Zeitung vum ZithaGrupp

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Zeitung vum ZithaGrupp
SEPTEMBER 10
Zeitung vum ZithaGrupp
> Culture (p. 5, p.10, p.25)
> Santé: arrêter de fumer (p. 12
> Lectures (p. 14)
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N°
sommaire
EDITORIAL Hans Jürgen Goetzke 2
editorial
> Réflexion
Liebe Leserinnen und Leser !
DU HAUT DE MON BALCON
3
Jean-Jacques Grosber
> Palliative Care
FORTBILDUNGSTAG FÜR MEDIZIN, SEELSORGE UND PFLEGE
4
Elisabeth Weber-Juncker
> ZithaKlinik
STÖCKELSCHUH MIT GEIGE
5
Winfried Heidrich
SIGGY'S CUP 2010
Laurent Scharff
MITARBEITERGESPRÄCH
7
Winfried Heidrich
ZITHAART
6
Nach den extrem heißen Tagen im Juli hoffe ich, dass Sie die Sommerzeit für
Erholung und Entspannung nutzen konnten. Die kühleren Tage nach der
„Rentrée“ und im vor uns liegenden Herbst werden für viele von uns sicher
wieder sehr arbeitsreich. Für die „Rentrée“ wünsche ich Ihnen allen Kraft und
Besonnenheit zum Wohle unserer Patienten und Bewohner.
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KonYv
PRIX DE L'INNOVATION
ET DE LA QUALITÉ Hans Jürgen Goetzke
Generaldirektor
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MÉI GESOND LIEWEN OUNI TUBAK
ZithaGesondheetsZentrum
SPORT NACH KREBSTHERAPIE
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ZithaGesondheetsZentrum
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> Livres (fr + de)
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> Ressources Humaines
> Remise de montres 2010
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> Formation continue
EVALUATION IM FORTBILDUNGSBEREICH
„Paris-Texas“ und nun „Paris/Zitha“ – war die erste Paris-Kombination noch der
Titel eines Filmes und meinte einen kleinen Ort in Texas, ist Paris/Zitha mitten in
Luxembourg auf der „Aler Avenue“ und dem „Paräisser Plaz“ zu finden. Wir sind
froh, dass die Patienten und Besucher der Zitha nun eindeutig wissen, wann sie
ihr Ziel erreicht haben. Wir sind auch ein wenig stolz, dass mit der Umbenennung
der Bushaltestellen am Place de Paris der Bedeutung der Zitha Rechnung getragen
wird.
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Vito Savino
> ZithaSenior
ZITHAFIT Dr Carine Federspiel
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Chères lectrices, chers lecteurs,
"Paris Texas" et maintenant "Paris / Zitha" - n'était ni la première combinaison
du mot Paris, mais le titre d'un film et désigne une petite ville au coeur du Texas.
Paris/Zitha est au milieu de Luxembourg entre l'avenue de la Liberté et la place
de Paris. Nous sommes heureux que les patients et les visiteurs de la Zitha
sachent maintenant clairement quand ils ont atteint leur objectif. Nous sommes
aussi fiers que le changement de nom de l'arrêt de bus prenne en compte
l'importance de la Zitha.
Après les journées très chaudes de Juillet, j'espère que vous pourrez utiliser
l'heure estivale au profit du repos et de la détente. Les journées plus fraîches de
la rentrée et l'automne qui nous attend, sera pour beaucoup d'entre nous très
chargé. Pour cette rentrée Je vous souhaite toute la force et la pondération
nécessaire pour la prise en charge de nos patients et résidents.
> ZithaKlinik
L'HÔPITAL DE JOUR GÉRIATRIQUE
Dr Carine Federspiel
Hans Jürgen Goetzke
Directeur général
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PROJET D'ACCREDITATION DU LABORATOIRE Georges Glodt
21
TAG DER OFFENEN TÜR
Gunar Jamros24
BILDERAUSSTELLUNG
Winfried Heidrich
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DIÉTÉTIQUE
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Eric Altmann
> La Source kompress n°18 > september 10
Zeitung vum ZithaGrupp
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impressum
Herausgeber: ZithaGruppe
Verantwortlich: Hans Jürgen Goetzke, Redaktionsassistentin: Marie Suraud – Gestaltung: Marie Suraud
Redaktionskomitee: Eric Altmann, Georges Glodt, Winfried Heidrich, Dr. Marc Keipes, Maryse Landfried (Fotografin),
Gery Oth, Claude Ries, Vito Savino, Nadine Schmit, Beate Schuhmann, Martine Valentiny, Bernard Vidali
Konzept: binsfeld corporate – Druckerei: Imprimerie Hengen – Erscheinungsweise: 3/Jahr – Auflage: 3.000 Exemplare
www.zitha.lu – [email protected] – Tel.: 40 144-2053
3
Du haut de mon balcon
D
epuis quelques mois, ZithaSenior
a rebaptisé ses maisons de retraite
et de soins. On parle actuellement
des "Seniories" de notre groupe. Ce
changement est peut-être un simple détail, mais il vaut bien quelques réflexions.
Par cette nouvelle appellation nous souhaitons signaler notre volonté et nos efforts de dépasser le stade des "homes",
"foyers", "centres", etc... pour offrir aux
personnes concernées une vraie demeure
conviviale et respectueuse de leur situation. Leurs manques et leurs faiblesses y
sont autant pris en charge que leurs richesses souvent latentes.
En même temps, nous refusons ce jeu de
socitété qui consiste à exprimer par des
euphémismes raffinés, tout ce qui se rapporte aux dernières années de notre vie.
Trop de gens pensent que l'on a (?) enfin
domestiqué le décès et la mort et qu'il
faut s'attaquer maintenant à l'âge avancé
et à la vieillesse. Avez-vous remarqué
qu'il n'y a plus, comme bannis de la société, de personnes âgées ou, comme on
disait autrefois, de vieux dans notre société? Il y a les seniors, les personnes d'un
certain âge, les plus de soixante-dix ans,
le troisième voire quatrième âge, les retraités... Tout le monde s'accorde à dire
que nous devenons de plus en plus âgés,
dans le sens où la durée moyenne de
notre vie augmente d'environ trois mois
par année de calendrier. Mais, rares sont
ceux qui admettent qu'ils deviennent personnellement plus âgés au fil du temps.
Autre ambiguïté, "je ne suis pas vieux, ah
non! peu importe mon âge. J'adore le
vieux vin, j'aime les meubles du XVIIIe
siècle, je rafolle d'old-timer et je collectionne les vieux outils du Moyen-Âge"...
Comme si l'âge apportait une plus-value
aux objets et une sérieuse perte de valeur
aux vivants. Eux, ils "diminuent", "déclinent", "régressent", "fatiguent"... et il
faut à tout prix les empêcher de regarder
lucidement leur situation, comme si elle
était vide de sens, de valeurs, de richessesses à tout jamais. Il suffit de feuilleter
certaines brochures pour les personnes
âgées ou les offres d'activités dans les
maisons de retraite. Quel décalage, quel
gouffre entre la réalité et ce que le papier
brilliant veut nous faire croire. L'idée de la
vieillesse est condamnée à se cacher
honteusement derrière les façades du
jeunisme et de l'anti-aging qui fait (encore) si bien marcher le commerce de
certains groupes spécialisés.
Sérieusement! Faut-il vraiment avoir
honte de (se) dire: " je suis âgé", "je sens
mes limites", "je réalise ma dépendance
croissante..." (dépendance qui n'a
d'ailleurs jamais cessé, mais sous d'autres
formes, de marquer ma vie depuis que je
suis né), "je préfère le repos à la fébrilité
d'un certain activisme", "je me rends
compte que la fin approche, mais..."
"Pour moi l'âge n'est pas une prison,
mais un balcon d'où l'on voit à la fois plus
loin et avec plus de précision" (Marie
Luise Kaschnitz)
Quel atout formidable de nos seniories si
l'on pouvait se mettre à côté de chaque
vieux sur le balcon de son âge et lui permettre d'oser ce regard au loin, tellement
riche, qui, seul, peut éclairer le jardin de
son coeur en voie de trouver son
épanouissement.
Jean-Jacques Grosber
kompress n°18 > september 10
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Palliative Care und die
Würde des Menschen
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EIN FORTBILDUNGSTAG FÜR MEDIZIN, SEELSORGE UND PFLEGE
wurde engagiert diskutiert und
Erfahrungen
ausgestaucht.
Die
Veranstalter hat es besonders gefreut,
dass
alle
Berufsgruppen
des
Multidisziplinären Teams (MedizinerInnen, TheologenInnen, PsychologenInnen, Pflegende und ehrenamtliche
MitarbeiterInnen der verschiedenen
palliativen Einrichtungen) vertreten
waren. Somit konnte aus den
verschiedenen professionellen Blickwinkeln die Frage nach der Wahrung der
Würde des Sterbenden in einer sich
zunehmend
professionalisierten
Palliative Care nachgegangen werden.
Als Fazit dieses Studientages kann
festgehalten werden, dass Professionalisierung und Standards zwar den
äußeren Rahmen für ein würdevolles
Sterben geben, aber sie sind kein Garant
für die Würde des Einzelnen. Um der
Würde des Menschen als ständigem
Anspruch gerecht zu werden bedarf es
immer wieder einer Reflexion des
eigenen Handelns im multidisziplinären
Team.
Unter diesem Thema fand am 30 Juni ein
Studientag in der Caritasklinik St.
Theresia, Saarbrücken statt. Dieser Tag
erwuchs aus einer grenzüberschreitenden
Zusammenarbeit zwischen Frau Dr.
Blatt- Bodewig, Palliativmedizinerin und
Chefärztin der Palliativstation und Frau
Kaspar, Krankenhausseelsorgerin, beide
Caritasklinik St. Theresia Saarbrücken,
Professor Wahl, Pastoraltheologe der
Theologischen Fakultät Trier, Frau
Weber-Juncker, Referentin für Theologie
und Palliative Care, Fondation Ste. Zithe,
Luxemburg und Stefan Nober, Bistum
Trier.
Palliative Care ist in weiten Bereichen
bereits
aus
den
Kinderschuhen
kompress n°18 > september 10
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entwachsen und hat sich als eigene
Fachrichtung etabliert. Die beteiligten
Professionen Medizin, Pflege, Seelsorge
und Psychologie haben dazu ihre eigenen
Standards entwickelt. Die Frage, die sich
daraus stellt: Wird in einer so
professionalisierten Sterbe-begleitung
das Thema „Würde“ überflüssig?
Im regen Austausch wurde dieser Frage
zwischen 140 Teilnehmern aus
Luxemburg
und
Deutschland
nachgegangen. Gemeinsamkeiten und
Unterschiede wurden nicht nur in der
Podiumsdiskussion und den Workshops
ausgetauscht, sondern auch in den
Pausen. Trotz großer Hitze und
anstrengender Enge in den Workshops
Um dieser Herausforderung gerecht zu
werden, soll im nächsten Jahr ein solcher
Studientag als gemeinsame Plattform
des gegenseitigen Austauschs zwischen
den verschiedenen Professionen in
Luxemburg stattfinden.
