Zeitung vum ZithaGrupp
Transcription
Zeitung vum ZithaGrupp
SEPTEMBER 10 Zeitung vum ZithaGrupp > Culture (p. 5, p.10, p.25) > Santé: arrêter de fumer (p. 12 > Lectures (p. 14) 18 N° sommaire EDITORIAL Hans Jürgen Goetzke 2 editorial > Réflexion Liebe Leserinnen und Leser ! DU HAUT DE MON BALCON 3 Jean-Jacques Grosber > Palliative Care FORTBILDUNGSTAG FÜR MEDIZIN, SEELSORGE UND PFLEGE 4 Elisabeth Weber-Juncker > ZithaKlinik STÖCKELSCHUH MIT GEIGE 5 Winfried Heidrich SIGGY'S CUP 2010 Laurent Scharff MITARBEITERGESPRÄCH 7 Winfried Heidrich ZITHAART 6 Nach den extrem heißen Tagen im Juli hoffe ich, dass Sie die Sommerzeit für Erholung und Entspannung nutzen konnten. Die kühleren Tage nach der „Rentrée“ und im vor uns liegenden Herbst werden für viele von uns sicher wieder sehr arbeitsreich. Für die „Rentrée“ wünsche ich Ihnen allen Kraft und Besonnenheit zum Wohle unserer Patienten und Bewohner. 10 KonYv PRIX DE L'INNOVATION ET DE LA QUALITÉ Hans Jürgen Goetzke Generaldirektor 11 MÉI GESOND LIEWEN OUNI TUBAK ZithaGesondheetsZentrum SPORT NACH KREBSTHERAPIE 12 ZithaGesondheetsZentrum 13 > Livres (fr + de) 14 > Ressources Humaines > Remise de montres 2010 16 17 > Formation continue EVALUATION IM FORTBILDUNGSBEREICH „Paris-Texas“ und nun „Paris/Zitha“ – war die erste Paris-Kombination noch der Titel eines Filmes und meinte einen kleinen Ort in Texas, ist Paris/Zitha mitten in Luxembourg auf der „Aler Avenue“ und dem „Paräisser Plaz“ zu finden. Wir sind froh, dass die Patienten und Besucher der Zitha nun eindeutig wissen, wann sie ihr Ziel erreicht haben. Wir sind auch ein wenig stolz, dass mit der Umbenennung der Bushaltestellen am Place de Paris der Bedeutung der Zitha Rechnung getragen wird. 18 Vito Savino > ZithaSenior ZITHAFIT Dr Carine Federspiel 19 Chères lectrices, chers lecteurs, "Paris Texas" et maintenant "Paris / Zitha" - n'était ni la première combinaison du mot Paris, mais le titre d'un film et désigne une petite ville au coeur du Texas. Paris/Zitha est au milieu de Luxembourg entre l'avenue de la Liberté et la place de Paris. Nous sommes heureux que les patients et les visiteurs de la Zitha sachent maintenant clairement quand ils ont atteint leur objectif. Nous sommes aussi fiers que le changement de nom de l'arrêt de bus prenne en compte l'importance de la Zitha. Après les journées très chaudes de Juillet, j'espère que vous pourrez utiliser l'heure estivale au profit du repos et de la détente. Les journées plus fraîches de la rentrée et l'automne qui nous attend, sera pour beaucoup d'entre nous très chargé. Pour cette rentrée Je vous souhaite toute la force et la pondération nécessaire pour la prise en charge de nos patients et résidents. > ZithaKlinik L'HÔPITAL DE JOUR GÉRIATRIQUE Dr Carine Federspiel Hans Jürgen Goetzke Directeur général 20 PROJET D'ACCREDITATION DU LABORATOIRE Georges Glodt 21 TAG DER OFFENEN TÜR Gunar Jamros24 BILDERAUSSTELLUNG Winfried Heidrich 25 DIÉTÉTIQUE 26 Eric Altmann > La Source kompress n°18 > september 10 Zeitung vum ZithaGrupp 27 impressum Herausgeber: ZithaGruppe Verantwortlich: Hans Jürgen Goetzke, Redaktionsassistentin: Marie Suraud – Gestaltung: Marie Suraud Redaktionskomitee: Eric Altmann, Georges Glodt, Winfried Heidrich, Dr. Marc Keipes, Maryse Landfried (Fotografin), Gery Oth, Claude Ries, Vito Savino, Nadine Schmit, Beate Schuhmann, Martine Valentiny, Bernard Vidali Konzept: binsfeld corporate – Druckerei: Imprimerie Hengen – Erscheinungsweise: 3/Jahr – Auflage: 3.000 Exemplare www.zitha.lu – [email protected] – Tel.: 40 144-2053 3 Du haut de mon balcon D epuis quelques mois, ZithaSenior a rebaptisé ses maisons de retraite et de soins. On parle actuellement des "Seniories" de notre groupe. Ce changement est peut-être un simple détail, mais il vaut bien quelques réflexions. Par cette nouvelle appellation nous souhaitons signaler notre volonté et nos efforts de dépasser le stade des "homes", "foyers", "centres", etc... pour offrir aux personnes concernées une vraie demeure conviviale et respectueuse de leur situation. Leurs manques et leurs faiblesses y sont autant pris en charge que leurs richesses souvent latentes. En même temps, nous refusons ce jeu de socitété qui consiste à exprimer par des euphémismes raffinés, tout ce qui se rapporte aux dernières années de notre vie. Trop de gens pensent que l'on a (?) enfin domestiqué le décès et la mort et qu'il faut s'attaquer maintenant à l'âge avancé et à la vieillesse. Avez-vous remarqué qu'il n'y a plus, comme bannis de la société, de personnes âgées ou, comme on disait autrefois, de vieux dans notre société? Il y a les seniors, les personnes d'un certain âge, les plus de soixante-dix ans, le troisième voire quatrième âge, les retraités... Tout le monde s'accorde à dire que nous devenons de plus en plus âgés, dans le sens où la durée moyenne de notre vie augmente d'environ trois mois par année de calendrier. Mais, rares sont ceux qui admettent qu'ils deviennent personnellement plus âgés au fil du temps. Autre ambiguïté, "je ne suis pas vieux, ah non! peu importe mon âge. J'adore le vieux vin, j'aime les meubles du XVIIIe siècle, je rafolle d'old-timer et je collectionne les vieux outils du Moyen-Âge"... Comme si l'âge apportait une plus-value aux objets et une sérieuse perte de valeur aux vivants. Eux, ils "diminuent", "déclinent", "régressent", "fatiguent"... et il faut à tout prix les empêcher de regarder lucidement leur situation, comme si elle était vide de sens, de valeurs, de richessesses à tout jamais. Il suffit de feuilleter certaines brochures pour les personnes âgées ou les offres d'activités dans les maisons de retraite. Quel décalage, quel gouffre entre la réalité et ce que le papier brilliant veut nous faire croire. L'idée de la vieillesse est condamnée à se cacher honteusement derrière les façades du jeunisme et de l'anti-aging qui fait (encore) si bien marcher le commerce de certains groupes spécialisés. Sérieusement! Faut-il vraiment avoir honte de (se) dire: " je suis âgé", "je sens mes limites", "je réalise ma dépendance croissante..." (dépendance qui n'a d'ailleurs jamais cessé, mais sous d'autres formes, de marquer ma vie depuis que je suis né), "je préfère le repos à la fébrilité d'un certain activisme", "je me rends compte que la fin approche, mais..." "Pour moi l'âge n'est pas une prison, mais un balcon d'où l'on voit à la fois plus loin et avec plus de précision" (Marie Luise Kaschnitz) Quel atout formidable de nos seniories si l'on pouvait se mettre à côté de chaque vieux sur le balcon de son âge et lui permettre d'oser ce regard au loin, tellement riche, qui, seul, peut éclairer le jardin de son coeur en voie de trouver son épanouissement. Jean-Jacques Grosber kompress n°18 > september 10 Zeitung vum ZithaGrupp Palliative Care und die Würde des Menschen 4 EIN FORTBILDUNGSTAG FÜR MEDIZIN, SEELSORGE UND PFLEGE wurde engagiert diskutiert und Erfahrungen ausgestaucht. Die Veranstalter hat es besonders gefreut, dass alle Berufsgruppen des Multidisziplinären Teams (MedizinerInnen, TheologenInnen, PsychologenInnen, Pflegende und ehrenamtliche MitarbeiterInnen der verschiedenen palliativen Einrichtungen) vertreten waren. Somit konnte aus den verschiedenen professionellen Blickwinkeln die Frage nach der Wahrung der Würde des Sterbenden in einer sich zunehmend professionalisierten Palliative Care nachgegangen werden. Als Fazit dieses Studientages kann festgehalten werden, dass Professionalisierung und Standards zwar den äußeren Rahmen für ein würdevolles Sterben geben, aber sie sind kein Garant für die Würde des Einzelnen. Um der Würde des Menschen als ständigem Anspruch gerecht zu werden bedarf es immer wieder einer Reflexion des eigenen Handelns im multidisziplinären Team. Unter diesem Thema fand am 30 Juni ein Studientag in der Caritasklinik St. Theresia, Saarbrücken statt. Dieser Tag erwuchs aus einer grenzüberschreitenden Zusammenarbeit zwischen Frau Dr. Blatt- Bodewig, Palliativmedizinerin und Chefärztin der Palliativstation und Frau Kaspar, Krankenhausseelsorgerin, beide Caritasklinik St. Theresia Saarbrücken, Professor Wahl, Pastoraltheologe der Theologischen Fakultät Trier, Frau Weber-Juncker, Referentin für Theologie und Palliative Care, Fondation Ste. Zithe, Luxemburg und Stefan Nober, Bistum Trier. Palliative Care ist in weiten Bereichen bereits aus den Kinderschuhen kompress n°18 > september 10 Zeitung vum ZithaGrupp entwachsen und hat sich als eigene Fachrichtung etabliert. Die beteiligten Professionen Medizin, Pflege, Seelsorge und Psychologie haben dazu ihre eigenen Standards entwickelt. Die Frage, die sich daraus stellt: Wird in einer so professionalisierten Sterbe-begleitung das Thema „Würde“ überflüssig? Im regen Austausch wurde dieser Frage zwischen 140 Teilnehmern aus Luxemburg und Deutschland nachgegangen. Gemeinsamkeiten und Unterschiede wurden nicht nur in der Podiumsdiskussion und den Workshops ausgetauscht, sondern auch in den Pausen. Trotz großer Hitze und anstrengender Enge in den Workshops Um dieser Herausforderung