Bizarre, vous avez dit bizarre »» Dossier de

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« Bizarre, vous avez dit bizarre »»
Dossier de préparation à la visite libre
1. Présentation du parcours
Ce dossier propose différents ateliers autour de la thématique « Bizarre, vous avez dit bizarre ».
Cette thématique sera abordée à travers des ateliers variés adaptés aux élèves du premier et second degré :
•
Jeu des animaux fabuleux (dès la Maternelle)
•
À la découverte d’objets bizarres (à partir du CP)
•
Enquête sur les bizarreries du retable d’Issenheim (à partir du CM1)
•
Ateliers d’écriture (à partir du CP/CE1)
Toutes les oeuvres proposées pour les ateliers d’écriture, sont présentées sous forme de fiches dans la rubrique
« service éducatif » sur le site du musée d’Unterlinden.
Ces ateliers ont été réalisés dans le cadre du concours Printemps de l’écriture 2013. La visite permet de nourrir
l’imaginaire, de susciter un besoin d’écrire, d’élargir les références culturelles des élèves… c’est une étape
préalable à l’écriture faite en classe.
Néanmoins, on peut envisager ces ateliers comme une découverte des œuvres, un parcours artistique, un
moyen d’appréhender des oeuvres sans pour autant se lancer dans l’écriture ou dans le concours du « Printemps
de l’écriture ». Il s’intégrera parfaitement dans une progression d’arts visuels, d’histoire ou d’histoire des arts.
Pour la visite avec des classes de collège ou de lycées dont l’effectif est supérieur à 30 élèves, il est conseillé de
scinder le groupe en deux et de répartir les élèves dans deux ateliers d’écriture différents.
2. Les outils les ateliers « Bizarre » au musée Unterlinden
- 4 mallettes en prêt au Service éducatif du musée d'Unterlinden, au CRDP de Strasbourg et au CDDP de
Mulhouse.
- Un dossier téléchargeable sur le site du musée et sur le site du Rectorat de l’Académie de Strasbourg.
- une présentation des ateliers aux enseignants lors d’une rencontre le 24 octobre 2012
Les mallettes
Elles contiennent :
- Le présent dossier pédagogique qui décrit précisément le parcours proposé au musée (ou en classe a à partir
des reproductions), et donnent diverses informations sur les oeuvres.
- Le catalogue du musée Unterlinden (n° spécial de la revue Connaissances Des Arts).
- Un plan du musée d'Unterlinden
- Un CD–rom contenant les reproductions numérisées des oeuvres. Ces reproductions d’oeuvres sont destinées
à être montrées dans un cadre scolaire ou socioculturel et utilisées à des fins pédagogiques. Elles ne doivent en
aucun cas être dupliquées ou servir à une publication.
- des enveloppes contenant les mots pour les ateliers d’écriture (dans la mallette à disposition au musée).
1
Pour tout renseignement ou demande complémentaires, s’adresser au Service éducatif du musée d'Unterlinden :
tél. 03 89 20 22 73 (permanences : lundi de 11h30 à 13h30 / mercredi de 14h à 16h / vendredi de 10h à 12h [email protected]
Lors de l’utilisation des documents communiqués, toute photo doit être identifiée (légende) et être suivie du nom
du photographe et du musée concerné.
3. L’accueil
Le parcours sera mené en visite libre du lundi au vendredi sauf le mardi à partir de novembre 2012. Le nombre
d’élèves par groupe est limité à 25. Chaque enseignant devra animer son groupe.
A la bagagerie du musée, une mallette sera remise à l’enseignant avec les documents nécessaires à la visite. De
plus, des crayons, des planches offrant un support à l’écriture et des coussins sont disponibles sur demande.
La réservation est indispensable ; veuillez mentionner la participation au concours Printemps de l’écriture et le
niveau des élèves en complétant la fiche de réservation disponible sur le site Internet www.museeunterlinden.com.
L’entrée est gratuite pour les scolaires de l’Académie de Strasbourg et du land de Bade-Wurtemberg.
