buffet laqu e9 chinois

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buffet laqu e9 chinois
Ofr. 4 0
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ADMINISTRATION ET RÉDACRON
av.
ta* A n n é è ^ V R« 16.728
13. Rn* du Port. CLERMONT-FERRAND
A di.
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Téléphone 1 6 7 .0 1 et U »uite
télégraphique s AVENIR-CLERMONT
BALLES
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D É PÊ C H E S
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4. RUE BLATIN. CLERMONT-Fd TA. 35.48
SET*’
a b o n n e m e n t s
3 mois 6 mot»
P u y -d e-D ô m e et D ép. Emit.
A utre* Départem ent» . . • •
Etranger (port en plut).
33
38
62
70
IM
116
122
COMPTE COURANT POSTAL 2 2 2
Puy-de-Dôm e-Allier
Cantal • Haute* Loire
DU PLATEAU CENTRAL
Directrice r M"* A.
DUMONT
Rédacteur en Chef : M a u rice
Aveyron • Corréze
Creuse* Loire* Lozère
VALLET
I
à
M B R E
Le Publicité e*t reçue dan* no* BUREAUX,
13, ru» d a P o rt, et 11‘AGENCE HAVAS,
42 , av. don ÉUte-UnU, Clerm ont-F e m a d
Le PubEctté extra-régionaie à l’Agence Herren,
6 2 , m e d e Richelieu, Perte.
ai
LA REPONSE DE PRAGUE AUX PROPOSITIONS DE LOND RES A u
a été remise aux Ministres de France et d'Angleterre
LE CHAOS TRAGIQUE
T. S. F.
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Disques. —
^ire. — 8 1».
- 9 h. s
es. — 10 h .
;s. — l i h. i
12 h. 20 :
matious. —
4 1». 5 : Dis15 h. : Dis-
«crivalns et
16 h. i
— 17 h. s
h. 15 : Dis1 sports. —
■ue. — 19 b.:
19 h. 59 x
20 h. 15 :
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mes. — 8 h.:
— 8 fc. 20 i
— 8 b . 45 »
11 h. 45 |
Ine. — 12 h.j
Journal. —
15 : Variéim — 13 b.
14 b. 30 1
DlsqilCS.
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s Piano. —
Guitare. —
Mélodies. —
8 h . : F.rrils-
19 b. : Jour»
et M. Tant
'autrefois. —
in f o r m a ti o n s ,
50 : Causem in u te s â ...
9 b. 25 : Or— 20 h. i
20 h. 10 : La
21 h. : Ciel
». — 22 h. 5:
: C o m m u n l-
b. 45 :
14 b. 45 X
17 h. : Bf.n.
19 b. : Dis20 h. : Resue
étés. — 20 h.
Disques. —
45 : Informa12
La minute do
— 8 h. 45 :
Informations,
rhan so n rrttes.
2 h. 30 : Me­
na rt d ’aeuro
arches milldlophoilque.
es audteurs.
4 h. : Presse.
Informations.
je. — Il h. 5p:
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19 b.
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L a situ a tio n évolue ch a q u e jo u r
d a n s u n e co n fu sio n aggravée. Le
c o n flit tchécoslovaque joue, su r le
p la n politique, le rôle diviseur et
c o n ta g ieu x q u ’il jo u e ra it sous sa fo r­
m e m ilita ire . Il d ev ie n t chaque jo u r
plu s d ifficile de le lim ite r à son ca ­
dre n a tio n a l e t territo ria l. Le re m a ­
n ie m e n t co m p le t de l’E urope C en­
tra le en p e u t sortir.
La T chécoslovaquie est m en a cée
de se dissoudre. Le re to u r des A lle­
m a n d s des S u d ètes au R eich a, co m ­
m e il é ta it logique, so u fflé le m êm e
désir de libération a u x a u tres n a tio ­
n a lités. H ongrois et P olonais sig n i­
fie n t leu r volo n té d ’évasion d ’u n
cadre im p a tie m m e n t su b i depuis 20
ans. Les Slovènes, eu x -m ê m es, té ­
m o ig n e n t d ’u ne in d ép en d a n ce a n a lo ­
gue. P rague est m enacée de n e plus
être que la capitale des h u it m il­
lions de T chèques qui, seuls, o n t des
raisons histo riq u es e t n a tu relles de
se réclam er de son obédience.
Il y a m ê m e u n e le ttr e des a n ciens
c o m b a tta n ts hongrois a u x a n cien s
co m b a tta n ts fra n ça is, p o u r leu r d e­
m a n d e r d ’a p p u yer la sécession des
élé m e n ts m agyars re te n u s en T c h é ­
coslovaquie.
L ’in q u ié ta n t est que l’A llem agne
orchestre to u t ce m o u v e m e n t. La Po­
logne invoque sa force pour rep ren ­
d re ses su je ts parce qu’elle se se n t
appuyée p a r H itler. E t celu i-ci se
concerte d ire c te m e n t avec les m in is­
tres e t les c h e fs m ilita ire s hongrois.
Q uant au g o u ve rn e m e n t de P ra­
gue, il n ’accepte p o in t les sugges­
tio n s fra n c o -a n g la ise s et propose de
rep rendre la questio n en se se rva n t
de l’appareil diplo m a tiq u e ex ista n t,
e t n o ta m m e n t de l’accord g erm a n o tch èq u e de 1926.
L ’h eu re n ’est plus, m a lh e u re u se ­
m e n t, à ces procédures régulières. Il
y a u n e A llem a g n e ivre de sa p u is­
sance, qui p ré te n d , sous le co u vert
du fa m e u x p rincipe d ’au to -d isp o sitio n , re d istrib u er les E ta ts en E urope
C entrale.
Tous ces rem ous so n t d a n s la logi­
que cruelle des choses. A u n o m de
quel p rincipe acceptable p e u t-o n d é­
n ie r à des peuples le droit de n e pas
vivre d ans u n cadre p o litique q u ’ils
n ’o n t p o in t d em a n d é e t qui répugne
à leur m e n ta lité eth n iq u e ? L ’E ta t
tchécoslovaque n e pou va it vivre que
si son a u to rité ava it fo u rn i a u x n a ­
tio n a lités qui le c o n stitu a ie n t, le lien
co h éren t qui e u t tra n s fo rm é en
un io n consentie la violence des tr a i­
tés. On sa it qu ’il n ’en a rien été.
L ’a ttra c tio n d ’u n e A llem a g n e p u is­
sa n te a fa it le reste.
S u r l’erreur folle que rep résen te
l’a ve u g le m e n t des ancien s alliés de
la guerre to u c h a n t c e tte re n a issa n ­
ce belliqueuse de l ’A llem a g n e, to u t a
été dit. C o m m en t espérer q u ’on
échapperait à ses conséquences par
u n e guerre d o n t le p re m ier ré su lta t
serait de disloquer p ré cisé m en t la
Tchécoslovaquie, déchirée p a r la ré­
volution intérieu re dès l’o u vertu re
des h o stilité s ?
La seule voie raisonnable d em eure
donc la négociation, assortie de c e t­
te g a ra n tie que la F rance e t l’A n ­
gleterre, assurées d a n s leu r force, ne
p e r m e ttro n t p o in t que le c o n flit se
tra n sfo rm e ja m a is en guerre g én é­
rale. M. N eville C ha m b erla in ira
je u d i à G odesberg retro u ver H itler.
O n discerne la d iffic u lté de sa d é ­
m a rch e. Dès à p résen t, on p e u t croi­
re que to u s les avis so n t do n n és à
Prague, pour que le G o u ve rn em e n t
tc h èq u e accepte les propositions
fra n c o -b rita n n iq u e s co m m e base de
la discussion. C elle-ci, d ’ailleurs, d é­
borde d éjà son cadre p rim itif. Il
sem ble im possible, n o ta m m e n t, de
d em a n d e r à la Pologne e t à la H o n ­
grie de g a ra n tir la n e u tra lité du
nouvel E ta t tchécoslovaque si elles
n ’o b tie n n e n t pas les sa tisfa ctio n s
na tio n a les qu’elles exig en t.
T out cela est d a n g ereu se m e n t obs­
cur et com pliqué. On n ’y p eu t rien,
sinon faire appel à to u te s les réalités
du bon sens et des possibilités in te r ­
n a tio n a les pour sauver la p a ix à to u t
prix.
M aurice VALLET.
IT A IR E
12 fr.
EILLB
1 r é u s s i r a it,
l a i s il é tait
est nv°e des
irnr.3 comme
te s d .f i n i t if s
:s et le s plus
e c o m m e lu i.
l ’a în é e des
in d ’elle u n
en a r rièr e I
Seul, le pré-en t, te l que
d e s moi.«: est
je n e veux
c faire ? ind ’u n a ir connplem ent m a
vais laissée.
a«tiophe. Je
nde, d an ser,
les sa lo n s de
m ot, com m e
de m on Age.
filles de tori
n ’ont
ncé dont rhat rer>'**■'’ »'lus
tif l ’épouvanr elles ! rafl(A suivra.)
Cinq millions de bijoux disparus
lors d’une catastrophe aérienne
sont retrouvés à Naples
Rome, 20 septem bre.
Les joyaux de g ra n d e v a le u r —
dix m illions de fra n cs en viron — qui
a v a ie n t d isp a ru lors de la ca ta stro ­
phe de l'avion qui ra m e n a it à Rome,
à la fin du m ois d ’av ril d ern ier, les
p e rso n n a lité s re v e n a n t d ’assiste r a u
m a ria g e du roi Zogou d ’A lbanie, o n t
été en p a rtie retrouvés. Ils é ta ie n t en
possession de deux ind iv id u s que la
police a a rrê té s a N aples ap rè s de
longues rech erth e s.
Cse deux in d iv id u s av a ie n t acheté
des joyaux à des p ay san s qui les
a v a ie n t trouvés s u r le lieu de l ’acci­
d e n t et qui î g p o a n t leu r vaie ir , les
a v a ie n t cédéj à vil prix.
Il s’a g it des bijoux q u ’une g ran d e
m a iso n de P a ris av a it envoyés a u roi
Zogou à l'occasion de son m a ria g e
et que le so u v erain d ’A lbanie re to u r­
n a it & P- r > après av o ir fa it son
choix.
Ces jo y au x av a ie n t été expédiés
p a r l’avion en question, qui s’est
a b a ttu osms la région de N aples,
c a u s a n t la m o rt de 19 personne« qui
er tro u v a ie n t à bord.
Les bijoux retrouvés à Naplee re­
présentent une valeur de plu« de 5
million».
chambre
P aris, 20 septem bre.
T oute la jo u rn ée se passa dans
les m ilie u x parlem entaires à a tte n ­
dre le résu lta t des délibérations du
G ouvernem ent de P rague, et sa ré­
ponse a u x propositions franco-bri­
tanniques. Les nations m êm es qui ont
créé la Tchécoslovaquie dem a n d en t
a u jo u rd 'h u i d'accepter l'essentiel des
revendications des Sudètes. E vid em ­
ff
m en t il eût fa llu que VA ngleterre et
la France fu ssen t fortes, très fortes,
pour im poser toute leu r volonté à
l'A llem agne et dom iner de h aut la si­
tuation p ar leur autorité.
Il fu t un m o m en t où M ussolini,
grâce d l'a rm a tu re d 'u n organism e
m ilita ire puissant, après le relève­
m en t de l’Italie, fu t presque l'arbitre
de l'Europe. A u jo u rd 'h u i H itler e s t
le m a ître de la p aix et de la guerre.
P uissa n t privilège de la force.
V-'
D epuis près de vin g t ans, ici m êm e,
^4 1
'é. iïfÈ&œ ! nous n'a vo n s cessé d 'exa lter la né­
cessité de la force en face dCune Alle­
m agne incorrigible qui allait re n a î­
tre m ilita irem en t, qui renaissait vt
■
■
■■
1
qui ne tarda pas à se dresser ressuscitée et m enaçante. On nous a
parfois traité de rabâcheur lorsque
nous ne nous lassions pas de répéter
la fam euse parole de Heine ; « F ran­
çais, on ne vous aim e pas en Alle­
m agne. On ne vous aim era jam ais.
Croyez-moi, gardez toujours l'arm e
au bras. » Et, écrivait-il : « Je suis
effrayé d'avoir appris que certains
m in istres avaient l'in ten tio n de vous
désarm er. » H enri ffe in e éc iiv a it ce­
la il y a plus d 'u n siècle ! Comme s'é­
tait resté vrai pour qui connaissait
la race germ anique.
E t le Tem ps avait raison d'écrire
le 12 septem bre dernier : « On se de­
m ande, en présence d'un tel péril
com m ent notre dém ocratie a pu au
cours des vin g t années qui ont suivi
la grande gufirre penser à autre cho­
.y.vW
»«.v.w.
se q u'à se p ré m u n ir contre les con­
séquences possibles d 'u n voisinage
Voici dans u n cam p de réfugiés, h â tivem en t installé à P rague, des
aussi m enaçant, faire autre chose
réfugiés des p ays sudètes qui o n t q uitté leu r village en raison de la
qu'une politique exclusive de sécurité
gravité des événem ents
nationale. »
Le communiqué officiel
L’ENTRETIEN DU CHANCELIER
On espère encore que les d irig e an ts
M aintenant tout le m onde est d'ac­
HITLER AVEC LES HOMMES
tchécoslovaques accepteront finale­ cord. L 'h eu re de la force a sonné.
P rag u e, 20 septem bre.
m en t le p ro jet fra n co -b ritan n iq u e U nion des F rançais ; U nion des na­
D’ETAT HONGROIS
On publie le com m uniqué officiel
afin de sa u v eg a rd e r l ’existence de tions civilisées contre la m enace ger­
su iv a n t :
B erlin, 20 septem bre.
l’E ta t tchécoslovaque et de m a in te­ m anique ; Volonté de surproduction
La réponse du G o u vern em en t
U ne in fo rm atio n allem an d e destin ir la paix.
intensive dans les u sines tra v a illa n t
tchécoslovaque
aux
propositions née"â l ’é tra n g e r an n o n ce que M. ImLe Gouvernement 4e Varsovie
Les m in istres politiques co ntinuent pour la D éfense N ationale et dans
lo n d o n ien n es a été rejnise a u x m i- red y , p résid e n t d u Conseil hongrois,
du reste de siéger à P ra g u e. P o u r le tous les com partim ents du travail.
fait faire d e r démarches
et M. de K an y a, m in istre des A ffai­
m om ent le voyage de M. Neville Tel est le faisceau qui conférera la
à
Paris,
Londres,
Berlin
et
Rome
re s é tra n g è re s de H ongrie, se sont
C ham berlain n ’a pas été décom m an­ force à notre nation et lui perm ettra
en tre ten u s a u jo u rd ’h u i avec M. H i­
V arsovie, 20 septem bre.
dé. On se ra sa n s doute fixé défini­ de faire face.
Une nouvelle démarche
tler.
tivem ent 6 u r les in ten tio n s du Gou­
Les am b assa d eu rs de Pologne à
Prague, disait-on dans les couloirs,
M. von R ibbentrop, m in istre des L ondres, P a ris , Rome et Berlin o n t franco-britannique est aussitôt faite v ern em en t tchécoslovaque d an s le accepte le principe adopté par L on­
A ffaires é tra n g ères du Reich, assis­ reçu l ’o rd re de p réciser à nouveau
co u ra n t d e -la nuit.
dres et Paris, m ais fa it des réserves
auprès de M. Hodza
ta it ég alem en t à l ’en tretien .
aux g ouvernem ents a u p rè s desquels
sur les m odalités d'exécution et se
P
ra
g
u
e,
20
septem
bre.
P a ris, 20 septem bre.
Une a u tre in fo rm atio n allem ande ils sont accréd ités l ’a ttitu d e adoptée
Après la rem ise de la note du Gou­ référerait a u x décisions d ’une confé­
La réponse du G ouvernem ent tch é­
donne les précisions su iv an tes su r p a r la Pologne « en présence des évé­
v
ernem
ent tchécoslovaque, le m inis­ rence européenne. E n face de la for­
l’en tre tie n :
nem en ts en Tchécoslovaquie et en coslovaque fait co n n aître que le ca­ tre de F ra n ce à P ra g u e, M. V ictor ce hitlérienne, la Tchécoslovaquie ne
binet,
de
P
ra
g
u
e
ne
peu
t
souscrire
On ap p ren d d an s les m ilieux po liti­ présence de l ’in terv en tio n in te rn a ­
ve u t pas donner tête baissée dans
aux propositions fran co -b ritan n iq u es de Lacroix, a fa it à 20 heures u ne une action qui en traînerait l’invasion
q u es a u su jet de l’échange de vues tio n ale qui a eu lieu à ce su je t ».
nouvelle visite au président du Con­
établies
s
a
n
s
son
assen
tim
en
t.
Elle
ui a eu lieu en tre MM. Im redy et
généralisée non seulem ent des Su­
Paris, 20 septembre.
dem ande en conséquence que le con­ seil M. M ilan Hodza.
e K an y a avec le F ü h re r ch ancelier
A 21 heures, M. Newton, m in istre dètes, m ais de tout le pays tchèque.
On annonce ce soir qu’au cours de flit entre la Tchécoslovaquie et l’Al­
E t c’est pourquoi le G ouvernem ent
à l’O bersalzberg, que cet échange de l’entrevue qu’il a eue ce malin avec
d ’A ngleterre, s’est ren d u égalem ent
veut négocier encore.
vues a u r a it concerné le problèm e M. Georges Bonnet, M. Lukasiewicz, lem agne soit soum is à l'arb itrag e, chez le présid ent du Conseil.
conform
ém
ent
au
tra
ité
de
paix,
et
M ais les Sudètes, chauffés à blanc
tchécoslovaque d u point de vue n a ­ am bassadeur de Pologne, a fait au
Ce 6oir u n conseil des m in istres par Goebbels, ne dem andent qu’à se
tio n al sudéto-allem and et du p o in t de Ministère des Affaires étrangères une ue les gouvernem ents de L ondres et
se ré u n ira à nouveau. Tous les m i­ lancer dans la bataille dès m a in te­
communication de son gouvernement e P a ris reconsidèrent la question.
vue de la m in o rité hongroise.
Une dém arche collective des m in is­ n istres ont reçu ord re de re ste r à nant. Les fa m e u x corps francs se
Les p erso n n alités hongroises sont présentant une réserve au sujet de la
polonaise de Tchécoslovaquie. tres de F ra n ce et de G ran d e-B reta­ leu r dom icile en a tte n d a n t des ins­ sont organisés et p u issa m m e n t ar­
arriv ées ce m atin vers 10 h. 30 à Ein- minorité
M. Georges Bonnet a pris acte de cette gne à P ra g u e va avoir lieu incessam ­ tructions.
més. Ils brûlent de revasser la fron­
rin g , près de F re ila ssin g . A onze communication.
m en t au p rè s de M. Benès.
(LIR E U SUITE EN TRO ISIÈM E PAGE)
tière. E t il n ’est pas do u teu x que de
heures, elles so n t arriv ée s à l’Obernom breux volontaires de l'in té rieu r
salzberg ou elles o nt été les hôtes du
du Reich se sont déjà jo in ts à eux.
ch an celier p o u r d éjeu n er.
B erlin m u ltip lie les m a n ifesta tio n s
et voudrait bien devancer les diplo­
LE G E N E R A L SYROVY
m ates en in sta u ra n t pour com m encer
nouveau m in istre de la Guerre
au cœ u r de l’E urope une explosion
tchécoslovaque
de guérillas.
Chez nous, les com m unistes, dans
n istres de F rance e t d ’A ngleterre à
l’Humanité, accusent avec in d ig n a ­
Prague.
tion la France et V A ngleterre d 'avoir
capitulé devant le fascism e in te rn a ­
La réponse co n siste en u n e n o te
tional. Ils co ntinuent leur cam pagne
ex p liq u a n t le p o in t de vu e d u G ou­
belliciste su r l'ordre de M oscou, En
ve rn e m e n t q u u n t a u x p ro je ts que lui
1917, quand la R ussie des Soviets
o n t rem is les G o u ve rn em e n ts fr a n ­
capitulait à B rest-L itovsk et donnait
çais e t anglais, p o in t de vu e qui p er­
P a ris, 20 septem bre.
Nombreux sont les Français qui ont
à l'A llem agne carte blanche contre
m e t la c o n tin u a tio n d ’u n e n égocia­
P re n a n t la p aro le au b an q u e t des tenu à se créer des liquidités. Ainsi
la France, ils se souciaient peu alors
tio n d ip lo m a tiq u e d a n s l’esp rit de
quotidiens régionaux, M. P a u l M ar­ les caisses publiques ont dû assurer
de la sécurité française. L eur tra h i­
portants remboursements.
co nciliation que le G o u ve rn em e n t
ch an d eau , m in istre des F in an ces, a d'im
Les établissements de crédit ont été
son prolongeait la guerre d ’u n an et
tchécoslovaque n ’a cessé de m a n i­
p rononcé un g ra n d discours.
placés devant la même nécessité. Dans
dem i.
fe ste r.
,
ml
ftefityï
Mes confrères, a-t-il dit, ont trop haut le même temps, le volume des billets
A u jourd'hui, les Soviets veulent la
La n o te a été rem ise à 19 heures.
placé le sentiment du devoir pour ne a sensiblement augmenté. Tout cet a r­
guerre, m ais ils veu len t en m êm e
pas me permettre de leur dire com­ gent est resté et restera patriotique­
P ra g u e , 20 septem bre.
tem ps le désordre organisé à l’in té­
ment, dans Je moment présent, il leur ment sur notre sol.
Le franc n ’a pas été ébranlé mais
est possible de collaborer sur le plan
rieur de nos frontières, ce qui est
L ’in fo rm a tio n su iva n te a été p u ­
financier à l ’action que conduisent le une masse m onétaire importante est
bien la plus désastreuse préparation
bliée par l’Agence C eteka :
Gouvernement et principalement son retenue hors de la circulation. L’Etat
au x hostilités m enaçantes. Dans les
M. DE LACROIX
chef, le président Daladier et M. Geor­ a ainsi perdu les ressources qui nor­
Au su je t de la note rem ise ce so ir
couloirs,-com m e chez tous les F ran­
m
in
istre
de
F
rance
à
P
rague
photo­
ges Bonnet, pour le m aintien de la malement alim entent pour une large
aux m in istre s de F ra n c e et d ’Angle­
çais, l'in d ig n a tio n éta it violente et
part sa trésorerie.
te rre p a r le gou v ern em en t tchécos­ graphié a u x côtés de M. B E N E S, d paix.
u n a n im e contre la grève générale d u
Cependant le Gouvernement ne s’est
Je n ’apprendrai rien à personne en
lovaque, nous ap p re n o n s que le gou­ qui il a rem is ava n t-h ier les propo­ indiquant
bâtim ent déclenchée m algré la vo­
qu’au cours des semaines qui pas trouvé pris au dépourvu. Dès son
sitions de Londres
v ern em en t tchécoslovaque dem ande
lonté contraire de la m ajorité des tra­
viennent de s’écouler la gravité aes arrivée au pouvoir au mois d ’avril
que le g o u vern em en t fra n ça is et le
événements internationaux a eu des dernier il s ’était assuré la faculté de
vailleurs et dans des circonstances
L ’entrev u e q ui a eu lieu vers la fin
go u vern em en t de la G rande-B reta­
recourir aux avances de la Banque de
aussi tragiques.
de
la
m
atin
ée
en
tre
le
F
ü
h
re
r
ch
a
n
­
France,
ces
avances
constituant
«
une
gne pèsent tous les projets concer­
P. CH ANTU RGU E.
marge
de
sécurité
grâce
à
laquelle
le
celier
et
MM.
Im
redy
et
de
K
an
y
a
n a n t la cession de d istricts frontière
Trésor
pourrait
en
toutes
éventualités
a
été
ten
u
e
soigneusem
ent
secrète
au R eich allem and.
couvrir les lourdes dépenses que la si­
Le g o u v ern em en t .tchécoslovaque au ssi bien en A llem agne q u ’à B u d a­
tuation internationale impose au pays».
pest
ju
sq
u
’ap
rès
le
d
ép
a
rt
de
B
erch­
Il s ’agit moins il est vrai pour Je
expose d an s la note ses raiso n s et tesgaden des deux hom m es d ’E ta t
moment de dépenses.
ses objections relativ es au projets hongrois.
Les besoins actuels de l’Etat sont as­
fran co -b ritan n iq u es.
surés, puisqu’aussi bien nous n ’avions
G andesa, 20 septem bre.
A u jo u rd ’hui o n t eu lieu des d éli­
Un communiqué officiel
n en prélevé depuis cinq enois sur ^es Le ch a n tier de la B anque de France
La bataille dan« la boucle de l’Eb éra tio n s g o uvernem entales s u r les
avances exceptionnelles et nous a vio as déserté p a r les ouvriers et gardé par bre s’est encore étendue ce matin à
B erlin, 20 septem bre.
m aintenu intacte la marge destinée â
suggestions de la conférence francola police
l’est du mont Gaeta. Les n ationalis­
Le
D.
N.
B.
publie
de
B
erch
tesg
a­
parer
à toutes es éventualités décou­
an g laise.
tes attaquent avec furie, soutenus par
den le com m uniqué su iv a n t s u r l’en­
lant de la situation internationale.
Paris, 20 septembre.
Les d élib ératio n s de ce m a tin du trev u e en tre le F ü h re r ch an celier et
d’importants . élém ents motorisés,
Mais le premier prélèvement que nous
En raison de l’arrêt que la grève une artMlerie ren/orcée et avec le
com ité des m in istres politiques ont MM. Im red y et de K an y a :
avons du faire la semaine dernière sur
du
bâtiment
apporte
aux
travaux
en
continué cet après-m idi d an s une
les avances de la Banque et ceux qui
concoure de plus de 100 avion« de
M. Imredy, président du Conseil hon­
résulteront des besoins accrus, néces­ cours pour la protection de la popu­ chasse et de bombardement.
séance com m une du dit com ité avec grois,
a rendu visite aujourd’hui au
sités
par
d
indispensables
mesures
de
lation
parisienne,
le
Gouvernement
les p résid en ts des p a rtis de la co a­ Führer chancelier, à l’Obersalzberg. Il
sécurité, constituent un moyen de fi­ a décidé de recourir dans le plus bref
lition gouvernem entale.
était accompagné de M. de Kanya. m i­
nancem ent dont le caractère exception­ délai à la réquisition, pour tous les
nistre
des
Affaires
étrangères
de
Hon­
L’une de ces séances s’est tenue
nel commande d’en lirtiiter aussi bien chantier« de travaux et de fournitu­
«
grie.
du
général
Keresztes
Fischer,
chef
l’importance que la durée.
au château de Prague sous la prési­ de l’état-major général hongrois et de
Il faut donc que l ’Etat reçoive dans re concernant la défense passive.
dence du Président de la Républi­ M. de Pataky.
le moment présent une aide d’autant
Paris, 20 septembre.
que, M. Bénès. On s’attend que, dès
M. von Ribbentroy, m inistre des Af­
plus importante et d’autant plus sûre
aujourd’hui, tard dans la soirée, faires étrangères du Reich a pris part
Le M inistère du T ravail com m uni­
ue
sa
force
tranquille
mais
résolue
ait lieu une nouvelle réunion du à l’entretien. '
oit s ’affirmer dans tous les domaines que :
visite des hommes d ’Etat hongrois
comité des Ministres politiques. Tou­ a La
et en particulier sur le plan financier
Contrairement aux informations
eu pour but d’examiner ]Â situation
tes ces conférences m inistérielles intenable en Tchécoslovaquie.
où la résistance est la plus apparente publiée« par quelques journaux, le
Bordeaux, 20 septembre.
et
la
plus
décisive.
sont en connexion avec la crise in­
Tandis que !e F "hrer chancelier a ex­
nombre des ouvriers du bâtiment en
Après les essais qu’il a effectués
Il
n
est
pour
cela
qu’un
moyen
c’est
ternationale qui gravite autour du posé les problèmes intéressant l'Alle­
M. MAROHANDEAU
que chacun mette au plein ses ressour­ grève ne dépasse pas 50 p. 100. L’ef­ hier après-midi, l’hydravion « Lieuroblème tchécoslovaque et pour magne, les nun.stres hongrois ont pré­
ces au service de la nation. Aucune fectif total des ouvriers non chô­ tenant-de-Vaisseau-Paris » quittera
senté
les
droits
tout
aussi
indiscutables
répercussions
sur
l’état
de
la
tréso­
éclaircissem ent de laquelle des ef­
excuse ne saurait justifier ou simple­ meurs du bâtiment, de« Travaux pu­ la base de Biscarosse dem ain mer­
de
tout
ie
peuple
hongrois
qui
revendi­
rerie.
Elles
ne
sont
du
resté
que
super­
forts sont poursuivis a l’heure ac­ que le droit de libre disposition de tous ficielles et il suffira d’en connaître les ment même expliquer le manquement blics et des m atériaux-de construc- credi pour effectuer son second voya­
tuelle dans les principales capitales les habitants de nationalité hongroise causes pour que chacun ait à cœur à un pareil devoir.
i
, tion de la région parisienne, est d’en- ge d’études au-dessus de l’A tlan tiq u e
européennes.
en Tchécoslovaquie.
d ’en effacer les effets.
Viron 75.000.
(LIRE U 5 ' ITE : ’ TROISIÈME PAGE)
Le point de vue tchèque, dit un communiqué officiel, permet la continuation
« d’une négociation diplomatique dans l’esprit de conciliation que le
« gouvernement tchécoslovaque n’a cessé de manifester. »
M. Chamberlain aura, demain soir
une nouvelle entrevue avec Hitler
DES BANDES ARMÉES VENUES D ’ALLEMAGNE O N T
DIRIGÉ DES ATTAQUES CONTRE LES FRONTIÈRES
TCHÉCOSLOVAQUES
M. Hitler s’est e n t r e te n u avec le président du Conseil e t le
ministre des Affaires étran gères de Hongrie qui o n t exposé les
droits des habitants de nationalité hongroise en Tchécoslovaquie
L’attitude antitchèque de la Pologne s’accentue de plus en plus
LES REVENDICATIONS
POLONAISES
PRAGUE DEMANDE
A LONDRES ET A PARIS
DL RECONSIDERER
LA QUESTION
3
3
M. Marchandeau parle des répercussions La grève du bâtiment
des événements extérieurs sur la trésorerie
à Paris
et invite les Français à mettre
leurs ressources au service de (a Nation
Le Gouvernement
va reconrir à la réquisition
pour les chantiers
concernant la défense passive
LA GUERRE D’ESPAGNE
Le « L’-de-Vaissean-Paris »
va effectuer un second voyage
S
P
i
L'AVENIR DU PLATEAU CENTRAL
PARTI SOCIAL FRANÇAIS
NOS DÉPÊCHES
LA RÉPONSE DE PRAGUE
aux propositions franco anglaises
PARIS ET LONDRES VONT MONTRER
AU GOUVERNEMENT TCHEQUE LES DANGERS D’UNE
ATTITUDE NEGATIVE OU DILATOIRE
On espère abontir à une solution satisfaisante
P a r i s , 21 septem bre.
A m in u it 30, M. Georges B onnet
p orsu ivait avec ses collab orateu rs,
M- A lexis L éger, secrétaire gén éral
du M inistère des A ffaires étra n g è­
res, et M. Jules H enry, d irecteu r de
son Cabinet, l ’étude de la situ a tio n
créée par la réponse du gou vern e­
m e n t tchécoslovaq u e au x p rop osi­
tio n s franco-britanniques.
Le M in istre des A ffa ire s é t r a n g è ­
res a procédé à u n e x a m e n m i n u t i e u x
de ce texte, a u f u r et à m e s u r e qu e
les feu illets lu i en p a r v e n a i e n t d u
d éch iffrem en t.
Il a eu des rapports télép h on iq u es
fréquents avec Londres et avec P ra ­
gue.