gerecht zu werden, soll im nächsten Jahr ein solcher Studientag als gemeinsame Plattform des gegenseitigen Austauschs zwischen den verschiedenen Professionen in Luxemburg stattfinden. Elisabeth Weber-Juncker 5 Stöckelschuh mit Geige MUSIKAUFFÜHRUNGEN IN UNSERER KLINIK S eit drei Jahren veranstaltet die Zithaklinik zusammen mit der „Fondation EME – Ecouter pour Mieux s’Entendre“ kleine Konzerte auf Station A3, direkt neben dem Aufzug. Mitarbeiter vom technischen Dienst stellen am Morgen 18 Stühle in den Gang, so, dass sie den Klinikverkehr nicht blockieren. Patienten kommen oder werden gebracht. Die Musiker stimmen ihre Instrumente. Der Direktor begrüßt Spielende und Zuhörer. Heute musizieren eine Stunde lang Darko Milowich (Geige) und Ilan Schneider (Bratsche) vom Orchestre Philharmonique du Luxembourg (OPL). Neben ihrem Engagement im OPL treten beide in internationalen Orchestern auf und haben zahlreiche Preise gewonnen. Die Idee der "Fondation EME" Musik in Kliniken und an anderen Orten sozialer Einrichtungen zu spielen ist bestechend und richtig. Sie schreiben auf ihrer Homepage www.fondation-eme.lu: „Hochmotivierte Musiker und ehrenamtliche Helfer stellen sich in den Dienst der Idee, Musik zu Menschen zu tragen, die üblicherweise vom Kulturleben ausgeschlossen sind. Denn die direkte Begegnung mit Musik ist ein Grundbedürfnis des Menschen. Jede Hilfe, diese wirklich allen zugänglich zu machen, fördert die soziale Gerechtigkeit. Die Projekte, die mithilfe der EME Stiftung realisiert werden, verbinden eine soziale mit einer kulturellen Dimension. Sie dienen gezielt Menschen, die aus vielfältigen Gründen außerhalb des gewöhnlichen Adressatenkreises kultureller Aktivitäten stehen – darunter Kinder und Erwachsene mit komplexen Behinderungen, mit einge- schränkter Mobilität oder in schwierigen Lebensumständen sowie sozial benachteiligte, vereinsamte oder am Rand der Gesellschaft lebende Menschen.” Wie immer, wenn es um etwas ganz Besonderes geht, sind unausgesproche Erwartungen zu spüren: Möge es doch eine Musik geben, die „alle Tränen abwischt“ (Offenbarung 21,4), die sie durch ihr Spiel selber auslöst. Um solchen Erwartungen entgegenzukommen, findet der Musikvortrag in der „ZithaKlinik“ auch nicht in einem abseitig geschützten „künstlichen“ Raum statt, sondern mitten im Leben, Leiden und den Bewegungen einer Krankenstation. Das räumliche Beieinander von Kunst und Alltag bedeutet für die Zuhörer und vor allem für die Musiker eine gewisse Unruhe. Das sieht und hört sich dann so an: Eine kompress n°18 > september 10 Zeitung vum ZithaGrupp 6 Stöckelschuhgeherin durchquert die Szene. Ihr Schritt klingt wie das Messerspitzenstakkato auf der gläsernen Kuchenplatte beim Anschneiden einer Erdbeertorte, untermalt von Paganinis „Carnevale in Venezia“. Wenig später kommt Blut gelaufen, in einem kleinen Plastikbeutel, getragen von einer Person im weißen Kittel. Zwei Farbtupfer: rot und weiß, jetzt im Dienste der Musik. Eine Patientin wird müde und bittet in ihr Zimmer zurückgebracht zu werden. Man hört die Hartgummiräder ihres Rollstuhls über die Plättchen des Ganges rollen, ein leises und sanftes Tremolo zu Bohuslav Martinus „Madrigal Nummer 2“. Zehn Minuten später: Eine weitere Frau mit Stöckelschuhen geht durch die Musik, diesmal auf Zehenspitzen. Ihre tappenden Bewegungen gleichen denen des rosaroten Panthers. Man hört nur ihr Gehen auf Zehenspitzen, das sich dem Takt der Musik – „Zwei kurze Duette“ von Johann Sebastian Bach - anzupassen scheint. Und dann das: ein Arzt kommt, bleibt stehen und hört zu. Hört nur zu. Sein Instrument der Töne, das Stethoskop, baumelt - verloren oder ganz bei sich selber – von seinem Hals. Wie Efeu wachsen weitere Ohren aus den unteren Etagen das Treppengeländer hoch. Die Klinik wird ganz Ohr. Viele sind traurig berührt. Manche summen leise mit. Wer möchte, überlässt sich der Musik. Dieser Vorgang, den der Volksmund abwehrend „sich gehen lassen“ nennt und die Psychoanalyse als „Regression im Dienste des Ich“ bezeichnet, führt in Tiefenschichten unserer Sehnsucht. Zwei Musikinstrumente sprechen zu und mit uns, da wo für unser komplexes, undurchsichtiges Leben die Worte fehlen. Das Spiel der Musiker, Geige und Bratsche, unterbricht für Momente den Klinikalltag, der oft schweigend oder mit den immer gleichen Worten und Geräuschen verrichtet wird. Die Musik macht aus Zuhörern Träumende. „Die große Kunst der Musik besteht darin, den Zuhörer aus seiner örtlichen Bindung zu lösen.“ sagt der Jazzpianist Keith Jarrett. Am Ende gibt es einen großen Applaus für Darko Milowich, Ilan Schneider und ihre Kunst, die Zuhörer für eine „kleine Ewigkeit“ aus ihrer örtlichen Bindung gelöst zu haben. Winfried Heidrich SIGGY'S CUP 2010 Comme chaque année, la Zitha a participé à la Ziggy's Cup qui s'est déroulée du 7 au 10 mai 2010, à Kremik en Croatie. Cette année, ce sont deux bateaux qui ont pris le large: le Travels with Tin Tin III avec pour skipper Dr. Gregor Baertz et le Summer Wine II et le skipper Dr. Roger Wirion. Malheureusement aucun des deux bateaux n'a remporté la course et sont arrivés respectivement 12e et 17e, sur un total de 28 bateaux. Sur la photo de gauche à droite: Dr. Tom Faber, Dr. Julie Thoma, Dr. Peter Bräutigam, Dr. Christiane Schummer, Dr. Gregor Baertz, Laurent Scharff, Dr. Roger Wirion, Pascal Aubertin, Marie-Rose Hary, Dr. Catherine Schmit-Burgy, Dr. Hassan Hadji, (Dr. Gilles Kieffer) kompress n°18 > september 10 Zeitung vum ZithaGrupp 7 Mitarbeitergespräche GESPRÄCH MIT MONIKA REISS Es ist erstaunlich und erfreulich zugleich, über wie lange Zeit Mitarbeiterinnen und Mitarbeiter in der ZithaKlinik arbeiten, ein Anlass, bei „Altgedienten“ nachzufragen. In dieser Ausgabe von Kompress sprechen wir mit Monika Reiss, Mitarbeiterin in der Endoskopieabteilung. Die Fragen stellt Winfried Heidrich "Das Essen wurde auf Station auf Teller verteilt und den Patienten gebracht. Es gab also noch kein Tablettsystem." Monika, als Du Krankenschwester wurdest, ging da Dein Traumberuf in Erfüllung oder gab es auch berufliche Alternativen? Ich war 1970 im 9. Schuljahr mit der Schule zur einer Berufsinformation, wo der Beruf der Krankenschwester vorgestellt wurde. Da ich erst 14 Jahre alt war, hatte ich noch 3 Jahre zu überbrücken, die ich mit einer zweijährigen Ausbildung zur Hauswirtschaftsgehilfin nutzte. Danach arbeitete ich noch ein Jahr auf einer Säuglingsabteilung im St. Elisabeth Krankenhaus in Wadern. Als ich 17 Jahre war, konnte die Ausbildung beginnen. Es gab allerdings eine Frage, die mich sehr beschäftigte: die Angst vor dem Tod. Was mache ich, wenn jemand stirbt? Wie kann ich damit umgehen? Also entschied ich mich zuerst, die Ausbildung zur Pflegehelferin zu machen. In dieser Zeit wollte ich herausfinden, wie ich mit dem Sterben und dem Tod der Patienten zurechtkäme. Nach dieser Ausbildung habe ich 2 Jahre als Pflegehelferin im BKT Trier gearbeitet. Der Tod hat seinen Schrecken nicht verloren, aber ich komme seither mehr oder weniger gut damit zurecht, wenn Menschen gestorben sind. Auf das Drängen eines Arztes unserer Station hin fing ich 1976 die Ausbildung zur Krankenschwester an. Als Du dann nach Luxemburg gekommen bist, wolltest Du für immer kommen und Dein ganzes Berufsleben hier verbringen? Nach meiner Ausbildung habe ich von 1979 bis 1982 in einem Krankenhaus in Köln gearbeitet. Es war eine 42 Betten Akutchirurgie mit einer personellen Unterbesetzung. Wir hatten geteilte kompress n°18 > september 10 Zeitung vum ZithaGrupp 8 Dienste, in der Wochenendschicht arbeitete eine Krankenschwester alleine mit einer Pflegehelferin, das war die Regel. Und nur alle 14 Tage war ein Wochenende frei. Das konnte ich nicht länger aushalten. Mit einer Freundin, die damals ihre Ausbildung beendete, beschloss ich, einen anderen Arbeitsplatz zu suchen. Eines Abends bei einem Glas Wein haben wir eine Landkarte, Benelux, Eifel Rheinland Pfalz, Frankreich und noch ein paar Anrainerländern ausgebreitet, haben die Augen geschlossen und getippt, wo wir hin könnten. Ich habe Luxemburg getroffen, Renate die Eifel, also ging es nach Luxemburg. Eine Bekannte hat uns die Adressen der Krankenhäuser organisiert, wir haben Bewerbungen los geschickt und sind dann im November 1982 in der ZithaKlinik gelandet. Wie erging es Dir in der ersten Zeit hier in der Klinik ? Die Klinik war übersichtlich, die Atmosphäre familiär, jeder kannte jeden. Es gab auf jeder Station alle Fachrichtungen, was manchmal schwer zu handhaben war, man musste also sehr flexibel sein. Andererseits wurde man wegen der Vielfalt der Aufgaben nicht zum „Fachidioten“. Ich habe bis 1990 auf Station 2B gearbeitet. Es war so ganz anders als in Köln, es gab mehr Personal auf kleineren Stationen, ich hatte auf einmal Zeit für die Patienten. Es gab auch Rückschritte: Es waren keine Toiletten in den Zimmern, es gab wenig Pflegemittel oder Lagerungsmittel, z. B. Schaffelle oder Wasserkissen für Dekubitus gefährdete Patienten. Ich musste auf einmal wieder umdenken. Elastische Binden wurden extra gewaschen und wieder aufgewickelt. Medikamente, Tabletten und Ampullen wurden einzeln von der Apotheke ausgegeben. Das Essen wurde auf Station auf Teller verteilt und den Patienten gebracht. Es gab also noch kompress n°18 > september 10 Zeitung vum ZithaGrupp kein Tablettsystem und der Pat hat gegessen was auf den Teller kam. Dafür war das Essen besser, es war frisch und schmackhaft. Man konnte dem Patienten gezielt mehr oder weniger geben. Und am Sonntag bekam der Arzt seine Suppe. Zu Beginn Deiner Zeit hier war auf jeder Station und Abteilung noch eine Ordensschwester. Was verbindest Du mit den Zithaschwestern? Die Ordensschwestern waren auf der Station oft Ansprechpartner für religiöse Fragen und Belange. Die Schwester ging jeden Abend noch einmal durch alle Zimmer, hat den Patienten eine gute Nacht gewünscht und ihnen Weihwasser angeboten. Sie hat sich darum gekümmert, wenn es Patienten schlecht ging, dass sie die Sterbesakramente erhielten. Der menschliche und religiöse Umgang mit den Patienten war ihnen besonders wichtig. Du hast lange auf der Station gearbeitet und warst auch Stationsleiterin. Wie blickst Du auf diese Zeit zurück?? 