UN FILM DE ANDREW NICCOL

Transcription

UN FILM DE ANDREW NICCOL
UN FILM DE ANDREW NICCOL
v
v
VOLTAGE PICTURES présente
Une production VOLTAGE/SOBINI FILMS
ETHAN HAWKE
BRUCE GREENWOOD
ZOE KRAVITZ
JAKE ABEL
et JANUARY JONES
Produit par NICOLAS CHARTIER, ZEV FOREMAN, MARK AMIN
Un film écrit, produit et mis en scène par
DISTRIBUTION
ANDREW NICCOL
SORTIE NATIONALE LE 22 AVRIL 2015
LA BELLE COMPANY
3, place André Malraux
75001 Paris
Tél. : 01 80 06 95 55
[email protected]
PRESSE
Etienne LERBRET
Durée : 1h35
Dossier de presse et photos téléchargeables sur www.la-belle-company.com
36, rue de Ponthieu
75008 Paris
Tél. : 01 53 75 17 07
[email protected]
SYNOPSIS
Le Commandant Tommy Egan, pilote
de chasse reconverti en pilote
de drone, combat douze heures
par jour les Talibans derrière
sa télécommande, depuis sa base,
à Las Vegas. De retour chez lui,
il passe l’autre moitié de la
journée à se quereller avec sa
femme, Molly et ses enfants.
Tommy remet cependant sa mission
en question.
Ne serait-il pas en train
de générer davantage de terroristes
qu’il n’en extermine ?
L’histoire d’un soldat, une épopée
lourde de conséquences.
NOTE D’INTENTION DU RÉALISATEUR
Cette histoire est celle du Commandant Tommy
Egan, pilote de chasse aux commandes d’un F-16
en Irak et en Afghanistan.
S’il effectue encore des missions dans cette
partie du monde, c’est désormais au sein d’un
cockpit très différent. Il est pilote de drone,
combattant par télécommande interposée depuis
un compartiment climatisé, à 11 000 kilomètres
de là, sur une base près de Las Vegas.
Il s’agit de la nouvelle schizophrénie de la
guerre. Après sa bataille contre les Talibans
la moitié de sa journée, Tommy rentre chez lui
pour se quereller avec sa femme et ses enfants
l’autre moitié du temps.
Située en pleine escalade des attaques de
drones, c’est l’histoire des conflits moraux
et des dilemmes soulevés par l’utilisation de
cette nouvelle technologie.
C’est néanmoins une histoire très personnelle.
Tommy devient un blessé de guerre tandis qu’il
se bat à l’autre bout du monde, à l’abri du
danger.
C’est un pilote qui se lamente de la disparition
des vols et souffre de psychose traumatique
tout en étant accablé par la culpabilité d’être
si loin des obus.
Il se déconnecte peu à peu de la vraie vie et
se rapproche davantage de ses cibles et de leur
entourage que de sa propre famille.
Et fondamentalement, il se met à douter de
sa mission. Ne serait-il pas engagé dans une
guerre sans fin ?
Entretien avec
ANDREW NICCOL
Quelles étaient vos intentions avec GOOD
KILL ?
Je voulais seulement montrer la réalité
brute des événements décrits dans le film.
C’est ainsi que nous n’avons pas tourné
dans des décors au sens traditionnel
du terme, mais dans des lieux d’une
authenticité absolue. Il s’agissait avant
tout de ne pas influencer le point de vue
du spectateur, mais de filmer les drones
tels qu’ils sont dans la vie réelle.
J’essaie de conserver un regard d’une
grande objectivité pour que le public
se fasse sa propre opinion de ce qu’il
découvre à l’écran.
L’évocation des drones dans un film n’est
pas anodine…
Le recours aux drones comporte pas
mal d’avantages : ils effectuent des
frappes d’une précision chirurgicale, en
atteignant leur cible avec une exactitude
quasi scientifique, et ils permettent
de protéger les soldats déployés au
sol contre toutes sortes d’embuscades.
En revanche, les drones font courir le
risque d’entretenir une guerre sans fin.
En effet, ils abaissent considérablement
le coût financier des conflits armés. Pire
encore, ils facilitent l’entrée en guerre
des États puisqu’ils ne nécessitent plus
forcément de présence militaire au sol
et, par conséquent, diminuent le coût
humain.
Comment rendre le filmage des drones
cinématographique ?
Pour moi, la meilleure méthode
lorsqu’on se trouve dans un espace aussi
claustrophobique, et qu’on a soi-même le
regard fixé sur le combo, c’est d’adopter
le point de vue des personnages et de
donner le sentiment de projeter ces
derniers et le spectateur sur le théâtre
des opérations.
Tout comme GATTACA, GOOD KILL est un
récit initiatique.