4. Présentation du dossier
ATELIER
1
:
JEU
DES
ANIMAUX
FABULEUX
Ce jeu de l’oie permet aux élèves rechercher des animaux fabuleux peints, gravés, dessinés et sculptés dans
l’ensemble des collections. La règle du jeu ainsi que les grilles de réponses se trouvent sur le site Internet du
musée dans la rubrique « service éducatif / jeux ».
Cette activité peut être un préalable au sujet d’écriture longue de fiction : « Votre meilleur ami est un centaure,
une licorne, un troll, un enfant-phoque, un vampire, un extra-terrestre, une sirène…Racontez votre rencontre et la
naissance de votre amitié »
ATELIER
2
:
A
LA
DECOUVERTE
D’OBJETS
BIZARRES
Cet atelier se présente comme une chasse aux trésors. Les élèves, par groupe, recherches les objets bizarres à
partir de fiches sur lesquelles se trouvent des indices ainsi qu’une photo ou un détail de l’objet.
Les fiches d’objets sont à télécharger le site Internet du musée dans la rubrique « service éducatif ».
Cet atelier peut se prolonger en classe par une écriture de fiction : « c’est écrit dans notre cahier de textes : Pour
mardi, apportez une bizarrerie. Que choisissez-vous ? Racontez. »
ATELIER
3
:
ENQUETE
SUR
LES
BIZARRERIES
DU
RETABLE
D’ISSENHEIM
Cet atelier amène les élèves à suivre les traces de Sherlock Holmes qui tente d’élucider les mystères du retable
d’Issenheim. Les élèves remplissent le questionnaire au fur et à mesure de la découverte des différents
panneaux du retable (fiche élève à télécharger sur le site Internet du musée dans la rubrique « service éducatif »).
Pour les élèves de primaire, l’enseignant pourra leur donner des pistes de réponses à partir de la fiche
enseignant (fiche enseignant à télécharger sur le site Internet). Pour compléter les connaissances sur le retable,
une série de fiche est disponible sur le site du musée.
A l’issue de cet atelier, un prolongement vers l’écriture d’invention est possible : « Bizarre, vous avez dit bizarre.
Imaginez les aventures d’un personnage qui va de bizarreries en bizarreries ».
On peut également, débuter un travail d’écriture au musée en répartissant les élèves par groupe devant différents
panneaux et en leur proposant une liste de mots (voir en annexe). Chaque groupe choisit 5 mots en fonction du
ressenti. Il s’agit, dans un second temps, de justifier ces choix.
Cet exercice peut être un préalable au sujet d’écriture poétique : « Une œuvre d’art bizarre vous invite à la
rêverie poétique ».
2
L’œuvre
Entre 1512-1516, les artistes Nicolas de Haguenau (pour la partie sculptée) et Grünewald (pour les panneaux
peints) réalisent le célèbre retable pour la commanderie des Antonins d’Issenheim, un village situé à une
vingtaine de kilomètres de Colmar. Ce polyptyque, qui ornait le maître-autel de l’église du couvent d’Issenheim
avant la Révolution, fut commandé par l’un des supérieurs de l’ordre, Guy Guers, précepteur de la commanderie
de 1490 à 1516.
Fondée vers 1300, la commanderie d’Issenheim relève de l’ordre de Saint-Antoine qui a vu le jour à la fin du XIe
dans un village du Dauphiné. L’ordre des Antonins a pour vocation de soigner les malades atteints du feu sacré
ou feu de saint Antoine, véritable fléau au Moyen Âge. Cette maladie liée à l’ingestion d’ergot de seigle, parasite
de cette céréale, provoque un rétrécissement des vaisseaux sanguins pouvant mener à la nécrose des membres.
Pour venir en aide aux malades, les Antonins leur servent du pain de bonne qualité et préparent le saint-vinage,
un breuvage à base de vin dans lequel les religieux font macérer des plantes et font tremper des reliques de saint
Antoine. Ils produisent également un baume à base de plantes aux vertus anti-inflammatoires.