1990 wurde ich von Schwester Josepha gefragt, ob ich eine Stationsleitung übernehmen könnte. Auf Station B3 war die Stelle der Stationsleitung frei geworden. Ich erbat mir eine Bedenkzeit und habe mit einer Freundin das Für und Wider überlegt. Dann habe ich zugestimmt unter der Bedingung, dass ich einen Stationsleiterkurs besuchen kann und dass eine Stellvertretung auf die Station kommt. Die Stationsleiterausbildung habe ich in Krankenhaus in Merzig gemacht. Und Anja, die Stellvertretung, hatte mich nicht nur in dieser Zeit gut vertreten und unterstützt. Damals war die Stationsleitung allerdings noch stärker in die Pflege eingebunden. Nach 7 Jahren Stationsleitung kam ich an einen Punkt, an dem mir klar wurde, dass dieser Teil meines Berufes mir nicht mehr gefiel. Es gab immer mehr Schreibarbeit, Budgets zu erarbeiten, Berichte zu schreiben, auf Versammlungen zu gehen. Arbeiten, die nicht direkt zu dem Beruf gehörten, den ich einmal gelernt hatte. Du hast dann die Arbeit und die Abteilung gewechselt. Von 1998 bis 2002 habe ich im Service Ambulatoire gearbeitet. Dieser wurde einige Jahre vorher neu eröffnet und sollte erweitert werden. 2001 wurde diese Abteilung mit der Station B3 zusammengelegt. Ich war wieder auf Station und habe mich umgehend wieder für eine Funktionsabteilung beworben. Nach einem Vorstellungsgespräch mit Sabine und Nunz sowie einem kurzen Probelauf habe ich im März 2002 in der Endoskopie angefangen. Nacheinander wurde ich in die „Geheimnisse“ der Endoskopie eingeweiht, lernte die unterschiedlichen Endoskope und Untersuchungen und auch den ausgeklügelten Tagesablauf kennen. Ich wechselte zwischen Endoskopie, Urologie und Pneumologie. Es gab 8 Ärzte in der Abteilung und jeder hat die Untersuchung anders gemacht, wollte die Prämedikation anders, es gab einiges zu lernen. Mit Blick auf den Patienten kann ich sagen, dass jeder die Untersuchungen anders erlebt. Wir sehen seine Erleichterung, wenn alles gut überstanden ist oder seinen Schock, wenn ein Tumor gefunden wurde. Arzt und Personal haben nicht immer die nötige Zeit, sich in solchen Situation länger mit dem Patienten zu unterhalten, da der 9 Oben links: Edgar Lahr, Rita van Hemelryck, Elisabeth Spiedel, Daniel Reuter Unten links: Sabine Thoss, Nadia Quoilin, Monika Reiss, Denise Noe nächste Patient schon Untersuchung wartet. auf seine Heute wird jede Arbeit am Patienten über den Computer festgehalten und verrechnet, ansonsten würde diese Arbeit wie nicht durchgeführt gelten. Die Informatik bringt wohl Erleichterungen, aber auch Mehrarbeit, wenn der Computer während der Untersuchung abstürzt und nichts mehr geht oder wenn er sich am Morgen nicht hochfahren lässt. Die Station befindet sich technisch und von ihren Abläufen her in einem ständigen Wandel. Wenn ich glaube, ich weiß endlich wieder alles, kommt etwas Neues hinzu. Und jedes Jahr wird der obligatorische „Endo“-Ausflug gemacht und es werden kleine Feste gefeiert. Was hat sich in der Endoskopie, in der Du arbeitest, in den vielen Jahren am Auffallendesten verändert? Durch die Vorsorgediagnostik ist oft eine frühzeitige und lebensrettende Erkennung von Tumoren möglich geworden. Diese tolle Errungenschaft hat eine stetig steigende Anzahl von Untersuchungen zur Folge, bei einer knapper werdenden Personaldecke. Zusätzlich hat sich die schriftliche Dokumentation drastisch erhöht, dadurch verringert sich die Zeit, die für den Patienten übrig bleibt. Es hat schon eine Patientin zu mir gesagt, nachdem ich sie gefragt hatte, wie es ihr geht: „Sie haben ja doch keine Zeit zum Zuhören, hier ist doch jeder im Stress!“ Das machte mich sehr betroffen. Auf der einen Seite braucht der Patient jemanden zum Zuhören, auf der anderen Seite wartet der Arzt für die nächste Untersuchung. Manchmal habe ich den Eindruck, dass immer mehr auf Quantität als auf Qualität Wert gelegt wird. Der Patient als Mensch darf nicht aus unserem Blick geraten. Zum Pflegen gehört immer noch der zwischenmenschliche Kontakt. Ein Infusomat kann nicht zuhören und die Antidekubitusmatratze kann keinen in den Arm nehmen. Du siehst in der Klinik soviel von der Bedrohung des Lebens, wovor hättest Du Angst? Wenn ich mich nicht mehr äußern und „Nein“ sagen könnte und der „Maschinerie“ Klinik hilflos ausgeliefert wäre. Wenn ich unheilbar krank oder alt und in der Sterbephase wäre und dann noch unnötig Untersuchungen gemacht würden. Dass ich nicht sterben dürfte, davor hätte ich Angst. Die meisten Menschen sterben im Krankenhaus und nicht jeder möchte um jeden Preis gerettet werden, vielleicht ist ja Sterben für einige die Rettung. Was bedeutet Dir das Reisen? Einmal Ausspannen, aber auch Neues lernen. Mir fällt besonders meine Reise nach Indien ein. In Kalkutta spielt sich das Leben zum großen Teil auf der Straße ab. Dort wird geschlafen, gearbeitet, gekocht und gelebt. Es ist schmutzig, die Menschen waschen sich und ihre Kleidung in Pfützen. Manchmal hatte ich das Gefühl, ich könnte allein schon vom Zusehen eine Hepatitis bekommen. In den Bergen war es besser. In Darjeeling leben die Religionen friedlich zusammen: Christen, Moslems, Hindus. Die Menschen haben Arbeit. Die vielen Teeplantagen führen zu einem gewissen Wohlstand. Eine Inderin wusste, dass ich Krankenschwester bin und wollte mir ein Krankenhaus zeigen. Als wir dort ankamen, war es wegen einer Tetanusepidemie geschlossen. Wir konnten nicht hinein. Es hat aber auch niemand ein Wort darüber verloren, es war einfach so. In diesem Land lernte ich, meinen Lebenskomfort in Luxemburg oder in Deutschland zu schätzen. Es sind so viele Dinge selbstverständlich, dass wir uns darüber keine Gedanken machen. Wir drehen den Wasserhahn auf und es kommt warmes oder kaltes sauberes Wasser. Die Reise nach Indien war so ein ganz anderer Urlaub. Es gibt auch Urlaube, da bin ich mit einer Tasche voller Bücher weg und will meine Ruhe haben. Was macht für Lebensglück aus? Dich Nicht krank zu sein, ein Dach über dem Kopf zu haben, Freunde, einen Arbeitsplatz, an dem es mir gut geht. In meiner Freizeit fotografiere ich gern, und ich mache Skulpturen aus Speckstein, Alabaster oder Sandstein. Es ist schön, wenn ich sehe, was aus dem Stein wird, wie er sich verändert und meistens anders gerät als ich mir das gedacht habe. Das Einlassen auf den Stein, der seine Form oft schon hat und die nicht abgeben möchte. Die Freude an der körperlichen Arbeit, mit Hammer und Meißel eine Form ausarbeiten und nachher zu sehen wie es geworden ist. Es gibt auch den Stolz: Das habe ich gemacht! Von Morgens bis Abends zu organisieren. Arbeitskraft soll da eingesetzt werden, wo sie gefragt und gebraucht wird, ist das so schwer? Monika Reiss, vielen Dank für das Gespräch! kompress n°18 > september 10 Zeitung vum ZithaGrupp 10 ZithaArt L'ART AU PROFIT DU MALAWI Photo: Gilbert Linster Africa ! Afrique du Sud, mise en évidence momentanée par le grand spectacle de la coupe du monde de football! Mais n’oublions pas qu’après ce manège le quotidien souvent gris et dur reprend sa place. En bordure de ces événements le Malawi continue à vivre ses misères et ses espoirs, espoirs placés dans les organisations et les fondations des pays riches, surtout européens, qui par leur aide s’acharnent à amener dans les pays du tiers monde un niveau de vie digne de tout être humain quel qu’il soit. Au Luxembourg les organisations et les kompress n°18 > september 10 Zeitung vum ZithaGrupp fondations qui offrent leur aide aux plus pauvres d ‘Afrique sont nombreuses depuis de longues années. Parmi elles la Fondation Ste Zithe s’engage au Malawi dans le perfectionnement au sein du secteur hospitalier. Pour garantir de telles aides il faut avoir des moyens financiers, que la Fondation Ste Zithe s’est procuré par exemple du 4 juin au 1er juillet 2010 grâce à une exposition d’art contemporain à la ZithaKlinik. Un heureux hasard a voulu que Marc Stein rencontre