. .
,
Une dém arche d es m in istres de
F ran ce et de G rande-Bretagne à P ra ­
gu e a u ra lieu in cessam m en t auprès
du gouvernem en t tchécoslovaque, en
v u e de lui m ontrer les d an gers d’une
attitu d e n ég a tiv e ou d ilatoire, en
p resence des p rép aratifs m a ssifs du
R eich aux fron tières de la T ch écos­
lovaq u ie, et pour le p ersu ad er de la
n écessité, d an s l ’in térêt m êm e de ce
p a y s, à accep ter le règlem en t pré­
paré à L ondres afin de don n er au
c o n flit germ an o-tch èq u e u n e so lu ­
tion pacifique.
La conférence que M. G eorges
B on n et a eue avec ses collab orateu rs
s ’est term inée à m in u it 45.
M. A lexis Léger a q uitté à ce m o­
m en t le M inistère, et le chef de la
d ip lom atie fran çaise reg a g n a it ses
a p p artem en ts du Quai d ’O rsay, ta n ­
d is que M. Ju les H enry, d irecteu r
du C abinet, fa isa it à la p resse cette
sim p le d éclara tio n :
« Les d ern ières n ou velles reçu es
d e P r a g u e n ou s perm ettent d’esp é­
rer q u ’on s ’orien te vers une solu tion
sa tisfa isa n te . »
Le sénateur américain Borah
ne s’intéresse pas à l’Europe
W a s h in g to n , 20 se p te m b re .
M B o ra h , s é n a te u r r é p u b lic a in d e
l ’E ta t d ’Id a h o , d a n s u n e d é c la r a tio n è
la p re sse , m et l ’o p in io n p u b liq u e en
g a rd e c o n tre « le d é lu g e d e p ro p a g a n ­
de c h e r c h a n t à a tt i r e r les E ta ts-U n is
d a n s la c ris e e u ro p é e n n e »
Cette d é c la r a tio n a u r a i t été p ro v o q u é e
p a r la d é m a rc h e de M. L éon B lu m a u ­
p rè s d u p ré s id e n t H oosevelt, lu i de­
m a n d a n t d ’in te r v e n ir p o u r s a u v e r la
p a ix .
M. B o ra h a d é c la ré n o ta m m e n t que
« le p e u p le a m é ric a in ne m a n ife s te a u ­
cu n in té r ê t p o u r les d is p u te s a y a n t
tm i t a u x fr o n tiè r e s e u ro p é e n n e s ».
Une visite de l’Ambassadeur
de Pologne au Führer
B erlin , 20 septem bre.
D an s le s m ilieu x p o lo n a is de B er­
lin on d éclare q ue la v isite q ue M.
Joseph L ipski, a m b a ssa d eu r de P o ­
lo g n e à B erlin , a faite a u F ü h rer
ch a n celier à B erch tesgad en , est p a ­
ra llè le aux dém arche« fa ites, sur les
in stru ctio n s de g o u vern em en t de
V arsovie, au p rès des gou vern em en ts
de P a ris, de L ondres et de R om e, en
v u e de préciser u ne fois encore, de
fa ço n approfondie, le p oin t de vu e
p olon ais d an s la q u estion tch éco slo ­
vaque.
Il parait en outre év id en t que le
F uehrer chan celier et l ’a m b a ssa d eu r
de P ologn e se son t en treten u s de l ’at­
titu d e de l ’A llem agne et de la P o lo ­
g n e dans cette affaire.
Le Régent de Hongrie
a eu une entrevue
avec le maréchal Goering
Trois millions de bijoux sont
volés à une riche anglaise
B o u lo g n e - s u r-M e r, 20 s e p te m b r e .
U n e r i c h e A n g la is e , M is s M a u d
K n o t't, d o n t le n o m f i g u r e a u p r e m i e r
ip la n d e l ’a r i s t o c r a t i e lo n d o n ie n n e , a
é té h i e r v ic tim e d ’u n v o l a u d a c ie u x .
P r è s d e 3 m i'llio n s d e bL joux o n t d is ­
p a r u d ’u n e v a lis e e n p e a u d e s e r p e n t
q u ’e lle t r a n s p o r t a i t d e L o n d r e s à P a ­
ris .
D ès q u ’ô lle s ’a p e r ç u t d u v o l s u r le
p a q u e b o t q u i a s s u r e le s e r v ic e d e F o l­
k e s to n e à B o u lo g n e , l a v ic tim e a l e r ­
t a le s p o l ic i e r s a n g l a i s e t f r a n ç a i s
q u i se t r o u v a i e n t à ibord, m a i s le s r e ­
c h e r c h e s e n t r e p r i s e s a u s s i t ô t n ’o n t
•ju s q u ’à p r é s e n t d o n n é a u c u n r é s u l ­
ta t.
w v ------
UN DISCOURS
DE M. MUSSOLINI
 UDINE
U d in e, 20 septem bre.
V e n a n t d e G o r iz ia , où, d a n a u n e
a ll o c u ti o n , il a v a i t n o t a m m e n t d é ­
c l a r é : « S 'il d e v a it y a v o ir un d ra­
m e , n o u s y f e r io n s fa c e , M . M u s s o li­
n i e s t a r r i v é à U dine e n autom obile
à 18 h. 15.
A c c la m é c h a l e u r e u s e m e n t p a r l a
p o p u l a t i o n e t p a r le s d é lé g a t i o n f a s ­
c is te s a c c o u r u e « d e s v ille s e t vil'Iag e s v o is in s , le D u c e d o n t l a v o i tu r e
a v a i t p e in e à se f r a y e r u n p a s s a g e
d a n s l a fo u ie , s ’e s : r e n d u s u r l a p l a ­
ce V ic to r - E m m a n u e l.
D è s s o n a r r i v é e p l a c e V ic to r - E m ­
m a n u e l , le D u c e p r e n d l a p a r o le .
Il r a p p e l le le c h e m in p a r c o u r u p a r
l ’I t a l i e d e p u is l a m a r c h e s u r R o m e .
— Seize a n s o n t p a ssé d e p u is , dit-il.
L ’Ita lie a u jo u r d ’h u i e s t u n p e u p le fier.
L ’Ita lie a u jo u r d ’h u i e s t u n em p ire.
M. M u s s o lin i e x a lte l 'œ u v r e a c c o m ­
p lie p a r le r é g im e a u c o u r s d e s se ize
• d e rn iè re s a n n é e s .
— Je v o u d ra is qu e c e rta in s é tra n g e r s
m é la n c o liq u e s, é te rn e lle m e n t h o r s de
la ré a lité , p u is s e n t a s s is te r à c es m a ­
n ife s ta tio n s e t é c o u te r v o tre c ri, d o n t le
b r u i t e st c o m p a ra b le à c elu i de l ’o u r a ­
gan.
Ils d e v r a ie n t a lo r s d é c h ire r le u rs p a ­
p ie rs in u tile s et ré c ite r u n acte d e c o n ­
t r i t i o n c a r u n e des p lu s g ra v e s m a la ­
d ie s d o n t so u ffre le m o n d e c o n te m p o ­
r a in e s t la d iffu s io n des m en so n g e s,
a v a n t to u t et su rto u t lo rs q u ’il s ’a g it d e
l ’Ita lie . C ar, d e to u te é v id e n ce , b e a u ­
c o u p d 'é tr a n g e r s a im a ie n t m ie u x le
p eu p le d ’u n e a n tre épo q u e. P o u r b e a u ­
coup d ’é tra n g e rs , e f ces é tra n g e rs , n o u s
a v o n s le d ro it de les m é p rise r, le p e u ­
ple Ita lie n devav» e x is te r se u le m e n t
p o u r in té r e s s e r o u p o u r a m u s e r les
m p le s d 'a u dp à d e n o s fro n tiè re s ,
out c e la est fin ;, irré v o c a b le m e n t fi­
ni. N ous p i é f é r o r s q u e l ’on n o u s c r a i­
g n e e t la h a in e d e s a u tr e s n o u s e s t in ­
d iffé re n te , c a r n o u s la m é p riso n s .
11 fa n d ,
qu e 1» m o n d e fa sse conu a is s a i ce de cette n o u v e lle Ita lie f a s ­
c is te : Ita lie d u re , v o lo n ta ire , g u e rriè re .
C’e s t d a n s l’a ttitu d e a d m ira b le q u e le
p e u p le ita lie n a eue c es Jours-ci que
l’on v o lt l ’œ u v re d u fa scism e , et si, d e ­
m a in , ce p e u p le é ta it a p p elé à d ’a u tre s
é p reu v e s, il n ’h é s ite r a it p a s u n e se u le
m in u te .
Ç
UN ATTENTAT A VARSOVIE
V arso v ie, 20 se p te m b re .
Ce s o ir u n e bom be a é claté d a n s l ’im ­
m e u b le d u S y n d ic a t des in s titu te u r s
p o lo n a is, tu a n t u n e p e rso n n e , e n b le s ­
s a n t tro is a u tre s . Le S y n d ic a t des In s­
titu te u r s e st u n e o rg a n is a tio n à te n d a n ­
ce so c ia liste p ro n o n c ée .
Grévistes condamnés à Lyon
L yon, 20 se p te m b re .
Cet a p rè s-m id i o n t c o m p a ru d e v a n t
la q u a triè m e c h a m b re d u tr ib u n a l c o r­
re c tio n n e l de L yon tre iz e g ré v is te s du
b â tim e n t q u i a v a ie n t été a r r ê té s p o u r
e n tra v e s à la lib e rté d u tra v a il.
T ro is p ré v e n u s o n t été a c q u itté s. L ’in ­
c u lp é C a n et q u i é ta it p o u rs u iv i n o n
se u le m e n t p o u r e n tr a v e s à la lib e rté
d u tra v a il «nais e n c o re p o u r p o rt d ’a r ­
m e s p ro h ib é e s e t c o u p s à a g e n t, s ’e st
e n te n d u in flig e r q u a tr e m o is d e p ris o n
s a n s s u rs is .
H u it in c u lp é s o n t été c o n d a m n é s de
tin à d e u x m o is de p ris o n a v e c s u r s is
e t les a u tr e s à u n m o is avec s u rs is .
B erlin, 20 septem bre.
L e D .N .H . c o m m u n i q u e ;
Le m aréch al G oering com p lètem en t
rétab li, a eu a u jo u rd ’hui une en tre­
vu e avec le régen t de H ongrie Horth y , à A ltsternberg. L’am iral Horth y séjou rne depuis quelques jou rs
d an s les forêts de Sternberg o ù il
est l ’hôte de ch asse du m aréch al.
Un appel
des anciens combattants hongrois
aux anciens combattants français
B u d ap est, 20 septem bre.
La F édération hon groise des An­
cien s C om battants ad resse à la F é­
dération n a tio n a le des A n cien s Com­
b attan ts fra n ça is l’appel su iv a n t :
En ces heures décisives, la Fédéra­
tion hongroise des Anciens Combat­
tants s’adresse à vous, chers cam a­
rades, pour vous prier, dans l’inté­
rêt de la justice et de la paix, de faire
valoir toute votre influence auprès
des orsranes compétents de votre pays
pour que le droit do** peuples
dis­
poser d ’eux-mêmes soit appliqué à la
m inorité hongroise de Tchécoslovaquie
qui compte plus d’un million de mem­
bres et qui fut incorporée dans l’Etat
tchécoslovaque sans avoir été consul­
tée.
La Tchécoslovaquie aussi a droit
à son espace vital
P ra g u e, 20 septem bre.
« Le p eu p le tch écoslovaq u e, s’il
v eu t vivre, doit a v o ir lu i a u ssi son
esp ace v ita l, d éclare le « Ceske Slovo », so cia liste n a tio n a l. Cet esp ace
co n stitu e un tout écon om iq u e in d iv i­
sible. Nous v o u lo n s avoir des fron­
tiè r e s que n o u s p ou rrion s d éfendre
m ilita irem en t. La T ch écoslovaq u ie
d o it con stitu er une unité écon om i­
que et elle doit avoir des fron tières
d éfen d a b les : ce son t le s p rin cip es
qui d oiven t déterm in er n o s d écision s.
L ’A utriche, elle a u ssi, a jou te le jou r­
n a l, a v a it des g a ra n tie s des g ra n d es
p u issa n ces. »
Une condamnation à mort
à Londres
AUJOURD'HUI
F ê te à s o u h a i t e r ; S a i n t M a u r ic e .
— L e v e r d u so le il, 5 h. 36 ; c o u ­
c h e r , 17 h . 51. — L e v e r d e l a lu n e ,
2 h. 36 ; c o u c h e r , 16 h . 19.
PHARMACIENS DE CARDE
de 1t h. 15 à 13 h. 45
Mlle C h a rle s, b o u le v a rd L av o isie r.
(MM. C h ib ret, ru e S a in t-H é re m .
P a s c a l, b o u le v a rd L a fa y e tte .
SERVICE DE NUIT
MEDECIN. — T é lé p h o n e r a u x pom ­
p ie rs, n» 18.
PHABiMACIEN. — M. A u d y , 1, b o u le ­
v a r d D esaix.
LA JOURNÉE
18, ru e P a s c a l, L ’Aide
aux
14 h.,
M ère 5
14 h. 30, 2, ru e P a sc a l, A .P.E .L .
17 h., 10, a v e n u e C a rn e t, D éfense d e s
lo c a ta ire s .
21 h ., c a fé d e g a rd e , Le B ousset.
21 h ., H a lle a u x B lés, C o u rs p ro fe s­
s io n n e ls de c o iffu re .
MARIAGE
L o n d r e s , 20 s e p te m b r e .
G e o rg e B r a i n a é té r e c o n n u c o u p a ­
b le , p a r le s A s s is e s d e O ld B a ile y , d u
m e u r t r e d e R o se A tk in s ,
dont
le
c o r p s h o r r i b le m e n t m u tilé f u t d é c o u ­
v e r t d a n s u n s e n t ie r d u f a u b o u rg de
W im b le to n . E n c o n s é q u e n c e , B r a m
a é té c o n d a m n é à m o r t.
La grève prend fin
dans les coopératives
de Tindustrie du Bâtiment
P a r i s , 20 septem bre.
L e 9 r e p r é s e n t a n t s d e s s o c ié té s coo­
p é r a t i v e s d e p r o d u c ti o n d e l’i n d u s ­
t r i e d u b â t i m e n t a d h é r e n t e s à la C o n ­
f é d é r a ti o n g é n é r a le d e s c o o p é r a tiv e s ,
r é u n i s a u j o u r d ’h u i, o n t d é c id é p o u r
t o u te s le s c o o p é r a tiv e s ly o n n a i s e s e t
• p a r is ie n n e s l ’o u v e r t u r e d e s c h a n t i e r s
e t a t e l i e r s d e m a in m e r c r e d i 21 s e p ­
t e m b r e d a n s to u te s le s s o c ié té s a c ­
t u e l l e m e n t e n g rè v e .
BERLIN . — Le g o u v e rn e m e n t c h in o is
a p ro te s té à B e rlin c o n tre c e rta in s p a s ­
sa g e s d u d is c o u rs d u D r G oebbels a u
c o n g rè s d u N u re m b erg , q u i a v a it p a rlé
de c rim e s c h in o is.
H ier, a u M ont-D ore, a été céléb ré le
m a ria g e de M. J e a n -P a u l P o c h e t, fils
de M. P o c h e t, m a ire d e C lerm o n t, e t de
M adam e, avec M lle G eneviève F a lg o u x ,
fille de M. F a lg o u x , m o rt a u c h a m p
d ’h o n n e u r, et de M ad am e.
Les fo rm a lité s d u m a ria g e c iv il o n t
été p ré sid é e s p a r M. le g é n é ra l D evincet, m a ire d u M ont-D ore, g ra n d o ffi­
c ie r d e la L égion d 'h o n n e u r qui, en
u n e d é lic a te a llo c u tio n , a fa it l ’eloge
d e s fa m ille s e t fé licité les je u n e s époux.
Les tém o in s é ta ie n t, p o u r le m a rié ,
MM. R ené P o c h e t, so n frè re e t P ie rre
P o c h e t, in d u s trie l ; p o u r la m a rié e , M.
G aston L u p o rte , so n oncle.
A onze h e u re s, la c éré m o n ie re lig ie u ­
se a été céléb rée p a r M. l ’a b b é D a u ­
p h in , c u ré d u M ont-D ore, qui, a v a n t
d ’u n i r les m a rié s , le u r a r a p p e lé la
g ra n d e u r, en ses d e v o irs e t se s Joies,
a u m a ria g e c h ré tie n .
Le se rv ice d ’h o n n e u r é ta it a s s u ré p a r
M lles L ouise Ja m o t, D enise P o c h e t,
F ra n ç o ise lo g a y e , q u ’a c c o m p a g n a ie n t
MM. J.-A. P ré d o . G eorges B o u rd e ix e t
L ouis O livier.
Un déjeuneir, serv i d a n s les s a lo n s de
l ’H ôtel S ain t-G eo rg es, r é u n it le je u n e
couple, le u r fa m ille et les in v ité s. A son
issue, M. Je a n Iz a m b a rd se fit l’in te r­
p rè te d e l ’a s s is ta n c e p o u r e x p rim e r,
a u x n o u v e a u x m a rié s , les v œ u x fo rm és
p o u r le u r b o n h e u r.
N ous y jo ig n o n s tr è s s y m p a th iq u e ­
m e n t les n ô tres.
L’INSURRECTION A U CHILI
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M. Chamberlain refuse
de convoquer le Parlement
L ondres, 20 septem bre.
M. N evP
C ham berlain a adressé
à M. A ttlee u n e lettre a u x term e« de
la q u elle il se refu se à convoquer
im m éd iatem en t le P arlem en t.
Nous avons le bonheur, dit Juliien, d'être
aujourd'hui entre noua, en o a u r â cœur avec
nos familles, nos femmes et nos enfants. Ce­
pendant nous ne devons pas oublier que le
monde entier est actuellement angoissé par la
menace du cataclysme et pourtant 11 y a à
peine 30 ans qu’avec notre sang et nos poitri­
nes nous offrions un barrage à l’envahisseur.
Pour que vive cette Prance que nous aimons
il faut que chacun d'entre nous se mette à la
tache pour f a ir e •triom pher le programme de
Réconciliation de La Rocque. s Votre vie, vous
l’aves donnée à la France, 11 fau t que pour
vous la France vive ».
Pour cette tâche vous pouves faire confiance
en La Rocque. ses 7 blessures, ses 10 citations
témoignent en sa faveur. L’œuvre Immense qu'il
a accomplie en groupant au sein du P.8.P. des
Français de toutes classes et de toutes condi­
tions. venus de tous les horlsons politiques ne
sera achevée que le Jour où sera accompli le
sauvetage de la France, le sauvetage de la
Paix.
E t a p rè s ces chGses s é rie u s e s le p a ru et d e d a n se s fu t r e n d u à s a v é rita b le
e stln a tlo n . P e n d a n t lo n g te m p s les co u ­
p le s to u rb illo n n è re n t a u so n d 'u n ac­
co rd éo n e n tr a în a n t
La dém anstratlen d« lutta. — A u rln e
et C lrgoudoux R ay m o n d e x é c u tè re n t
d 'a b o rd u n e trè s belle d é m o n s tra tio n
des p rise s. E n su ite D e rigond et T o u rn a d re se liv rè re n t u n tr è s b e au co m b a t
q u i se te rm in a p a r la v icto ire d u p re ­
m ie r nom m é. A u rln e e t C lrg o u d o u x R.
a u c o u rs d ’un d e u x iè m e c o m b a t, n o u s
f ir e n t a d m ire r a v e c d e b e a u x m o y en a
Î
Lord Halifax reçoit
l’Ambassadeur de France
L ondres, 20 septem bre
E n sortan t de chez le prem ier m i­
n istre, lord H a lifa x s ’est rendu d i­
rectem en t au F oreign O ffice où il
a reçu peu a p rès M. Corbin, am b as­
sa d eu r de F ran ce avec qui il s est
en treten u p en d an t u n e dem i-heure
en viron
FEDERATION DEPARTEMENTALE
DU PUY-DE-DOME
L es p ro p a g a n d is te s d e la F é d é ra tio n
s o n t in fo rm é s q u e le u r r é u n io n b i­
m e n s u e lle a u r a lie u a u jo u r d 'h u i 20
se p te m b re , à 20 h. 30 trè s p ré c ise s, a u
sie g e de la F é d é ra tio n , 14, p la c e Chap elle-d e-Jau d e.
S o n t o c n sid é ré s com m e p ro p a g a n d is
te s le s c a m a ra d e s q u i fo n t la p ro sp e c
tio n à_ la_ c a m p a g n e et le s p ro p rié ta ire
ire!s
d e v o itu re s su s c e p tib le s a e c o n d u ire
ces c a m a ra d e s.
L a ré u n io n é ta n t p a rtic u liè re m e n t Im ­
p o rta n te , n o u s p rio n s to u s n o s c a m a ­
r a d e s p ro p a g a n d is te s de fa ire le u r p o s­
sib le p o u r ê tre trè s e x a c ts à l ’h e u re .
L es p ré sid e n ts de c a n to n d e s se c tio n s
d e C le rm o n t s o n t in fo rm é s q u e p a r
su ite de c ette ré u n io n le u r r é u n io n h e b ­
d o m a d a ire h a b itu e lle a u r a lie u excep­
tio n n e lle m e n t à 20 h e u re s.
REUNION DES CANTONS
NORD ET SUD-OUEST
DE OLERMONT E T OHAMALIERES
J e u d i so ir s ’e st te n u e , s a lle de l ’A ca­
d é m ie de B illa rd , la ré u n io n g é n é ra le
d e s c a n to n s N ord, S u d -O u est et Cham a liè re s.
A p rès q u e lq u e s In s tru c tio n s de M.
S a b a tie r a u su je t d u c o n g rè s ré g io n a l
d u 2 o c to b re et d u c o n g rè s n a tio n a l de
M etz, d é b u t n o v e m b re p ro c h a in , la
p a ro le fu t d o n n é e à u n o r a te u r de la
F é d é ra tio n et d é lé g u é à la p ro p a g a n d e .
Il fit p a r t to u t d a b o rd de ses Im p re s­
sio n s s u r le c o n g rè s d u C a n ta l a u q u e l
il a a ssisté et q u i d o n n a lieu à d e u x
m a g n ifiq u e s r é u n io n s à A u rilla c e t
C h a u d e s a ig u e s avec le co lo n e l de L a
R ocque, V a llin et L evet.
E x a m in a n t e n s u ite la situ a tio n e x té ­
r ie u re V o ra teu r, d a n s u n exposé trè s
d o c u m e n té et fo rt in té re s s a n t, fit e x ac ­
te m e n t le p o in t de la q u e stio n tch é c o s­
lo v a q u e , i l s o u lig n a le c alm e p a r fa it et
le sa n g -fro id c o n se rv é s p a r to u s les
b o n s F r a n ç a is d a n s les h e u re s g ra v e s
que n o u s tra v e rs o n s , é ta t d ’e sp rit, ditil, a u q u e l le P .S .F. n ’est p a s é tra n g e r.
I! e x p rim a sa foi d a n s u n e F ra n c e n o u ­
velle, ré g é n é ré e pa'r le P .S .F.
U ne n o u v e lle é ta p e s ’o ffre à l ’a c ti­
v ité de to u s les m e m b re s d u p a r ti p o u r
le s a lu t de la P a tr ie ; in te n s ific a tio n
de la p ro p a g a n d e , p r é p a r a tio n des fu ­
tu re s é le ctio n s, etc... R a p p o rta n t a ce
s u je t u n e p a ro le de n o tre p ré s id e n t le
c olonel de La R ocque, l ’o r a te u r te rm i­
ne : « Ne c ro y o n s pas a u x m ira c le s, les
m ira c le s se p r é p a re n t et se m é rite n t.
Au tr a v a il d o n c I T elle d o it ê tre p lu s
q u e ja m a is la c o n sig n e de to u t v ra i
P .S .F . ».
CANTON SUD DE OLERMONT
V e n d re d i 16 se p te m b re les a d h é re n ts
d u c a n to n S ud de C lerm o n t, ré u n is
d a n s le u r p e rm a n e n c e , sa lle Jean M erm oz, o n t p ro c éd é à l ’é le ctio n de
le u r p ré s id e n t p o u r l ’a n n é e 1938-1939.
P a r a c c la m a tio n s R iv al, p ré s id e n t s o r­
ta n t, a été ré é lu p ré s id e n t d e cette sec­
tio n .
Au n o m de la F é d é ra tio n , le d é lé g u é
a d jo in t à la p ro p a g a n d e , fé lic ita R iv al
de sa ré é le c tio n et s o u h a ita q u e so u s
s o n a c tiv e e t d ilig e n te im p u ls io n la
se c tio n d u c a n to n S ud de C lerm o n t
c o n tin u e so n a c tio n p o u r le trio m p h e
d u T ra v a il, de la F a m ille et de la P a ­
tr ie so u s le sig n e de la R é co n c iliatio n .
D a n s la n o u v e lle é ta p e q u i s ’o ffre à
l ’a c tiv ité d u P .S .F . l ’in te n ific a tio n de
la p r o p a g a n d e , la p ré p a r a tio n d e s fu ­
tu re s é le ctio n s, c h a c u n d e s m ilita n ts
d u P .S F. d o it se so u v e n ir de la p a ro le
de L a R ocque ; « Au P .S .F . n e c ro y o n s
p a s a u x m ira c le s, les m ira c le s se p ré ­
p a re n t et se m é r ite n t ».
CANTON 8UD-OUEST
Les a d h é re n ts et a d h é re n te s d u c a n ­
to n S u d -O u est so n t in fo rm é s q u e com ­
m e c h a q u e Jeudi a u r a lie u le 22 sep
te m b re , à 20 h. 45, sa lle d e l ’A cadém ie
de B illa rd , u r f r 't r è S in té r e s s a n te r é u ­
n io n .
Un o r a te u r d u sièg e p r e n d ra l a p a ­
ro le.
E n o u tre , à cette r é u n io n s e ra p ro c é ­
dé à l ’é le ctio n d u p ré s id e n t d e la sec­
tio n p o u r 1938-1939 e t a u re n o u v e lle m e n t
d u b u re a u .
BELLE FE T E A COUDES
F a v o risé e p a r u n te m p s sp le n d id e , la
s o rtie ra lly e de C oudes f u t u n su ccès
c om plet.
D epuis le g ra n d m a tin ju s q u ’à m id i
p lu s ie u rs c e n ta in e s de c a m a ra d e s P .S .
F. et le u rs fa m ille s se tro u v è re n t ré u n is
s u r les b o rd s de l ’A ilier d a n s u n site
p a rtic u liè re m e n t a g ré a b le .
C o n c o u rs de pêche, c o u rse e n sacs,
c o u rse à p la te a u , c h a n t c ro ch e t, c o u rse
d e s 100 kilo s, fu re n t fo rt a n im é s et
â p re m e n t d isp u tée s. Un lâ c h e r de b a l­
lo n s P .J. fit la Joie des p e tits e t d e s
g ra n d s.
M ais le clou de c ette so rtie c h a m p ê ­
tre fu t v r a im e n t la belle d é m o n s tra tio n
sp o rtiv e o fferte p a r la se c tio n d e lu tte
de l’A.S. M o n tfe rra n d a is e .
A près u n e trè s in té re s s a n te d é m o n s­
tra tio n d e s d iffé re n ts co u p s les s y m p a ­
th iq u e s lu tte u rs de n o tre g ra n d C lub
A u v e rg n a t d o n n è re n t le sp e c ta cle de
c o m b a ts a c h a rn é s d o n t le c h iq u é fu t
to ta le m e n t exclu.
Il fa u t s o u lig n e r to u t p a rtic u liè re m e n t
l ’a r d e u r et l ’a lla n t d e s d e u x Ju n io rs
q u i o f frire n t le ré g a l d ’u n e lu tte a r d e n ­
te d a n s la q u e lle ils s ’e m p lo y è re n t v r a i­
m e n t to u t e n tie r.
L es n o m b re u x a p p la u d is s e m e n ts q u i
s a lu è re n t les lu tte u rs e t a u s s i l ’e x h i­
b itio n de lu tte fra n ç a is e , m o n tra à nos
v a illa n ts a ssé m iste s q u e les a s s is ta n ts
a v a ie n t su g o û te r p le in e m e n t le u rs d é ­
m o n stra tio n s. N ous so m m es s û rs q u e
l’a p p e l la n c é p a r le u r m a n a g e r p o u r
q u e les je u n e s g e n s v ie n n e n t d e p lu s en
p lu s n o m b re u x a u x sp o rts s e ra e n te n d u
p a r b e a u c o u p d ’e n tre eux.
E n u n d é filé im p eccab le, fa n io n en
tête, a rriv è re n t le m a tin avec le u r m o­
n itric e, en c h a n ta n t le u r c h a n s o n de
ro u te , les fille tte s P .S .F . de la c olonie
de v a c a n c e s de R o ch efo rt.
L e u r b o n n e te n u e e t le u r g e n tille sse
fire n t l ’a d m ir a tio n de to u s les p a r tic i­
p a n ts â ce ra lly e .
Un d é je u n e r s u r l’h e rb e, le soleil et
la b o n n e h u m e u r a id a n t, fu t o n n e p e u t
p lu s jo y eu x .
L’a p rè s-m id i fu t p a rtic u liè re m e n t a n i­
m ée et lo rsq u e les d iffé re n te s c o m p é ti­
tio n s sp o rtiv e s fu re n t te rm in é e s Ju liie n
de la F é d é ra tio n d u R hône, p ro n o n ç a
u n e b rève a llo c u tio n .
7. 1
*>ï
»
O n s a i t qu e le s m e m b r e s d u p a r ti n a z i d e S a n tia g o d u C h u t se s o n t
r é v o lté s c o n tre le u r G o u v e r n e m e n t. A p r è s u n e in s u r r e c tio n de p l u ­
s ie u r s h e u r e s , l'o r d r e f u t r é ta b li à S a n tia g o p a r le s fo rc e s d u G ou ­
v e r n e m e n t. — V o ici d e s p r is o n n ie r s e m m e n é s p a r la tr o u p e a u c o u r t
d e l'in s u r r e c tio n
'2 1 - 9
Académie des Sciences
Belles-Lettres et Arts de Clermont
OOMITB l PR O GERQOVIA »
A insi q u e n o u s l ’a v o n s p ré c é d e m m e n t
a n n o n c é , la sé a n c e p u b liq u e a n n u e lle
d u c o m ité a u r a lie u d im a n c h e p ro ­
c h a in , à 10 h e u re s, a u g ra n d a m p h i­
th é â tre de la F a c u lté des L ettres, a v e ­
n u e C a rn o t, so u s la p ré sid en c e d ’h o n ­
n e u r d e M. B oussagol, re c te u r de l ’A ca­
d é m ie d e C lerm o n t, a ssisté de IM. Cale m a rd ,. p r e m ie r p ré s id e n t de la C our
d ’a p p e l a e N îm es e t p ré s id e n t d u Co­
m ité P ro G ergovia.
PROGRAM M E
C om pte re n d u d e s tr a v a u x d e fo u il­
les, fa it p a r M. E. D esforges.
C o n fé ren c e de M . D ousset, c o n se ille r
g é n é ra l s u r l'A m e G auloise.
U ne e x c u rs io n a u p la te a u d e Gergovie e st p ré v u e p o u r la so iré e e t co m ­
p r e n d ra :
A 15 h e u re« : V isite d e s fo rtific a tio n s
de la p o rte o u e st de l'a n c ie n o p p id u m
e t to u r d ’h o riz o n s u r les c h a în e s des
m o n ts D ôm es e t des m o n ts D ores.
A 16 h e u re s : A rrê t à l ’e x tré m ité sude st d u p la te a u où u n e x p o sé des o p é ra ­
tio n s d e C ésar d e v a n t G ergovie s e ra
fa it p a r M. C a le m a rd .