Absolument. On pourrait croire qu’il
s’agit d’un film de science-fiction, mais
il relate des faits bien réels, en posant
la question de savoir si, au fond, les
drones ne constituent pas l’option
militaire la moins désastreuse. Je
m’intéresse toujours aux rapports entre
technologie et humanité : finissent-ils par
se rejoindre, ou pas ? Et qu’ont-ils en
commun ?
Le film a déclenché quelques polémiques…
Si tous ceux qui ont vu le film l’avaient
adoré, je me serais dit que j’avais
échoué : je cherche à susciter des
réactions et des commentaires, et à
bousculer le spectateur – pas à le
caresser dans le sens du poil ! Je relate
une réalité qui dérange, et c’est bien
pour cela que l’armée ne m’a pas du
tout soutenu dans ce projet. De toute
évidence, les militaires ne tiennent pas
à se mobiliser pour un film qui ne les
présente pas sous leur meilleur jour.
Que pensez-vous de la guerre contre le
terrorisme dont le film se fait aussi
l’écho ?
Nous n’arrêtons pas de clamer haut et
fort que nous combattons le terrorisme,
mais nous terrorisons nous-mêmes des
populations entières. Au Waziristan
(Pakistan) par exemple, les gens refusent
de sortir de chez eux et de se retrouver
sur la place du village parce qu’ils
craignent que les drones ne les repèrent
et ne les prennent pour des terroristes
préparant un complot contre les intérêts
américains. Dans une situation pareille,
qui est le terroriste ?
Devant la caméra
ETHAN HAWKE
(Commandant Tom Egan)
« Profitez de la vie pendant qu’il est
encore temps » (Gather ye rosebuds
while ye may) : le jeune Ethan Hawke
prit ces vers à cœur lors du tournage
du CERCLE DES POÈTES DISPARUS (Peter
Weir, 1989, Oscar du Meilleur Film)
qui lança sa carrière. 25 ans plus
tard, fort de plusieurs nominations
aux Tony Awards et aux Oscars, il
s’impose comme un artiste aux multiples
facettes, comédien de renom pour ses
rôles audacieux, relevant le défi de
l’écriture en tant que romancier et
scénariste, se lançant même dans la
réalisation.
Ethan Hawke a travaillé à maintes
reprises avec le réalisateur Richard
Linklater, notamment dans FAST FOOD
NATION (2006), WAKING LIFE (2001), LE
GANG DES NEWTON (1998) et TAPE (2001).
BOYHOOD, leur dernière collaboration,
a été présentée en avant-première à
l’édition 2014 du Festival de Sundance
et vient de recevoir les plus hautes
distinctions aux Golden Globes 2015 :
Meilleur Film, Meilleur Réalisateur
et Meilleure Actrice pour Patricia
Arquette qui tient l’affiche avec Ethan
Hawke, de cette chronique de la vie
d’un garçon de 6 à 18 ans, tournée
sur une période de 12 ans. Parmi les
collaborations les plus marquantes
de Linklater et Hawke figurent BEFORE
SUNRISE (1995) avec Julie Delpy ainsi
que les deux sequels BEFORE SUNSET
(2004) et BEFORE MIDNIGHT (2013). Le
trio a travaillé ensemble à l’écriture
des scénarios de BEFORE SUNSET et
BEFORE MIDNIGHT et reçu pour chacun
une nomination aux Oscars ainsi
qu’aux Independent Spirit Awards.
Pour l’ensemble de leur oeuvre autour
des trois titres, Julie Delpy, Ethan
Hawke et Richard Linklater ont été
récompensés par le Louie Treize Genius
Award aux BFCA Critics Choice Awards.
On retrouvera prochainement Ethan
Hawke dans le film PREDESTINATION de
Michael et Peter Spierig, distribué
par Sony. On le verra également sous
la direction de Michael Almereyda dans
son adaptation de Cymbeline de William
Shakespeare et dans TEN THOUSAND SAINTS
réalisé par Shari Springer Berman et
Robert Pulcini. Enfin, il partagera
avec John Travolta et Taissa Farmiga
l’affiche de IN A VALLEY OF VIOLENCE de
Ti West.
Dans un tout autre registre, on a pu
le voir aux côtés de Lena Headley dans
AMERICAN NIGHTMARE de James DeMonaco,
son plus grand succès au box-office. Le
film, dont le budget de production n’excédait
pas les 3 millions de dollars, a généré dès
le premier week-end de sa sortie plus de
34,5 millions de dollars de recettes.
