toit mansardé dont des mor- remarqua q u e l e p o i i e e e t l'in- journal—à c o u s e d e s mou- une vie. Un lait *|tii prouve celte as- comiques : c'est ainsi qu'un jeune ,AWL 1>. Saulnier. » 05 8 -18 L i t t l e K r o o k 4 3 9 4 27 M c t i i n l r y V Cor, N H . A II Coraean. Bc:ton and St. John. c e a u x de tentes, accrochés dex du chasseur à pied était ches—et il alla rejoindre les sertion île l'expérience, s'est passé il homme, déguisé en fille, alla consulR i e v r , N S . W II Germans • • C b n r c h P o i n l • 4 • 1 1 Mt't.plian B t c a r a o r i S T A T E O F M A I N E a n d n'y a pas longtemps dans notre villi'. ter une cartomancienne ; celle-ci lui » 23 Hetechan, NS 0 ot Belli veau 4 21 aux lianes et à l'essieu de la brunis par la fumée de tabac, camarades. . BenJ H lttiliirlmutl. C U M B E R L A N D w i l l l e a v e S t . J o h n fi>r y 38 Il IS Weymoutli abvtJQtte, N S 4 0 9 4 00 promit un mari riche, trois garçons et Il y a deux ans, un jeune homme . Flort'iitin l'ilri'. charrette, allaient faire u n e l'ilirac se souvint qu'il avait Uoston, via Eastporl and Portland, every Quelques semaines plus du nom de Keitmayer, commis a l'hô- une fille. Mill Hiver, PKI . . . . • A i m é C ItirliHrd. Port Gilbert • • • • SIOSDAT, W E D X E S D A I and F n i n i t m o r n i n g Mt Canuel, " . . . . M a t l i u r i u d'Entreniont soupente fort habitable. En épuisé sa provision de papier tard, l'ibrac était à Paris, en tel Cameron, n Lcwisbourg, l'enn., lit Plvmpton • • • Mais cela n'empêchera pas que • t 8 o ' c l o c k , nnii tin.- S T A T E OK M A I N E 1 0 1 2 y is N o r t h R a n g e 3 3 3 3 3 0 P u b n i e o , U p , W. N S . 1 . r L o B l a n o , J P . vite, mon camarade l'ilirac il cigarettes et il fouilla les congé. P u b u i e o , L. W . " . V S tl'l'-ntremoiit, J 1 * . Il s'était bien permis la connaissance à ( Ihicago, d'une longtemps encore on aile consulter les S a t u r d a y o v e n i n g , a f t e r urrivnl o f s t e a m o r • • • JBo lrodoamn fTl eol wd n • enleva quelques cailloux, poches du mort, souhaitant là-bas, près de la charrette jeune personne lort eslimalile. Les tireuses de cartes. Voilà pourquoi il S E C R E T , f.ir B o s t o n d i r e c t . R o t n r n l n g , • P n n o i c o E s t , N S . . . . A l e x C Landry. • • ntcnmcrH w i l l li-iivi: C o m m e r c i a l W h a r f , 1 0 4 5 10 16 Ar D l g b j r L y e 3 • 0 0 .1 0 0 P o k e m o n e h e , N H . . . . I) F o n t a i n e deux jeunes gens se plurent l'un à n'est pas étonnant que Mme Moran étendit sur le sol deux ou que ce défunt eùi l'habitude RegerariUé, . . . . Charles Landry. d'apporter à la pauvre Llosn l'autre, et comme de la sympathie à ait pu amasser une grosse fortune. U o s t o n , for S t . J o h n v i a P o r t l a n d a m i trois bottes de foin et de pail- île " . I n l i . " ... Il chercha et ne d e s nouvelles du bien aimé l'amour il n'y a pas la distance qui sé- L'art de duper les gens est encore un EF ra iFdtapyo r mt , oervneirnyg. Ma to i1»u l ao y' c, l oVc kY. c d i w d a y nnii r. Nl. I A r r i v e S T . J O H N L e n v o A . if. S h e d f a e , s t DaaU, " . . . . N a r c i s s e (îti^non. le de mais et.s'étiranl Icsinoin- trouva rien, si ce n'est cinq 7 30 M o . Til. S n t I Mo. W e . Kri. 7 25 St Paul, a n des plus productifs.