A 16 h. 45 : R é u n io n g é n é ra le p rè s d u
m o n u m e n t c o m m é m o ra tif. ALfocution
de M. C luzel, m a ir e de la R oche-B lanche-G ergovie, e t v isite d u m u sé e.
A l ’issu e de c e tte v isite , d e s b o u r­
ré e s s e ro n t d a n sé e s s u r le p ré p a r le
g ro u p e fo lk lo riste 1’ « A u v e m h a l>ans a ire ».
Un s e rv ic e d e c a r s se ra o rg a n is é p a r
les so in s d u S y n d ic a t d ’in itia tiv e s de
C lerm o n t.
D é p a rt d u siè g e d u S y n d ic a t, p la c e
G a illa rd , à 14 h. 30.
D é p a rt de G ergovie (m o n u m e n t) p o u r
le re to u r , à 18 h e u re s .
P r ix d e s places, a ll e r e t r e to u r : dix
fra n c s, p o u rb o ire c o m p ris.
In s c rip tio n s re ç u e s a u S y n d ic a t d ’i­
n itia tiv e s j u s q u ’à sa m e d i m id i.
CORS
LE MOUVEMENT SOCIAL LA
C. S. P. F.
8. P. F. DE8 INDUSTRIES CHIM IQUES
P e rm a n e n c e a u jo u r d ’h u i m e rc re d i,
21 c o u ra n t, à 18 h. 30, a u siège, 10, r u e
de la T reille .
8. P . F. DE LA METALLURGIE
R é u n io n a u jo u r d ’h u i m e rc re d i, 21
c o u ra n t, à 18 h. 30, a j siè g e, 10, ru e de
la T re ille , à laq u e lle est p riée d 'a s s is ­
te r to u t s p é c ia le m e n t la se c tio n de
R iom (sfg n e au x e t c â b le rie ).
S. P. F. DU BATIMENT
Je u d i 22 c o u ra n t, à 18 h. 30, a u sièg e,
10, ru e de la T reille , p e rm a n e n c e .
8. P. F. DC LA CONFECTION
ET DE L’HABILLEMENT
P e rm a n e n c e je u d i 22 o o u ra n t, À
18 h . 80, a u siège, 10, ru e de la T reille .
SAISON
A ROYAT
AU OA8INO
A UJOURD’HUI
De 11 à 12 h e u r e s ; d e 16 à 17 h. 30,
e t d e 20 h. 30 à 22 h e u re » : C oncerts
h a b itu e ls .
A 17 h e u re s : T hé d a n s a n t.
A 20 h. 45, c in é m a .
A 22 h e u re s : S o ire e d a n s a n te .
h a
Les atta
armées ve
se
à la fr
a u m o n t -d o r T
A VICHY
Compagnie départementale
des Greffiers du Puy-de-Dôme
AVIS DE CONCOURS
Un c o n c o u rs a u r a lie u les 7 e t 8 oc­
to b re p ro c h a in , à 8 h ., à l ’Ecole N atio­
n a le d e M usique de C lerm o n t-F d , p o u r
le re c ru te m e n t :
1». — D’u n
p ro fe s se u r d e
v iolon
(c o u rs s u p é rie u r).
2 o. _
D’u n
p ro fe s se u r de
violon
(c o u rs p ré p a ra to ire ).
3°. — D’u n
p ro fe s se u r de
v io lo n
(a lto ).
4°. — D’u n p ro fe s se u r d e b a sso n e t
sa x o p h o n e .
5°. — D’u n p ro fe s se u r d e flû te.
6®. — D’u n p ro fe s se u r d e c h a n t (h o m ­
m es) c o u rs su p é rie u r).
7®. — D’u n
p ro fe s se u r de solfège
(fem m es) c o u rs su p é rie u r.
Les in sc rip tio n s s e ro n t re ç u e s à la
M a irie de C lerm o n t (service du p e rso n ­
n e l), ju s q u ’a u 1 " octo b re 1938.
T o u s re n se ig n e m e n ts u tile s s e ro n t
fo u rn is p a r le se rv ice du p e rso n n e l,
à la M airie de C lerm ont-F d.
Le (Maire, P . PO CH ET.
L’asseim biée g é n é ra le des g re ffie rs du
d é p a rte m e n t d u Puy-de-D ôm e a u r a lieu
à C le rm o n t-F e rra n d le d im a n c h e 13 no­
v em b re 1938. Les p a rle m e n ta ire s d u d é ­
p a r te m e n t se ro n t c o n v ié s à c ette a s ­
se m b lée q u i s e ra p ré sid é e p a r MM.
L o n ch a m b o n , g re ffie r à A ig u e p erse e t
C h a rn y , a n c ie n g re ffie r à R iom , to u s
d e u x p ré sid e n ts d ’h o n n e u r d e la Com ­
p a g n ie d é p a rte m e n ta le . T ous les g re f­
fie rs d es c a n to n s d u Puy-de-D ôm e so n t
in s ta m m e n t p rié s d ’a s s is te r à ces a s­
sise s im p o rta n te s q u e c e tte a n n é e re v ê ­
tiro n t un c a ra c tè re e x c e p tio n n e l. S ous
peu, c h a q u e g re ffie r re c e v ra de M. P in ,
s e c ré ta ire e t g re ffie r à C lerm ont-F d,
le p ro g ra m m e d é ta illé de la jo u rn é e et
ue l ’o rd re d u jo u r.
L e p ré sid e n t : G eorges MIOCHE.
A ux V alettas, c o m m u n e de S e rm u r,
v it a c tu e lle m e n t u n e c e n te n a ire qui
fê te ra se s c en t a n s le je u d i 22 se p te m ­
bre ; u n e g ra n d e fête e s t o rg a n is é e à
cet e ffe t à l ’ég lise de S e rm u r, où d oit
se re n d re la c e n te n a ire .
M m e M arie S o u rio u x e st née a u vil­
lag e des V a lettes, le 22 se p tem b re 1938,
U N
S U IC ID E
A m b e rt, 20 s e p te m b re .
L a n a t u r e de l a b l e s s u r e q u i a v a i t
d é te r m i n é l a m o r t d e E p is s e J e a n E u g è n e , d u P u y , c o m m u n e d e V a lciv iè re s , p o u v a it v r a is e m b la b le m e n t
l a i s s e r d e s d o u te s s u r le s c a u s e s de
c e tte m o r t v io le n te , e t le m é d e c in
lu i-m ê m e q u i f u t a p p e lé à e x a m in e r
le c a d a v r e f o r m u la s u r c e s c a u s e s
le s p l u s e x p r e s s e s r é s e r v e s .
M a is h e u r e u s e m e n t u n e
e n q u ê te
h a b il e m e n t c o n d u ite p a r n o s g e n d a r ­
m e s d e l a b r i g a d e d ’A m b e rt a p e r m is
d e f a ir e la lu m iè r e c o m p lè te 6 u r c e tte
é tra n g e a ffa ire .
A u j o u r d ’h u i o n n e m e t p lu s e n d o u ­
te q u e c ’e s t b ie n E p is s e q u i s ’e s t v o ­
l o n t a i r e m e n t d o n n é la m o r t.
L ’i n f o r tu n é é t a i t u n p a u v r e h è re
d 'u n e in te llig e n c e a s s e z m é d io c re .
Il é t a i t s o u v e n t a b s e n t d e c h e z lui.
Il t r a v a i l l a i t e n e ffe t s o i t p o u r les
u n s s o it p o u r le s a u t r e s e t q u e lq u e ­
fo is a s s e z lo in d e s o n v illa g e . C ’e s t
ce q u i e x p liq u e q u ’o n n e se s o it p a s
o c c u p é p lu s tô t d e s a d is p a r it i o n .
E t le p a u v r e é t a i t e n o u t r e a t t e i n t
de n e u r a s th é n ie e t ne c a c h a it p a s
6 o n i n te n t io n d e s e d o n n e r la m o r t,
m a is c e u x q u i c r a i g n a i e n t p o u r lui
u n e te lle fin s u p p o s a i e n t q u ’il a u r a i t
p l u tô t f a i t u s a g e d e s o n f u s il D e l à
u n e a u t r e r a i s o n p o u r a d m e t tr e q u e
c e n ’é t a i t p a s lu i q u i s ’é t a i t d o n n é
l a m o r t.
M a is m a i n t e n a n t t o u t c o n c o r d e
b ie n p o u r c o n c lu r e a u s u ic id e .
DANS LES CINEMAS
Mm e MARIE SOURiOUX
a q u itté son v illag e e n 1853, p u is a p rè s
s ’ê tre m a rié e n 1860, à L yon, o ù elle
e x e rç a it la p ro fessio n de so y è re, elle
re v e n a it a u p a y s en 1868, à la m o rt de
son m a ri, p o u r é le v er ses d e u x e n fa n ts ,
u n e fille e t un fils, qui s o n t m o rts de­
p uis, m a is o n t f a it souche.
La c e n te n a ire est tr è s a le rte p o u r
son â g e, elle ’ v a q u e elle-m êm e a u x
so in s d u m é n a g e e t se ra cc o m o d e to u te
seule.
HORAIRES DE LA SEMAINE
des services postaux aériens
d’Air-France
Jo u rs et h e u re s lim ite s de d é p ô t des
c o rre sp o n d a n c e s a v io n à C lerm ontF e rr a n d p o u r p ro fite r d e s p ro c h a in s
d é p a rts.
REOETTE PR IN CIPALE
P o u r O rie n t et E x trê m e -O rie n t : M er­
c re d i 15 h. 15. P o u r A m ériq u e d u S ud
(v ia A .F.) : S a m ed i 15 h. 15. P o u r
A m ériq u e d u S u d (v ia D .L.H.) : M er­
c re d i 17 h. 10.
P o u r l ’A friq u e O c cid e n ta le : S a m ed i
et m e rc re d i 15* h. 15.
P o u r l ’E u ro p e et l ’A frique d u N ord :
S e rv ice s q u o tid ie n .
R e n se ig n e m e n ts c o m p lé m e n ta ire s s u r
les se rv ice s a é rie n s d e P o ste d e P a s s a ­
g e rs et de M essag eries : A ir F ra n c e ,
P a ris , o u chez son a g e n t ré g io n a l :
MM. RiYoire et F ils, 16. ru e B latin et
l ’a g e n c e H av as, C lerm o n t-F e rra n d .
p h y siq u e s, les b e a u té s de la grecoro m a in e .
A p rès d e s a lte rn a tiv e s d iv e rse s, A u­
rln e ré u s s it à l ’e m p o rte r. A p rès ce fu t
le to u r de B e re ttie r e t C h a la p lu y de
n o u s m o n tre r a u c o u rs d ’u n e belle ex ­
h ib itio n q u e le s m in im e s é ta ie n t s u r la
b o n n e vole.
D eux élèves d e la boxe fra n ç a is e ,
P a n c ra c io s et P a u l e x é c u tè re n t e n su ite
d e u x ro u n d s d e ce b e au sp o rt de dé­
fense.
E n ré su m é , belle ré u n io n q u i d o it
b ie n s e r v ir l a c a u se d e la lu tte d a n s
n o tre ré g io n .
r
L ’a g cn c a Céte
A u c o u rs d e
r e n te s a tta q u e s
a rm é e » v e n u e s
rig é e s c o n tre 1«
vaques.
U n p e u a p rè s
b a n d e d ’e n v iro r
J u s iis e t de re
p o ste d e d o u a n
fe ra u n a u . T ro is
t r o u v a n t e n é ta t
f a it u sa g e do le
d e u x g re n a d e s
a y a n t été appsii
f u ir e n t en A lljr
U n d e u x iè m e
t r c p n s p rè s do I
q u i o n t lan c é d:
q u i a été légère
Vers tro is hou
m u n e de Eber*
a f a it l’o b jet
b a r d e d e 12 h
g n e et a r m é s d ’*
p ro v e n a n c e ail
c< slo v a q u e un
m e rie , u u e co m
police, ap p u y é?
o n t p ris p a r t au
d a t s et le s em p
a e u s ix blessé.'
il y a eu a u s s i
é té tr a n s p o r té s
O n a é ta b li qu
jn e m h re s d e la
S u d è tes.
A u c o u rs d e
d u ite u n e q n a tr
d e d o u a n e de K
tr ic t d e M arch
ACHATELGUYON
ECOLE NATIONALE DE MUSIQUE
de Clermont-Fd
à 10 k ilo m è tre s d ’A u zan ces (C reuse),
in J
LEPR
P re m ie r sa lo n d e s S p o rts d ’H lv e r et
de la T .S .F . o u v e rt to u s les Jour» de
10 h e u re s à 1 h e u re d u m a tin .
C our» de d a n s e p a r les p ro fe s se u rs
M. e t M m e B etoin.
Un c a r a s s u re »e se rv ic e e n tr e R o y a t
e t C lerm o n t, toute» les d e m l-lie u res à
C. S JP . F.
p a r tir de 22 h. 30 Ju sq u ’à la fe rm e tu re
d u C asino. S ta tio n n e m e n t : R oyat (p la ­
POUR LA PAIX !
ce A llard ), C lerm o n t (sta tu e V ereinLe b u re a u de la C o n fé d é ra tio n d es R étort x).
S. P . F., ré u n i le 14 se p tem b re a u sièg e
so cial, 7, ru e Jean-M erm oz à P a ris ,
A p rès a v o ir p r is c o n n a iss a n c e d e s
d e riù e re s d é p êc h es c o n c e rn a n t la si­
tu a tio n e x té rie u re ;
AU CASINO
C o n scien t d ’a p p liq u e r a u x c o n jo n c ­
CINEMA PARLANT. — M a tin é e à 14
tu re s p ré se n te s les d ire c tiv e s d é g a g é e s h. 30, so irée à 20 h. 30 : A n n ie D u c a u x
p a r le C ongrès leq u e l a é té am e n é à et C o rin n e L u c h a ire d a n s P r is o n sa n s
te n ir com pte de lia s itu a tio n e x té rie u re b a rrea u x .
lo rs d u d é b a t s u r l'o rg a n is a tio n du
Un film e x tra o rd in a ir e , In te rp ré té p e r
tem p s d u tr a v a il,
d es je u n e s avec u n b rio fo rm id a b le .
R a p p e lle que, ju s q u ’à l ’e x trê m e li­
Café g lac ier. — Jeu de la b o u le.
m ite d e s p o ssib ilité s, la v o lo n té o u ­
v riè re s ’est to u jo u rs exercée en F ra n c e
d a n s le se n s de la p a ix ;
D e m an d e a u G o u v e rn em e n t de to u t
m e ttre en œ u v re p o u r q u e s o it m a in te ­
AU CASINO
n u e la p a ix , e sp o ir s u p rê m e des tr a v a il­
le u rs, des m ère s, des é p o u se s e t d e s
A u jo u rd ’h u i, e n m a tin é e e t e n so i­
e n fa n ts .
rée : lin g ra n d a m o u r de Iiee th o v e n ,
T o u te s les U nions F é d é ra le s o n t e n ­ a v ec H a r ry B a u r, P a u le y , J a n y H olt,
voyé à la p ré sid en c e d u C o n seil des A n n ie D ucau x .
té lé g ra m m e s ré d ig é s d a n s le m ôm e
T o u s les jo u r s : Café g la c ie r. — B ou­
sens. E n d é p it d es a ffirm a tio n s in s e n ­ le. — O rc h e s tre sy m p h o n iq u e .
L E 8 P IN A 8 8 E , pédlouro, sées de q u e lq u e s jo u r n a u x e x tré m iste s,
71, ru e Blatin. Tél. 71.33 to u s les ..d v a ille u r s fr a n ç a is v e u le n t
la p aix .
-----------------------
Une centenaire dans la Creuse
T
RIALTO. — 80 D. 30: Un« Etoile eet née
film en tièrem en t en couleurs avec Janet
G aynor, F rédéric M arche, Adolphe Manjou, André Devine. - La Sonate A Kreutte r avec LU Dagover. Peter Petersen. Al­
brecht Scbœnbala.
NOVELTY — SO h- 45: Voleur de Femmes,
le rom an de P ierre F roodaie, avec Jules
B erry. Annie Ducaux, Jean Max. S atu rn in
Fabre. G ilbert Gtl, Suzanne Deoprés, Blan
cbetie B runoy et Marie Lou. - Un p o in g ...
O est tout, avec F ran k ie D arro, Kane Rich
mond, Jack La Rue et F rance G rand. Les Actualités m ondiales P aram o u o t.
OAPITOLE. — 80 h. 30: Aloha le ohani
des Iles avec Jean M urât, Daniele Parola, Alherme, Almos, Arletty. E eity Dalan et
l'ath lète Charles Moulin. — Le Chevalier
du F ar West, avec Een M eynard — Actua­
lités P atb é Jo u rn al.
OAMEO. — 20 h- 45: G ary Cooper et Jean
A rth u r dans Une av en tu re de Buffalo Bill
— En prem ière partie, Fred Mac M urray
et Jo h a n Bennett dan s 13 Heures de.**
l’alr.
VOX. - 80 n. 45: Pauley d an s La
tite dam e du wagon-lit, avec Colette Darteull, Roger Trévil. G erm aine, Roger, Kl»
ren d e. Suzanne Dehelly. Fred Léo telly. .411ly Mathts. Le Jaz» Adtson. - M aternité avec
Fraoçolse Rosay, Félix O udart, Thérèse Rel
guler. Hella Muller, Henri ^reelee. Odette
T alarac, Gouget. - Actualité» Patbé-Journal
OINEMONOE. — P erm an en t de it heure»
é m in u it: Le rem an d'u n |eu n e hom m e pau
vre. avec Marte BeU. P ierre Freenay *t
André Baugé — av en tu res o Parla, avec
Lucien B arroux. Ju les B erry. Daniele P arole
et Carette- Dernières Actualités G au m o n t
REX. — P erm anent de 14 b. é m inuit. —
L’hom m e de n u lle p a n avec Isa Mi rende,
P ierre B lanchard. - Mlekay en oouieurs. E clair-Journal.
MOZART. — P erm an en t de lé h. a m inuit.
Vogue» 193«. - Actualités.
ELYSÉE-PALACE
D ire ctio n de M. de C o tte n s
A m e s u re q u ’elle to u ch e à s a fin —
les d e u x d e rn iè re s r e p ré s e n ta tio n s a u ­
ro n t lie u irré v o c a b le m e n t d im a n c h e
p ro c h a in , en m a tin é e e t en so iré e —
la tro m p h a n te re v u e de l ’E lysée-P alace Y ’a d 'i a m o u r v o it g r a n d ir to u s
les so irs so n p e rs is ta n t et m ira c u le u x
succès.
H ier e n co re , à la so ix a n te -q u in z iè m e ,
on re fu s a it du m o n d e I
C ’e st que ce sp le n d id e et Joyeux
sp ectacle s ’est e n co re e n ric h i : S te p h e n
W eber d a n s de n o u v e lle s im ita tio n s ;
D rean a v e c de n o u v e lle s * h is to ire s *
— il e n c h a n g e c h a q u e so ir — s o n t fu ­
rie u se m e n t a p p la u d is.
E t la scène qui c élèb re la g lo rie u se
e n v o lé e de N eville C h a m b e rla in fa it
c ro û le r la sa lle ...
A la B ra sse rie : deu x o rc h e stre s :
le q u in q u e tte P o u y le a u et les fa m e u x
m u sic ie n s-c h a n te u rs de R ao u l C attin .
SPORTING-CLUB DE VICHY
Com pétitio n de Golf
Coupe des F la n d res (Eclectic)
17 e t 18 se p tem b re
1. M. L.-H. H e n rio n , 73—4 = 69 ;
2. M. R. P e te rso n , 80—8 =72 ;
3. M. A. T a ff, 78—5=73 ;
Mme L u ssalle, 78—5=73 •
M. T h o rste n so n , 84—11=73 ;
6. M. F o u rm e n tin , 87—10=77 ;
7. M. L assa lle. 88—10 = 78 ;
8. M. Ism a lu n , 88—8= 80 ;
9. M. M oreau-N éret, 95—11=84 ;
10. Mme F o u rm e n tin , 102—12 = 90.
THEATRE MUNICIPAL
LES ABONNEMENTS
DES TOURNEES CH. BARET
D a n s le p ro g ra m m e du C ycle de la
sa iso n d ’h iv e r 1938-1939 les T o u rn é e s C.
B a ret c o m p re n d ro n t les pièce« les p lu s
g a ie s et les p lu s o rig in a le s , les re p rise s
des g ra n d s su c c ès d o n t le te m p s a
c o n firm é la v a le u r.
L eu rs tro u p e s d ’e n se m b le q u ’elle s
s ’a p p liq u e n t à a m é lio re r sa n s cesse, e t
q u i c o m p re n d ro n t de; v e d ettes p a r is ie n ­
nes, s ’e ffo rc e ro n t p a r le u r co h ésio n de
m é rite r les su ffra g e s d u p ublic e t de
ju s tifie r le u r renom .
Voici le ré p e rto ire q u i n o u s e s t c o m ­
m u n iq u é :
M ardi 4 octobre, Le Valet M aître, d e
MM. A rm o n t et L éopoid M arch an d .
M ardi 18 octobre, l ’E cu rie IV afson
de T ere n ce R a tig n a n , a d a p té e p a r MM.
P ie rre F re sn a y et M a u rice S achs.
(Mardi l “ - n o v em b re, La F e m m e e n
F leur, de M. D enys Am iel.
M ardi 22 n o v e m b re . Q uadrille, de S a ­
c h a G uitry.
M ardi 6 décem bre, M on C œ ur H ésite,
o p é rette n o u v elle d e R aoul P ra x y , m u ­
siq u e de G aston G ab aro ch e e t F re d
P e a rly .
M ardi 20 d écem bre. Le Cap des T e m ­
pêtes, de M. H e n ry B ern stein .
M ardi 3 Ja n v ier. La S o n n e tte d'A la rm e, d e MM. (M aurice H e n n eq u in et Ro­
m a in Coolus.
(Mardi 17 Ja n v ier, B izons-les-D am es,
v a u d ev ille de MM. P ie rre Veber e t A n­
d ré H euzé.
M ardi 24 ja n v ie r, l'A m i F ritz, d ’Erckm a n n -C h a tria n .
M ardi 7 fév rier, Le tra in po u r V enise,
de M. L ouis V erneuil.
M ardi 21 fé v rie r. Les to u rs H e u re u x,
d ’A ndré P u g et.
H o rs-ab o n n e m e n t, m a rd i 8 n o v e m b re ,
E sther, de Je a n R acine ; Le M éd ecin
m a lg ré lu i, de M olière.
P o u r to u s d é ta ils c o m p 'é m e n ta lre s,
c o n d itio n s d ’a b o n n e m e n t etc... <»t p o u r
re ce v o ir g ra tu ite m e n t l’a g e n d a d u Cvole Ch. B aret, s ’a d re s s e r au b u re a u de
looation d u th é â tre m u n ic ip a l, à p a r ti r
du 27 se p te m b re , de 11 h. 30 à 19 h e u ­
res. D e rn ier d é la i : sa m e d i l»r octo b re.
CONCOURS POUR LE RECRUTEMENT
DES MUSiOlENS DE L’ORCHESTRE
Un c o n co u rs est o u v e rt â to u t c a n d i­
d a t fra n ç a is , jo u is s a n t de se s d ro it» c i­
vils et p o litiq u es, p o u r le re c ru te m e n t
des m u sic ie n s de l ’o rc h e stre du th é â tre
m u n ic ip a l.
Ce c o n c o u rs o u v e rt a u x c a n d id a ts de»
deux sex es, e t ré se rv é a u x m u sic ie n s
r é s id a n t dan» le d é p a rte m e n t du Puyde-Dôm e, a u i a lieu a l’Ecole N atio n ale
de M usique, les 10 et 11 o ctobre 1938,
à 8 h e u re s d u m a tin .
Les c a n d id a ts d e v ro n t ê tre m aje u r» .
P ro g ra m m e . — L’é p re u v e co m p re n s im p ie m e n t un d é c h iffra g e à v u e de
m o rc e a u x du ré p e rto ire , tiré s a q s o rt
( p a rtitio n e t b a lle t).
Les in sc rip tio n s se ro n t re ç u e s à la
m a irie de C le rm o n t-F e rra n d (service
d u perso n n el),’ ju s q u ’a u 1« octo b re, d e r­
n ie r d é la i.
T ou» re n se lg n e tn e n ts u tile» s e ro n t
C ham bre «yndloale de la Oordonnerle. - fo u rn is p a r le se rv ice d u p e rso n n e l, A
Ties m em bres de la C ham bre S yndicale de la m a irie d e C le rm o n t-F e rra n d .
AVIS ET CONVOCATIONS
la C ordonnerie et de l’Union des Cordon­
n iers du Centre sont priés d ’assister aux
obsèques de Mme Lacombe. épouse de no­
tre collègue. M. Lacombe. cordonnier, pla­
ce Sugny, qui au ro n t lieu a u jo u rd 'h u i m e r
credl 81 co u ran t, â 10 heures.
Réunion m aison m o rtu aire. 7. place Su­
gny. à 0 b 45.
La g ru y è re (Amicale de« E nfanta de BourgL astlc à Clermont-Fd). — Tous lea soclétal-
res disponibles sont p riés de vouloir bien
assister aux obsèques de Mme Bâtisse Léon,
née B onrhetx. épouse de le u r coni|>atrtote,
qui au ro n t lieu a u jo u rd ’hui m ercredi 21
septem bre, en l’église Sa!nt-P1erre-les-M1 ni­
âtes. a 8 heures.
R éunion m alson m o rtu a ire. 8. ru » û»
B eaurepaire. « 7 b. 45.
1
U n a u tre com r
te k a a n n o n c e
D ep u is s a m e d <:
A lle m a n d s d e s
le m a g n e in v ite
m a n d e d e B oli
te r r ito ir e d u 1!
a u x so ld a ts ali
d é s e rte r. E n m ê
H e n le in , M. Sp
c h e f s su d è te s r
a v e c ces fu g itif'
s e liv re r a ie n t à
f r a n tiè r e s tchêc
r a ie n t d e s dés
pay s.
L ’a c tiv ité d e
d è te s a com m e
r e s 24 heure».
L a p re sse allem
c id e n ts p ro v o q r
•lem ands d e s .
d ’a g re ss io n de 1
q u e s. L es O T g ai
ilovaqnes » ont
e t à d e s provoc
o b se rv e n t l a <L
)o u r q u e ne
a Tchécoslovaci
d ’u n E ta t voisii
M êm e d a n s le
b a n d e s e rm é e s
to iré a lle m a n d ,,
g é n é ra le tchéco
p e n d a n t, la r
s a n s se so u c ie r
ta m m e n t le s ch
]
LA QU
HONG
Budap
Le co
le mar
Loi!
L ’ann on ce o f
tion germ ano-î
s a lz b e r g , rapp
c a lio n s faite»
la sem a in e der
tan ts diplom at
d e B u d a p e s t,
b ien inform és
feouvern. m enti
leu rs m inorité
u n traitem en t
S u d è te s ..
L a pK sen ci
c h e f d ’état ma
g e du corn mur
tu ation iiù fn i
•juie » »ont tn
q u a n t que la
a u x côtés du
ta n c e s actueil
L ’attitude po
p lu s nuancée,
u n e p rise de p
com m e une m
dant, un télé
r o n ç a n t une p
colon el Beck
r in g n ’eat pas
tain e pcrplexi
De m êm e, L
J’E tat
tchécc
m a in ten a n t pa
presse allem a c
resp on sables à
v ille Chamber!
desfoerg l’état
la issé à B ercht
La confère
n u e, cet ap rès
m in istre avec
très so u lig n a it
le sérieux de
On ne cache
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L'AVENIR DU PLATEAU CENTRAL
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LE PROBLÈME TCHÉCOSLOVAQUE
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ï) à 19 heu1er octobre.
1UTEMENT
RCHESTRE
tout can d i­
es droits clrecr utem ent
du the&ire
n d id ats des
m usiciens
nt du Puve N ationale
‘tobre 1938,
Te m ajeurs.
• comprenà vue de
rés au sort
reçues à ta
nd (service
octobre, dertlies seront
personnel, a
nd.
v o u lo ir bien
Batl>se Léon,
compatriote,
mervre<li n
erre Ips-Minlt
rue Ce
les défen seu rs p o u r des ag resseu rs. Une
enquête a prouvé que to u te s les n o u ­
velles d e la presse et de la ra d io alle­
m a n d e s c o n c e rn a n t d es violences qui
a u ra ie n t été com m ises p a r la police et
les so ld ats tchécoslovaques su r les fu­
g itifs a lle m a n d s d es Sudètes, ou s u r
leu rs fem m es et leu rs e n fan ts, sont
m ensongères.
Au c o n traire, la n u it d ern ière, on a
c o n staté q u ’a u co u rs de l’a ttaq u e con­
tre le b u rea u de d o u an e de K leine Aupa, les a g re sse u rs o n t en tra în é d e rriè ­
P rag u e , 20 septem bre.
re eux des fem m es e t d es enfante, avec
L ’agonce Ceteka com m uniqua :
l ’in ten tio n évidente de fo u rn ir d es p ré­
Au c o u rs de la n u it d ern ière, d iffé­ textes à la p ro p ag an d e allem ande, a u
re n te s a tta q u e s m enées p a r d es bandes cas o u quelques-uns de ces fem m es ou
a rm é e s venues d ’A llem agne o n t été d i­ d e ces en fan ts a u ra ie n t été blessks.
rigées contre les fro n tières tchécoslo­
vaques.
L’état de siège est étendu
Un peu a p rès 2 h eu res d u m a tin , une
à trois districts
b a n d e d 'e n v iro n 13 hom m es arm és, ae
fu sils et de revolvers o n t attaq u é .e
de la Bohème du Nord
poste de d o u an es de N eusorge p rès de
B ra u n a u . T ro is d o u an ie rs tch èq u es se
P ra g u e , 20 se p te m b re .
tro u v a n t en état de legitim e défense ont
L ’é ta t d e siège a été é te n d u a u x d is­
fa it usage de leu rs fu sils et ont lancé
d e u x grenade» à m ain Des ren fo rts tr ic ts de F rie d la n d , de B r u n a u et de
a y a n t été app.dés, les a tta u u a n ts s e n - T r a u te n a u . Ces tr o is d is tr ic ts so n t
fu ire n t en Allem agne.
s itu é s s u r l a fro n tiè re a lle m a n d e d u
Un deuxièm e coup de tr a in a été entre ru is p rès de D auba, p ar des inconnus m ord de la B ohêm e.
<îui o n t lancé des p ierres su r un soldat
q u i a été légèrem ent blessé.
Vers tro is h eu res d u m atin , la com ­
m u n e de E bersdorf, p rès de F ried lan d ,
a fait l’objo; d une a tta q u e p a r une
b a rd e de 12 hom m es ven u s d A llem a­
gne et a rm é s d ’a rm e s et de g ren ad es de
L o n d re s, 20 se p tem b re .
p rovenance allem ande. Du côté tchêc< slovaque un d étachem ent de g e n d a r­
M. N eville C ham berlain ren con tre­
m erie, une co m p ag n ie do soldats et la ra à n ou veau le ch an celier H itler
police’, a p p u y é s‘p a r une a u to blindée,
o n t pris p a rt a u com bat. P a rm i les sol­ jeudi *• 15 heures, à G odesberg.
d a ts et les em ployés des fin an ces il y
Le Ministre de Hongrie
a eu six blessés. P a rm i les ag resseu rs,
11 y a eu au ssi de biessés, m a is Us ont
au Foreign Office
été tra n sp o rté s e n te rrito ire allem an d .
L e m in is tr e de H o n g rie s ’est re n ­
O n a établi que les a g resseu rs é ta len t
m em b res de la légion allem an d e des d u ce s o ir a u F o re ig n O ffice.
S udètes.
_ ,
.
