Moins de charges, plus d`investissements

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Moins de charges, plus d`investissements
Janvier 2011 • n° 1
Magazine de Beci
Brussels Enterprises Commerce & Industry
BECI Enquête auprès des entreprises bruxelloises:
Moins de charges,
plus d’investissements
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CHAQUE GESTE COMPTE QUAND ON EST PLUS D’UN MILLION DE BRUXELLOIS
© Reporters
edito
Jean-Claude Daoust,
président de BECI
Moins de charges,
plus d’investissements
Premier enseignement : l’allègement des charges sociales patronales constitue la priorité
pour 6 entrepreneurs sur 10 alors que dans le même temps, les incitants fiscaux à l’investissement et à l’embauche ne représentent qu’une priorité pour 1 entrepreneur sur 10. Peut-on
être plus clair ?
D’autant que plus de 80% des responsables interrogés sont favorables à la suppression de
certaines aides régionales aux entreprises si elle s’accompagne d’une baisse de la fiscalité
communale ou régionale. Parmi les thèmes à traiter prioritairement par le gouvernement
bruxellois figurent sans surprise la diminution de cette fiscalité avant la mobilité, l’amélioration de l’image de Bruxelles comme centre d’affaires et la simplification des procédures
administratives.
On ne le répétera jamais assez, les entreprises ne cherchent pas à tout prix les aides surtout
si elles se doublent de nouvelles taxes et contraintes ! Sans parler de la charge de travail supplémentaire qu’elles occasionnent aux sociétés, surtout aux PME, tant en amont (préparation
du dossier) qu’en aval (contrôle de son application). Cela étant, elles ne les refusent pas non
plus. Pour autant, qu’elles soient simplifiées et stables dans le temps.
Second enseignement : il est certain qu’avant de faire la chasse aux aides et autres subsides,
la grande majorité des entreprises entend se consacrer sur ce qu’elle maîtrise le mieux : son
métier. Plus de 7 entreprises sur 10 envisagent d’investir ou de recruter dans les 12 mois qui
viennent. Ce résultat confirme que nous sommes en sortie de crise et que le climat est à nouveau favorable à l’entrepreneuriat pour autant qu’on le libère de ses charges au bénéfice du
développement économique et social.
Enregistrons cette note positive pour entamer cette nouvelle année que je vous souhaite
riche en projets, investissements et développement.
Bon succès à tous et à toutes en 2011 !
1
n° 1 - janvier 2011 - E ntr EprE n drE
L
e message que nous recevons est clair : les chefs d’entreprises veulent moins de charges
sociales, d’impôts et de taxes diverses, et ils sont relativement confiants en ce qui
concerne les investissements et le recrutement dans les 12 mois qui viennent. Tels sont
les 2 principaux enseignements de l’enquête réalisée par notre baromètre politique de décembre et dont vous découvrirez les résultats détaillés dans ce numéro : La Mission BECI est
aussi d’évaluer l’acte public.
sommaire janvier 11
brussels, eNterPrises,
CommerCe & iNDustry
1
4
Edito
Enjeux : BECI enquête auprès des entreprises
bruxelloises
10
Enjeux : Apprendre à entreprendre
12
Event : BECI CEO Meeting à la RTBF
14
Enjeux : BECI Semaine de la PME
16
Espace Membres
51
Bloc-notes
52
Demandes d’admission
l’eNtrePrise au quotiDieN
25
Bizzbox News
26
Boîte à Outils :
Votre société face au contrôle du fisc
Dossier VéhiCules utilitaires
29
La fée électricité comme futur assuré ?
32
TNT en estafette électrique Toyota Coms à
33
editeur responsable
Olivier Willocx [email protected]
avenue louise 500 • 1050 bruxelles
t +32 2 648 50 02 • f +32 2 640 93 28
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responsable : Roel Veyt [email protected]
Collaborateurs : Sylvie Cousin • Jacqueline Remits
• Olivier Duquesne • Matthias Vanheerentals •
Guy Van den Noortgate
Production & abonnements
Design : Megalunatriumviraat
Graphisme – impression: DB Print
traduction: Pascale Swaelens, Wouter Devriese et
Data Translations International
Photos de couverture : Pierre Kroll/BECI
Tous droits réservés – Reproductions interdites sans autorisation
écrite de l’éditeur
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de PwC
34
Car leasing : Les flottes passent au vert
36
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Dossier stoCk & arChiVaGe
43
Au panier, les documents papier ?
47
Les data centers nouvelle génération sont
48
Je veux tout savoir. Le puis-je, même sur moi-
50
Le scanner portable a plus d’un tour dans son sac
Partenaires structurels de Beci
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enjeux
BECI ENquêTE AuPRèS DES ENTREPRISES BRuxELLOISES
«Un sentiment positif par rapport à l’avenir»
Réalisé par BECI en collaboration avec L’Echo et De
Tijd, le baromètre politique
de décembre fournit, outre
le bulletin des agences et ministres bruxellois, des informations très intéressantes
en matière de mesures
souhaitées par lesa entre-
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4
prises ainsi que des investissements qu’elles envisagent
de réaliser dans les 12 mois
qui viennent. Analyse des
résultats.
M
enée auprès des entreprises de BECI (UEB +
CCIB), cette enquête a
été réalisée du 29 novembre au 10
décembre 2010. Elle a concerné
l’ensemble des secteurs et 183 entreprises ont répondu. Nous allons
détailler les résultats obtenus.
En ce qui concerne l’efficacité des
ministres bruxellois en matière de
développement économique de la
région, le bulletin décerné par les
entreprises est globalement satisfaisant. Au-dessus de la moyenne
pointent Benoît Cerexhe (3,33),
Jean-Luc Vanraes (3,22) et Charles
Picqué (3,12). Une performance
somme toute logique puisque ces
trois responsables occupent respectivement les fonctions de ministre
de l’Economie, ministre des Finances et ministre-président. Trois
postes qui intéressent particulièrement les entreprises.
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ET
enjeux: BECI Enquête
En matière de confiance vis-à-vis du gouvernement
bruxellois, 46% des répondants ont peu ou pas du
tout confiance contre seulement 30% qui ont plutôt
confiance, voire confiance totale. Un quart se déclare
neutre (24%).
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Parmi les mesures que les entrepreneurs bruxellois
pensent utiles à prendre se dégagent nettement l’allègement des charges sociales patronales (61%) ainsi
que la réduction de l’impôt des personnes physiques
(11%) et celle des taux de taxation sur les bénéfices
des sociétés (8%). Loin devant les incitants fiscaux à
l’investissement (8%) et à l’embauche (2%).
Pour les thèmes qui doivent être traités en priorité
par le gouvernement bruxellois pour assurer le développement de l’économie et l’emploi, une petite
vingtaine a été retenue par les entreprises. Sans réelle surprise, en première place, on retrouve la diminution de la fiscalité régionale et communale. Viennent
ensuite la mobilité et l’image de Bruxelles comme
centre d’affaires. Derrière ce trio de tête, la simplification des procédures administratives, la sécurité,
l’aide à l’investissement, la propreté et le soutien à
l’emploi. Ces 8 thèmes représentent les trois quarts
des thèmes pointés par les entreprises (75%).
A l’agenda politique des instances européennes,
les entreprises ont retenu comme thèmes prioritaires d’abord et avant tout la simplification administrative (35%) et les finances (33%), et ensuite
l’unification (18%), le droit à la libre concurrence
(11%) et la R&D et Innovation (3%).
La Class Action ou action de groupe recueille un tiers d’entreprises favorables à cette procédure courante aux Etats-Unis
(34%), un quart est contre (26%) et 40% n’émettent pas d’avis
concernant cette question.
enjeux: BECI Enquête
La suppression de certaines aides régionales aux entreprises si elle s’accompagne d’une baisse de la fiscalité
communale ou régionale recueille un large assentiment
des responsables questionnés. Ils sont, en effet, 82% à répondre positivement contre 18% négativement. Un résultat qui confirme que les entreprises souhaitent d’abord un
allègement des charges bien davantage qu’une multiplication d’incitants divers.
Les agences bruxelloises se voient délivrées également un bulletin satisfaisant. Quatre font mieux que
3 : Bruxelles Export (3,33), l’ABE (3,26), la SDRB (3,05)
et Bruxelles Formation (3,00). Quatre sont en dessous de 3 : la STIB (2,92), Actiris (2,87), l’IBGE (2,75) et
la SRIB (2,73). Mais globalement, les écarts ne sont pas
extrêmes.
A la question de savoir si les entreprises envisagent
de déplacer à court terme ou moyen terme une
partie de leurs activités, trois entreprises sur dix
répondent qu’elles pensent à quitter la RBC. Sept
sur dix demeurant dans la région (11% déplaçant
leurs activités au sein de cette dernière et 59% ne
bougent pas). Parmi celles qui envisagent de partir de Bruxelles, 10% choisissent la Wallonie, 7%
la Flandre et 13% parlent de quitter la Belgique. Ce
score relativement important (30%) d’entreprises
qui envisagent de quitter Bruxelles confirme une
tendance que l’on observe depuis de nombreuses
années même si on constate dans le même temps le
retour d’entreprises en RBC.
Les entreprises sont globalement optimistes pour
l’année qui vient. Tel est le constat que l’on peut légitimement dresser en observant que 73% d’entre-elles
envisagent dans les 12 mois qui viennent de recruter
ou d’investir. Contre 16% qui ne l’envisagent pas et 11%
qui ne savent pas. Une note positive qui mérite d’être
soulignée et qui indique comme le soulignait Olivier
Willocx, administrateur délégué de BECI, «que l’on est
dans un climat favorable. On est en sortie de crise et il
y a un sentiment positif par rapport à l’avenir».
Guy Van den Noortgate
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En ce qui concerne la politique économique du
gouvernement bruxellois, le taux de satisfaction
frôle les 50% (48% de satisfaits et de très satisfaits) mais un tiers (31%) se déclare pas du tout
satisfait. Une entreprise sur cinq (21%) est sans
opinion.
2011, a new start ?
La crise a profondément secoué les fondements de notre société. Des nouveaux
défis s’imposent aux entreprises sur le plan économique et financier. Les valeurs
de la future génération, X ou Y, ne sont plus les mêmes que celles de nos aînés et
même de nos contemporains.
Il est temps de s’interroger sur l’avenir.
Quelles sont les aspirations de ceux qui seront les managers de demain, comment
les technologies de l’information et leur fantastique développement vontelles changer le fonctionnement de l’entreprise ? Comment se préparer aux
“déferlantes”: l’invasion de la Chine sur les marchés, les défis de l’énergie, de
la mobilité, de l’environnement ? Plus fondamentalement, comment “l’individu
manager” va-t-il s’épanouir dans ce nouveau monde ?
Voilà les questions qui seront abordées au cours des 23èmes Rencontres au Sommet.
Le moment de prendre de la hauteur, de voir plus loin.
Les 23èmes Rencontres au Sommet pour qui, pour quoi ?
Ce forum qui en sera à sa 23ème édition, rassemble annuellement à Deauville près
de 300 personnes, essentiellement des dirigeants d’entreprise belges, autour
d’un programme de conférences et de workshop sur des sujets d’actualité. De
nombreuses entreprises y invitent clients et relations. L’ambiance conviviale est
particulièrement favorable au networking. Bienvenue à Deauville !
SPEAKERS PROGRAM
L’AUTOMOBILE DANS TOUS SES ÉTATS
Jean TODT, Président de la FIA et légendaire patron de la Scuderia Ferrari
Thierry WILLEMARCK, CEO de Touring
L’ÉCONOMIE MONDIALE ET BELGE EN QUESTION(S)
Didier Reynders, Ministre des Finances
Bruno COLMANT, CEO AGEAS, Professeur d’économie à la Vlerick School of
Management, UCL, ICHEC, auteur de nombreuses publications économiques et financières
Luc DE BRUYCKERE, Président VOKA et CEO de Terbeke
POLITIQUE, INSTITUTIONS, ÉDUCATION…OÙ VA LE MONDE ?
Mark EYSKENS, Ministre d’Etat
Rik TORFS, Professeur à la KUL et sénateur CD&V
TERRORISME, ATTENTAT, MAFIA, BLANCHIMENT D’ARGENT :
COMMENT L’EUROPE S’ORGANISE
Michèle CONINSX, Vice-présidente Eurojust
Robert WTTERWULGHE, Professeur à UCL et avocat
SAVEZ-VOUS VRAIMENT COMMENT FONCTIONNE VOTRE CERVEAU ?
Emotions, décisions, mémorisation, stress…
Pierre MOORKENS, Président de la Fondation M.
Chantal VANDER VORST, Managing director de l’Institut
de Neurocognitivisme
QUE FAIT-ON DE NOS IMPOTS ?
Une étude de PriceWaterhouseCoopers
Frank DIERCKX, managing partner
Philippe VYNCKE, managing partner
LES MANAGERS NOUVEAUX ARRIVENT, QUI SONT-ILS ?
Philippe BILTIAU, Professeur à la Solvay Brussels School
Nigel ROOME, Professeur à la Vlerick School of Management
Sondage Dedicated Research : Marc DUMOULIN
AVEC LA PARTICIPATION DE
Amid FALJAOUI, directeur Trends/Tendances
Frederik DELAPLACE, directeur Mediafin
Martine MAELSCHALCK, rédactrice en chef l’Echo
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Tél.: +32 2/413 03 83 • Fax: +32 2/410 19 94 • [email protected]
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Cercle de Lorraine
Club van Lotharingen
enjeux: BECI Enquête
ENTREPRENDRE SA VIE PROFESSIONNELLE
Apprendre à entreprendre
Elle avait pour objectif de permettre à des jeunes de 18 à 25 ans de découvrir la vie profession-
nelle au moyen d’ateliers ludo-pédagogiques, de rencontres inédites et de discussions passionnantes, notamment avec des artistes.
C
et événement sans précédent,
organisé par Benoît Cerexhe,
ministre bruxellois de l’Economie et de l’Emploi, visait à apporter
aux jeunes des informations variées
sur l’environnement économique,
les nouvelles façons de travailler et
les qualités nécessaires pour entreprendre.
ateliers ludo-éducatifs
n° 1 - janvier 2011 - E ntr EprE n drE
10
Au programme, des ateliers ludoéducatifs vraiment originaux. Ainsi,
le quizz des métiers a permis à des
jeunes de participer à ce jeu entre
équipes d’écoles différentes dans une
ambiance de jeu télévisé. Les questions concernaient le thème des métiers et de l’entrepreneuriat.
Après une petite formation sur l’utilisation des réseaux sociaux dans la vie
professionnelle, les participants ont
créé leur compte LinkedIn. Les types
d’utilisations, avantages et dangers
des réseaux sociaux ont été synthétisés. Les jeunes ont été sensibilisés à
l’importance des réseaux professionnels. Scénarios et jeux de rôles professionnels version Playmobil® ont
permis d’imaginer une situation professionnelle dans le futur: commerce,
banque… Un jeu collectif sur l’entreprise équitable a aidé les jeunes à
découvrir la vie d’un indépendant.
Ils ont appris comment créer et gérer une entreprise. D’autres ateliers
étaient proposés, ainsi que des mini
conférences et un espace didactique.
Patrons, sportifs & artistes
Des échanges avec des sportifs de
haut niveau, plusieurs patrons et des
artistes ont constitué autant d’ouvertures pour les jeunes au monde de
l’entreprise. Ces personnalités ont
donné de bons conseils aux jeunes
pour leur faire découvrir les clés du
succès et la façon d’entreprendre gagnant.
Un concours a permis à des artistes
et des étudiants de s’exprimer sur le
thème de l’entreprenariat au travers
de peintures, photos et dessins. Duc
Nhan Nguyen et Marc Bazin ont remporté les meilleurs scores du public.
Jacqueline Remits
« POINT DE VuE » PAR DuC NhAN NguyEN
« Un engagement moral »
D
uc Nhan Nguyen a remporté le meilleur
score des artistes exposés. Il est également
magicien et silhouettiste renommé pour
des événements (lancements de produits, vernissages, anniversaires, etc.). Adepte des arts martiaux, il
est aussi comédien.
Duc Nhan Nguyen,
magicien.
Champion de Belgique du Cube Puzzle en 1981, Duc
Nhan a eu l’idée d’appliquer sa technique à la création artistique en développant ce qu’il a appelé le
« pixisme », une mouvance sur le travail du pixel.
Il peut ainsi transformer à l’envi une image ou une
photo pour lui apporter une dimension nouvelle et
originale en pop art. Ses réalisations intemporelles
sont adaptables à la demande. Ce concept unique
lui permet de garder le contact avec ses clients.
Qu’est-ce qu’entreprendre pour vous?