quatre artistes travaillant et exposant à Luxembourg-Grund dans le cadre de Konscht am Gronn: Danielle Uzan, Yvette Rischette, Kingsley Ogwara et Viviane Briscolini. Il n’a fallu ni de nombreux ni de longs pourparlers pour convaincre et animer les quatre artistes à monter l’exposition Meet the Artists dans le hall d’accueil de la ZithaKlinik. Deux d’entre eux, Danielle Uzan et Kingsley Ogwara, sont originaires du continent africain dont ils connaissent parfaitement les difficultés, ce qui explique la motivation spontanée des quatre artistes à accepter et à mettre à disposition une partie des recettes des ventes éventuelles au 11 profit du projet Cuisine sans fumée de l’hôpital St Gabriel’s, situé à Namitete au Malawi. Les responsables, Sœur Brigitte Schneiders, Présidente du Conseil d’Administration de la Fondation Ste Zithe et Hans Jürgen Goetzke Directeur général du ZithaGroupe se sont laissés convaincre par l’envergure bienfaisante de cette exposition. D’un côté les patients de la ZithaKlinik et les membres de leurs familles ainsi que le personnel de la clinique ont su profiter, voire jouir, d’un changement des plus agréables, amenant des couloirs dans le quotidien hospitalier plutôt monotone. D’un autre côté la Fondation Ste Zithe pouvait espérer une aide financière pour son projet qui veut, en collaboration avec le Ministère de la Coopération, perfectionner les conditions de prise en charge à l’hôpital de Namitete au Malawi : il s’agit d’y aménager la cuisine sans feu ouvert et d’améliorer ainsi les conditions de travail des femmes qui cuisinent pour leurs proches qui sont à l’hôpital. L’espoir de la Fondation s’est réalisé : une somme importante a pu être collectée jusqu’à la fin de l’exposition par la vente d’un certain nombre d’œuvres d’art. En surplus beaucoup de donateurs se sont manifesté à la suite de cette activité sympathique d’un niveau artistique élevé. KonYv PRIX DE L'INNOVATION ET DE LA QUALITE Cette année, ZithaKlinik et ZithaSenior ont décidé de récompenser ses employés grâce à l'instauration d'un prix de l'innovation et de la qualité. Les différents services des insitutions pouvaient déposer un dossier décrivant leur projet contribuant à cultiver et à partager l’esprit innovatif de même qu’à montrer l'engagement pour l'amélioration permanente de la qualité des services au sein de nos institutions. C'est le Groupe Paulus de la Seniorie Consdorf qui remporte le prix chez ZithaSenior et les services Dialyse et Réanimation qui sont les lauréats de ZithaKlinik. kompress n°18 > september 10 Zeitung vum ZithaGrupp 12 Méi gesond liewen ouni Tubak EN INTERVIEW MAM HÄR W. - COURS ANTI-TABAC - ZGZ Wéi laang a wéi vill hudd Dir gefëmmt? Ech hu mat 15 ugefaang ze fëmmen. Et ass séier méi ginn, een, zwee, schlussendlech dräi Päck den Dag, déi ech während 37 Joer gefëmmt hun. D'Zigarette wor iwwerall dobäi, an z.B. méi wichteg wéi moies eppes iessen. Wann ech keng hat, oder och nëmme gemengt hun et géing net duer goen mat de Päck déi ech a Stange kaaft hunn, sinn ech Kilometer gefuer, och nuets, fir der ze kafen... Ech hu gemengt ech bräicht se, wéi d'Loft fir ze ootmen... Ech hunn net gemengt ech kéint jee ophalen mat fëmmen, ech hunn net emol gemengt ech wéilt iwwerhaapt jeemools ophalen... Waat huet Iech am Bëschten gehollef am ZGZ? Ech wollt eppes Gutts fir mech maachen mat dem Cours. Dat wor, mengen ech, schonn emol eng gutt Viraussetzung. Ech hu mech och zu kengem Moment ënner Drock gefillt dëst oder dat ze maachen, oder net ze maachen, dat wor mir och wichteg. Am beschten gehollef huet mir, mech zesummen mat der Therapeutin kompress n°18 > september 10 Zeitung vum ZithaGrupp iwwert meng Motivatiounen ze fëmmen engersäits an opzehalen an net ze fëmmen anerersäits "de vive voix" ausenaner ze setzen. Eppes haart ausschwätzen ass eppes anescht wéi et just am Kapp ronderëmdréinen. Wann ech z.B. ausgesprach hunn, et géif mech stéieren ofhängeg ze sinn, oder mir an aneren a mengem Ëmfeld ze schueden, oder och gär gefëmmt ze hunn, dann hat dat eng aner Qualitéit wéi wann ech just doriwwer nogeduecht hunn. Dat wor fir mech wichteg, an efficace wéi et schéngt. Wei laang fëmmt Dir lo schon net méi? Ech fëmmen elo säit bal siwen Méint net méi, benotzen allerdéngs nach Nikotinersatzproduiten, "das mindere Übel"... Ech si frou opgehal ze hunn, an dat obschonns ech haut nach soen, dass ech leidenschaftlech gären Tubak gefëmmt hunn. Doru wäert sech och näischt änneren. Genee sou genéissen ech et awer och elo net méi ze fëmmen, – net méi fëmmen ze mussen! – an déi vill aner Virdeeler, déi dat fir mech an och fir déi ronderëm mat sech bréngt. Wat war positiv a wat war négativ um Cours? Negativ hunn ech nëmmen op den éischte Moment eng Rei vun Informatiounen fonnt, déi een schonn honnert Mol héieren huet, iwwert d'Schiedlechkeet vum Fëmmen, iwwert de Gestank etc. Mee se woren schlussendlech awer net ëmsoss, et geheit nach e puer ganz gutt Argumenter an d'Woschuel fir weiderzefëmmen oder eben opzehalen. Wat d'Konsequenzen op d'Gesondheet ubelaangt wier et villäicht sënnvoll nach méi vun engem Dokter gewuer ze ginn. Aus dësem fir mech eenzegen Kritikpunkt kennt Dir also schléissen, dass mäi Resumé duerchaus positiv ass! Hëllefräich woren nieft der Ausenanersetzung mat de Motivatiounen déi ech schonns ernimmt hat, "d'Hausaufgaben", z.B. all eenzel Zigarett opschreiwen a kucken a wat fir engem Kontext ech déi gefëmmt hunn. Dann och Alternativen, Verhalensännerungen an Aktivitéiten, déi beim Ophalen hëllefen (ech hunn z.B. amplaz vum Espresso, Téi an Kakao gedronk an hun den Dag moies anescht ugefaang wéi soss mat Zigarett a Kaffi). D'Moossen vun de Longenwäerter an de Fortschrëtt deen ech am Laf vum Cours konnt gesinn. D'Ënnerstëtzung duerch e Medikament, dat besonnesch am Ufank den "Ofsprong" erliichtert huet. De regelméissegen Austausch iwwert all déi Wochen, an dat an engem ganz angenehme flotten Kader mat enger frëndlecher a kompetenter Equipe. Dat sinn e puer vun den Elementer déi mir gutt gehollef hunn. Eis nei Couren fenken donneschtes, den 23. September 2010 vun 12.0013.00 Auer un. Weider Informatiounen iwert desen Cours oder vill anerer um tél. 497766363 (Pia Michels) 13 Gesundheit SPORT NACH KREBSTHERAPIE den letzten Jahren aufgrund der hohen und sich schnell einstellenden Effektivität, der guten Umsetzbarkeit, des geringen Verletzungsrisikos, der guten und objektiven Kontroll- und Dokumentationsmöglichkeiten sowie der wissenschaftlichen Nachweise besonders das Ausdauertraining durchgesetzt. Die spezifischen Ziele des Ausdauertrainings im Zusammenhang mit einer (ehemaligen) Krebserkrankung sind • die Minderung des Fatigues-Syndroms • die Stärkung der Lungenfunktion • die Erhöhung des Hämoglobingehalts im Blut • die Verbesserung der Immunabwehr • der Abbau von Stressreizen Das Untersuchungs- und Arbeitsfeld zu den Auswirkungen von Sport auf Krebs in der Prävention, im akuten Krankheitszustand sowie in der Rehabilitation ist noch verhältnismäßig jung. Des weiteren haben sich die ärztliche Sichtweise und die daraus resultierenden Empfehlungen in bezug auf körperliche Aktivität in den letzten 20 Jahren diametral verändert. Wurde früher Schonung (Bettruhe) empfohlen und verordnet, so lautet heutzutage in den zwei Krankheitsstadien die Empfehlung individuell adaptierte und kontrollierte Bewegungs- und Sporttherapie. • der Erhalt der Knochen- und Knorpelsubstanz Ziele von Bewegung und Sport für KrebspatientInnen • das Bekämpfen des krankheitsbedingten Kräfteverlustes, sprich das Erhalten und Aufbauen der Muskulatur Das Hauptziel von Bewegung und Sport in der Onkologie ist der Erhalt und die Wiederherstellung physischer und psychischer Komponenten und die psychosoziale Stabilisierung. Hier hat sich in • die Verbesserung des Innervationsvermögens • der Erhalt bzw. die Verbesserung der muskulären Strukturen • die Ökonomisierung des Herz-Kreislaufsystems • die Senkung des Rückfallrisikos (bei Brust- und Darmkrebs nachgewiesen). Zudem gehören auch die Elemente Kräftigung, Beweglichkeit, Koordination und Entspannung zum Weg der Besserung. So sind die speziellen Ziele des Kräftigungstrainings • die Minderung des Fatigue-Syndroms • die Stärkung des Immunsystems • die Erhöhung des Muskel- und Fettanteils. Sowohl für die Therapie als auch für das Training gilt, das passende Maß zu finden sowie die Trainingsempfehlungen und krankheitsbedingten Einschränkungen und Verbote zu respektieren. Sportgruppen zur Krebsnachsorge im ZithaGesondheetsZentrum Im Rahmen der Krebsnachsorge bietet das ZithaGesondheetsZentrum Kurse für Personen an, deren Krebstherapie abgeschlossen ist und die sich in der Rehabilitation befinden. Die Schwerpunkte des Kurses sind die Verbesserung der Ausdauer, die Stärkung der Muskulatur, das Üben der Koordination, die Optimierung der Beweglichkeit, die Atmung und die Entspannung. Die Kurse finden, mit bis zu maximal acht TeilnehmerInnen im persönlichen Rahmen statt. Nähere Informationen zu den Kursen finden Sie unter: http://www.zitha.lu/de/ ZithaGesondheetsZentrum/Angebot/ Angebot/Nos-programmes-de-coaching oder nehmen Sie bitte Kontakt zu uns auf unter Tel.: 49 776-6363 Fax.: 49 776-4949 Email: [email protected] • die Bekämpfung der chemotherapeutisch indizierten Osteoporose kompress n°18 > september 10 Zeitung vum ZithaGrupp 14 Livres AU SUD DE LA FRONTIERE, A L'OUEST DU SOLEIL - HARUKI MURAKAMI Vous ne connaissez pas encore Murakami? Ce livre est l'occasion de se plonger dans la délicatesse des émotions made in Japan. Hajime a connu pour la première fois l'amour en compagnie de la douce Shimamoto-San. Séparés par la vie, il n'a pourtant jamais oublié. Aujourd'hui, à l'aube de la quarantaine, Hajime est devenu un homme ordinaire et s'est construit une vie agréable entre sa famille et un métier qui lui plaît. Ce fragile équilibre résistera-t-il à ses retrouvailles avec Shimamoto-San? L'intrigue se suit facilement sans histoire externe aux personnages principaux. Murakami distille dans ce chef d'oeuvre tout son savoir-faire quant à la narration de ce caractère à la fois mélancolique et amoureux que lui seul sait rendre avec cette teinte si particulière. Il déploie également tout son talent pour dépeindre les ambiguités de l'âme, les circonvolutions du désir et du destin et malgré tout la victoire d'un amour absolu et desespéré. A savourer le coeur ouvert et les yeux fermés! Marie Suraud MILLE SOLEILS SPLENDIDES KHALED HOSSEINI Je n'aime pas lire les best-seller et je n'arrivais pas à me décider à ouvrir ce livre. Et puis, un soir, l'envie d'ouvrir un livre et prendre le premier qui est tombée dans mes mains, le premier sur la pile de livres à lire. je me suis dit que je pouvais bien essayer de voir ce se trouvait dans ces pages.... et là, j'ai été happée par le roman, par l'histoire, par cette première femme attachante, puis par la deuxième, tout autant attachante. L'histoire 100% romanesque se déroule sur un fonds historique et politique intéressant, à mon goût pas assez développés, mais c'est un livre qui se lit vite, et kompress n°18 > september 10 Zeitung vum ZithaGrupp qui raconte surtout l'histoire de ces deux femmes. La trame romanesque est un peu trop présente, un peu trop classique, mais l'auteur décrit avec beaucoup de pudeur et de justesse des émotions si féminines. La violence du mari est également décrite avec beaucoup de pudeur, heureusement, je n'aurais pas pu lire un livre avec des descriptions plus détaillées. Un livre qui se lit facilement et garde le lecteur en haleine jusqu'à la fin. Marie Suraud Bücher DIE FRAU IM MOND MILENA AGUS „Falls ich dich nie kennenlernen sollte, lass mich wenigsten spüren, wie sehr ich dich vermisse.“ Ein wunderschöner Roman mit viel Gefühl von Milena Agus aus der Sicht der Enkelin geschrieben, die das Leben ihrer Großmutter aufgrund eines Tagebuchs nachvollzogen hat. Die Enkelin berichtet über das geheimnisvolle Leben ihrer Großmutter, das sehr hart zu sein scheint, wird sie doch in ihrem Dorf als geisteskrank gehalten, wofür sich die ganze Familie schämen muss… ungewöhnlicher Phantasie ausgestattet und löst Neugier aus. Zugleich bildet sie eine Allegorie auf das Leben. Das Leben spielt verrückt, und verrückt sind zuweilen auch die phantasiebegabten Menschen. Skurril, phantastisch und eigenwillig ist die Konstruktion des kleinen Romans. Liebe, die alle Wünsche erfüllen soll, ist der unerfüllbare Traum, dem die Realität auf Dauer nicht standhält. Beate Schumann Die Geschichte ist mit ihren simplen Sätzen naiv und einfach. Sie ist mit UNSER ALLERBESTES JAHR DAVID GILMOUR Die Identifikation mit den Nöten des Sohnes veranlasst Gilmour, mit ihm zusammen Zukunftsperspektiven zu entwickeln. Herausgekommen ist eine Lebensbiographie, in der jeder seinen Weg sucht, und ein Vater, der mit zögernden und tastenden Schritten seinen Sohn bei der Selbstfindung begleitet. Witzig, einsichtig und sehr gegenwärtig erlebt man die Entwicklung zwischen Vater und Sohn. Mit leiser Melancholie schaut David Gilmour zuletzt auf drei schöne Jahre mit seinem Sohn zurück. Der Sohn ist erwachsen geworden und geht seiner Wege. Erinnerungen aber verbinden und bleiben für immer im Gedächtnis! Die Geschichte wird weise, klug und unsentimental, dabei liebevoll und warmherzig erzählt. Der Autor selbst hat unter anderem als Filmkritiker und Fernsehmoderator gearbeitet und das Buch nimmt ein gutes Drittel Filmbeschreibungen ein. Für Kenner der Filmgeschichte sicher ein Genuss. "Unser allerbestes Jahr" ist eine Geschichte über das Leben, über die Dinge, die zählen im Leben und auf die es ankommt: Vertrauen, Toleranz und den Menschen, die wir lieben, die eigene Freiheit und die eigene Meinung zuzugestehen. Beate Schumann kompress n°18 > september 10 Zeitung vum ZithaGrupp 15 16 RESSOURCES HUMAINES – AU 31.07.2010 > NOUVEAUX COLLABORATEURS ZithaKlinik Olivier ARNOULD (Centre de Réanimation), Gaby BECKER (C2 - Médecine interne), Joëlle BISSENER (Pool Soins), Catia Alexandra CAETANO DOS SANTOS (Nettoyage), Cindy DA COSTA ROCHA (apprentie), Angela Maria DELGADO MOTA ép. DOS SANTOS (Restauration-Production), Ana DIAS BALSA (Pool Soins), Sandra DIRCKES (OP), Gene DOBBIN (Pool Soins), Jennifer ESCH (Apprentie), Véronique FRANSEN (Psychologie Clinique), Danièle GAASCH (Pool Soins), Romain GALES (B2 - Cardio/ pneumo), Céline GIERLOWSKI ép. NARDUCCI (Kinésithérapie - Ergothérapie), Dany GLODEN (Kinésithérapie - Ergothérapie), Robert HOFFMANN (Rééducation Gériatrique), Julia KAPUSCINSKI (Pool Soins), Werner KEWENIG (Information Technology), Vitor LEAL NEVES (Apprenti), Manuela MARTINS NUNES (Pool Soins), Francesco MASCIAVE (Restauration - Production), France RASSEL (C1 - Médecine Interne), Vanessa SCHARLETTE (Pool Soins), Christine SCHENK (Radiologie), Joana SILVA SANTOS (Pool Soins), Delviana TAVARES DIVA SALOMARO (Restauration - Production), Nicola WEBER (Kinésithérapie - Ergothérapie) ZithaSenior - Seniorie St Jean de la Croix Luxembourg Michèle COLLING (Réception), Stephan FERNANDES GARCIA (Soins), Marlene GONCALVES FONSECA (Soins), Carmen LEISEN ép. WAGNER (Soins), Andreia Marina MADUREIRA HORTO (Soins), Conny STEFFENMUNSBERG (Soins) ZithaSenior - Seniorie St Joseph Pétange Sarah BISDORFF ép. AVDIC (Soins), Carole CSAKFALVI (Soins), Sandra DE AGUIAR ALVES (Soins), Sven DUBOUTAY (Soins), Carole ECKERT ép. RISCH (Soins), Chantal FELGEN (Soins), Carole FELTES ép. FISCHBACH (Soins), Sandra KERGER (Soins), Patricia KIEFFER (Soins), Kitty Ka-Lin LOK (Hôtellerie), Silvia LOURENCO DA CRUZ (Hôtellerie), Angie MANTERNACH (Soins), Toni MASI (Soins), Cindy MULLER (Soins), Erika PALM ép. WEYER (Réception), Maria Goretti PEREIRA MARTINS (Hôtellerie), Sylvie SCHOLTES ép. SCHOLER (Soins), Esther SCHÖNHOFEN ép. HEUSBURG (Hôtellerie), Barbara VILLEMONT PEREIRA (Hôtellerie), Melissa WEILER (Soins), Tatiana WILLEMS (Soins) > DÉPARTS ZithaKlinik Danielle BAUMANN ép. LOUREIRO (Accueil/Admission), Marcos PAulo DELGADO DA CRUZ (Restauratio - Production), Serge DEMUTH (Information TECHNOLOGY), claudine DONDELINGER ép. HORNICK (OP), Sven ERNST (C2 - Médecine Interne), Olga FILONTCHIK ép. OTJACQUES (Stérilisation Centrale), Christine GALLOTTI ép. JANNEL (NEttoyage), Josette JUNGER ép. SCHARMITZER (Endoscopie - Urologie), Fabrice LESSIRE (B1 - Chirurgie), Christamaria NEISIUS (C4 - Chirurgie), Christophe PARANT (Restauration - Production), Guy PIRSCH (Laboratoire), Rita VERSTRAETE ép. OLLINGER ZithaSenior - Seniorie St Jean de la Croix Luxembourg Stephan FERNANDES GARCIA (Soins), Susanne Müller (Soins), Iryna MIRAYEUSKAYA ép. MAJERES (Soins), ZithaSenior - Seniorie St Joseph Pétange Maria BRITO (Soins), Samantha BINTZ (Soins), Giacomo DE LUCA (Soins), Liliane FERRARO ép. EYRICH (Soins), Carole MODOLIN (Soins), Zijo SAKALAS (Soins), Déolinda SADIO SANDINHA (Hôtellerie), Claudine HEYNEN (Soins), Maria Da Luz ALVES FERREIRA (Hôtellerie) kompress n°18 > september 10 Zeitung vum ZithaGrupp 17 REMISE DE MONTRES 2010 35 ans Marie-Paule HILGER ép. EVEN (Accueil/Admission - ZithaKlinik), Tilly FELTGEN (Centre de Réanimation - ZithaKlinik) 25 ans Delmar CHAVES MEDEIROS (Atelier Entretien Bâtiments - ZithaKlinik), Nathalie DEGANO (Cuisine - ZithaKlinik), Dr. Carlo Faber (Médecin - ZithaKlinik), Fatima FAJARDO ép. RODRIGUES (Service de Nettoyage - ZithaKlinik), Rosa FERREIRA DE BRITO ép. FIGUEIREDO (Service de Nettoyage - ZithaKlinik), Mike GROBEN (Transport des malades - ZithaKlinik), Gunar JAMROS (Direction - ZithaKlinik), Hélène LEAL ép. DA SILVA (Transport logistique - ZithaKlinik), Carine PHILIPPART ép. MOSTENNE (Unité de Soins B1 - ZithaKlinik), Jean REUTER (Laboratoire - ZithaKlinik), Fabio RONCHI (Accueil/Admission - ZithaKlinik), Dr. Julien SAND (Médecin - ZithaKlinik), Danielle TRIERWEILER ép. SANSALONE (Soins - Seniorie Pétange, ZithaSenior), Dr. Philippe TURK (Direction - ZithaKlinik) 10 ans Pascal AUBERTIN (Soins - Seniorie Pétange, ZithaSenior), Gerlinda BAUER (Animation - Seniorie Consdorf, ZithaSenior), Chantal BERNARDY ép. KHEDHRI (Soins - Seniorie Pétange, ZithaSenior), Rodrigo BRAS (Médecine Nucléaire - ZithaKlinik), Michèle BRAUSCH ép. FEDERSPIEL (Laboratoire - ZithaKlinik), Marion DECKER éè. FISCHER (Centre de Réanimation -ZithaKlinik), Michela DI ROSA ép. FONTANA (Buanderie - Seniorie Pétange, ZithaSenior), Madelaine DOS SANTOS éè. DA CRUZ (Cuisine ZithaKlinik), Gabriela DOS SANTOS DE NASCIMENTO (Cuisine - ZithaKlinik), Marco FRISCH (Unité de Soins C4 - ZithaKlinik), Margareth FURTADO CABRAL ép. DE OLIVEIRA (Cuisine - ZithaKlinik), François-Olivier GILSON (Cuisine - ZithaKlinik), Tamara GRATZ (Anesthésie - ZithaKlinik), Sonja GREISCH (Médecine Nucléaire - ZithaKlinik), Tom HENKELS (Direction - ZithaKlinik), Sandra HOUWEN (Unité de Soins C2 - ZithaKlinik), Jean JUNKER (Atelier Mécanique - ZithaKlinik), Sophie MAFAYOUX (Soins - Séniorie St Jean de la Croix, ZithaSenior), Georgette MANZONI ép. LERICHE (Laboratoire - ZithaKlinik), Raluca MARINESCU ép. HIPP (Centre de l'Appareil Locomoteur - ZithaKlinik), Sandra MARTUCCI (Unité de Soins B1 - ZithaKlinik), Milla MATWEITSCHENKO ép. HORSCH (Soins - Séniorie Consdorf, ZithaSenior), Julia METZEN (Unité de Soins A2 - ZithaKlinik), Martine MEYER ép. VALENTINY (Direction - Séniorie St Jean de la Croix, ZithaSenior), Helena MORAIS TEIXEIRA (Cafétéria - ZithaKlinik), Natascha PHILIPPI (Pharmacie - ZithaKlinik), Michel RADOGNA (Secteur Opératoire - ZithaKlinik), Amela RAMDEDOVIC ép. SKIJELJ (Soins - Seniorie Pétange, ZithaSenior), Claude RIES (Cuisine - ZithaKlinik), Mireille REZKI (Soins Seniorie Pétange, ZithaSenior), Audrey SCHMIT ép. JEMMING (Anesthésie - ZithaKlinik), Stefanie SCHONS ép. HERMES (Soins - Séniorie Consdorf, ZithaSenior), Marie-Thérèse SCHWEITZER (Secteur Opératoire - ZithaKlinik), Bianca SOUVIGNE (Centre de Réanimation - ZithaKlinik), Jeannot STRAUS (Service Economique - ZithaKlinik), Liliane THOMAS ép. WOLFF (Acceuil/ Admission - ZithaKlinik), Brigitte TROMMER-THILGES (Diététique - ZithaKlinik), Ernestine USELDING (Service Animation Séniorie Consdorf, ZothaSenior) Départs en retraite Dr. Jean BISDORFF (Médecin - ZithaKlinik), Florinda DA ROCHA ép. MESSIAS (Service de Nettoyage - ZithaKlinik), Candido GOMES (Atelier Entretien Bâtiments - ZithaKlinik), Romaine KIEFFER ép. MEYER (Policlinique - ZithaKlinik), Mariette LORENT ép. HOUBLIE (Policlinique - ZithaKlinik), Guy PIRSCH (Laboratoire - ZithaKlinik), Déolinda SANDINHA SADIO (Service de Nettoyage - ZithaKlinik), Romance SCHMIT (Accueil/Admission - ZithaKlinik) kompress n°18 > september 10 Zeitung vum ZithaGrupp 18 Formation continue WAS HEISST EVALUATION IM FORTBILDUNGSBEREICH? Definition als Fachbegriff aus pädagogischer/ andragogischer Sicht (Jost Resischmann – Grundlagen der Weiterbildung) Es ist das methodische Erfassen und das begründete Bewerten von Prozessen und Ergebnissen zum besseren Verstehen und Gestalten einer PraxisMassnahme durch Wirkungskontrolle, Steuerung und Reflexion. In den 80er Jahren war das Thema Evaluation in Theorie und Praxis wenig gefragt. Erst in den 90er Jahren begann eine zum Teil hektische Hochkonjunktur der Evaluation. Vieles wurde unter dem neuen Zauberwort Evaluation erwartet, vieles gefordert, obwohl Experten warnten, dass noch keine überzeugende Konzepte, Methoden oder gar Instrumente dafür vorlägen. Solche Warnungen änderten wenig an dem mit Macht vorgetragenen Wunsch nach Evaluation. Evaluation kann zur Entscheidungshilfe sowie zu einer geduldigen Qualitätsverbesserung funktionnalisiert werden, kann aber auch zur misstrauischen Kontrolle oder sogar Bestrafung missbraucht werden. Sodass das Konzept der Evaluation in hohem Masse ideologieanfällig ist. Mit diesem Schreiben möchte ich zum Evaluationsdenken und –handeln anregen, das über Instrumente, Daten und Methoden die zentrale Fortbildungsfrage nicht aus den Augen verlieren sollte: Zu wessen Nutzen führen wir Evaluation durch? Die Nutznießer der Resultate der Anwendung solcher Instrumente sollen ohne Zweifel die Patienten sein. Ziel unseres Vorhabens in der Zitha ist es unsere Mitarbeiter in die Lage zu versetzen, selbst Evaluationsvorhaben im Fortbildungsbereich zu verwirklichen – sicherlich zunächst in begrenztem Umfang. So geht es nicht darum, Wissen zu evaluieren, sondern Evaluationsvorhaben zu planen, durchzuführen und kritisch zu reflektieren. So hoffen wir, dass die Anwendungsaufgaben die uns bevorstehen, ein anregendes, spannendes, herausforderndes und lohnendes Feld sein werden, das helfen wird, unser Tun besser zu verstehen und zu gestalten im Sinne einer sich ständig verbessernden Verpflegung der Patienten. Vito Savino kompress n°18 > september 10 Zeitung vum ZithaGrupp 19 ZithaSenior « ZITHA FIT » GAIETÉ ET MOBILITÉ Depuis le début de l’année le programme «Zitha Fit» est proposé aux résidants à mobilité réduite. En chaise roulante ou soutenus par une aide technique à la marche les Seniors découvrent diverses activités sportives, adaptées à leurs compétences individuelles. Partant d’un bilan moteur et fonctionnel chaque résidant vise un objectif personnel au terme d’un an d’entrainement sportif adapté. Le programme «Zitha Fit» s’intègre dans la démarche de soins établie en coordination avec l’équipe médicale et soignante de la Seniorie. L’organisation en groupe permet de soutenir et de souder les liens sociaux, car la bonne humeur tient compagnie grâce à Eric, entraineur spécial Senior. Sportif de haut niveau, champion en athlétisme, Eric a développé des techniques de prévention des chutes, de travail de l’équilibre et des exercices de déplacement en chaise roulante ou en déambulateur. L’enthousiasme rencontré auprès des Seniors est considérable et les listes d’ins- cription aux deux groupes hebdomadaires sont pleines. En période estivale les exercices sont proposés en plein air dans l’agréable parc ombragé jouxtant la Seniorie, ce qui permet aussi aux membres de la famille, voire le plus souvent un conjoint, de regagner le groupe pour partager un moment convivial soutenant la mobilité. Dr Carine Federspiel kompress n°18 > september 10 Zeitung vum ZithaGrupp 20 Win-Win Situation DIE SENIORIE ST JOSEPH PETINGEN STELLTE ZUM 1. JANUAR 2010 30 ARBEITSSUCHENDE MITARBEITER EIN Im Januar 2010 hat der neu-erschlossen. Teil der Seniorie St Joseph in Petingen ihre Türen geöffnet um zusätzlichen 82 Bewohner ein zu Hause zu bieten. Im Vorfeld bei der Planung war natürlich die Personal- Einstellungspolitik eines der Schwerpunkte worum es sich zu kümmern galt. Es war eine grosse Herausforderung und zugleich eine einmalige Chance über 80 neue Mitarbeiter einstellen zu dürfen. Neben der klassischen Stellenanzeige kompress n°18 > september 10 Zeitung vum ZithaGrupp und den spontanen Kanidaturen wurde sich entschlossen in Petingen, einen Weg in Zusammenarbeit mit der ADEM (Agence du Développement de l’Emploi) zu suchen. Die Zusammenarbeit mit der ADEM, sollte für 30 arbeitssuchende Menschen „DIE Unerwartete Chance“ einer möglichen Festeinstellung darstellen. Ein solches Programm wird finanziell seitens des Luxemburger Staates unterstüzt. Der Rückblick Auf Basis der erstellten Kompetenzprofile der zukünftigen Mitarbeiter der verschiedenen Arbeitsbereiche (Pflege, Hotellerie) wurde seitens der ADEM eine Vorauswahl getroffen. Alle potentiellen Kandidaten die diese Vorauswahl bestanden haben wurden zu gewöhnlichen Vorstellungsgesprächen eingeladen. In der Vorauswahl waren 300 Kandidaten die bei der ADEM als arbeits- 21 suchend eingetragen waren. Es wurden 100 Kandidaten zu einem Vorstellungsgespräch eingeladen. 30 Kandidaten (22 in der Pflege und 8 in der Hotellerie) sollten den Auswahlkriterien gerecht werden und durften sich darauf freuen im Januar 2010 auf der ersehnten neuen Arbeitsstelle in der Seniorie St Joseph mit ihrer Arbeit zu beginnen. Als Vorbereitung auf Ihre neue Arbeitsstelle waren alle 30 Kandidaten verpflichtet zwischen Oktober und Dezember 2009 eine mehrwöchige Schulung und Praktika zu absolvieren. Diese Schulungen und Praktika waren eine Zusammenarbeit zwischen dem CNFPC (Centre National pour la Formation Professionelle Continue) , der ADEM und der Seniorie Petingen. Die Schulungen waren berufsspezifisch (Pflege, Hotellerie) organisiert. Ausserdem können die Schulungen der angehenden Pflegekräfte zur einer zukünftigen Ausbildung als ASF (AideSocio-Familiale) angerechnet werden. Nach abgeschlossene und bestandenen Praktika und Schulungen erhielten die Kandidaten einen befristeten Arbeitsvertrag auf ein Jahr. Dieser Arbeitsvetrag wurde geschlossen zwischen dem Kandidaten, der ADEM und der Seniorie St Joseph Petingen. Der Augenblick Januar 2010 war die Zeit der Einarbeitung der neuen Mitarbeiter angebrochen. Natürlich waren jetzt alle 30 Kandidaten die noch vor ein paar Wochen arbeitssuchend waren intensiv gefordert. Es wurde besonderen Wert darauf gelegt, dass jeder Einzelne eine persönliche Bezugsperson zugeteilt bekam, die ihm mit Rat und Tat zur Seite steht. Dieses Tutoriat ermöglichte eine möglichst rasche und aber strukturierte Einarbeitung der neuen Mitarbeiter. Die Tutoren verdienen an dieser Stelle einen besonderen Dank für ihren grossen