Au cours de la môm e n u it s est p ro ­
d u ite une q u atrièm e attaq u e. Ixi b u reau
La Hongrie aurait été invitée
d e d ouane de K leine A upa d a n s le d is­
tric t de M archendorf a été in cendié. à sortir de son attitude de réserve
P rag u e, 20 septem bre.
B e rlin , 20 se p te m b re .
Un a u tre com m uniqué de l ’ag en ce Ce­
L ’e n tre v u e g e rm a n o -h o n g ro is e à
te k a an n o n ce :
.
.. .
D epuis sam edi, les ch efs d u p a rti d es B e rc h te s g a d e n e n tre le F ü h r e r H i­
A llem ands d es S udètes réfugiés en Al­ tle r et le s h o m m es d ’E ta t h o n g ro is,
lem ag n e in v ite n t la p o p u latio n a lle­ a in s i q u e la re n c o n tre e n tr e l’a m ir a l
m a n d e de Bohèm e A s'e n fu ir su r le H o rth y et le m a ré c h a l G o e rin g m o n ­
territo ire du Heich et reco m m an d en t tr e d é l'a v is d e s m ilie u x p o litiq u e s
au x so ld ats allem an d s d es S udètes de
d ése rte r. En m êm e tem ps que C onrad a lle m a n d s o r d in a ir e m e n t b ien in fo r­
lle n le in , M. Sebekow sky et d ’a u tre s m és, q u e la H o n g rie a été in v ité e à
c h e fs su d ètes m en acen t de co n stitu er, s o r tir de l’a ttitu d e de ré s e rv e d a n s
avec ces fu g itifs, des corps d ’arm ée qui la q u e lle elle s e c o n fin a it ju s q u ’ici à
se liv re ra ie n t à des atta q u e s co n tre les l ’é g a rd d u p ro b lè m e tc h é c o slo v a q u e.
Ira n tiè re s tchécoslovaques et provoquiOn a d e s r a is o n s d e c ro ire q u e la
ra ie n t d es d éso rd re s à l’in té rie u r d u
H o n g rie a été p la c é e d e v a n t u n e
J>*ys.
L’activ ité de ces A llem ands des Su­ q u e s tio n n e tte c o n c e rn a n t so n a t t i ­
d è te s a com m encé a u co u rs des d e rn iè ­ tu d e a u c a s où l ’A lle m ag n e s e r a it fo r­
re s 24 heures, avec u n cynism e inouï. cée d ’in te r v e n ir m ilita ir e m e n t c o n tre
L a presse allem an d e fa it p asser les in ­
cid e n ts provoqués p a r les réfu g iés a l­ la T c h é c o slo v a q u ie. Il sem b le q u ’on
lem a n d s des S udètes p o u r d es actes a fa it v a lo ir d u c ô té a lle m a n d e n t e r ­
d ’ngression de la p a rt d es T chécoslova­ m e s n o n é q u iv o q u e s q u i « q u i n e r i s ­
q ues. Les o rg an es d e sécu rité tchécos­ q u e r i e n n ’a r i e n ». T o u t p a r a î t in d i­
lovaques so n t exposés à d es a tta q u e s q u e r q u e p la c é s d e v a n t ce p ro b lè m e ,
e t à. des provocations Incessante, m a is le s h o m m e s d ’E ta t h o n g ro is o n t dé­
o b serv en t la discipline la plus ßtricte, c id é d ’in te r v e n ir a u x cô té s die l ’A lle­
p o u r que personne ne p u isse d ire que
Jo T chécoslovaquie a violé le te rrito ire m a g n e , s i l a n é c e s s ité s ’en im p o sa it.
T1 se m b le b ie n q u e l ’e n tre v u e de
d ’u n E tat voisin.
Même d a n s le cas où les atta q u e s des l ’a m b a s s a d e u r de P o lo g n e av ec le
b an d e s arm ées p ro v ien n en t d u te rri­ c h a n c e lie r H itle r a in s i q u e l’e n tr e ­
to ire allem and, les o rg an es de sûreté tien p ro je té e n tre Ile m a r é c h a l Goe­
.générale tchécoslovaque v eillent. Ce­ rin g , l ’a m ir a l H o rth y e t le colonel
p en d an t, la p ro p ag an d e allem ande,
sa n s se soucier des faits, ren v erse cons­ B crk dodvent p o r t e r s u r le m ê m e th è ­
ta m m e n t les choses e t veut faire p asser m e.
Les attaques de bandes
années venues d’AUemagne
se multiplient
à la frontière tchèque
ifesseurs
i
Services télégraphiques et téléphoniques de I’ « Avenir du Plateau Central »
LA QUESTION DIS MINORITÉS
HONGROISE ET POLONAISE
— —■—
—
Budapest prend position aux côtés du Reich.
Le colonel Beck rencontrerait prochainement
le maréchal Goering.
L o n d re s, 20 se p te m b re .
L ’a n n o n c e o fficie lle de l a c o n v e rs a ­
tio n g e rm a n o -h o n g ro is e de
’Obeçsalzb tirg , ra p p ro c h é e d e s c o m m u n i­
c a tio n s fa ite s à L o n d re s à l a fin de
J a se m a in e d e rn iè re p a r les re p r é s e n ­
ta n ts d ip lo m a tiq u e s de V a rso v ie et
de B u d a p e s t, n e la is s e a u x m ilie u x
•bien in fo rm é s a u c u n d o u te q u e ces
gouvern* nr.ents n e d e m a n d e n t p o u r
le u r s m in o rité s en T c h é c so lo v a q u ie
u n tr a it e m e n t a n a lo g u e à c e lu i des
S u d è te s.
L a p n s e n c e à l ’O b e rsa lz b e rg d u
c h e f d 'é ta t m a jo r h o n g ro is , le p a s s a ­
g e d u c o m m u n iq u é r e la tif à la « si­
tu a tio n ii’tf n a b le e n T c h é co slo v a­
q u ie » 4o n t in te r p r é té s co m m e in d i­
q u a n t q u e la H o n g rie p re n d p o sitio n
a u x cô tés d u R e ic h d a n s le s c irc o n s­
ta n c e s a c tu e lle s .
L ’a ttitu d e p o lo n a ise sem b le, d it-o n ,
p lu s n u a n c é e . O n la tie n t p lu s p o u r
u n e p ris e de p o sitio n de p rin c ip e q u e
c o m m e u n e m e n a c e d ’a c tio n . C ep en ­
d a n t, u n té lé g ra m m e de B e rlin a n ­
n o n ç a n t u n e p ro c h a in e re n c o n tre d u
c o lo n el B eck avec le m a r é c h a l G oe­
r i n g n ’est p a s s a n s c a u s e r u n e c e r­
ta in e p e rp le x ité .
De m êm e, la su p p re s s io n de to u t
l ’E ta t
tc h é c o slo v a q u e
dem andée
m a i n te n a n t p a r u n e p a r t ie de la
p r e s s e a lle m a n d e , a m è n e les ce rc les
r e s p o n s a b le s à se d e m a n d e r si M. Nev ille C h a m b e rla in tr o u v e r a it à Go­
d e s b e r g l’é ta t d ’e s p r it q u ’il a v a it
la is s é à B e rc h te s g a d e n .
L a c o n fé re n c e in in te r ro m p u e te ­
n u e , c e t a p rè s -m id i, p a r le p re m ie r
m i n is tr e av ec ses p rin c ip a u x m in is ­
tr e s s o u lig n a it, s ’il é ta i t n é c e ss a ire ,
Je sé rie u x de la s itu a tio n .
O n n e c a c h e p a s q u e les c o m m u n i­
c a tio n s s o n t c o n s ta n te s av e c P ra g u e .
L e u r o b je t e st m a n ife s te m e n t de d o n ­
n e r a u G o u v e rn e m e n t tc h é c o slo v a q u e
p ré c is io n s q u e n ’a p p o r ta it p e u tê tre p a s la c o m m u n ic a tio n a n g la is e
o rig in e lle , en p a r tic u lie r a u s u je t de
2a fu tu r e g a r a n t ie in te r n a tio n a le è
la q u e lle la G ra n d e -B re ta g n e s e r a it
p a rtie .
Les c o n sé q u e n c e s de to u te s a t is ­
fa c tio n d o n n é e a u x S u d è te s p a r r a p ­
p o rt a u x a u tr e s m in o rité s fo u r n is ­
sen t a u s s i m a tiè r e a u x é c h a n g e s de
yuea.
r?
Ce so ir, le d é p a r t de M. N eville
C Jxam berlain p o u r G o d esb erg n ’e st
to u jo u rs p a s a n n o n c é .
L’attitude antitchèque
de la Pologne
s’accentue de plus en plus
V a rso v ie , 20 se p te m b re .
L ’a ttitu d e a n titc h è q u e d es m ilie u x
p o litiq u e s p o lo n a is , a in s i q u e de la
p re s se et de l’o p in io n p u b liq u e , s ’a c ­
c e n tu e de p lu s en p lu s.
U n c o m m e n ta ire v is ib le m e n t in s ­
p iré p u b lié ce s o i r p a r J’a g e n c e Isk r a , p ro c h e d e s m ilie u x g o u v e rn e ­
m e n ta u x , p ré c ise q u e la P o lo g n e e st
p rê te à o u v r i r a u x 200.000 P o lo n a is
de S ilé sie 11 ch em in de le u r p a tr ie .
S ’il e st im p o ssib le de le fa ire a u tr e ­
m e n t, so u lig n e l ’a g e n c e , la P o lo g n e
le f e r a p a r force. L a ra is o n d ’E ta t
p o lo n a ise se c o n c e n tre d a n s sa force
a rm é e . Il a. d é jà s u ffi de la n c e r ce
m o t en m a r s d e rn ie r, p o u r ré s o u d re
le c o n flit p o lo n o -lith u a n ie n .
A u jo u rd ’h u i co m m e a lo rs , c o n c lu t
l ’a g e n c e I s k ra , n o u s so m m es p rê ts.
L ’a g e n c e o ffic ie u se a jo u te d ’a u tr e
p a r t q u e les té lé g ra m m e s de L o n d re s
et de P a r i s a n n o n c e n t q u e la F ra n c e
et la G r a n d '- B r e ta g n e e x ig e n t q u e la
P o lo g n e et la H o n g rie g a r a n tis s e n t
les fr o n tiè r e s du n o u v el E ta t tch éc o s­
lo v aq u e. « C ette g a r a n tie n o u s n e Ta
d o n n e ro n s p a s ta n t q u e la S ilésie de
T esc h en n e fe ra p a s p a r tie de la P o ­
lo g n e. »
Le voyage de l’amiral Horthy
en Allemagne
B u c a re s t, 20 se p te m b re .
Le v o y a g e « de c h a ss e » e n tr e p ris
en P ru s s e O rie n ta le p a r l ’a m ir a l
H o rth y , ré g e n t de H o n g rie , a p ro v o ­
q u é à B u c a re s t u n e c e rta in e s u rp ris e .
Il s ’a g it de c h a ss e é v id e m m e n t, é c rit
« T im p u l », r e s t à s a v o ir q u e l g ib ie r
le m a r é c h a l G o e rin g e n te n d o f f r ir à
s o n h ô te m a g y a r .
LA PRESSE ROUMAINE
et le problème tchécoslovaque
B ucarest, 20 septem bre.
La presse ro u m ain e q u i d u ra n t les
d élib ératio n s de L ondres et de P a ris
é ta it dem eurée extrêm em ent réservée
rend a u jo u rd ’h u i n ettem en t position,
es Jo u rn aux én u m èren t les conditions
n écessaires m ises p a r l ’A llem agne au
m a in tien de la paix. Celles-ci sont de­
v enues san s cesse de p lu s en .plus
grandes.
Sous le titre : « La p aix d ’a u jo u rd ’h u i
et la p a ix de dem ain » le « S em nalul »
se déclare convaincu q u ’une abdication
m êm e to tale ne p eu t pas plus que dans
le cas de la R hénanie ou dans le cas
de l ’A nschluss, sau v er finalem ent la
paix.
Le Jo u rn al ajoute s
« L ’E urope se trouve to u jo u rs re p la ­
cée d ev an t le m êm e dilem m e m ais
d a n s u n e situ atio n de plus en plus défa­
vorable, d u fa it des nouveaux succès
stratég iq u es allem ands. C’est seule­
m en t p a r u n e volonté ferm e et une
to tale so lid arité que les p ay s qui veu­
len t sa u v eg ard er la lib erté p o u rra ie n t
so rtir de cette Unpasse. Cette volonté
doit se m a n ife st?r p a r ces m ots déci­
sifs p rononcés au nom de l ’E urope :
« M ain ten ant c’ost assez *.
t II faut, assu re le « P rezen tu l », que
tout hom m e responsable tire les con­
clusions de ce d o u loureux ch ap itre de
l ’h isto ire contem poraine d ’une série de
faiblesse et d ’e rreu rs et cherche à en­
tre v o ir à tem ps les suites Inévitables
de la so lu tion « pacifique » d u problè­
me tchécoslovaque. »
E nfin d eux jo u rn a u x , h» « L um ea
R om anesca » et « Le M om ent » croient
encore que l’A llem agne n e fera pas la
g u erre, quoi q u ’on lu i réponde. P o u r
« Le M om ent » u n e g u erre en A llem a­
gne m a rq u e ra it la fin du nazism e.
Le « L um ea R om anesca » estim e que
l ’élém ent de su rp rise est indispensable
a u x d ictateurs. Or, m a in ten an t, l ’Eu­
rope est s u r ses gardes. M. H itler ne
veut donc p as g ag n er sa cause p a r la
guerre, m ais p a r l’in tim id atio n en vue
de la g u erre de dem ain.
E
Dans la Presse anglaise
L ondres, 20 septem bre.
La p lu p a rt des Jou rn au x an g lais font,
ce m atin prév o ir dans leu rs correspon­
d an ces de P rag u e, que le G ouvernem ent
tchécoslovaque ne rep o u ssera p as les
propositions franco-britanniques. Les
é d ito riau x de ces jo u rn a u x estim en t
que la T chécoslovaquie a été placée
d an s u n e position ou les risques que
c o m p o rterait un refus sont tels que l ’on
peut p révoir u n e acceptation.
Les Jo u rn au x co n serv ateu rs ch e r­
ch en t p lu tô t à Ju stifie r q u ’à glorifier les
pro p o sitio ns iranco-britannlques. Les
o rg an es de l’opposition m o n tren t s u r­
to u t leu rs Inconvénients, m ais ne con­
seillen t cep en d an t p a s au G ouverne­
m en t tchécoslovaque d e com m ettre
l’im prudence de les repousser.
D ans l ’ensem ble, ßl on se félicite de
v o ir s ’éloigner Je sp ectre de la guerre,
on p eu t d ire que ra re m e n t annonce de
p aix a été reçue avec m oins d ’enthou­
siasm e.
Le D ally E xpress, p a rtisa n de l ’Iso­
lem ent, refu se « positivem ent e t défi­
n itiv em en t l ’idée d ’une g aran tie a n ­
g laise à la Tchécoslovaquie ».
Le D aily Mail rem arq u e que la T ché­
coslovaquie n ’a le choix » q u ’entre la
g u e rre e t le p lan franco-britannique ».
L’opposition allemande
à la garantie internationale
de la Tchécoslovaquie
B erlin, 20 septem bre.
* L’espèce de doctrine de Monroê
qui fait que le Reich n e p eu t tolérer
d ’interv en tion
étran g ère m enaçante
p o u r ses Intérêts à ses fro n tières d u
sud-est, est incom patible avec des ga­
ra n tie s qui ne se rv ira ie n t q u ’à re m ­
p lace r les anciennes alliances de P ra ­
g u e avec P a r i s et M oscou p a r de n o u ­
veaux in stru m en ts d ’a llia n c e cam ou­
flés ». C’est en ces term es que le
H am burger F rem denblatt, souvent of­
ficieux, prend position envers le pro­
je t de g a ra n tir In tern atio n alem en t la
Tchécoslovaquie.
La constitution
du corps franc sudète
B e rlin , 20 se p te m b re .
Le c o m m a n d e m e n t d u c o rp s fra n c
su d è te a n n o n c e q u e l ’a fflu x de r e ­
c ru e s à ce c o rp s fr a n c est d ev en u si
c o n s id é ra b le q u ’il e st im p o ssib le
d ’é q q ip e r les h o m m es, q u i, en c o n ­
sé q u e n ce , d e v ro n t r e s te r en le u r lieu
de t r a v a i l a u s s i lo n g te m p s q u ’ils
n ’a u r o n t p a s été in c o rp o ré s d a n s le
c o rp s fra n c .
Une réunion
des ministres anglais
L o n d re s, 20 se p tem b re .
U n e r é u n io n à la q u e lle a s s is ta ie n t
M . N ev ille C h a m b e rla in , S ir J o h n S i­
m o n , L o rd H a lifa x e t S ir S a m u e l
H o a re , a eu lieu cet a p rè s -m id i à 15
h e u re s , à D o w n in g S tre e t. S ir R o b e rt
V a n s itta r t, c o n se ille r d ip lo m a tiq u e
d u G o u v e rn e m e n t, e t S ir A le x a n d e r
C a d o g a n , s o r s -s e c r é ta ire p e r m a n e n t
a u F o re ig n O ffice, é ta ie n t é g a le m e n t
p ré s e n ts.
Le Conseil National anglais
du Travail s’élève
contre les propositions .
franco-britanniques
L o n d re s, 20 se p te m b re .
A l ’issu e de l u s é a n c e e x tr a o r d in a i­
re d u C onseil n a tio n a l d u T ra v a il
q u i s ’e st te rm in é e h ie r à 22 h. 30, u n
c o m m u n iq u é a été p u b lié e ’é le v a n t
en te rm e s v io le n ts c o n tre les p ro p o ­
s itio n s fra n c o -b rita n n iq u e s re la tiv e s
à la T c h é c o slo v aq u ie, s o lu tio n q u ’il
c o n s id è re com m e u n p ré c é d e n t d a n ­
g e re u x p o u r l ’a v e n ir.
L e c o m m u n iq u é se te r m in e s u r la
r é a f fir m a tio n q u ’u n e p a ix d u ra b le ne
p e u t ê tr e a s s u ré e que p a r « 1« r é t a ­
b lis s e m e n t de la lo- e t la su p p re ssio n
de l’em p!ol de 1<* fc rc e illé g a le d a n s
le s re la tio n s .in te rn a tio n a le s »,•
v o ir *
£sso
su p e r
P
LE DISCOURS
DE M. MARCHANDE»
(SUITE DE LA PREM IÈRE PAGE)
COLLISION DE TRAINS
AUX ETATS-UNIS
UNIVERSITE DE CLERMONT
San-Froncisco, 20 septembre.
Deux trains de la Compagnie
« Southern Pacific Railroad » se sont
télescopés près de Tortufa, à 60 kilo­
mètres de Yuma (Arizona).
San Francisco, 20 septembre.
Le bilan de l’accident de chemin
de fer de Tortuga est de dix morts
et soixante blessés.
Extmens de la session
d'octobre-novembre 1938
SI c ’e st le so u v en ir de m esures a y a n t
apporté dans le passé u ne gêne 6érieuse
à la lib re disposition de l'a rg e n t dépo­
sé qui a p u ces d e rn iers tem ps con­
d uire les é p a rg n an ts à rassem bler dans
leurs m ain s les som m es q u ’ils possèdent
e t qui étaien t sagem ent confiées a u x
Caisses d ’E pargne ou à tous a u tre s or­
ganism es de dépôt, cette c rain te n ’a
plus au cu n fondem ent à cette heure.
Joie de la vitesse, des nou­
Le G ouvernem ent, je l’ai d é jà dit et
je le répète avec u n e force nouvelle,
veaux horizons... de vous
s ’est in te rd it de re c o u rir n o n seulem ent
savoir belle et admirée, car
à la m ise en œ uvre de la clause de
votre poudre C O T Y est si
sauvegarde m ais encore à toute espè­
Ecole Amédée-Gasquet
fine, si adhérente, ses teintes
ce de m oratoires su r les dépôts. A ujour­
nouvelles sont si pures que
Les fam illes qui désirent faire entrer
d ’hui comm e hier et comm e dem ain il
votre beauté n’a jamais été
leurs enfants en première année gé­
n ’est personne qui a it à red o u ter de
nérale en octobre 1939 ont in térêt à Tes
si fraîche, si naturelle...
se voir refu ser l ’entière disposition des
inscrire — dès à p ré s e n t — a u cours
som m es déposées p a r ses soins quel
p rép arato ire de l ’Ecole.
q u e so it le guichet q u ’il a it choisi p o u r
POUDRE
Les élèves pos*sédant le certificat
y effectuer ses dépôts.
d ’études y so n t ad m is san s concours,
Mais je veux bien ad m ettre cepen­
dans
les lim ites des places disponibles
d an t encore que subsiste d an s u n e cer­
(50 environ).
ta in e m esure une sorte de besoin ins­
tin ctif de g ard er s u r soi, tout près de
Poudre des jeunes femmes
soi, a u foyer m êm e, des disponibilités
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plus im portantes que d e coutum e. Est-il
et des jeunes filles
paru à oe j o u r : VOGUES 1 9 3 8
n écessaire p our cela d ’épingler les u n s
10 teintes réputées e t
MOZART. Perm an* d e 2 h. m in u it
a u x au tres des billets de banque en
q u an tité plus ou m o in s considérable,
trois nouvelles teintes
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Je le crois d ’a u ta n t m oins q u ’il exis­
te des titre s trè s facilem ent négocia­
La botte : 10 Frs 50
bles ad m is aux av an ces pouvant m êm e
serv ir à des paiem en ts im m édiats. Ces
Contre \ Fr, 9j en timbr*x-poste
titres sont d ’une façon générale les
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d an s le m om ent présent.
télégraphistes d ’aviation à l ’Ecole n a ­
A voir d a n s s a poche, d an s son ti­
tio n ale professionnelle de T h iers ro u ­
ro ir ou dans son coffre des bons de
v riro n t e u début d ’octobre à une date
la Défense n ationale, c’est a v o ir en
qui se ra précisée ultérieu rem en t. Com­
som m e a u ta n t de billets de banque que
me
précédem m ent, ils au ro n t lieu le
représente leu r valeur, m ais des billets
sam edi après-m idi à 13 h. 30.
qui portent in térêt et u n titre dont la
Les jeu n es gens âgés de 18 à 21 ans,
souscription est une contribution à la
désireux de suivre ces cours, sont in ­
sécurité du pays e t à la force q u ’il
vités à adresser, d a n s le p lu s bref délai
doit affirm e r p o u r le m ain tien de la
à M. le d irecteu r de l ’Ecole nationale
paix.
professionnelle de T hiers, u n e dem ande
C onstituer des réserves et am énager
In d iq u an t leu rs nom , d a te et lieu de
son fonds de prévoyanoe en Bons du
naissance, profession, dom icile actuel,
T résor ou de la Défense N ationale c ’est
et, le ces échéant, les études accom ­
se p réserv er la possibilité de retrouver
plies antérieurem ent.
à to u t m om en t et in stan tan ém en t son
a rg en t san s avoir à exposer plus de
fra is que l ’intérôt m êm e qui est servi
m a n d é q u ’u n e re c o m m a n d a tio n soit
su r ces lions.
fa ite p a r l’a ssem b lée a u x E ta ts m e m ­
C’est donc to u t à la .fois bien gérer
son a v o ir et se g a ra n tir des disponibi­
b re s e t n o n m e m b re s de la Société,
lités im m édiates et accom plir un g ran d
d e s ’a b s te n ir de f o u r n ir a u J a p o n (les
devoir.
a v io n s m ilita ire s o u m a r itim e s e t de
Il est enfin une a u tr e façon de s ’a s­
l ’essen ce.
socier à l’effort q u e n o tre p a y s d oit
M. Cassin (France) & m ontré qu’il
fo u rn ir actu ellem en t p our se te n ir à
est devenu nécessaire d’ajuster le
la h a u te u r des grav es circonstances qui
Genève, 20 septembre.
droit international ancien concer­
agitent le m onde.
La troisièm e Commission de l’as­ nant lTiumanisation die la guerre à
I/O G ouvernem ent, conscient de la
lo u rd eu r des ch arg es q u i pèsent s u r les sem blée a poursuivi ce m atin la d is­ des pratiques nouvelles, m ais que ce
contribuables, a donné à tous le droit cussion générale sur le problème du n ’est là qu’un m oyen temporaire, car
d ’échelonn er le paiem ent d es Impôts. bombardement des populations civi­ ■la prévention de la guerre doit res­
P our certain s, ces délais so n t u n e né­
ter le but suprême.
cessité p o u r d ’au tres ils ne so n t q u ’u­ le s en ca s de guerre.
Le capitaine Walllac« (Grande-Bre­
Finalem ent la com m ission a décidé
ne facilité. C’e st à ces d ern iers que Je
m ’adresse e t que Je dem ande in stam ­ tagne) a souligné que les disposi­ la constitution d’un Comité de rédac­
m ent de faire au m ax im u m l’effo rt qui tions im m édiates doivent être réali­ tion de six membres chargé d’élabo­
leur est possible e t de p a y e r dès à sées en vue d’assurer la protection rer le projet de résolution qui doit
présent la to talité de leu rs impôts. Le des populations civiles contre les cQore ces débats. M. Bourquin (Bel­
m êm e règ lem en t opéré dem ain ou effec­ horreurs du bombardement aérien.
gique), a été nomm é rapporteur de
tué m ois p ar m ois ju s q u ’à la fin de
M. W ellington Koo (Chine) a de- ila commission.
l’a n n é e a g ira d e façon très différente
su r la situ atio n financière du pays.
C’est a u m om ent où cette situ atio n
doit s ’affirm er solide que le concours
de tous ceux qui le peuvent doit être
a cq u is à la cause sacrée de n o tre dé­
fense. Le G ouvernem ent est certain d ’ê­
tre com pris. Il s a it q u ’en p a rla n t le
langage désintéressé tra d u isa n t la p en ­
sée e t les a sp ira tio n s d ’un nobfle p e u ­
ple qui a si souvent tém oigné de sa
volonté de co nserver à notre pays son
Réalisation d’Abel GANCE, d’après le roman de Pl«rre FfiQNDAlE
splendide p atrim o in e e t ses in altérab les
libertés, il p eu t com pter s u r tous les
aveo J U L E S BERRY, ANNIE DUCAUX
sacrifices. M ais ce que Je dem ande su r
JEAN MAX, SATURNIN FABRE et MARIE LOU
le plan financier n ’est pas u n sacrifice.
C’est to u t sim plem ent la com préhen­
sion jointe de 1 in té rê t et du devoir.
JOIES
RENTREE DES CLASSES
C O T Y
I
Ecole Nationale Professionnelle
de Thiers
L’ASSEMBLEE DE LA S. D. N.
S’EST OCCUPEE
DU BOMBARDEMENT
DES POPULATIONS CIVILES
EN TEMPS DE GUERRE
VOLEUR DE FENNES
LE DEJEUNER DU SYNDICAT
DES QUOTIDIENS REGIONAUX
UN POING... C’EST TOUT
Superoomédle am ueante et sportive
P a r i s , 20 sep tem b re .
M. R a y m o n d P a te n ô tre , m in is tre
de l ’E co n o m ie N a tio n a le a p ré s id é
a u jo u r d ’h u i le d é je u n e r o ffe rt e n son
présentée actuellem ent par
h o n n e u r p a r le S y n d ic a t d es Q uo ti­
d ie n s R é g io n a u x .
'
P a r m i le s d ire c te u rs de jo u r n a u x
p ré s e n ts s e tr o u v a ie n t n o ta m m e n t :
MM. S o u stelle, d ir e c te u r d u P e tit
M érid io n a l, p ré s id e n t d u S y n d ic a t ;
P a u l M a rc h a n d e a u , m in is tre des F i­
Voyez-les et vous passerez la plue agréable des soirées
n a n c e s, v ic e -p ré sid e n t d u S y n d ic a t;
M ercier, v ic e -p ré sid e n t ; D estin , s e ­
c r é ta ir e géméERl ; A llègre, s e c ré ta ire
g é n é ra l a d jo in t ; M arcel B esscn , tr é ­
s o r ie r ; F e rré , p ré s id e n t de l ’A sso cia­
tio n de la p re sse ré p u b lic a in e d é p a r­
te m e n ta le ; J e a n L a fo n t, d ir e c te u r du
J o u r n a l de llo u e n ; G a rib a ld i, d ire c ­
te u r de l 'E c la ir e u r de N ice; M m e D u­
m o n t, d ire c tric e de l'A v e n ir d u P la ­
te a u C en tra l, etc...
A u d e ss e rt, M. S o u stelle a re m e rc ié
M. R a y m o n d P a te n ô tre d ’a v o ir a c ­
c e p té l ’in v ita tio n d u S y n d ic a t.
Il a a jo u té :
Le sa lu t de la P resse réclam e s u r le
Journal des Débftts (éditorial). — Les lequel il y a quelques Jours à peine fai­
plan économ ique un s ta tu t ap proprie fautes
aien t et se p aien t durem ent. sait annoncer par une note officieuse
original, neuf e t peut-être audacieux. Le saluset pde
la paix réclam e aujour­ que l ’Italie préconisait une solution
Le tem ps e st passé décidém ent où l ’on d ’h u i des sacrifices
q u ’o n ne constate amiable respectant l ’unité de la Répu­
pouvait espérer que de m enues conces­ plus sans tristesse. Ceux
q u i conseil­ blique Tchécoslovaque — a déjà pour
sions se ra ie n t réparatrices. Veut-on, laient de lire et de m éditer
» Mein effet de provoquer des réactions dange­
dans un régim e de liberté qui réclam e Kampf » n ’avaient que trop raison.
reuses de la part des élém ents polo­
p a r essence une presse indépendante et
Le succès du livre remarquable de nais et hongrois.
économ iquem ent forte, co llaboratrice M. Albert R ivaud sur « Le relèvement
Si ce mouvement devait prendre un
active de la vie publique, perm ettre de l ’Allemagne », montre un désir tar­
développement, et trouver des
a u x Journaux de rem plir leur missionY dif mais nécessaire de se libérer c(es certain
appuis
à l ’extérieur, ce serait devant
Que l’on cesse alors de les considérer idées fausses et de connaître la réalité le problème
’une dislocation totale et
comm e des fabricants de services m até­ que les politiciens incapables et igno­ irrémédiable dde
l ’Etat Tchécoslovaque
riels. Que l ’on rom pe cette assim ila­ rants ont négligée.
qu’on se trouverait placé. C’est un dan­
tion trad itio n n elle et aveugle ; que
Un progrès de l ’esprit public sera ac­ ger qu’il importe d ’écarter tout de sui­
l’on ose, p o u r tout ce qui est nécessai­
si l ’on ne veut voir renaître pour
re à la vie m atérielle, support de la vie quis le Jour où on aura compris que la lte’Europe
la Tchécoslovaquie
m orale, légiférer, réglem enter, ta x e r si politique extérieure d’un pays est né­ elle-même etla pour
crainte du pire.
l ’on veut, hors des norm es com m unes, cessairement en fonction de sa poli­
su iv an t les nécessités de consom m a­ tique intérieure.
teu rs qui souvent rendent plus de ser­
LA PAIX LOURDE DE GUERRE
vices q u ’ils n ’en reçcivent : et les servi­
LE DANGER
Journée
industrielle. — On a honte de
ces que nous rendons à la chose pu­
Le Tempe. — Il est à craindre que si rappeler, par exemple, que la Journée
blique su rto u t dans les heures d ’épreu­ une
d’hier lundi a vu déclencher une grande
solution
n
’intervient
pa»
rapide­
ve ont u n e qualité Incom parable.
ment on ne soit exposé à voir se com­ grève s ’ajoutant à d’autres, que les
M. P a te n ô tre a rem ercié le S y n d i­ pliquer le problème tel qu’il est actuel­ manœuvres obscures de la c lutte des
c at, p u is a a ffirm é see se n tim e n ts lement posé par des revendications classes » pouvaient prendre dans une
d ’a tta c h e m e n ts à l ’é g a rd de la Pares­ nouvelles des autres groupes ethniques inattention profitable, un nouvel essor.
