UN FILM DE ANDREW NICCOL
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UN FILM DE ANDREW NICCOL
UN FILM DE ANDREW NICCOL v v VOLTAGE PICTURES présente Une production VOLTAGE/SOBINI FILMS ETHAN HAWKE BRUCE GREENWOOD ZOE KRAVITZ JAKE ABEL et JANUARY JONES Produit par NICOLAS CHARTIER, ZEV FOREMAN, MARK AMIN Un film écrit, produit et mis en scène par DISTRIBUTION ANDREW NICCOL SORTIE NATIONALE LE 22 AVRIL 2015 LA BELLE COMPANY 3, place André Malraux 75001 Paris Tél. : 01 80 06 95 55 [email protected] PRESSE Etienne LERBRET Durée : 1h35 Dossier de presse et photos téléchargeables sur www.la-belle-company.com 36, rue de Ponthieu 75008 Paris Tél. : 01 53 75 17 07 [email protected] SYNOPSIS Le Commandant Tommy Egan, pilote de chasse reconverti en pilote de drone, combat douze heures par jour les Talibans derrière sa télécommande, depuis sa base, à Las Vegas. De retour chez lui, il passe l’autre moitié de la journée à se quereller avec sa femme, Molly et ses enfants. Tommy remet cependant sa mission en question. Ne serait-il pas en train de générer davantage de terroristes qu’il n’en extermine ? L’histoire d’un soldat, une épopée lourde de conséquences. NOTE D’INTENTION DU RÉALISATEUR Cette histoire est celle du Commandant Tommy Egan, pilote de chasse aux commandes d’un F-16 en Irak et en Afghanistan. S’il effectue encore des missions dans cette partie du monde, c’est désormais au sein d’un cockpit très différent. Il est pilote de drone, combattant par télécommande interposée depuis un compartiment climatisé, à 11 000 kilomètres de là, sur une base près de Las Vegas. Il s’agit de la nouvelle schizophrénie de la guerre. Après sa bataille contre les Talibans la moitié de sa journée, Tommy rentre chez lui pour se quereller avec sa femme et ses enfants l’autre moitié du temps. Située en pleine escalade des attaques de drones, c’est l’histoire des conflits moraux et des dilemmes soulevés par l’utilisation de cette nouvelle technologie. C’est néanmoins une histoire très personnelle. Tommy devient un blessé de guerre tandis qu’il se bat à l’autre bout du monde, à l’abri du danger. C’est un pilote qui se lamente de la disparition des vols et souffre de psychose traumatique tout en étant accablé par la culpabilité d’être si loin des obus. Il se déconnecte peu à peu de la vraie vie et se rapproche davantage de ses cibles et de leur entourage que de sa propre famille. Et fondamentalement, il se met à douter de sa mission. Ne serait-il pas engagé dans une guerre sans fin ? Entretien avec ANDREW NICCOL Quelles étaient vos intentions avec GOOD KILL ? Je voulais seulement montrer la réalité brute des événements décrits dans le film. C’est ainsi que nous n’avons pas tourné dans des décors au sens traditionnel du terme, mais dans des lieux d’une authenticité absolue. Il s’agissait avant tout de ne pas influencer le point de vue du spectateur, mais de filmer les drones tels qu’ils sont dans la vie réelle. J’essaie de conserver un regard d’une grande objectivité pour que le public se fasse sa propre opinion de ce qu’il découvre à l’écran. L’évocation des drones dans un film n’est pas anodine… Le recours aux drones comporte pas mal d’avantages : ils effectuent des frappes d’une précision chirurgicale, en atteignant leur cible avec une exactitude quasi scientifique, et ils permettent de protéger les soldats déployés au sol contre toutes sortes d’embuscades. En revanche, les drones font courir le risque d’entretenir une guerre sans fin. En effet, ils abaissent considérablement le coût financier des conflits armés. Pire encore, ils facilitent l’entrée en guerre des États puisqu’ils ne nécessitent plus forcément de présence militaire au sol et, par conséquent, diminuent le coût humain. Comment rendre le filmage des drones cinématographique ? Pour moi, la meilleure méthode lorsqu’on se trouve dans un espace aussi claustrophobique, et qu’on a soi-même le regard fixé sur le combo, c’est d’adopter le point de