Ethan Hawke s’est vu propulsé dans un
courant encré dans l’air du temps, de
culture pop, avec la comédie GENERATION
90 réalisée par Ben Stiller en 1994. Il a
en outre participé à une quarantaine de
films parmi lesquels : EXPLORERS (Joe Dante,
1985), MON PÈRE (Gary David Goldberg,
1989), CROC-BLANC (Randal Kleiser, 1991),
WATERLAND (Stephen Gyllenhaal, 1992), LES
SURVIVANTS (Frank Marshall, 1993), RICH IN
LOVE (Bruce Beresford, 1993), BIENVENUE À
GATTACA (Andrew Niccol, 1997), DE GRANDES
ESPÉRANCES (Alfonso Cuaron, 1998), HAMLET
(Michael Almereyda, 2000), ASSAUT SUR LE
CENTRAL 13 (Jean-François Richet, 2005),
TAKING LIVES, DESTINS VIOLÉS (D.J. Caruso,
2004), 7H58 CE SAMEDI-LÀ (Sidney Lumet,
2007), BOSTON STREETS (Brian Goodman,
2008), L’ÉLITE DE BROOKLIN (Antoine
Fuqua, 2009), LA FEMME DU Vème (Pawel
Pawlikowski, 2011) et SINISTER (Scott
Derrickson, 2012).
En 2002, pour son interprétation face à
Denzel Washington dans TRAINING DAYS de
Antoine Fuqua, Ethan Hawke a reçu une
nomination aux Oscars ainsi qu’à la Screen
Actors Guild® comme Meilleur Acteur dans
un second rôle.
Ethan Hawke a par ailleurs réalisé un
premier documentaire consacré au célèbre
pianiste, compositeur et professeur de
piano Seymour Bernstein, intitulé Seymour :
An Introduction, présenté en avantpremière au Festival International du Film
de Toronto en 2014.
Ethan Hawke a fait ses débuts derrière
la caméra en 2001 avec son drame CHELSEA
WALLS.
Il avait au préalable réalisé un courtmétrage en 1994, Straight To One,
avec Josh Hamilton, qui évoquait déjà
l’histoire d’un jeune couple amoureux
demeurant au Chelsea Hotel.
En 1996, Ethan Hawke se lance dans
l’écriture d’un roman, The Hottest State,
édité par Little Brown et qui compte à
ce jour 19 tirages. Dans le cadre de
ses études de réalisation il entreprend
d’adapter son roman à l’écran et tourne
également un vidéo clip musical pour son
film. Son second roman, Ash Wednesday,
publié chez Knopf en 2002 a été mis en
avant dans la série des “Bloomsburry’s
contemporary classics”.
À 21 ans, Ethan Hawke créé le Malaparte
Theater Co., qui accueille pendant ses cinq
années d’existence de jeunes artistes et
leur permet de développer leurs projets.
En 1992, il fait ses débuts sur les
planches de Broadway dans La Mouette
d’Anton Tchekov. Puis on le voit dans
Henri IV de Shakespeare aux côtés de
Richard Easton et Kevin Kline, dans
Burried Child de Sam Shepard avec la
Compagnie Steppenwolf, dans Hurlyburly de
David Rabe, The Coast Of Utopia de Tom
Stoppard qui lui vaut deux nominations
aux Tony Awards et à la Drama League
Awards. Ethan Hawke participe également au
« Bridge Project » réunissant des comédiens
britanniques et américains dans les mises
en scène de La Cerisaie de Tchekov et
Conte d’Hiver de Shakespeare, puis il
reçoit un Obie Award en 2011 pour son
interprétation dans Blood From A Stone
de Tommy Nohilly mis en scène par Scott
Elliott. En 2012, il incarne Ivanov pour
la Classic Stage Company et en 2013,
il met en scène et interprète le rôle
titre de Clive de Jonathan Mark Sherman
d’après Baal de Bertolt Brecht. Fin 2013,
il tenait le rôle titre de Macbeth de
Shakespeare au Lincoln Center Theatre.
À la télévision, c’est dans l’adaptation
de Moby Dick qu’on a pu voir récemment
Ethan Hawke, aux côtés de William Hurt.
Devant la caméra
BRUCE GREENWOOD
(Lieutenant Colonel Johns)
Bruce Greenwood tourne actuellement
aux côtés de James Badge Dale et Emily
Mortimer le thriller de science-fiction
LAZARUS produit par Legendary/Universal,
sous la direction de Nic Mathieu.
Il a récemment participé au tournage du
drame de Gabriele Muccino, FATHERS AND
DAUGHTERS, où il donne la réplique à
Russell Crowe.
On a pu le voir fin 2014 dans UN AMOUR
SANS FIN de Shana Feste (2014), le remake
de UN AMOUR INFINI de Franco Zeffirelli
(1981), adaptés tous deux du roman de
Scott Spencer.
Par ailleurs, Bruce Greenwood a retrouvé
en 2013 son personnage du Capitaine
Christopher Pike pour Paramount, sous la
direction de J.J. Abrams dans STAR TREK
INTO DARKNESS avec Chris Pine, Zachary
Quinto et Zoe Saldana.
Il avait auparavant joué face à Denzel
Washington sous la direction de Robert
Zemeckis dans le film FLIGHT, nominé aux
Oscars 2013.