« Entreprendre est une démarche, un engagement moral qui comporte des risques. C’est regarder bien plus loin que ce que l’on croit
entrevoir, mais c’est aussi la liberté de s’exprimer. Des notions que
l’on retrouve dans ce portrait que j’ai réalisé du prix Nobel de la
paix, Liu Xuiabo, explosant de joie. »
l’avis de l’expert: Olivier Kahn,
expert-comptable, coordonnateur
de la journée: « La créativité est au
cœur de l’esprit d’entreprise. Les
jeunes enfants sont beaucoup plus
créatifs que les adultes, car le proPoint de vue.
cessus d’apprentissage nous bride
et nous freine. Comment être créatif? En ne restant pas seul. En regardant ce qui se passe dans son
secteur, mais surtout, en dehors, hors de sa région, de son pays. De
là naissent les idées. Pour les stimuler, il y a Internet, la lecture, les
salons professionnels, et faire parler les gens, fournisseurs, clients,
partenaires. Cette créativité est essentielle. La liberté de s’exprimer
s’entend dans un objectif clairement défini, faute de quoi on risque
de se disperser. Le risque est omniprésent lorsqu’on entreprend. Certains vont l’accepter et bien le vivre, d’autres ne pourront pas. Ceuxlà ne doivent pas entreprendre. Le risque est positif ou négatif. Le
meilleur conseil: avant de décider, pondérer les critères positifs et
négatifs liés au risque, donc des choix éventuels à prendre. A partir
de là, prendre le moins dangereux. La panique est dangereuse en
matière de gestion de risque, ainsi que la rapidité et une vue trop
limitée. »
enjeux: BECI Enquête
MARC BAzIN, « LE gASTéROPODE MODERNE »
« Aller de l’avant »
M
arc Bazin est directeur général
de Mediascoop, société spécialisée dans les productions
propres pour les médias, notamment des
reportages en entreprise. L’émission « Si
on se faisait plaisir » est diffusée dans 25
radios locales en France, en Belgique et au
Marc Basin,
Québec, ainsi que sur six radios web. Elle
directeur général
est financée par la publicité et accueille
de Mediascoop.
des chanteurs, des stars, des écrivains, venus de France, de Belgique et du Québec.
Depuis toujours, Marc Bazin éprouve un attrait pour l’art.
Musiques, textes et représentations graphiques berçaient
ses journées jusqu’il y a deux ans. Il passe alors de l’autre
côté du miroir et use de la photo montage pour pousser
son imagination aux confins du surréalisme. Il expose de
plus en plus en Belgique et en France. Ses passions sont
aujourd’hui la matière première lui permettant d’entreprendre, seul, tel un escargot qui construit sa coquille au
quotidien.
Qu’est-ce qu’entreprendre pour vous?
« Entreprendre, c’est aller de l’avant tout en tenant compte
de son environnement, humain et technologique, de son
seuil de compétence. Comme le gastéropode, l’entrepreneur construit seul son entreprise telle une coquille. Il doit
faire bien attention à ce qu’elle soit le plus solide possible,
mais sans dépasser son seuil de compétence. Pour réussir
dans le temps, il doit le faire lentement mais sûrement. Il
faut s’adapter aux nouvelles technologies, à l’écologie. Il
faut tenir compte de l’évolution du terrain, de notre vie de
tous les jours. C’est s’autofinancer et
laisser une trace pour les autres… Nous
construisons l’avenir! »
L’avis de l’expert, Olivier Kahn:
« En matière de croissance, il est important de prévoir des seuils de décompression. On grandit, on se pose,
on stabilise les choses. Aller trop vite
est dangereux. Travailler par étapes
est le meilleur conseil. Aujourd’hui, il
faut penser «nouvelles technologies»
à tous les niveaux de l’entreprise:
achats, distribution, vente, notamment par l’e-commerce. L’année 2009
Olivier Kahn,
a vu une augmentation de 17 % de
expert comptable.
vente en ligne par rapport à 2008. 5
900 web-shops belges se sont ouverts
en 2009, soit 138 % de plus qu’en 2007!
En 2010, cinq nouveaux web-shops se sont ouverts chaque
jour. L’autofinancement est la ressource la plus saine pour
une entreprise. Il sera à comparer au taux de croissance
pour contrôler que l’entreprise ne grandit pas trop vite.
C’est le cas quand son financement interne ne parvient
plus à suivre. »
n° 1 - janvier 2011 - E ntr EprE n drE
11
Event
BECI CEO MEETINg à LA RTBFE
«La RTBF, une entreprise
comme les autres»
Les Executive Meetings de BECI visent à faciliter la mise en
relation de chefs d’entreprises. Cinq fois par an, le CEO d’une
société de plus de 100 employés recevra les patrons de
PME de minimum vingt travailleurs. La soirée de BECI CEO
Meeting à la RTBF (30/11/2010) a rencontré un réel succès.
Entreprise de service public, la RTBF
marque sa différence en visant d’abord
l’enrichissement durable, culturel et
citoyen de sa communauté et de ses
membres. Jean-Paul Philippot est administrateur général de la RTBF depuis
2002. Il a contribué à sortir la RTBF
d’une crise financière et identitaire. Il
a modifié sa structure de management
passant d’une organisation décentralisée à des directions articulées autour
de l’offre de programmes.
Les BECI CEO Meetings se veulent
organiser des rencontres entre CEO
au-delà des frontières de notre capitale. Cet événement rentre donc tout
à fait dans le cadre de l'un de nos
objectifs prioritaires pour 2010-2011,
à savoir une meilleure coopération
interrégionale entre Bruxelles et sa
périphérie.
n° 1 - janvier 2011 - E ntr EprE n drE
12
Fifi Flore (New Alternative), Geneviève Roberti Lintermans (Buster & Cie) et Catherine Mertens (BECI).
La prochaine édition
est prévue le 23 février :
BECI CEO Meeting
avec Didier Bellens
(Belgacom).
Plus d’infos
& inscriptions :
www.beci.be/events
Marc Petre, Euler Hermes
Credit Insurance Belgium.
Jean-Claude Daoust,
président de BECI.
Bernard Mairesse,
TDS Office Design.
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enjeux
LA SEMAINE DE LA PME
Des réponses pratiques à vos questions
de patron
Fin 2010, Beci a organisé la Semaine de la PME. Un thème différent était proposé, chaque jour,
et abordait une facette de la gestion d’une entreprise au quotidien. Les patrons ont trouvé des
réponses concrètes à leurs questions. Vu son succès, cette première édition n’en restera certainement pas là.
«P
n° 1 - janvier 2011 - E ntr EprE n drE
14
endant une semaine, du
29 novembre au 3 décembre 2010, nous avons
travaillé avec nos partenaires », explique Fabienne Malaise, conseiller
au Centre pour entreprises en difficulté. « Les patrons de PME intéressés,
membres ou non de Beci, ont pris rendez-vous pour avoir un conseil gratuit d’une demi-heure à une heure
avec un spécialiste. Nous avons enregistré 67 rendez-vous sur la semaine.
Un excellent résultat! Patrons et intervenants sont satisfaits. Un grand
succès! »
s’inscrire aux différentes journées en
fonction de leur intérêt. Durant l’entretien gratuit, la personne inscrite a
pu poser toutes les questions qu’elle
souhaitait poser à notre expert. »
Le bilan? « Les impressions des participants ont été très favorables. Cette
journée a été appréciée pour l’utilité
des conseils donnés et immédiatement applicables dans la gestion
quotidienne. Ceux qui ont fait le déplacement avaient vraiment besoin
de réponses à leurs questions.
Quant aux intervenants, ils ont été
agréablement surpris de la spécificité
des questions pratiques posées. Les
journées portant sur les questions commerciales, comptables, fiscales et juridiques ont connu le plus de succès. »
Une action à rééditer? Plusieurs participants ont demandé à Stéphanie
van Stichel: « A quand la prochaine
semaine de la PME? » Un bilan positif
donc.
Jacqueline Remits
La semaine de la PME a été organisée
dans le but de répondre aux questions des indépendants et des chefs
d’entreprise. « Ces questions portaient sur un grand nombre de sujets en rapport avec la gestion d’une
entreprise », souligne Stéphanie
Van Stichel, conseiller chez Beci. Des
questions financières, sociales, en
ressources humaines, commerciales,
stratégiques, juridiques, fiscales et
comptables. « Nous voulions être
utiles et pratiques. » Beci a rassemblé certains des meilleurs experts en
ces matières pour pouvoir donner le
maximum d’informations aux chefs
d’entreprise et aux indépendants.
« L’idée était de promouvoir l’aide
que peut apporter Beci en interne à
travers ses conseillers et en externe
avec l’aide de professionnels. »
« impressions très favorables »
Concrètement, cinq thèmes (un
thème par jour) ont été abordés.
« Certains de nos membres et des
non-membres ont eu la possibilité de
FIS
C
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enjeux
Daniel Binamé, directeur marketing et de
la communication chez Partena: « C’est important qu’un organisme comme Beci organise ce type d’événement avec, notamment, le social. Un thème important par les temps qui courent. La législation et la sécurité sociales ne sont pas toujours simples à comprendre. Onze personnes d’expérience ont pris contact avec nous parce qu’elles se posent encore des questions dans le domaine de la sécurité sociale. 60 % de ces questions étaient en rapport avec leur situation propre en tant que personne physique, le reste était lié à leur personnel, jours de congé, intempéries, règlement de travail, etc. Ce sont autant de personnes qui ont pu être aiguillées d’une manière ciblée pour trouver réponses à leurs questions. Cette semaine particulière leur a permis de prendre le temps de poser leurs questions. Dans la vie de tous les jours, ils ne les poseraient sans doute pas à leur organisme habituel de sécurité sociale. Pourquoi pas faire cette semaine spéciale deux fois par an?… »
Ressources humaines
Questions commerciales
et stratégiques
Pierre-Nicolas Schwab, expert en stratégie et
marketing, IntoTheMinds: « Les problèmes auxquels sont confrontés les entrepreneurs sont généralement simples à résoudre pour un expert. Cependant, les dirigeants ne disposent pas souvent du temps, ni des connaissances nécessaires pour les résoudre. Les problèmes abordés étaient souvent les mêmes: que veulent mes clients? Où se situe mon marché? Comment augmenter mes ventes? Les entrepreneurs sous-estiment l’importance de la fidélisation clients et ne parviennent pas à comprendre les mécanismes qui permettent de l’engendrer. Ainsi, avec un participant de 60 ans qui venait de créer sa société, on s’est rendu compte que son marché allait être saturé très vite et que la concurrence était rude. Bien que ma disponibilité ait été limitée, les rendez-vous se sont enchaînés à un rythme soutenu. Les entrepreneurs avaient toujours des questions précises auxquelles j’ai tenté d’apporter la réponse la plus complète possible dans le temps imparti. L’initiative de Beci me semble particulièrement pertinente dans une optique de pérennisation des PME. J’ai été heureux de pouvoir m’y associer. »
Lucien Steru, consultant en management relationnel: « Tous ces patrons de PME ont paru surpris qu’il y ait une journée consacrée aux relations interpersonnelles dans l’entreprise. Les questions posées étaient pourtant la preuve qu’il n’existait aucune notion de management des ressources humaines dans ces PME! Les patrons ne voyaient pas comment faire autrement que ce qu’ils avaient toujours fait. Je leur ai demandé d’imaginer de nouvelles solutions avec une approche créative. Dans un cas, un conflit interpersonnel mettait l’entreprise en danger et les responsables paraissaient résignés à ce qu’elle disparaisse. Il a été intéressant de chercher ensemble d’autres pistes et d’abandonner les positions habituelles d’adversaires et, au contraire, de tenter de rapprocher les parties. Limitées dans le temps, ces interventions étaient néanmoins utiles. »
Questions juridiques
Questions fiscales
et comptables
Guy van de Velde, partner associé
chez Deloitte Expertise comptable: « Nous avons rencontré une dizaine de patrons de PME. Ils posaient des questions pratiques et ont reçu des réponses pragmatiques d’un de nos fiscalistes. C’était intéressant pour eux d’avoir gratuitement une solution immédiate à leur problème. En une demi-heure, évidemment, nous ne pouvions donner que le conseil de base. Pour des réponses plus fouillées, il faut d’autres rendez-vous à part. Plusieurs participants se sont montrés intéressés à devenir clients chez nous. »
Thierry Lagneaux, avocat associé chez Janson Baugniet: « Nous avons eu des questions spécifiques et variées selon les représentants des PME présentes, mais pas nécessairement pointues sur le plan juridique. Cela allait des problèmes de clauses de non-concurrence à ceux liés à la protection et l’utilisation de marques, en passant par ceux de cessions de fonds de commerce et de parts sociales… Ces entreprises avaient quelques années d’existence ou étaient en phase de projet. Je pense que les participants ont été heureux d’avoir un premier avis, un premier conseil, et gratuit en plus. Notre journée a été remplie. Preuve que cette semaine répondait à un besoin. »
15
n° 1 - janvier 2011 - E ntr EprE n drE
Questions sociales
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Philippe rogge
devient le nouveau General Manager de Microsoft
n° 1 - janvier 2011 - E ntr EprE n drE
16
P
hilippe Rogge est officiellement nommé
General Manager de Microsoft Belgique et
Luxembourg. Il succède à Phillip Vandervoort, qui devient COO de Microsoft Amérique
latine. Rogge prendra le gouvernail à partir de
février 2011. Rogge a commencé chez Microsoft
en juillet dernier, comme directeur du département des Grandes Entreprises. Avant cela, il a
mené une carrière impressionnante auprès de
firmes de grande renommée, essentiellement
au sein du secteur des TIC. Rogge est également un passionné de voile et a été leader de
la délégation belge aux Jeux Olympiques de
2008. Il combine ses compétences organisationnelles avec sa passion pour le sport en tant
que membre du Conseil d’Administration du
Comité olympique et interfédéral (COIB).«Je
suis ravi et honoré de me trouver à la tête d’une
équipe si diverse de professionnels particulièrement motivés qui introduisent des produits et
des applications brillantes, sur le marché belge
et luxembourgeois,» a dit Rogge. «L’année qui
vient de s’écouler a pu confirmer leadership de
Microsoft sur le marché IT par une série de lancements de produits et de nouvelles solutions
qui aident le professionnel et le consommateur
Philippe Rogge, le nouveau
dans la réalisation de leurs projets. C’est cette
ambition à se battre dans différents domaines
General Manager de Microsoft.
en occupant une position de challenger, pour
le business de nos clients, qui m’a attiré chez
Microsoft. Renforcer et élargir la croissance que Phillip Vandervoort a réalisée chez Microsoft BeLux est un défi éblouissant.
A côté de cela, je donne beaucoup d’importance à la responsabilité sociétale des entreprises. Actuellement, un intérêt certain
est donné à la diversité au sein de la firme, aux initiatives pour l’emploi au sein des groupes désavantagés, à la protection de
l’environnement, et à l’aide IT dans le secteur de la santé publique. J’aimerais encore pouvoir approfondir cela. Microsoft se
trouve en effet ancrée profondément dans la société dans laquelle elle travaille, et avec qui elle veut construire.»
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financière et sa connaissance du marché, Brigitte Fils,
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Whyte Corporate Affairs élue “Newcomer
Agency of the Year” européenne
n° 1 - janvier 2011 - E ntr EprE n drE
18
Whyte Corporate Affairs, une agence de conseil belge et
indépendante, spécialisée en communication corporate,
affaires publiques, communication de crise et sensible,
a été désignée meilleure nouvelle agence de communication en Europe. Ce titre de “Newcomer Agency of the
Year” marque la reconnaissance internationale du succès
de l’agence et de ses activités de communication pour ses
clients. C’est la première fois que ce prix est décerné à une
agence belge. De plus, Whyte Corporate Affairs a également été récompensée aux cotés de Famous, dans la catégorie “Associations”, pour une campagne de communication créative et retentissante réalisée pour le compte de l’
“Association of Communication Companies”. Whyte Corporate Affairs a été lancée par les associés Sandrine Agie,
Joris Bulteel, Eveline De Ridder et Emmanuel Goedseels en
septembre 2008. Les stratégies de communication corporate et d’affaires publiques développées par Whyte Cor-
porate Affairs soutiennent la gestion de la réputation, la
défense des intérêts et la réalisation des objectifs d’entreprise de ses clients. En deux ans, l’agence a constitué une
équipe de 16 consultants et développé un portefeuille de
clients particulièrement diversifié. C’est ainsi que Whyte
Corporate Affairs est parvenue à se positionner rapidement comme un partenaire de référence sur le marché
belge du conseil en communication stratégique.
People interim est sans égal
Depuis 1985 People met en relation des personnes de talents avec des
personnes qui les valorisent 25 années de placements d’intérimaires,
de services de recrutement et sélection en région bruxelloise. « En 2011
grandes ou petites entreprises avec des besoins difficiles à combler ou
des attentes simples et directes, vous rencontrerez certainement notre
nouvelle équipe commerciale, Nicole Solomentsev et Thierry Verbist
qui depuis peu renforcent notre
PeopleTeam. Notre People Base,
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service HR adéquat, proche de vos
exigences anticipera vos besoins.
Vos objectifs dynamisent leurs
créativités, qui deviennent leurs
priorités. Nos atouts, création et
croissance au centre de la capitale
de l’Europe, la proximité, la diversité, l’alliance des mixités linguistiques et culturelles. »
Fidèle à l’engagement de son
créateur Marie-Claire Clabots,
People contribue à l’expansion d’un emploi qui valorise les « PEOPLE».