vue des personnages et de donner le sentiment de projeter ces derniers et le spectateur sur le théâtre des opérations. Tout comme GATTACA, GOOD KILL est un récit initiatique. Absolument. On pourrait croire qu’il s’agit d’un film de science-fiction, mais il relate des faits bien réels, en posant la question de savoir si, au fond, les drones ne constituent pas l’option militaire la moins désastreuse. Je m’intéresse toujours aux rapports entre technologie et humanité : finissent-ils par se rejoindre, ou pas ? Et qu’ont-ils en commun ? Le film a déclenché quelques polémiques… Si tous ceux qui ont vu le film l’avaient adoré, je me serais dit que j’avais échoué : je cherche à susciter des réactions et des commentaires, et à bousculer le spectateur – pas à le caresser dans le sens du poil ! Je relate une réalité qui dérange, et c’est bien pour cela que l’armée ne m’a pas du tout soutenu dans ce projet. De toute évidence, les militaires ne tiennent pas à se mobiliser pour un film qui ne les présente pas sous leur meilleur jour. Que pensez-vous de la guerre contre le terrorisme dont le film se fait aussi l’écho ? Nous n’arrêtons pas de clamer haut et fort que nous combattons le terrorisme, mais nous terrorisons nous-mêmes des populations entières. Au Waziristan (Pakistan) par exemple, les gens refusent de sortir de chez eux et de se retrouver sur la place du village parce qu’ils craignent que les drones ne les repèrent et ne les prennent pour des terroristes préparant un complot contre les intérêts américains. Dans une situation pareille, qui est le terroriste ? Devant la caméra ETHAN HAWKE (Commandant Tom Egan) « Profitez de la vie pendant qu’il est encore temps » (Gather ye rosebuds while ye may) : le jeune Ethan Hawke prit ces vers à cœur lors du tournage du CERCLE DES POÈTES DISPARUS (Peter Weir, 1989, Oscar du Meilleur Film) qui lança sa carrière. 25 ans plus tard, fort de plusieurs nominations aux Tony Awards et aux Oscars, il s’impose comme un artiste aux multiples facettes, comédien de renom pour ses rôles audacieux, relevant le défi de l’écriture en tant que romancier et scénariste, se lançant même dans la réalisation. Ethan Hawke a travaillé à maintes reprises avec le réalisateur Richard Linklater, notamment dans FAST FOOD NATION (2006), WAKING LIFE (2001), LE GANG DES NEWTON (1998) et TAPE (2001). BOYHOOD, leur dernière collaboration, a été présentée en avant-première à l’édition 2014 du Festival de Sundance et vient de recevoir les plus hautes distinctions aux Golden Globes 2015 : Meilleur Film, Meilleur Réalisateur et Meilleure Actrice pour Patricia Arquette qui tient l’affiche avec Ethan Hawke, de cette chronique de la vie d’un garçon de 6 à 18 ans, tournée sur une période de 12 ans. Parmi les collaborations les plus marquantes de Linklater et Hawke figurent BEFORE SUNRISE (1995) avec Julie Delpy ainsi que les deux sequels BEFORE SUNSET (2004) et BEFORE MIDNIGHT (2013). Le trio a travaillé ensemble à l’écriture des scénarios de BEFORE SUNSET et BEFORE MIDNIGHT et reçu pour chacun une nomination aux Oscars ainsi qu’aux Independent Spirit Awards. Pour l’ensemble de leur oeuvre autour des trois titres, Julie Delpy, Ethan Hawke et Richard Linklater ont été récompensés par le Louie Treize Genius Award aux BFCA Critics Choice Awards. On retrouvera prochainement Ethan Hawke dans le film PREDESTINATION de Michael et Peter Spierig, distribué par Sony. On le verra également sous la direction de Michael Almereyda dans son adaptation de Cymbeline de William Shakespeare et dans TEN THOUSAND SAINTS réalisé par Shari Springer Berman et Robert Pulcini. Enfin, il partagera avec John Travolta et Taissa Farmiga l’affiche de IN A VALLEY OF VIOLENCE de Ti West. Dans un tout autre registre, on a pu le voir aux côtés de Lena Headley dans AMERICAN NIGHTMARE de James DeMonaco, son plus grand succès au box-office. Le film, dont le budget de production n’excédait pas les 3 millions de dollars, a généré