On a pu voir Bruce Greenwood dans
sa quatrième collaboration avec le
réalisateur Atom Egoyan, CAPTIVES,
présenté en 2014 en compétition au
Festival de Cannes. Précédemment, les
deux hommes avaient travaillé ensemble
sur LES 3 CRIMES DE WEST MEMPHIS (2013)
avec Reese Witherspoon et Colin Firth et
EXOTICA (1994), où Greenwood interprétait
le rôle principal, un inspecteur des
impôts obsédé par une strip-teaseuse.
Également présenté en compétition au
Festival de Cannes, le film a obtenu la
distinction du Meilleur Film Canadien
au Festival International du Film de
Toronto. Atom Egoyan a encore dirigé
Bruce Greenwood dans DE BEAUX LENDEMAINS,
lauréat du Grand Prix au Festival de
Cannes 1997 et qui remporta entre autres
le Genie Award du Meilleur Film (Oscars
canadiens) et valut à Bruce Greenwood
une nomination dans la catégorie Meilleur
Acteur.
Enfin, le tournage de ARARAT, sorti en
2002, réunit une nouvelle fois les deux
artistes.
Bruce Greenwood est récemment apparu aux
côtés de Ryan Gosling et Bradley Cooper
dans le drame de Derek Cianfrance THE
PLACE BEYOND THE PINES (2013), où il
interprète l’assistant d’un procureur.
En 2010, il donne la réplique à Steve
Carell et Paul Rudd dans THE DINNER,
remake de Jay Roach du DINER DE CONS. Il
a également travaillé sous la direction
de Bruce Beresford pour MAO’S LAST DANCER
(2009), de Jon Turtletaub pour BENJAMIN
GATES ET LE LIVRE DES SECRETS (2007) avec
Nicolas Cage, ou encore de Todd Haynes
pour I’M NOT THERE avec Cate Blanchett et
Richard Gere, où son double rôle dans ce
biopic peu conventionnel du légendaire Bob
Dylan lui valut le prix Robert Altman au
sein des Independent Spirit Awards.
Bruce Greenwood doit en partie sa renommée
à son interprétation du Président John F.
Kennedy négociant lors de la crise des
missiles cubains dans TREIZE JOURS (2000)
de Roger Donaldson avec Kevin Costner,
pour laquelle il fut salué. Sa performance
exceptionnelle dans TRUMAN CAPOTE de Bennett
Miller en 2005, dans le rôle de l’écrivain
Jack Dunphy, lui a également offert une
nomination par la Screen Actors Guild.
On a pu également voir Bruce Greenwood dans
DÉJÀ VU de Tony Scott (2006) avec Denzel
Washington et Val Kilmer, I,ROBOT de Alex
Proyas (2004), ADORABLE JULIA de Istvan
Szabo (2004) où il jouait l’amant d’Annette
Bening et qui lui a valu une nomination aux
Genie Awards comme Meilleur Acteur dans un
Second Rôle, DOUBLE JEU de Bruce Beresford
(1999) en complice d’un complot meurtrier
avec Ashley Judd.
Sa filmographie présente des titres aussi
variés que LA DERNIÈRE PISTE de Kelly
Reichardt (2010), LE MONDE DE BARNEY de
Richard J. Lewis (2010), DONOVAN’S ECHO
de Jim Cliffe (2011), REX, CHIEN POMPIER
de Todd Holland (2007), HOLLYWOOD HOMICIDE
de Ron Shelton (2003), THE WORLD’S FASTEST
INDIAN de Roger Donaldson (2005), ANTARTICA,
PRISONNIERS DU FROID de Frank Marshall
(2005), L’ENFER DU DEVOIR de William
Friedkin (2000), ZIG-ZAG de Frederik Du Chau
(2005), UN ÉTÉ SUR TERRE de Mark Piznarski
(2000), THE LOST SON de Chris Menges (1998),
COMPORTEMENTS TROUBLANTS de David Nutter
(1998), PASSAGER 57 de Kevin Hooks (1992)
ou encore L’ORCHIDÉE SAUVAGE de Zalman King
(1989).
L’acteur est tout aussi éclectique dans sa
carrière à la télévision ; on peut notamment
le voir dans la série The River, créée
pour ABC par Oren Peli, à qui l’on doit
Paranormal Activity, et produite par Steven
Spielberg.
Devant la caméra
ZOË KRAVITZ
(Aviateur Vera Suarez)
Zoë Isabella Kravitz est née à Venice
en Californie. Fille de Lenny Kravitz
et Lisa Bonet elle a, dès ses années
de collège, nourri un vif intérêt et
une véritable passion pour la comédie.
Pressée de vivre, elle a tourné dans
deux films tout en préparant son
baccalauréat : elle a ainsi travaillé
en 2007 avec Catherine Zeta Jones et
Aaron Eckhart dans LE GOÛT DE LA VIE de
Scott Hicks et dans À VIF de Neil Jordan
aux côtés de Jodie Foster et Terrence
Howard.