Einsatz und ihre wertvolle Arbeit indem sie neue Mitarbeiter begleitet und eingearbeitet haben. Nach der Eröffnung des Neubaus im kompress n°18 > september 10 Zeitung vum ZithaGrupp 22 Das Team-Buildung, auf das besonderen Wert gelegt wird, ist ein Prozess der mitten im Gang ist und der noch nicht als abgeschlossen betrachtet werden kann. Ein zusätzlicher Schwerpunkt ist die Kompetenzförderung der einzelnen neuen Mitarbeiter. Die internen Schulungen in den verschiedenen Bereichen ermöglichen, dass die Mitarbeiter die erwünschten Kompetenzen erreichen können. Durch Zielvereinbarungsgespräche werden die Kandidaten regelmässig auf ihre Stärken und Schwächen hingewiesen. Gegebenenfalls und in einzelnen Fällen sind die Erwartungen nicht kompatibel mit den Fähigkeiten des Einzelnen. In diesen Fällen ist das Fortfahren des Programmes nicht möglich. Der Ausblick Das Ziel der 30 Kandidaten ist es am Ende des Jahres 2010 zu ausgebildeten Pflegedienstkräfte respektiv Hotelkräfte formiert zu sein um eine unbefristete Festeinstellung in der Seniorie St Joseph zu erhalten. Die Mehrheit der Kandidaten wird am Ende des Jahres 2010 sicherlich dieses Ziel erreichen und mit ihrer Festeinstellung rechnen dürfen. Schlussfolgernd sollte man hervorheben, dass es sich bei diesem Programm in enger Zusammenarbeit mit der ADEM und dem CNFPC es um eine Win-Win Situation handelt weil sowohl die Arbeitsuchenden, die ZithaGruppe mit der Seniorie St Joseph Petingen und die ADEM als Gewinner hevorgehen. Es ist auch schon angedacht ein ähnliches Modell, in überarbeiteter Form für die Seniorie in Contern, anlaufen zu lassen. Laurent Origer kompress n°18 > september 10 Zeitung vum ZithaGrupp 23 St Gabriel's Hospital DIGITALES RÖNTGEN Danke der großzügigen Spende eine Luxemburger Ehepaars konnte vor wenige Wochen eine neue Röntgenanlage im St Gabriel's Hospital in Betrieb genommen werden. Es handelt sich um die erste digitale Röntgenanlage in ganz Malawi. Für das St Gabriel's Hospital sind neben der enormen Verbesserung und Analysierbarkeit des Bilsmaterials Kosteneinsparungen für Chemikation und Bildmaterial verbunden. Dies führst auch zu geringsten Schachstoff-belastungen für Patienten, Mitarbeiter und Umwelt. In Malawi werden Patienten im Spital behandelt, da es keine Hausärzte und SPezialisten außerhalb desKrankenhauses gibt. Wenn dennoch einmal ein Aufnahme nicht nur auf dem Bildschirm benötigt wird, ist es über einen normalen Drucker einfach auszudrucken. Besonders hilfreich ist, dass im neuen OP-Saal des St Gabriel's Hospital ein Monitor installiert ist, der direkt mit den Rechner der Röntgenanlage verbunden ist. So haben die Chirurgen eine direkte Verfügbarkeit der Aufnahme bei der Arbeit. kompress n°18 > september 10 Zeitung vum ZithaGrupp 24 ZithaKlinik L’HÔPITAL DE JOUR GÉRIATRIQUE Depuis le 1er Octobre 2009 les patients âgés peuvent être pris en charge en traitement semi-stationnaire voire ambulatoire en rééducation gériatrique. Comment adresser un patient? Trois chemins mènent à l’hôpital de jour gériatrique: - Le patient âgé a été hospitalisé en court séjour (dans un des hôpitaux du pays ou à l’étranger) pour un problème aigu (p.ex : décompensation d’une in- kompress n°18 > september 10 Zeitung vum ZithaGrupp suffisance cardiaque, traitement d’une infection, intervention chirurgicale…). Au terme du court séjour à l’hôpital aigu le médecin hospitalier estime que le patient peut retourner à domicile, mais nécessite encore un encadrement médical rapproché avec une surveillance particulière, une rééducation fonctionnelle ou une réadaptation psycho-sociale. Le vieillard hospitalisé est souvent fragilisé, souffre de polypathologies et a un risque élevé de ré-hospitalisation. - Le patient âgé a séjourné dans un service de rééducation stationnaire pendant quelques semaines (p.ex : suite à un accident vasculaire cérébral ou une prothèse de hanche) et au moment de son retour à domicile le médecin rééducateur recommande la poursuite de la prise en charge rééducative en ambulatoire. La durée en séjour stationnaire peut être réduite et la transition vers le domicile se fait de façon plus harmonieuse. Aussi la qualité de la réinsertion à domicile en 25 collaboration éventuelle avec l’équipe soignante d’un réseau est mieux garantie. Le projet rééducatif initié en milieu stationnaire peut être continué avec la même équipe de thérapeutes et de médecins rééducateurs. Ces repères sont indispensables pour le patient âgé insécurisé par la maladie et la menace de la dépendance. - Le patient âgé à domicile peut être adressé par son généraliste qui devant la fragilisation du maintien à domicile, la perte d’autonomie et des hospitalisations à répétition (p.ex : démence, altération de l’état général). Un programme rééducatif individuellement adapté visera le gain en autonomie et permettra au patient âgé fragile d’être encadré, conseillé et guidé par une équipe multidisciplinaire afin d’améliorer les conditions du maintien à domicile. Déroulement de la prise en charge ambulatoire : L’hôpital de jour gériatrique répond à une double mission : - Evaluation des problèmes médicaux et socio-familiaux = Assessment - Prise en charge thérapeutique à visée réadaptative = Rééducation Après réception de la demande standardisée du médecin traitant le médecin rééducateur de la ZithaKlinik fait une évaluation gériatrique multidimensionnelle. En cas de confirmation de l’indication le médecin rééducateur élabore une recommandation de plan de prise en charge rééducative qui doit être approuvé par le contrôle médicale de la CNS. Un maximum de 20 séances de rééducation ambulatoire peut être accordé au patient. En principe le patient est pris en charge à raison de deux journées par semaine, pour lesquelles il bénéficie d’un transport en taxi depuis son domicile. Chaque jour de prise en charge démarre par le contrôle du médecin rééducateur qui évalue les aptitudes du patient, ses problèmes et ses progrès. Le programme rééducatif est discuté et ajusté régulièrement en équipe interdisciplinaire composée de kinésithérapeutes, ergothérapeutes, soignants, psychologue, orthophoniste, assistante sociale et médecin rééducateur. Au terme de la prise en charge une concertation est organisée en intégrant l’entourage familial ou autre, l’équipe soignante du réseau à domicile et le médecin généraliste. Bilan après 9 mois : La courte expérience des premiers mois nous permet déjà de tirer un bilan extrêmement positif et encourageant : - Les durées moyennes de séjours stationnaires ont été réduites dans l’intérêt du patient âgé - Si la rééducation ambulatoire enchaine après la rééducation stationnaire la pérennité des objets de meilleure insertion socio-familiale est optimisée - L’interaction voire la collaboration avec les intervenants à domicile améliore la sécurité de transmission des informations dans l’intérêt du patient. Dr Carine Federspiel kompress n°18 > september 10 Zeitung vum ZithaGrupp 26 ZithaKlinik PROJET D’ACCREDITATION DU LABORATOIRE Le laboratoire de biologie clinique de la Zitha assure l’analyse des fluides dans cinq domaines différents : Hématologie, chimie, marqueurs biologiques, auto immunité et microbiologie. Le laboratoire comprend 25 collaborateurs techniciens dont deux responsables biologistes. Depuis trois ans l’organisation interne est formalisée au travers de procédures et de modes opératoires. Une laborantine qualiticienne a été récemment détachée au laboratoire en vue de coordonner un groupe qualité rassemblant les responsables du labora- kompress n°18 > september 10 Zeitung vum ZithaGrupp toire et des cinq départements internes. Les objectifs à court terme que se fixent aujourd’hui ses responsables sont d’améliorer l’efficacité du laboratoire en clarifiant son organisation, améliorant son mode de fonctionnement interne et en responsabilisant chacun des acteurs concernés. L’accréditation selon la norme ISO 15189 est envisagée dans un délai de 18 mois pour faire connaître de manière officielle par un organisme indépendant la capacité du laboratoire clinique à garantir le niveau de qualité des presta- tions fournies aux médecins et aux unités de soins de la ZithaKlinik. Le projet se déroulera en quatre phases Phase 1 Etat des lieux en vue de la formalisation des processus clés et de l’optimisation du mode de fonctionnement interne du laboratoire. Phase 2 Mise en place du système de manage- 27 ment de la qualité ainsi que les dispositions spécifiques à la norme ISO 15189: 2007 et au règlement grand-ducal du 27 mai 2004 déterminant les critères minima à observer dans le cadre des activités globales d’un laboratoire d’analyses médicales. Phase 3 Evaluation et ajustement du système de management de la qualité en répondant aux exigences techniques de la norme ISO 15189 en vue de l’accréditation. Phase 4 Audit à blanc en vue de la demande d’accréditation, en préparation de l’audit externe d’accréditation. Les travaux qui seront réalisés porteront sur les points suivants: Organisation et management / Système de