Elisabeth Weber-Juncker
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Stöckelschuh mit Geige
MUSIKAUFFÜHRUNGEN IN UNSERER KLINIK
S
eit drei Jahren veranstaltet die
Zithaklinik zusammen mit der
„Fondation EME – Ecouter pour
Mieux s’Entendre“ kleine Konzerte auf
Station A3, direkt neben dem Aufzug.
Mitarbeiter vom technischen Dienst stellen am Morgen 18 Stühle in den Gang, so,
dass sie den Klinikverkehr nicht blockieren. Patienten kommen oder werden gebracht. Die Musiker stimmen ihre
Instrumente. Der Direktor begrüßt
Spielende und Zuhörer. Heute musizieren
eine Stunde lang Darko Milowich (Geige)
und Ilan Schneider (Bratsche) vom
Orchestre Philharmonique du Luxembourg
(OPL). Neben ihrem Engagement im OPL
treten beide in internationalen Orchestern
auf und haben zahlreiche Preise
gewonnen.
Die Idee der "Fondation EME" Musik in
Kliniken und an anderen Orten sozialer
Einrichtungen zu spielen ist bestechend
und richtig. Sie schreiben auf ihrer
Homepage
www.fondation-eme.lu:
„Hochmotivierte Musiker und ehrenamtliche Helfer stellen sich in den Dienst der
Idee, Musik zu Menschen zu tragen, die
üblicherweise vom Kulturleben ausgeschlossen sind. Denn die direkte
Begegnung mit Musik ist ein
Grundbedürfnis des Menschen. Jede Hilfe,
diese wirklich allen zugänglich zu machen,
fördert die soziale Gerechtigkeit. Die
Projekte, die mithilfe der EME Stiftung realisiert werden, verbinden eine soziale mit
einer kulturellen Dimension. Sie dienen
gezielt Menschen, die aus vielfältigen
Gründen außerhalb des gewöhnlichen
Adressatenkreises kultureller Aktivitäten
stehen – darunter Kinder und Erwachsene
mit komplexen Behinderungen, mit einge-
schränkter Mobilität oder in schwierigen
Lebensumständen sowie sozial benachteiligte, vereinsamte oder am Rand der
Gesellschaft lebende Menschen.”
Wie immer, wenn es um etwas ganz
Besonderes geht, sind unausgesproche
Erwartungen zu spüren: Möge es doch
eine Musik geben, die „alle Tränen abwischt“ (Offenbarung 21,4), die sie durch
ihr Spiel selber auslöst. Um solchen
Erwartungen entgegenzukommen, findet
der Musikvortrag in der „ZithaKlinik“
auch nicht in einem abseitig geschützten
„künstlichen“ Raum statt, sondern mitten
im Leben, Leiden und den Bewegungen
einer Krankenstation. Das räumliche
Beieinander von Kunst und Alltag bedeutet für die Zuhörer und vor allem für die
Musiker eine gewisse Unruhe. Das sieht
und hört sich dann so an: Eine
kompress n°18 > september 10
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Stöckelschuhgeherin durchquert die
Szene. Ihr Schritt klingt wie das
Messerspitzenstakkato auf der gläsernen
Kuchenplatte beim Anschneiden einer
Erdbeertorte, untermalt von Paganinis
„Carnevale in Venezia“. Wenig später
kommt Blut gelaufen, in einem kleinen
Plastikbeutel, getragen von einer Person
im weißen Kittel. Zwei Farbtupfer: rot und
weiß, jetzt im Dienste der Musik. Eine
Patientin wird müde und bittet in ihr
Zimmer zurückgebracht zu werden. Man
hört die Hartgummiräder ihres Rollstuhls
über die Plättchen des Ganges rollen, ein
leises und sanftes Tremolo zu Bohuslav
Martinus „Madrigal Nummer 2“. Zehn
Minuten später: Eine weitere Frau mit
Stöckelschuhen geht durch die Musik,
diesmal auf Zehenspitzen. Ihre tappenden Bewegungen gleichen denen des rosaroten Panthers. Man hört nur ihr Gehen
auf Zehenspitzen, das sich dem Takt der
Musik – „Zwei kurze Duette“ von Johann
Sebastian Bach - anzupassen scheint. Und
dann das: ein Arzt kommt, bleibt stehen
und hört zu. Hört nur zu. Sein Instrument
der Töne, das Stethoskop, baumelt - verloren oder ganz bei sich selber – von seinem Hals. Wie Efeu wachsen weitere
Ohren aus den unteren Etagen das
Treppengeländer hoch. Die Klinik wird
ganz Ohr.
Viele sind traurig berührt. Manche summen leise mit. Wer möchte, überlässt sich
der Musik. Dieser Vorgang, den der
Volksmund abwehrend „sich gehen lassen“ nennt und die Psychoanalyse als
„Regression im Dienste des Ich“ bezeichnet, führt in Tiefenschichten unserer
Sehnsucht. Zwei Musikinstrumente sprechen zu und mit uns, da wo für unser
komplexes, undurchsichtiges Leben die
Worte fehlen.
Das Spiel der Musiker, Geige und
Bratsche, unterbricht für Momente den
Klinikalltag, der oft schweigend oder mit
den immer gleichen Worten und
Geräuschen verrichtet wird. Die Musik
macht aus Zuhörern Träumende. „Die
große Kunst der Musik besteht darin, den
Zuhörer aus seiner örtlichen Bindung zu
lösen.“ sagt der Jazzpianist Keith Jarrett.
Am Ende gibt es einen großen Applaus für
Darko Milowich, Ilan Schneider und ihre
Kunst, die Zuhörer für eine „kleine
Ewigkeit“ aus ihrer örtlichen Bindung gelöst zu haben.
Winfried Heidrich
SIGGY'S CUP 2010
Comme chaque année, la Zitha a participé à la Ziggy's Cup qui s'est déroulée du 7 au 10 mai 2010, à Kremik en Croatie. Cette
année, ce sont deux bateaux qui ont pris le large: le Travels with Tin Tin III avec pour skipper Dr. Gregor Baertz et le Summer
Wine II et le skipper Dr. Roger Wirion. Malheureusement aucun des deux bateaux n'a remporté la course et sont arrivés respectivement 12e et 17e, sur un total de 28 bateaux.
Sur la photo de gauche à droite: Dr. Tom Faber, Dr. Julie Thoma, Dr. Peter Bräutigam, Dr. Christiane Schummer, Dr. Gregor Baertz, Laurent Scharff, Dr.
Roger Wirion, Pascal Aubertin, Marie-Rose Hary, Dr. Catherine Schmit-Burgy, Dr. Hassan Hadji, (Dr. Gilles Kieffer)
kompress n°18 > september 10
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Mitarbeitergespräche
GESPRÄCH MIT MONIKA REISS
Es ist erstaunlich und erfreulich zugleich, über wie lange Zeit Mitarbeiterinnen und Mitarbeiter in der ZithaKlinik
arbeiten, ein Anlass, bei „Altgedienten“ nachzufragen. In dieser Ausgabe von Kompress sprechen wir mit
Monika Reiss, Mitarbeiterin in der Endoskopieabteilung. Die Fragen stellt Winfried Heidrich
"Das Essen wurde auf Station auf Teller verteilt und den Patienten gebracht. Es gab also noch kein Tablettsystem."
Monika, als Du Krankenschwester wurdest, ging da
Dein Traumberuf in Erfüllung
oder gab es auch berufliche
Alternativen?
Ich war 1970 im 9. Schuljahr mit der
Schule zur einer Berufsinformation, wo
der Beruf der Krankenschwester vorgestellt wurde. Da ich erst 14 Jahre alt war,
hatte ich noch 3 Jahre zu überbrücken,
die ich mit einer zweijährigen Ausbildung
zur Hauswirtschaftsgehilfin
nutzte.
Danach arbeitete ich noch ein Jahr auf
einer Säuglingsabteilung im St. Elisabeth
Krankenhaus in Wadern. Als ich 17 Jahre
war, konnte die Ausbildung beginnen.
Es gab allerdings eine Frage, die mich
sehr beschäftigte: die Angst vor dem Tod.
Was mache ich, wenn jemand stirbt? Wie
kann ich damit umgehen? Also entschied
ich mich zuerst, die Ausbildung zur
Pflegehelferin zu machen. In dieser Zeit
wollte ich herausfinden, wie ich mit dem
Sterben und dem Tod der Patienten zurechtkäme. Nach dieser Ausbildung habe
ich 2 Jahre als Pflegehelferin im BKT Trier
gearbeitet. Der Tod hat seinen Schrecken
nicht verloren, aber ich komme seither
mehr oder weniger gut damit zurecht,
wenn Menschen gestorben sind. Auf das
Drängen eines Arztes unserer Station hin
fing ich 1976 die Ausbildung zur
Krankenschwester an.
Als Du dann nach Luxemburg
gekommen bist, wolltest Du für
immer kommen und Dein
ganzes
Berufsleben
hier
verbringen?
Nach meiner Ausbildung habe ich von
1979 bis 1982 in einem Krankenhaus in
Köln gearbeitet. Es war eine 42 Betten
Akutchirurgie mit einer personellen
Unterbesetzung. Wir hatten geteilte
kompress n°18 > september 10
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Dienste, in der Wochenendschicht arbeitete eine Krankenschwester alleine mit
einer Pflegehelferin, das war die Regel.
Und nur alle 14 Tage war ein Wochenende
frei. Das konnte ich nicht länger aushalten. Mit einer Freundin, die damals ihre
Ausbildung beendete, beschloss ich, einen anderen Arbeitsplatz zu suchen.
Eines Abends bei einem Glas Wein haben
wir eine Landkarte, Benelux, Eifel
Rheinland Pfalz, Frankreich und noch ein
paar Anrainerländern ausgebreitet, haben die Augen geschlossen und getippt,
wo wir hin könnten. Ich habe Luxemburg
getroffen, Renate die Eifel, also ging es
nach Luxemburg. Eine Bekannte hat uns
die Adressen der Krankenhäuser organisiert, wir haben Bewerbungen los geschickt und sind dann im November 1982
in der ZithaKlinik gelandet.
Wie erging es Dir in der ersten
Zeit hier in der Klinik ?
Die Klinik war übersichtlich, die
Atmosphäre familiär, jeder kannte jeden.