dès le premier week-end de sa sortie plus de 34,5 millions de dollars de recettes. Ethan Hawke s’est vu propulsé dans un courant encré dans l’air du temps, de culture pop, avec la comédie GENERATION 90 réalisée par Ben Stiller en 1994. Il a en outre participé à une quarantaine de films parmi lesquels : EXPLORERS (Joe Dante, 1985), MON PÈRE (Gary David Goldberg, 1989), CROC-BLANC (Randal Kleiser, 1991), WATERLAND (Stephen Gyllenhaal, 1992), LES SURVIVANTS (Frank Marshall, 1993), RICH IN LOVE (Bruce Beresford, 1993), BIENVENUE À GATTACA (Andrew Niccol, 1997), DE GRANDES ESPÉRANCES (Alfonso Cuaron, 1998), HAMLET (Michael Almereyda, 2000), ASSAUT SUR LE CENTRAL 13 (Jean-François Richet, 2005), TAKING LIVES, DESTINS VIOLÉS (D.J. Caruso, 2004), 7H58 CE SAMEDI-LÀ (Sidney Lumet, 2007), BOSTON STREETS (Brian Goodman, 2008), L’ÉLITE DE BROOKLIN (Antoine Fuqua, 2009), LA FEMME DU Vème (Pawel Pawlikowski, 2011) et SINISTER (Scott Derrickson, 2012). En 2002, pour son interprétation face à Denzel Washington dans TRAINING DAYS de Antoine Fuqua, Ethan Hawke a reçu une nomination aux Oscars ainsi qu’à la Screen Actors Guild® comme Meilleur Acteur dans un second rôle. Ethan Hawke a par ailleurs réalisé un premier documentaire consacré au célèbre pianiste, compositeur et professeur de piano Seymour Bernstein, intitulé Seymour : An Introduction, présenté en avantpremière au Festival International du Film de Toronto en 2014. Ethan Hawke a fait ses débuts derrière la caméra en 2001 avec son drame CHELSEA WALLS. Il avait au préalable réalisé un courtmétrage en 1994, Straight To One, avec Josh Hamilton, qui évoquait déjà l’histoire d’un jeune couple amoureux demeurant au Chelsea Hotel. En 1996, Ethan Hawke se lance dans l’écriture d’un roman, The Hottest State, édité par Little Brown et qui compte à ce jour 19 tirages. Dans le cadre de ses études de réalisation il entreprend d’adapter son roman à l’écran et tourne également un vidéo clip musical pour son film. Son second roman, Ash Wednesday, publié chez Knopf en 2002 a été mis en avant dans la série des “Bloomsburry’s contemporary classics”. À 21 ans, Ethan Hawke créé le Malaparte Theater Co., qui accueille pendant ses cinq années d’existence de jeunes artistes et leur permet de développer leurs projets. En 1992, il fait ses débuts sur les planches de Broadway dans La Mouette d’Anton Tchekov. Puis on le voit dans Henri IV de Shakespeare aux côtés de Richard Easton et Kevin Kline, dans Burried Child de Sam Shepard avec la Compagnie Steppenwolf, dans Hurlyburly de David Rabe, The Coast Of Utopia de Tom Stoppard qui lui vaut deux nominations aux Tony Awards et à la Drama League Awards. Ethan Hawke participe également au « Bridge Project » réunissant des comédiens britanniques et américains dans les mises en scène de La Cerisaie de Tchekov et Conte d’Hiver de Shakespeare, puis il reçoit un Obie Award en 2011 pour son interprétation dans Blood From A Stone de Tommy Nohilly mis en scène par Scott Elliott. En 2012, il incarne Ivanov pour la Classic Stage Company et en 2013, il met en scène et interprète le rôle titre de Clive de Jonathan Mark Sherman d’après Baal de Bertolt Brecht. Fin 2013, il tenait le rôle titre de Macbeth de Shakespeare au Lincoln Center Theatre. À la télévision, c’est dans l’adaptation de Moby Dick qu’on a pu voir récemment Ethan Hawke, aux côtés de William Hurt. Devant la caméra BRUCE GREENWOOD (Lieutenant Colonel Johns) Bruce Greenwood tourne actuellement aux côtés de James Badge Dale et Emily Mortimer le thriller de science-fiction LAZARUS produit par Legendary/Universal, sous la direction de Nic Mathieu. Il a récemment participé au tournage du drame de Gabriele Muccino, FATHERS AND DAUGHTERS, où il donne la réplique à Russell Crowe. On a pu le voir fin 2014 dans UN AMOUR SANS FIN de Shana Feste (2014), le remake de UN AMOUR INFINI de Franco Zeffirelli (1981), adaptés tous deux du roman de Scott Spencer. Par ailleurs, Bruce Greenwood a