«Nous sommes là pour cela, et là pour vous. »
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Pour les entreprises bruxelloises, la Wallonie est un marché à portée de main.
(Re)Développez-y vos relations grâce au
programme «viavia wallonia flanders
brussels»! Plus que jamais, vu la conjoncture économique mondiale, les échanges
commerciaux et les partenariats doivent
se multiplier et se diversifier. L’Union Européenne ainsi que la Wallonie ont mis
en place un nouveau projet de rapprochement et de développement économique
interrégional. Le but est clairement de
faciliter les rapports entrepreneuriaux
entre nos différentes régions si proches et
parfois si lointaines. « Ce programme vous
permettra de (re)découvrir votre voisins et
d’y développer synergies et partenariats.
Pour toute information, contactez l’agence
intercommunale IDETA de Tournai : dmg@
ideta.be Retrouvez-nous également sur le
site www.programmeviavia.be . »
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Première entreprise belge de transports publics urbains, la STIB exploite un
réseau intégré de trams, bus et métros.
la stib
confie la gestion de
son parc de 3.000 PC
à econocom
Le groupe Econocom, leader européen en matière de gestion d’infrastructures informatiques et télécoms dans les
entreprises, vient de signer un contrat d’environ 17 millions
d’euros portant sur la gestion du parc d’ordinateurs de la
STIB, la société bruxelloise de transport public.
Le contrat porte sur la gestion de 3.000 PC, répartis sur une
cinquantaine de sites dans Bruxelles. Il s’agit essentiellement de PC situés dans les bureaux de l’entreprise de transport public, mais aussi dans un certain nombre de kiosques
du réseau métro-tram-bus. Le parc inclut également environ
300 ordinateurs embarqués dans les véhicules. La valeur
du contrat est estimée à 17 millions d’euros, soit environ 9
n° 1 - janvier 2011 - E ntr EprE n drE
20
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Lien vers http://www.restopass.com/belgium2/french/whyrestopass.php
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   
millions pour les prestations de services et les licences, et 8
millions d’euros pour le leasing du matériel sur une période
de 6 ans. Première entreprise belge de transports publics
urbains, la STIB exploite un réseau intégré de trams, bus et
métros. Ses lignes desservent les 19 communes de la Région
de Bruxelles-Capitale ainsi que 11 communes de la périphérie. En 2009, l’entreprise qui emploie 6 500 personnes
comptabilisait 290,6 millions de déplacements.
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Rue Royale 76 - 1000 Bruxelles
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r
des restaurants préférés des Bruxellois
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déchets, mon expert, c’est SITA.”
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Jean-Pierre, Senior
Account Manager
chez Destiny..
Jean-Pierre senecaut nommé
Senior Account Manager chez Destiny
Destiny, l’opérateur télécom indépendant belge, spécialisé dans les réseaux de
données privés et dans les solutions télécom pour entreprises, a nommé JeanPierre Senecaut (43) comme Senior Account Manager. Son engagement s’inscrit
dans la poursuite de l’extension et dans la professionnalisation de la structure
des ventes actuelles. De par sa fonction il est responsable pour l’extension du portefeuille de la clientèle professionnelle.
Par le passé, Jean-Pierre Senecaut a été chargé de différentes fonctions comme
senior sales externe, notamment chez Nashuatec, Colt Telecom, Mobistar et Econocom, chez qui il s’est surtout concentré sur le recrutement de clients et sur
une approche active de prospects. Actuellement il s’occupe essentiellement de
la région du ‘grand Bruxelles’, dont relèvent entre autres Zaventem, Vilvoorde et
Diegem. Jean-Pierre Senecaut, Senior Account Manager : « Je suis très impatient de faire partie de cette jeune entreprise dynamique et d’apporter mon grain à leur croissance. Leurs solutions télécom via le câble en cuivre offrent aux
entreprises une garantie de qualité, une augmentation de l’efficacité et une économie importante des coûts, ce qui
répond totalement aux besoins des entreprises. »
Destiny
Culliganlaan 2C - 1831 Diegem
t +32 2 401 97 55F +32 2 401 97 44
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n° 1 - janvier 2011 - E ntr EprE n drE
22
banque triodos et electrabel,
lauréats des Prix Caïus
Organisé depuis 1989 par Prométhéa
asbl, le Concours des Caïus met à l’honneur le mécénat culturel et les entreprises qui se distinguent par leur créativité, leur dynamisme, leur persévérance
et leur contribution au développement
culturel et patrimonial en Belgique. En
plus de 20 ans, 85 entreprises ont été
récompensées et plus de 400 projets
ont été présentés par les entreprises
mécènes. Les Caïus sont ainsi devenus la
vitrine du mécénat culturel en Belgique.
Pour la 22e remise des Prix, le 24 novembre 2010 au Palais des Beaux-Arts de
Charleroi, quatre Caïus seront décernés
par le jury, composé de personnalités
issues des milieux économique et culturel : une PME et une Grande Entreprise
se verront remettre par la Ministre de
la Culture et de l’Audiovisuel de la Communauté française, un Prix Caïus pour
l’exemplarité de leurs actions de mécé-
nat culturel. Deux autres entreprises
recevront, des Ministres en charge du
Patrimoine, un Prix Caïus pour leurs
actions menées en faveur du Patrimoine
wallon et bruxellois.
Prométhéa
Avenue Molière 225 - 1050 Bruxelles
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LAUREATS CAÏUS CULTURE
CAIUS CULTURE PME
Banque Triodos pour le soutien
à la numérisation et à l’édition
DVD de films d’André Delvaux
par la Cinematek
CAÏUS CULTURE GRANDE ENTREPRISE
Electrabel pour le soutien au programme social du Théâtre Royal de
la Monnaie «Un Pont entre deux Mondes»
Profil
Une garantie pour réaliser
vos projets à Bruxelles
Vous l’avez peut être déjà constaté. Il n’est pas toujours évident de trouver les moyens
financiers nécessaires pour réaliser vos projets d’entreprise. Les organismes bancaires sont
souvent frileux confrontés à l’insuffisance de garanties présentées par les PME, les indépendants et les titulaires de professions libérales qui se lancent dans une activité nouvelle ou qui
veulent se développer.
L’objectif du Fonds Bruxellois de Garantie est justement
de compenser cette absence de garanties. L’entreprise ou
l’indépendant qui ne disposerait pas de garanties réelles
ou personnelles suffisantes pour couvrir une demande de
crédit professionnel, peut, en effet, s’adresser au Fonds,
pour obtenir de la Région le supplément de garantie nécessaire.
Cette garantie est importante puisqu’elle peut couvrir
jusqu’à 80% des crédits demandés. Les demandes peuvent
être introduites soit en direct par l’entrepreneur, soit via
la banque.
Vous le constatez, le Fonds offre un avantage substantiel
rendant possible le financement de projet qui n’auraient
jamais vu le jour sans lui.
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financement ?
Consultez alors le moteur de recherche bruxellois sur les
aides www.ecosubsibru.be.
Une des grandes forces du Fonds est très certainement sa rapidité. Effectivement, la question du délai de traitement d’un
dossier est souvent cruciale pour celui qui se lance dans un
projet d’entreprise. Une décision du Fonds de Garantie prend
en général 15 jours, voire 5 jours dans certains cas.
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Tout ce que vous devriez savoir
pour entreprendre à Bruxelles
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OM TE ONDERNEMEN IN BRUSSEL
Une initiative de la Région de Bruxelles-Capitale
Profil
SITA,
le leader du marché
en destruction de
documents
confidentiels
Les fragments sont mélangés à des fragments
d’autres provenances, ce qui rend impossible
tout traçage des données confidentielles d’un
client donné.
n° 1 - janvier 2011 - E ntr EprE n drE
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Les volumes de l’information ne cessent de s’accroître, dans
notre monde. Ces données deviennent aussi beaucoup plus
accessibles, même au sein d’une entreprise, d’une organisation ou d’une institution.
Cette masse d’informations n’est pas publique pour autant –
ou ne devrait pas le devenir. Bien au contraire.
Il est donc évident que lorsque l’on désire détruire des informations confidentielles contenues dans des documents,
copies papier, cd-roms et disques durs, la confidentialité doit
être préservée à tout moment, sans la moindre concession.
Il n’y a en Belgique qu’un très petit nombre de spécialistes
capables d’offrir une solution adéquate à de telles demandes. Leader du marché et division du groupe mondial GDF
Environnement, SITA Archives a développé, pour cette problématique, une solution en cycle totalement fermé. La solution maintient l’ensemble du processus en gestion propre
tout en accordant la priorité absolue à la confidentialité.
Cette démarche tout à fait particulière implique dans la pratique que dès l’instant où les documents sont placés dans un
conteneur scellé, plus aucun contact humain n’aura lieu, pas
plus qu’il n’y aura d’étapes intermédiaires ou d’interventions de parties tierces. Les conteneurs sont en effet transférés immédiatement et de manière discrète vers l’unité de
traitement centrale de Willebroek en vue de la destruction
de leur contenu.
SITA Archives garantit la destruction de l’information dans
un délai d’un jour ouvrable après la collecte.
La destruction est confiée à des machines modernes de forte
capacité. Les fragments, qui sont hachés jusqu’au niveau
DIN 32757-1 Stufe2, sont ensuite mélangés à des fragments
d’autres provenances, ce qui rend impossible tout traçage
des données confidentielles d’un client donné.
Tout contact direct avec ces flux de résidus est d’ailleurs
exclu. À l’instar des véhicules destinés à la collecte, le site
de destruction est sécurisé de diverses manières. Si le client
souhaite malgré tout suivre l’intégralité du processus, il a
la possibilité d’être personnellement présent lors du traite-
ment. Il va de soi qu’après chaque collecte, le client reçoit
systématiquement une attestation de destruction.
SITA Archives a déjà 20 ans d’expérience et une longue liste
de références, notamment en raison de sa couverture nationale. Qu’ils appartiennent au monde de l’entreprise, au secteur financier, au monde institutionnel ou au secteur médical, les clients auront toujours la faculté de faire développer
une solution sur mesure qui leur laisse le choix entre une
approche structurelle avec des collectes planifiées à l’avance
et un planning de collecte plus occasionnel.
Bien que le concept de ‘paperless office’ soit à l’agenda (papier) depuis bien des années déjà, il est évident qu’un grand
nombre d’entreprises souhaitent encore faire appel à un spécialiste capable de les seconder dans la destruction de tous
ces documents, souvent particulièrement confidentiels.
Peu importe que la collecte soit ponctuelle ou régulière : le système de destruction de données confidentielles en circuit fermé constitue un atout unique et distinctif de SITA Archives.
www.sita.be
0800/90 789
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l’actualité économique bruxelloise
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Les entreprises ont enfin leur réseau.
Grâce à 200 points de diffusion disséminés dans 390 entreprises à Bruxelles, les présentoirs Bizzbox
diffusent l’information économique et institutionnelle des acteurs bruxellois. Créé en association
avec Beci, le réseau veut renforcer les relations entre institutions de la capitale et promouvoir l’activité économique bruxelloise. La rubrique Bizzbox News entend renforcer cet objectif.
BIZZ
BOX
Vincent Gilleman, pour bizzbox
FOCUS: Depuis le MAPIC Award 2010, ne dites plus Bruxelles, mais Bru-Sales !
Ce mois de novembre 2010, Cannes prenait une
nouvelle fois les couleurs belges, bruxelloises même!
Au MAPIC, le plus important salon dédié à l’immobilier commercial, ce n’est pas son cinéma qui était
récompensé, ni l’efficacité de ses créatifs publicitaires, mais le dynamisme et le développement de
l’attractivité commerciale de la Région bruxelloise.
Explications de ce qui n’est que le résultat d’une politique de fond menée par la Région.
25
particulièrement intéressants sur l’ensemble de l’offre
commerciale avoisinante. C’est ce que permet, ainsi, le
programme Opensoon proposé par l’Agence Atrium afin
de donner une impulsion commerciale à la revitalisation
de plusieurs quartiers bruxellois.
Promouvoir le secteur du commerce est aussi essentiel pour le dynamisme économique de la Région et de
son image. Ainsi, la réfection récente des Galeries Anspach, ou les Afterwork Shopping du Centre-ville, rejoint
aujourd’hui par les commerces de la Rue Neuve, inscrivent Bruxelles dans le concert des villes qui peuvent
proposer une offre commerciale jusqu’en soirée. Ce qui
ajoute à l’intérêt de notre Région qui accueille déjà de
nombreux congrès. Les commerces en sont les premiers
bénéficiaires, avec le renfort confirmé de la fréquentation des enseignes. Le Haut de la Ville n’est pas en reste
depuis la rénovation des Galeries de la Toison d’Or et la
Louise Night qui a rencontré un très grand succès. Ce pôle
commercial connaît aujourd’hui l’arrivée de nombreuses
nouvelles enseignes.
On le voit, ces efforts constituent une lame de fond qui
profite à tous: Bruxellois, congressistes, navetteurs et
touristes.
boN À saVoir : Tarifs privilégiés pour les membres BECI
Vous le savez, les membres de BECI jouissent de nombreux avantages. Mais savez-vous que
parmi ceux-ci, vous pouvez bénéficier de tarifs avantageux au sein du réseau biZZboX ?
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etc. Et vous serez ainsi au cœur des entreprises et des lieux d’affaires, touchant quotidiennement plus de 15.000 personnes !
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n° 1 - janvier 2011 - E ntr EprE n drE
«Cette récompense internationale, décernée par les professionnels du commerce,
offre une merveilleuse vitrine à Bruxelles
auprès de tous les professionnels étrangers et de toutes les grandes enseignes internationales. Elle vient saluer les efforts
consentis par la Région bruxelloise pour
développer l’attractivité de ses noyaux
Ministre Benoît Cerexhe,
en charge de la politique commerciaux en général, de ses pôles sudu Commerce en Région pra-régionaux en particulier. », commenbruxelloise. tait le Ministre bruxellois en charge de la
politique du Commerce en Région bruxelloise, Benoit Cerexhe. Et pour cause : en six ans, rien qu’en
termes budgétaires, les moyens alloués par la Région à la
politique de revitalisation commerciale ont été multipliés
par quatre, pour s’élever aujourd’hui à plus de 6 millions
d’euros par an !
Ces investissements financiers importants font suite à
la rédaction du ‘Livre Blanc du Commerce’ en 2005 et du
‘Schéma de Développement Commercial’ en 2006. Ils ont
initié les grandes lignes des programmes de fond menées
dans les quartiers commerçants de la capitale.
Mais pourquoi tant d’efforts pour ce secteur ? Les arguments sont nombreux. Il est source d’emploi pour plus
de 100.000 personnes, et ce sont très majoritairement
des habitants de notre Région. L’arrivée de nouveaux
commerces de qualité génère des effets d’entrainement
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FISCALITé
Votre société face au contrôle du fisc
Pour qu’un chef d’entreprise puisse déduire ses coûts en
tant que frais professionnels, il faut que ces derniers
aient été occasionnés dans le cadre de l’activité
professionnelle. Ces frais doivent être en rapport
avec l’exercice d’une activité au sein de la société.
Si ces dépenses ne se justifient pas en fonction de
l’activité de la société, la déduction en tant que
frais professionnels peut faire l’objet d’un refus.
I
n° 1 - janvier 2011 - E ntr EprE n drE
26
l existe toute une jurisprudence concernant le refus
d’accepter la déduction de certains coûts comme frais
professionnels, au motif que ces frais ne présentent
pas de rapport suffisant avec l’activité professionnelle.
Dans l’argumentation classique de la Cour de Cassation,
des coûts ne sont déductibles que lorsque les actes y afférents sont inhérents à l’exercice d’une activité au sein
de la société. Outre l’objet statutaire, il faut aussi tenir
compte de l’activité réelle.
… dans une filiale
Ainsi par exemple, une société de médecins a comme objet: «l’exercice de la médecine et toutes autres opérations
qui ont un rapport direct ou indirect avec l’exercice de
la médecine». Une société a investi en l’occurrence dans
l’usufruit d’un bien immobilier, tandis que ses gérants/
associés reprenaient la nue-propriété. Ensuite, la société a
loué ce bien immobilier à des tiers. La déduction des coûts
de cet investissement a été refusée par le fisc. L’opération
n’avait en effet aucun rapport avec l’objet social de la société. Même le fait que l’investissement produit des revenus imposables sous la forme de loyers n’enlève rien au
jugement des cours d’appel.