—-Ji-iin Froih. T l i n r w l a y m o r n i n g a t 8 o ' c l o c k . " . . . • J o a e p h l!>in.it-l, J P . et. il*? lui rendre ses lettres, pare les deux |K>1CS, ils s'aimèrent. ~8~W\ A r r i v e H A L I F A X l . c a v o | 7 0 0 S t C l m r l w , bres, il se prit à songer. " . . . . P i e r r e P D a i g l e , .11*. Reitmaycr dût cependant q u i t t a lettres, portant l'adresse du soustraites honnêtement à la Saulniervill NS... . M a x C Comean. T i m KtcamerN o f t i l l s L i n e a r c t h e o n l y P O U R R I R E Il s'étonna d'abord de n'a- petit niiiri. A d o l p h e Cardon, curiosité de q u e l q u e marau- Chicago et retourner ;\ ses occupa N . 11.—TniiliH lire r u n b y ( l i e St-unlaril S t o A n n o , . I^iuis T B o u n | u e , J P siilc.wliecl Passongor Stoamoia running lions. Mais il fut convenu entre lui I t i i l u a y T i m e (w-vclity-fiftli m r r i i l i a n ) . . S y l v a i n Rabin, J1*. Ste A n n e , XII voir ni faim ni soif, puis se chasseur à la île compagnie deur. Cl la dame de son cieur qu'ils s'écriral'erle trouvée dans l'annonec-réela l i c t w e c u the 1'rovilH-eMlincl N e w E n g l a n d . Tnaket W e d m , N S . .J B LeBlane. They are l u x u r i o u s l y lilted a n d furnished, J. B R I G N E L L , rappela qu'il venait d'assister du lue bataillon. , W i l l i a m Olrauard, J P . Tracadle, N o A mesure qu'il approchait ient régulièrement. Une fois de re- nie d'un médecin australien : n o t h i n g boing spared thai will add to t h e Qononil Siiperintendi'iit. V n n B u r r n , M a i n e . . . J o h n LoBel. pour In première fois à u n e " J e m'engage, quand mes soins ne Le j o u r était venu d'un de laplaco du Trône, il com- relotir chez lui, Keitmayer n'eut rien YnriiHHilli, M i y lf.tli, 1 S S 3 . . F 0 J Coneau. Yarmouth grandi; bataille. coup, superbe, éclatant, gai. posait son visage et, le c i e u r de plus pressé que de mettre h la seront pas suivis deguérison, a payer c o m f o r t a n d s a f e t y o f t h e p a s s e n g e r s . poste une Icllre a l'adresse de sa dul- la moitié des frais d'enterrement." T o u t e s retntaea pour a b b o n n e m e n t s p e n Oui, c'était vrai. Lui, Pi- l'iluac, réchauffe, se sentit, un peu serré, préparant s e s cinée. Intercolonial Railway. Nova Scotia Steamship Co- (Limited) r e n t tUrt* faites aux a g n i t a ri-linut w m ; Il prit un phrases, il était très-troublé broc, était un des vainqueurs un peu d'appétit. Il attendit liien des jours une répen Célestine, quand je vous envois en B A T LINK : ou enToyéca |«ir mand.it.4 d e IKWIC o u lettre 1888 S U M M E R A R R A N G E M E N T - 1 8 8 8 c h a r g é e s h l'aïUln'rw arUvante: Steamer S E C R E T will leave A n n a p o l i s d e la journée. On devrait biscuit dans sa musette, lira à la pensée d'avoir a annoncer se a sa lettre, mais ce fui en vain. ville pour faire des emplettes, vous V. A . LANDRY, NDAY, THURSDAY N n m l afler M O N D A Y , J U N K 6 m , bien faire la paix. Au fond de sou sac un reste de suc- peut-être la fatale nouvelle. I.cs jours et les mois se passèrent et reste/, toujours des heures et des heu- aa nn dd SDAl gTbUy Re Dv eAr yY MpO. m D i g b y , N . K. . Iletumlng leave . 