Es gab auf jeder Station alle
Fachrichtungen, was manchmal schwer
zu handhaben war, man musste also sehr
flexibel sein. Andererseits wurde man
wegen der Vielfalt der Aufgaben nicht
zum „Fachidioten“. Ich habe bis 1990
auf Station 2B gearbeitet. Es war so ganz
anders als in Köln, es gab mehr Personal
auf kleineren Stationen, ich hatte auf
einmal Zeit für die Patienten. Es gab auch
Rückschritte: Es waren keine Toiletten in
den Zimmern, es gab wenig Pflegemittel
oder Lagerungsmittel, z. B. Schaffelle
oder Wasserkissen für Dekubitus gefährdete Patienten. Ich musste auf einmal
wieder umdenken. Elastische Binden
wurden extra gewaschen und wieder
aufgewickelt. Medikamente, Tabletten
und Ampullen wurden einzeln von der
Apotheke ausgegeben. Das Essen wurde
auf Station auf Teller verteilt und den
Patienten gebracht. Es gab also noch
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kein Tablettsystem und der Pat hat gegessen was auf den Teller kam. Dafür war
das Essen besser, es war frisch und
schmackhaft. Man konnte dem Patienten
gezielt mehr oder weniger geben. Und
am Sonntag bekam der Arzt seine Suppe.
Zu Beginn Deiner Zeit hier war
auf jeder Station und Abteilung
noch eine Ordensschwester.
Was verbindest Du mit den
Zithaschwestern?
Die Ordensschwestern waren auf der
Station oft Ansprechpartner für religiöse
Fragen und Belange. Die Schwester ging
jeden Abend noch einmal durch alle
Zimmer, hat den Patienten eine gute
Nacht gewünscht und ihnen Weihwasser
angeboten. Sie hat sich darum gekümmert, wenn es Patienten schlecht ging,
dass sie die Sterbesakramente erhielten.
Der menschliche und religiöse Umgang
mit den Patienten war ihnen besonders
wichtig.
Du hast lange auf der Station
gearbeitet und warst auch
Stationsleiterin. Wie blickst Du
auf diese Zeit zurück??
1990 wurde ich von Schwester Josepha
gefragt, ob ich eine Stationsleitung übernehmen könnte. Auf Station B3 war die
Stelle der Stationsleitung frei geworden.
Ich erbat mir eine Bedenkzeit und habe
mit einer Freundin das Für und Wider
überlegt. Dann habe ich zugestimmt unter der Bedingung, dass ich einen
Stationsleiterkurs besuchen kann und
dass eine Stellvertretung auf die Station
kommt. Die Stationsleiterausbildung
habe ich in Krankenhaus in Merzig gemacht. Und Anja, die Stellvertretung,
hatte mich nicht nur in dieser Zeit gut
vertreten und unterstützt. Damals war die
Stationsleitung allerdings noch stärker in
die Pflege eingebunden. Nach 7 Jahren
Stationsleitung kam ich an einen Punkt,
an dem mir klar wurde, dass dieser Teil
meines Berufes mir nicht mehr gefiel. Es
gab immer mehr Schreibarbeit, Budgets
zu erarbeiten, Berichte zu schreiben, auf
Versammlungen zu gehen. Arbeiten, die
nicht direkt zu dem Beruf gehörten, den
ich einmal gelernt hatte.
Du hast dann die Arbeit und die
Abteilung gewechselt.
Von 1998 bis 2002 habe ich im Service
Ambulatoire gearbeitet. Dieser wurde einige Jahre vorher neu eröffnet und sollte
erweitert werden. 2001 wurde diese
Abteilung mit der Station B3 zusammengelegt. Ich war wieder auf Station und
habe mich umgehend wieder für eine
Funktionsabteilung beworben. Nach einem Vorstellungsgespräch mit Sabine
und Nunz sowie einem kurzen Probelauf
habe ich im März 2002 in der Endoskopie
angefangen. Nacheinander wurde ich in
die „Geheimnisse“ der Endoskopie eingeweiht, lernte die unterschiedlichen
Endoskope und Untersuchungen und
auch den ausgeklügelten Tagesablauf
kennen. Ich wechselte zwischen
Endoskopie, Urologie und Pneumologie.
Es gab 8 Ärzte in der Abteilung und jeder
hat die Untersuchung anders gemacht,
wollte die Prämedikation anders, es gab
einiges zu lernen. Mit Blick auf den
Patienten kann ich sagen, dass jeder die
Untersuchungen anders erlebt. Wir sehen
seine Erleichterung, wenn alles gut überstanden ist oder seinen Schock, wenn ein
Tumor gefunden wurde. Arzt und
Personal haben nicht immer die nötige
Zeit, sich in solchen Situation länger mit
dem Patienten zu unterhalten, da der
9
Oben links: Edgar Lahr, Rita van Hemelryck, Elisabeth Spiedel, Daniel Reuter
Unten links: Sabine Thoss, Nadia Quoilin, Monika Reiss, Denise Noe
nächste Patient schon
Untersuchung wartet.
auf
seine
Heute wird jede Arbeit am Patienten
über den Computer festgehalten und
verrechnet, ansonsten würde diese
Arbeit wie nicht durchgeführt gelten. Die
Informatik bringt wohl Erleichterungen,
aber auch Mehrarbeit, wenn der
Computer während der Untersuchung
abstürzt und nichts mehr geht oder wenn
er sich am Morgen nicht hochfahren
lässt. Die Station befindet sich technisch
und von ihren Abläufen her in einem
ständigen Wandel. Wenn ich glaube, ich
weiß endlich wieder alles, kommt etwas
Neues hinzu. Und jedes Jahr wird der
obligatorische „Endo“-Ausflug gemacht
und es werden kleine Feste gefeiert.
Was hat sich in der Endoskopie,
in der Du arbeitest, in den vielen Jahren am Auffallendesten
verändert?
Durch die Vorsorgediagnostik ist oft eine
frühzeitige
und
lebensrettende
Erkennung von Tumoren möglich geworden. Diese tolle Errungenschaft hat eine
stetig
steigende
Anzahl
von
Untersuchungen zur Folge, bei einer
knapper werdenden Personaldecke.
Zusätzlich hat sich die schriftliche
Dokumentation drastisch erhöht, dadurch verringert sich die Zeit, die für den
Patienten übrig bleibt. Es hat schon eine
Patientin zu mir gesagt, nachdem ich sie
gefragt hatte, wie es ihr geht: „Sie haben
ja doch keine Zeit zum Zuhören, hier ist
doch jeder im Stress!“ Das machte mich
sehr betroffen. Auf der einen Seite
braucht der Patient jemanden zum
Zuhören, auf der anderen Seite wartet
der Arzt für die nächste Untersuchung.
Manchmal habe ich den Eindruck, dass
immer mehr auf Quantität als auf
Qualität Wert gelegt wird. Der Patient
als Mensch darf nicht aus unserem Blick
geraten. Zum Pflegen gehört immer noch
der zwischenmenschliche Kontakt. Ein
Infusomat kann nicht zuhören und die
Antidekubitusmatratze kann keinen in
den Arm nehmen.
Du siehst in der Klinik soviel
von der Bedrohung des Lebens,
wovor hättest Du Angst?
Wenn ich mich nicht mehr äußern und
„Nein“ sagen könnte und der
„Maschinerie“ Klinik hilflos ausgeliefert
wäre. Wenn ich unheilbar krank oder alt
und in der Sterbephase wäre und dann
noch unnötig Untersuchungen gemacht
würden. Dass ich nicht sterben dürfte,
davor hätte ich Angst. Die meisten
Menschen sterben im Krankenhaus und
nicht jeder möchte um jeden Preis gerettet werden, vielleicht ist ja Sterben für
einige die Rettung.
Was bedeutet Dir das Reisen?
Einmal Ausspannen, aber auch Neues
lernen. Mir fällt besonders meine Reise
nach Indien ein. In Kalkutta spielt sich
das Leben zum großen Teil auf der Straße
ab. Dort wird geschlafen, gearbeitet, gekocht und gelebt. Es ist schmutzig, die
Menschen waschen sich und ihre Kleidung
in Pfützen. Manchmal hatte ich das
Gefühl, ich könnte allein schon vom
Zusehen eine Hepatitis bekommen. In den
Bergen war es besser. In Darjeeling leben
die Religionen friedlich zusammen:
Christen, Moslems, Hindus. Die Menschen
haben Arbeit. Die vielen Teeplantagen
führen zu einem gewissen Wohlstand.
Eine Inderin wusste, dass ich
Krankenschwester bin und wollte mir ein
Krankenhaus zeigen. Als wir dort ankamen, war es wegen einer Tetanusepidemie
geschlossen. Wir konnten nicht hinein. Es
hat aber auch niemand ein Wort darüber
verloren, es war einfach so. In diesem
Land lernte ich, meinen Lebenskomfort in
Luxemburg oder in Deutschland zu schätzen. Es sind so viele Dinge selbstverständlich, dass wir uns darüber keine Gedanken
machen. Wir drehen den Wasserhahn auf
und es kommt warmes oder kaltes sauberes Wasser. Die Reise nach Indien war so
ein ganz anderer Urlaub. Es gibt auch
Urlaube, da bin ich mit einer Tasche voller
Bücher weg und will meine Ruhe haben.
Was
macht
für
Lebensglück aus?
Dich
Nicht krank zu sein, ein Dach über dem
Kopf zu haben, Freunde, einen
Arbeitsplatz, an dem es mir gut geht. In
meiner Freizeit fotografiere ich gern,
und ich mache Skulpturen aus Speckstein,
Alabaster oder Sandstein. Es ist schön,
wenn ich sehe, was aus dem Stein wird,
wie er sich verändert und meistens anders gerät als ich mir das gedacht habe.
Das Einlassen auf den Stein, der seine
Form oft schon hat und die nicht abgeben möchte. Die Freude an der körperlichen Arbeit, mit Hammer und Meißel
eine Form ausarbeiten und nachher zu
sehen wie es geworden ist. Es gibt auch
den Stolz: Das habe ich gemacht! Von
Morgens bis Abends zu organisieren.
Arbeitskraft soll da eingesetzt werden,
wo sie gefragt und gebraucht wird, ist
das so schwer?
Monika Reiss, vielen Dank für
das Gespräch!
kompress n°18 > september 10
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ZithaArt
L'ART AU PROFIT DU MALAWI
Photo: Gilbert Linster
Africa ! Afrique du Sud, mise en évidence
momentanée par le grand spectacle de la
coupe du monde de football! Mais n’oublions pas qu’après ce manège le quotidien souvent gris et dur reprend sa place.
En bordure de ces événements le Malawi
continue à vivre ses misères et ses espoirs,
espoirs placés dans les organisations et
les fondations des pays riches, surtout
européens, qui par leur aide s’acharnent à
amener dans les pays du tiers monde un
niveau de vie digne de tout être humain
quel qu’il soit.
Au Luxembourg les organisations et les
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fondations qui offrent leur aide aux plus
pauvres d ‘Afrique sont nombreuses depuis de longues années. Parmi elles la
Fondation Ste Zithe s’engage au Malawi
dans le perfectionnement au sein du secteur hospitalier.
Pour garantir de telles aides il faut avoir
des moyens financiers, que la Fondation
Ste Zithe s’est procuré par exemple du 4
juin au 1er juillet 2010 grâce à une exposition d’art contemporain à la ZithaKlinik.
