Avec EDA, Wrigley simplifie son système d`information

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Avec EDA, Wrigley simplifie son système d`information
Témoignage Wrigley's
7/07/99 10:07
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Usine de Wrigley en France
Choisie pour harmoniser un système hétérogène
et en pleine extension, “la passerelle EDA/ODG
d’Information Builders a permis de fédérer notre
système d’information en apportant optimisation,
simplicité et autonomie aux utilisateurs”, déclare
Pierre Faller, Responsable Informatique de
Wrigley France. Une solution intéressant
beaucoup la maison-mère du groupe, qui compte
plus de quinze usines à travers le monde.
Avec EDA,
Wrigley simplifie
son système
d’information
L’informatique de Wrigley France
- Effectifs : 7 personnes, dont 3 programmeurs
- AS/400, BPCS (SSA), GSI (Zadig), serveur Novell
- Base SQL Server
- Passerelle EDA/ODG
- Réseau Ethernet, serveurs Compaq sous NT
Secteur
Industrie alimentaire
Profil de l’entreprise
Filiale du groupe Wrigley (siège à Chicago)
Pour la multinationale, chiffre d’affaires de
1,9 milliard de dollars en 1997
La filiale française du fabricant de chewinggum américain Wrigley est située à Biesheim,
en Alsace. C’est la plus grosse usine du
groupe et le troisième employeur de la
région, avec un millier d’employés. 123 millions de boîtes de 100 chewing-gum y sont
fabriquées par an. Centre de production et
de commercialisation, le site exporte en
direction de toute l’Europe, notamment le
chewing-gum sans sucre Freedent, produit
leader dans sa spécialité en France.
Une croissance
trop rapide pour un parc
informatique hétérogène
Wrigley France est en pleine expansion :
la production a doublé en cinq ans et, sur la
même période, l’effectif est passé de 500 à
850 personnes, plus 200 intérimaires. “Cette
croissance très rapide du nombre d’employés
est allée de pair avec une augmentation
non moins élevée des besoins en traitements
informatiques. Pour éditer leurs états et
analyses, beaucoup se sont équipés de
micro-ordinateurs et ont développé de petites
applications, concernant entre autres la
gestion des douanes, des entrepôts et des
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transports, la recherche et le développement
(LIMS) et ce sous différentes bases de
données (Oracle, Dbase...)” raconte Pierre
Faller.
sique des données, afin que les utilisateurs
aient les moyens d’opérer leurs extractions
et leurs mises en forme eux-mêmes, sans
ressaisies.
Le système informatique de la société
est basé depuis de nombreuses années sur
un système central AS/400, qui recouvre la
gestion de production (avec un progiciel
BPCS de SSA), la gestion de paye (GSI de
Zadig), un logiciel de contrôle d’accès
(sécurité, pointage) et des fonctions de
comptabilité, budget, contrôle des coûts
(anciens spécifiques passés en modules
BPCS). Ce système est complété par
un serveur Novell (bureautique et messagerie).
Dans ce but, la direction informatique fait le
choix de nouveaux outils. La base SQL
Server, pour sa pérennité, sa simplicité de
mise en œuvre et d’emploi, et parce qu’elle
autorise des liens simplifiant toutes les
requêtes. La passerelle EDA/ODG
(EDA/Open Database Gateway) de l’éditeur
Information Builders, pour pouvoir extraire
les données et relier la base Microsoft à
l’AS/400. “Nous avons retenu EDA/ODG
pour une raison bien simple : c’est le seul
produit du marché capable de “digérer”
autant d’éléments hétérogènes et de gérer
une situation aussi complexe”, déclare
Pierre Faller.
L’hétérogénéité du parc et le développement
des besoins ont eu des conséquences qui, à
terme, pouvaient devenir fâcheuses. “D’une
part, le service informatique était sollicité
pour faire grossir régulièrement l’AS/400,
d’où une hausse des coûs, surtout pour les
logiciels système et les applicatifs. Le risque
était aussi d’handicaper la gestion de production, qui représente l’application principale. D’autre part, chaque service utilisateur
étant obligé de ressaisir les données pour ses
propres analyses, le facteur d’erreur était
multiplié”, explique Pierre Faller.
Or, l’impératif de l’équipe informatique, qui
se compose de sept personnes dont trois
programmeurs, est de se consacrer à
l’entretien du parc applicatif. Elle ne pouvait
donc pas répondre en temps et en heure à
chaque demande d’états de la part des
différents services.
Deux éléments fédérateurs :
un data warehouse
et la passerelle EDA/ODG
C’est dans ce contexte général que cette
équipe élabore, en 1994, un projet de data
warehousing. Basé sur une architecture
coopérative, il doit permettre de faire redescendre automatiquement les données de
l’AS/400 et des autres serveurs vers les
postes clients, et vice versa. L’objectif est
d’avoir une source unique d’information,
indépendamment de l’emplacement phy-
Pierre Faller, Responsable Informatique.
Cet outil de middleware est un module
logiciel appartenant à la gamme de
solutions EDA/SQL, dédiées à la plateforme Windows NT. Il permet de connecter
de manière sécurisée tout type de serveur
à n’importe quel client. Les utilisateurs
perçoivent donc leurs informations comme
si elles ne constituaient qu’une seule
source de données, indépendamment de
la structure des fichiers qui les contiennent,
des plates-formes matérielles et des
protocoles réseaux. Il intègre aussi le poste
de travail sans composant spécifique
supplémentaire sur celui-ci. EDA/ODG
inclut une extension au langage SQL de
Microsoft adaptée au data warehouse.
Le reste de la solution est composé d’un
réseau Ethernet, d’un serveur Novell et de
deux serveurs Compaq sous NT. Quant aux
postes clients, les micro-ordinateurs sont
remplacés progressivement par des
machines NT Workstation.
Un réseau performant,
modèle pour le groupe
Le projet de refonte globale débute en 1995
et prévoit la formation d’utilisateurs dans
tous les services. Il est mis en production en
1997, avec pour premiers utilisateurs les
départements Budget et Contrôle des coûts,
la Production et le laboratoire. Les achats et
l’entrepôt (qui gère plus de 12 000 palettes)
suivent en 1998, ainsi que la Direction
Générale. Cette dernière peut donc accéder,
en temps réel à l’écran, aux tableaux de
bord de chaque service et planifier la production de façon plus efficace.
“Fédérer l’ensemble du système, centraliser
la base de données a été bénéfique à tous
les niveaux : élaboration de programmes
évolutifs, économies sur les coûts de croissance du central et des spécifiques, réduction des temps de développement, simplification des traitements...” affirme le
Responsable Informatique.
D’autre part, le gain d’autonomie des utilisateurs a nettement allégé la charge du
département informatique : les utilisateurs
n’ont plus à envoyer toutes leurs requêtes au
service, à retaper les données fournies par
celui-ci et à les traiter avec un outil spécifique “bricolé”. Aujourd’hui, le système est
doté d’un véritable réseau, performant, et
qui permet de faire remonter les rapports
vers le siège, à Chicago, de manière très
rapide.
“Au niveau Groupe, la solution que nous
avons mise en place est regardée avec un
intérêt certain : un système permettant de
manipuler de manière simple des données
issues d’environnements hétérogènes ne
peut qu’être apprécié et attendu par tous.
Or notre siège et ses autres filiales
réunissent une grande variété de systèmes
d’exploitation et de bases de données”,
conclut Pierre Faller.
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