1 8 8 8 , t u e Traini of this Railway will la réponse si ardemment désirée n'arres ; pourquoi n'allez-VOUS pas plus ce n'était pas gai, ces affaires cession, s'assura que son biS t . J o h n e v e r y . M O N D A Y , W E D N E S D A Y rim li.iily (Snniliiy e x c e p t e d ) a s f o l l o w m S a n s doute, la j e u n e habi- riva pas. vite ? a n d F R I D A Y a t T.4S a. i n . , for D i g b y a n d là. Il n'avait rien do cassé, don était à demi rempli et, tait chez ses peronts ou bien TRAINS WILl LEAVE HALIFAX : Trop fier de sa nature, !c jeune Madame a dit qu'elle ne voulait A n n a p o l i s . NOUS pOUVOnS e x e c u t o r , dan par chance, mais ce n'est pas tout en mangeant, il lut les elle travaillait on ville dans Keitmayer n'osa pas demander une pas d'une bonne (pli court. F o r t i c k e t s o r f u r t h e r I n f o r m a t i o n a p - l ) \ v Bxrans n.sn l O B g O U t S l O S p l u s m o d e r n c'ply to y o u r nearest t i c k e t a g e n t , or l o explication. D'ailleurs sa demande en la n | vues t o u s les jours fête. 11 avait lettres adressées au chasseur. quelque atelier. TltUnO A C C O M M O D A T I O V , - 10.00 Il la ferait aurait pu aussi rester sans réponse I I . It. N I I O K T , Papa, pourquoi qu'il y a des époux B X P R E S S vim S r . J O H N k Q D B B R O , 18.00 vu tant de camarades pftlir Ilans les trois premières demander, discrètement, et comme sa première lettre. (Tuant h A g e n t , D l g b y , N . S. qui divorcent ? et A N G L A I S E ! A S l e e p i n g Cur n u m ilnily o n t h e 1 8 . 0 0 F R A N Ç A I S E tout, à coup, tourner puis .s'a- datées de VcSOul, line demoiIt. C O V I . K , J n . , O e n . .Manager. Mais parce qu'ils ne parviennent sans lui dire la vérité du pre- la jeune fille n'entendant plus parler train t o S t . . M m . B . A . W A U U O N , (Jen. Pass. A g e n t , Port, battre ! Son tour viendra selle Marie Cardon, sa cousiI in Motnlny, AVrilnewlay, m n l I-'riilny, n Toutes aortes d'ouvragos. mier coup, il la préparerait à de son amoureux, elle crut devoir l>as .'. s'entendre. l.-.i.d. M a i n e . 86 6 m Bleeping Cur fur Montreal w i l l be attached t o certainement demain ou un ne sans doute, lui recommangarder le silence, en croyant avoir eu Mais si deux sourds-muets sont ma la c a t a s t r o p h e . — C e p e n d a n t , affaire à un inconstant ou à un infidè- ries, dis papa. t h e (,iiielii-e KxnrcKH, a m i on T u e s d a y , Tunis* autre jour. Quelle sacrée dai! de ne pas prendre s e s day a m i S a t n n l a y a Bléepuig Cur for Montreal le no '28, c'était bien là ! C'é- le. Laisse-moi tranquille! will a l t a o b e d at M o n c t o n . idée on avait eue d'aller déli- mouchoirs et ses chaussetliref, une idylle aussi sincèrement tait bien cette sale maison à — TE1JJ Q U K — vrer l'Italie ! tes, d'en avoir bien soin et Toujours les mêmes ! un étage dont le rez-de-chaus- entamée, en resta ,\ sa naissance. TRAINS WILL ARRIVE AT HALIFAX I La semaine dernière, un commis Le Gascon. J'ai fait un fameux D E C O M L ' T E S " , Pibrac s'attendrit sur lui- lui donnait sur la ferme de s é e était occupé par une brasTnuno ACCOHMODATIOH. • 8.00 T È T E S voyageur, a hord d'un train sur une héritage ; mon oncle le docteur m'a KXI-111-.KH KiioM S T . J O H N k Q U R B R O , 0.10 même, puis