Un heureux hasard a voulu que Marc
Stein rencontre quatre artistes travaillant
et exposant à Luxembourg-Grund dans le
cadre de Konscht am Gronn: Danielle
Uzan, Yvette Rischette, Kingsley Ogwara
et Viviane Briscolini. Il n’a fallu ni de
nombreux ni de longs pourparlers pour
convaincre et animer les quatre artistes à
monter l’exposition Meet the Artists dans
le hall d’accueil de la ZithaKlinik. Deux
d’entre eux, Danielle Uzan et Kingsley
Ogwara, sont originaires du continent
africain dont ils connaissent parfaitement
les difficultés, ce qui explique la motivation spontanée des quatre artistes à accepter et à mettre à disposition une partie
des recettes des ventes éventuelles au
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profit du projet Cuisine sans fumée de
l’hôpital St Gabriel’s, situé à Namitete au
Malawi.
Les responsables, Sœur Brigitte
Schneiders, Présidente du Conseil d’Administration de la Fondation Ste Zithe et
Hans Jürgen Goetzke Directeur général du
ZithaGroupe se sont laissés convaincre
par l’envergure bienfaisante de cette
exposition.
D’un côté les patients de la ZithaKlinik et
les membres de leurs familles ainsi que le
personnel de la clinique ont su profiter,
voire jouir, d’un changement des plus
agréables, amenant des couloirs dans le
quotidien hospitalier plutôt monotone.
D’un autre côté la Fondation Ste Zithe
pouvait espérer une aide financière pour
son projet qui veut, en collaboration avec
le Ministère de la Coopération, perfectionner les conditions de prise en charge à
l’hôpital de Namitete au Malawi : il s’agit
d’y aménager la cuisine sans feu ouvert et
d’améliorer ainsi les conditions de travail
des femmes qui cuisinent pour leurs
proches qui sont à l’hôpital.
L’espoir de la Fondation s’est réalisé : une
somme importante a pu être collectée
jusqu’à la fin de l’exposition par la vente
d’un certain nombre d’œuvres d’art. En
surplus beaucoup de donateurs se sont
manifesté à la suite de cette activité sympathique d’un niveau artistique élevé.
KonYv
PRIX DE L'INNOVATION ET DE LA QUALITE
Cette année, ZithaKlinik et ZithaSenior ont décidé de récompenser ses employés grâce à l'instauration d'un prix de l'innovation
et de la qualité. Les différents services des insitutions pouvaient déposer un dossier décrivant leur projet contribuant à cultiver
et à partager l’esprit innovatif de même qu’à montrer l'engagement pour l'amélioration permanente de la qualité des services
au sein de nos institutions. C'est le Groupe Paulus de la Seniorie Consdorf qui remporte le prix chez ZithaSenior et les services
Dialyse et Réanimation qui sont les lauréats de ZithaKlinik.
kompress n°18 > september 10
Zeitung vum ZithaGrupp
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Méi gesond liewen
ouni Tubak
EN INTERVIEW MAM HÄR W. - COURS ANTI-TABAC - ZGZ
Wéi laang a wéi vill hudd Dir
gefëmmt?
Ech hu mat 15 ugefaang ze fëmmen. Et
ass séier méi ginn, een, zwee,
schlussendlech dräi Päck den Dag, déi ech
während 37 Joer gefëmmt hun.
D'Zigarette wor iwwerall dobäi, an z.B.
méi wichteg wéi moies eppes iessen.
Wann ech keng hat, oder och nëmme
gemengt hun et géing net duer goen mat
de Päck déi ech a Stange kaaft hunn, sinn
ech Kilometer gefuer, och nuets, fir der ze
kafen... Ech hu gemengt ech bräicht se,
wéi d'Loft fir ze ootmen... Ech hunn net
gemengt ech kéint jee ophalen mat
fëmmen, ech hunn net emol gemengt ech
wéilt iwwerhaapt jeemools ophalen...
Waat huet Iech am Bëschten
gehollef am ZGZ?
Ech wollt eppes Gutts fir mech maachen
mat dem Cours. Dat wor, mengen ech,
schonn emol eng gutt Viraussetzung. Ech
hu mech och zu kengem Moment ënner
Drock gefillt dëst oder dat ze maachen,
oder net ze maachen, dat wor mir och
wichteg. Am beschten gehollef huet mir,
mech zesummen mat der Therapeutin
kompress n°18 > september 10
Zeitung vum ZithaGrupp
iwwert
meng
Motivatiounen
ze
fëmmen engersäits an
opzehalen an net ze
fëmmen anerersäits
"de
vive
voix"
ausenaner ze setzen.
Eppes
haart
ausschwätzen
ass
eppes anescht wéi et
just
am
Kapp
ronderëmdréinen.
Wann
ech
z.B.
ausgesprach hunn, et
géif mech stéieren
ofhängeg ze sinn, oder mir an aneren a
mengem Ëmfeld ze schueden, oder och
gär gefëmmt ze hunn, dann hat dat eng
aner Qualitéit wéi wann ech just doriwwer
nogeduecht hunn. Dat wor fir mech
wichteg, an efficace wéi et schéngt.
Wei laang fëmmt Dir lo schon
net méi?
Ech fëmmen elo säit bal siwen Méint net
méi,
benotzen
allerdéngs
nach
Nikotinersatzproduiten, "das mindere
Übel"... Ech si frou opgehal ze hunn, an
dat obschonns ech haut nach soen, dass
ech leidenschaftlech gären Tubak gefëmmt hunn. Doru wäert sech och näischt
änneren. Genee sou genéissen ech et
awer och elo net méi ze fëmmen, – net
méi fëmmen ze mussen! – an déi vill aner
Virdeeler, déi dat fir mech an och fir déi
ronderëm mat sech bréngt.
Wat war positiv a wat war négativ um Cours?
Negativ hunn ech nëmmen op den éischte
Moment eng Rei vun Informatiounen
fonnt, déi een schonn honnert Mol héieren
huet, iwwert d'Schiedlechkeet vum
Fëmmen, iwwert de Gestank etc. Mee se
woren schlussendlech awer net ëmsoss,
et geheit nach e puer ganz gutt
Argumenter
an
d'Woschuel
fir
weiderzefëmmen oder eben opzehalen.
Wat d'Konsequenzen op d'Gesondheet
ubelaangt wier et villäicht sënnvoll nach
méi vun engem Dokter gewuer ze ginn.
Aus dësem fir mech eenzegen Kritikpunkt
kennt Dir also schléissen, dass mäi
Resumé duerchaus positiv ass! Hëllefräich
woren nieft der Ausenanersetzung mat de
Motivatiounen déi ech schonns ernimmt
hat, "d'Hausaufgaben", z.B. all eenzel
Zigarett opschreiwen a kucken a wat fir
engem Kontext ech déi gefëmmt hunn.
Dann och Alternativen, Verhalensännerungen an Aktivitéiten, déi beim
Ophalen hëllefen (ech hunn z.B. amplaz
vum Espresso, Téi an Kakao gedronk an
hun den Dag moies anescht ugefaang wéi
soss mat Zigarett a Kaffi). D'Moossen vun
de Longenwäerter an de Fortschrëtt deen
ech am Laf vum Cours konnt gesinn.
D'Ënnerstëtzung duerch e Medikament,
dat besonnesch am Ufank den "Ofsprong"
erliichtert huet. De regelméissegen
Austausch iwwert all déi Wochen, an dat
an engem ganz angenehme flotten Kader
mat enger frëndlecher a kompetenter
Equipe. Dat sinn e puer vun den Elementer
déi mir gutt gehollef hunn.
Eis nei Couren fenken donneschtes,
den 23. September 2010 vun 12.0013.00 Auer un.
Weider Informatiounen iwert desen
Cours oder vill anerer um tél. 497766363 (Pia Michels)
13
Gesundheit
SPORT NACH KREBSTHERAPIE
den letzten Jahren aufgrund der hohen
und
sich
schnell
einstellenden
Effektivität, der guten Umsetzbarkeit,
des geringen Verletzungsrisikos, der
guten und objektiven Kontroll- und
Dokumentationsmöglichkeiten
sowie
der wissenschaftlichen Nachweise besonders das Ausdauertraining durchgesetzt. Die spezifischen Ziele des
Ausdauertrainings im Zusammenhang
mit einer (ehemaligen) Krebserkrankung
sind
• die Minderung des Fatigues-Syndroms
• die Stärkung der Lungenfunktion
• die Erhöhung des Hämoglobingehalts
im Blut
• die Verbesserung der Immunabwehr
• der Abbau von Stressreizen
Das Untersuchungs- und Arbeitsfeld zu
den Auswirkungen von Sport auf Krebs
in der Prävention, im akuten Krankheitszustand sowie in der Rehabilitation ist
noch verhältnismäßig jung. Des weiteren
haben sich die ärztliche Sichtweise und
die daraus resultierenden Empfehlungen
in bezug auf körperliche Aktivität in den
letzten 20 Jahren diametral verändert.
Wurde früher Schonung (Bettruhe)
empfohlen und verordnet, so lautet
heutzutage in den zwei Krankheitsstadien
die Empfehlung individuell adaptierte
und kontrollierte Bewegungs- und
Sporttherapie.
• der Erhalt der Knochen- und
Knorpelsubstanz
Ziele von Bewegung und Sport
für KrebspatientInnen
• das Bekämpfen des krankheitsbedingten Kräfteverlustes, sprich das Erhalten
und Aufbauen der Muskulatur
Das Hauptziel von Bewegung und Sport
in der Onkologie ist der Erhalt und die
Wiederherstellung physischer und psychischer Komponenten und die psychosoziale Stabilisierung. Hier hat sich in
• die Verbesserung des
Innervationsvermögens
• der Erhalt bzw. die Verbesserung der
muskulären Strukturen
• die Ökonomisierung des
Herz-Kreislaufsystems
• die Senkung des Rückfallrisikos (bei
Brust- und Darmkrebs nachgewiesen).
Zudem gehören auch die Elemente
Kräftigung, Beweglichkeit, Koordination
und Entspannung zum Weg der
Besserung. So sind die speziellen Ziele
des Kräftigungstrainings
• die Minderung des Fatigue-Syndroms
• die Stärkung des Immunsystems
• die Erhöhung des Muskel- und
Fettanteils.
Sowohl für die Therapie als auch für das
Training gilt, das passende Maß zu finden
sowie die Trainingsempfehlungen und
krankheitsbedingten
Einschränkungen
und Verbote zu respektieren.
Sportgruppen zur
Krebsnachsorge im
ZithaGesondheetsZentrum
Im Rahmen der Krebsnachsorge bietet
das ZithaGesondheetsZentrum Kurse für
Personen an, deren Krebstherapie abgeschlossen ist und die sich in der
Rehabilitation
befinden.