retrouvé en 2013 son personnage du Capitaine Christopher Pike pour Paramount, sous la direction de J.J. Abrams dans STAR TREK INTO DARKNESS avec Chris Pine, Zachary Quinto et Zoe Saldana. Il avait auparavant joué face à Denzel Washington sous la direction de Robert Zemeckis dans le film FLIGHT, nominé aux Oscars 2013. On a pu voir Bruce Greenwood dans sa quatrième collaboration avec le réalisateur Atom Egoyan, CAPTIVES, présenté en 2014 en compétition au Festival de Cannes. Précédemment, les deux hommes avaient travaillé ensemble sur LES 3 CRIMES DE WEST MEMPHIS (2013) avec Reese Witherspoon et Colin Firth et EXOTICA (1994), où Greenwood interprétait le rôle principal, un inspecteur des impôts obsédé par une strip-teaseuse. Également présenté en compétition au Festival de Cannes, le film a obtenu la distinction du Meilleur Film Canadien au Festival International du Film de Toronto. Atom Egoyan a encore dirigé Bruce Greenwood dans DE BEAUX LENDEMAINS, lauréat du Grand Prix au Festival de Cannes 1997 et qui remporta entre autres le Genie Award du Meilleur Film (Oscars canadiens) et valut à Bruce Greenwood une nomination dans la catégorie Meilleur Acteur. Enfin, le tournage de ARARAT, sorti en 2002, réunit une nouvelle fois les deux artistes. Bruce Greenwood est récemment apparu aux côtés de Ryan Gosling et Bradley Cooper dans le drame de Derek Cianfrance THE PLACE BEYOND THE PINES (2013), où il interprète l’assistant d’un procureur. En 2010, il donne la réplique à Steve Carell et Paul Rudd dans THE DINNER, remake de Jay Roach du DINER DE CONS. Il a également travaillé sous la direction de Bruce Beresford pour MAO’S LAST DANCER (2009), de Jon Turtletaub pour BENJAMIN GATES ET LE LIVRE DES SECRETS (2007) avec Nicolas Cage, ou encore de Todd Haynes pour I’M NOT THERE avec Cate Blanchett et Richard Gere, où son double rôle dans ce biopic peu conventionnel du légendaire Bob Dylan lui valut le prix Robert Altman au sein des Independent Spirit Awards. Bruce Greenwood doit en partie sa renommée à son interprétation du Président John F. Kennedy négociant lors de la crise des missiles cubains dans TREIZE JOURS (2000) de Roger Donaldson avec Kevin Costner, pour laquelle il fut salué. Sa performance exceptionnelle dans TRUMAN CAPOTE de Bennett Miller en 2005, dans le rôle de l’écrivain Jack Dunphy, lui a également offert une nomination par la Screen Actors Guild. On a pu également voir Bruce Greenwood dans DÉJÀ VU de Tony Scott (2006) avec Denzel Washington et Val Kilmer, I,ROBOT de Alex Proyas (2004), ADORABLE JULIA de Istvan Szabo (2004) où il jouait l’amant d’Annette Bening et qui lui a valu une nomination aux Genie Awards comme Meilleur Acteur dans un Second Rôle, DOUBLE JEU de Bruce Beresford (1999) en complice d’un complot meurtrier avec Ashley Judd. Sa filmographie présente des titres aussi variés que LA DERNIÈRE PISTE de Kelly Reichardt (2010), LE MONDE DE BARNEY de Richard J. Lewis (2010), DONOVAN’S ECHO de Jim Cliffe (2011), REX, CHIEN POMPIER de Todd Holland (2007), HOLLYWOOD HOMICIDE de Ron Shelton (2003), THE WORLD’S FASTEST INDIAN de Roger Donaldson (2005), ANTARTICA, PRISONNIERS DU FROID de Frank Marshall (2005), L’ENFER DU DEVOIR de William Friedkin (2000), ZIG-ZAG de Frederik Du Chau (2005), UN ÉTÉ SUR TERRE de Mark Piznarski (2000), THE LOST SON de Chris Menges (1998), COMPORTEMENTS TROUBLANTS de David Nutter (1998), PASSAGER 57 de Kevin Hooks (1992) ou encore L’ORCHIDÉE SAUVAGE de Zalman King (1989). L’acteur est tout aussi éclectique dans sa carrière à la télévision ; on peut notamment le voir dans la série The River, créée pour ABC par Oren Peli, à qui l’on doit Paranormal Activity, et produite par Steven Spielberg. Devant la caméra ZOË KRAVITZ (Aviateur Vera Suarez) Zoë Isabella Kravitz est née à Venice en Californie. Fille de Lenny Kravitz et Lisa Bonet elle a, dès ses années de collège, nourri un vif intérêt et une véritable passion pour la comédie. Pressée de vivre, elle