Notre destin est fixé si nous ne re­
qui Jusqu’ici n ’ont rien réclamé, que
se.
trouvons pas le sens perdu de la soli­
M. M a r c h a n d e a u a p ro n o n cé e n ­ l’autonomie administrative au sein de darité
nationale, de l'intérêt général,
l’Etat tchécoslovaque, et que la thèse
s u ite u n im p o r ta n t d isco u rs d o n t on nouvelle
de M. Mussolini en faveur de si nous ne nous décidons pas à réar­
a trouvé* le tex te ailleu rs.
l’organisation d’un plébiscite généra­ mer l ’Etat pour imposer ce sens à tous
lisé encourage à exiger, maintenant ceux qui en seraient dépourvus, si nous
TOULON. — L’escadre de la Méditer­ tout comme les Allemands des Sudètes, ne tirons pas de la dure leçon nouvelle
ranée a quitté ce m atin Toulon pour le droit de disposer librement d ’eux qui nous est infligée la résolution d’as­
surer envers et contre tous la renais­
4 jours d'exercices au large des côtes mêmes.
Cette étrange manœuvre du duce — sance française.
de Provence.
TELS SONT LES 2 GRANDS FILMS A SUCCÈS
NOVELTY
NOVELTY NE PRÉSENTE QUE DES FILMS INÉDITS
Revue des Journaux
FACULTÉS DES 8GIENCE8
ET DES LETTRES
Les reg istres d ’inscriptions p o u r les
exam ens en vue des certificats d ’étu­
des sup érieu res de Sciences et de Let­
tres, e t le certificat P.C.B., de la ses­
sion d ’octobre-novem bre 1938, seront
ouverts a u secrétariat des Facultés, 34,
avenue C arnot, du l*r au 8 octobre in ­
clus.
a dem ande doit ê tre établie s u r p a ­
p ier tim bré à 5 fr. 40.
On p eut s ’in scrire p a r correspon­
dance.
Ecole de plein exercice
de Médecine et de Pharmacie
Les registres d ’in scrip tio n s p o u r les
exam ens de la session d ’octobre-no­
vem bre 1938, seront ouverts a u secrétar
ria t de l ’Ecole. 34, avenue C arnot, du
l or au 8 octobre inclus.
Les can d id ats de l 1*, 2*. 3», 4* an n ées
de m édecine ; de 1” , 2», 3«, 4» années
de pharm acie ; les élèves sages-fem ­
m es e t herboristes, ajournés à la ses­
sion de ju illet, n ’a u ro n t à fo u rn ir, en
s ’in scriv an t, q u ’une dem ande s u r p a ­
p ie r tim bré à 5 fr. 40.
Les sta g ia ire s en pharm acie, qui se
p résen ten t p o u r la prem ière fois, de­
v ro n t produire, en plus de la dem ande
ci-dessus :
1° Un e x tra it de l’inscription consta­
ta n t le u r entrée en stage ;
2 Un e x tra it d ’acte de naissance, su r
p ap ier tim bré à 8 fr. 10, de m oins de
tro is m ois de d ate ;
3° L eur certificat provisoire de bac­
ca la u réat ou le diplôm e lui-m êm e ;
4° Un cei-tificat du p h arm acien indi­
q u a n t que l ’année de stage a é<té ac­
com plie sans aucune in terru p tio n e t se
continuera ju sq u ’à la d ate d e l ’exar
m en.
Ils p o u rro n t déposer ces pièces au
secrétariat ou les en voyer p a r poste.
Nota. — Ne pas confondre les ins­
criptions au x exam ens avec les in s­
criptions p o u r l ’an n ée sco laire 19381939, qui seront reçues seulem ent à
p a rtir du 20 octobre et p o u r lesquelles
des instructions spéciales sero n t pu­
bliées ultérieurem ent.
AVIS DE CONCOURS
POUR UN EMPLOI DE PROFESSEUR
SUPPLÉANT DE CLINIQUE MÉDICAL!
P a r arrêté de M. le M inistre de l ’Edu­
cation n atio n ale en date du 1er Juin
1938, u n concours p o u r l ’em ploi de
professeur suppléant de clinique mé­
dicale à l ’Ecole de Plein Exercice de
M édecine et de P h arm acie de Clei>
m ont-F errand, s ’o u v rira le lundi 5 dé­
cem bre 1938, devant la Faculté de Mé­
decine et de P h arm acie de l’U niversité
de Toulouse.
Le registre d ’inscription sera clos un
m ois a v an t l ’ouverture de ce concoure
Le program m e du concours est celui
il est ann ex é à l ’a rrê té m inistériel
u 25 ju ille t 1885.
r
AVIS D'OBSEQUES
M. et Mme LASSAONE ; M. et Mme ORXMARD et leur Ills ; M. et Mme RATAU. ; M.
et Mme LABARRE et leur» enfant» ; M. et
Mme TERRET ; les famille» DUBREUIL, VOZELLE, LASSAONE, GRIMARD, ont la dou­
leur de vous faire p art de la perte crueUe
qu'ils viennent d ’éprouver en la personne de
Madame veuve DUBREUIL
Née VOZELLE
leur mère, grand'mère, soeur et belle-saur,
décédée à la Polyclinique le 20 septembre IBM.
âgée de 63 ans.
Et vous prient de bien vouloir assister eux
obsèques qui auront Heu demain jeudi 22 sep­
tembre, à dix heures, en l'église des Minimes.
Réunion église des Minimes, à neuf heures
quarante-cinq.
g
AVIS D'OBSEQUES A PLAUZAT
Les familles CHASSORT, ANQELY, MARTIN,
vous font p art du décès de
Monsieur Gabriel CHASSORT
décédé à P lausat le 19 septembre 1939, daa«
sa 70« année.
Et vous prient d’assister aux obsèques qui
auront lieu demain jeudi 22 eeptembrl, A huit
heures trente (heure légale), en l'église de
PLAUZAT.
AVIS D’OBSEQUES A VIOHY
Vous êtes prié d'assister aux obsèques à»
Monsieur Louis BASSOT
décédé accidentellement à Vichy dans sa 39*
année, qui auront lieu aujourd'hui mereredl SI
septembre, à quatorxe heures.
Réunion à treize heures quarante-elnq. H ,
rue J.-Jaurès, à Vichy.
De la p art de Mme veuve Louis BASSOT ;
Mme veuve EG LIER ; Mme veuve OFOPPROT
et de toute la famille, et de ses amis.
H ne sera pas envoyé de lettres de faire-part,
le présent avis en tenant Heu.
REMERCIEMENTS
Mme veuve Paul COURTINE et ses enfants ;
M. et Mme Alexis OOURTINE-VERNET et leurs
enfants ; M. et Mme BOUNEOU, et toute la
famille, remercient bien sincèrement toutes lea
personnes qui leur ont témoigné de la sympa­
thie A l'occasion du deuil qui vient de les
frapper en la personne de
Monsieur Paul OOURTINE
LANOEAO. — REMERCIEMENTS
Mme veuve Jean-Glaude PATI ER, A l angea»,
sea enfanta et petlts-enfants, ainsi que toute
la famille, remercient bien sincèrement toutes
les personnes qui leur ont témoigné leur sym­
pathie A l’occasion du décès de
Monsieur Jean-Glaude PATI ER
Retraité de la Gendarmerie
Médaillé m ilitaire
RECTIFICATION
Dana l’avis d ’obsèques paru le T janvier 1S9S
dans 1* a Avenir », c’est p ar erreur que la
défunte a été appelée
Madame BAUGER
Née Renée DURANTON
n s’agissait de Mme Renée DURANTOK,
épouse divorcée d’André BAUGER.
PO U R VOS IMPRIMÉ
pou r
vos com m andes d'im pr
qu'ils soient, adressex-vox
Im prim erie de s l Avenir • s 13
du PortEn cas d ’urgence téléphones
6 7 - 1 0 et vous recevrez immét
m ent la visite d'un représentajt
l ’im prim erie.
?uels
L'AVENIR OU PLATEAU CENTRAL
ETAT CIVIL DE CLERMONT-Fd
Dans le Puy-de-Dôme L A V IE S P O R T IV E
du 21 septem bre
N a issa n ce s. - D u tk o N esty r-G u stav e.
— C h a n d ez Je a n -P a u l-M a rtia l. — Cellerier M arie-Thérèse-B ernadette. — P e rs a t Jean -L o u is. — G u illa u m e E d ith L u cien n e . — B rif a u lt C lau d e-A n to ln eR o lla n d . — T n e v e n in F r a n c k - Jo ë l L ouis. — P e lis s o n C lau d e. — B a lle t
M onique. — M o rales J o a q u in .
D écès. — C u b lzo iles V ictor, cordon*
n ie r, 36 a n s. — V ozelle E u g é n ie , v e u v e
D u b re u il, 68 a n s.
*
^
-------------------
Nouvelles
en peu de mots |
OIALOG UE
— P o u r c in q u a n t e fra n c s, o n n ’a Tien
de nos jo urs...
.
— V r a i m e n t l Une a ffa ire de c in ­
q u a n t e f ra n c s m ’a p o u r t a n t v a l u s i x
m o i s d 'e m p r i s o n n e m e n t .. . »
DÉMÉNAGEMENTS
P A U L SIM ON, 97, o u u . e v a r d
(près Jaude) Tel. 4S-0S
C ergovia
O CCASIO NS U E M l-T A R iP PAKX3
LOGIQUE
I f B l u m a v a it a n n o n c é q u 'i l tirait
des traites s u r l'ave nir.
— AI. D aladier, a u jouT d h u l, les p r e ­
se nte a u x c o n trib uab le s.
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AU BON VIGNERON
9, r u e S a i n t e - C l a i r e (p r è s p la c e G a il la r t .)
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P e n s i o n 8 .5 0. v i n c o m p . C h a m b r e * t» c o u f o r t
le
chou
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l a p in s
O n a v e n d u h ie r les cha sselas d e la
T r eille d u liai, a F o n ta in e b le a u .
L e raisin , parait-il, s ’est v e n d u j u s •
a u 'à 150 f r a n c s la caisse de cinq kilos.
M ais ce n 'e s t pa s tout : On a v e n d u
a u s s i u n c h o u é n o r m e p o u r Cü f raril'*
q u a tr e p u n î m e s p h é n o m è n e s p o u r 80
f ra n c s, et u n co u p le de la p in s an goras
q u i a a t te i n t u n e s o m m e de cent fra n c s.
Il f a u t p e n s e r q u e le c h o u a été ac­
q u is p e u r ré g a le r tes la p in s . Des la pin s
de 160 fr a n c s p e u v e n t b ien d é je u n e r
a re c u n c h o u de 60 f ra n c s. C’est d a n s
l ’ordre.
Psrte, revoit
le» lours Dun et Ictes.
M m«de 9fnXà iI19TI a-rAY is t¥“»*n,e
ois. r »ndre-Moinler. S*
a*
AU RÉGIME
L e d o c te u r au gros c lie n t :
— S i v o u s v o u le z maigTir, m a n g e r
des f r u i ts , d u pa in grillé, d e s biscottes,
des v ia n d e s grillées, et b u v e z d u Jus
d 'o r a n g e .
Le gros client, h u m b l e m e n t :
— A v a n t o u après m e s repas, do c ­
teur ?
VENTE,
L I V R E S [AU B O U Q U I N I S T *
■0 L A 8 S I Q U E S 2, r. Or eg -de-T ou r*
AOHAT l o u e o u v r a g e s
I C LE K M O NT -F u
E T VOILA
T o to est a v ec s o n oncle q u i l’i n te r ­
r o g e s u r ce qu 'il a app ris à l'ècoie.
T o to ré pon d <i toutes ses q u e stions.
— E h b icn ! p u i s q u e tu es si fort, d it
l’on cle, sais-tu p o u r q u o i o n m e t u n
coq e n h a u t des clo chers ?
— P arc e q u e si l ’o n m e t t a i t u n e p o u le
et q u 'e lle v i n t à p o n d re , les oeufs se
c a sse ra ie n t e n to m b a n t .
APPREN EZ
L'ANGLAIS ET L1E8PAGNOL
g râ c e à la c éléb ré m é th o d e B a s .
(B E R L IT Z C hez Soi)
E n s e ig n e m e n t p a r c o rre s p o n d a n c e
E n v o i fra n c o de la n o tic e Z s u r d e ­
m a n d e . — S ’a d r. EOOLE B E R L IT Z
■ » 3 1 , Bd des Ita lie n s , P A R IS
---------------------
CENTRE DE L’UNION OVINE
DE FRANCE, A ROQUEFORT
r2 1
CLERMONT
RIOM
UNION S P O R T IV I DE OHAM ALIERES
S e e tlo n A d u ltes
'
L*s m e m b re s de la se c tio n a d u lte s
s o n t in fo rm é s q u e le s c o u rs re p r e n d r o n t
le je u d i Zi c o û ta n t. Les je u n e s g e n s ues ir a n t p r a tiq u e r les sp o rts, g y m n a s tiq u e
et a th lé tis m e , d a n s le s ra n g s de la
v ieille m a is so lid e so c iété de s p o r ts de
C h a m a lie re s , p tu v c m se fa ire in s c rire
a u siège, ru e P ie rre -P o is s o n , les m a rd is
et je u d is, de i9 h. 30 & 22 h ., o ù ils se­
r o n t s û r s d e tro u v e i e n m ôm e te m p s
q u e d e s c o n se ils é c la iré s, u n e fra n c h e
c a m a ra d e rie . _________
8A IN T-BO N N ET-PRE8-R IO M . - F ête
p a tro n a l» e t fo ire d e s v e n d a n g e s. —
S a in t-B o r.n e t, lie u de p ro m e n a d e a ffe c ­
tio n n é d e s R io m o is à c a u s e de s a p o si­
tio n , de la ro u te a g ré a b le q u i y c o n ­
d u it, d e l ’ex ce lle n ce d e se s v in s Jo in ts
à l ’a m é n ité de s e s h a b ita n ts , célèb re sa
fête p a tro n a le , à l ’a p p ro c h e de l’a u ­
to m n e , le d im a n c h e de la S a in te -C ro ix .
C o n fo rm é m e n t â la tr a d itio n , les ré ­
jo u is s a n c e s d é b u te n t p a r u n e g r a n d ’m esse s o le n n e lle d a n s l'é g lise trè s
v ieille im p ré g n é e p a r l a f e rv e u r de
g é n é ra tio n s e t de g é n é ra tio n s de g e n s
lie u x , tr a v a ille u r s , n e d é d a ig n a n t p a s
e s d is tr a c tio n s o ù la jo ie e t la b ie n ­
sé a n c e se tie n n e n t c o m p a g n ie .
E n s u ite c ’e s t la p ro c e ssio n d a n s le s
Tues, su iv ie p a r u n e a s s is ta n c e trè s
n o m b re u s e co m p o sée d e s re p ré s e n ta n ts
de p re sq u e to u te s le s m a is o n s de la
lo c a lité , é g a y é e p a r les b a n n iè r e s des
c o n fré rie s e t le s to ile tte s b la n c h e s e t
b le u e s des Je u n e s fille s d e s a s s o c ia tio n s
c h ré tie n n e s .
T o u t d e s u ite a p rè s , c o m m e n c e la
fê te fo ra in e a g ré m e n té e de b o u tiq u e s
de c o n fis e rie , de tirs , d e lo te rie s et to u ­
jo u rs de p lu s ie u r s m a n è g e s s u r lesq u els,
de to u rn e r, les e n f a n ts n ’é p ro u v e n t p a s
de la s situ d e . De m êm e que le s g ra n d s
Je u n e s g e n s et les g ra n d e s je u n e s filles,
c lie n ts des « c ris -c ris ». V ous sav ez,
ces s o rte s d e b a la n ç o ire s q u i to u r b il­
lo n n e n t ai h a u t e t fo n t p o u ss e r des c ris
d 'e f fro i a u x p e rs o n n e s p u silla n im e s.
C ette a n n é e , la fête fu t a g ré m e n té e
d 'u n c o n c e rt d o n n é p a r la so ciété « Les
V ig n e ro n s de S a in t-B o n n e t », ré v e illé e
aip r è s u n lo n g so m m e il e t q u i p ro m e t
lier: de l'a g ré m e n t.
L a so c ié té de g y m n a s tiq u e d e R iom
» L a R io m o ise » s ’e s t p ro d u ite s u r la
p la c e de la L ib e rté, e n d e s e x e rc ic e s
q u i o n t o b te n u les s u ff ra g e s u n a n im e s.
O n s a it q u e les je u n e s g e n s de « La
R io m o ise » n ’o n t pu ê tre d is ta n c é s p a r
a u c u n e a u tre so ciété e n F ra n c e d a n s
l’e x é c u tio n de b a lle ts q u i lu i o n t v a lu
p lu s ie u rs a n n é e s c o n sé c u tiv e s le g ra n d
p rix d ’h o n n e u r d a n s le s c o n c o u rs n a ­
tio n a u x . C’e s t a ssez in d iq u e r la v a le u r
des sp e c ta c le s q u ’elle d o n n e s o u s l'h a ­
b ile d ire c tio n de M. le p ro fe s s e u r Jo ln e t.
Le lu n d i a lie u la foire d e s v e n d a n ­
ges. On y v i e r t de lo in a c h e te r d u m a ­
té rie l s e r v a n t à la c u e ille tte d e s r a is in s
et a u tra ite m e n t d u v in . B e rth e s, h o t­
tes, h a c h o lle s, f u ta ille s d e to u te s d i­
m e n s io n s fo n t l ’o b je t d e tr a n s a c tio n s
n o m b re u s e s . Ceci p o u r le m a tin .
L ’a p rè s -m id i e s t c o n sa c ré à d e s d is­
tr a c tio n s p a r tic u liè re s à la p o p u la tio n
de S a in t-B o n n e t. L es je u n e s g e n s des
d e u x c la ss e s q u i se p r é p a r e n t à p a r tir
a u ré g im e n t e n fo n t le s fra is . Il y a
le je u de l ’oie, q u i n ’e u t p a s Heu cette
a n n é e p o u r le m o tif q u e la c la sse qui
v a ê tre a p p elée so u s les d ra p e a u x , est
« c re u se », com m e l'o n d it. V oilà v in g t
a n s, c ’é ta it e n co re la g u e rre e t il y
e u t p é n u rie de n a is s a n c e s à S a in t-B o rn e t. Ce s e ra p o u r l ’a n n é e p ro c h a in e ,
n o u s a -t-o n a s s u ré . M a is 11 y e u t la
fête d u m o u to n . Voici e n q u o i elle a
c o n sisté . U n b el a g n e a u v iv a n t, b ien
p a ré , f u t h issé s u r u n e v o ltu re tte o r r é e
de b ra n c h a g e s , fle u rs , g u irla n d e s , et
a u tre s objet* p ro p re s à f la tte r la v u e
e t à fa ire « ric n e ». D ix b a m b in s a cc o u ­
p lés la tra în a ie n t, n o n s a n s q u ’ils fis­
s e n t c a b rio le s e t m ille a u tr e s f a n ta i­
sies. L es je u n e s g e n s e t le s Je u n e s filles
q u i a u r o n t v in g t a n s l ’a n r é e p ro c h a in e
— v in g t p rin te m p s , s e r a it m ie u x d ire
— s u iv a ie n t c o iffé s d e c a s q u e tte s e n
a p ie r q u e le s c o n sc rite s p o r ta ie n t Joe m e n t 6 u r le u r s c h e v e u x friso tté s
m ie u x q u e la la in e d u m o u to n q u ’a u ­
tre fo is, vous e n se m b le, ils m a n g e a ie n t.
D e p u is q u e lq u e s a n n é e s , l ’a g r e a u si
so le n n e lle m e n t p ro m e n é a g râ c e de la
vie. Ce Jo u r-là d u m o in s. E t su iv a n t
le s c o n s c rits e t le u rs c o n sc rite s, à peu
prèo to u te la p o p u la tio n Ju v é n ile de la
co m m u n e . C’é ta it g a i, on e n a l a c e r ti­
tu d e , e t c ’é ta it c h a r m a n t.
D im an c h e s u rto u t, il y e u t trè s g r a n ­
de a ffin e re « à l a fête de S a in t-B o n n e t.
E lle m é r ita it b ie n c et e m p re ss e m e n t.
------------
C o n cert à R o y a t do l ’H a rm o n ie « Les
E n fa n ts d e G h a m a liè re s ». — A u jo u r­
d ’h u i m e rc re d i 21 et v e n d re d i 23 se p ­
te m b re , ré p é titio n s g é n é r a le s p o u r m e t­
tre a u p o in t d e u x œ u v re s n o u v e lle s e n
v u e d u c o n c e rt q u e l a so c ié té d o n n e r a
a u P a r c do R o y a t le d im a n c h e 25 couram .
Le d ire c te u r c o m p te s u r la p ré se n c e
de to u s, il s a it b ie n q u 'a p r è s le c o n ­
c e rt de v e n d re d i d e r n ie r e t la s o rtie de
V ichy, c ’e st u n p e u d e m a n d e r, m a is il
s a it a u s s i q u e le d é v o u e m e n t d e ses
a m is les m u s ic ie n s e st a c q u is à l ’H a r­
m o n ie e t q u e le su c c è s d e R o y a t est
a s s u ré .
PONT-DU-GHATEAU
COURNON-D’AUVERCNE. — In te r d ic ­
tio n de la c irc u la tio n s u r le o h e m in
G. C. 12. — P a r a r r ê t é d u M aire, co n ­
s id é r a n t que p a r s u ite de l'in s ta lla tio n
des é ta la g e s et de la c irc u la tio n in te n s e
d e s a c h e te u rs a l'o c c a s io n de la fo ire
d u 22 se p te m b re , il p o u r r a it y a v o ir de
g ra v e s d a n g e r s d a c c id e n ts d a n s la t r a ­
v e rsée p a r les c a m io n s de tr a n s p o r t
p o id s lo u rd s. L a c ir c u la tio n d e s c a ­
m io n s a u to m o b ile s de tr a n s p o r t p o id s
lo u rd s est in te rd ite s u r le c h e m in G.
C. 12 d a n s la tra v e rs é e de C o u rn o n Ju s­
q u ’à l ’e n tré e du c h e m in V. O. 19 a ll a n t
de la Nef à la riv iè re .
Les c a m io n s v e n a n t de C le rm o n t-F e r­
ra n d d e v ro n t a p rè s le p a ssa g e à n iv e a u
e m p ru n te r la ro u te I. C. 8 de C le rm o n t
a u C endre p o u r re jo in d re le N° G. C. 12
a u p o n t d e C o u rn o n . L es c a m io n s v e­
n a n t de S a rliè v e s d e v ro n t e m p r u n te r
le m êm e itin é r a ir e et v ic e -v e rs a p o u r
ceux se re n d a n t s u r C le rm o n t-F e rra n d
e t S a rliè v e s.
ROCHEPORT-MONTAGNE
LA BOURBOULE. — C om ité d e s fê ­
tes. — A la fin de la s a is o n 1938, les
et.m e m b re s d u C om ité d e s fê te s d e La
B o u rb o u le sxmt h e u r e u x d e c o n s ta te r
q u e le u rs e ffo rts o n t été c o u ro n n é s de
su c c ès, g râ c e à l ’in tim e c o lla b o ra tio n
de to u s.
A c ette o c c a sio n i ls a d r e s s e n t le u rs
p lu s s in c è re s re m e rc ie m e n ts à MM. ie
d o c te u r G aehon, m a ire et se s d é v o u é s
e m p lo y é s m u n ic ip a u x , M. S a v o u re t,
a d m in is tr a te u r d é lé g u é de la Cie d e s
F,aux, M. J. B rut, e t son se rv ic e d ’o r­
d re , l’es m e m b re s h o n o ra ire s e t à to u s
c e u x q u i o n t p rê té le u r c o n c o u rs p le in
d ’a m ic a le b o n n e volo n té.
R é u n io n d e s m e m b re s d u b u re a u ,
m e rc re d i 21 s e p te m b re à 20 h . 30, sa lle
de l a M airie. P ré s e n c e in d is p e n s a b le .
VEYRE-MONTON
LES M ARTRES-DE-VEYRE. — A rtisa ­
n a t F ra n ç a is (se c tio n d e s M a rtres-d e V e y re). — T o u s le s a r tis a n s et a rtis a nes, sy n d iq u é s ou n o n , d e s c o m m u n e s
d e s M artres-d e-V ey re, V eyre-M onton,
L a R oche-B lanche, S a ln t-A m a n d e t Vicle-Corr.te, e tc ..., s o n t in fo rm é s q u e l ’a s ­
se m b lé e g é n é ra le d e la se c tio n a r ti s a ­
n a le d e s M a rtre s a u r a lie u lu n d i p r o ­
c h a in , 26 c o u r a n t, à 19 h e u re s , s a lle de
la m a irie .
MM. F a u g ê re , p ré s id e n t d e l ’U n io n
es S y n d ic a ts ; O ilie r, p r é s id e n t de l a
C h a m b re des M é tie rs : C oulon, p ré s i­
d e n t d u B â tim e n t • B illy , tr é s o rie r , a s ­
s is te r o n t à la ré u n io n où ils p re n d ro n t
la p a ro le s u r le s q u e s tio n s in té re s s a n t
les a r tis a n s .
R e te n ez d o n c la d a te et fa ite s e n p a r t
à vos a m is ; S ’ils o n t d e s re n s e ig n e ­
m e n ts à d e m a n d e r, c ’e st a v ec p la is ir
q u ’il le u r s e ra ré p o n d u .
P o u r la se c tio n d es M a rtre s :
CHANDEZON.
Le C e n tre d ’a p p re n tis s a g e E. M asclet
» 'o u v rir a f a i ja n v ie r, c o n n u e to u te s les
an n ées.
D estin é à c o m p lé te r les n o tio n s d ’éiev a g e o v in d e s fils d V ie v e u rs e t à les
m e ttre a u c o u r a n t des m é th o d e s n o u ­
v e lle s qui le u r p e rm e ttro n t de se l iv r e r
a v e c su c c ès à la c o n d u ite d u tr o u p e a u
la m ilia l, so n su c c ès c ro is s a n t f a it q u e
le n o m b re des c a n d id a ts a u g m e n te s a n s
oesse.
Dt-jà q u e lq u e s in s c rip tio n s s o n t p a r ­
v e n u e s a u x b u r e a u x d e l’U n io n O v in e
d e F ra n c e , 2, a v e n u e d e la G are, A M il­
la u (A v e y ro n ), re s tr e ig n a n t d 'a u ta n t le
n o m b re d e s p la c e s d isp o n ib le s.
Ce c e n tre s p é c ia lis é d a n s les q u e stio n s
la itiè re s e t de tr a ite d e s b re b is, a été
lac é à R o q u e fo rt, a u c œ u r m êm e d e
im p o r ta n te in d u s tr ie
fro m a g è re q u i
in té re s s e l’é c o n o m ie d e n o m b re u x d é ­
p a r te m e n ts .
L es je u n e s g e n s de 16 à 25 a n s y so n t
lo g é s, n o u r r is et in s tr u its g r a tu ite m e n t
d u r a n t d e u x m o is, p u is a p r è s u n s ta g e
d e 10 m o is d a n s le u r fa m ille o u c h ez
d e s é le v e u rs ré p u té s de la ré g io n , re ­
v ie n n e n t 8 R o q u e fo rt s u b ir u n e x a m e n
e n v u e d e l ’o b te n tio n d e s d ip lô m e s d é ­
c e rn é s p a r l’U nion O v in e d e F ra n c e e t
p a r le M in istè re de l ’A g ric u ltu re .
S o u s la d ire c tio n de M. A. C om bes e t
d e M. le D o c te u r V é té rin a ire G a v a ld a ,
Ils q u itte n t le C e n tre , to u jo u rs à re g re t,
m u n is de p rin c ip e s q u i le u r perm ets
i r o n t d e v a in c re les n o m b re u s e s d if fi­
c u lté s q u i le s a tte n d e n t d a n s l ’e x p lo ita ­
tio n d e le u r tro u p e a u .
F
■ ■
- - ♦ ♦ ♦ --------------
AMBERT
Collège. — L ’e x a m e n
d ’e n tré «
eu
six ièm e d e s p e tits g a rç o n s e t des p e ti­
te s fille s q u i ne se so n t p a s p ré se n té s
en ju ille t a u r a lie u a u C ollège, le s a ­
m ed i p r e m ie r o c to b re à 8 h. diu m a tin .
L es élèv es p o u rv u s d u c e rtific a t d ’é tu ­
des p e u v e n t e n tr e r d ire c te m e n t à l’E co­
le p rim a ire s u p é rie u r e a n n e x é e o u Col­
lège.
M le P r in c ip a l e st to u s le s J o u rs h
l a d isp o sitio n des fa m ille s p o u r l ’i n s ­
c r ip tio n d e s e n fa n ts.
O LLIERG U ES
F ête c o m m u n a le . — V oici le p ro g ra m ­
m e d e la fê te c o m m u n a le d e s 24, 25 et
26 s e p te m b re 1938 :
S a m e d i 24 : G ra n d e fo ire a n n u e lle .
Le s o ir r e tr a ite a u x fla m b e a u x p a r les
sa p e u rs -p o m p ie rs.
D im a n c h e 25 : R év eil o r ig in a l p a r
l ’A.S.O.
A 9 h e u re s : C o u rse c y c liste ré g io n a ­
le. 60 km . N o m b re u x p rix . P r ix sp é ­
c ia u x p o u r le s c o u r e u rs lo ca u x .
A 11 e u re s : D éfilé d e s sa p e u rs-p o m p ie rs.
A 14 h . 30 : G ra n d d é filé d e s c h a rs
fle u ris e t d e la n o ce A u v e rg n a te . Dé­
g u s ta tio n se n s a tio n n e lle s u r le p a r ­
c o u rs.
A 16 h e u re s : R a lly e d e s b ro c a n te u rs .
F ê te fo ra in e . N o m b reu x b a ls p u b lic s.
A 20 h. 30 : B rilla n t feu d 'a rtific e .
L u n d i 26 : C o n tin u a tio n d e la fête.
N o m b re u x Jeux et c o u rses.
T ira g e de la to m b o la g ra tu ite .
L o ts n o m b re u x e t im p o rta n ts .
!
R
UX rh um atisants — ces « gTands
intoxiqués » — et à l’innom bra­
ble légion de « petits intoxi­
quée » qui ee plaignent de lassitude,
d'insom nies, de m igraines, de verti­
ges, etc..., rappelons tout le bien
qu’il« retireront d’une cure de Vasculose Cocset iode stabilisé. La Vasculose Cocset détruit le6 poisons, dé­
sintoxique l’organism e, assouplit les
Sélection de Saxe
articulations, calme les douleurs rh u ­
matismales. Le seing est purifié, bat Sélection du Centre par 17 à 8
H a n o v re , 18 se p te m b re .
on se sent alerte et vigoureux.
Le se c o n d m a tc h q u e les re p ré s e n ta n ts
Toutes Pharm acies.
A
"
L’EQUIPE DU CENTRE
EN ALLEMAGNE
THIERS
8Y N D I0A T
DES PRO D U CTEU RS DE LAIT
DE LA CIRCO N SCRIPTIO N DE T H IE R S
D im a n c h e 18 se p te m b re , à 9 h. 30,
s est te n u e à l a m a irie de T h ie rs l ’a s ­
se m b lé e g é n é ra le d u S y n d ic a t d e s P r o ­
d u c te u rs d e L ait.
B on n o m b re d e p ro d u c te u rs e t ra m a s s e u rs de la c irc o n s c rip tio n a v a ie n t
te n u à a s s is te r à c ette im p o r ta n te r é u ­
n io n .