Die
Schwerpunkte des Kurses sind die
Verbesserung der Ausdauer, die
Stärkung der Muskulatur, das Üben der
Koordination, die Optimierung der
Beweglichkeit, die Atmung und die
Entspannung. Die Kurse finden, mit bis
zu maximal acht TeilnehmerInnen im
persönlichen Rahmen statt. Nähere
Informationen zu den Kursen finden Sie
unter:
http://www.zitha.lu/de/
ZithaGesondheetsZentrum/Angebot/
Angebot/Nos-programmes-de-coaching
oder nehmen Sie bitte Kontakt zu uns
auf unter
Tel.: 49 776-6363
Fax.: 49 776-4949
Email: [email protected]
• die Bekämpfung der chemotherapeutisch indizierten Osteoporose
kompress n°18 > september 10
Zeitung vum ZithaGrupp
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Livres
AU SUD DE LA FRONTIERE, A L'OUEST DU
SOLEIL - HARUKI MURAKAMI
Vous ne connaissez pas encore Murakami?
Ce livre est l'occasion de se plonger dans
la délicatesse des émotions made in
Japan.
Hajime a connu pour la première fois
l'amour en compagnie de la douce
Shimamoto-San. Séparés par la vie, il n'a
pourtant jamais oublié. Aujourd'hui, à
l'aube de la quarantaine, Hajime est
devenu un homme ordinaire et s'est
construit une vie agréable entre sa famille
et un métier qui lui plaît. Ce fragile
équilibre résistera-t-il à ses retrouvailles
avec Shimamoto-San?
L'intrigue se suit facilement sans histoire
externe aux personnages principaux.
Murakami distille dans ce chef d'oeuvre
tout son savoir-faire quant à la narration
de ce caractère à la fois mélancolique et
amoureux que lui seul sait rendre avec
cette teinte si particulière. Il déploie
également tout son talent pour dépeindre
les ambiguités de l'âme, les circonvolutions
du désir et du destin et malgré tout la
victoire d'un amour absolu et desespéré.
A savourer le coeur ouvert et les yeux
fermés!
Marie Suraud
MILLE SOLEILS SPLENDIDES
KHALED HOSSEINI
Je n'aime pas lire les best-seller et je
n'arrivais pas à me décider à ouvrir ce
livre.
Et puis, un soir, l'envie d'ouvrir un livre
et prendre le premier qui est tombée
dans mes mains, le premier sur la pile de
livres à lire. je me suis dit que je pouvais
bien essayer de voir ce se trouvait dans
ces pages.... et là, j'ai été happée par le
roman, par l'histoire, par cette première
femme attachante, puis par la deuxième,
tout autant attachante.
L'histoire 100% romanesque se déroule
sur un fonds historique et politique intéressant, à mon goût pas assez développés, mais c'est un livre qui se lit vite, et
kompress n°18 > september 10
Zeitung vum ZithaGrupp
qui raconte surtout l'histoire de ces deux
femmes. La trame romanesque est un
peu trop présente, un peu trop classique,
mais l'auteur décrit avec beaucoup de
pudeur et de justesse des émotions si
féminines. La violence du mari est également décrite avec beaucoup de pudeur,
heureusement, je n'aurais pas pu lire un
livre avec des descriptions plus
détaillées.
Un livre qui se lit facilement et garde le
lecteur en haleine jusqu'à la fin.
Marie Suraud
Bücher
DIE FRAU IM MOND
MILENA AGUS
„Falls ich dich nie kennenlernen sollte,
lass mich wenigsten spüren, wie sehr ich
dich vermisse.“
Ein wunderschöner Roman mit viel
Gefühl von Milena Agus aus der Sicht der
Enkelin geschrieben, die das Leben ihrer
Großmutter aufgrund eines Tagebuchs
nachvollzogen hat. Die Enkelin berichtet
über das geheimnisvolle Leben ihrer
Großmutter, das sehr hart zu sein scheint,
wird sie doch in ihrem Dorf als
geisteskrank gehalten, wofür sich die
ganze Familie schämen muss…
ungewöhnlicher Phantasie ausgestattet
und löst Neugier aus. Zugleich bildet sie
eine Allegorie auf das Leben. Das Leben
spielt verrückt, und verrückt sind
zuweilen auch die phantasiebegabten
Menschen. Skurril, phantastisch und
eigenwillig ist die Konstruktion des
kleinen Romans. Liebe, die alle Wünsche
erfüllen soll, ist der unerfüllbare Traum,
dem die Realität auf Dauer nicht
standhält.
Beate Schumann
Die Geschichte ist mit ihren simplen
Sätzen naiv und einfach. Sie ist mit
UNSER ALLERBESTES JAHR
DAVID GILMOUR
Die Identifikation mit den Nöten des
Sohnes veranlasst Gilmour, mit ihm
zusammen Zukunftsperspektiven zu
entwickeln. Herausgekommen ist eine
Lebensbiographie, in der jeder seinen
Weg sucht, und ein Vater, der mit
zögernden und tastenden Schritten seinen
Sohn bei der Selbstfindung begleitet.
Witzig, einsichtig und sehr gegenwärtig
erlebt man die Entwicklung zwischen
Vater und Sohn.
Mit leiser Melancholie schaut David
Gilmour zuletzt auf drei schöne Jahre mit
seinem Sohn zurück. Der Sohn ist
erwachsen geworden und geht seiner
Wege. Erinnerungen aber verbinden und
bleiben für immer im Gedächtnis!
Die Geschichte wird weise, klug und
unsentimental, dabei liebevoll und
warmherzig erzählt.
Der Autor selbst hat unter anderem als
Filmkritiker
und
Fernsehmoderator
gearbeitet und das Buch nimmt ein gutes
Drittel Filmbeschreibungen ein. Für
Kenner der Filmgeschichte sicher ein
Genuss.
"Unser allerbestes Jahr" ist eine
Geschichte über das Leben, über die
Dinge, die zählen im Leben und auf die es
ankommt: Vertrauen, Toleranz und den
Menschen, die wir lieben, die eigene
Freiheit und die eigene Meinung
zuzugestehen.
Beate Schumann
kompress n°18 > september 10
Zeitung vum ZithaGrupp
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RESSOURCES HUMAINES –
AU 31.07.2010
> NOUVEAUX COLLABORATEURS
ZithaKlinik
Olivier ARNOULD (Centre de Réanimation), Gaby BECKER (C2 - Médecine interne), Joëlle BISSENER (Pool Soins), Catia
Alexandra CAETANO DOS SANTOS (Nettoyage), Cindy DA COSTA ROCHA (apprentie), Angela Maria DELGADO MOTA ép. DOS
SANTOS (Restauration-Production), Ana DIAS BALSA (Pool Soins), Sandra DIRCKES (OP), Gene DOBBIN (Pool Soins), Jennifer
ESCH (Apprentie), Véronique FRANSEN (Psychologie Clinique), Danièle GAASCH (Pool Soins), Romain GALES (B2 - Cardio/
pneumo), Céline GIERLOWSKI ép. NARDUCCI (Kinésithérapie - Ergothérapie), Dany GLODEN (Kinésithérapie - Ergothérapie),
Robert HOFFMANN (Rééducation Gériatrique), Julia KAPUSCINSKI (Pool Soins), Werner KEWENIG (Information Technology),
Vitor LEAL NEVES (Apprenti), Manuela MARTINS NUNES (Pool Soins), Francesco MASCIAVE (Restauration - Production), France
RASSEL (C1 - Médecine Interne), Vanessa SCHARLETTE (Pool Soins), Christine SCHENK (Radiologie), Joana SILVA SANTOS (Pool
Soins), Delviana TAVARES DIVA SALOMARO (Restauration - Production), Nicola WEBER (Kinésithérapie - Ergothérapie)
ZithaSenior - Seniorie St Jean de la Croix Luxembourg
Michèle COLLING (Réception), Stephan FERNANDES GARCIA (Soins), Marlene GONCALVES FONSECA (Soins), Carmen LEISEN
ép. WAGNER (Soins), Andreia Marina MADUREIRA HORTO (Soins), Conny STEFFENMUNSBERG (Soins)
ZithaSenior - Seniorie St Joseph Pétange
Sarah BISDORFF ép. AVDIC (Soins), Carole CSAKFALVI (Soins), Sandra DE AGUIAR ALVES (Soins), Sven DUBOUTAY (Soins),
Carole ECKERT ép. RISCH (Soins), Chantal FELGEN (Soins), Carole FELTES ép. FISCHBACH (Soins), Sandra KERGER (Soins),
Patricia KIEFFER (Soins), Kitty Ka-Lin LOK (Hôtellerie), Silvia LOURENCO DA CRUZ (Hôtellerie), Angie MANTERNACH (Soins),
Toni MASI (Soins), Cindy MULLER (Soins), Erika PALM ép. WEYER (Réception), Maria Goretti PEREIRA MARTINS (Hôtellerie),
Sylvie SCHOLTES ép. SCHOLER (Soins), Esther SCHÖNHOFEN ép. HEUSBURG (Hôtellerie), Barbara VILLEMONT PEREIRA
(Hôtellerie), Melissa WEILER (Soins), Tatiana WILLEMS (Soins)
> DÉPARTS
ZithaKlinik
Danielle BAUMANN ép. LOUREIRO (Accueil/Admission), Marcos PAulo DELGADO DA CRUZ (Restauratio - Production),
Serge DEMUTH (Information TECHNOLOGY), claudine DONDELINGER ép. HORNICK (OP), Sven ERNST (C2 - Médecine Interne),
Olga FILONTCHIK ép. OTJACQUES (Stérilisation Centrale), Christine GALLOTTI ép. JANNEL (NEttoyage), Josette JUNGER ép.
SCHARMITZER (Endoscopie - Urologie), Fabrice LESSIRE (B1 - Chirurgie), Christamaria NEISIUS (C4 - Chirurgie), Christophe
PARANT (Restauration - Production), Guy PIRSCH (Laboratoire), Rita VERSTRAETE ép. OLLINGER
ZithaSenior - Seniorie St Jean de la Croix Luxembourg
Stephan FERNANDES GARCIA (Soins), Susanne Müller (Soins), Iryna MIRAYEUSKAYA ép. MAJERES (Soins),
ZithaSenior - Seniorie St Joseph Pétange
Maria BRITO (Soins), Samantha BINTZ (Soins), Giacomo DE LUCA (Soins), Liliane FERRARO ép. EYRICH (Soins), Carole
MODOLIN (Soins), Zijo SAKALAS (Soins), Déolinda SADIO SANDINHA (Hôtellerie), Claudine HEYNEN (Soins), Maria Da Luz
ALVES FERREIRA (Hôtellerie)
kompress n°18 > september 10
Zeitung vum ZithaGrupp
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REMISE DE MONTRES 2010
35 ans
Marie-Paule HILGER ép. EVEN (Accueil/Admission - ZithaKlinik), Tilly FELTGEN (Centre de Réanimation - ZithaKlinik)
25 ans
Delmar CHAVES MEDEIROS (Atelier Entretien Bâtiments - ZithaKlinik), Nathalie DEGANO (Cuisine - ZithaKlinik), Dr. Carlo
Faber (Médecin - ZithaKlinik), Fatima FAJARDO ép. RODRIGUES (Service de Nettoyage - ZithaKlinik), Rosa FERREIRA DE BRITO
ép. FIGUEIREDO (Service de Nettoyage - ZithaKlinik), Mike GROBEN (Transport des malades - ZithaKlinik), Gunar JAMROS
(Direction - ZithaKlinik), Hélène LEAL ép. DA SILVA (Transport logistique - ZithaKlinik), Carine PHILIPPART ép. MOSTENNE
(Unité de Soins B1 - ZithaKlinik), Jean REUTER (Laboratoire - ZithaKlinik), Fabio RONCHI (Accueil/Admission - ZithaKlinik), Dr.