a tourné dans deux films tout en préparant son baccalauréat : elle a ainsi travaillé en 2007 avec Catherine Zeta Jones et Aaron Eckhart dans LE GOÛT DE LA VIE de Scott Hicks et dans À VIF de Neil Jordan aux côtés de Jodie Foster et Terrence Howard. On a pu voir Zoë Kravitz dans X-MEN : LE COMMENCEMENT (2011) où elle interprète Angel Salvadore aux côtés de Michael Fassbender, Jennifer Lawrence, James McAvoy et Kevin Bacon mais également dans des rôles de premier plan notamment dans UNE DRÔLE D’HISTOIRE de Ryan Fleck et Anna Boden (2010), BEWARE THE GONZO de Bryan Goluboff (2010), TWELVE de Joel Schumacher (2010) avec Kiefer Sutherland, 50 Cent, Chace Crawford et Emma Roberts, YELLING TO THE SKY de Victoria Mahoney (2011), DIVERGENTE de Neil Burger (2014) avec Shailene Woodley. On la retrouvera au printemps 2015 dans MAD MAX : FURY ROAD de George Miller (2014) aux côtés de Charlize Theron et Tom Hardy, ainsi que dans DIVERGENTE 2 : L’INSURRECTION de Robert Schwentke, puis prochainement dans le film encore sans titre de Gerardo Naranjo qu’elle vient de tourner avec Dakota Fanning. Parallèlement à sa carrière cinématographique, Zöe Kravitz est à la tête du groupe de musique LOLAWOLF, formé avec deux membres de REPUTANTE, James Levy et Jimmy Giannopoulos. On l’a vue dans le vidéo clip du titre « I Know » issu de l’album de Jay-Z « American Gangster », puis, avec de nombreux artistes tels que Jessica Alba, Ryan Philippe, Tyrese Gibson, George Lopez et John Leguizamo, dans le clip de soutien au président Obama. Devant la caméra JAKE ABEL (Le spécialiste Zimmer) Jake Abel est un comédien éclectique et polyvalent. On le verra prochainement dans LOVE AND MERCY de Bill Polhad avec Paul Dano, incarnant Mike Love de la bande des Beach Boys, puis dans GHOSTS OF THE PACIFIC de Rhys Hayward (2014) aux côtés de Tom Felton. Jake Abel est essentiellement connu pour ses rôles de premier plan dans LES ÂMES VAGABONDES de Andrew Niccol (2013) et la série des PERCY JACKSON : LA MER DE MONSTRES (2013) et LE VOLEUR DE FOUDRE (2010). Après plusieurs apparitions dans des séries à la télévision, notamment dans « Supernatural », c’est dans UN ÉCLAIR DE GÉNIE de Marc Abraham (2008) qu’il a fait ses premiers pas au cinéma, avant de tourner dans NUMÉRO QUATRE de D.J. Caruso (2011) ou encore LOVELY BONES de Peter Jackson (2009). Devant la caméra JANUARY JONES (Molly Egan) January Jones est connue pour son rôle de Betty dans la série « Mad Men » pour lequel elle fut nommée aux Golden Globes en 2009. Elle a récemment tourné sous la direction de George Ratliff le thriller d’épouvante THE SHUDDERING. On l’a vue en 2013 dans le western SHÉRIF JACKSON de Logan Miller avec Ed Harris et Jason Isaacs, en 2011 dans l’univers Marvel avec X-MEN : LE COMMENCEMENT de Matthew Vaughn ou encore, cette même année, aux côtés de Liam Neeson et Diane Kruger dans SANS IDENTITÉ de Jaume Collet-Serra. En 2009, sous la direction de Richard Curtis, elle joue aux côtés de Phillip Seymour Hoffman et Kenneth Branagh dans GOOD MORNING ENGLAND. En 2006, elle interprète le rôle principal de SWEDISH AUTO de Derek Sieg et la même année, incarne le personnage de Carol Dawson dans le drame WE ARE MARSHALL de McG avec Matthew Fox et Matthew McConaughey. Mais c’est surtout en 2005 que January Jones est acclamée par la critique pour son travail dans TROIS ENTERREMENTS de et avec Tommy Lee Jones, où elle interprètait l’épouse d’un policier qui tue accidentellement un clandestin. La présentation du film au Festival de Cannes lui attire des critiques dithyrambiques. On trouve notamment dans sa filmographie les titres AMERICAN PIE de Jesse Dylan (2003), LOVE ACTUALLY de Richard Curtis avec Colin Firth et Keira Knightley, BANDITS de Barry Levinson avec Billy Bob Thorton, Bruce Willis et Cate Blanchett et FULL FRONTAL de Steven Soderbergh. Derrière la caméra ANDREW NICCOL (Réalisateur) Né en Nouvelle-Zélande, Andrew Niccol (auteur, réalisateur et producteur) a