On a pu voir Zoë Kravitz dans X-MEN : LE
COMMENCEMENT (2011) où elle interprète
Angel Salvadore aux côtés de Michael
Fassbender, Jennifer Lawrence, James
McAvoy et Kevin Bacon mais également
dans des rôles de premier plan notamment
dans UNE DRÔLE D’HISTOIRE de Ryan Fleck
et Anna Boden (2010), BEWARE THE GONZO
de Bryan Goluboff (2010), TWELVE de
Joel Schumacher (2010) avec Kiefer
Sutherland, 50 Cent, Chace Crawford
et Emma Roberts, YELLING TO THE SKY
de Victoria Mahoney (2011), DIVERGENTE
de Neil Burger (2014) avec Shailene
Woodley.
On la retrouvera au printemps 2015 dans
MAD MAX : FURY ROAD de George Miller
(2014) aux côtés de Charlize Theron et
Tom Hardy, ainsi que dans DIVERGENTE 2 :
L’INSURRECTION de Robert Schwentke,
puis prochainement dans le film encore
sans titre de Gerardo Naranjo qu’elle
vient de tourner avec Dakota Fanning.
Parallèlement à sa carrière
cinématographique, Zöe Kravitz est à
la tête du groupe de musique LOLAWOLF,
formé avec deux membres de REPUTANTE,
James Levy et Jimmy Giannopoulos.
On l’a vue dans le vidéo clip du titre
« I Know » issu de l’album de Jay-Z
« American Gangster », puis, avec de
nombreux artistes tels que Jessica
Alba, Ryan Philippe, Tyrese Gibson,
George Lopez et John Leguizamo, dans le
clip de soutien au président Obama.
Devant la caméra
JAKE ABEL
(Le spécialiste Zimmer)
Jake Abel est un comédien éclectique et
polyvalent.
On le verra prochainement dans LOVE
AND MERCY de Bill Polhad avec Paul
Dano, incarnant Mike Love de la bande
des Beach Boys, puis dans GHOSTS OF
THE PACIFIC de Rhys Hayward (2014) aux
côtés de Tom Felton.
Jake Abel est essentiellement connu
pour ses rôles de premier plan dans LES
ÂMES VAGABONDES de Andrew Niccol (2013)
et la série des PERCY JACKSON : LA MER
DE MONSTRES (2013) et LE VOLEUR DE
FOUDRE (2010).
Après plusieurs apparitions dans des
séries à la télévision, notamment dans
« Supernatural », c’est dans UN ÉCLAIR
DE GÉNIE de Marc Abraham (2008) qu’il a
fait ses premiers pas au cinéma, avant
de tourner dans NUMÉRO QUATRE de D.J.
Caruso (2011) ou encore LOVELY BONES de
Peter Jackson (2009).
Devant la caméra
JANUARY JONES
(Molly Egan)
January Jones est connue pour son rôle
de Betty dans la série « Mad Men » pour
lequel elle fut nommée aux Golden
Globes en 2009.
Elle a récemment tourné sous la
direction de George Ratliff le thriller
d’épouvante THE SHUDDERING.
On l’a vue en 2013 dans le western
SHÉRIF JACKSON de Logan Miller avec
Ed Harris et Jason Isaacs, en 2011
dans l’univers Marvel avec X-MEN :
LE COMMENCEMENT de Matthew Vaughn ou
encore, cette même année, aux côtés de
Liam Neeson et Diane Kruger dans SANS
IDENTITÉ de Jaume Collet-Serra.
En 2009, sous la direction de Richard
Curtis, elle joue aux côtés de Phillip
Seymour Hoffman et Kenneth Branagh dans
GOOD MORNING ENGLAND.
En 2006, elle interprète le rôle
principal de SWEDISH AUTO de Derek Sieg
et la même année, incarne le personnage
de Carol Dawson dans le drame WE ARE
MARSHALL de McG avec Matthew Fox et
Matthew McConaughey.
Mais c’est surtout en 2005 que January
Jones est acclamée par la critique pour
son travail dans TROIS ENTERREMENTS
de et avec Tommy Lee Jones, où elle
interprètait l’épouse d’un policier qui
tue accidentellement un clandestin.
La présentation du film au Festival
de Cannes lui attire des critiques
dithyrambiques.
On trouve notamment dans sa filmographie
les titres AMERICAN PIE de Jesse Dylan
(2003), LOVE ACTUALLY de Richard Curtis
avec Colin Firth et Keira Knightley,
BANDITS de Barry Levinson avec Billy
Bob Thorton, Bruce Willis et Cate
Blanchett et FULL FRONTAL de Steven
Soderbergh.
Derrière la caméra
ANDREW NICCOL
(Réalisateur)
Né en Nouvelle-Zélande, Andrew Niccol
(auteur, réalisateur et producteur) a
longtemps été scénariste et réalisateur
de spots publicitaires à Londres
avant de s’installer à Los Angeles
et d’y diriger des films « d’une durée
supérieure à 60 secondes » selon ses
propres termes.