La commanderie d’Issenheim acquiert peu à peu une richesse considérable dont témoignent les nombreuses
œuvres d’art qu’elle a commandées et financées. Le retable figure parmi elles. Il est resté conservé dans cet
établissement religieux jusqu’à la Révolution et pour empêcher sa destruction, il est transporté à Colmar, en
1792, à la Bibliothèque Nationale du District. En 1852, il est transféré dans l’église de l’ancien couvent des
Dominicaines d’Unterlinden, où il constitue le joyau du musée qui s’y organise alors et où il ne cesse de fasciner
et d’envoûter ceux qui le contemplent
La Crucifixion
Durant les jours ordinaires, les volets étaient toujours fermés donnant à voir la Crucifixion encadrée par saint
Sébastien transpercé des flèches de son martyre, et saint Antoine qu’un monstre effrayant tente d’apeurer. Les
deux saints protègent et guérissent des maladies : saint Antoine du mal des ardents, et saint Sébastien de la
peste. Cette Crucifixion est l’une des représentations du Calvaire la plus poignante de l’art occidental à travers
l’image du corps atrocement supplicié du Christ. Ce corps couvert de plaies et hérissé d’épines devait terrifier les
malades, mais aussi les conforter dans leur communion avec le Sauveur dont ils partageaient les souffrances. À
la droite du Christ, Marie, soutenue par Jean l’Évangéliste, est vêtue d’une grande pièce de tissu blanc, tel un
linceul. À sa gauche, saint Jean-Baptiste est accompagné de l’agneau, symbolisant le Christ sacrifié. La
présence de Jean-Baptiste est surprenante car, décapité sur les ordres d’Hérode en l’an 29, il ne peut être
témoin de la mort du Christ. Le saint annonce le Nouveau Testament en s’écriant : « Il faut qu’il prenne de
l’importance et que je diminue ». Sa place est ici symbolique car il est considéré comme le dernier des prophètes
annonciateur de la venue du Messie.
L'accomplissement de la nouvelle Loi
Ces volets étaient présentés lors des grandes fêtes liturgiques, notamment celles en l’honneur de la Vierge.
Se déployent ainsi quatre scènes : sur le volet gauche est représentée l’Annonciation lors de laquelle l’archange
Gabriel vient annoncer à Marie qu’elle mettra au monde Jésus, le fils de Dieu. Marie est représentée dans une
église afin de sacraliser l’événement. Au centre, le Concert des anges et la Vierge et l’Enfant forment un
ensemble où le spectateur assiste à la venue sur terre du Christ fait homme sous la forme d’un nouveau-né
amené à combattre les forces du mal personnifiées par des anges aux physiques inquiétants. De nombreux
symboles donnent quelques clés de lecture : le jardin clos où se trouve la Vierge évoque sa virginité, le rosier
sans épines est à l’image de la Femme sans péché, le figuier symbolise le lait maternel. Le lit, le baquet et le pot
de chambre insistent sur la nature humaine du Christ venu sur terre. Enfin, le volet droit montre la Résurrection
lors de laquelle le Christ vivant, sortant du tombeau, s’élève dans le ciel en une image fantastique dont la
luminosité transfigure le visage du Crucifié en celui d’un Dieu. Résurrection et Ascension sont ici résumées en
une seule image.
Le cœur du retable consacré à saint Antoine
Saint Augustin et Guy Guers, Saint Antoine, les porteurs d’offrande, Saint Jérôme, Le Christ et les
apôtres
Le retable ouvert permettait aux pèlerins et malades de vénérer saint Antoine, protecteur et guérisseur du feu de
Saint-Antoine ou mal des ardents. Saint Antoine trône, tel un souverain, au centre de la caisse et à ses côtés se
trouve l’emblème de la communauté, le cochon. De part et d’autre, deux porteurs d’offrande illustrent ces dons
3
en nature, importante source de revenus pour les Antonins. Cette niche centrale est encadrée par saint Augustin
et saint Jérôme, pères de l’Église. Le commanditaire, Guy Guers, est agenouillé aux pieds de saint augustin.