longtemps été scénariste et réalisateur de spots publicitaires à Londres avant de s’installer à Los Angeles et d’y diriger des films « d’une durée supérieure à 60 secondes » selon ses propres termes. Il débute dans le long-métrage en portant à l’écran son scénario BIENVENUE À GATTACA en 1997, avec Ethan Hawke et Uma Thurman dans les rôles principaux. Le film est nommé aux Oscars pour ses décors et reçoit une nomination aux Golden Globes pour sa musique. L’année suivante, pour son scénario THE TRUMAN SHOW, qu’il produit également et que Peter Weir réalise, Andrew Niccol reçoit une nomination à l’Oscar du Meilleur Scénario. Le film est nommé à trois reprises aux Oscars et Andrew Niccol obtient le BAFTA du Meilleur Scénario. En 2002, il écrit, réalise et produit la satire S1M0NE avec Al Pacino en tête d’affiche. On lui doit également l’idée originale et le scénario du film LE TERMINAL que Steven Spielberg porte à l’écran en 2004, interprété par Tom Hanks et Catherine Zeta-Jones et dont la production exécutive revient à Andrew Niccol. À nouveau sous sa triple casquette de réalisateur, scénariste et producteur, il confia à Nicolas Cage et Jared Leto les principaux rôles de LORD OF WAR en 2005, puis à Justin Timberlake et Amanda Seyfried ceux de TIME OUT en 2011. En 2013, c’est le roman à succès de Stephenie Meyer The Host qu’il adapte pour réaliser LES ÂMES VAGABONDES. GOOD KILL, qu’il a écrit, réalisé et produit, marque sa troisième collaboration avec Ethan Hawke. Derrière la caméra NICOLAS CHARTIER (Producteur) Nicolas Chartier, primé aux Oscars avec DÉMINEURS de Kathryn Bigelow (2009), est impliqué dans le financement, la production et les ventes d’une large palette de films. Il fonde en 2005 la société de production et ventes internationales Voltage Pictures, qui investit dans plus de 150 films en six ans. DÉMINEURS est la première production de sa société et rafle 6 récompenses aux Oscars en 2010. Le film, interprété par Jeremy Renner et Guy Pearce a été distribué par LD Entertainment. En 2013, Nicolas Chartier produit DALLAS BUYERS CLUB de Jean-Marc Vallée, qui remporte à son tour les Oscars du Meilleur Acteur pour Matthew McConaughey et Meilleur Acteur dans un Second rôle pour Jared Leto. Cette même année il produit le film réalisé et interprété par Robert Redford SOUS SURVEILLANCE, avec à l’affiche Shia LaBeouf, Nick Nolte, Susan Sarandon, Julie Christie et Brit Marling, ainsi que DON JON de Joseph Gordon-Levitt avec Scarlett Johansson et Julianne Moore. Dernièrement, il collabore au film FATHERS AND DAUGHTERS réalisé par Gabriele Muccino dont les principaux interprètes sont Russell Crowe, Amanda Seyfried, Aaron Paul et Diane Kruger. Avant de créer Voltage Pictures, Nicolas Chartier était vice-président des ventes et des acquisitions chez Myriad Pictures, où il a travaillé sur des titres tels que THE GOOD GIRL de Miguel Arteta (2002) et AMERICAN PARTY de Walt Becker (2002). En tant que président de Vortex Pictures, il a vendu MARIAGE À LA GRECQUE de Joel Zwick (2002) et SONNY (2002) de Nicolas Cage. Responsable des ventes et des acquisitions chez Arclight Films, il a acheté la série de Dean Devlin THE LIBRARIAN, puis le très primé COLLISION de Paul Haggis en 2004 ou encore THE MATADOR de Richard Shepard (2005) avec Pierce Brosnan. Durant cette période chez Arclight, Nicolas Chartier a notamment vendu LORD OF WAR de Andrew Niccol et LE MARCHAND DE VENISE adapté de Shakespeare et réalisé par Michael Radford en 2004 avec Al Pacino. Derrière la caméra ZEV FOREMAN MARK AMIN Zev Foreman débute sa carrière dans le cinéma en s’occupant des acteurs. Par la suite, il se tourne vers les domaines du financement et de la production, intégrant la société Grosvenor Park où il se charge de films tels que DÉMINEURS de Kathryn Bigelow (2009) et LES INSURGÉS de Edward Zwick (2008). Les mutations dans le secteur de la finance mènent Zev Foreman vers Voltage Pictures où il se tourne rapidement