… dans une société d’investissement
Un deuxième exemple concerne une société dont l’objet
principal est «la constitution, la construction et la transformation de biens immobiliers». En outre, la société peut
également accomplir des «actes financiers concernant des
biens meubles qui ont un rapport direct ou indirect, partiel
ou non avec l’objet social». La société a conclu un prêt pour
acquérir des actions dans une autre société. Ces actions produisent un dividende, grâce auquel la société a remboursé le
prêt et les intérêts. En raison de l’application de la déduction
au titre de RDI, la perception du dividende est réalisée quasi
en exonération d’impôts. Les intérêts ont été déduits en tant
que frais professionnels. La Cour de Cassation a estimé que
ces intérêts n’étaient pas déductibles car «cette opération
isolée et exceptionnelle n’avait pas lieu d’être dans le cadre
de l’activité professionnelle» et n’avait, du reste, pas de rapport avec celle-ci.
mais jusqu’où le fisc peut-il aller?
L’attribution d’avantages au gérant, comme une habitation mise à sa disposition, que ce soit à titre gratuit ou
onéreux, n’est, en principe, pas propre à l’objet de la société. L’attribution d’avantages de ce genre n’est cependant pas un but en soi, mais un moyen pour mettre en
oeuvre l’objet de la société. La jurisprudence a déjà jugé
à plusieurs reprises que lorsque le gérant est imposé sur
ces avantages, ces frais sont déductibles dans le chef de
la société. Il n’est pas établi si ces frais seront également
visés à l’avenir. En tous cas, on peut s’attendre à ce que
les charges qui n’ont pas un rapport direct avec l’objet de
la société soient examinées de plus près au cours d’un
contrôle fiscal.
en bref
Il est conseillé de chercher à démontrer activement le rapport entre les frais engagés et l’objet statutaire ou l’activité réelle de la société. Une désignation claire et correcte
de l’objet de la société dans les statuts et les rapports du
conseil d’administration sont toujours des éléments de
nature à contribuer à une décision positive quant à la déductibilité des frais engagés.
Inge Sercu, Tax & Legal Services Deloitte
[email protected]
Profil
AChAT D’éNERgIE
une stratégie cohérente face
à un marché instable (ou volatil)
Pendant l’été 2008, les prix sur les marchés de gros de l’énergie atteignaient des pics de
plus de 90€/MWh pour l’électricité, 40€/MWh pour le gaz naturel et 145$ le baril de pétrole.
De nombreux analystes s’attendaient à voir de telles hausses se poursuivre, d’autres prédisaient à l’inverse un repli des cours à un niveau nettement inférieur. Qui avait raison?
Les seconds, mais à l’époque personne ne le savait.
Une telle volatilité confronte les acheteurs à un sérieux
défi : comment échafauder une politique d’achat d’énergie
pertinente et adaptée aux besoins de leur entreprise sans
autre certitude que la volatilité des cours ?Cette question a
incité Electrabel à concevoir une nouvelle approche visant
à accompagner les entreprises dans leur stratégie d’achat
d’énergie. Une approche qui place le client au centre de la
démarche.
les facteurs déterminants
La hausse des prix de l’énergie a un impact déterminant sur
les coûts totaux d’un grand nombre d’entreprises et donc sur
leur compétitivité. Sur un marché aussi fluctuant, le choix
d’un produit prix adapté devient une priorité. Comment les
entreprises effectuent-elles ce choix et comment élaborentelles leur stratégie d’achat ?Au terme d’une étude réalisée
auprès d’un certain nombre de clients représentatifs de ses
différents segments, Electrabel a dressé la liste des paramètres les plus significatifs : la prévisibilité du budget, la
gestion du risque, la compétitivité des achats, la stabilité des
coûts et le temps consacré à la sélection et à la gestion du
contrat d’électricité.
une stratégie se dessine
Les résultats de l’enquête ont permis de distinguer quatre
profils de clients: conservateur, défensif, dynamique et opportuniste.
Le profilage d’une entreprise est un outil utile au développement d’une stratégie d’achat. De manière très schématique, on peut catégoriser les profils comme suit: si le coût
énergétique joue un rôle relativement faible dans le budget
d’une entreprise et que celle-ci est hostile au risque, elle appartient certainement au profil conservateur. Si, malgré une
part énergétique modérée, elle souhaite prendre certains
risques et saisir les opportunités de marchés, le profil sera
opportuniste. Un coût énergétique élevé combiné avec une
aversion au risque correspond à un profil défensif. Enfin, le
profil dynamique caractérise les clients pour lesquels l’énergie pèse lourd, qui connaissent bien le marché et sont prêts
à prendre des risques mesurés visant un avantage concurrentiel. Ce sont en général de grandes entreprises où l’achat
d’énergie est géré par un responsable dédié.
un modèle pratique et structuré
Pour traduire ce modèle dans la pratique, Electrabel met la
touche finale à un questionnaire de profilage que le responsable énergie d’une entreprise pourra remplir avec l’aide de
son Account Manager. Une fois déterminé, le profil permettra de sélectionner le ou les produits prix correspondants.
Cette nouvelle approche permet aux entreprises d’élaborer
leur stratégie de manière structurée et non arbitraire, à partir de leurs besoins réels et des moyens dont elles disposent.
Ce qui n’a rien d’un luxe face à un marché de l’énergie en
constante évolution.
Vous souhaitez en savoir plus sur la mise en œuvre d’une stratégie d’achat pertinente ?
Votre Account Manager est à votre disposition pour analyser le profil de votre entreprise.
CAT
dossier
véhicules utilitaires
A l’achat d’un nouveau Sprinter ou Vito : offre unique Best Basic.
4 ans d’entretien pour
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n° 1 - janvier 2011 - E ntr EprE n drE
28
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Dossier Véhicule
utilitaire
la fée électricité comme futur assuré ?
tNt en estafette électrique toyota Coms
à bruxelles
la voiture indissociable de la politique verte
de PwC
Car leasing : les flottes passent au vert
les nouveautés du salon :
remettons-nous à rêver !
le fisc et les voitures de société
pour les chefs d’entreprise
L
La voiture électrique n’a rien de nouveau, mais c’est la première fois qu’elle semble prête à
vraiment concurrencer le thermique. Les constructeurs développent tous, sans exception, des
véhicules propulsés totalement ou partiellement par l’énergie électrique.
Le but est bien sûr de réduire les émissions de gaz à effets de serre, le CO2 en particulier.
Pourtant, la fée électrique n’est pas sans faille.
Disponible dès 2011
Citroën C-Zéro, Mitsubishi i-MiEV, Nissan Leaf,
Peugeot iOn, etc. Ces modèles, visibles au salon
de Bruxelles, arrivent en concession à partir de
maintenant et d’autres suivront comme les
Renault Zoé et Smart E Drive. La Nissan Leaf a
même été élue Voiture de l’année 2011. Pourtant, leur succès commercial risque d’être marginal dans un premier temps encore à cause
d’un problème évident d’autonomie (160 km)
et d’un temps de charge rapide de minimum 30
minutes sur borne spéciale.
33
34
36
40
VOITuRE éLECTRIquE
La fée électricité
comme futur assuré ?
’électricité a toujours accompagné l’automobile. En 1899, la voiture électrique «Jamais Contente» du Schaerbeekois Camille
Jenatzy battait un record du monde de vitesse
et fut la première automobile à dépasser les
100 km/h. Mais à cause du peu d’autonomie des
batteries, et de leur poids, l’électricité fut vite
supplantée par le pétrole alors que le réseau de
distribution devait se développer totalement. La
fée électricité prépare sa revanche en ce début
de XXIe siècle. Même si il semble que pour 10
ans au moins, pétrole et électricité devront cohabiter, en particulier dans des voitures hybrides.
32
La voiture électrique semble prête à
vraiment concurrencer le thermique.
29
janvier 2011 - E ntrEprE n drE
DOSSIER
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dossier
véhicules utilitaires
Sur un cycle de vie, un véhicule électrique peut offrir des
réductions substantielles des émissions s’il est alimenté par des
sources d’énergie renouvelables. Voici le Renault Kangoo Z.E.
n° 1 - janvier 2011 - E ntr EprE n drE
30
Ceci dit, une marque propose un véhicule avec une autonomie plus large :
Tesla. Son roadster sportif peut rouler
365 km avec une charge. Et sa future
berline de luxe «S» devrait pouvoir
en faire autant. Néanmoins, d’autres
types de voitures électriques risquent
d’intéresser un certain nombre d’automobilistes : celles à autonomie étendue comme la Chevrolet Volt et l’Opel
Ampera.
La Chevrolet Volt et l’Opel Ampera ont
un mode de fonctionnement hybride
contraire de celui de la Honda Insight
ou des Lexus Hybrid et Toyota Prius &
Auris HSD. Ce n’est pas l’électrique qui
aide le thermique. Les Volt et Ampera
sont des voitures propulsées uniquement par l’électricité. Elles se rechargent
nucléaire. Contrairement aux voitures
au pétrole, les autos électriques polluent surtout à l’arrêt lors de la charge.
Et leurs émissions de CO2 dépendent
fortement du mode de production du
fournisseur d’électricité. Une étude
du WWF allemand a montré que si, en
2020, un million de voitures électriques
se déplaçaient sur les routes outre-Rhin,
le gain en émission de CO2 ne serait que
de 1 %. Pourquoi ?Parce que la plupart
des automobilistes rechargeraient leur
voiture le soir, en rentrant du travail,
en plein pic de consommation. Ce qui
imposerait d’avoir recours aux centrales à charbon, encore courantes chez
nos voisins. Donc la réduction des gaz à
effets de serre des voitures électriques
et hybrides plug-in est dépendante du
«L’avenir passera sans aucun doute par l’électricité. Le moteur électrique
supplantera le thermique. D’autant que le progrès technologique pourrait
résoudre les problèmes actuels de temps de charge et d’autonomie.
L’hybridation se généralisera d’abord pendant une décennie avant de laisser la
place au tout électrique.»
sur une prise mais une fois la batterie
vide, elles pourront continuer à rouler
grâce à un petit moteur essence qui se
mettra en route pour fabriquer de l’électricité. Ce bloc générateur autorise une
autonomie de 500 km.
Pollution ou pas ?
Le principal avantage de la voiture électrique est l’absence d’émission lors de
son déplacement. Toutefois, la production d’électricité pour leur recharge dépend de différentes sources : eau, soleil,
vent mais aussi charbon, gaz, pétrole et
régime de charge et de la structure du
réseau électrique. Sans oublier le risque
de black-out en cas de surcharge… Ainsi,
dans un premier temps, à cause d’un
risque de demande supplémentaire en
charbon, il est plus logique d’encourager l’hybridation.
Fabriquer, recycler
La fibre environnementale demande
aussi une interrogation sur la fabrication et le recyclage des batteries. Selon
Thundersky, fabricant de batteries, il
faut multiplier la capacité de la batterie
par 35 pour connaître l’énergie nécessaire à sa production. Ainsi, pour une
puissance de 25 kWh, on aura besoin
de 875 kWh. En considérant que cette
batterie sera construite en Chine, qui
se place en principal producteur, où les
centrales sont essentiellement à pétrole et à charbon (978 g CO2 par kWh)
et qu’il faut ensuite la transporter, en
compagnie de milliers d’autres, par bateau jusqu’en Europe, le bilan CO2 de la
fabrication est de 1000 tonnes ! Il faut
relativiser ce chiffre sur l’usage de l’automobile. Ainsi, pour un véhicule ayant
parcouru 150.000 km, l’empreinte carbone de la fabrication de la batterie est
de 6,6 g/km. Reste encore la problématique du recyclage et du retraitement
par l’utilisation d’éléments comme le
nickel ou le lithium. Par contre, contrairement au moteur thermique, pas de
problème d’huile et de filtres pour le
bloc électrique. Également moins gourmand en pièces métalliques. Il apparaît
que l’impact global de l’introduction
d’électricité sur les émissions de carbone sera faible jusqu’en 2030. Sur un
cycle de vie, un véhicule électrique
peut offrir des réductions substantielles
des émissions s’il est alimenté par des
sources d’énergie renouvelables.
besoin de courant
Pour l’utilisateur final, il convient de
disposer de bornes de recharge pour
assurer une mobilité et une extension
d’autonomie. La Belgique a, il faut bien
l’admettre, du retard dans ce domaine.
La faute à un manque d’impulsion
des pouvoirs publics. Contrairement à
d’autres capitales, il n’y a pas de bornes
publiques à Bruxelles. ThePluginCompany a toutefois installé des équipements pour les communes flamandes
de Diest et Bornem. C’est également
cette société qui a fourni les bornes
pour Daimler lors de la démonstration
de Smart électriques à Toison d’Or en
décembre et début janvier. Il fournit
aussi LeasePlan. ThePluginCompany,
Siemens et d’autres participent à l’implantation de bornes dans les parkings
souterrains, les parkings de centres
commerciaux, les parkings de fast-food
et les stations service. Siemens participe
à un projet conjoint SNCB, Cambio et
dossier véhicules utilitaires
LeasePlan pour équiper 34 gares dans le pays. Dans le même
ordre d’idée, Total a inauguré en octobre 2010 une borne à
Ruisbroek. Celle-ci fait partie d’un réseau de 12 bornes, essentiellement à Bruxelles et dans sa périphérie. Les entreprises
et les particuliers peuvent également installer des systèmes
à haut ampérage pour une charge plus rapide. Cet équipement est d’ailleurs fiscalement déductible à un taux de 120
%. À l’heure actuelle, la mise en place d’un réseau de bornes
semble passer essentiellement par des initiatives privées en
Belgique. Avec des risques de disparités dans le type de prises
disponibles et de moyens de paiement (abonnements, SMS,
jetons, cartes de paiement, cartes bancaires).
standard absent
Un autre souci actuel des voitures électriques est un manque
de standardisation entre les différents constructeurs. Le voltage et le type de courant diffèrent entre constructeurs.
«Il convient de disposer de bornes de recharge pour
assurer une mobilité et une extension d’autonomie.
La Belgique a, il faut bien l’admettre, du retard dans
ce domaine. La faute à un manque d’impulsion des
pouvoirs publics. Contrairement à d’autres capitales,
il n’y a pas de bornes publiques à Bruxelles.»
Renault et Nissan sont liés par une alliance et pourtant la Zoé
et la Leaf n’utilisent pas les mêmes prises. Cœur du système
et organe le plus onéreux, la batterie a aussi une durée de vie
limitée. Et ses capacités dépendent de la température et du
taux d’humidité, ainsi que des charges effectuées. D’où l’idée,
de certains constructeurs, de vendre leurs voitures électriques
hors prix de la batterie qui sera louée contre un loyer mensuel.
Elle restera donc propriété du constructeur qui prendra en
charge l’entretien et le remplacement éventuel.
«Contrairement aux voitures au pétrole, les autos électriques
polluent surtout à l’arrêt lors de la charge. Et leurs émissions
de CO2 dépendent fortement du mode de production du
fournisseur d’électricité. Une étude du WWF allemand a
montré que si, en 2020, un million de voitures électriques se
déplaçaient sur les routes outre-Rhin, le gain en émission de
CO2 ne serait que de 1 %. Pourquoi ?Parce que la plupart des
automobilistes rechargeraient leur voiture le soir, en rentrant
du travail, en plein pic de consommation.»
et la modularité. La télématique et l’interconnectivité permettent aussi de suivre l’évolution de la charge et de programmer
la climatisation à distance avant d’entrer dans la voiture.
Et puis, l’électricité nécessaire au fonctionnement des équipements de loisir et de confort peut être confiée en partie à des
cellules solaires.
L’avenir passera sans aucun doute par l’électricité. Le moteur
électrique supplantera le thermique. D’autant que le progrès
technologique pourrait résoudre les problèmes actuels de
temps de charge et d’autonomie. L’hybridation se généralisera d’abord pendant une décennie avant de laisser la place
au tout électrique. À moins qu’un vieil outsider ne resurgisse :
l’hydrogène. Ici la voiture utilise un moteur électrique qui reçoit son électricité par des piles à combustibles nécessitant de
l’hydrogène stocké dans un réservoir. On retrouverait alors le
réflexe du plein bien connu des automobilistes actuels.
Conviviale
Mais la voiture électrique a un avantage certain en milieu urbain. Elle sait se montrer discrète et non polluante. Le silence
de fonctionnement pose certes un problème de sécurité vis-àvis des piétons et cyclistes. Toutefois, il peut être facilement
résolu par une sonorisation discrète du véhicule en déplacement. Par contre, pas d’échappement et donc l’auto ne diffuse
ni particules fines, ni Nox. La compacité d’un moteur électrique et la possibilité de placer les batteries sous le plancher
autorisent de nouveaux design favorisant l’espace habitable
Il semble que pour 10 ans au moins, pétrole et électricité devront cohabiter, en particulier dans des voitures hybrides, comme le Toyota Prius.
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dossier
véhicules utilitaires
M OBILITé
TNT en estafette électrique Toyota
Coms à Bruxelles
La société de courrier express TNT teste le Toyota Coms en ce moment à Bruxelles. Ce véhicule
électrique est utilisé pour des livraisons de colis dans le Pentagone bruxellois. C’est une première
en Europe, car cette mini fourgonnette ne roule qu’au Japon actuellement. Cette initiative s’inscrit dans le programme «Planet Me» de TNT. Son objectif est de réduire les émissions de CO2 de
l’entreprise de 45% d’ici 2020. En plus du Coms, la société utilise des vélos électriques «Cyclocargo»
depuis octobre. Un camion amène les colis et courriers à proximité du centre et les véhicules électriques se chargent de la livraison au destinataire en centre-ville.