M. C o n sta n t, p ré s id e n t d u s y n d ic a t
o u v re la sé a n ce , il s o u h a ite la b ie n v e ­
n u e à to u s et les re m e rc ie d ’ê tre v e n u s
a u s s i n o m b re u x . Le p ré s id e n t p ré se n te
e n s u ite ses c o rd ia le s s a lu ta tio n s à M.
M iret, le d év o u é e t c o m p é te n t p ré s i­
d e n t de l ’U nion D é p a rte m e n ta le , le re ­
m erc ie s in c è re m e n t de so n d é v o u e m e n t
et lu i e x p rim e to u te s a re c o n n a is s a n c e
p o u r so n a c tio n p e rs é v é ra n te e t a u to ­
risé e e n f a v e u r d e n o tre g ro u p e m e n t
th ie rn o is .
A v a n t de p a s s e r à l'o r d r e d u j o u r de
la ré u n io n , M. C o n sta n t se f a it u n d e ­
v o ir de ra p p e le r q u e c e rta in s a d h é r e n ts
n ’o n t p a s e n c o re a p p o sé le u r p la q u e
s u r le u rs v o itu re s (p la q u e de C o n trô le
S y n d ic a l, p re u v e q u e le la it m is en
v e n te à su b i u n c o n trô le ), p la q u e d ’u n e
in c o n te sta b le u tilité ta n t a u p o in t de
v u e o r g a n is a tio n q u e c lie n tè le .
Le b u re a u d u s y n d ic a t a n n o n c e à ses
m e m b re s q u ’u n e F o ire -E x p o s itio n p r i­
m ée e st e n v is a g é e p o u r les 29 et 30
o c to b re à T h ie rs. C ette p re m iè re m a n i­
fe s ta tio n o rg a n is é e avec le c o n c o u rs et
le b ie n v e illa n t a p p u i d e la S o ciété
d 'A g ric u ltu re e t de V itic u ltu re d e la
c irc o n s c rip tio n de T h ie rs, a c c o rd e ra
a u x e x p o s a n ts d e n o m b re u x p r ix e n
espèces e t d ip lô m e s.
E lle se ra o u v e rte à to u s les p ro d u c ­
te u r s et ra m a s s a u r s d e la ré g io n q u i
p o u rr o n t y p r é s e n te r le u rs p ro d u its en
la it, b e u rre , fro m a g e s, etc... U n s ta n d
s p é c ia l s e r a in s ta llé p a r le s y n d ic a t
q u i y p ré s e n te ra u n m a té rie l m o d e rn e
p o u r 1 in d u s trie la itiè re , f iltr e s à la it,
à c o to n -o u a te , etc...
Le p u b lic ne p o u r r a q u ’a p p ré c ie r d a ­
v a n ta g e en co re la ju s te v a le u r d e n o tre
n o u v e lle o r g a n is a tio n q u i p e rm e t d ’ob­
te n ir u n e m a rc h a n d is e b ien p lu s p ro p re
à la c o n so m m a tio n , d 'a u tr e s p ro je ts
d 'a m é lio ra tio n s so n t en o u tre à l ’étude.
L a p a ro le est e n su ite à M. M iret, p ré ­
sid e n t de l ’U nion D é p a rte m e n ta le . E n
u n e x p o sé c la ir et p re c is, M. M ire t in ­
d iq u e q u e de b o n s r é s u lta ts o n t été
a c q u is à T h ie rs d e p u is la fo rm a tio n de
n o tre s y n d ic a t, r é s u lta ts q u i se ro n t
s u p é rie u rs e n co re le jo u r où to u s, p ro ­
d u c te u rs et r a m a s s e u rs tr a v a ille r o n t la
m a in d a n s la m a in , e t o u to u s le s isolés
s e ro n t v e n u s g ro s s ir le n o m b re d e n o s
a d h é re n ts .
Longuement» a v ec chiffres à l'appui,
11 détaille les résultats obtenus dans
des cités voisines et forme l'espoir de
voir Thiers arriver â des résultats aus­
si satisfaisants.
P o u r c e la , le p ré s id e n t d e l ’U n io n
p ré c o n ise la c ré a tio n d e C o m m issio n s
de C o n trô le p rise s d a n s le se in m êm e
d u s y n d ic a t, q u i s e r a ie n t c h a rg é e s de
v é rifie r la q u a lité d u la it m is en v e n te
p a r les a d h é re n ts , de fa ço n q u e le c o n ­
s o m m a te u r so it to u jo u rs b ien a s s u ré
de b o ire u n la it to u jo u rs p u r, p ro p re
et sa m .
E n te r m in a n t so n m a g n ifiq u e exposé
M. M ire t in v ite to u s les a d h é re n ts à lu i
s o u m e ttre to u te s les q u e stio n s en sa
c o m p é ten c e, il se fe ra u n p la is ir d e les
r e n s e ig n e r trè s u tile m e n t.
S a c o n fé re n c e fu t trè s a p p ré c ié e de
to u s les a s s is ta n ts .
M C o n sta n t p a rle e n su ite de la c o n ­
v e n tio n e x is ta n te e n tre p ro d u c te u rs et
JUMEAUX
ra m a s s e u rs , q u i e x p ire fin c o u ra n t, en
BRASSAC-LES-M INES. — O bsèques. c o n sé q u e n c e d ès le 1«- o c to b re e n tr e r a
— L u n d i o n t e u lie u les o b sè q u e s de en v ig u e u r le n o u v e a u p rix a u ra m a s ­
M. R o u v e t Je a n , r é d a c te u r des P o ste s sage, ce q u i est u n a n im e m e n t accep té.
L’o rd re d u jo u r é ta n t é p u isé la s é a n ­
e n re tra ite , décédé à l ’âge de 50 a n s,
d e s s u ite s de m a la d ie c o n tra c té e au ce est e n s u ite levée.
c o u rs de so n sé jo u r de fo n c tio n n a ire
iL S E ü
des postes en In d o c h in e .
R e m a rq u a b le m e n t d o u é , et tr è s t r a ­ tû m e s d u p a y s so ig n e u se m e n t re sp e c ­
v a ille u r, le d é fu n t s ’é to it c ré é u n e belle tée s p a r l ’a n c ie n c u ré , M. l'a b b é B ou­
s itu a tio n d a n s c ette a d m in is tr a tio n ; d a i, la p ro c essio n fu t re p ris e a v ec u n
m a lh e u re u s e m e n t le c lim a t c o lo n ia l e n tr a in m é rito ire e t d ig n e d ’éloges, de
ne lu i a v a it p a s co n v en u , e t il a v a it la p a r t ta n t d u p rê tre zélé q u e n o u s
d û p re n d re u n e r e tra ite a n tic ip é e il y a v o n s le b o n h e u r d ’a v o ir, que des p a ­
ro issie n s fid èles a u x tra d itio n s a n c e s­
a 8 a n s e n v iro n .
tra le s d e s v illé g ia tu ra n ts e n c o re n o m ­
Ses o b sè q u e s o n t été c éléb ré e s a u breu x d a n s n o tre c h a rm a n t p e tit p a y s
m ilie u d 'u n e trè s g ra n d e a fflu e n c e .
Une foule de fid èles s u iv it la p ro ­
L es c o rd o n s du poêle, é ta ie n t te n u s c essio n q u i se d é ro u la ju s q u ’à la c ro ix
p a r MAI. D u fo u r E u g èn e , D u fo u r J a c ­ d ite de S t-F éréol e u pie«d d u c h â te a u
qu e s, M a th ie u O n é siin e « t V e rrie r im p o s a n t q u i d o m in e M urois.
V a len tin .
Q uoique le p a rc o u rs so it p o u r p a rtie
Le d e u il é ta it c o n d u it p a r M. R a p p d iffic u ltu e u x , c h a c u n fit u n e ffo rt m é ­
M a rtin et ses e n fa n ts, b e a u -frè re , n e v e u rito ir e p o u r su iv re ju s q u ’a u b o u t la
et nièce du d é fu n t.
p ro c essio n qu i, c ro ix et d ra p e a u x e n
D a n s cette d o u lo u re u s e c irc o n sta n c e , tête, b a n n iè re s déployée», le * a ln t p a ­
n o u s a d re s s o n s à M. R app, n o tre d é ­ tro n de la p a ro is se p o rté p a r lea c o n s­
voué d é p o sita ire , à B rassac-les-M ines c rits de M urols, se d é ro u la co m m e il
et à to u te s a fa m ille n o s s in c è re s c o n ­ c o n v e n a it d a n » u n v é rita b le e s p r it de
d o léa n ce s.
foi.
BESSE
Au c o u rs de l ’a p rè s-m id i les h a b i­
MUROLS. — F ê te p a tro n a l* . — D i­ ta n ts , je u n e s e t vieu x f ire n t u n e so r­
m a n c h e 18 se p te m b re la c o q u ette petite tie v ers les b a ra q u e s fo ra in e s, tirs , lo­
v ille de M u ro ls c é lé b ra it d ig n e m e n t sa te rie s, etc., q u i a g ré m e n ta ie n t la fête.
fête p a tro n a le fa v o risé e p a r u n e j o u r ­ E n su ite ju s q u ’à u n e h e u re a v a n c é e de
la n u it la je u n e ss e »’e n d o n n a à c œ u r
née su p e rb e .
S u r le d é s ir de son n o u v e a u p a s te u r Joie a u c o u rs d u b al q u i e u t lie u dan »
q u i v o u lu t re p re n d re les v ie ille s cou- la sa lle des fêtes.
ISSOIRE
C y c lis m e
GRANDE JOURNEE CYCLISTE
Le 25 se p te m b re , l'A m ic a le C ycliste
c le rm o n to ise o rg a n is e :
Le m a tin , u n r a lly e c o n c e n tra tio n ,
ré g io n d e P o n tg ib a u d , do té de n o m ­
b re u x p r ix (40), o u v e rt à to u s cyclistes.
I n s e r t i o n s à l ’a rriv é e se u le m e n t.
L ’a p rè s-m id i : u n e é p re u v e ré se rv é e
a u x « V é téran » », L a G outelle-S t-O urs,
so it 13 km s. E n g a g e m e n ts a u d é p a rt.
U ne é p re u v e ré se rv é e a u x n o n -lic e n ­
ciés, dotée de n o m b re u x p rix . E n g a g e ­
m e n ts a u d é p a rt.
Le G ra n d P r i x C y cliste p o p u la ire , o u ­
v e rt à to u s les lic e n c ié s ré g io n a u x et
doré de p rè s d e l 000 fr. de p rix , s u r
l ’itin é ra ire s u iv a n t : 1™ é ta p e : S a in tO urs-les-R oches, Le V a u ria t, P u lv é riè res, C hapdes-B eau'fort, Les A ncizes, StJa c q u es, L a G outelle. 30 km s. A rrêt
d ’un e d e m i-h eu re ; 2« é ta p e : I*a G ou­
telle, B ro m o n t, P o n tg ib a u d , L a M iouze,
C h am b o is, P o n tg ib a u d , S a in t-O u rs, le
V a u ria t, 35 kins, so it a u to ta l 65 km s.
E n g a g e m e n ts (5 fr.) a u siè g e de l ’A­
m ic a le C ycliste C lerm o n to ise, 1, a v e n u e
d u C h âteau-R ouge, à C lerm o n t.
UNION CYCLISTE CLERM ONTOISE
T o u s les c o u re u rs d é s ira n t p re n d re
p a r t a u x d iffé re n te s é p re u v e s de la
ré u n io n s u r p iste d u 25 se p te m b re , so n t
p rié s d e b ien v o u lo ir v e n ir r é g u la ris e r
d ’u rg e n c e le u r e n g a g e m e n t à la r é u ­
n io n qui a u r a lie u ce so ir, m e rc re d i 21
c o u ra n t, à 20 h. 45, a u sièg e so c ia l, 18,
ru e B a lla in v illie rs .
A PR ES LE TOUR 0 'I 8 8 0 I R E
L es sp e c ta te u rs d u G ra n d P r ix de la
v illa d 'Is s o lre o n t a p p ris avec le p lu s
g r a n d p la is ir 1a v icto ire d u M a rse illa is
A y m a r d a n s le G ra n d P rix d e s N ations.
Le v a in q u e u r d ’Isso ire , C a rin i, a , lu i
a u ssi, a cco m p li u n e b o n n e p e rfo rm a n c *
en te r m in a n t 19e d e la m êm e é p re u v e .
Ces r é s u lta ts p ro u v e n t u n e fo is d e
p lu s q u e le s v a in q u e u rs d u G ra n d P r ix
de la vi'lle d ’Isso ire s o n t à c o u p s û r les
m e ille u rs h o m m e s d u m o m e n t e t les
p lu s e n fo rm e.
♦ + + --------------
B o u lis m e
BOULE AMICALE D ES LANDAIS
L a B oule A m icale d e s L a n d a is r a p ­
p e lle à se s m e m b re s e t a m is b o u liste s
que son tro is iè m e c o n c o u rs a u r a lie u
le 25 se p te m b re . C om m e à l’h a b itu d e ,
il v a u r a de n o m b re u x e t jo lis lots.
T ira g e a u s o n a u siè g e à 8 h. 30.
Les c ib le s de p o in t e t de t ir s e ro n t o u ­
v e rte s le sa m e d i 24 de 16 h. à 19 h . et
le d im a n c h e 25 to u te la jo u rn é e .
----------LES M ATCHES DE DIMANOHK 15
A L'A. 8. M.
R ug b y . — E q u ip e 1 c o n tr* V ille fran c h e-su r-S aô n e , à V lllefra u c h e .
E q u ip e 2 c o n tre S. C. M o n tlu ç o n n a ls
à M ontluçon.
E q u ip e ju n io r s A c o n tre F. C. M oulln o is à C lerm o n t.
E q u ip e ju n io r s B c o n tre C.A.S. Gerz a t à C lerm o n t.
A u tre s é q u ip e s : e n tr a în e m e n t à la
P la in e .
F o o tb a ll
E q u ip e 1 c o n tre U. S. Vi­
c h y 1 à C lerm o n t (c h a m p io n n a t).
É q u ip e 2 c o n tre U. S. V ichy 2 à C ler­
m o n t.
E q u ip e J u n io rs c o n tre L em p d es 1 à
L em pdes.
A u tre s é q u ip e s : e n tr a în e m e n t à la
P la in e .
B asket. — E q u ip e s 1 e t 2 c o n tre F. C.
L yon 1 e t 2 à C lerm ont.
A u tre s é q u ip e s : e n tra in e m e n t.
A th létism e. — E n tra in e m e n t.
-----------A.S.M. — F o o tb a ll. — T o u s les
J o u e u rs d é sig n é s c i-dessous so n t convo­
q u é s je u d i 22, p o u r e n tra in e m e n t, a v e ­
nu e de la Ré-publique, à 18 h. 15 : u n
c a r n a v e tte les c o n d u ire , à 18 h. 30 p ré ­
cises, à la P la in e et les r a m è n e r a a p rè s
l ’e n tra in e m e n t.
S c h œ ttel A n d rie u x . L a fa rg e P a u l,
G ira u d o n , T u rm o , G ascou, L a fa rg e H e n ­
r i R iegert, M alfrey d . V é d rin es, Roudet, M ille ra u d , V iale, B e a u g e r, B er­
tra n d , C ro h as, S a b ria u x , S o le r, B rugère. E sperez, C itron, P ito u n , A rn a u d ,
C h a u ssa n , C h a b ea u d , L em ery.
AMICALE FONTGIEVE. — T o u s les
jo u e u rs d e l’A m icale so n t p rié s d 'a s s is ­
te r à la ré u n io n qui a u r a lieu le je u d i
22 c o u ra n t, à 18 h. 30, à l ’E cole.
O rd re d u jo u r : F o rm a tio n des é q u i­
pes d e v a n t jo u e r le d im a n c h e 25 s e p ­
tem b re c o n tre le S.O C.
In sc rip tio n d e s n o u v e a u x Jo u e u rs
p o u r la sa iso n 1938-1939.
avec u n a v a n ta g e a u x A llem a n d s, s u r ­
to u t a u d é b u t. L’é q u ip e de S a x e est
trè s forte e t com plète. Ses Jo u e u rs so n t
trè s a d ro its et ra p id e s e t a u s s i trè s e n ­
tra în é s .
Les r e p ré s e n ta n ts d u C en tre, e n co re
à c o u rt de form e, o n t fa it u n e x c e lle n t
m a tc h et to u s d o iv e n t ê tre félicités. Ils
fu re n t h a n d ic a p é s p a r la fa tig u e d u
v o y a g e e t de la p a rtie d 'h ie r . Ils
a v a ie n t a ffa ire à des a d v e rs a ire s qui
é ta ie n t d é cid és à g a g n e r et q u i fu re n t
u n peu a id é s p a r l'a rb itre . L a S élec­
tio n d u C entre a c a u s é u n e e x c e lle n te
im p re ssio n .
E
n lm
tive.
N
%
ü bsT
d u C e n tre d is p u te n t à H a n o v re o ppose
la ©élection d e B a sse -S a x e à celle d u
C e n tre .
L a re n c o n tre a lie u a u s ta d e H i n d e r
b u rg .
L a S é le c tio n d u C e n tre Jo u e e n
m a illo t b la n c , c u lo tte e t b a s bleus,
c e lle de S a x e e n m a illo t ro u g e .
L a S é le c tio n d u C e n tre se p ré se n te
co m m e s u it :
A v a n ts : 1” lig n e : F ra d e t, L om barte ix e t R ochon.
2» lig n e : E tte ü n , C h a rto n .
3» lig n e : B e rth e t. L av a il, B o u rra chaux.
D em is : A u tissie r (m êlée), M é tén ler
(o u v e rtu re ).
T ro is -q u a rts : D e sro u ffé t, P lu m a s s o n ,
C h a ssa g n e , Bellot.
A rriè re : V esvre.
L ’é q u ip e d e S a x e co m p te h u it in te r ­
n a tio n a u x a lle m a n d s.
Il f a it u n te m p s sp le n d id e e t le te r ­
r a in e s t en p a r ia it é tat. Un m illie r e n ­
v iro n d« s p e c ta te u rs g a rn is s e n t les t r i ­
b u n e s.
A près l ’e x éc u tio n d e s h y m n e s n a tio ­
n a u x , le C en tre e n g a g e : il jo u e c o n tre
le soleil e t u n v e n t léger.
D’e r.tré e , le s A lle m a n d s p o rte n t le
Jeu d a n s le c a m p fra n ç a is , m a is les
b la n c s r é a g is s e n t et s u r u n e de le u rs
a tta q u e s , S axe d o it to u c h e r d a n s se s
buts.
Le je u re v ie n t a u c e n tre , p u is d a n s
le c am p fra n ç a is où il v a se m a in te n ir
u n lo n g m o m e n t. Les A llem a n d s, r a ­
p id es, a d ro its e t décidés, m è n e n t p lu ­
sie u rs a tta q u e s bier. d é c le n c h é e s p a r
le u r e x c e lle n t d e m i d ’o u v e rtu re ; ils
m a rq u e n t u n e ssa i p a r le u r s a v a n ts
a p rè s u n e to u ch e . S a x e : 3.
Le« é q u ip ie rs de S a x e re v ie n n e n t à
l ’a s s a u t des b u ts fra n ç a is e t m a n q u e n t
la tr a n s fo rm a tio n d ’u n c o u p fra n c p o u r
hors-Jeu de C h a rto n . Ils c o n se rv e n t
l'in itia tiv e d e s a tta q u e s et les C e n tra u x
ne se d é g a g e n t que p a r à-coups. Il fa u t
n o te r u n e belle a tta q u e d e M é tén ler
q u e la n c e d ire c te m e n t D e sro u ffe t. Ce­
lui-ci a p rè s u n e lo n g u e c o u rse r e c e n tre
a u p ie d e t le Jeu a r r iv e p rè s d e s b u ts
a lle m a n d s .
N ouvelle a tta q u e
d e s tro is -q u a rts
f r a n ç a is e t e ssa i de D e sro u ffe t a p rè s
q u in z e m in u te s de jeu , n o n tra n s fo rm é .
Les é q u ip e s so n t à é g a lité : 3 à 3.
l/es tro is -q u a rts fra n ç a is se la n c e n t à
n o u v e a u v e rs les b u ts a lle m a n d s et
B ellot va loin. M ais les é q u ip ie rs de
S a x e se d é g a g e n t p a r u n lo n g co u p de
pied e t le je u a rriv e a u x c in q u a n te m è­
tres.
L ’a r b itre d is trib u e d e n o m b re u x c o u p s
fra n c s ; les A llem a n d s p ro fite n t d ’un
c oup fra n c a u x 22 m è tre s fra n ç a is , m a is
11 n ’est p a s tra n s fo rm é .
M é tén ier m è n e u n e tr è s b e lle a tta q u e
e t avec P lu m a s s o n ils re m o n te n t le te r ­
ra in .
Le Jeu est p lu s é g a l q u ’a u d é b u t. L es
F r a n ç a is a tta q u e n t, D e sro u ffe t, d e r n ie r
se rv i, r e c e n tre a u p ied e t u n re b o n d
d é fa v o ra b le le s p riv e d ’u n e ssa i. S u r
c ette p h a se d e Jeu, m êlée à 10 m è tre s
des b u ts a lle m a n d s . Les ro u g e s s e d é ­
g a g e n t c e p e n d a n t e t le Jeu se sta b ilise
a u c e n tre q u a n d l ’u n d ’e u x p a r t n e t­
te m e n t h o rs-je u e t a p rè s u n e sé rie de
p a sse s e t a u ssi de m a la d re ss e s , un essa i
e s t m a rq u é p a r la S a x e , e n tre le s p o ­
te a u x . Il e st tra n s fo rm é . L a S a x e m èn e
p a r 8 à 3, e t il y a tre n te -c in q m in u te s
que la p a rtie e s t com m encée.
Les A llem a n d s d o m in e n t e n su ite p e n ­
d a n t q u e lq u e s in s ta n ts ; les a v a n ts
fr a n ç a is d é g a g e n t le u r cam p . B o u rrac h a u x m èn e u n e éch a p p ée , p u is fa u te ;
p u is a tta q u e d e C h a ssa g n e q u i, p la ­
qué, p a sse à P lu m a s so n . E ssai re fu sé
p a r l ’a r b itre et la m i-te m p s a rriv e peu
a p rè s.
D ès la re m ise en Jeu, a tta q u e a lle ­
m a n d e q u i éch o u e de ju ste s se . Le jeu
e s t a u x 22 m è tre s fr a n ç a is e t le d em i
d 'o u v e rtu re ré u s s it u n d ro p -g o al. Saxe,
12 ; C entre. 3.
M ais les F ra n ç a is v e u le n t à to u t p rix
m a rq u e r ; ils d o n n e n t de so lid e s coups
d« b o u to ir m a is s a n s r é s u lta t «t au
c o r tr a ir e s u r u n e a tta q u e d u d em i
d ’o u v e rtu re , les ro u g e s m a r q u e n t u n
e ssa i non. tra n s fo rm é . S ax e, 17 ; C en­
tre , 3.
Cet essai stim u le les re p ré s e n ta n ts d u
C en tre ; ils ra m è n e n t d ’a b o rd le jeu
a u m ilie u d u te r r a in et e n s u ite d a n s
le c am p a lle m a n d . Les a v a n ts se liv re n t
u n e trè s sév ère b a ta ille et les F ra n ç a is
o b tie n n e n t la b a lle en m êlée p lu s so u ­
v e n t q u ’a u p a r a v a n t.
S u r coup fra n c , B e rth e t t-o u v e u n e
b e lle to u ch e ; p u is m êlée p rè s d e s b-us
a lle m a n d s. Un c oup fra n c e n fa v eu r
d e s F r a n ç a is est m a n q u é d e trè s peu.
T,es Jo u e u rs du C entre d o m in e n t mair<te n a n t. T o u t à co u p C h a ssa g n e ém e rg e
d u n p a q u e t de jo u e u rs e t a p rè s a v o ir
évité de nom breux, a d v e rs a ire s m a rq u e
a u (e n tr e .
S ax e, 17 ; O .T r e 8
C h a ssa g n e ré cid iv e p eu a p rè s, m a is
H est a rrê té p rè s des b u ts a lle m a n d s ;
p u is F ra d e t m a rq u e u n e ssa i refusé.
L es a v a n ts e» tro ts -q u a rts d u C entre
Jouent à m u te v itesse m a is ils ne p e u ­
v e n t r é u s s ir à p e rc e r une d é fe n se trè s
sévère e t c ’est s u r le score de 17 à 8
que la fin e«* s.fflée.
OC NS* DÉRATIONS
T rè s b ell« p a rti* d e p a r t e t d ’a u tre
I
cha
Les Championnats de la L A.
La journée en Division d’Honnenr
E n ce lumineux dimanche de se p ­
tem b re , les so ccers a u v e rg n a ts o n t o ffi­
c ie lle m e n t o u v e rt le u r s a iso n ; e t c e tte
>remiôre jo u rn é e n ’a u r a p a s a p p o rté
a m o in d re s u rp r is e e t a u ssi, il f a u t
l ’a v o u e r p a s de g ra n d e s sa tis fa c tio n »
m êm e chez les v a in q u e u rs.
C’est donc dire que le b e a u Jeu fu t
p e u à l ’h o n n e u r s u r n o s te r r a in s , di­
m a n c h e ; mais c o m m e n t n o u r r ir d é jà
u n e c e rta in e a m e rtu m e p a rc e q u e ces
m a tc h e s n ’o n t p a s a p p o rté les p ro m e t­
te u s e s sa tis fa c tio n s q u e d 'a u c u n s en
e s p é ra ie n t î Le d é b u t de sa iso n ; la
c h a le u r ; la fo rm e e n c o re a u p re m ie r
s ta d e de so n é v o lu tio a so n t d e s ra is o n s
s u ffis a m m e n t s é rie u s e s p o u r e x c u s e r
d e s e x h ib itio n s m é d io c re s : ne so y o n s
p a s tro p p ré m a tu ré m e n t p e ssim is te s ;
et les v a in q u e u r s de d im a n c h e d o iv e n t,
a u fond d e u x -m ê m e s , se s a tis f a ire
d ’u n su ccès to u jo u rs p ré c ie u x .
M oulins, V auzelles, le S ta d e se s o n t
d é jà im p o s é s ; N éris s ’e s t jo in t à e u x e t
vo ici q u e se d e ssin e d é jà ia lu tte r i ­
tu e lle ; m a is d e s o n z e h ie r m a lh e u ­
r e u x o n t tiré de le u r d é fa ite d e s e sp o irs
ré e ls ; n ’a n tic ip o n s p a s.
L es c h a m p io n s o n t trio m p h é d e R iom
a p rè s u n m a tc h to u t à le u r a v a n ta g e .
L es v is ite u rs o n t eu le m é rite de ré s is ­
t e r avec b e a u c o u p d e c o u ra g e et, com ­
m e d e c o u tu m e , en de te lle s c irc o n s­
ta n c e s, le p o rtie r D u fo u r fit u n e trè s
g ra n d e p a rtie .
Les a v a n ts m o u lin o is n ’o n t p a s fo u rn i
l ’im p re ss io n esco m p tée : q u e lq u e s c h a n ­
g e m e n ts s e r a ie n t p e u t-ê tre u tile s d a n s
ce q u in te tte a u x g ro sse s p o ssib ilité s.
R iom , d im in u é p a r d e s d é p a r ts d e v a ­
le u r, n ’a v a it a u c u n e p ré te n tio n d e v a n t
les h o m m e s de P ra d e l ; le u r re v e rs h o ­
n o ra b le le s a u to ris e à ne p a s d é se s­
p é re r.
V auzelles s ’est d é b a rra s s é p lu s p é n i­
b le m e n t d e l ’A.S. M o n tfe rra n d a is e , q u i
fa it a in s i u n e e x ce lle n te re n tré e e n
h o n n e u r. D om m age q u e ce choc so it
s o rti d e s lim ite s d u « fa ir p la y » 1 E n
effet, les d e u x te a m s o n t te rm in é à 10 :
L e ja u lt blessé et M a lfre y t exclu ; c 'e s t
e n c o re b ie n tô t p o u r m e ttre ta n t d e vio­
lence d a n s le d é b a t ! A c ette c ad e n ce ,
que fa u t-il re d o u te r p o u r les m a tc h e s
d é cisifs à v e n ir î
M ais s o u h a ito n s que ce n e so it là
q u ’u n feu de p a ille e t re v e n o n s à n o s
r é s u lta ts . Ce m a tc h d e N evers a p ro u v é
ce q u e n o u s sa v io n s d é jà : q u e V a u ze l­
les est, com m e c h a q u e a n n é e , le n t à
d é m a r re r e t q u e les C lerm o n to is o n t
b e au c o u p à e s p é re r d e le u r fo rm a tio n
e n co re m al soudée.
Les S ta d is te s C lerm o n to is o n t e u
c h a u d — a u d o u b le se n s — d im a n c h e à
la P la in e où ils o n t trio m p h é a p rè s u n
m a tc h d o n t l’in té rê t trè s a ffa ib li a p rè s
v in g t m in u te s d e je u , re b o n d it b ru s ­
q u e m e n t d a n s la d e rn iè re d e m i-h e u re .
Les M a c h ln o is 6 ’e n s o n t tir é s avec les
h o n n e u rs de la g u e rre et la le n te u r d«
le u rs m o u v e m e n ts o ffe n sifs les p riv e n t
d ’u n m e ille u r ré s u lta t.
O r, ce fu t la v ic to ire de la v ite ss e e t,
à ce p o in t d e vue, le s S ta d is te s o n t la r ­
g e m e n t d o m in é . L e u r trip le tte c e n tra le :
O rd itz, P a s to r, O liv ie r, e n p a rtic u lie r,
a fo u rn i u n e p re m iè re d e m i-h e u re rem a q u a b le p a r so n p e rç a n t, sa d é c isio n ,
s a ra p id ité ; m a is le d é fa u t de so u ffle
e t la c h a le u r n ’o n t p lu s p e rm is 1 u tili­
sa tio n d e c* tr io s u r la m ê m e lig n e
d ’o ffen siv e, p o u r la su ite de la p a r ti*
o u le s in te r s d u r e n t tro p s o u v e n t se
t e n ir en r e t r a i t
Il re s s o rt de c ette e m p o ig n a d e que le s
e x -c h a m p io n s d o iv e n t a v o ir, a u corn-
f
CUtUlC Lcuc
*U “ .
b a ttre , a v ec le s R ys, M u z u re J e com m e
vedettes.
T h ie rs a d û s ’in c lin e r à N éris d e v a n t
u n e fo rm a tio n p lu s ro b u ste e t p lu s
a g u e rrie . R a is o n n a b le m e n t, on ne p e u t
g u è re , à l ’h e u re a c tu e lle , d e m a n d e r
b e au c o u p à u n te a m c o u te lie r a ffa ib li
p a r d iv ers d é p a rts et c o n sid é ia b le m e n t
r a je u n i. C e p en d a n t, 1« m a tc h d e d i ­
m a n c h e laisse a p p a ra îtr e d e s lu e u rs
d ’e sp o irs chez les S a iis te s ; d ’ici peu,
le s je u n e s é to iles p e u v e n t se le v e r e t
R iffa u t e st to u jo u rs là : c a p ita in e p ré ­
c ie u x et p a y a n t d 'e x em p le.
Les N é risien s fe ro n t p a rle r d ’eu x ,
e ncore, cette s a iso n ; ils fo n t p a rtie d u
g ro u p e de tê te ; o n n e les en d é lo g e ra
p a s fa c ile m e n t.
Il n 'e s t j u s q u ’a u m a tc h de D ecize qui
a it ju s tifié les p ro n o stic s p a r so n a c h a r­
n e m e n t et son ré s u lta t nu l. V ichy n 'a
p a s e n co re o b te n u le m e ille u r re n d e ­
m e n t de so n g ro u p e m e n t u n peu h é té ­
ro c lite ; m a is te n ir en échec les p o u ­
la in s de P e te l chez eu x c o n stitu e d é jà
u n e p e rfo rm a n c e n u lle m e n t u la p ortée
de to u s.