Il débute dans le long-métrage en
portant à l’écran son scénario
BIENVENUE À GATTACA en 1997, avec
Ethan Hawke et Uma Thurman dans les
rôles principaux. Le film est nommé aux
Oscars pour ses décors et reçoit une
nomination aux Golden Globes pour sa
musique.
L’année suivante, pour son scénario THE
TRUMAN SHOW, qu’il produit également et
que Peter Weir réalise, Andrew Niccol
reçoit une nomination à l’Oscar du
Meilleur Scénario. Le film est nommé à
trois reprises aux Oscars et Andrew
Niccol obtient le BAFTA du Meilleur
Scénario.
En 2002, il écrit, réalise et produit
la satire S1M0NE avec Al Pacino en tête
d’affiche.
On lui doit également l’idée originale
et le scénario du film LE TERMINAL
que Steven Spielberg porte à l’écran
en 2004, interprété par Tom Hanks
et Catherine Zeta-Jones et dont la
production exécutive revient à Andrew
Niccol.
À nouveau sous sa triple casquette de
réalisateur, scénariste et producteur,
il confia à Nicolas Cage et Jared Leto
les principaux rôles de LORD OF WAR
en 2005, puis à Justin Timberlake et
Amanda Seyfried ceux de TIME OUT en
2011.
En 2013, c’est le roman à succès de
Stephenie Meyer The Host qu’il adapte
pour réaliser LES ÂMES VAGABONDES.
GOOD KILL, qu’il a écrit, réalisé
et produit, marque sa troisième
collaboration avec Ethan Hawke.
Derrière la caméra
NICOLAS CHARTIER
(Producteur)
Nicolas Chartier, primé aux Oscars avec
DÉMINEURS de Kathryn Bigelow (2009),
est impliqué dans le financement, la
production et les ventes d’une large
palette de films. Il fonde en 2005
la société de production et ventes
internationales Voltage Pictures, qui
investit dans plus de 150 films en six
ans.
DÉMINEURS est la première production
de sa société et rafle 6 récompenses
aux Oscars en 2010. Le film, interprété
par Jeremy Renner et Guy Pearce a été
distribué par LD Entertainment.
En 2013, Nicolas Chartier produit
DALLAS BUYERS CLUB de Jean-Marc
Vallée, qui remporte à son tour les
Oscars du Meilleur Acteur pour Matthew
McConaughey et Meilleur Acteur dans un
Second rôle pour Jared Leto.
Cette même année il produit le film
réalisé et interprété par Robert
Redford SOUS SURVEILLANCE, avec à
l’affiche Shia LaBeouf, Nick Nolte,
Susan Sarandon, Julie Christie et Brit
Marling, ainsi que DON JON de Joseph
Gordon-Levitt avec Scarlett Johansson
et Julianne Moore.
Dernièrement, il collabore au film
FATHERS AND DAUGHTERS réalisé par
Gabriele Muccino dont les principaux
interprètes sont Russell Crowe, Amanda
Seyfried, Aaron Paul et Diane Kruger.
Avant de créer Voltage Pictures,
Nicolas Chartier était vice-président
des ventes et des acquisitions chez
Myriad Pictures, où il a travaillé
sur des titres tels que THE GOOD GIRL
de Miguel Arteta (2002) et AMERICAN
PARTY de Walt Becker (2002). En tant
que président de Vortex Pictures, il
a vendu MARIAGE À LA GRECQUE de Joel
Zwick (2002) et SONNY (2002) de Nicolas
Cage.
Responsable des ventes et des
acquisitions chez Arclight Films, il
a acheté la série de Dean Devlin THE
LIBRARIAN, puis le très primé COLLISION
de Paul Haggis en 2004 ou encore THE
MATADOR de Richard Shepard (2005) avec
Pierce Brosnan. Durant cette période
chez Arclight, Nicolas Chartier a
notamment vendu LORD OF WAR de Andrew
Niccol et LE MARCHAND DE VENISE adapté
de Shakespeare et réalisé par Michael
Radford en 2004 avec Al Pacino.
Derrière la caméra
ZEV FOREMAN
MARK AMIN
Zev Foreman débute sa carrière dans le
cinéma en s’occupant des acteurs. Par la
suite, il se tourne vers les domaines du
financement et de la production, intégrant
la société Grosvenor Park où il se charge
de films tels que DÉMINEURS de Kathryn
Bigelow (2009) et LES INSURGÉS de Edward
Zwick (2008).
Les mutations dans le secteur de la finance
mènent Zev Foreman vers Voltage Pictures
où il se tourne rapidement vers le
développement et la production – dont il
est aujourd’hui responsable – au sein des
ventes internationales.