Visite de saint Antoine à saint Paul ermite
Les deux ermites se retrouvent dans un paysage étonnant, censé représenter le désert de Thébaïde. Grünewald
a crée un univers fantastique entourant le palmier dattier d’une végétation composite, en opposition avec le
calme et la sérénité de la rencontre à laquelle participent les animaux présents, dont le corbeau apportant deux
morceaux de pain aux anachorètes. Dans ce décor irréel, des plantes médicinales, traitées de façon naturaliste,
poussent au pied des deux personnages.
L’Agression de saint Antoine par les démons
Ce panneau illustre l’agression de saint Antoine par des monstres envoyés par Satan. Tombé à terre, battu à
coups de bâton, griffé, mordu, le saint appelle Dieu à son secours. Celui-ci intervient pour combattre le mal en
envoyant des anges à son aide. Dans le coin inférieur gauche, l’être aux pieds palmés et au ventre gonflé semble
personnifier la maladie causée par l’ergot de seigle, qui se manifestait par des inflammations et des
développements ulcéreux.
ATELIER
4
:
ATELIERS
D’ECRITURE
ATELIER AUTOUR DE LA « MELANCOLIE », Lucas CRANACH l’Ancien.
L’œuvre est présentée dans la fiche qui lui est consacrée sur le site du musée.
A partir d’une liste de mots (cf. ci-dessous), les élèves répartis en groupe, en choisissent 5 en fonction de leur
ressenti puis justifient leurs choix.
Cet exercice peut être un préalable au sujet d’écriture poétique : « Une œuvre d’art bizarre vous invite à la
rêverie poétique ».
L’œuvre
La Mélancolie acquise par le musée Unterlinden en 1983 s’inspire sans conteste d’une gravure sur le même
thème que Dürer réalise en 1514. Sujet de réflexion depuis l’Antiquité, la mélancolie participe de la théorie
médicale des quatre humeurs dont l’équilibre relatif conditionne la santé de l’homme. À l’opposé du Moyen Âge,
la Renaissance valorise cet état et l’associe au tempérament artistique pour en faire le ferment de toute création.
Cranach emprunte des motifs à Dürer mais les transpose pour illustrer un des prêches de Luther visant à
dénoncer la mélancolie comme un état propre à un être influencé par Satan et contre lequel il faut boire et
manger.
Plus que tout autre peintre contemporain, Lucas Cranach l’Ancien (Cranach, 1472 - Weimar, 1553) a été
fortement marqué au début du XVIe siècle par les pensées de Luther qui travaille pour le prince électeur de Saxe
acquis à la Réforme. Dans la peinture de Cranach, plusieurs motifs restent encore à expliquer, notamment la
figure de la femme ailée pelant une baguette qui est sans doute une allusion au désœuvrement propice à la
mélancolie.
Écho des recherches menées par les artistes de la Renaissance italienne qui pénètrent largement en Allemagne
au début du XVIe siècle, le fond de la scène s’ouvre, tel une fenêtre, sur un paysage naturel dans lequel la
perspective est construite par le dégradé des couleurs du ciel.