,
J
c
N ous Ju g e ro n s m ie u x , du re ste. 1 A.S.
D ecize, d ’a p rè s sa seco n d e so rtie , de­
v a n t le S ta d e C lerm o n to is. — C.C.
L E CLASSEM ENT :
J. G. N. P . P ts
1. A. S. M oulinoise . . . . 1 1 0 0 3
A.S.A. V auzelles . . . . 1 1 0 0 3
S ta d e C lerm o n to is . . 1 1 0 0
3
A.S. N é r i s ...................... 1 1 0 0 3
5. U .S .C V ichy .............. 1 0 1 0 2
A.S. D ecize .................. 1 0 1 0 2
7. S.A. T h ie rn o is .......... 1 0 0 1 1
A S. M o n tfe rra n d a is e 1 0 0 1 1
U.F. L a M ach in e . . . . 1 0 0 1 1
F.C. R io m o is .............. 1 0 0 1 1
EOUREUILS M ONTFERRANDAIS. —
B a sk e t-b a ü . — E q u ip e s 1, 2, 3 d e m a n ­
d e n t m a tc h e s p o u r s a iso n 38-39. E crire
a u se c ré ta ire , 7, ru e A m itié, L a P la in e ,
en in d iq u a n t d a te s lib re s.
Prière k
dant» d’aff.
les lettres qu
transmise* el
timbre poor
demande de
! a a cTadr»
LOCA
(2 fr.
APPART
A L. centre vl!
a p p e r t. 4 p. t
sud, 30, r. Emt
A L. gd* p ii
e t a u tr e pièc
S’adr. Ag. Ha
D a m e seule
c h e rc h e a p p t
p e n sa b l* proxij
p l. C hapelle-d
E. G. 24, Ag.
A L. a p p . 6
77, Bd Gergtr
A L. m a g a sin
B lanc av. ou
4 p. S ’a d r. G
Iss o ire . T él. 2
A pp. 5 p., s.
37. B d L av o tsi
A L. a p p t 4
c o n fo rt, 6. Bd
L o u e ra is a p p
t. c o n fo rt, ra y
S ’a d r. a u Jou
L ib re 1« ja n v i
V illa 7 pièces,
J a r d in d ’a ^ n
B onnabaud.
A L. 3 pièces,
W .C ., 42. Bd
A L. a p p e r t
A1SCL W .C. 1
v is ite r sa m e d i
4 Jolies pièoet
Clermont. S ’a
A L. bel a p
de b a in , toi;
* v . de Royat,
S ’a d r . a u jou
A L. a p p . 5 p
é le c tr. g a r. à
du Puy-de-D*1
A L. 3. r. Adij
znalières, ap
confort. S ’ad
A L. S p ièce
Al., 7, r. Vie
adr. L les J.
A L. 2-3 p. e
lu n . Jeu. 9
d e T ard 1ère».
A L., r. An
a p p a rt. 5 pièi
A L. a p p a rt. 4
S ’a d r. 14, r. K
10 à 13 h. et 1
A L. a p p . d e
des P la n te s . ^
A L. ru e Mo
8 P , ch. de
c b a u f. c e n tr.
S ’a d r. A g. I
A L. p rè s pla
g r a n d e pièce
p. b u re a u . S
A L. ru e A ml
d * 9 pièces,
b u r e a u ou p r
« t p o u v a n t se
p a rtie s . S ’a d r
A L. dans
a p p ts de 3-48 ’a d r. Agence
A L
contre ville
S pièces, bon «
trie tté p o u r 1
S 'a d re s s e r Ait
A L. 3, 2 e t
gar., atel., 27,
P t* m also n 2
b e a u ja rd . S'
L a fa y e tte .
A lo u e r 4 p.,
rie , e. c h . et f
fa c u lta tif . S ’
L. a p p .
«
I«, 4 pièces,
FEUILLETON ue L' AVENI R (26)
La Paje arrachéeI
|
p a r JEAN N E DE COVLOMB
XIII
« Oui, tu y consentira» quand tu
a u ra s touché Le« millions de ton p ar­
r a in ... A utant dire jam ai» !
P o u r le moment, les susdits m il­
lion* tombent à pic, rep rit Avit. Le
m édecin n ’a-t-il pas dit, ce m atin,
q u ’un long séjour 6ur la côte badque
ferait 1« plu* grand bien à C laude...
Dès dem ain, je p artirai pour assister
au service de huitaine, et, en même
temps, je verrai le notaire et la mai­
son.
Il revint, troi* jours après, en­
chan té de »on voyage.
— « B a c c a re n n » — la
de
l'isolé — expliqua-t-il, est une belle
villa, abritée du vent de uier par un
re ssa u t de la falai**. Un parc 1 en­
toure fit au delà, com m encent les
terres, très entretenues, praiTiee, luzernières, champs de m aïs ou de hetJ
teraves. Dix belle* vache* laitière«
habitent l ’étable. Elles fourniront à.
Dilette l’occasion de s ’exercer au mé­
tier d« bergère... En dehors de? do­
mestiques de la ferme, le personnel
intérieur «e réduit à un menage. Le
m ari cumule lea fonction* de chauf­
feur et de valet de chambre ; la fern,
me est cuisinière, ce qui me permet­
tra de garder Seconde, Tina suivant
naturellem ent s a m aîtresse. Dans 1«
garage, j ’ai trouvé deux autos, une
conduite intérieure et un cabriolet.
La première, je l’ai ramenée ici pour
vous tran sp o rter là-bas, 6ans fatigue,
m ais je vous la laisserai et je pren­
drai le cabriolet qui me sera fort
utile, le sam edi soir, pour venir avec
Roby passer le week-end auprèe de
vous.
Alvère soupira.
— Ce pauvre T ranquülin, dit-elle,
J’ai peur qu’il n ’ait vécu.
-r- Oui, il est voué à la ferraille ;
mais revenons à « Baccarenia » : l’a­
ménagement intérieur en est fort
bien compris. Rien que de vieux meu­
bles basques que mettent en valeur
de* pense* et des soieries anciennes.
Et — ce qui étonrie chez un m ariu —
aucune trace d’exotisme... »
— Ah 1 ta n t mieux I interrom pit
Claude presque violem m ent Cela m*
changera de ne plu* se n tit autour de
moi des odeur» de laque et de bois
de santal.
— Comme tu ne pourrais pas res­
ter seule, reprit Avit, nous demande­
rons à Alvère de (vouloir bien t’ac­
compagner. En son absence, Secon­
de ferait la cham bre de Roby qui
descendrait prendre ses repas avec
moi.
En d’autres temp*, la jeune fille
se serait réjouie de la combinaison :
eLle aim ait la campagne, mais il lui
était dur d ’abandonner son frère ca­
det, à une heure où elle le voyait re­
venir sur se* pas et, comme un aveu­
gle, chercher à tâtons le bon chemin.
Mai* refuser f Le pouvait-elle ? Elle
s’inclina donc devant le désir de son
a în é ... A v a n t m ê m e d’avoir re s p ir é
l’air de la côte basque, la perspective
d’un changement de vie parut galva­
niser Claude. Elle se reprit à vivre,
sortit pour des achats de toutes sor­
tes, de* essayages de toilette, éton­
na même le* siens p a r l’endurance
qu’elle m ontra en diverses occa­
sions.
Chez elle, évidemment, aucun or­
gane essentiel n ’était lésé et, le jour
où sa volonté lui en donnera.t .n per­
mission, il jta it clair que sa jeunesse
triom pherait de* mataiae* nerveux
qui, parfois, pouvaient laisser croira
à un réel état maladif.
Avant son départ, Alvère voulut
procéder aux rangem ents nécessâi
son m ari, de sa fille et de la fidèle
Annamite, e* elle «e déclara enchan­
tée des dispositions prises p a r sa
belle-sœur.
Quant à Dilette, elle retrouva tout
de suite ses habitudes de la Pomélie;
toute la journée dehors, elle donnait
le maïs aux poules, coupait de l’her
be pour les lapins et, une gaule à la
main, s’en allait au pâturage avec
Cati, la fille des fermiers.
Sa mère ne pouvait que l’em bras­
ser au vol. Trop de besognes la ré­
clam aient I Et la joie, l’excitation
faisaient briller se«! yeux qui ressem­
blaient à des pervenches sous la ro­
sée.
Etait-ce l’effet de l’a ir pur, forte­
ment salé 1 Claude se releva peu à
peu. On eût dit, en effet, que, loin
des chose* exotiques, rappel de sa
première vie, elle éprouvait une sen­
sation d’allégement, de délivrance, et
qu’elle p rêtait même l’oreille à ce
que lui chuchotaient le* vieux meu­
ble«, noirci» par le temps, qui
avalent vu passer plusieurs généra­
tion croyantes.
Un jour, Alvère revenait d’Urrugne, le village qui échelonne ses m ai­
son* au bora de la route nationale :
elle entendit une voix de femme qui
XIV
s'élevait dans le silence, une voix
Le samedi su Ivan', la m alade a rri­ flexible, (vibrante, harmonieuse, et si
va en au.omobile, accompagnée de étendue, aux sonorités ai pleines
res qui eussent fatigué sa belle-sœur.
Elle en profita pour faire disparaître
les livres prêtés p ar Roby ; du reste,
celui-ci n« réclam a point.
Un seul échappa à l’aufnd«^. le
plus dangereux, car il re9te la source
empoisonnée où viennent s’abreuver
les erran ts qui se sont détournés du
fleuve de la vie. Il portait le nom de
Claude sur la feuille de garde ; pour
bien prouver qu’il lui appartenait, la
jeune f’ nrrne le prit, sous le* yeux
même d ’Atvère, et le serra dans -on
armoire.
Le changement ta n t désiré et. un
moment, espéré, reculait encore dans
les brumos de l’avenir, e» les fêtes de
Pâques n* l’am enèrent point.
Avit en souffrit r r n e ’ei*,n»p*,t mais
U aim att trop «a femme pour laisser
deviner a profondeur de aa peine ;
à la gare Sfulement, lorsqu’il accom­
pagna Alvère qui p a ita it en avant
pour am énager la villa, il lui dit en
F em brassant ;
— Je te 1* confie I Cette pauvre
âme a be »on j'ê tre manié* avec des
m ains b i n tendres. Autrement, on
la briserait. Elle a tant souffert I
— Oui, ie le sais, lui répondit ;a
ieune f'iîe j? r«rai de mon mieux.
Je te le promets.
qu’elle ne sem blait faite que pour les
applaudissements.
Qui pouvait chanter de la sorte
dans ce coin écarté o ù il n’y avait
pas d ’autre villa que B accarenia ?
DileMe se tro u v a it d a n s > p ié u n e
la promeneuse longeait. Elle la ren­
s e ig n a p a r -d e s a u s la haie.
— C’est mam an, expliqua-t-elle, les
yeux ravis.. San* doute, elle va
mieux à présent.
Avant de re m ontrer, Alvère laissa
le morceau s ’achever. Elle ne le con­
naissait pae ; mai«, aux reprise*,
tour à tour alanguies ou follement
sauvages, elle devinait un a ir slave ;
les mot* exprim aient le désespoir
farouche d’une âme enfermée dans
un souvenir dont elle ne i*eut s'év a­
der, et les inflexions en étaient «i
déchirante* qu’elles pénétraient jus­
qu’au cœur.
Aux derniers accord», la jeune
fille applaudit, puis, entrant, elle
s’écria joyeusement :
— Oh ! la cachottière qui g ard ait
pour elle le secret du trésor caché
dans son gosier 1
Claude tressaillit et elle se leva
d’un mouvement ei brusque que sa
mueimie tomba ; les page* s'éparpil­
lèrent sur le tapis.
— J ’ai cédé à une faibleese, jeta-telle, les dents serrées. Je ne recom­
m encerai plu* 1
>Oh I pourquoi 7 Avit aime telle­
ment le chant I II serait ravi
<’ '
couvrir chez s a femme un pareil
talent.
— Ce talen t a été la cause de tou*
mes m alheurs. Je le déteste.
— Mai* cependant... aujourd’hui...
— J ’ai tout simplement voulu sa­
voir si me* forces revenaient. Ma
voix s ’affaiblit, en effet, dès que je
m’affaiblis moi-même.
— Eli* m ’a semblé ronde à sou­
hait.
— Oui. Certainement, m a santé est
m eilleure... Et cette constatation
doit nous suffire... Il est tout à fait
inutile que vou* racontiez cet inci­
dent à votre frère.
— Je n ’essaierai pas de m é f i e r
votre ré«olution. Vou9 ête* une si
délicieuse entêté« ! Mais, à défaut du
concert que j ’eecomptais, consenti­
rez-vous au moins à faire une pro­
menade ? Le t*mos est e»""** Nous
prendrions Dilett* au passage et»
ensemble, nous m onterions à Socorry.
— Où se trouve cet endroit ?
— Tout en hau t du ressaut *•'*
laise qui nou* abrite du vent du
sud-ouest... avant la voie ferrée. Un»
petite chapelle s ’y élève ; «11» «*t dé­
diée à N^tre-Dame du Bon-Secorra
Nous y ferons une pieuse halte.
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n t v o u lu sae n a ie n t. M a
, dès que je
onde à soum a sa n té est
c o n s ta ta tio n
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iez cet in c ide m o d ifie r
êtes u n e s i
, à d é fa u t du
is, c o n se n tiire u n e p ro N ous
ta s s a g e et,
rio n s à So-
du
ne
dérs.
L'AVENIR DU PLATEAU CENTRAL
9 ■3 8
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ces sont payables au comptant.
Elles ne sont reçues que pour an mtnlmum de quatre insertions consécu­
tives de deux lignes par insertion.
Notre tarif est indiqué en tête de
chaque rubrique.
P rière k nos correspon­
dants d ’affranchir à 0 fr. 65
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Riom . S'ad. Journal.
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l " q u a lité , E bre uil, cheptel
v if F le u ry, no taire , E b re u il
(A llie r). ___________ ' (9024)
Métayer demandé de suite,
pro prié té 17 hectares (prés,
terres), cheptels v ifs et morts,
La L izolle. — F le u ry, notaire.
E b re u il (A ille r).________(9023)
On demande BON M ETAYER,
dom aine de la M artre, Champe ix
_____________
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On dem. FERM IER avec
tel p. dom. env. 10 hect.
s'agr. Rég Clerm ont,
Ecr. Ag. Havas.
chep­
pouv.
référ.
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Bon ouvrier agrlools cherohe
à moitié domaine 35 i 50 hect.
S’ adr. a u Journal.
i9060;
A aff. 11 nov. 1938 propriété
t ha. à S t-D ie r S’adr. Mme
DELAVET. 28, rue des Jaco­
bins. Clerm ont-Fd.
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A AFF. 25 m ars 1939, IMPORTANT ET BEAU DOMAINE
rég io n Besse, peut nourrir
40 vaches mères. Im portant
cheptel attaché au dom., eau,
élect., accès très fa cile . —
Ecrire au Journal.
.(9118)
DEM. p. 11 nov., ferm ier ou
métayer a v. grands enfants,
dom. sit. p r. Clernaont, Cte d«
B rive , Julhat-V eyre (P.-de-D.
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A V. prox. Clermont, mais.
6 p. ds petite propriété, chasee
pèche, s ’adr. Journal. (9154)
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8 % M o r t..........
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— 3 % 1892 267 . . 267
4 % 1917......... 71 50 7*1 80
P.-0.6 % 1934-49 922 . . 937 . .
(8951) Capital social : 7.750.000 franc«
— 3 % 1899 240 . . 239
ticulières. Travaux à la ma­ tobre J. fille avec B.S. ou Bac.
4 % 1918......... 70 50 70 85
Est 3 % ancien. . 317 . . 320 . .
246
.
.
242
■- J , 1906
chine et au duplicateur. — S’adr. Ag. Havas.
5 % 1920 (M.V 97 05 97 30
Midi 3 % ancien.. 295 . . 295 . .
(8994)
Clermont-Fd,
fam.
cath.
pro­
Siège
social
:
125
.
.
126
—
3
%
1912
4 % 1925 JE . . 129 10 131 25
Mm« Dallet, professeur, 28, r.
— 6 % 1 9 3 6 .. 817 . . 815 . .
che facultés offre à étudiante
7 % 1927 461 . . 470
4 1 /2 % 32. A .. 78 85 79 05 CLERMONT-FERRAND
du Port. Téléph. 49-54.
Nord 3 % ancien. 371 . . 370 . .
p en sion à prix modéré et tout
605 . . 608
—
4%
1930
78
80
78
50
4
1
/2
%
32.
R.
.
Orléans 8 % si» . 323 . . 325 . .
U sin es Saint-R ém y
confort. S’adr. Ag. Havas.
SITUATION D’AVCNIB
Bente ♦ 1/2 % 37 130 10 132 20 — 4% 1931 627 . . 635
Ouest 3 % anc... 335 . . 340 . .
(9151)
—4% 1931-32 601 . . 606
obtenue par l’eighgnement
802
Etat 4 % 1912-14 316 . . 320 „
806
06. Très. 4 1/2 33
637
.
.
637
4
1
/2
%
1932
rapide et indivAiuel sténo­
MM. les Actionnaires son t
742
Etat 5 % 1 9 1 9 .. 339 . . 335 . .
PRETS, CONTENTIEUX
06. Tris. 4% 1934 740
Fonclèrei3%l879 626 . . 632
dactylo - comptabilité - fren- SAVIGNAC, r. Delille, 23, Riom
convoqués en assemblée g é n é ­
464
Als.-Lorrame 3 % . 203 . . 203 ^
P. T. T. 6 % 1928 464
— 3 % I883 204 . . 204'
ais • anglais.
permettant
388
rale ordinaire le sam edi 8 oc­
Sud France 8 % ? 190 . . 191 . .
P.T.T. 4 1 /2 % . . 388
(8749)
247
.
.
—
3
%
I885
252
807
815
'obtenir un emploi dans tou­
tobre, à 10 heures, au siège so ­
Santa Fé 4 1 / 2 %
• • ».
• • mê
P. T. T. 6 % 1934
268
50
—
3
%
I895
261
951
949
cial,
pour
délibérer
sur
lx>rdre
tes les branches du commer­ PRETS SUR HYPOTH. — CA- Fourrures, répj
Qamas-Hama priv. 162 . . 157 „
réparât. transfar8onsT.4 l/2 % 3 3
— 3 % 1903 245 . . 254
ce, de l’industrie et de la ban­ LAMY, 16. rue Blatin. (8922) mat. p. spécialiste, rix m od. du jour suivant :
Danube Save Adriat 127 50 135 ^
1004
1008
— 3 % 1909 125 . . 124
que. Inscription aux Etablis­
957
Mme Ytournel, 16, pl. Renoux 1° Rapport du Conseil d’ad­
~
6 % 3 4 954
î y,% ma 255 . . 264
sements Tigier, 18, rue An- R echerche prêt 70.000 1" hypo­
— 4 l/2 % 3 4 994 50 976
(8998) ministration et des commissai­
v a l e u r s cotdea nu oouliaM
— 4 % 1913 438 . . 440
dré-Moinier. Réouverture 1®» thèque sur immeubles et lo­ 200 m3 pierre à bâtir à vendre. res aux comptes sur l’exercice
— 4% 35 942 . . 942
Emprunt 5 % 1929 770 . . 763
Malacca ordinaire. 181
IM 56
septembre. __________ (8-471) yers importants, rembours. 10 Conditions avantageuses. — clos le 30 Juin 1938 ;
Cois, sut 4 1 /2 % 753 . . >60
Foncièr. 4 1 / 2 30 610 . . 604
Est asiatique danois l6905 , # 695« • •
Af. Ef. 5 1 /2 % 33 795 . . 785
2° Examen et approbation
Emprunt 5 % 1933 678 . . 697
Padang.............
LEÇONS p articu lières sténo, ans, placement t. repos. Ecr S’adresser Vaohias, à Fafour- du bilan et des comptes, dé­
570
573 «PB
814 . . 839
Af.Oc.
5
1/2%
33
870
Hutchinson.. . .
Emp. 5 1 / 2 % 34 862 .
dact., com p tab ilité. Tous tra­ Ag. Havas qui transmettra. noux par Vollore-Montagne charge aux membres du Con­
1010 , , 1015 a#
lndoc.5 1 /2 % 33 842 . . 805
(9011) (P.-de-D.).
(9042) seil d ’administration de leur
Bons è lots 1887.
71 50 71
Shell................
775 , . 785
vaux. « DACTYLA •, 2. rue
Indochine 5 % 34 805 . . 815
67
50
67
50
—
1888.
Tubize
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113 , # 114 A
du Port. Clermc.it rU. (8617) Dam e dem . p. extension corn, GAGNEZ 300 à 500 fr. par s e ­ gestion annuelle ;
805
Mitfag.5 1/2% 33
Union M. Katanga. 4315
Panama 1 lots . . . 114 . . 115
4384
688
Maroc 5 % 1934 675
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COUPE-COUTURE. E n seign e­ associé ou com m an d, pte som­ m aine en cultivant des cham
Mines d'AIbi......... 505 #, 513
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Créd. Nat 6% 19 464 . . 464
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IN D U ST RIELL ES (A ctione)
(8997) ds les caves, remises, hangars de leur rémunération ;
très m odérés. Aux E tablisse­
6 % 20 451 . . 458
Vieille-Montagne... 2065 , , 2055 •«
4° Réélection d’un adminis­
Suez c a p ita l......... 19555.. 2 0 3 1 0 ..
509 . . 509
m ents P igier, 18. rue Andréou jard. Aucune expér. né­ trateur
Tharsls...........
262 . , 276
6
°Â
2
2
sortant ;
Suez p a rts de fond ........... 16500..
M oinier. Clerm ont-Fd. (8666)
6% 23 483 . . 482
cessaire. Dem., détails gratuits
Tanganyika.. .
57 25
59 25
5720
.
.
—
1
/
5
p.
So
c.
ci»
5850
.
.
485
.
.
488
5°
Autorisation
à
donner
à
à L. Mourot, à Merfy (Marne
*°Â2i 495 . . 496
Cours de coupe couture, di­
6590 . . 6745 . . Chartered.. . .
237 56
R
oyal-D
utch
1
/
1
0
.
230
certains
administrateurs
en
6%
24
(9095
plôme en fin d’études, 38 bis,
P en arroy a ........... 256 . . 269 . . Crown-Mines .
3036 , , 3059 • #
conformité de l’article 40 de la
- ' 6%34 892 . . 880
rue des Gras, 38 bis.
(8963) M. vf, rentier, âgé, demande M areyeurs, P oisson n iers, Ma­ loi du 24 juillet 1867.
B oléo...................
49 . .
50 . . üe Beers ord......... 1510
1540 •«
5 % 3 5 880 . . 880
G afsa................... 650 . . 665 . . Eest Rand...
477 . # 480 • «
à connaître Dame Vve sans g a s in s de vente, avant de pro Pour faire partie de cette as­
Algérie 5 % 1934 693 . . 695
« COURS JAPY »
céder
à
vos
approvisionne­
S
aint-G
o
bain........
1836
.
.
,
.
I860
.
.
Goldflelds..............
652
934
.
.
657 • m
932
enfant, 50 à 60 ans, p. faire
Tunisie 5 % 1934
semblée les actionnaires doi­
14, Place D elille
B ergougnan ......... 475 . . 475 . . Hotchkiss et C".
607 , , 592 • •
85 25
le ménage, de préfèr. Vve de ments en huitres portugaises vent être propriétaires de dix
Italien 3 1 / 2 %
T h om son.............. 123 . . 127 50 Huenchaca. . . .
46 , , 46 56
sténo-dactylographe, compta guerre ou de fonctionnaire. — fines de claires et Marennes, actions au moins libérées des
Portugais 3 % e rt 2699 . . 2630
A lgérienne d'É clair. 191 . . 195 . . Jagersiontein...
195 , , 201 • •
bilité, correspondance com­ Ecrire Ag. Havas.
Japon 5 % 1907.
(8886; demandez prix et conditions versements exigible?. Chaque
565
.
.
Mozambique.
.
.
E
nergie
é
le
c
t
S
.-0
.
570
.
.
41
50 43 mé
merciale. Enseignement indi­
aux E tablissem ents Ostréico­
— 4 % 1910.
nominative à vote dou­
Force m o t V ien ne. 261 . . 262 . . Rand-Mines........... 1655 , , 1671 • ê
viduel complet dans un milieu Vve 53 ans, bonne éducation, les M axim e DAVY, Bource- action
Young 5 1/2 % .. 313 . . 323
ble est comptée pour deux ac­
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#, a*
18 50
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(9022) tions.
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Egypt* u n m i % . 3520 . . 3533
Toutefois,
les
propriétaires
A
V.
P
lan
ts
peu
p
liers
3
ans,
5 25
officiels et concours adminis­ çant ou autre.
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S’adr.
Hydro de la C èrt.
56 # ,
58 * .
un emploi stable, rémunéra
Turquie 7 1 /2 33. 330 . . 335
P
y rén éenne d 'én er. 941 . . 992 . .
peuvent se réunir pour former
1103 . «
172 . . 175
teur. Inscriptions dès à pré­ Veuf 60 ans, commerçant dé­ Fournet, Lanaud par Cour- ce
1170 . . 1215 . . Michelin 1/6 part. 1100
Cf*
G
"
d'E
lectricité.
nombre et se faire repré­
Pernod.................. 970 # , 975
(9066)
308 . . 308
580
.
.
590
.
.
sent.
(8816) sire con n aître, vue mariage, pière.
E lectricité de P a ris
senter par l’un d’eux
Mexican E ag le....
38 25 41 25
Roumain 4 % 22 147 . . 146
C hâtillon- C o m m ent 1297 . . 1296 . .
In stitution Sain te • Procule, dam e environ 50 ans. — Ecr.
Us doivent, en outre, effec­
152 . , 156
900 . . 920
7
%
29
F o u rc h a m b a u lt. . . 453 . . 463 . . Roan Antelope,..
Mortpel,
2,
place
Comédie,
G annat (Allier), tél. 112. Beau
tuer le dépôt de leurs titres au
Trepca
M
ines...
88
24
94
44 . .
2342
Pologna 7 % (927
41 . .
Forges A la is ........
(9078)
parc, bel imm., chauf. cent., Montpellier.
porteur au siège social, avant
Brakpan M ines... 523 # # 540
34 50
Mexique 4 % 1910
34
M arine H o m éco u rl 300 . . 313 . .
eau cour., ch. et froide, salle D em oiselle, 38 ans, désir, cor­
le mercredi 5 octobre au plus
Canadian
Eagla.
.
73
25
77
25
Suisse 3 % 1890. 8360 . . 8600
C re u so t
» . . 1004 . . 1000 ..
tard.
*
de bains, éducation soignée, respondre vue m ariage M. ay.
28 75 29 25
J e u m o n t ............. 280 . . 290 . . London Tin............
T^s reçus de dépôt délivrés
application lmméd. des nouv. situation et bonne éducation
Spring Mines.
259 . . 261 50
T réflleries du Havre 680 . . 705 . .
par uo banquier ou un offi­
programmes conduisant aux Ecrire au Journal.
BANQUES
(9136)
F ives-L ille............ 440 . . 457 . .
diffts examens : certificats
cier ministériel seront accep­
Banque de France. 6200
6, P U C E DE U VICTOIRE, CLERMONT-FERRAND
6350
C harbonnag . Tonkin 1855 . . 1930 . . BO URSE DE LYON
tés comme dépôts réguliers.
d’études, brevet élémentaire. M., éduc., instr., sent, élevés,
Banque d’Algérie.. 5000
5100
H ouillères H te-Loire 165 . . 170 . .
Sténo, dactylo, comptabilité, bonne sit., ép ou serait Vve s.
A 0 T I0 N 8
905 . . 910 . .
Union Perisienne.. 409
412
O s tr i c o u r t .
latin, anglais, enseign. musi­ enf. 50*. même cond., pas sér.
Comp" Algérienne. 904
902
392
.
.
375
.
.
M
a
r
ie
s
..
.
.
L’A
v
r
v
ir
du
P
la
te
a
u
C
en
tra
l
est
cal Raymond Thiberge (pia­ s’abstenir. Ecrire Ag. Havas.
Crédit Lyonnais... 1465
1488
P o ntg ib aud........... 1076 . . 1120 . . H ydro-E lectr. d'A uv. . . . .
no, chant, solfège), couture,
lu d a n s to u te s le s com m u n es de
Comptoir N. d’Esc ■ 720
(9177)
728
M o k ta e l-H a d id . . . 4560 . . 4595 . . Péchiney ............. 1420 . . 1460 M
la région. Il pénètre d a n s tous
coupe, cuis., repas. P rix mo
Crédit Foncier... 2400
2420
2225 . . 2330 .. Gaz de L y o n ......... • • • • •
R io-T into.. .
les m ilieu x , au ssi bien A la v ille VILLE DE CLERMONT-FERRAND
déres. La maison reçoit des
C’est la publicité
Société Générale.. 697
701
311 . . 324 . . A u to m o to .............
S osnow ice .
(ju'â la cam p agn e, au château
pensionnaires, des externes et
Banque de Paris.. 1078
1109
S u cre ries d 'E gy pte. 808 . . 825 . . T ram s de L y o n . . .
270
qui fait vendre !
com m e A la ferm e, chez le patron
des demi-pensionnaires. (9135)
Bq. nat d’Egypte.. 5880
5905
C entrai M in in g . . 4090 . . 4160 . . M ines la B ouble, C. 270 .. 271 T,
om m e cher l’ou vrier, le ren tier
Aidez
vos
représentants
8.
N.
C.
I
.............
—
de
B
la
n
z
y
....
568
570
ALLIER
71 75
72 75
571 . . 580 . .
W ag o n s-L its_ _ _
Apprenez Pédicure, M anucure, PERDU 4 septembre à Royat
e t le com m erçan t : 11 com prend
Crédit Commercial. 420
433
E nergie Industrielle 116 . . 117 . . — M ontra m b e rt. 475 . . 477 . .
M assage facial, prof. dipl. — sau toir or avec face à m ain dans leurs dém arches en parm i ses nom breux lecteu rs tou«
BILLY. — Marché du 19 septem bre. — Banque Indochine. 3440
3500
1290
.
.
1305
.
.
taisant
de
la
publicité
dans
Signaux
électriques
Noallier, 12, av. Etats-Unis.
é ca ille. Rapporter Hôtel des
— de la L o ir e ...
Quoique assez peu approvisionné, ce Crédit Fonc. Egypt. 4370 4410
eux au e les an n o n ceu rs ch erch en t
(NOURRITURE)
079 . . 605 . . — la P éro n n ière. 1370 . .
M icheville........
(8950) Sources. Récompense. (9018) les journaux !
marché a été très animé. En raison de Cie Fer Fr.-Canad.. 3825 3780
a attein d r e par leu r pu blicité.
155 50
1090 . . 1105 . . — de R ochebulle.
O enain & A nzin.
la
fièvre
aphteuse
qui
est
en
recrudes­
1325 . .
LE MAIRE DE LA VILLE DE CLER­ cence, on note très peu d’apports de Banque du Mexique 154
154
C im ents f r a n ç a is .. 1092 . . 1140 . . — R oche-la-M oL 155 50
659
MONT-FERRAND, chevalier de la Lé­ beurre. Légère baisse sur les poulets, Banque Ottomane. 645
C anadian P a c ific .. 214 . . 221 50 P ap eteries N avarre.
Land Bank............
gion d ’Honneur,
161 . . 160 . . A u t B e r lie t........
M o n te catin l.. .
lapins
et
dindonneaux.
Le
gibier
a
été
B a s k e t « B a i l
MARCHE AUX BESTIAUX
Rente lonc............ 312
321
Gaz du Nord et E st. 505 . . 510 . . F irm iny................
assez rare.