On peut citer parmi ses productions, des
films tels que : KILLER JOE de William
Friedkin (2011), FIRE WITH FIRE, VEANGEANCE
PAR LE FEU de David Barett (2012), NOM DE
CODE : GERONIMO de John Stockwell (2012),
ZERO THEOREM de Terry Gilliam (2013),
DALLAS BUYERS CLUB de Jean-Marc Vallée
(2013) et tout récemment THE COBBLER de
Thomas McCarthy avec Adam Sandler.
Mark Amin créa la société Sobini Films en
2011 afin de produire des longs-métrages
en tous genres. Producteur d’IMOGENE
de Shari Springer Berman et Robert
Pulcini (2013), distribué par Lionsgate/
Roadside Attractions, avec Kristen Wiig,
Annette Bening et Matt Dillon, on lui
doit également en 2013, la production de
ORDURE ! adapté du roman à succès de Irvine
Welsh et réalisé par Jon S. Baird avec
James McAvoy, ainsi que STONEHEARST AZYLUM
de Brad Anderson avec Kate Beckinsale, Jim
Sturgess, Ben Kingsley et Michael Caine.
Mark Amin a produit le film de Martha
Coolidge LE PRINCE ET MOI en 2004, ou
encore LE GUERRIER PACIFIQUE de Victor
Salva en 2006.
Sous sa direction, Sobini Films s’est
forgé l’image d’un producteur de qualité,
ayant notamment à son actif des films
récompensés tels que STREETS OF LEGEND
de Joey Curtis (2003), primé pour sa
photographie au Festival de Sundance et
LES MALHEURS DE CHRISSA de Martha Coolidge
(2009), nommé aux Director’s Guild
Awards et lauréat du National Parenting
Publications Gold Award.
Mark Amin a également travaillé sur
le projet ZORRO : REBORN de Ricardo de
Montreuil avec Gael Garcia Bernal et A
MOMENT TO REMEMBER, remake du film coréen
(Producteur)
(Producteur)
éponyme, réalisé par Ben Lewin avec
Katherine Heigl.
Outre ses fonctions chez Sobini, Mark
Amin a été vice-président de Lionsgate
Entertainment.
Durant ses neuf années à la tête de la
société et au conseil d’administration,
les recettes de Lionsgate ont connu un
remarquable essor passant de $148M à
$1.2B. Dans cette période, Lionsgate fut
le producteur de films aussi acclamés et
primés que À L’OMBRE DE LA HAINE, Oscar de
la Meilleure Actrice pour Halle Berry ou
COLLISION, Oscar du Meilleur Film.
Auparavant, Mark Amin avait créé la
société Trimark Holdings, Inc. qu’il
présidait et où il occupait le poste
de PDG, et qui fusionna plus tard avec
Lionsgate. Sous sa direction, Trimark
acquit une des places les plus côtées dans
l’industrie de la production indépendante
et de la distribution. Il produisit
notamment en 1997 EVE’S BAYOU avec Samuel
L. Jackson, L’AFFAIRE NOAH DEARBORN avec
Sidney Poitier, récompensé d’un Emmy Award
en 1999, et FRIDA, distribué par Miramax
et qui reçut six nominations aux Oscars.
FICHE ARTISTIQUE
Commandant Thomas Egan
Lieutenant Colonel Jack Johns
Aviateur Vera Suarez
M.I.C. Joseph Zimmer
Molly Egan
ETHAN HAWKE
BRUCE GREENWOOD
ZOË KRAVITZ
JAKE ABEL
JANUARY JONES
Femme
Garçon
Aviateur Roy Carlos
Capitaine Ed Christie
Billy
Travis Egan
Jesse Egan
Danny
Lieutenant Drier
Homme
Langley
Frank
Iris
Trooper Morgan
Emily James
FATIMA EL BAHRAOUY
EL KHTTABI
ABDELOUAHAB
RYAN MONTANO
DYLAN KENIN
STAFFORD DOUGLAS
ZION LEYBA
SACHIE CAPITANI
MICHAEL SHEETS
ROSS SHAW
CHAKIR FAIZ
PETER COYOTE
COLIN JONES
KRISTEN RAKES
KEVIN WIGGINS
ALMA SISNEROS
FICHE TECHNIQUE
Réalisateur
Scénariste
Directeur de la photographie
Chef monteur
Musique
Supervisée par
Chef décorateur
Chef costumière
Directeur de casting
1er assistant réalisateur
ANDREW NICCOL
ANDREW NICCOL
AMIR MOKRI
ZACH STAENBERG, A.C.E.
CHRISTOPHE BECK
DANA SANO et LIBBY UMSTEAD
GUY BARNES
LISA JENSEN
AVY KAUFMAN, C.S.A.