vers le développement et la production – dont il est aujourd’hui responsable – au sein des ventes internationales. On peut citer parmi ses productions, des films tels que : KILLER JOE de William Friedkin (2011), FIRE WITH FIRE, VEANGEANCE PAR LE FEU de David Barett (2012), NOM DE CODE : GERONIMO de John Stockwell (2012), ZERO THEOREM de Terry Gilliam (2013), DALLAS BUYERS CLUB de Jean-Marc Vallée (2013) et tout récemment THE COBBLER de Thomas McCarthy avec Adam Sandler. Mark Amin créa la société Sobini Films en 2011 afin de produire des longs-métrages en tous genres. Producteur d’IMOGENE de Shari Springer Berman et Robert Pulcini (2013), distribué par Lionsgate/ Roadside Attractions, avec Kristen Wiig, Annette Bening et Matt Dillon, on lui doit également en 2013, la production de ORDURE ! adapté du roman à succès de Irvine Welsh et réalisé par Jon S. Baird avec James McAvoy, ainsi que STONEHEARST AZYLUM de Brad Anderson avec Kate Beckinsale, Jim Sturgess, Ben Kingsley et Michael Caine. Mark Amin a produit le film de Martha Coolidge LE PRINCE ET MOI en 2004, ou encore LE GUERRIER PACIFIQUE de Victor Salva en 2006. Sous sa direction, Sobini Films s’est forgé l’image d’un producteur de qualité, ayant notamment à son actif des films récompensés tels que STREETS OF LEGEND de Joey Curtis (2003), primé pour sa photographie au Festival de Sundance et LES MALHEURS DE CHRISSA de Martha Coolidge (2009), nommé aux Director’s Guild Awards et lauréat du National Parenting Publications Gold Award. Mark Amin a également travaillé sur le projet ZORRO : REBORN de Ricardo de Montreuil avec Gael Garcia Bernal et A MOMENT TO REMEMBER, remake du film coréen (Producteur) (Producteur) éponyme, réalisé par Ben Lewin avec Katherine Heigl. Outre ses fonctions chez Sobini, Mark Amin a été vice-président de Lionsgate Entertainment. Durant ses neuf années à la tête de la société et au conseil d’administration, les recettes de Lionsgate ont connu un remarquable essor passant de $148M à $1.2B. Dans cette période, Lionsgate fut le producteur de films aussi acclamés et primés que À L’OMBRE DE LA HAINE, Oscar de la Meilleure Actrice pour Halle Berry ou COLLISION, Oscar du Meilleur Film. Auparavant, Mark Amin avait créé la société Trimark Holdings, Inc. qu’il présidait et où il occupait le poste de PDG, et qui fusionna plus tard avec Lionsgate. Sous sa direction, Trimark acquit une des places les plus côtées dans l’industrie de la production indépendante et de la distribution. Il produisit notamment en 1997 EVE’S BAYOU avec Samuel L. Jackson, L’AFFAIRE NOAH DEARBORN avec Sidney Poitier, récompensé d’un Emmy Award en 1999, et FRIDA, distribué par Miramax et qui reçut six nominations aux Oscars. FICHE ARTISTIQUE Commandant Thomas Egan Lieutenant Colonel Jack Johns Aviateur Vera Suarez M.I.C. Joseph Zimmer Molly Egan ETHAN HAWKE BRUCE GREENWOOD ZOË KRAVITZ JAKE ABEL JANUARY JONES Femme Garçon Aviateur Roy Carlos Capitaine Ed Christie Billy Travis Egan Jesse Egan Danny Lieutenant Drier Homme Langley Frank Iris Trooper Morgan Emily James FATIMA EL BAHRAOUY EL KHTTABI ABDELOUAHAB RYAN MONTANO DYLAN KENIN STAFFORD DOUGLAS ZION LEYBA SACHIE CAPITANI MICHAEL SHEETS ROSS SHAW CHAKIR FAIZ PETER COYOTE COLIN JONES KRISTEN RAKES KEVIN WIGGINS ALMA SISNEROS FICHE TECHNIQUE Réalisateur Scénariste Directeur de la photographie Chef monteur Musique Supervisée par Chef décorateur Chef costumière Directeur de casting 1er assistant réalisateur ANDREW NICCOL ANDREW NICCOL AMIR MOKRI ZACH STAENBERG, A.C.E. CHRISTOPHE BECK DANA SANO et LIBBY UMSTEAD GUY BARNES LISA JENSEN AVY KAUFMAN, C.S.A. NICK MASTANDREA Producteurs NICOLAS CHARTIER ZEV FOREMAN MARK AMIN Administrateur de production Producteurs exécutifs TED GIDLOW PATRICK NEWALL TED GIDLOW CAMI WINIKOFF MUSIQUES « Bang Bang Boom » Paroles et musique de Tim Myers Interprétée par The Unknown Avec l’autorisation de Palladium Records En accord avec Zync Music Group LLC « Million Trillion » Paroles et musique de Mansa Wakili Interprétée par Chief Wakil Avec l’autorisation de Format Entertainment « Love Is Won » Paroles et musique de Leah Kessel Interprétée par Lia Ices Avec l’autorisation de Jagjaguwar En accord avec Bank Robber Music « Trust » Paroles et musique de Edward Joyner, Grant Widmer et Theresa Brunet Interprétée par Generationals Avec l’autorisation de Park the Van Records En accord avec Bank Robber Music « Stars » Paroles et musique de Elliott Hammond, Michael Tramonte, Simon McConnell et Alexander Markwell Interprétée par The Delta Riggs Avec l’autorisation de Bleed101 « Two Tickets To Paradise » Paroles et musique de Eddie Money « Hey Hey » Paroles et musique de Tom White, Alex White, Eamon Peter Hamilton et Mark Patrick Beatty Interprétée par Brakes Avec l’autorisation de FatCat Records En accord avec Bank Robber Music « Hold Out » Paroles et musique de Jesse Nolan Interprétée par Caught A Ghost Avec l’autorisation de +1 Records En accord avec Zync Music Group LLC « Love Of A Life » Paroles et musique de Koen Mestrum, Teun Pranger et Sam Harris Interprétée par Keljet (Featuring X Ambassadors) Avec l’autorisation de On The Fruit Records « Cards with the Devil » Paroles, musique et interprétation de Von Bonneville Avec l’autorisation de Terra Firma Music, Inc. En accord avec Secret Road Music Services, Inc. « I Forget It’s There » Paroles et musique de Lovisa Elisabet Sigrunardottir Interprétée par Lay Low Avec l’autorisation de Loo Records « Dawned on Me » Paroles et musique de Jeffrey Scot Tweedy et Patrick A. Sansone Interprétée par Wilco Avec l’autorisation de AntiEn accord avec Sugaroo! « Hi-Speed Soul » Paroles et musique de Matthew Caws, Daniel Lorca et Ira Elliot Interprétée par Nada Surf Avec l’autorisation de Barsuk Records and EMI Records UK En accord avec Bank Robber Music « Make Noise » Paroles et musique de Ali Theodore et Vincent Alfieri Interprétée par Mikey Likes It Avec l’autorisation de Format Entertainment « Angels » Paroles et musique de Stephen McBean, Jeremy Schmidt, Amber Webber, Joshua Wells et Matt Camirand Interprétée par Black Mountain Avec l’autorisation de Jagjaguwar En accord avec Bank Robber Music « Afraid of Everyone » Paroles et musique de Matthew Berninger et Aaron Dessner Interprétée par The National Avec l’autorisation de 4AD Recordings En accord avec Beggars Group Media Limited Nouvelle venue en octobre 2013, LA BELLE COMPANY fondée par Nicolas Rihet et Marc-Antoine Pineau propose une nouvelle manière de distribuer les films en France avec trois objectifs : qualité, transparence et rentabilité. Nicolas et Marc-Antoine se sont rencontrés il y a 6 ans chez STUDIOCANAL. Les deux amis réunis comptent 50 années d’expérience dans les sociétés majeures de la distribution du Cinéma en France : Gaumont-Buena Vista, Warner Bros, Pyramide, la Pan Européenne, Wildside et MK2. Ce parcours les a conduit à distribuer plus de 600 films en tous genres, des plus grands Studios aux plus indépendants, générant près de 476 millions d’entrées en salle. LA BELLE COMPANY a ainsi gagné la confiance de partenaires solides : les laboratoires techniques Ymagis & AGM, les agences Mercredi & Silenzio, les banques la Palatine & BNP Paribas et l’éditeur TF1 Vidéo. Forts de ces atouts, Marc-Antoine et Nicolas ont l’ambition de faire de LA BELLE COMPANY, une des sociétés de Distribution du cinéma français les plus innovantes, dans la diversité de ses choix mais aussi une des plus rentables en la plaçant dès 2015, dans le top 20 des distributeurs français et le top 10 d’ici 5 ans avec l’objectif ambitieux d’une sortie de film tous les mois. La Belle Company démarre ainsi l’année 2015 avec un line-up français et international à la fois solide et éclectique : JOKER de Simon West, LA GRANDE AVENTURE DE MAYA L’ABEILLE de Alexs Stadermann, LES CHÂTEAUX DE SABLE de Olivier Jahan, MAUDIE de Aisling Walsh, TORIL de Laurent Teyssier et GOOD KILL de Andrew Niccol.