cessa de penser. son père à elle, d e s détails serie borgne. T Ê T E S D E lacrrRi'.s;. Certainement des voies ferrées du Maine, acheta un laissé une bibliothèque si riche, qu'aD A Y KXI'RRHH 18.20 AFFICHES, II écoutait les sauterelles ac- techniques très-précis. Quand il ne se serait j a m a i s figuré, numéro d'une publication périodique vec mes livres je pourrais remplir une L A C O M P A G N I E A l l T r a i n s an- run hy Knnleni Standard CARTES D'AFFAIRES, cordant leurs voix grinçantes la guerre serait finie, on fe- M l l e P o s a logée s o u s ce toit publiée a Chicago. En feuilletant la maison de grandeur ordinaire. — DM — Time. ENVELOPES, PLACARDS, Le Marseillais. Et moi donc ! et regardait, à travers les fen- rait bien d'acheter la pièce fait pour abriter les ivrognes brochure, quelle ne fût pas sa surprise 1). P O T T I N O E R . IIEANCS P O U R AVOCATS, C h i e f .Sii]wrintrniient. tes de ses toiles, les m o u c h e s qui était au bout du c h a m p et. d e s rôdeurs de barrière. de découvrir une lettre adressée a un liien qu'avec les numéros de mes mai- Steamers de Y a r m o u t h MÉMORANDUMS, liai I w a y Office, M o n c t o n , N . it., nommé Keitmayer. I.a lettre était sons je pourrais remplir un gros livre ! do sarra/.in. Lo propriétaire et les vers luisantsaccrochant (tl lilTÉR.) C A R T E S D E V I S I T E S . June U t , 188S. Q u e la vie était drôle ! Et solidement cousue dans la brochure d e s petites étoiles sur les était dans la gêne. < )n aurait c o m m e Pibrac avait vaine- cl portait un timbre, mais pas de marCIRCULAIRES Les prospectus des marchands ne L n M c i l U n u r o o t I n p l u w o o u r t o l i f ^ i i o Buctouche-Moncton Railway. B I L L E T S D E C O N N A I S S A I E N T , haies. Car Pibrac était sen- ça pas cher. La cousine esques de sceaux de bureau de poste sont pas toujours d'une clarté trèsontro la Nouvelle-Eco*HO m e n t cherché une porte pour Le voyageur, fort intrigué, allait com- limpide. Un exemple : B R O C H U R E S D E T O U S FORMAIS. ot BoHtou. sible, lettré et quand ses vingt pérait, que le chasseur revienC o m m e n ç a n t L U N D I , le 3 0 A V R I L , leu pénétrer dans la maison, il se mettre une indiscrétion, lorsqu'il se Un marchand de biberons fait ima n s ne pliaient pas s o u s les |drait, bientôt sans blessures, trains partiront c o m m e mtit : K iiouvi'Hti htriuiicr i'ii ni-iir 1<> YAK* décida à entrer dans la bras- rivisa. Il piit la lettre et la mit au primer ceci. M O U T H l a t o e n i Varmoutli i«»tiv- l î o s . fatigues d'une journée de (car un h o m m e estropié, dans "QuandJ'cnfant a fini de boire, il ton torn lea M E R C R E D I et B A l t S D I « o i i s , N o . 1 serie,-pour y fumer une ciga- premier bureau de poste qu'il renconNil. 1 une maison, c'est, bien gênant STATIONS. — K*t iiiqirhniÎH Mir n u . — combat, il ne leur défend lit faut le diviser et le mettre dans un àprea l*airiTee «lu train <lti eliemin d e M ilea tra. i i t o u t si c'est, dans les liras rette et réfléchir, 8 110 D e p Il est facile de s'imaginer la stupé- endroit frais, dans un seau d'eau ou Comtea d e r O n e a t lUlCTOUCIIK p a s un agréable commi rec Ar 18 ON D a n s un coin d u cabaret, faction du jeune Keitmayer en rece- une fontaine." Kn