NICK MASTANDREA
Producteurs
NICOLAS CHARTIER
ZEV FOREMAN
MARK AMIN
Administrateur de production
Producteurs exécutifs
TED GIDLOW
PATRICK NEWALL
TED GIDLOW
CAMI WINIKOFF
MUSIQUES
« Bang Bang Boom »
Paroles et musique de Tim Myers
Interprétée par The Unknown
Avec l’autorisation de Palladium Records
En accord avec Zync Music Group LLC
« Million Trillion »
Paroles et musique de Mansa Wakili
Interprétée par Chief Wakil
Avec l’autorisation de Format
Entertainment
« Love Is Won »
Paroles et musique de Leah Kessel
Interprétée par Lia Ices
Avec l’autorisation de Jagjaguwar
En accord avec Bank Robber Music
« Trust »
Paroles et musique de Edward Joyner,
Grant Widmer et Theresa Brunet
Interprétée par Generationals
Avec l’autorisation de Park the Van
Records
En accord avec Bank Robber Music
« Stars »
Paroles et musique de Elliott Hammond,
Michael Tramonte, Simon McConnell et
Alexander Markwell
Interprétée par The Delta Riggs
Avec l’autorisation de Bleed101
« Two Tickets To Paradise »
Paroles et musique de Eddie Money
« Hey Hey »
Paroles et musique de Tom White, Alex
White, Eamon Peter Hamilton et Mark
Patrick Beatty
Interprétée par Brakes
Avec l’autorisation de FatCat Records
En accord avec Bank Robber Music
« Hold Out »
Paroles et musique de Jesse Nolan
Interprétée par Caught A Ghost
Avec l’autorisation de +1 Records
En accord avec Zync Music Group LLC
« Love Of A Life »
Paroles et musique de Koen Mestrum, Teun
Pranger et Sam Harris
Interprétée par Keljet (Featuring X
Ambassadors)
Avec l’autorisation de On The Fruit
Records
« Cards with the Devil »
Paroles, musique et interprétation de Von
Bonneville
Avec l’autorisation de Terra Firma Music,
Inc.
En accord avec Secret Road Music Services,
Inc.
« I Forget It’s There »
Paroles et musique de Lovisa Elisabet
Sigrunardottir
Interprétée par Lay Low
Avec l’autorisation de Loo Records
« Dawned on Me »
Paroles et musique de Jeffrey Scot Tweedy
et Patrick A. Sansone
Interprétée par Wilco
Avec l’autorisation de AntiEn accord avec Sugaroo!
« Hi-Speed Soul »
Paroles et musique de Matthew Caws, Daniel
Lorca et Ira Elliot
Interprétée par Nada Surf
Avec l’autorisation de Barsuk Records and
EMI Records UK
En accord avec Bank Robber Music
« Make Noise »
Paroles et musique de Ali Theodore et
Vincent Alfieri
Interprétée par Mikey Likes It
Avec l’autorisation de Format
Entertainment
« Angels »
Paroles et musique de Stephen McBean,
Jeremy Schmidt, Amber Webber, Joshua Wells
et Matt Camirand
Interprétée par Black Mountain
Avec l’autorisation de Jagjaguwar
En accord avec Bank Robber Music
« Afraid of Everyone »
Paroles et musique de Matthew Berninger et
Aaron Dessner
Interprétée par The National
Avec l’autorisation de 4AD Recordings
En accord avec Beggars Group Media Limited
Nouvelle venue en octobre 2013, LA BELLE COMPANY fondée
par Nicolas Rihet et Marc-Antoine Pineau propose une
nouvelle manière de distribuer les films en France avec
trois objectifs : qualité, transparence et rentabilité.
Nicolas et Marc-Antoine se sont rencontrés il y a 6 ans
chez STUDIOCANAL. Les deux amis réunis comptent 50 années
d’expérience dans les sociétés majeures de la distribution
du Cinéma en France : Gaumont-Buena Vista, Warner Bros,
Pyramide, la Pan Européenne, Wildside et MK2. Ce parcours les
a conduit à distribuer plus de 600 films en tous genres, des
plus grands Studios aux plus indépendants, générant près de 476
millions d’entrées en salle. LA BELLE COMPANY a ainsi gagné la
confiance de partenaires solides : les laboratoires techniques
Ymagis & AGM, les agences Mercredi & Silenzio, les banques la
Palatine & BNP Paribas et l’éditeur TF1 Vidéo. Forts de ces
atouts, Marc-Antoine et Nicolas ont l’ambition de faire de
LA BELLE COMPANY, une des sociétés de Distribution du cinéma
français les plus innovantes, dans la diversité de ses choix
mais aussi une des plus rentables en la plaçant dès 2015, dans
le top 20 des distributeurs français et le top 10 d’ici 5 ans
avec l’objectif ambitieux d’une sortie de film tous les mois.
La Belle Company démarre ainsi l’année 2015 avec un line-up
français et international à la fois solide et éclectique : JOKER
de Simon West, LA GRANDE AVENTURE DE MAYA L’ABEILLE de Alexs
Stadermann, LES CHÂTEAUX DE SABLE de Olivier Jahan, MAUDIE de
Aisling Walsh, TORIL de Laurent Teyssier et GOOD KILL de Andrew
Niccol.