DES MOTS POUR EXPLIQUER L’ŒUVRE La Mélancolie de Cranach, 1532 (4e – 3e – lycée)
Malaise
Éclairé
Repère
Énigmatique
Étrange
Naturel
Tristesse
Cadre
Artificiel
Intérieur
Scintillant
Apparaître
Extérieur
Limite
Rêver
Tourmenté
Coloré
Imaginer
4
Céleste
Perspective
Éclairer
Parcours
Figé
Penser
Sombre
Riche
Bouger
Limite
Doré
Regarder
Poétique
Inquiétant
Scintiller
Mélancolie
Ombre
S’échapper
Dynamisme
Pâle
S’accorder
Irréalité
Pensées
Dégradé
Triste
Passif (Passive)
Arrière-plan
Rêve
Méditation
Se superposer
Cauchemar
Coquette
Bizarre
Déplacement
Regard
Instable
Espace
Attention
Stabilité
Noir
Foncé
Éclatant
Hors champ
Profond
Inclinaison
Lumière
Tableau
Découpe
Déséquilibré
DES MOTS POUR EXPLIQUER L’ŒUVRE La Mélancolie de Cranach, 1532 (CM2 – 6e – 5e)
Malaise
Riche
S’échapper
Énigmatique
Doré
Espace
Tristesse
Inquiétant
Dégradé
Intérieur
Ombre
Arrière-plan
Extérieur
Pâle
Se superposer
Tourmenté
Pensées
Bizarre
Parcours
Passif (Passive)
Instable
Sombre
Coquette
Cauchemar
Limite
Regard
Poétique
Attention
Dynamisme
Foncé
Triste
Tableau
Rêve
Découpe
Noir
Lumière
Éclatant
Naturel
Profond
Artificiel
Éclairé
Apparaître
Étrange
Rêver
Cadre
Imaginer
5
Scintillant
Éclairer
Limite
Penser
Coloré
Bouger
Figé
Regarder
Déplacement
Scintiller
Annexe
Proposition d’un atelier d’écriture d’invention autour d’une œuvre
ATELIER AUTOUR DU « MIRACLE DES POULETS RÔTIS »
L’œuvre
Ce panneau provient d’un retable démantelé consacré à la fois à la vie de saint Jacques le Majeur et à une
histoire célèbre liée à la dévotion dont ce saint fait l’objet au Moyen Âge. Cette légende raconte les aventures
extraordinaires d’un pèlerin allemand et de son fils en route pour SaintJacques-de-Compostelle. Arrivés à Toulouse, les voyageurs s’arrêtent pour dormir. Leur hôte glisse une coupe
d’argent dans leurs affaires et les accuse de vol. Condamné par un juge, le jeune pèlerin est pendu. Le père
éploré de chagrin continue sa route vers Compostelle tout en priant saint Jacques d’innocenter son fils. À son
retour, vingt-six jours plus tard, il retrouve ce dernier vivant. Il lui raconte qu’il a été soutenu et restauré par saint
Jacques. Le père va chercher le juge qu’il trouve en train de déjeuner. L’ayant entendu, le juge incrédule
s’exclame :
« Votre fils est vivant comme ces volatiles en train de rôtir ». Mais aussitôt, celles-ci s’envolent.
Ce retable, dont deux autres panneaux sont conservés au musée de l'Œuvre Notre-Dame à Strasbourg (Trois
pèlerins en route vers Saint-Jacques-de-Compostelle et Arrestation de saint Jacques le majeur), est
caractéristique de la production des peintres du Rhin supérieur appartenant
à la génération qui a succédé au maître colmarien Martin Schongauer, et qui est directement influencée par l’art
de ce dernier. Le souci de naturalisme hérité des peintres des Pays-Bas méridionaux, le rendu des drapés, la
préciosité des expressions sont particulièrement visibles sur ce panneau.
Après avoir présenté le tableau, les élèves répartis en groupe, tirent au sort un début de phrase puis
continuent l’histoire.
Cet atelier peut être un préalable au sujet :
Vous êtes journaliste. Le rédacteur en chef de votre journal vous charge de rédiger les articles de la
rubrique « bizarre vous avez dit bizarre ».
Liste de « débuts » : Je me souviens… / Rien n’est… / Rien d’autre que… / Comme… / Si maintenant…
/ J’ai perdu… / Sans jamais… / Le mystère… / J’ai voulu… / Et dehors… / Je me souviens… / En toi… /
Soudain… / De très loin… / J’écoute… / Il semble que… / À jamais… /Pour toujours… / J’ai rêvé de… /
Tout au fond… / Au bord… / Tout le jour… / Je me… / Je te… / Tu me… / Tu te…/ Au loin... / Ce ciel... /
Longtemps...
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LISTE DE « DÉBUTS »
Je me souviens…
Rien n’est…
Rien d’autre que…
Comme…
Si maintenant…
7
J’ai perdu…
Sans jamais…
Le mystère…
J’ai voulu…
Et dehors…
Je me souviens…
En toi…
Soudain…
8
De très loin…
J’écoute…
Il semble que…
À jamais…
Pour toujours…
J’ai rêvé de…
Tout au fond…
Au bord…
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Tout le jour…
Je me…
Je te…
Tu me…
Tu te…
Au loin...
Ce ciel...
Longtemps...
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