I
nterview de Karl Moeremans, membre de la direction de
TNT Express Benelux et Administrateur de TNT Express
Belgique qui a indiqué lors de la présentation du véhicule
que «le Coms nous permettra d’atteindre dans un centre ville
très encombré nos clients beaucoup plus rapidement».
n° 1 - janvier 2011 - E ntr EprE n drE
32
Le véhicule Coms, avec une capacité d’environ 1m³, est avant tout
utilisé pour transporter des documents et des petits colis.
entreprendre : quel type de colis et de clients sont
concernés par cette expérience?
karl moeremans : Le véhicule Coms, avec une capacité d’envi-
ron 1m³, est avant tout utilisé pour transporter des documents
et des petits colis. Mais il est également possible de livrer plusieurs colis à une seule adresse, dans ce cas de figure, le Coms
ne fait qu’un seul arrêt avant de retourner au dépôt.
e: Pourquoi avoir choisi bruxelles
pour cette expérience ?
k.m. : TNT Express Benelux livre des
colis, en partenariat avec Ecopostale,
depuis le 21 octobre avec des vélos électriques (Cyclocargo) à Bruxelles. Nous
pensons qu’un véhicule électrique
Coms est un ajout utile dans la flotte de
vélos électriques existante. Les coursiers
d’Ecopostale, qui conduisent les Cyclocargos, conduiront également le Coms
Toyota. Nous sommes actuellement en
mesure de pouvoir comparer, et ce dans
les mêmes conditions, les différents
véhicules respectueux de l’environnement.
«Le Coms a été lancé à
Bruxelles dans le cadre
du projet City Logistics.
Si le test s’avère positif,
le véhicule Coms pourra
être déployé avec un
dépôt mobile, dans d’autres pays et
villes. Ce concept de dépôt mobile
(camion) permet de transférer les
colis directement du hub TNT vers
le centre-ville. Les vélos et véhicules
électriques sont rechargés là-bas
et délivrent les paquets dans le
centre-ville et sa périphérie.»
durant la nuit.
e : si l’expérience est concluante,
d’autres villes du benelux verrontelles arriver de tels véhicules ?
k.m. : Le Coms a été lancé à Bruxelles
dans le cadre du projet City Logistics. Ce
projet comprend, dans sa phase finale,
un dépôt mobile. Si le test s’avère positif, le véhicule Coms pourra également
être déployé avec le même concept de
dépôt mobile, dans d’autres pays/villes.
Ce concept de dépôt mobile (camion)
permet de transférer les colis directement du hub TNT vers le centre-ville.
Karl Moeremans, TNT Express Belgique Les vélos et véhicules électriques sont
rechargés là-bas et délivrent les paquets dans le centre-ville et sa périphérie.
e: Pendant combien de temps ce véhicule va-t-il rouler
à bruxelles ?
k.m. : Le Coms va rouler pendant 3 mois dans Bruxelles.
e : quelle est l’autonomie du véhicule ?avez-vous des
points de recharge en ville ?
k.m. : L’autonomie d’un Coms est d’environ 50 km, mais cela
peut varier en fonction de la charge, de la température et du
terrain (vallonné, plat, etc.). Le véhicule peut être rechargé
via la prise de courant normale. Chez Ecopostale cela se fera
e : sentez-vous un intérêt des pouvoirs publics pour ce
type d’initiative ?et lesquelles ?
k.m. : Les pouvoirs publics sont certes intéressés, en particulier depuis que le projet City Logistics contribue à l’habitabilité de la ville de Bruxelles et par le fait que TNT n’est pas
subventionné. TNT est en contact avec la Région de BruxellesCapitale (Cabinet de Bruno de Lille). Ce cabinet a contribué
à la mise en place des vélos électriques (cyclocargos) et rend
actuellement possible le projet de Coms de Toyota.
dossier véhicules utilitaires
BEST PRACTICE
La voiture indissociable de la
politique verte de PwC
De 2007 à 2009, PricewaterhouseCoopers (PwC) a réduit ses émissions totales en C02 de 40 %.
Ce ‘Green Policy’ touche autant l’immobilier que l’organisation même de travail avec la stimulation du télétravail et le remplacement de certains voyages par la visioconférence. Mais avec
1056 voitures dans son parc belge, la source de CO2 de PwC est essentiellement automobile. Voilà
pourquoi la société a mis en place une politique de flotte axée sur la consommation.
Le parc automobile reste toutefois la
source principale de CO2. Ainsi, en
2008, 650 voitures ont été changées
pour les Juniors et Seniors. Les émissions moyennes de ces véhicules, des
Mini et des Ford Focus, étaient de 104
et 110 g/km, pour une consommation
33
Christian Claessens, director de PwC Belgium: «PwC veut sensibiliser ses collaborateurs à leur
contribution positive sur le plan écologique en ayant une vue sur leur consommation personnelle.»
tableau de bord de consommation
Le personnel est mis à contribution
avec l’application ‘My Fuel Consumption’. Le personnel peut ainsi suivre
de près la consommation. «L’opération
se fait à chaque plein. Cet outil est un
«Nos voitures doivent répondre à trois critères. Le premier est d’être une
‘Green car’, ensuite, la voiture doit être sûre et puis arrive le design. L’Audi A1
répondait parfaitement à cela.»
Christian Claessens, director de PwC Belgium
moyenne de 5,8 litres. Fin 2010, le
parc évolue avec un nouveau choix.
Avec l’aide d’ALD Automotive, PwC a
porté son choix sur l’Audi A1 1.6 TDI
90 avec des émissions de CO2 de 99
g/km. Christian Claessens motive
ce choix : «Nos voitures doivent répondre à trois critères. Le premier
est d’être une ‘Green car’, ensuite, la
voiture doit être sûre et puis arrive
le design. L’Audi A1 répondait parfaitement à cela». Et pour confirmer
son souci de sécurité, PwC monte des
pneus hiver sur ses voitures.
moyen pour sensibiliser nos collaborateurs à leur contribution positive sur
le plan écologique en ayant une vue
sur leur consommation personnelle».
Christian Claessens ne cache pas que
cela «influence positivement leur
comportement de conduite». Ainsi,
en 2009, la consommation totale de
carburant a baissé de 10 %. En adoptant une conduite «éco», on favorise
l’anticipation diminuant le risque
d’accident. Toutefois, «les mauvaises
habitudes revenant, il est important
de posséder un tel tableau de bord».
hybride en transition
PwC propose aussi un véhicule hybride
dans sa flotte destinée au management. On note malgré tout un «manque
d’enthousiasme» face à la Toyota Prius.
Mais la société compte intégrer l’Opel
Ampera dès fin 2011. Cette voiture roule
à l’électricité mais son autonomie est
augmentée grâce à un moteur thermique jouant le rôle de générateur en
consommant seulement 2 litres aux
100 km. Cette «hybride inversée» a un
bilan CO2 particulièrement intéressant
et évite la problématique d’autonomie des autos purement électriques.
Selon Christian Claessens, «l’arrivée
de voitures électriques de segment C
(65 % du marché) vont définir l’avenir
de ce mode de propulsion. Néanmoins,
notre analyse montre que la la propulsion électrique et son évolution ne
sont pas encore claires. L’autonomie est
aléatoire et la batterie coûte cher, sans
parler de son aspect écologique. Nous
n’avons pas d’autre choix que l’hybride
pour 5 à 10 ans encore».
Olivier Dusquesne
n° 1 - janvier 2011 - E ntr EprE n drE
M. Christian Claessens, Director de
PwC Belgium, nous a expliqué toute
cette philosophie et les évolutions
envisagées. Il ne s’agit pas seulement
de l’arrivée de 100 Audi A1 dans le
parc de l’entreprise pour les Juniors
et les Seniors, mais aussi de l’organisation même du bâtiment et du
travail. Ainsi, comme nous l’a appris
Christian Claessens, PwC favorise les
séminaires en interne, le recyclage, la
consommation de papier, l’isolation
et d’autres initiatives comme celle de
fermer les portes en été pour éviter
une surcharge de la climatisation, la
visioconférence et le télétravail.
dossier
véhicules utilitaires
CAR LEASINg
Les flottes passent au vert
Les voitures à faible émission de CO2 séduisent les particuliers et les entreprises. Cela
participe à l’assainissement des parcs favorisé notamment par une fiscalité avantageuse pour les «voitures vertes». Quant aux autres véhicules, leurs émissions baissent
également grâce à la technologie réduisant la consommation et les rejets polluants des
moteurs à combustion.
Ann Massart, ING Car Lease : «Les entreprises
sont à la recherche de véhicules verts à cause
de la position fiscale qui rend ce choix à la fois
économique et écologique.»
n° 1 - janvier 2011 - E ntr EprE n drE
34
Fiscalité
Ann Massart, Manager Marketing
& Communication, ING Car Lease,
explique que les entreprises sont à la
recherche de véhicules verts à cause
de la position fiscale qui rend ce choix
à la fois économique et écologique.
Ainsi, l’évolution des flottes gérées
par ING Car Lease est sans équivoque.
Tout d’abord, la crise a fait passer la
durée de contrat moyenne à 48 mois.
Pour ce qui est des émissions de CO2,
en décembre 2010, la moyenne des
émissions de CO2 de nouvelles acquisitions pour les clients de la société de
leasing était de 131 g/km en Belgique
contre 134 g/ en septembre. L’objectif
est d’atteindre 120 g/km en 2012. 80%
des véhicules commandés au premier semestre 2010 sont déductibles
au moins à 75%. 13% le sont même à
90%.
Voitures hybrides
L
a
baisse
des
émissions
moyennes des voitures immatriculées est indéniable. Cette
tendance est favorisée par deux phénomènes : la fiscalité CO2 et l’offre
des constructeurs. Ces derniers ont
réagi aux normes imposées et aux
incitants ou pénalisations fiscales.
La norme Euro 5 obligatoire depuis
ce 1er janvier et la pression constante
sur les constructeurs pour réduire
consommation et pollution accélèrent la recherche et développement
dans ce domaine. Ainsi, l’offre «verte»
est de plus en plus large, y compris
dans le haut de gamme.
Pour l’instant, le Diesel garde son
énorme part du lion. Ainsi, chez ING
Car Lease, ce type de moteur représente la quasi-totalité du volume des
contrats de leasing à 97 %. Les motorisations hybrides restent encore rares
avec à peine 2 % du parc. Toutefois,
selon Ann Massart, leur importance
va croître. Surtout dans une période
transitoire de 5 à 10 ans. En effet, dans
les motorisations alternatives, on
peut supposer un passage progressif
au tout électrique, lorsque l’autonomie et la charge des batteries seront
moins pénalisantes qu’aujourd’hui.
D’ailleurs, fin 2011, début 2012, des
voitures d’un autre genre débarqueront sur le marché. Ainsi, la Chevrolet Volt et l’Opel Ampera sont électriques. Mais lorsque les batteries
sont à plat, un moteur thermique se
met en route. Il ne sert pas à mou-
dossier véhicules utilitaires
voir la voiture, mais juste à produire
de l’électricité comme générateur.
Chez LeasePlan, le constat est le
même. Ainsi de moins de 1 % du
parc de véhicules Diesel entre 60 et
105 g CO2/km fin 2008, on est passé
à 13,7 % de cette catégorie au second
semestre 2010. La catégorie 106-115
g CO2/km progresse. Quant aux voitures émettant de 116 à 145 g CO2/km,
le pourcentage était de 51 % au second semestre 2008 à 56 % au second
semestre 2010. A contrario, la classe
146-170 g CO2/km ne concerne que 20
% du parc au 2nd semestre 2010 alors
qu’il était de 33 % en 2008. Gerry Van
Aken explique que cette évolution
est liée à deux phénomènes : la crise
économique et la modification de la
fiscalité.
ecodriving
Il permet aux gestionnaires de flotte
d’établir leur stratégie selon trois
piliers : People, Profit et Planet. Gerry
Van Aken précise d’ailleurs que «les
entreprises cherchent un équilibre
optimal entre la maîtrise des coûts, la
satisfaction du conducteur et la durabilité».
Plus globalement, les différentes sociétés de leasing ne se contentent pas
d’aider leurs clients à choisir des voitures répondant à certains critères.
Pour les entreprises soucieuses de
surveiller leur budget automobile ou
de contrôler leurs nuisances, des services de suivi de la consommation ou
des stages d’ecodriving sont là pour
«Les motorisations hybrides restent
encore rares avec à peine 2 % du
parc. Toutefois, leur importance va
croître. Surtout dans une période
transitoire de 5 à 10 ans. En effet, dans
les motorisations alternatives, on peut
supposer un passage progressif au
tout électrique, lorsque l’autonomie et
la charge des batteries seront moins
pénalisantes qu’aujourd’hui.»
Ann Massart, ING Car Lease
les aider à atteindre leurs objectifs
budgétaires et écologiques.
Olivier Duquesne
«Les entreprises cherchent un équilibre optimal entre la maîtrise des
coûts, la satisfaction du conducteur et la durabilité. Ça nous permet
d’établir notre stratégie selon trois piliers : People, Profit et Planet»
Gerry Van Aken, LeasePlan
LeasePlan a mis au point une méthodologie «Fleet Balance».
Aujourd’hui plus que jamais, la composition de
votre parc automobile et la mise en oeuvre d’une
Car Policy optimale sont les facteurs clés d’une
bonne gestion mobilité. Flexibilité, proactivité
et vision à long terme sont les conditions d’une
politique automobile réussie. Un conseil ciblé en
matière d’environnement et de fiscalité cadre dans
cette approche.
Ensemble, trouvons la solution qui correspond le
mieux aux besoins de votre entreprise.
ING Car Lease: la clé
d’une mobilité bien gérée.
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dossier
véhicules utilitaires
DéCOuVREz LES DERNIèRES NOuVEAuTéS Du SALON
Remettons-nous à rêver !
Ces dernières années, le secteur automobile a été fortement mis sous pression par
l’adoption de normes et de législations environnementales internationales. Les derniers
Salons ont donc eu un accent écologique assez marqué. Les différentes marques ont
mis leurs modèles respectueux de l’environnement sous les projecteurs et FEBIAC a tenté d’apporter sa contribution en faisant la promotion des véhicules électriques et des
A
n° 1 - janvier 2011 - E ntr EprE n drE
36
autres véhicules écologiques.
vec le slogan « Drive your
dream »,
l’organisateur
annonce bien la teneur
de la 89e édition du Salon. Remettons-nous à rêver... Allons au Salon
et découvrons-y la voiture de nos
rêves ! Que ce soit un robuste ou un
monovolume spacieux pour toute
la famille, ou un utilitaire pratique,
véritable solution de transport pour
l’entreprise, rêvons. Rêvons à une
petite balade cheveux au vent sur
une moto flambant neuve, succombons aux charmes d’un prototype ou
d’une première aux lignes sensuelles
et laissons-nous impressionner par
les chevaux rugissants des voitures
de luxe. Drive your dream. Pilotez vos
rêves. Vos rêves de conducteur. Telle
a été la source d’inspiration pour la
nouvelle affiche et le choix du thème
du prochain Salon.
Volkswagen amarok
VW revient au pick-up avec l’Amarok.
Ce véhicule peut être adapté à tous
les besoins en double ou simple cabine, à deux roues motrices, à quatre
roues motrices enclenchables ou à
transmission intégrale.
Volkswagen Caddy
Le Caddy et le Caddy Maxi ont un
nouveau visage, parfaitement dans
le style actuel de VW. La fourgonnette
peut recevoir, dans sa variante Caddy
Maxi, le système «Cargo Plus» allongeant la longueur de chargement
(côté passager) à plus de 3 m tout en
portant la capacité de chargement à
4,7 m³.
Volkswagen Crafter bluetDi
La camionnette Crafter est dotée
d’une nouvelle boîte de vitesses.
Ainsi, le Crafter BlueTDI consomme
en moyenne jusqu’à 0,9 l/100 km
de moins. Pour réduire encore son
empreinte écologique, l’utilitaire
propose, en option, la technologie
AdBlue (transforme les oxydes
d’azote des gaz d’échappement
en azote et en eau) et un système
«Stop-Start» coupant le moteur à
l’arrêt.
Ford Focus
La grande attraction du stand
Ford sera la présentation de la
nouvelle gamme Focus, en première belge.
VW Jetta et Passat
Le stand VW sera aussi l’occasion
de découvrir la nouvelle Jetta, totalement désolidarisée de la Golf
et la septième génération Passat,
en berline et en break.
Ford transit Connect beV
Pour la première fois en Belgique, Ford va exposer une variante électrique de
son utilitaire Transit. Le Transit Connect BEV est une fourgonnette se rechargeant sur prise. Son autonomie est de 130 km. En parallèle, Ford proposera aussi
une série spéciale Transit 45 pour l’anniversaire de ce modèle.
dossier véhicules utilitaires
lexus Ct200h
Spécialiste de l’hybride, la marque de
luxe de Toyota vient à Bruxelles avec
une berline premium… hybride, la
CT200h.