Julien SAND (Médecin - ZithaKlinik), Danielle TRIERWEILER ép. SANSALONE (Soins - Seniorie Pétange, ZithaSenior), Dr. Philippe
TURK (Direction - ZithaKlinik)
10 ans
Pascal AUBERTIN (Soins - Seniorie Pétange, ZithaSenior), Gerlinda BAUER (Animation - Seniorie Consdorf, ZithaSenior), Chantal
BERNARDY ép. KHEDHRI (Soins - Seniorie Pétange, ZithaSenior), Rodrigo BRAS (Médecine Nucléaire - ZithaKlinik), Michèle
BRAUSCH ép. FEDERSPIEL (Laboratoire - ZithaKlinik), Marion DECKER éè. FISCHER (Centre de Réanimation -ZithaKlinik),
Michela DI ROSA ép. FONTANA (Buanderie - Seniorie Pétange, ZithaSenior), Madelaine DOS SANTOS éè. DA CRUZ (Cuisine ZithaKlinik), Gabriela DOS SANTOS DE NASCIMENTO (Cuisine - ZithaKlinik), Marco FRISCH (Unité de Soins C4 - ZithaKlinik),
Margareth FURTADO CABRAL ép. DE OLIVEIRA (Cuisine - ZithaKlinik), François-Olivier GILSON (Cuisine - ZithaKlinik), Tamara
GRATZ (Anesthésie - ZithaKlinik), Sonja GREISCH (Médecine Nucléaire - ZithaKlinik), Tom HENKELS (Direction - ZithaKlinik),
Sandra HOUWEN (Unité de Soins C2 - ZithaKlinik), Jean JUNKER (Atelier Mécanique - ZithaKlinik), Sophie MAFAYOUX
(Soins - Séniorie St Jean de la Croix, ZithaSenior), Georgette MANZONI ép. LERICHE (Laboratoire - ZithaKlinik), Raluca
MARINESCU ép. HIPP (Centre de l'Appareil Locomoteur - ZithaKlinik), Sandra MARTUCCI (Unité de Soins B1 - ZithaKlinik),
Milla MATWEITSCHENKO ép. HORSCH (Soins - Séniorie Consdorf, ZithaSenior), Julia METZEN (Unité de Soins A2 - ZithaKlinik),
Martine MEYER ép. VALENTINY (Direction - Séniorie St Jean de la Croix, ZithaSenior), Helena MORAIS TEIXEIRA (Cafétéria
- ZithaKlinik), Natascha PHILIPPI (Pharmacie - ZithaKlinik), Michel RADOGNA (Secteur Opératoire - ZithaKlinik), Amela
RAMDEDOVIC ép. SKIJELJ (Soins - Seniorie Pétange, ZithaSenior), Claude RIES (Cuisine - ZithaKlinik), Mireille REZKI (Soins Seniorie Pétange, ZithaSenior), Audrey SCHMIT ép. JEMMING (Anesthésie - ZithaKlinik), Stefanie SCHONS ép. HERMES (Soins
- Séniorie Consdorf, ZithaSenior), Marie-Thérèse SCHWEITZER (Secteur Opératoire - ZithaKlinik), Bianca SOUVIGNE (Centre
de Réanimation - ZithaKlinik), Jeannot STRAUS (Service Economique - ZithaKlinik), Liliane THOMAS ép. WOLFF (Acceuil/
Admission - ZithaKlinik), Brigitte TROMMER-THILGES (Diététique - ZithaKlinik), Ernestine USELDING (Service Animation Séniorie Consdorf, ZothaSenior)
Départs en retraite
Dr. Jean BISDORFF (Médecin - ZithaKlinik), Florinda DA ROCHA ép. MESSIAS (Service de Nettoyage - ZithaKlinik), Candido
GOMES (Atelier Entretien Bâtiments - ZithaKlinik), Romaine KIEFFER ép. MEYER (Policlinique - ZithaKlinik), Mariette LORENT
ép. HOUBLIE (Policlinique - ZithaKlinik), Guy PIRSCH (Laboratoire - ZithaKlinik), Déolinda SANDINHA SADIO (Service de
Nettoyage - ZithaKlinik), Romance SCHMIT (Accueil/Admission - ZithaKlinik)
kompress n°18 > september 10
Zeitung vum ZithaGrupp
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Formation continue
WAS HEISST EVALUATION IM FORTBILDUNGSBEREICH?
Definition
als Fachbegriff aus pädagogischer/
andragogischer Sicht (Jost Resischmann
– Grundlagen der Weiterbildung)
Es ist das methodische Erfassen und das
begründete Bewerten von Prozessen
und Ergebnissen zum besseren
Verstehen und Gestalten einer PraxisMassnahme durch Wirkungskontrolle,
Steuerung und Reflexion.
In den 80er Jahren war das Thema
Evaluation in Theorie und Praxis wenig
gefragt. Erst in den 90er Jahren begann
eine zum Teil hektische Hochkonjunktur
der Evaluation.
Vieles wurde unter dem neuen
Zauberwort Evaluation erwartet, vieles
gefordert, obwohl Experten warnten,
dass noch keine überzeugende
Konzepte,
Methoden
oder
gar
Instrumente dafür vorlägen.
Solche Warnungen änderten wenig an
dem mit Macht vorgetragenen Wunsch
nach Evaluation. Evaluation kann zur
Entscheidungshilfe sowie zu einer geduldigen Qualitätsverbesserung funktionnalisiert werden, kann aber auch zur
misstrauischen Kontrolle oder sogar
Bestrafung missbraucht werden.
Sodass das Konzept der Evaluation in
hohem Masse ideologieanfällig ist.
Mit diesem Schreiben möchte ich zum
Evaluationsdenken und –handeln anregen, das über Instrumente, Daten und
Methoden die zentrale Fortbildungsfrage
nicht aus den Augen verlieren sollte: Zu
wessen Nutzen führen wir Evaluation
durch? Die Nutznießer der Resultate der
Anwendung solcher Instrumente sollen
ohne Zweifel die Patienten sein.
Ziel unseres Vorhabens in der Zitha ist
es unsere Mitarbeiter in die Lage zu
versetzen, selbst Evaluationsvorhaben
im Fortbildungsbereich zu verwirklichen
– sicherlich zunächst in begrenztem
Umfang. So geht es nicht darum, Wissen
zu evaluieren, sondern Evaluationsvorhaben zu planen, durchzuführen und
kritisch zu reflektieren.
So hoffen wir, dass die Anwendungsaufgaben die uns bevorstehen, ein anregendes, spannendes, herausforderndes
und lohnendes Feld sein werden, das
helfen wird, unser Tun besser zu verstehen und zu gestalten im Sinne einer sich
ständig verbessernden Verpflegung der
Patienten.
Vito Savino
kompress n°18 > september 10
Zeitung vum ZithaGrupp
19
ZithaSenior
« ZITHA FIT » GAIETÉ ET MOBILITÉ
Depuis le début de l’année le programme
«Zitha Fit» est proposé aux résidants à
mobilité réduite.
En chaise roulante ou soutenus par une
aide technique à la marche les Seniors
découvrent diverses activités sportives,
adaptées
à
leurs
compétences
individuelles.
Partant d’un bilan moteur et fonctionnel
chaque résidant vise un objectif personnel
au terme d’un an d’entrainement sportif
adapté.
Le programme «Zitha Fit» s’intègre dans
la démarche de soins établie en coordination avec l’équipe médicale et soignante
de la Seniorie.
L’organisation en groupe permet de soutenir et de souder les liens sociaux, car la
bonne humeur tient compagnie grâce à
Eric, entraineur spécial Senior. Sportif de
haut niveau, champion en athlétisme, Eric
a développé des techniques de prévention
des chutes, de travail de l’équilibre et des
exercices de déplacement en chaise roulante ou en déambulateur.
L’enthousiasme rencontré auprès des
Seniors est considérable et les listes d’ins-
cription aux deux groupes hebdomadaires
sont pleines.
En période estivale les exercices sont proposés en plein air dans l’agréable parc
ombragé jouxtant la Seniorie, ce qui permet aussi aux membres de la famille, voire
le plus souvent un conjoint, de regagner le
groupe pour partager un moment convivial
soutenant la mobilité.
Dr Carine Federspiel
kompress n°18 > september 10
Zeitung vum ZithaGrupp
20
Win-Win Situation
DIE SENIORIE ST JOSEPH PETINGEN STELLTE ZUM
1. JANUAR 2010 30 ARBEITSSUCHENDE MITARBEITER EIN
Im Januar 2010 hat der neu-erschlossen.
Teil der Seniorie St Joseph in Petingen
ihre Türen geöffnet um zusätzlichen 82
Bewohner ein zu Hause zu bieten. Im
Vorfeld bei der Planung war natürlich
die Personal- Einstellungspolitik eines
der Schwerpunkte worum es sich zu
kümmern galt.
Es war eine grosse Herausforderung und
zugleich eine einmalige Chance über 80
neue Mitarbeiter einstellen zu dürfen.
Neben der klassischen Stellenanzeige
kompress n°18 > september 10
Zeitung vum ZithaGrupp
und den spontanen Kanidaturen wurde
sich entschlossen in Petingen, einen
Weg in Zusammenarbeit mit der ADEM
(Agence du Développement de l’Emploi)
zu suchen. Die Zusammenarbeit mit der
ADEM, sollte für 30 arbeitssuchende
Menschen „DIE Unerwartete Chance“
einer möglichen Festeinstellung darstellen. Ein solches Programm wird finanziell
seitens des Luxemburger Staates
unterstüzt.
Der Rückblick
Auf Basis der erstellten Kompetenzprofile
der zukünftigen Mitarbeiter der verschiedenen Arbeitsbereiche (Pflege,
Hotellerie) wurde seitens der ADEM eine
Vorauswahl getroffen. Alle potentiellen
Kandidaten die diese Vorauswahl bestanden haben wurden zu gewöhnlichen
Vorstellungsgesprächen eingeladen.
In der Vorauswahl waren 300
Kandidaten die bei der ADEM als arbeits-
21
suchend eingetragen waren. Es wurden
100 Kandidaten zu einem Vorstellungsgespräch eingeladen. 30 Kandidaten (22
in der Pflege und 8 in der Hotellerie)
sollten den Auswahlkriterien gerecht
werden und durften sich darauf freuen
im Januar 2010 auf der ersehnten neuen
Arbeitsstelle in der Seniorie St Joseph mit
ihrer Arbeit zu beginnen.