management de la qualité / Maîtrise de la documentation / Revue des demandes appels d’offres et des contrats / Analyses transmises à des laboratoires sous-traitants / Prestations de conseils / Traitement des réclamations, identification et maîtrise des non-conformités / Actions correctives / Actions préventives / Amélioration continue / Audits internes / Revues de direction. La mise en oeuvre du projet nécessitera l’engagement de l’ensemble des membres du personnel laboratoire, ainsi que l’appui de la direction et de tous les collaborateurs de la clinique. ISO 15189 est une norme internationale publiée par l’ISO (Organisation internationale de normalisation) en 2007 qui spécifie les exigences de qualité et de compétence propres aux laboratoires de biologie médicale. Georges Glodt kompress n°18 > september 10 Zeitung vum ZithaGrupp 28 ZithaKlinik TAG DER OFFENEN TÜR IN DER ZITHAKLINIK Die ZithaKlinik beteiligt sich in diesem Jahr zum zweiten Mal an dem nationalen Tag der offenen Tür für Betriebe. Die Veranstaltung findet am Samstag, den 25. September 2010 statt. Das Ziel des Tages der offenen Tür besteht darin, den Besuchern die Möglichkeit zu geben, sich in einer entspannten Atmosphäre über moderne diagnostische Verfahren und weitere Leistungsangebote der ZithaKlinik zu informieren. Uns ist es wichtig, als Professionelle im Gesundheitswesen den Dialog mit den Bürgern zu suchen und nicht nur „trockene“ Informationen zu vermitteln, sondern einen „be-greifbaren“ Einblick in die tägliche Arbeit innerhalb der Klinik zu bieten. kompress n°18 > september 10 Zeitung vum ZithaGrupp In diesem Jahr präsentieren wir die Abteilungen Endoskopie, Radiologie, Poliklinik sowie das „ZithaGesondheetsZentrum“, das Leistungen zur Krankheitsprävention anbietet. Die Besucher erhalten individuelle Informationen durch die präsenten Fachkräfte. Praktische interaktive Demonstrationen runden das Programm ab. Wir wünschen Ihnen einen angenehmen Besuch ! Gunar Jamros 29 KUNST IN DER KLINIK STOFFBILDER VON JEANETTE BREMIN Die Bilder von Jeanette Bremin sind nicht gemalt, sondern genäht. Stoffe, die sie in vielen Farbtönen sammelt und in ihrem Atelier hortet, bilden die Basis ihrer „Malerei“. Ihr Pinsel sind Schere und Nadel. Indem die Bilder hier in der Klinik gezeigt werden, erinnern die exakten Bildnähte auch an chirurgische Nähte. Bremins Bilder führen über das äußere Anschauen zu inneren Seherfahrungen, die den Betrachter an eigene Schnitt- und Nahtstellen seines Lebens führen. Das Auge kehrt immer wieder an die Stellen zurück, wo zwei Farben oder genauer zwei Stoffe sich berühren und stößt somit immer wieder auf die zarten Nähte. Die Fähigkeit zum Blick und zum Hören nach innen wird durch die einfachen Formen, die wir vor uns haben, herausgefordert. Nichts lenkt ab. Kreis, Quadrat und Rechteck werden zu Orten der Selbstwahrnehmung und Reflexion. Wer den Bildern Zeit schenkt, wird wie ein Reisender etwas für sich entdecken. Er wird zum Reisenden im Stehen. Hinter ihren abstrakten Formen öffnen sich die Bilder mit ihren unzähligen Möglichkeiten dem Betrachter. Winfried Heidrich kompress n°18 > september 10 Zeitung vum ZithaGrupp 30 Diététique LE STÉVIA – UN NOUVEAU ÉDULCORANT MIRACLE ? Le stévia est cultivé en Amérique du Sud depuis des siècles pour ses feuilles sucrées. Il appartient à la famille du tournesol et de la chicorée. On incorpore les feuilles aux infusions et autres boissons sucrées. Les principales molécules actives sont les glycosides de stéviol et le rébaudioside. Ce sont les glycosides qui ont fait l’objet d’études récentes en vue d’autorisations. Le pouvoir sucrant du Stévia est de 40 à 300 fois supérieur au pouvoir sucrant du sucre. Les glycosides de stéviol pourraient être un édulcorant intéressant dans le cadre d’un régime visant à contrôler le poids corporel. De nos jours, il existe une large gamme d’édulcorants testés et autorisés (cf Kompress 10) : l’aspartame, l’acésulfame kompress n°18 > september 10 Zeitung vum ZithaGrupp K, la saccharine et le sucralose. De très faibles quantités suffisent pour obtenir un goût sucré et leur apport énergétique est négligeable. Les glycosides de stéviol sont particulièrement intéressants parce que d’origine végétale comme le sucre. L'un des avantages du stévia par rapport à l‘aspartame est qu’il est sans phénylalanine, et peut être consommé par des personnes atteintes de phénylcétonurie. Le stévia est originaire d'Amérique latine, mais est produit surtout en Asie. La Chine est le plus grand producteur mondial suivie du Japon et de la Corée Les Etats-Unis, l’Australie et la Nouvelle Zélande ont récemment autorisé certaines préparations à base de Stévia comme additifs dans les denrées alimentaires et les boissons sur leurs marchés uniquement. En 1999, La Commission Européenne a refusé d’autoriser les plantes ou les feuilles séchées de stévia comme aliments ou ingrédients alimentaires. En 2008, de nombreuses études ont donné un avis favorable à l’utilisation de glycosides de stéviol pur et des DJA (dose journalière admissible) ont été proposées notamment par la FAO/OMS et la FDA Depuis le 14 avril 2010 le groupe scientifique sur les additifs alimentaires de l’Agence Européenne de sécurité des aliments, le groupe ANS, a évalué la sécurité des glycosides de stéviol et a fixé une dose journalière acceptable pour une consommation sûre. Cette dose est de 4mg par kg de poids corporel par jour. Sur cette base, la Commission Européenne décidera s’il faut autoriser ces substances dans l’UE aux fins proposées. Trois dossiers de demande d’autorisation sont actuellement étudiés. Le groupe scientifique souligne que la DJA pourrait être dépassée tant par les adultes que par les enfants si ces édulcorants étaient utilisés aux niveaux maximum proposés par les demandeurs d’autorisations. Les additifs alimentaires tels que les édulcorants doivent être explicitement autorisés au niveau européen avant de pouvoir être utilisés dans les aliments. Actuellement ceci n’est pas le cas pour le Stevia. C’est pourquoi les produits vendus actuellement et officiellement portent des indications telles que «Stevia n’est pas un aliment selon le droit UE actuel» ou «produit cosmétique impropre à la consommation»… De plus amples informations scientifiques se trouvent dans l’article suivant : EFSA « Scientific Opinion » EFSA Journal 2010 ;8 (4) :1537 Eric Altmann 31 ATELIER CREATIF AUTOUR DES AIGUILLES „Chaque femme porte en elle une force naturelle riche de dons créateurs“ (Clarissa Pinkola Estes) Dans le cadre des activités proposées à La Source, Capellen, nous vous invitons à prendre part à un projet créatif de travaux d‘aiguilles ayant pour objectif la confection d‘une couverture pour bébé par participant(e). Nous nous retrouverons une première fois pour élaborer ensemble le cadre créatif de la couverture. les techniques utilisées (couture, tricot, crochet), les coloris ou le thème choisi pour les couvertures. Vous aurez ensuite quartier libre pour la réalisation et nous nous retrouverons quelques jours avant la vente des couvertures au profit des enfants du Malawi. L‘idée est de faire et vendre ici des couvertures pour les bébés d‘ici afin de participer financièrement au projet d‘aide aux enfants du Malawi en offrant une moustiquaire à chaque nouveau-né. La lutte contre le paludisme en Afrique passe par la distribution de moustiquaire aux parents de nouveaux-nés. L'action sera mené par l'ONG "Hilfe für Malawi - Zikomo". Date et lieu de la première rencontre: 20 novembre 2010 - 15h00 à 17h00 à Capellen (La Source) Animation: Marie Suraud Langues: français, allemand, luxembourgeois Inscription: jusqu‘au 12 octobre 2010 auprès de [email protected] - 40 144 20 53 Les personnes qui souhaitent participer à l'action mais qui ne pourraient être présentes à la réunion peuvent nous contacter pour recevoir des informations complémentaires. la source kompress n°18 > september 10 Zeitung vum ZithaGrupp Helfen Sie mit! Aidez-nous! Pour une cuisine sans fumée Für eine qualmfreie Küche Pour nous aider à aménager la cuisine sans fumée et à améliorer ainsi les conditions de travail des femmes qui cuisinent pour leurs proches. Bitte fördern Sie die Einrichtung einer qualmfreien Küche und helfen Sie mit, die Bedingungen für die Frauen, die für die Angehörigen kochen, zu verbessern. Banque et Caisse d’Epargne de l’Etat (BCEE) BIC: BCEELULL IBAN: LU54 0019 2855 6934 7000 Banque et Caisse d’Epargne de l’Etat (BCEE) BIC: BCEELULL IBAN: LU54 0019 2855 6934 7000 Les donneurs qui veulent faire valoir leur versement auprès du fisc allemand sont priés d’utiliser le compte suivant: Stiftung Zikomo-Hilfe für Malawi Pax-Bank Trier (BLZ 37060193) BIC: GENODED1PAX IBAN: DE33 3706 0193 3022 0220 15 32, rue Ste Zithe | L-2763 Luxembourg Tél. +352 40144-2053 | Fax +352 40144-2953 www.zitha.lu Spender, die ihre Zuwendung in Deutschland steuerlich geltend machen wollen, nutzen bitte: Stiftung Zikomo-Hilfe für Malawi Pax-Bank Trier (BLZ 37060193) BIC: GENODED1PAX IBAN: DE33 3706 0193 3022 0220 15