Nissan leaf
Citroën C4 / Ds4
La nouvelle berline C4 sera exposée à Bruxelles. La DS4 le sera aussi. Cette cinq-portes surélevée aux
lignes de coupé sera le deuxième
modèle de la lignée DS.
Citroën berlingo First electrique
La marque aux chevrons a électrifié
son petit utilitaire Berlingo First avec la
complicité du spécialiste monégasque
du genre : Venturi.
Nissan NV400
Le tout nouveau fourgon lourd de Nissan, le NV400
sera visible à Bruxelles. Il s’agit encore d’un prototype,
mais il est très proche de la production finale. C’est le
grand frère du tout nouveau NV200.
range rover evoque
Il faudra attendre l’automne 2011
avant de les croiser en rues, mais
Land Rover exposera déjà sur son
stand les versions trois et cinq
portes de son crossover sportif
Range Rover Evoque.
audi a6
La grande routière
Audi A6 fait ses premiers pas européens
au salon de Bruxelles.
Cette voiture de 4,92
m a fait régime avec
une carrosserie en aluminium et acier high
tech. Dès 2012, elle
existera en déclinaison hybride.
Nissan townpod
Ce concept ne sera visible que durant
la soirée VIP du 14 janvier 2011. Il préfigure une nouvelle génération de
voitures électriques.
Nissan Primastar
La camionnette Primastar, construite
en collaboration avec Renault, s’est
refait une beauté. À découvrir à
Bruxelles.
37
n° 1 - janvier 2011 - E ntr EprE n drE
La voiture de l’année 2011 est électrique. La Leaf s’expose pour la première fois à Bruxelles. Avec cette voiture, Nissan lance la première vraie
berline électrique. Les sociétés de
leasing de manqueront de la proposer aux flottes d’entreprise.
dossier
véhicules utilitaires
renault latitude
La berline haut de gamme de Renault
a une vocation mondiale. Construite
en Corée, cette voiture est dérivée d’un
modèle Samsung.
renault kangoo express Z.e.
Renault se place en chef de fil des
constructeurs croyant à l’électricité.
La Kangoo Express Z.E. est un petit
utilitaire pour la ville. D’autres modèles électriques seront exposés sur
le stand de la marque au losange : la
Fluence Z.E. et le Twizy.
saab 9-4X
38
n° 1 - janvier 2011 - E ntr EprE n drE
Véritable miraculé de la crise GM, Saab vient à Bruxelles avec
une première européenne : le crossover sportif 9-4X dont un
prototype d’essai camouflé a sillonné les routes belges durant sa phase de développement
opel ampera
Cette voiture fait et fera parler d’elle.
Cette berline roule grâce à un moteur
électrique. Mais un bloc thermique joue
le générateur lorsque la batterie est à
plat. Conséquence : une autonomie de
500 km. Du jamais vu en électrique.
opel astra sports tourer
L’Astra break se présente en
première belge au 89e salon
de Bruxelles.
Volvo V60
Le break de la S60 suit la trace de la berline. Son style est dynamique et la sécurité
prime. La V60 est construite à Gand dans l’usine Volvo. Le constructeur est passé
sous giron chinois en 2010.
dossier véhicules utilitaires
mercedes Viano
Le Viano a profité d’un face-lift portant essentiellement sur le regard.
Les suspensions ont été reparamétrées pour l’occasion.
bmW série 6 Cabriolet
La BMW Série 6 se dévoile d’abord
sous la forme d’un cabriolet en première européenne. Un coupé est déjà
dans le pipe-line. Cette voiture bénéficie d’une boîte automatique sport à
huit rapports et d’une commande de
régulation du comportement dynamique.
Peugeot 508
La 508 débarquera dans les
showrooms en février pour la berline et en mars pour le break. Les
nouvelles Peugeot se veulent plus
grandes que la 407 et tout aussi
luxueuses que la 607. Les motorisations sont variées avec une solution
e-HDi à faibles émissions de CO2. Un
hybride est annoncé pour 2012.
Peugeot 3008 hybrid4
En octobre, la marque au Lion commercialisera un crossover hybride Diesel. On pourra déjà découvrir cette Peugeot
au salon. La 3008 HYbrid4 associe un moteur thermique 2.0
HDi FAP de 163 ch, avec un moteur électrique de 37 ch.
Olivier Duquesne
Des voitures de rêve parmi les utilitaires
Grande innovation au salon de Bruxelles cette année. Le dernier week-end de l’événement, du samedi 22
au dimanche 23 janvier (soirée VIP le vendredi 21 janvier), accueillera cinquante voitures d’exception dans le
Palais 11. L’exposition «Dreamcars for Wishes» sera l’occasion de découvrir des modèles rarement présentés
en Belgique et d’autres, moins inconnus, mais toujours agréables à regarder. En effet, les organisateurs du
salon ont su convaincre les marques les plus prestigieuses, et sportives, de venir au Heysel durant trois jours.
En plus des marques de prestiges d’Aston Martin à Rolls-Royce, on pourra découvrir une Artega, une Bugatti,
une Exagon, une Fisker, une McLaren, une Tesla et une Touring. En prime, une première mondiale dévoilera
une nouvelle voiture belge portant un nom mythique : Imperia. Cette exposition coûte 7 euros et les bénéfices
seront reversés à l’association caritative «Make a Wish».
39
n° 1 - janvier 2011 - E ntr EprE n drE
alfa romeo mito 1.3 JtDm
La petite Alfa Romeo se présente avec un moteur en
première mondiale à Bruxelles : le 1.3 JTDm. Ce bloc
Diesel limite ses émissions de CO2 à 95 g CO2/km.
dossier
véhicules utilitaires
FISCALITé
Le fisc et les voitures de société
pour chefs d’entreprise
Pascaline Foucart, External Publishing Officer chez HDP a répondu à nos questions sur
n° 1 - janvier 2011 - E ntr EprE n drE
40
entreprendre : Un chef d’entreprise qui utilise une voiture
de société à des fins personnelles bénéficie d’un avantage
de toute nature soumis au précompte professionnel. Depuis janvier 2010, l’avantage de toute nature est calculé
sur la base de l’émission CO2 de la voiture. Quels sont les
avantages possibles pour les chefs d’entreprise optant
pour une voiture verte ?
Pascaline Foucart : Outre le fait que ce véhicule est généralement considéré comme consommant moins et est donc
moins coûteux à l’usage, en choisissant un véhicule moins
polluant, le chef d’entreprise diminue sa base imposable
et donc, au final, le montant de ses impôts. Par ailleurs,
en matière d’impôt des sociétés, le montant que celle-ci
pourra déduire à titre de frais professionnel sera également plus élevé. Pour rappel, depuis le 1er avril 2008, le
pourcentage de déduction des frais professionnels liés à
l’utilisation d’un véhicule dépend du taux d’émission de
CO2 de ce véhicule et du type de carburant utilisé. Concrètement : moins la voiture émet de CO2 par kilomètre parcourus, plus la société peut déduire. Une distinction est
établie entre les véhicules essence et diesel.
e : Comment l’avantage est-il calculé ?
P.F. : La valeur de cet avantage s’obtient en multipliant le
nombre de kilomètres parcourus à des fins privées par
le taux d’émission CO2 de la voiture et par un coefficient
CO2. Tant le fisc que l’ONSS acceptent que l’usage privé
soit déterminé forfaitairement selon la grille suivante :
Distance domicile – lieu de travail (aller simple)
Forfait annuel kilomètres parcourus à des fins privées
25 km ou pas de déplacement domicile – lieu de travail
5.000 km
> 25 km 7.500 km
e : quels sont ces fameux coefficient Co2 ?
P.F. : Les coefficients de CO2 sont indexés chaque année au
1er janvier. La première indexation de la nouvelle formule
de calcul a eu lieu le 1er janvier 2011. La nouvelle formule
fait passer le coefficient essence de 0,00210 euro à 0,00216
euro. En Diesel, le coefficient passe de 0,00230 euro à
0,00237 euro. Quant aux voitures électriques, le coefficient
de 0,10 euro reste inchangé.
e : Comment choisir une voiture verte ?
P.F. : En consultant attentivement les données techniques
du véhicule choisi et en particulier l’émission de CO2 (g/
© PhotoAlto/Reporters
les implications fiscales liées au choix des voitures de société des chefs d’entreprise.
En choisissant un véhicule moins polluant, le chef
d’entreprise diminue sa base imposable et donc, au
final, le montant de ses impôts.
km). Ce taux d’émission doit obligatoirement figurer parmi les données techniques fournies aux consommateurs.
Il est mentionné dans le certificat de conformité, dans
le procès-verbal de conformité de la voiture ou dans la
banque de données de la Direction de l’Immatriculation
des Voitures (DIV). Lorsqu’aucune donnée relative à l’émission de CO2 n’est disponible au sein de la DIV, les taux suivants sont utilisés : un moteur à essence, au LPG ou au gaz
naturel : 205 g/km ; un moteur au diesel : 195 g/km.
e : est-il envisageable de passer à l’électricité et
quels avantages pourrait-on tirer fiscalement ?
l’installation d’une borne de recharge à domicile
et/ou en entreprise est-elle déductible ?
P.F. : Si la multiplication de l’émission de CO2 du véhicule
et du coefficient de CO2 est inférieure à 0,1 €/km, l’avantage minimum imposable doit être appliqué. Cet avantage
minimum imposable est toujours d’application pour les
voitures électriques. En ce qui concerne la déductibilité
(impôt des sociétés) des véhicules électriques, la déductibilité est portée à 120 %.Cela constitue donc a priori un
choix fiscalement intéressant. Mais en ce qui concerne les
détails de ces déductibilités, je ne peux que vous inviter à
prendre contact avec un fiscaliste.
Olivier Dusquesne
With the technical and financial support of PRO€INVEST
PRO€INVEST is a programme of the Group of ACP States and the
European Commission for the promotion of investment and technology transfers in ACP
countries. Its management has been entrusted to a management unit within the Centre
for the Development of Enterprise (CDE) under the supervision of EuropeAid
Cooperation Office of the European Commission (EuropeAid).
SOPSED – Sustainable Organisations for Private Sector Development
SOPSED – Sustainable Organisations for Private Sector
Development
Données du projet
UN PROJET DE L’UNION EUROPENNE SOUTENU
PAR PRO€INVEST
Coût total du projet:
€2.335.825
Contribution de l’U.E:
€1.868.660
Durée:
14 mois
er
1 mai 2010 au 30 juin 2011
Direction du projet:
Partenaires:
 Brussels Enterprises Commerce &
Industry
 Afrika-Verein e.V
 Netherlands-African Business Council
 Centre de meditation et d’Arbitrage,
Paris
 Chambre de Commerce et d’Industrie
Du 1er mai 2010 au 30 juin 2011, le projet SOPSED a pour mission de renforcer la
capacité institutionnelle des organisations partenaires de ce projet dans le but de
soutenir les opportunités du secteur privé tant sur le plan régional, national et
international.
L’échange de bonnes pratiques et d’expériences professionnelles entre les
différents partenaires, est animé par le besoin de développer des produits et
services durables à long terme pour les membres, les multiplicateurs et les
parties prenantes dans le cadre de leur création ou leur développement.
Pour répondre aux objectifs de ce projet, une série de séminaires, de programme
d’immersion, de réunions virtuelles et d’événements de networking seront
organisés en Europe et en Afrique de l’Est au cours des quatorze prochains mois
et porteront sur les thèmes suivants:




Les Technologies de l’Information et de la Communication ;
Le Développement de relations commerciales interrégionales et
internationales, la réglementation et les opportunités B2B ;
La Gouvernance, le lobbying, le dialogue public-privé, l’accréditation et
la gestion de la qualité interne ;
la Durabilité et le développement organisationnel.
de Paris
 Chambre de Commerce et Associations
sectorielles d’Addis Ababa
 Chambre de Commerce et d’Industrie
fédérale du Burundi
 Chambre de Commerce et d’Industrie
nationale du Kenya
 Chambre de Commerce et d’Industrie
nationale de l’Ouganda
 Chambre de Commerce et d’Industrie
de la République de Maurice
Pour assurer la promotion et communication de ce projet, les multiplicateurs, les
parties prenantes et plusieurs PME sont invités à prendre part au programme de
formation et de renforcement des capacités. Un portail relatif au programme
ainsi qu’une base de données seront mis en place afin de promouvoir les
opportunités d’affaires entre les PME de l’Afrique de l’Est et de l’Union
européenne aboutissant ainsi à un évènement B2B qui se tiendra à la fin du
projet à Nairobi.
Ainsi SOPSED offrira des opportunités aux PME issues de 10 pays, apportera son
soutien au développement des relations commerciales internationales entre nos
régions dans le but de renforcer et de dynamiser les communautés d’affaires.
Plus d’info?
BECI : Olivier Willocx, SOPSED Partner Project Manager
Samira Aarbaj, SOPSED Partner Project Coordinator
500, Avenue Louise – 1050 Brussels
T. : +32 2 643 78 25 ; F. : +32 2 640 93 28 ; E. : [email protected]
Birmingham CCI: Rupi Nandra , SOPSED Lead Project Manager
T: +44 (0)121 607 0106 ; E: [email protected]
Le présent flyer a été élaboré en collaboration avec l’Union européenne. Son contenu est soumis à la seule responsabilité des douze organisations mentionnnées ci-dessus
et ne reflète en rien la position de l’Union européenne.

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Dossier
Stock & archivage
au panier, les documents papier ?
les data centers nouvelle génération
sont arrivés
Je veux tout savoir.
le puis-je, même sur moi-même ?
le scanner portable a plus d’un tour
dans son sac
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ARChIVAgE
DOSSIER
Sylvie Cousin
Au panier,
les documents papier ?
L’entreprise d’aujourd’hui n’a pas facile à administrer ses documents. Elle doit en gérer de plus en plus,
pouvoir les consulter à tout moment, conserver ceux qui ont une valeur probante… Peut-elle les faire
passer à la moulinette du numérique ?Oui, mais… Le cadre légal n’est pas prêt. Et la technologie vite
obsolète ne facilite pas les choses pour un archivage à long terme… Les conseils des professionnels du
secteur.
C
es entrepôts longs de plusieurs
centaines de kilomètres qui
accueillent au quotidien des
millions de dossiers, plus ou moins
confidentiels, précieux ou vitaux,
existent encore bel et bien. Ils pratiquent l’archivage et le désarchivage
pour des entreprises qui préfèrent
dédier des mètres carrés de bureaux
à autre chose qu’à des caisses de documents, dont 95% sont dormants.
Ces gigantesques espaces de stockage
appartiennent à Merak, Cintas, eXbo,
Fedaso… Des acteurs dont beaucoup
sont historiquement liés au papier se
sont transformés, par engagement de
compétences ou par regroupement,
en experts de l’information management.
On module les accès selon les profils d’utilisateurs. L’historique des logs
retrace qui a consulté quoi. Confier à un organisme neutre, indépendant de
l’IT en interne, la programmation des profils peut se justifier, par exemple
pour les documents émanant du service du personnel. Et si on reste inquiet,
on doublera le processus d’authentification via un second digipass, ou une
signature électronique.
En pratique,
peut-on accéder
rapidement
à ses archives
externes ?
Soit les archives restent uniquement physiques: elles sont étiquetées et indexées dans un logiciel via le code à barres des boîtes
d’archives. Soit, elles sont scannées en masse si le client le souhaite. Via une plateforme web,
l’utilisateur consulte ses archives
quand il veut, qu’elles soient
numériques ou exclusivement
papier. Il navigue dans l’index et
trouve en un minimum de temps
le bon document, en commande
un format PDF via email ou la
restitution de l’original papier.
Via le même logiciel, il peut aussi
programmer les paramètres de
la destruction automatique des
archives à l’échéance légale. Un
archivage en interne peut aussi
être envisagé.
n° 1 - janvier 2011 - E ntr EprE n drE
44
l’archivage numérique, que du
bonheur ?
Les avantages de dématérialiser les
documents sont multiples :
Accessibilité : de nombreux utilisateurs accèdent au document, où
qu’ils soient ;
Contrôle : on module les accès
selon les profils d’utilisateur.
L’historique des logs retrace qui a
consulté quoi. Confier à un organisme neutre, indépendant de
l’IT en interne, la programmation
des profils peut se justifier, par
exemple pour les documents émanant du service du personnel. Et si
on reste inquiet, on doublera le
processus d’authentification via
un second digipass, ou une signature électronique.
Pérennité et intégrité du document : l’utilisateur accède à une
version figée. Il veut la modifier ?Le logiciel piste toutes les
interventions et leurs auteurs, et
au nom de la pérennité et de l’intégrité, le moindre changement
modifie l’empreinte électronique
du document et rend la signature
invalide : le système génère alors
un nouveau document.
