Travailler chez Selor

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Travailler chez Selor
Travailler chez Selor
P U B L I - R E P O R TA G E
Chaque année, les services publics fédéraux accueillent entre 3 et 4.000 nouveaux collaborateurs. Ces personnes ont été en contact
avec Selor. Le bureau de sélection de l’administration évalue les compétences des nouveaux collaborateurs et propose aux services
publics les outils RH dont ils ont besoin. Pour mener à bien toutes ces tâches, 152 personnes s’activent en coulisse. “Nous le faisons
dans un environnement dynamique et très solidaire”, témoignent Sophie, Béatrice et Muriel.
Sophie Buyse (24) ‘Rien d’un
travail de bureau ennuyeux’
Ingénieur commercial, Sophie a vu ses condisciples prendre
d’autres routes qu’elle. “J’ai obtenu une majeure en statistique
et, immédiatement après, j’ai posé ma candidature comme
collaboratrice de projet chez Selor. Aussi étrange que cela puisse
paraître, la statisticienne que je suis adore les chiffres et les
données. Ce job était vraiment fait pour moi”, raconte Sophie,
collaboratrice de Selor depuis un an et demi.
“Je suis collaboratrice de projet pour le reporting et collaboratriece
de projet pour la maîtrise de l’organisation. Un travail varié. Je
traite notamment les résultats des tests informatisés: collecter
les données, les analyser, les traiter pour le feed-back… Il arrive
Béatrice Collin (30)
‘Le candidat d’aujourd’hui peut
être le collègue de demain’
Après avoir travaillé pour différentes sociétés privées,
Béatrice a trouvé le chemin de Selor. “Le nom m’était
connu. Il faut passer par Selor si l’on veut travailler
dans l’administration. Mais je n’avais jamais pensé
travailler pour Selor. Jusqu’au moment où j’ai vu
l’annonce de responsable de sélection.”
Béatrice précise : “En tant que responsable de
sélection, ma tâche consiste à entretenir le meilleur
contact possible avec nos clients. Il s’agit d’une
Muriel Charlot (33)
‘Un parfait bilinguisme n’est
pas exigé’
“Mon travail de HR-developer, nous confie Muriel, est de
contribuer à mettre en place un environnement de travail dans
lequel les collaborateurs de Selor peuvent s’épanouir au mieux.
Pour cela, je dois être très accessible pour répondre aux questions
et problèmes. Ce sont des qualités qu’on retrouve partout chez
Selor, qui possède une structure très horizontale. Tout le monde
peut aller frapper à la porte de notre administrateur délégué Marc
Van Hemelrijck, que tout le monde appelle d’ailleurs Marc.”
Comme les services publics fédéraux, Selor est bilingue.
Lorsqu’elles dialoguent, Sophie, Béatrice et Muriel passent
également qu’un parlementaire ou
un journaliste pose une question.
Je rassemble alors au plus vite les
éléments de réponse. En période de
pointe, tout tombe un peu en même
temps (dit-elle en rigolant) mais cela
fait que cet emploi n’a rien d’un
travail de bureau ennuyeux.”
“Je travaille pour Selor depuis un
an et demi, et très vite j’ai reçu de
grandes responsabilités. Heureusement épaulée par un parrain
ou une marraine, un(e) collègue plus expérimenté(e) à qui je peux
toujours m’adresser. Le cliché du fonctionnaire qui vient travailler
contre son gré n’a pas cours chez Selor. Nous travaillons dans une
ambiance dynamique où les collègues sont très soudés entre eux.”
part, des employeurs, les services publics fédéraux, et d’autre
part, des candidats aux emplois proposés que je considère comme
de futurs collègues. Dans la mesure du possible, nous essayons
toujours de fournir des prestations sur mesure. C’est ainsi que nous
avons récemment eu un candidat pour qui il était impossible de se
présenter au rendez-vous parce que son employeur ne l’y autorisait
pas. J’ai donc tout mis en œuvre pour parvenir à trouver un moment
pour rencontrer cette personne. Et vu l’emploi du temps chargé, ce
fut loin d’être facile.”
“J’ai d’abord travaillé pour plusieurs sociétés privées avant de trouver
ma voie chez Selor. Et je vous assure que l’environnement de travail
est très différent de ce que j’avais connu avant, en positif je veux dire.
Il y a clairement plus de solidarité entre collègues. Nous ne sommes
pas en concurrence. Selor est par ailleurs un employeur qui accorde
réellement de l’importance à un bon équilibre entre le métier et la vie
privée. J’ai un enfant de trois ans qui apprécie d’avoir une vraie maman.”
rapidement du français au néerlandais et vice
versa. “Le bilinguisme ne doit pas effrayer les
gens, souligne Muriel. Il ne faut pas être parfait
bilingue d’entrée de jeu. Il faut surtout être prêt
à communiquer avec les autres. Chez Selor,
les bureaux paysagers sont disposés de telle
manière que néerlandophones et francophones
ne sont jamais loin les uns des autres. Et en
plus des formations professionnelles au sens
strict, nous proposons, sans obligation, des cours de langues à
tous nos collaborateurs.”
Chez Selor, la solidarité est un terme récurrent. “Cela crée une
dynamique positive et un esprit d’équipe, commente Muriel. Faire
preuve de flexibilité, répondre aux besoins du client, développer
de l’expertise, être ouvert aux collègues, s’entraider… ce sont
des choses qui comptent chez Selor.”
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