DONNE AVIS,
Banque Transatlant 28
28
L orraine d'E lectrlc. 175 . . 180 . . L oire-C entre (A c t). . . . • •
DE LYON-MOUCHE
On a coté :
Foncière Lyonnaise. 610
610
qu’il sera procédé 1-e Jeudi 29 septem bre,
H avraise d 'én e rg ie . 700 . . 715 . . C as n o A i-E tienne.
CHAMPIONNAT DU CENTRE
............ 625 Z
à
11
heures,
à
un
appel
d
’offres
pour
la
Beurre au gros pain 17 à 18 fr. le kilo;
Union d É lec tricité. 357 . . 365 ..
PROGRAMMES DU MERCREDI
607 . .
FOURNITURE
du
VIN,
de
la
VIANDE
beurre
au
détail,
revendeurs
11
fr.
la
K
uhlm ann............ 590 .
21 SEPTEMBRE
Lyon, 20 septembre.
O BLIG A TIO N S
OBLIGATIONS
et de l ’EPICERIE nécessaires aux trois livre ; œufs en gros 7 fr. la douzaine •
S u crerie s S a y . . . . 565 . . 574 . .
SAISON 1938-39
De Radl o- Magaz i ne
Ville de Parle
BŒUFS. — Amenés, 2192 ; invendus, Internats Municipaux annexés à l’Ecole œufs au détail, revendeurs 8 fr. la dou:
Péchiney.............. 1449 . . 1460 . .
Le président Informe les clubs inté­ RADI O- PARIS. — 7 h . 50 : D isque». — 100.
M
ichelin
4
1 /2 % 640 . . 641 ^
A.-Gasquet, à l’E. P . S. de Jeunes Filles zaine ; fromages de vaches du pays 3 % 1871 .
360 . . 360 50 D unlop................. 443 . . 440 . .
ressés qu’ils seront classés en 4 catégo­ 8 h . 30 : D isques. — 8 h. 29 : In form ation s.
Poids vif, au kilo 3 à 6. Vente diffi- et au Lycée Jeanne-d’Arc, pendant le 2.50 à 3.25 l’un, suivant qualité ; fro­ 4 % 1875 .......... 415
. . 415 . . R hône P o u le n c .... 701 . . 715 . . H yd.A uv. 4 1 /2 31 • • • • • . . . •#
ries : honneur, l r®, 2« et 3* séries.
40 : D isques. — 9 h . : In form ation s. file.
mages à la crème 2 fr. en plus par 4 % 1876 ......... 412 . . 415 . . S. K. F ............... 2815 . . 2875 . . C onchon-O uin. 5 % 725 . . . . . •»
Les licences 1938-39 seront exigées — 98 h.h. 50
Vente en cheville. — Animaux en­ 4® trimestre 1938.
: L ’ém issio n d u fo y er. — 10 h. 5 :
verre ; fromages de chèvres 1.25 à 1.75 2 1 / 2 % 1 8 9 2 .. 181 . . 185 . . NesUé ................. 101 .. 102 . .
avant chaque match. Les demandes de —
Pour
tous
renseignements,
s’adresser
hroniq ue d e ia m ode. — 10 h . 15 : D isques. tiers ou moitiés l r®qualité, 11.50, 12.50/
PAYS
l’un, suivant grosseur ; petits poulets 2 1 /2 % 94-96. 179 . . 181 ..
licence, 4 francs, devront être faites au C
à
la
Mairie,
Instruction
publique.
TRANSP ORTS (Actions)
— 10 h. 25 : D isques. — 11 h . : D isques. — 2® qualité, 9, 11 • 3® qualité 6.50, 8.50.
5.50 à 6 fr. ; lapins domestiques 2.50 à 2 % 1898 ......... 220 . . 225 . .
A n g l e te r r e ... 178 32 178 32
président.
Cuisses,
8.50
a
15.50
;
devants,
4.50
20 : D isques. — 11 h . 35 : D isques. —
2.75 ; canards bourbonnais 3.75 à 4.25 2 % 1899 Métro. 214 . . 217 . . Est........................ 548
37 15 36 95
544 . . 0)1 É ta ts - U n is ...
Les engagements, 10 fr. par équioe, 11 hh.. 20
: O rchestre L ucien G oldy. — 13 h. : à 8.
canards de barbarie 4.25 à 4.75 ; oies 2 1 / 2 % 1 9 0 4 .. 219 50 222 . . P.-L.-M.................. 759
760 . . L û t | A lle m a g n e ... ............ • • •• •»
sont reçus dès maintenant par M. Char- 12
In fo rm a tion s. — 13 h . 30 : S u ite d e con ­
2
3
/
4
%
1
9
1
0
..
194 . . 188 . . M idi.................... 554
3.75 à 4.25 ; dindonneaux 4.25 à 4.75, le
626 75 622 12
1 Belgique
VEAUX. — Amenés 396 ; invendus, 0.
555 . .
lin, président du C.C.Ü.B., 59, rue Mont- cert. — 14 h . 5 : Le» n o u v ea u tés m u sic a ­
tout à la livre ; pintades 25 à 35 fr. la 3 % 1 9 1 0 .......... 175 . . 171 .. N ord.................... 724
1 D a n e m a rk . . . • • . f «
729 . .
Poirls vif, au kilo 6 à. 8.50. Vente
îosier. Clermont-Fd ; ils seront oios ir­ les. — 14 h. 15 : D isques. — 14 h. *5 : D is­
8 % 1 9 1 2 ......... 230 . . 228 50 O r lé a n s ............... 690
paire,
soit
7
à
7.50
la
livre
;
pigeons
de
I
E
sp
agne........
bonne.
681
.
.
• • •.
révocablement le l*r octobre, à minuit. ques. — 15 h . : M élodies. — 18 h . : M élodies.
H o l l a n d e . . . , 1999 . . 1997 56
colombier 10 à 12 fr. la paire, suivant 5 % 1928 ......... 688 . . 680 .. O uest.................. 586
590 . . <
Vente en cheville. — Animaux entiers
Le> clubs s’engageant devront avoir — 16 h. 15 : D isques. — 17 h . : M usique va­
qualité ; vieilles poules et coqs à bouil­ 4 1 / 2 % 1 9 2 9 .. 624 . . 620 . . M é t r o ................. 832
825 . . I < < Ita lie ............ 195 45 194 41
Paris, 20 septem bre.
acquitté le montant des cotisations fé­ riée. — 18 h. : V iolon celle. — 18 h. 15 : 11.50 à 13.75.
j N orvège........ • • • • • . . .
lir 9 fr. 1e kilo, soit 35 à 45 fr. la paire; 4%1930mars-av. 700 . . 709 . . Rosario o rd ......... 97
98 50
dérales et régionales, soit 66 francs.
MOUTONS.
—
Amenés,
231
;
inven­
4
%
1930
Lots..
D isques. — 18h. 30 : V iolon celle. — 19 h . :
596 . . 590 . . Santa F é ............ 403
Les dispositions favorables qui ont lièvres 5 à 5.50 la livre, soit 30 à 35 fr.
409 . . 0 j T ch écoslovaq. • • . • • • m m . 0
Pour permettre aux clubs d ’établir Les
dus, 0.
4
%
1931
Lots..
575
.
.
574
.
.
p
e
tits
c
h
a
n
teu
rs
d
e
H
och
statt.
—
19
h.
1
R o u m a n ie ... .
450 . .
B uénos-A Ires . . . . 440
prévalu aujourd’hui sur l’ensemble la pièce ; iapins de garenne, 10 à 12 fr.
leur calendrier, voici, sauf modifica­ 15 : Com édie. — 19 h. 30 : R ad lo-d lalogu e. —
Poids vif, au kilo 4 à 7. Vente calme. des
j S u è d e ........... 920 . . 919 25
388 ..
la pièce ; perdreaux gris 8 fr. la pièce ; 4 % 1931 Fortif. 574 . . 570 . . Chem . de fe r M aroc 388
m
archés
financiers
européens
tions, les dates retenues pour les cham­ 19 h. 50 : H eure, — 20 h . : P o litiq u e. —
Vente en cheville. — Animaux en­
s e .......... 837 37 837 62
p e r d r e a u x r o u g e s 10 f r . l a p i è c e ; c a i l ­ 4 1 / 2 % 1 9 3 2 .. 625 . . 622 . . T anger à F e z . . . .
pionnats :
ÜJ F SAuuistric
ont confirm é les premières im pres­ le
5 1 / 2 % 1 9 3 4 .. 784 . . 785 . . T u n isien s............. 380
20 h. 15 : Le q u art d ’h eu re d es Jeunes. — tiers, 7.50 à 16.
he. . . .
381 *.!
s 2.50 à 3 f r . l a p i è c e ; f a i s a n s c o q
1938 : 23 octobre, 6 novembre, 27 no­ 20 h. 30: La C horale F r a n c is Cépron. — 21h.:
sions
qu’on
avait
éprouvées
la
veüle
'
1934
Fortif
670 . . 665 . . T.C.R.P............... 934
1 P o lo g n e........
932 . .
20 à 22 f r . l a p i è c e ; f a i s a n s p o u l e s 1
PORCS. — Amenés, 889 ; invendus, 0.
vembre, 11 décembre.
1935
764
.
.
764 . .
\ A r g e n tin e .... .......... • • • • •
Soirée d e variétés. — 22 h . 30 : D isques. —
915 . .
I.T.A................ 920
Poids vif, au kilo 9 à 9.70. Vente en présence de l’accord franco-bri­ à 18 f r . l a p iè c e .
19R9 : 8 Janvier, 22 Janvier, 5 février, 22 h . 15 : H eure. In form ation s.
calme.
tannique. Elles traduisent, à n ’en pas
19 février, 26 février, 12 mars, 26 mars,
Vente en cheville. — Animaux en­ douter, un profond soulagement et
PARIS- P. T. T. — 7 h . 45 : D isques. — 8 h.:
2 avril.
tiers, 14.50 à 15.25.
l’on peut à présent m esurer d’a u ta n t
C hronique. — 8 h. QO : D isques. — 8 h. 30 :
décembre. 125, acheteur ; 3 de Janvier,
---------J o u r n a l. — 8 h. 37 : D isques. — 8 h . 45 :
m ieux l’étendue des craintes soule­
125, acheteur ; 3 de février, 125, ache­
D isques. —
9h. : J o u r n a l. — 9 h. 7 : D is­
teur.
d u m a t d i 20 s e p t e m b r e
vées par le risque d ’un conflit dans
ques. — i l
h.45 : C oncert. — 12 h. 15 : Mé­
lequel l’Europe tout entière eût été
ORGES. — Calme. Disponible, cote
Londres, 20 septembre.
lod ies. — 12 h. 30 : S u ite d e concert. —
O U rm o n
e. a* o.
officielle, 140. Courant, incoté ; pro­
entraînée
à
la
vivacité
et
à
l’am
­
12 h. 45 : J ou rn al. — 13 h . : S u ite de con­
A LA BOULE DE BRASSAGET
Caoutchouc, Para fine Haid, 7 sh. 3/4 chain, 138, acheteur ; novembre, In­
------- ------- pleur des réactions par lesquelles au­
— 13 h. 45 : T ourism e. — 14 h. 30 :
coté ; 3 d’octobre, 138, acheteur ; 3 de
La Boule de Brassaget invite les so­ cert.
Paris, 20 septembre.
FONLUPT S ylvain , marchand, de bes­ jourd’hui les m archés exprim ent le
726 3
1 heure.
La
R
adio
a
u
x
a
v
e
u
g
le
s.
—
16
h.
:
M
lle
640
3
novembre, 138, acheteur ; 3 de décem­
ciétés boulistes du Puy-de-Dôme et de B ourgeon. — 16 h . 15 : I « g r a n d s écriv a in s tiaux à Lezoux, er. aura un grand choix
725 4
639
9
sentim
ent
d
’en
avoir
été
quittes
^
!*
■
»
••••••
Sucres.
—
Tendance
soutenue.
Cou­
bre, 140, vendeur ; 3 de janvier, 140,
la Haute-Loire à participer au concours
dans ses écuries, le jeudi 22 courant pour la peur. Comme, d’autre part,
724 7
640
4
v
u
s
d
a
n
s
leu
r
corresp
on
d
an
ce.
—
16
h
.
30
:
W
m
m
m
»>••••••
rant,
307.50,
payé
;
prochain,
299.50,
vendeur
; 3 de février, 138, 139.
qu’elle organise dimanche prochain 25 P ia n o . — 16 h . 45 : D isques. — 17 h . : Mé­ et jours suivants.
724 5
18 .............
640 4
payé ; 3 d’octobre, 300, 300.50 ; 3 de no­
la situation technique de ces m ar­
courant et ouvert à 24 quadrettes.
FARINES,
SEIGLES. HUILE DE COL­
— 17 h. 15 : I llu str a tio n au p ia n o d e
vembre, 300.50, 301, payé ; 3 de jan­
chés est excellente e t qu’il existe
Les engagements (30 fr.) sont reçus lodies.
9 2
6 4
’a c tu a lité m u sic a le . — 17 h . 30 : En v o y a ­
vier, 302.50, 303, payé ; 3 de février. 304, ZA. — Incotés.
chez M. Paul Chalagirot, trésorier à lge.
7
—
m êm e —* c’est en to u t cas in fin i­
Il 9
•
•* •••••••
7 1
HUILE DE LIN. — Courant, 395, ven­
— 18 h. 30 : M élodies. — 18 h. 45 : V io­
payé. Cote officielle, 307, 308.
Brassaget jusqu’à concurrence du nom­ lo n celle.
20 3
m en t probable — des vendeurs à dé­
13 ..............
13 0
— 19 h. : J o u rn a l. — 20 h. : O m on
deur ; prochain, 390, vendeur ; novem­
bre indiqué ci-dessus.
Le
Havre,
20
septembre.
18 5
10 8
couvert, cet éta t d ’esprit se traduit
— 20 h. 15 D isques. — 20 h.
bre-décembre, 389, vendeur ; 4 de no­
Il sera attribué aux gagnants de la bel : Inconnu.
Cotons. — Calme. Janvier, 436.50 ; vembre, 389, vendeur ; 4 de Janvier,
R elais. — 22 h . 30 : JournaL — 23 h.:
par des fluctuations souvent im por­
l r®partie 30 fr. ; à ceux de la 2« 40 fr. ; 30
8
0
M
inim
a
56
février, 439.50 ; mars, 443 ; avril, 445 ; 392, vendeur.
Nous rappelons à nos abonnés tantes. C’est ainsi que les R entes et
à ceux de la 36 55 fr. ; à ceux de la 4» D isques.
22 5
M a x im a .........
13 3
mai, 450 ; juin, 451.50 ; juillet, 456 ;
75 fr. et aux gagnants du champion­ POSTE PARI SI EN. — 18 h . : In fo rm a ­ que tonte demande de changement la grande m ajorité des valeurs fra n ­
août,
458 ; septembre, 425.50 ; octobre,
tio n s. — 18 h . 20 : S y m p h o n ie. — 18 h. 55 :
çaises progressent assez sensible­
nat 100 fr., soit au cumul 300 fr.
1 ttëur6.*.)Qÿ..«-9
96
100
426 ; novembre, 429 ; décembre, 433.50. lm p, de l’Avenir. Trav. en tou« genre«
m in u te s à.. — 19 h . 12 : D an ses v illa ­ d’adresse doit être accompagnée de
7 _
m
ent.
Toutefois,
ce
sont
les
titres
Les engagements pour la partie de gTerois
94
96
e » ..— 19 h . 45 : O rchestre. — 20 h . :
Cafés. — Soutenue. Ventes 3.250 sacs.
consolation, réservée eux perdants de P hoyissio
61
J3
« ••••••
87
o m ie d e la Journée. — 20 h. 10 : h dernière bande et de la somme internationaux qui sont les m ieux
Janvier, 234 ; février, 235 ; mars 232.75;
la l re partie, seront de 10 fr. et il sera Avec Mn ireille
Etude de M® LAMY, notaire
74
*
••••*•••
84
partagés, le Suez gagnant plus de
e t Jean N o h a ln . — 20 h. 15 :
avril,
232.75 ; mai, 235 ; juin. 236.50 ;
attribué 10 fr. aux gagnants de la l r® Ert c o rr e c tio n n elle . — 20 h. 45 : M ireille. — de an franc.
à Ardes-sur-Couze
700
fr.,
la
Royal
D
utch
160,
le
Rio
uillet,
238.50
;
août,
incoté
;
septembre,
e ou neige d e
partie ; 20 fr. à ceux de la 2e ; 40 fr. à 21 h . 5 : C hansons. — 21 h. 15 : Les p a y s e t
:28
;
octobre,
226.50
;
novembre,
226.50;
près
de
100
fr.,
etc...
Sur
le
marché
h
.
à
13
b
.
.
.
,
,
.
,
.
,
ceux de la 3* ; 70 fr. à ceux de la 4«, le s v ille s. — 21 h. 35 : M élodies. — 22 h. :
...
décembre, 230.25.
des changes, les sentim ents dont
soit au cumul 140 fr.
In fo rm a tion s. — 22 h . 5 : V iolon celle. — In form ation s. — 1-2 h. : D anse. — 12 h. 5 :
nous
venons
de
décrire
les
m
anifes­
Le tirage au sort aura lieu à 8 h. 30 22 h. 30 : S h éh érazad e. — 23 h . : Inform a­ E x tr a its d e film s. — 12 h. 20 : Inform a­
Sud
o .- s - o .
le D im anche 2 Octobre 1938, à 10 heure«,
(ü 13 h . ) . . . . , .
m o d éré
fa ib le
et le concours commencera à 9 heures. tio n s.
en l’étyde de M® Lamy, notaire, d’unè
tion s. — 12 h. 30 : M usique m ilita ir e . — tations provoquent un renversem ent
Bourse de Commerce de Paris
Un concours de pointage fonctionnera
12 h. 45 : Q uart d 'h eu re d e s a u d iteu rs. — de la tendance observée jusqu’ici : le
M A I Q O N
sise à a r d e s -s u r toute la journée. Il sera attribué un LYON-LA DOUA. — 11 h . 45 : C om m uni­ 13 h. 15 : B al cham p être. — 13 h . 30 : Sé­ prix de l’or à Londres est ram ené
I T in i9 V /n
COUZE, Grand’Rue,
Cours de clôture du 20 septembre
— 12 lectio
h . 45n :sur la Vie p arisien n e. — 13 h. 45 :
complet, valeur 400 fr., au premier ; qués. — 12 h. 15 : S trasbourg.
au-dessous
de
143
shillings.
La
pa­
dépendant
des
successions
GAUVINAVOINES. — Lourde. Disponible, cote
50 fr. en espèces et 1 boite de gâteaux N ice. — 13 h. 30 : D isques. — 14 h . : T h éâ­ Q uart d ’h eu re d e s au d ite u r s. — 13 h. 55 : rité livre-dollar s’améliore jusqu’à
TEM PS PROBABLE
officielle, 108. Courant, 106.25, 106.50, MARGOT.
de 5 kilos au 2« ; une demi-tête de tre. — 14 h. 45 : M on tp ellier. — 15 h . 45 , In form ation s. — M h . : P resse. — 18 h. 5 :
payé ; prochain, 106.50, payé ; novem­ MISE A PRIX
7 . 0 0 0 francs.
veau et 1 boite de savonnettes au 3» ; D isques. — 17 h . : G renoble. — 17 h. 45 : In form ation s. — 18 h. 15 : C hants. — 18 h. dépasser 4,82 et, sur notre place, la
pour 1e mercredi 21 septembre
bre, 106.25. payé ; 3 d’octobre, 106.25,
I pipe au 4« ; un saucisson au 5* et L ille. — 18 h. 30 : E m ission écon om iq u e et 40 : Grand orchestre. — 18 h. 55 : In form a­ devise américaine abandonne le
Joulssai.ee de suite
Temps pluvieux, température en 106.50
; 3 de novembre, 106.75, 106.50,
une bouteille de mousseux au 6* et 7«. so cia le. — 19 h. 30 : J o u rn a l. — 20 h. : R e­ tion s. — 19 h, 15 : Concert varié. — 19 h. cours de 37,15 pour celui de 36,95. Par baisse.
Pour tous renseignements, s’adresser
payé ; 3 de décembre, 106.75, payé ; 3 à M® LAMY, notaire, dépositaire du
II sera perçu 1 franc par série de 4 vue d e la presse. — 20 h. 6 : V ariétés. — 45 : O rchestro m u sette. — 20 h. : In form a­ rapport au franc, en revanche, la
20 h. 13 : G astronom ie. — 20 h. 26 : D isques. tion s. — 21 h. 30 ; Orchestre. — 22 h. : In­
de
Janvier,
107,
payé
;
3
de
février,
boules.
cahier des charges.
livre est stationnaire. Notre devise se
La société se réserve le droit de mo­ — 20 h . 30 : T héâtre.
form ations. — 22 h . 15 : D em i-h eu re d e s ra fferm it donc n ettem en t et à ce
Com m ent voulez-vous que le pu­ 107.50, payé.
difier les prix.
RADIO-TOÜLOUSE. — 8 h. : O rchestre d e au d iteu rs. — 22 h. 45 : R e fr a in s d e film s. —
MAIS.
—
Calme.
Courant,
incoté
;
pro.
IMPRIMERIE MODERNE
En cas de mauvais temps, le con­ sa lo n . — 8 h . 5 : La m in u te d e bébé. — 23 h. : O rchestre sym p h on iq u e. — 23 h . 15 : propos, on doit souligner l’heureuse blic devine ce que vous vendez si chain, 125, acheteur ; novembre, 125,
13, rue du Port
cours sera renvoyé à une date ulté­ 8 h. 20 : O pérettes. — 8 h 30 : In form ation s. Le C aveau. — 23 n 30 : E m ission co lo n ia ­ impression causée par la courageuse vous ne le lui dites pas ? Les jour­ acheteur ; 3 d’octobre, 125, acheteur ;
déclaration de M. Marchandeau.
rieure.
— 8 h . 45 : R efrain s m u sette. — 8 h. 55 s le. — 23 h. 55 : In form ation s.
Gérant : H. SAINRAPT.
naux le diront pour vous.
3 de novembre, 125, acheteur ; 3 de
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BULLETIN METEOROLOGIQUE DEPECHES COMMERCIALES
VACHES ET GÉNISSES
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K
CHANGEMENTS D’ADRESSE
Ij
K
VENTE PAR ADJUDICATION
FEUILLETON de L ’A V E N I.. (27)
INVISIBLE
BEAUTÉ
par Marcelle DA VET
XIV
’x de
J)es larm es vinrent aux
Brémont.
jâb ' pourquoi est-ce toi qu’il a
choisie, a'écria-t-elle, pourquoi n ’estcfc pas Marie-Aimée ? Elle !'en suie
sûre, ne déserterait pas son rôle.
— Jam ais de la vie, affirm a la
cadette avec force.
— Eh bien 1 remplace-moi auprès
de Gabriel, c’est une chose si simple.
Nous avons la même voix, le même
accent, et pour ce qui est de nos
'. isages dissemblables, du moment
q u ’il ne les voit pas, il n y a au­
cun risque à courir.
— Comment, balbutia M ane - Ai­
mée interdite, tu voudrais que je
me substitue à toi f
— Mon Dieu oui. M aman, n est-ce
p as que c ’est une chose possible ?
— Ce serait un mensonge odieux.
— Un mensonge charitable au
contraire. Vous l’avez dit vous-même
tout à l’heure ; à m a place, ma
sœ ur fut devenue une infirm ière p ar­
faite ; elle jouera donc son rôle ad­
m irablem ent et tout le monde y trou­
v e ra son compte.
Marie-Renée vint vers sa mère, et
de cette voix câline qui la rendait
irrésistible, elle dit, l’entourant de
ees bras.
— Maman, soyez gentille. Compre­
nez que votre Marie-Renée est trop
petite |*>ur les trop grandes choses ;
il ne faut lui dem ander que les
banalités de la vie. M aman, a u tre­
fois vous vouliez mon bonheur...
— Mais je le veux encore, mon
enfant chérie, répondit Thérèse, à
moitié vaincue.
— Alors, permettez que je repren­
ne m a liberté, et, pour commencer,
laissez-moi accepter l’invitation de
Paulette.
— Tu e s folle I que d ira Gabriel ?
— Mais que voulez-vous qu’il dise ?
Puisqu’on lui annoncera que .uarieAimée fait un voyage et qu’il me
croira toujours auprès de lui ?
— J ’ai peur que noms f »ssions
ainsi une bien mauvaise action ; toi
qui es la sagesse de la famille qu’en
penses-tu Marie-Aimée ?
Celle-ci, silencieuse, regardait deri rière les rideaux de tulle des hau­
tes fenêtres, les grande arbres du
Luxembourg qu’une brusoue rafale
de vent tordait sans pitié. MarieAimée firnuis quelques m inutes, fai­
sait u n rêve merveilleux : le rêve de
vivre, seule, avec l’homme qu’elle
aimait. Et d ’être tout pour cet hom­
me : la m ain qui guide, les yeux
qui voient, l’âm e qui soutient, la
tendresse qui réconforte ; dé passer
à ses côtés, des journées, et puis
d'autres journées encore. Elle lirait
pour lui les beaux poèmes qu’il ai­
mait ; elle le conduirait dans les rues
bruyantes de Paris, ou le lnn~ des
paisibles jardins ; elle chanterait
ipour lui plaire de vieilles chansons
de France et les berceuses dont on
endort les tout petits. Le soir, à
cette heure crépusculaire où le j 'u r
hésite à mourir, dans la demie pé­
nombre de l ’atelier, elle s’agenouil­
lerait contre lui, appuierait sa tête
dans le creux de ses m ains et elle
écouterait, éperdue de bonheur, les
tendres mots qui, pour elle, m onte­
raien t de son cœ ur à ses lèvres. A
force d’illusion elle se croirait a : née.
Et la chaste idylle des fiancés dé­
roulerait sa tram e. Elle a u ra it tout
ce dont elle s ’était cru déport lié e à
jam ais. Ah I que Marie-Renée partit
au plus vite, et qu’elle ne revienne
que dans longtemps, très longtemps,
lorsque, elle, Marie-Aimée se serait
rassasiée d ’amour,.
Puy-
f
CAPITAUX
S
Adf.l
n
PENSIO NS DE FAMILLE
Cours
.
13
|1
Cours m oderne do Coupe pT
.VALEURS
O
COURS & LEÇONS
BOURSE DE PARIS da 20 Septembre 1938
— Eh bien I m a petite fille, reprit
Thérèse, veux-tu me dire ce que tu
penses de la folle combinaison de
ta sœ ur ?
La tentation était trop forte,. Le
bonheur passait. Un bonheur pré­
caire sa n s doute, bâti sur le men­
songe et l’illusion, m ais un bonheur
quand même, un bonheur si grand
qu’à seulement l ’évoquer, Marie-Ai­
mée en frém issait de tout l ’être.
Elle répondit, «ayant en quelques
m inutes f-esé le pour et te "^ ♦ re,
et accepté la redoutable aventure.
— Je pense, m am an, que nous de­
vons l’accepter. Puisque Gabriel
ignorera toujours l’absence de ma
sœur, il n ’en souffrira pas. MarieRenée puisera au dehors une nou­
velle provision de patience, et... de
charité pour son retour : et alors,
elle reprendra sa vraie place. Quant
à moi, il ne m’en coûte nullement
d’être pour mon cousin une ' infir­
mière, une compagne, une «œur de
charité, comme dit Marie-Renée.
Vous savez que je déteste le monde
et que je n ’ai- de joie que dans le
calme du foyer.
EU reg ard a Marie-Renée r *
d u t avec calme î
— Tu peux téléphoner à P au le” *,
si le départ est immédiat ; mais,
tâches, qu’étant forcément au cou­
ra n t de notre «ubstitutioa momen­
tanée, elle ne « gaffe » point au
retour.
— Tu peux compter su r la discré­
tion de P aulette affirm a l’aînée des
jumelles. Et elle ajouta em brassant
sa sœ ur :
— Je te rcTr-rcie M arie-''"*® . Tu
ne sau rais croire airelle envie ter­
rible j ’avais de cette croisière en
M éditerranée ; je souhaite te rendre
plus tard un iplaisir é<ral à celui ~ue
tu me fais aujourd’hui.
Et elle s ’en alla toute joyeuse, un
refrain en vogue aux lèvres, obsé­
dée déjà à la pensée des préparatifs
à faire, des toilettes à commander,
et toute à l’imprévu qui pouvait su r­
gir dans sa vie, au cours de ce
charm ant voyage, en mer.
Et le rêve devint une douce réa­
lité.
Marte-Renée voguait su r les flots
bleus. Elle envoyait de tem ps à au­
tre, a u h asard des escales, de lon­
gues lettres débordantes de la joie
de (vivre. Elle y parlait longuement
des distraction nombreuses oui lui
étaient offertes, des jeunes gens
qu’elle frlquentait, de ses succès
mondains, et mêmes de ses « flirt ».
Cela scandalisait u n peu Thérèse,
mais plus indulgente, Marie-Renée
disait :
— Tout cela s ’ébauche a u fil de
l’eau ; c’est sans importance, ma­
man.
Mme Brémont avait repris ses sor­
ties mondaines, ses réceptions et les
visites qu’elle aimait faire à ses amies.
Dans sa maison, rien ne souffrait de
son absence, et encore moins de celle
de Marie-Renée. Il y régnait un ordre
parfait ; les domestiques faisaient
consciencieusement leur travail ; les
menus étaient sagement combinés, le
linge bien tenu. Marie-Aimée adorait
tous ces petits soins de ménage que
de bonne heure sa mère s’était habi­
tuée à lui confier. Peu à peu, elle se
déchargeait su r elle de tout ce qui
regardait leur intérieur ; son indul­
gence était si grande, H est vrai qu’elle
trouvait toutes choses parfaites et
approuvait tout. Il n’était pas rare
aux repas qu'elle la félicitât sur le
choix d’un entremets ou la confection
d’un gâteau nouveau que la jeune fille
avait fait elle-même, car ayant cons­
taté que Gabriel était gourmand
— comme une petite fille — disaitelle, elle était heureuse, même, dans
des actes si terre à terre, de lui faire
plaisir.
— Je n ’aurais Jamais crû MarieRenée disait-il, que vous aviez de si
précieuses quahtés ; autrefois, je
vous avais jugée, — pardonnez-moi,
chérie, un peu frivole. C est donc, conciuait-ü avec un sourire, qu’on y voit
m al, quand pn y voit trop bien l.M
Autour de l’officier, tous faisaient
la complicité du mensonge I le petit
domestique s ’était attaché à lui ; et
la Vieille bonne qui avait vu naître
les jumelies et qua montrait pour Ma­
rie-Renée une secrète prédilection,
disait avec la familiarité des anciens
serviteurs :
— Elle a bien fait de se distraite,
elle est trop belle, trop jeune, pour *e
sacrifier à un infirme !...
Mais elle trouvait naturel que Marie-Aimée consentit ce que l’alné«
avait refusé.
Seul, l’oncle Etienne avait énergi­
quement blâmé ce qu’il qualifiait de
« folie collective ».
— Car je pense, disait-il à sa bellesœur, que vous avez perdu la raison
toutes les trois. C’est votre seule ex­
cuse. Songez que vous êtes à la merci
d’une indiscrétion ; simplement de la
première personne qui, en présence
de Gabriel, dem andera, par exemple
si Marie-Renée va bientôt revenir de
cette croisière en mer.
— Impossible, répondait péremptoi­
rem ent Mme Brément, Gabriel ne
reçoit âme qui vive.
— Et s ’il recouvrait la vue T
— Hélas 1
—
peut
—
—
Il n’y a pas de « héla« 1 » Ça
arriver.
Je le souhaite.
Mais, alors T
(A f u l v f e j
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1. Il est prol
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France, deva'
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tion, s’est reI
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région d’Olav
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