Analyse : Via l’ajout en mode xml
de tags, on extrait à partir de ce qui
était avant des images, devenues
à présent des PDF/A(archivable),
des données structurées précieuses à des fins d’analyse. «Un
organisme de crédit étudie ainsi
plus facilement la solvabilité de
ses contrats », nous confie Veerle
Lenaerts, Sales Project Manager
chez Merak.
La dématérialisation participe à une
meilleure efficacité et rationalise les
coûts de l’entreprise. Alors pourquoi,
de nouveaux entrepôts s’ouvrent encore aujourd’hui ?Merak a d’ailleurs
récemment agrandi un de ses sites.
Documents dormants s’abstenir
Chez Merak, on considère que des
archives peu vivantes, devant être
conservées 10 à 12 ans, ne valent pas
la peine d’être numérisées. Numériser ses archives sera donc judicieux
si le document est vivant, est souvent
consulté par de nombreux utilisateurs.
«Scanner nécessite des actes manuels
de préparation et un travail de regroupement et d’indexation. Dans certains
cas, il est plus justifié de scanner sur
demande. Et dans d’autres cas, il peut
être plus économique de scanner en
masse. Imaginons une banque dont le
call center doit répondre en ligne à des
questions sur des contrats de crédit.
Un appel sortant après avoir dû désarchiver la pièce serait trop coûteux»,
précise André Rooms, fondateur de
Merak. L’archivage électronique des
documents papier soulève encore plusieurs difficultés sur le plan technologique, organisationnel et normatif.
© Imagesource/Reporters
rien n’autorise à détruire la
version papier
Aucun cadre légal ne définit les prestations des tiers archiveurs. La loi du
15/5/2007 n’a pas été suivie d’arrêtés
d’exécution. Aucune loi ne stipulant
encore le contraire, numériser ses documents ne signifie donc pas que l’on
peut détruire les originaux papiers,
sauf dans certains cas particuliers
pour lesquels des lois spécifiques
ont été édictées. Une facture doit encore être conservée 7 ans (voire 15 ans
dans des cas spécifiques), certains documents encore 30 ans…
dossier Stock & archivage
Numériser ses documents ne signifie pas que l’on peut détruire les papiers originaux, s
auf dans certains cas particuliers pour lesquels des lois spécifiques ont été édictées.
Une facture doit encore être conservée 7 ans (voire 15 ans dans des cas spécifiques),
certains documents encore 30 ans…
Les archives papier peuvent résister
30 ans, et même bien plus, grâce à
des boîtes résistant à l’épreuve du
temps, du feu et de l’eau. «Par contre,
l’évolution des technologies connaît
des cycles bien plus courts que les
délais d’archivage légaux. Des plans
de migration doivent donc être mis
en œuvre avant que les logiciels et les
supports ne deviennent obsolètes»
s’inquiète Phedra Clouner, porte-parole de Fedisa (Fédération de l’Information Lifecycle Management, du
Stockage et de l’Archivage). Cela soulève le souci de l’intégrité des documents et de sa pérennité, comme
lors d’un transfert de masse. Suivre
les normes et les standards (PDF/A,
XML, ISO 15489, MoReq2, normes
européennes relatives aux systèmes
d’archivage numérique…) est pour
cette raison plus rassurant.
«on n’arrive plus à lire le document»
C’est ce que Merak entend souvent
chez ses clients. L’archiveur a donc
décidé de dédier 5 personnes au développement, à la maintenance et à
la veille technologique des logiciels
(axée cette fois sur les techniques
mourantes et non émergentes), afin
de garantir à ses clients que les contenus de ses documents resteront toujours lisibles. Même discours chez
Cintas, dont l’approche «one stops
shopping» est d’ «offrir une solution
pour le passé, le présent et le futur».
la digitalisation des processus
en bonne voie
Si aucune loi, ou presque, ne permet
de détruire la version papier d’un
document numérisé, il en est autrement pour un document comme une
facture créée nativement par voie
électronique. Dans ce cas, une version
papier n’est pas obligatoire.
Suite à l’explosion de l’information
numérique, la digitalisation des processus est encouragée. Depuis 2004,
une loi fixe le cadre juridique de
la facturation électronique, et une
circulaire de la TVA, les modalités
d’archivage, sans toutefois imposer
à chacune de dématérialiser ses factures. «Pour que les choses bougent,
il faudra que l’on soit mis au pied du
mur. Des réglementations n’ont vu le
jour aux USA qu’après le 11 septembre
2001, suite aux graves problèmes que
les entreprises logées dans les tours
ont connus par la perte de documents
précieux et après les scandales financiers tels que ENRON», poursuit la
porte parole de Fedisa.
Valeur probante des documents
électroniques
Les documents électroniques signés
(donc prouvant l’identité de l’auteur)
Stockage et gestion des archives
Scanning
Stockage de données
Mailroom services
Information Management System
ICT Services
Matériels d’archivage
Destruction d’archives
Slachthuisstraat 25
B-2300 Turnhout
Tel: 014-412 777
[email protected]
www.cintas.be
45
n° 1 - janvier 2011 - E ntr EprE n drE
obsolescence technologique
d o ssi e r
Stock & archivage
et conservés sous certaines conditions
peuvent être reçus comme preuve, à
l’instar d’un original papier, dans le
cadre d’un procès, même si leur valeur probante est toujours laissée à
la décision du juge. Des techniques
comme la signature électronique en
garantissent l’authenticité et l’intégrité. Pour en assurer l’intégrité, les
bonnes pratiques préconisent d’héberger les documents dans le système d’archivage électronique d’un
tiers de confiance. Celui-ci qui en a
fait son métier, est outillé de logiciels
sophistiqués entièrement sécurisés
traçant la moindre manipulation
opérée sur un document archivé dans
son système.
Favoriser l’accès aux Pme
n° 1 - janvier 2011 - E ntr EprE n drE
46
Les systèmes seraient de plus en
plus accessibles via l’offre de fournisseurs externes mais restent coûteux pour une PME. «Nous devons les
rendre plus accessibles», s’exprime
Ph. Clouner : «Car, en cas de litige,
si le document est archivé dans un
système électronique d’archivage,
certification reconnues jusqu’alors,
à partir du moment où la méthode
utilisée garantie l’authentification de
l’origine de la facture et l’intégrité de
ses données. Il n’est plus requis non
plus de faire agréer préalablement sa
méthode auprès de l’administration.
Par contre, des difficultés subsistent,
Faut-il un système d’archivage numérique si l’entreprise
dispose déjà d’un «Document management system» (Dms) ?
«Ce sont deux choses différentes. Dans le DMS, on gère des documents
à partir de leur création pendant toute leur durée de vie, dans le cadre
des tâches quotidiennes de l’organisation. .Tandis que le système d’archivage électronique ne concerne que les documents validés et donc
figés, qui ne sont plus censés changer. C’est ce système qui garantit
précisément la «pérennité» et l’intégrité du document», nuance Phedra Clouner. Et si une entreprise a son DMS ?« Pour 60% des grandes
entreprises, c’est déjà le cas, mais nous pouvons fournir les outils pour
faciliter l’intégration»
d’un tiers archiveur, ou interne à
l’organisation, il sera plus recevable
aux yeux du législateur.» Et le Cloud
Computing ?«Le logiciel reviendrait
moins cher mais est-ce une solution
garantissant l’intégrité totale, dans
le respect des lois et règlementations
applicables en Belgique?», s’interroge
Phedra Clouner.
En ce qui concerne les factures, la loi
a été assouplie depuis 2010. Il n’y a
plus d’obligation depuis cette année
d’utiliser une des 3 méthodes de
comme la durée de validité du certificat associé à la signature électronique : tous les 5 ans, il faut résigner
tous les documents, et cette resignature massive repose le problème du
check d’intégrité. Pas simple…
Nombreux bénéfices
«C’est positif car cela influe sur la
quantité de papiers, donc de l’espace
de stockage, et cela permet de revoir
les processus et donc de les améliorer. Le résultat pour l’entreprise, c‘est
qu’elle y gagne en confort et en rapidité de recherche», rapporte Mme
Clouner.
Selon une étude de l’Agence Wallonne des Télécommunications, la facture papier coûterait 8 à 10 €, prix que
l’on peut diviser par 2 pour la facture
électronique.
et écologiquement ?
Ph. Clouner : «Je serais prudente. Car
si le document est électronique à la
base, en effet, il ne faut pas en archiver une version papier. Sinon l’original papier doit être conservé. Et les
serveurs ont une empreinte écologique considérable. L’explosion de
l’info numérique demande des machines dont les systèmes de refroidissement sont très énergivores. Comme
le turn over est important, on peut
espérer qu’ils soient bientôt remplacés par des équipements ’Green’.».
Notons aussi que les supports numériques, tout comme les back-ups des
serveurs du tiers archiveur lui-même,
ont aussi besoin d’un endroit sûr, tel
le e-bunker de Merak. Cintas Document Management Belgium détient
aussi dans son coffre fort ultra sécurisé les supports électroniques confiés
par les entreprises, qu’elle peut libérer en cas de calamité survenue chez
son client. A noter qu’elle leur propose aussi un Recovery plan leur permettant de redémarrer au plus vite.
Sylvie Cousin
dossier outsourcing
TEChNOLOgIE DE L’INFORMATION
Les data centers nouvelle
génération sont arrivés
De nouveaux réflexes doivent guider les départements IT des entreprises lorsqu’ils repensent l’architecture de leurs datacenters : accepter un certain risque dans la montée en puissance de leurs systèmes et
être capable de les redimensionner à la demande des métiers, plutôt que de prétendre à une accessibilité maximale à tout instant. Le réel défi? L’empreinte énergétique de ces systèmes énergivores dont la
facture sera bientôt proprement insupportable. Focus sur des solutions tout aussi évidentes qu’efficaces.
Nouveau paysage
Les nouveaux outils de gestion de
datacenters, la virtualisation des architectures et la nouvelle génération
de micro-processeurs demandent
d’autres architectures de serveurs
et d’autres capacités de stockage de
données, ainsi que d’autres types et
réduction de notre
consommation énergétique
Réduire notre consommation n’est
plus une option, pas plus qu’organiser l’utilisation la plus efficace des
ressources. Les solutions s’appellent
‘green IT‘, nouvelle technique de
refroidissement des serveurs, optimisation de l’infrastructure afin de
moduler à tout moment la mise à
disposition de la capacité serveur
et de l’espace disque nécessaires à
la charge, voire Cloud Computing et
colocation…
Prévoir le pire est désormais un
luxe inutile
L’entreprise a surtout besoin d’un
datacenter qui s’adapte dans des
délais raisonnables à des hausses
parfois brutales dans l’utilisation
d’une application, qui puisse se redimensionner tant à la hausse qu’à la
Les prix de l’énergie explosant, il est temps de trouver de l’air
gratuit. C’est tout à fait possible d’utiliser l’air extérieur
(voire l’eau) pour refroidir les data centers plutôt que de recourir
à de l’air refroidi mécaniquement.
d’autres tailles de réseaux. Aussi la
croissance des «smart devices» personnels (comme les PDA, les iPAD, …)
a exigé d’autres couches architecturales qui n’existaient pas, il y a 4 à 5
ans.
Au tarif actuel, les coûts opérationnels (énergétiques) pour soutenir les
serveurs dépasseront le prix des serveurs eux-mêmes, ce qui nous amène
à décider entre investir dans ses
propres capacités ou utiliser davantage les services «cloud».
© Imago/ Reporters
baisse pour répondre aux besoins du
business. Assurer une accessibilité
maximale à tout moment coûte dorénavant trop cher et ne se justifie pas
face à l’usage que l’on en fait.
les bonnes pratiques de Gartner
«Vous avez besoin d’autant de m2
sur toute la durée de vie du Datacenter ?Prévoyez le site en fonction
mais ne construisez que pour 7 à 8
ans», nous conseille David J. Cappucio, de Gartner, leader en Recherche
47
L’entreprise a surtout besoin d’un datacenter
qui s’adapte dans des délais raisonnables à des
hausses parfois brutales dans l’utilisation d’une
application.
& Développement IT. Modulariser les
équipements en monitorant l’évolution des besoins en énergie évitera
des frais inutiles, et une surconsommation en électricité et en refroidissement d’air. «Vous pouvez définir
des couches d’utilisation et structurer votre Datacenter en zones ayant
chacune leur exigence d’accessibilité
et donc leur consommation énergétique», détaille DJ. Cappucio.
bonne nouvelle :
de l’air froid gratuit
Le refroidissement de l’air représente
50% du coût des machines. Les prix
de l’énergie explosant, il est temps
de trouver de l’air gratuit. C’est tout à
fait possible d’utiliser l’air extérieur
(voire l’eau) pour refroidir les datacenters plutôt que de recourir à de
l’air refroidi mécaniquement.
Sylvie Cousin
n° 1 - janvier 2011 - E ntr EprE n drE
C
es dernières années, la stratégie de déploiement des datacenters en entreprise a été
impactée par des changements tant
économiques que technologiques :
le besoin d’héberger des systèmes
plus compacts ayant à stocker plus de
données, la croissance du Cloud Computing, le focus sur les «green technologies», l’émergence des «converged
architectures» (où par exemple technologies de stockage et de télécommunication sont unifiées) et bien sûr
la récession économique…
Stock & archivage
d o ssi e r
SOCIéTé DE L’INFORMATION. LES DéRIVES
Je veux tout savoir.
Le puis-je, même sur moi-même?
Nous avons mis au monde des outils qui nous dépassent et peuvent nous déposséder de notre propre
identité. Nos infos ne nous appartiennent plus et peuvent être saisies par autrui. A force de virtualiser
nos identités, deviendrons-nous sur la toile de “simples” avatars sujets à suspicion, à l’image reliftée par
nous ou déformée par d’autres ?Quels sont les risques pour une entreprise ?Doit-elle rester hors jeu sans
en tirer parti, ou s’exposer ?Vision
© Imago/ Reporters
n° 1 - janvier 2011 - E ntr EprE n drE
48
N
otre ère vit des progrès
fulgurants dans le domaine des technologies
de l’information. Qui peut encore
suivre les releases des logiciels par
exemple ?Entrent en scène de nouveaux phénomènes qui influenceront nos décisions de demain.
evènements marquants
La facilité avec laquelle l’info est mise
à disposition sur le mode électronique
est déconcertante. Les technologies et
les supports actuels permettent tout :
comme publier une photo retouchée
Notre ère vit des progrès
fulgurants dans le domaine
des technologies de
l’information.
d’un Sarkozy plus grand ou plus petit... Le gouvernement légifère la vie
privée mais va moins vite que les
entreprises. Nous sommes nombreux
à «consommer» du media social. Par
le profil que nous créons en ligne, ne
risque-t-on pas de «confier» à la «discrétion» d’une masse – silencieuse,
animée de desseins commerciaux
ou manipulatrice - des composants
de notre identité : infos, photos, opinions, habitudes d’achat ?Alors, où
est la frontière entre l’info vérité et
l’info virtuelle, entre vie privée et
publique ?
outils puissants
Ils nous aident à collecter, stocker et
retrouver les informations.
Le code à barres fait place à la puce
électronique, telle la RFID (Radio Frequency Identification) qui
identifie les articles du caddy ou
d’un inventaire sans les effleurer
ou trace l’itinéraire d’un individu
(le ticket de tram électronique)…
Le Text mining, cette «fouille d’info», selon Wikipédia, qui extrait le
document recherché d’une masse
non structurée, permet à Google
dossier Stock & archivage
de répondre à la seconde à votre
requête d’info sur tel mot clé.
Ajoutons à cela le web sémantique, technologie utilisée par certains serveurs qui stockent des
connaissances un peu à la manière du cerveau humain plutôt que
de sauver des textes bruts sans en
avoir analysé le contenu.
Le format «xml» (Extensible
Markup Language) consiste à baliser des contenus et à les structurer en champs et en arborescence.
« Virtual Invoice de WinBooks
scanne des factures papier à la
structure variable pour en extraire
les données essentielles - fournisseur, date de la facture, montant
HTVA etc. - qui sont structurées en
Xml et envoyées dans le logiciel
comptable. Encoder c’est dépassé », témoigne Jean-François Cuylits, Administrateur de Winbooks.
«Le web sémantique réagirait un peu à la manière du cerveau
humain. On lit un texte sur un sujet et on en retient l’info sousjacente et non la forme. Mais fonctionne-t-il bien ?»
Jean-François Cuylits, de Winbooks
Les communautés virtuelles telle
Wikipedia, encyclopédie alimentée par les utilisateurs à qui l’on
doit quelques définitions plus
haut, achèvent de décrire le phénomène : le web appartient à tout
le monde et émane de chacun,
bien ou mal intentionné.
le mode analogique disparaît,
le virtuel est-il vérité ?
Même si vous n’êtes pas dupe, pouvez-vous affirmer rester neutre si
vous ‘googlez’ un candidat et tombez
sur un article à son sujet ?Et pourtant,
vous n’avez pu vérifié sa véracité…
Accepterons-nous le risque de perdre
le contrôle ?Comment en déterminer
le niveau scientifique et authentifier
l’info ? Actuellement, vous ne gérez
plus vos databases sur vos serveurs
mais dans le Cloud Computing ?