Als Vorbereitung auf Ihre neue
Arbeitsstelle waren alle 30 Kandidaten
verpflichtet zwischen Oktober und
Dezember 2009 eine mehrwöchige
Schulung und Praktika zu absolvieren.
Diese Schulungen und Praktika waren
eine Zusammenarbeit zwischen dem
CNFPC (Centre National pour la
Formation Professionelle Continue) , der
ADEM und der Seniorie Petingen. Die
Schulungen waren berufsspezifisch
(Pflege,
Hotellerie)
organisiert.
Ausserdem können die Schulungen der
angehenden Pflegekräfte zur einer zukünftigen Ausbildung als ASF (AideSocio-Familiale) angerechnet werden.
Nach abgeschlossene und bestandenen
Praktika und Schulungen erhielten die
Kandidaten einen befristeten Arbeitsvertrag auf ein Jahr. Dieser Arbeitsvetrag
wurde geschlossen zwischen dem
Kandidaten, der ADEM und der Seniorie
St Joseph Petingen.
Der Augenblick
Januar 2010 war die Zeit der Einarbeitung
der neuen Mitarbeiter angebrochen.
Natürlich waren jetzt alle 30 Kandidaten
die noch vor ein paar Wochen arbeitssuchend waren intensiv gefordert. Es wurde
besonderen Wert darauf gelegt, dass jeder Einzelne eine persönliche Bezugsperson zugeteilt bekam, die ihm mit Rat
und Tat zur Seite steht. Dieses Tutoriat
ermöglichte eine möglichst rasche und
aber strukturierte Einarbeitung der neuen Mitarbeiter.
Die Tutoren verdienen an dieser Stelle
einen besonderen Dank für ihren grossen
Einsatz und ihre wertvolle Arbeit indem
sie neue Mitarbeiter begleitet und eingearbeitet haben.
Nach der Eröffnung des Neubaus im
kompress n°18 > september 10
Zeitung vum ZithaGrupp
22
Das Team-Buildung, auf das besonderen
Wert gelegt wird, ist ein Prozess der
mitten im Gang ist und der noch nicht als
abgeschlossen betrachtet werden kann.
Ein zusätzlicher Schwerpunkt ist die
Kompetenzförderung der einzelnen neuen Mitarbeiter. Die internen Schulungen
in den verschiedenen Bereichen ermöglichen, dass die Mitarbeiter die erwünschten Kompetenzen erreichen können.
Durch Zielvereinbarungsgespräche werden die Kandidaten regelmässig auf ihre
Stärken und Schwächen hingewiesen.
Gegebenenfalls und in einzelnen Fällen
sind die Erwartungen nicht kompatibel
mit den Fähigkeiten des Einzelnen. In
diesen Fällen ist das Fortfahren des
Programmes nicht möglich.
Der Ausblick
Das Ziel der 30 Kandidaten ist es am
Ende des Jahres 2010 zu ausgebildeten
Pflegedienstkräfte respektiv Hotelkräfte
formiert zu sein um eine unbefristete
Festeinstellung in der Seniorie St Joseph
zu erhalten. Die Mehrheit der Kandidaten
wird am Ende des Jahres 2010 sicherlich
dieses Ziel erreichen und mit ihrer
Festeinstellung rechnen dürfen.
Schlussfolgernd sollte man hervorheben,
dass es sich bei diesem Programm in enger Zusammenarbeit mit der ADEM und
dem CNFPC es um eine Win-Win
Situation handelt weil sowohl die
Arbeitsuchenden, die ZithaGruppe mit
der Seniorie St Joseph Petingen und die
ADEM als Gewinner hevorgehen.
Es ist auch schon angedacht ein ähnliches Modell, in überarbeiteter Form für
die Seniorie in Contern, anlaufen zu
lassen.
Laurent Origer
kompress n°18 > september 10
Zeitung vum ZithaGrupp
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St Gabriel's Hospital
DIGITALES RÖNTGEN
Danke der großzügigen Spende eine Luxemburger Ehepaars
konnte vor wenige Wochen eine neue Röntgenanlage im
St Gabriel's Hospital in Betrieb genommen werden.
Es handelt sich um die erste digitale Röntgenanlage in
ganz Malawi. Für das St Gabriel's Hospital sind neben der
enormen Verbesserung und Analysierbarkeit des
Bilsmaterials Kosteneinsparungen für Chemikation und
Bildmaterial verbunden. Dies führst auch zu geringsten
Schachstoff-belastungen für Patienten, Mitarbeiter und
Umwelt.
In Malawi werden Patienten im Spital behandelt, da es
keine Hausärzte und SPezialisten außerhalb desKrankenhauses gibt. Wenn dennoch einmal ein Aufnahme nicht
nur auf dem Bildschirm benötigt wird, ist es über einen
normalen Drucker einfach auszudrucken. Besonders hilfreich ist, dass im neuen OP-Saal des St Gabriel's Hospital
ein Monitor installiert ist, der direkt mit den Rechner der
Röntgenanlage verbunden ist.
So haben die Chirurgen eine direkte Verfügbarkeit der
Aufnahme bei der Arbeit.
kompress n°18 > september 10
Zeitung vum ZithaGrupp
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ZithaKlinik
L’HÔPITAL DE JOUR GÉRIATRIQUE
Depuis le 1er Octobre 2009 les patients
âgés peuvent être pris en charge en
traitement semi-stationnaire voire ambulatoire en rééducation gériatrique.
Comment adresser un patient?
Trois chemins mènent à l’hôpital de jour
gériatrique:
- Le patient âgé a été hospitalisé en
court séjour (dans un des hôpitaux du
pays ou à l’étranger) pour un problème
aigu (p.ex : décompensation d’une in-
kompress n°18 > september 10
Zeitung vum ZithaGrupp
suffisance cardiaque, traitement d’une
infection, intervention chirurgicale…).
Au terme du court séjour à l’hôpital aigu
le médecin hospitalier estime que le patient peut retourner à domicile, mais
nécessite encore un encadrement médical rapproché avec une surveillance
particulière, une rééducation fonctionnelle ou une réadaptation psycho-sociale. Le vieillard hospitalisé est souvent
fragilisé, souffre de polypathologies et a
un risque élevé de ré-hospitalisation.
- Le patient âgé a séjourné dans un service de rééducation stationnaire pendant
quelques semaines (p.ex : suite à un accident vasculaire cérébral ou une prothèse de hanche) et au moment de son
retour à domicile le médecin rééducateur
recommande la poursuite de la prise en
charge rééducative en ambulatoire. La
durée en séjour stationnaire peut être
réduite et la transition vers le domicile
se fait de façon plus harmonieuse. Aussi
la qualité de la réinsertion à domicile en
25
collaboration éventuelle avec l’équipe
soignante d’un réseau est mieux garantie. Le projet rééducatif initié en milieu
stationnaire peut être continué avec la
même équipe de thérapeutes et de médecins rééducateurs. Ces repères sont
indispensables pour le patient âgé insécurisé par la maladie et la menace de la
dépendance.
- Le patient âgé à domicile peut être adressé par son généraliste qui devant la
fragilisation du maintien à domicile, la
perte d’autonomie et des hospitalisations à répétition (p.ex : démence, altération de l’état général). Un programme
rééducatif individuellement adapté visera le gain en autonomie et permettra au
patient âgé fragile d’être encadré, conseillé et guidé par une équipe multidisciplinaire afin d’améliorer les conditions
du maintien à domicile.
Déroulement de la prise en charge
ambulatoire :
L’hôpital de jour gériatrique répond à
une double mission :
- Evaluation des problèmes médicaux et
socio-familiaux = Assessment
- Prise en charge thérapeutique à visée
réadaptative = Rééducation
Après réception de la demande standardisée du médecin traitant le médecin
rééducateur de la ZithaKlinik fait une
évaluation gériatrique multidimensionnelle. En cas de confirmation de
l’indication le médecin rééducateur élabore une recommandation de plan de
prise en charge rééducative qui doit être
approuvé par le contrôle médicale de la
CNS. Un maximum de 20 séances de
rééducation ambulatoire peut être accordé au patient.
En principe le patient est pris en charge à
raison de deux journées par semaine,
pour lesquelles il bénéficie d’un transport
en taxi depuis son domicile.
Chaque jour de prise en charge démarre
par le contrôle du médecin rééducateur
qui évalue les aptitudes du patient, ses
problèmes et ses progrès. Le programme
rééducatif est discuté et ajusté régulièrement en équipe interdisciplinaire composée de kinésithérapeutes, ergothérapeutes,
soignants,
psychologue,
orthophoniste, assistante sociale et médecin rééducateur.
Au terme de la prise en charge une concertation est organisée en intégrant
l’entourage familial ou autre, l’équipe
soignante du réseau à domicile et le
médecin généraliste.
Bilan après 9 mois :
La courte expérience des premiers mois
nous permet déjà de tirer un bilan extrêmement positif et encourageant :
- Les durées moyennes de séjours stationnaires ont été réduites dans l’intérêt
du patient âgé
- Si la rééducation ambulatoire enchaine
après la rééducation stationnaire la pérennité des objets de meilleure insertion
socio-familiale est optimisée
- L’interaction voire la collaboration avec
les intervenants à domicile améliore la
sécurité de transmission des informations
dans l’intérêt du patient.
Dr Carine Federspiel
kompress n°18 > september 10
Zeitung vum ZithaGrupp
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ZithaKlinik
PROJET D’ACCREDITATION DU LABORATOIRE
Le laboratoire de biologie clinique de la
Zitha assure l’analyse des fluides dans
cinq domaines différents : Hématologie,
chimie, marqueurs biologiques, auto
immunité et microbiologie.
Le laboratoire comprend 25 collaborateurs techniciens dont deux responsables
biologistes. Depuis trois ans l’organisation interne est formalisée au travers de
procédures et de modes opératoires.
Une laborantine qualiticienne a été récemment détachée au laboratoire en
vue de coordonner un groupe qualité
rassemblant les responsables du labora-
kompress n°18 > september 10
Zeitung vum ZithaGrupp
toire et des cinq départements internes.
Les objectifs à court terme que se fixent
aujourd’hui ses responsables sont
d’améliorer l’efficacité du laboratoire en
clarifiant son organisation, améliorant
son mode de fonctionnement interne et
en responsabilisant chacun des acteurs
concernés.
L’accréditation selon la norme ISO
15189 est envisagée dans un délai de
18 mois pour faire connaître de manière
officielle par un organisme indépendant
la capacité du laboratoire clinique à garantir le niveau de qualité des presta-
tions fournies aux médecins et aux unités
de soins de la ZithaKlinik.
Le projet se déroulera en quatre phases
Phase 1
Etat des lieux en vue de la formalisation
des processus clés et de l’optimisation
du mode de fonctionnement interne du
laboratoire.