ravenantj il lajaaera L e w i a AYharf, 8 18 17 ( n l.iri'I.K UlVKIt Elle lui rca v e c les muses. Doucement I q u e ç a l e t i e n t HoHtnti, h 10 n . m . t o u s Ici H A R D I el V E N 8T. A N T H O N Y 17 8 t 8 ni Pauvre bébé ! avec instance un gros chat blanc ronron- vant une téponse h sa lettre écrite deI^v nisiUeure q u i nit 6tè jiunni'iri îmi»ort^ D R E D I , c o n n e c t a n t h Y a r m o u t h a v e c lu s fil) il rêva qu'au retour il ferait ; oininandait NOItTII SUIF. 17 18 puis deux ans. n a n t sur les g e n o u x , une femtrain ]»>m l l a l i f u x rt \VA HtntioiiH intrrint'*8 02 17 n i d a n s l a N o u r e l l e * K o o s s e ; <'llfl possads «i»* 00OAIONE de ménager son linge parce un récit très-exacte, très-vrai, iW i n , i ; : n i t i . | l i r i |'f. • im«l< n u ]...'.H l'sfO! La jeune fille était employée dans Iinrii-5. (I 0 8 U O D O U O A L L ' S 17 0 0 P E N S E E S Elle était très-bien écrit de ce qu'il avait que on a j a m a i s trop quand m e sommeillait. Le YitnnoutU eat 1<- |>1IIH runith^ dea iteara< il 2 0 SCOTCH BETT un atelier de reliure. N'ayant pas le in t.s ]>ic • l i n n d ' a ï I i i ' l c i i l u ^ l ' i i r n n - d r M i M îneiit i o n n é a . ijni font le trajet outre l a K o a v e l l e - E o a a Il 2 8 Id 40 CAl'K B R E T O N I.a vraie sagesse des nations c'esl cru vu. Il cherchait déjà son on va se marier, et elle signait j e u n o encore et Pibrac en temps de laisser l'ouvrage pour aller su et 1' •• l'.i.i!--1 'n 1-, t.t:.:il i m n i i <\<-maeblnea l> 3 8 lltlSHTOWN m so commencement, quand le g e n t i m e n t "Votre future fem- avait vu de plus laides, bien mettre sa lettre a la poste, il esta pré- l'expérience. h triple t'XiHUWH>n,luniit'ri-st'lr('tri<iucs, d*op* Kl 0 0 JUNCTION 10 0 8 sumer que, pour la soustraire h la vue 1 •. 1.1 n x d e n i a n o n t v r a muea par lu v a p e u r , *'t 10 Ot I.KW1SVII.LK îr. ot CIRCULA TION : sommeil vint, le força à fer- me et présentement fiancée." q u e la dormeuse eût m a u v a i s de compagnes d'atelier, elle la plaça MONCTON Etre trop mécontent de soi est une 'piill'H R I I R P , <*tc. Pour h i l l r U , c a b i n e à | 10 0 8 A r Déù 1(1 0 0 air a v e c ses c h e v e u x collés à D a n s c e s trois lettres, cette m e r les paupières et le rendit entre les feuillets du numéro de la re- faiblesse ; en être trop content est sot- e t tout a n t r e i n f o r m a t i o n , a d n a t t t * v o n i \ K, l U n y , 1 2 6 Ilollfa atreet, H a l i f a x , N . S . ; THOS. M. W I L L I A M S O N , immobile, c o m m e les petits ménagère avait proprement la bandoline, ramenés sur le vue en question, et l'y oublia. tise. Geo. M . C o n n o r , N o r t h S t r e e t D e p o t , H a l i Gérant. Et voila comment il se fait que morts qui dormaient là-bas glissé trois pensées, fleurs au- front bas et s u r l e s j o u e s o n l u i f a x , N . S . ; ou K tout nutn* n ^ n t Miir Icaebe* pendant bien longtemps deux jeunes C'est toujours la charité qui doit m i n » »1« icr W i m l s o r ct A n n a p o l b o n ilea jourd'hui pâlies et déséchées. sants accroche-cœur, ses grossur les pentes, tout froidsHEUREUX C O M M E N C E M E N T ! cœurs qui s'étaient compris, ont dù agir, c'est elle qui doit punir comme CouituH d e rOucHt. V e r