L’info gravite donc quelque part dans
le «ciel» et non plus chez vous, en local. Imaginez que Google prenne en
grippe un acteur actif sur la toile et le
raye de sa liste de résultats ou ne l’y
déclasse. Survivra-t-il ?
Le plus dangereux a rendez-vous avec
le plus opportun.
Sylvie Cousin
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Stock & archivage
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ARChIVAgE & gESTION DES STOCkS
Le scanner portable a plus
d’un tour dans son sac
Plus qu’un simple gadget qui facilite et rationalise le travail du
magasinier, il fournit l’info exacte sur les livraisons, les stocks voire
les commandes… En temps réel, ou presque. Mais plus loin encore,
il montre l’intérêt d’ouvrir les mentalités à une rationalisation des
processus, à l’origine d’une meilleure communication entre l’achat,
la vente, la compta, la logistique… Démonstration d’un petit appareil qui peut faire des merveilles.
M
n° 1 - janvier 2011 - E ntr EprE n drE
50
afact, société de hardware
qui a fêté ses 25 ans, s’est
aujourd’hui réorientée sur
le développement de logiciels de gestion. Tout a commencé lorsqu’un client
est venu frapper à sa porte pour des
besoins non résolus par son logiciel de
comptabilité. Mafact lance alors son
équipe, aujourd’hui principalement des
développeurs, sur la recherche de ce qui
allait devenir un logiciel adaptable et
modulable lié à un scanner portable. Un
petit bijou de la logistique est né.
Gagner en exactitude
Une livraison arrive à l’entrepôt, le
magasinier enregistre de son pistolet le
contenu des palettes fournisseurs. Plus
d’erreur ni de négligence à craindre, le
stock est exact. Le scanner remis sur son
docking station entre en communica-
envoie au client. Seule la commande
initiale est encodée (ou importée d’un
site e-commerce). Grâce à l’interaction
avec le scanner, le bon de commande
donne naissance à la facture. Un article
n’est pas de stock, il intègre le back-order. Sécurisé, contrôlé et simple, tout se
parle.
Petit mais autonome
Grâce à sa mémoire propre, le scanner
portable fonctionne en stand alone
sans aucune connexion. Plus de souci
de distance ou d’interférences.
Gagner en temps et en
information
De la marchandise qui sort du camion
jusqu’à la facture, tout peut se faire sans
plus rentrer ni numéro de série ni nombre de pièces à la main/manuellement.
«Beaucoup ont un logiciel comptable, mais rien pour la gestion de
stocks, dont on sous-estime le coût. Automatiser toute la gestion:
permet de gagner en information et de limiter les frais. Ce que vous
n’avez pas dans votre entrepôt, vous n’avez pas dû le payer»
Bert Hallaert, Mafact
tion avec le logiciel en entreprise. Un
client appelle ?On consulte les stocks.
C’est disponible ?On transfert la commande vers le scanner. Le magasinier
repart à l’entrepôt, pistolet en main –
plus de notes à prendre, plus de picking
list à imprimer - et conditionne le colis.
Le travail du scanner est transféré dans
le logiciel qui sort une note d’envoi, un
bon de livraison, une facture, … que l’on
Un 1er code à barres vérifie si c’est le bon
article, le second est le numéro de série.
Autre atout : l’inventaire se met à jour
grâce au même pistolet. L’état des stocks
est disponible de suite. «Un jour, je
téléphone à un magasin pour avoir un
article, j’étais pressé, le vendeur ignore
combien il lui reste de pièces. Je suis
allé voir ailleurs», illustre Bert Hallaert,
Sales Manager chez Mafact : «Donner
De la marchandise qui sort du
camion jusqu’à la facture, tout peut
se faire sans plus rentrer ni numéro
de série ni nombre de pièces à la
main/manuellement.
un service plus rapide au client c’est
une chance de plus de décrocher la commande.»
Vue globale des flux
C’est toute la relation client que l’on
peut désormais automatiser. Le client
est en ligne: Un article manque à une
commande. Le responsable accède à
l’historique du contact. Grâce à l’archivage de toutes les interventions, il
retrouve la trace de l’annulation de la
commande dudit article.
Prendre le problème par le bon
bout
«Beaucoup ont un logiciel comptable,
mais rien pour la gestion de stocks,
dont on sous-estime le coût. Automatiser toute la gestion: permet de gagner
en information et de limiter les frais.
Ce que vous n’avez pas dans votre
entrepôt, vous n’avez pas dû le payer»,
explique B. Hallaert. Et si on a déjà un
logiciel comptable ?« Le logiciel Mafact
est compatible avec WinBooks, Bob
Software, Cubic Dos, …». Et le CRM dans
tout cela ? «Notre logiciel offre plein de
statistiques et prévoit aussi une zone
date pour gérer un échéancier de ses
contacts », rétorque-t-il.
rentable à partir de quelques
commandes / jour
« Dès que vous avez 5 documents de 10
à 20 lignes à encoder par jour, vous avez
déjà intérêt à automatiser votre gestion », argumente B. Hallaert.
Automatisation, quand tu nous tiens…
Sylvie Cousin
bloc - notes
Vente-Marketing
Management
& Resources Humaines
• réussissez vos présentations en public
Les jeudis 27 janvier et 3 février 2011
de 9h à 17h
• Violence et harcèlement au travail :
état de la question au regard de l’actualité récente Mardi 15 février 2011
• Cycle de formation de base et
spécifique à la médiation civile et
commerciale Jusqu’au 11-02-2011 de 9h à 18h
• techniques de vente Les jeudis 17
février 2011 et 24 février de 9h00
à 17h00
• bientôt une réalité : le code pénal
social Vendredi 25 février 2011
• réussissez vos présentations en
public Jeudi 27 janvier & 3 février
2011 de 9h à 17h
• les cinq clés du développement de
votre clientèle Jeudi 17 mars 2011 de
13h30 à 16h30
• boostez les résultats de votre entreprise en améliorant les performances
de vos processus-clés Mercredi 23
février 2011
• mieux écouter pour mieux vendre
Les jeudis 17 mars et 24 mars 2011
• le manager et la confiance en soi
Les jeudis 3 mars et 31 mars 2011
• les clés d’une gestion de projets
réussie Jeudi 7 avril 2011 - de 9h à 17h
• affirmez-vous dans vos relations
professionnelles Les jeudis 28 avril et
19 mai 2011
• mieux écouter pour mieux manager
Les mardis 3 mai et 10 mai 2011
• techniques de réunion Vendredi 6
mai 2011 - de 9h à 12h30
Organisation
• Gagnez 12 ans d’expérience
professionnelle en 1 an : alter ego –
assistante de direction A partir de
septembre 2010 – de 9h à 13h
• Plus de 90 trucs pratiques pour
mieux gérer votre temps Mercredi
26 janvier 2011, mardi 22 mars 2011,
vendredi 6 mai 2011 - de 9h à 17h
• Faire Faire ou Comment réussir la
délégation Mardi 17 mai 2011 – de
9h à 17h
infos : Brigitte van der Mensbrugghe
02 643 78 30 – [email protected]
séminaires
• Faux indépendants : des questions qui
restent d’actualité Jeudi 3 mars 2011
• Comment conclure une CCt d’entreprise et quels pièges éviter ?
Orateur : Jean-Philippe Cordier
Lundi 14 mars 2011 – de 14h à 17h
Législation commerciale
• apprenez à décortiquer les comptes
de la partie adverse
Les vendredis 13 et 20 mai 2011 – de 14
à 17h
Infos : Frédéric Simon
T +32 2 643 78 17 – [email protected]
Législation sociale
• beci hr lunch Mettez à profit votre
temps de midi pour prendre connaissance de l’actualité sociale
Orateur : Olivier Rijckaert, avocat associé Field Fisher Waterhouse
Les vendredis 4 février, 29 avril et 17
juin 2011 - de 11h à 13h
• la responsabilité de l’entreprise et de
ses dirigeants face à l’utilisation abusive
des nouvelles technologies
Orateurs: Luc Beirens, Vincent Cornet
et Frédéric Robert
Jeudi 10 février 2011 – de 12h30 à 14h30
• la limitation des parachutes dorés par
la loi Corporate Governance Lundi 14
février 2011
events
26/01
Lunch
BeCi Speed Business
23/02
BeCi CeO Meeting
Belgacom
Didier Bellens
30:03
BeCi Starters night
31/03
BeCi Zinner
www.beci.be/events
[email protected]
51
n° 1 - janvier 2011 - E ntr EprE n drE
Formations
demandes d ’ admissions à beci
PAR PRESENTATION AU CONSEIL D’ADMINISTRATION *
anystore sPrl Rue César Franck 41 - 1050
Bruxelles Code Nace : 4751201 - Le commerce
de détail de tissus d’habillement et d’ameublement del. : Demayer Anne
advanco sa Rue de la Fusée 66 - 1130 Bruxelles
Code Nace : 26200 - Fabrication d’ordinateurs
et d’équipements périphériques del.: Barigand
Marina
aeltari international sPrl Avenue de la Raquette 12A - 1150 Bruxelles Code Nace : 46699
- Commerce de gros d’autres machines et
équipements n.c.a. 68100 - Activités des marchands de biens immobiliers 70220 - Conseil
pour les affaires et autres conseils de gestion
del.: Laycock Steven
alfa Products & technologies sa Rue du Trône
98 - 1050 Bruxelles Code Nace : 46693 - Commerce de gros de matériel électrique, y compris le matériel d’installation del.: Vanhonacker Patrick
ar-Co sCrl Rue Tasson-Snel 22 - 1060 Bruxelles Code Nace : 65122 - Activités des entreprises
d’assurances multibranches à prédominance
non-vie del.: Moureau Freddy
n° 1 - janvier 2011 - E ntr EprE n drE
52
les entreprises 95110 - Réparation d’ordinateurs
et d’équipements périphériques del.: De Vrieze
Chantal
en magasin spécialisé 62010 - Programmation
informatique 62030 - Gestion d’installations
informatiques del.: Jourdain Fréderic
e.G.e. stienon sPrl Boulevard Barthélémy 3738 - 1000 Bruxelles Code Nace : 43211 - Travaux
d’installation électrotechnique de bâtiment
del.: Cardon Gaetan
léopold Vii sa Avenue Victor Gilsoul 40 - 1200
Bruxelles Code Nace : 68311 - Intermédiation
en achat, vente et location de biens immobiliers pour compte de tiers del.: Kunstler Denis
eriks motion Control sa rue bollinckx 213 1070 bruxelles Code Nace : 46769 - Commerce
de gros d’autres produits intermédiaires n.c.a.
del.: Desmet Jean-François
medibridge sa rue du bourdon 100 - 1180
bruxelles Code Nace : 62020 - Conseil informatique del.: Houdmont Ben
Festo belgium sa Rue Colonel Bourg 101 - 1030
Bruxelles Code Nace : 33200 - Installation de
machines et d’équipements industriels del.:
Verstraeten Jo
Fonds mercator - mercatorfonds sa Rue du
Midi 2 - 1000 Bruxelles Code Nace : 58110 - Édition de livres del.: Steyaert Bernard
house of kids sPrl Avenue Théodore Verhaegen 150 - 1060 Bruxelles Code Nace :
13930 - Fabrication de tapis et de moquettes
del.: de Crayencour Gilles
balluff bVba Interleuvenlaan 62 - 3001 Heverlee Code Nace : 46520 - Commerce de gros de
composants et d’équipements électroniques
et de télécommunication del.: Knuysen Jos
ilias solutions sa Rue de la Fusée 60 - 1130
Bruxelles Code Nace : 62010 - Programmation
informatique del.: Wildschut Jean-Pierre
bel V Fondation Rue de Walcourt 148 - 1070
Bruxelles Code Nace : 94994 - Associations
pour l’environnement et la mobilité del.: De
Boeck Benoît
infor Global solutions (borgerhout) sa Avenue
Jules Bordet 142 - 1140 Bruxelles Code Nace :
46510 - Commerce de gros d’ordinateurs,
d’équipements informatiques périphériques
et de logiciels del.: Giangiordano Grégory
Collibra sa Rue de Ransbeek 230 - 1120 Bruxelles Code Nace : 46510 - Commerce de gros
d’ordinateurs, d’équipements informatiques
périphériques et de logiciels 62010 - Programmation informatique 70210 - Conseil en relations publiques et en communication del.: van
de Maele Felix
Devoteam belgium sa Heizel Esplanade BDCBOX 62 - 1020 Bruxelles Code Nace : 46510
- Commerce de gros d’ordinateurs, d’équipements informatiques périphériques et de logiciels del.: De Bentzmann Stanislas
econocom managed services NV Horizon Park,
Leuvensesteenweg 510 - 1930 Zaventem Code
Nace : 46510 - Commerce de gros d’ordinateurs, d’équipements informatiques périphériques et de logiciels - 6920101 - Etablissement
de déclarations fiscales pour les particuliers et
ordiges sa Chaussée de Stockel 274 - 1200
Bruxelles Code Nace : 6920101 - Etablissement
de déclarations fiscales pour les particuliers et
les entreprises del.: Pansin Eric
Giroflex sa Rue de Neerveld 109 - 1200 Bruxelles Code Nace : 31010 - Fabrication de meubles
de bureau et de magasin del.: Smeets Godfried
aros & co sPrl Rue Frans Merjay 75 - 1050
Bruxelles Code Nace : 63990 - Autres services
d’information n.c.a. del.: Barra Frank
Clever house sPrl Rue Emile Vandervelde 62
- 6031 Monceau Code Nace : 4511301 - Commerce de détail de véhicules automobiles pour le
transport des personnes, y compris les véhicules automobiles spéciaux (p.ex. ambulances),
neufs ou usagés 4532001 - Commerce de détail
d’accessoires, de pièces détachées et d’équipements divers pour véhicules automobiles, y
compris la vente de détail de pièces détachées
et d’équipements automobiles d’occasion del.:
Orazietti Loriano
New bizz Partners sa Rue Belvédère 28 - 1050
Bruxelles Code Nace : 82300 - Organisation
de salons professionnels et de congrès del.:
Lucaccioni Marco
institute of NeuroCognitivism asbl Avenue
de Tervueren 81 - 1040 Bruxelles Code Nace :
7220001 - Etudes systématiques et efforts de
création entrepris dans divers types de recherche-développement en sciences sociales et
humaines (économie, psychologie, sociologie,
droit, etc.) del.: Vander Vorst Chantal
instruxion sa Heizel Esplanade 1 - 1020 Bruxelles Code Nace : 62020 - Conseil informatique
del.: Coppens Geert
international business solabor sa Place Vieille
Halle aux Blés 31 - 1000 Bruxelles Code Nace :
41201 - Construction générale de bâtiments résidentiels 43995 - Travaux de restauration des
bâtiments del.: Grimau Eric
iris sa Avenue de Bâle 5 - 1140 Bruxelles Code
Nace : 2370001 - Taille, façonnage et finissage de la pierre destinée à la construction
de bâtiments ou de routes, à la couverture de
toitures, etc. 2511001 - Fabrication de cadres
métalliques ou d’ossatures pour la construction 4120101 - Réalisation du gros oeuvre de
maisons individuelles del.: Janssens Van Der
Maelen Patrick
kitry sa Rue du Commerce 12 - 1400 Nivelles
Code Nace : 47410 - Commerce de détail d’ordinateurs, d’unités périphériques et de logiciels
Pasto Pole sPrl quai de Rome 15 - 4000 Liège
Code Nace : 62020 - Conseil informatique
63110 - Traitement de données, hébergement
et activités connexes 63120 - Portails Internet
del.: Pastorello Thierry
service Voyages - rainbow sa Chaussée de
Waterloo 1589D - 1180 Bruxelles Code Nace :
79110 - Activités des agences de voyage del.:
Cuvelier Jean-Philippe
spikes sa Rue de la Presse 4 - 1000 Bruxelles
Code Nace : 62010 - Programmation informatique - 62090 - Autres activités informatiques
63110 - Traitement de données, hébergement
et activités connexes del.: Dries Marc
teradata belgium sNC Avenue Marcel Thiry
79 - 1200 Bruxelles Code Nace : 28230 - Fabrication de machines et d’équipements de bureau
(à l’exception des ordinateurs et des équipements périphériques) - 46510 - Commerce de
gros d’ordinateurs, d’équipements informatiques périphériques et de logiciels del.: Verresen Guido
Verhulst events & Partners NV Jan Lindstraat 10 - 1560 Hoeilaart Code Nace : 7311001
- Conception et réalisation de campagnes publicitaires pour des tiers, en utilisant tous les
médias del.: Verdussen Michel
3e sa Rue du Canal 61 - 1000 Bruxelles Code
Nace : 2110001 - Etude, mise au point de la
production des principes actifs destinés à la
fabrication de médicaments - 71121 - Activités
d’ingénierie et de conseils techniques, sauf activités des géomètres del.: Palmers Geert
machine-to-machine
et vos machines communiquent entre elles
antivol
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automatiques
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