Phase 2
Mise en place du système de manage-
27
ment de la qualité ainsi que les dispositions spécifiques à la norme ISO 15189:
2007 et au règlement grand-ducal du
27 mai 2004 déterminant les critères
minima à observer dans le cadre des activités globales d’un laboratoire d’analyses
médicales.
Phase 3
Evaluation et ajustement du système de
management de la qualité en répondant
aux exigences techniques de la norme
ISO 15189 en vue de l’accréditation.
Phase 4
Audit à blanc en vue de la demande
d’accréditation, en préparation de l’audit
externe d’accréditation.
Les travaux qui seront réalisés porteront
sur les points suivants:
Organisation et management / Système
de management de la qualité / Maîtrise
de la documentation / Revue des demandes appels d’offres et des contrats /
Analyses transmises à des laboratoires
sous-traitants / Prestations de conseils /
Traitement des réclamations, identification et maîtrise des non-conformités / Actions correctives / Actions préventives
/ Amélioration continue / Audits internes
/ Revues de direction.
La mise en oeuvre du projet nécessitera
l’engagement de l’ensemble des
membres du personnel laboratoire, ainsi
que l’appui de la direction et de tous les
collaborateurs de la clinique.
ISO 15189 est une norme internationale publiée par l’ISO
(Organisation internationale
de normalisation) en 2007 qui
spécifie les exigences de qualité et de compétence propres
aux laboratoires de biologie
médicale.
Georges Glodt
kompress n°18 > september 10
Zeitung vum ZithaGrupp
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ZithaKlinik
TAG DER OFFENEN TÜR IN DER ZITHAKLINIK
Die ZithaKlinik beteiligt sich in diesem Jahr
zum zweiten Mal an dem nationalen Tag
der offenen Tür für Betriebe. Die
Veranstaltung findet am Samstag, den
25. September 2010 statt.
Das Ziel des Tages der offenen Tür besteht
darin, den Besuchern die Möglichkeit zu
geben, sich in einer entspannten
Atmosphäre über moderne diagnostische
Verfahren und weitere Leistungsangebote
der ZithaKlinik zu informieren. Uns ist es
wichtig, als Professionelle im Gesundheitswesen den Dialog mit den Bürgern zu suchen und nicht nur „trockene“
Informationen zu vermitteln, sondern einen
„be-greifbaren“ Einblick in die tägliche
Arbeit innerhalb der Klinik zu bieten.
kompress n°18 > september 10
Zeitung vum ZithaGrupp
In diesem Jahr präsentieren wir die
Abteilungen Endoskopie, Radiologie,
Poliklinik sowie das „ZithaGesondheetsZentrum“, das Leistungen zur Krankheitsprävention anbietet. Die Besucher erhalten
individuelle Informationen durch die präsenten Fachkräfte. Praktische interaktive
Demonstrationen runden das Programm
ab.
Wir wünschen Ihnen einen angenehmen
Besuch !
Gunar Jamros
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KUNST IN DER KLINIK
STOFFBILDER VON JEANETTE BREMIN
Die Bilder von Jeanette Bremin sind nicht gemalt, sondern
genäht. Stoffe, die sie in vielen Farbtönen sammelt und in
ihrem Atelier hortet, bilden die Basis ihrer „Malerei“. Ihr
Pinsel sind Schere und Nadel. Indem die Bilder hier in der
Klinik gezeigt werden, erinnern die exakten Bildnähte auch
an chirurgische Nähte. Bremins Bilder führen über das äußere Anschauen zu inneren Seherfahrungen, die den
Betrachter an eigene Schnitt- und Nahtstellen seines
Lebens führen. Das Auge kehrt immer wieder an die Stellen
zurück, wo zwei Farben oder genauer zwei Stoffe sich berühren und stößt somit immer wieder auf die zarten Nähte.
Die Fähigkeit zum Blick und zum Hören nach innen wird
durch die einfachen Formen, die wir vor uns haben, herausgefordert. Nichts lenkt ab. Kreis, Quadrat und Rechteck
werden zu Orten der Selbstwahrnehmung und Reflexion.
Wer den Bildern Zeit schenkt, wird wie ein Reisender etwas
für sich entdecken. Er wird zum Reisenden im Stehen.
Hinter ihren abstrakten Formen öffnen sich die Bilder mit
ihren unzähligen Möglichkeiten dem Betrachter.
Winfried Heidrich
kompress n°18 > september 10
Zeitung vum ZithaGrupp
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Diététique
LE STÉVIA – UN NOUVEAU ÉDULCORANT MIRACLE ?
Le stévia est cultivé en Amérique du Sud
depuis des siècles pour ses feuilles sucrées.
Il appartient à la famille du tournesol et de
la chicorée. On incorpore les feuilles aux
infusions et autres boissons sucrées. Les
principales molécules actives sont les glycosides de stéviol et le rébaudioside. Ce
sont les glycosides qui ont fait l’objet
d’études récentes en vue d’autorisations.
Le pouvoir sucrant du Stévia est de 40 à
300 fois supérieur au pouvoir sucrant du
sucre. Les glycosides de stéviol pourraient
être un édulcorant intéressant dans le
cadre d’un régime visant à contrôler le
poids corporel.
De nos jours, il existe une large gamme
d’édulcorants testés et autorisés (cf
Kompress 10) : l’aspartame, l’acésulfame
kompress n°18 > september 10
Zeitung vum ZithaGrupp
K, la saccharine et le sucralose. De très
faibles quantités suffisent pour obtenir un
goût sucré et leur apport énergétique est
négligeable. Les glycosides de stéviol sont
particulièrement intéressants parce que
d’origine végétale comme le sucre. L'un
des avantages du stévia par rapport à l‘aspartame est qu’il est sans phénylalanine, et
peut être consommé par des personnes
atteintes de phénylcétonurie.
Le stévia est originaire d'Amérique latine,
mais est produit surtout en Asie. La Chine
est le plus grand producteur mondial suivie
du Japon et de la Corée Les Etats-Unis,
l’Australie et la Nouvelle Zélande ont récemment autorisé certaines préparations à
base de Stévia comme additifs dans les
denrées alimentaires et les boissons sur
leurs marchés uniquement.
En 1999, La Commission Européenne a
refusé d’autoriser les plantes ou les feuilles
séchées de stévia comme aliments ou ingrédients alimentaires. En 2008, de nombreuses études ont donné un avis favorable
à l’utilisation de glycosides de stéviol pur et
des DJA (dose journalière admissible) ont
été proposées notamment par la FAO/OMS
et la FDA
Depuis le 14 avril 2010 le groupe scientifique sur les additifs alimentaires de
l’Agence Européenne de sécurité des aliments, le groupe ANS, a évalué la sécurité
des glycosides de stéviol et a fixé une dose
journalière acceptable pour une consommation sûre. Cette dose est de 4mg par kg
de poids corporel par jour. Sur cette base,
la Commission Européenne décidera s’il
faut autoriser ces substances dans l’UE aux
fins proposées.
Trois dossiers de demande d’autorisation
sont actuellement étudiés. Le groupe
scientifique souligne que la DJA pourrait
être dépassée tant par les adultes que par
les enfants si ces édulcorants étaient utilisés aux niveaux maximum proposés par les
demandeurs d’autorisations. Les additifs
alimentaires tels que les édulcorants doivent être explicitement autorisés au niveau
européen avant de pouvoir être utilisés
dans les aliments. Actuellement ceci n’est
pas le cas pour le Stevia. C’est pourquoi les
produits vendus actuellement et officiellement portent des indications telles que
«Stevia n’est pas un aliment selon le droit
UE actuel» ou «produit cosmétique impropre à la consommation»…
De plus amples informations scientifiques
se trouvent dans l’article suivant :
EFSA « Scientific Opinion » EFSA Journal
2010 ;8 (4) :1537
Eric Altmann
31
ATELIER CREATIF AUTOUR DES AIGUILLES
„Chaque femme porte en elle une force naturelle riche de dons créateurs“
(Clarissa Pinkola Estes)
Dans le cadre des activités proposées à La Source, Capellen,
nous vous invitons à prendre part à un projet créatif de travaux
d‘aiguilles ayant pour objectif la confection d‘une couverture
pour bébé par participant(e).
Nous nous retrouverons une première fois pour élaborer ensemble le cadre créatif de la couverture. les techniques utilisées
(couture, tricot, crochet), les coloris ou le thème choisi pour les
couvertures. Vous aurez ensuite quartier libre pour la réalisation
et nous nous retrouverons quelques jours avant la vente des
couvertures au profit des enfants du Malawi.
L‘idée est de faire et vendre ici des couvertures pour les bébés
d‘ici afin de participer financièrement au projet d‘aide aux enfants du Malawi en offrant une moustiquaire à chaque
nouveau-né.
La lutte contre le paludisme en Afrique passe par la distribution
de moustiquaire aux parents de nouveaux-nés. L'action sera
mené par l'ONG "Hilfe für Malawi - Zikomo".
Date et lieu de la première rencontre:
20 novembre 2010 - 15h00 à 17h00 à Capellen (La Source)
Animation: Marie Suraud
Langues: français, allemand, luxembourgeois
Inscription: jusqu‘au 12 octobre 2010
auprès de [email protected] - 40 144 20 53
Les personnes qui souhaitent participer à l'action mais qui ne
pourraient être présentes à la réunion peuvent nous contacter
pour recevoir des informations complémentaires.
la source
kompress n°18 > september 10
Zeitung vum ZithaGrupp
Helfen Sie mit! Aidez-nous!
Pour une
cuisine sans fumée
Für eine
qualmfreie Küche
Pour nous aider à aménager la cuisine sans fumée
et à améliorer ainsi les conditions de travail des
femmes qui cuisinent pour leurs proches.
Bitte fördern Sie die Einrichtung einer qualmfreien
Küche und helfen Sie mit, die Bedingungen für
die Frauen, die für die Angehörigen kochen, zu
verbessern.
Banque et Caisse d’Epargne de l’Etat (BCEE)
BIC: BCEELULL
IBAN: LU54 0019 2855 6934 7000
Banque et Caisse d’Epargne de l’Etat (BCEE)
BIC: BCEELULL
IBAN: LU54 0019 2855 6934 7000
Les donneurs qui veulent faire valoir leur
versement auprès du fisc allemand sont priés
d’utiliser le compte suivant:
Stiftung Zikomo-Hilfe für Malawi
Pax-Bank Trier (BLZ 37060193)
BIC: GENODED1PAX
IBAN: DE33 3706 0193 3022 0220 15
32, rue Ste Zithe | L-2763 Luxembourg
Tél. +352 40144-2053 | Fax +352 40144-2953
www.zitha.lu
Spender, die ihre Zuwendung in
Deutschland steuerlich geltend machen
wollen, nutzen bitte:
Stiftung Zikomo-Hilfe für Malawi
Pax-Bank Trier (BLZ 37060193)
BIC: GENODED1PAX
IBAN: DE33 3706 0193 3022 0220 15