s minuit, Pibrac, dans En poste Bcriptum, elle rap- s e s lèvres entr'ouvertes lais- éprouver les angoisses et les tortures c'est eilc qui doit pardonner. L e i t e a m e r C I T Y O F S T . JIM I N laisse T o n t e s ooinmandra n w u i l n i o c n U e e a v f » pelait, seulement pourmémoiHalifax t o u s leâ L U N D I h 10 heures, p . m . , sant voir de belles dents, son — M A N U K A C T U K I F . B . S D E — l'engourdissement de son être d'une déception a laquelle ils étaient soin e t diligenea. IM,11 r \CH i"ill-, il. l a C ô t e Su-1 t-t Y a r m o u t h , f t e u t la sensation vague d'un re, qu'il était inutile d'affran- peignoir taché et sa courte parfaitement étrangers. Ce n'est pas l'heure de discuter en lainso Y n n n o u t l i toua tea JEUJDI \ 8 heure» CHASSURES œ s f s ï s r L'histoire ne dil pas si les jeunes quoi l'on concourt. I.cs nuances apn. corps venant ce placer auprès chir les lettres, car on lui pèlerine de velours de c o t o n KER, >V. A . CI I A S K , Elle se réveilla, chassa d'un amoureux ont recousu leur liaison, il paraissent dans un ciel serein, elles se U K.PuB A-i.'.fi.i d u sien. C'était sans d o u t e avait dit que les corresponrt Qerant. Agent CUIR ANGLAIS E T F R A N Ç A I S . est h espérer cependant (pic cette let- perdent dans un ciel orageux. Y n n n o u t l i , N . V. , In 17 M a n . q u e l q u e traînard avisé, j u - d a n c e s du corps expédition- g e s t e brusque le minet, et, tre d'amour accidentellement reliée en naire j o u i s s a i e n t de la frantraînant s e s pantoufles, elle onglettc a eu pour effet, .\ son apparig e a n t la place bonne et veT o u t t-oinioauilo g n m n t i c . L'amour est le principe de tout, la T e n t é e n gron e t e n t l â U U . postale. Ce n'était d e m a n d a a Pibrac ce qu'il tion, de relier aussi le jeune homme raison de tout, la fin de tout, et par nant s a n s façon la partager chise Une v U i t » o i t toujour* birti nrcnrillir. et la jeune fille, si le cieur leur crédit conséquent, c'est dans les êtres rpii a v e c lo premier occupant. L o pas la peine de gaspiller s o n fallait lui servir. encore—Courrkr de l'Jllincis. en ressentent le mouvement qu'il a r g e n t ,N vente h Pigty', N. K., nno nwj{nifii|uo ., dormeur t o u t rêvassant.jugea U n e bouteille de bière, réfaut chercher la plénitude des ovatannerie iwurvuo ilo touten lea eomtuo- C O M E A U V I L L l l i , D I G U Y , p o n d i t le fantassin. d i t e » néw-malrcii. in'i i «.•,.lin •.. Kcorco Kcorceàa Imn bonmarcliôcton mnrelié c t o n NOUVPI*LE»ECOS8K Les petits enfants sont plus facile tions de Dieu. u e l'intrus n'était gCné, mais lion m a r c h é local iioiir lo cuir. .S'adrewier h P i b r a c e u t une m o u e méA v e c d e u x verres? interro- nient conduits par les caresses que ]iar K. U. O A K 1 3 , L e s A c a d i c n s s o n t toujours l e s b i e n v e n u s n'eut p a s le courage d e se prisante. Il trouvait Sévi- g e a la femme. Uigliy, N . E. Annoncez dans L ' E V A N Q B U N S la crainte. a la l ' h a r m a c i e C h a l o n c r , Diglry. GRILLON ET JEUNE FILLE HEBDOMADAIRE, T o u s les Mercredi 1 PONDRE LES POULES ORGUESI PIANOS! Sulc-Wliccl Slmrs L'EVANGELINE f 1 1 y I O L PRESSE AVAPEUB 1 1- 2,000 DOUCET & FRERES, A u x ACHETEURS I E - 3