Point Commun n°40
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Point Commun n°40
t e l l i Ju o P 6 01 2 t n n u o c m m 0 4 n° ’ l s n a d z e g n o Pl o f in Nouvelles fresques à la piscine du Petit Bourgogne Suite aux travaux de rénovation dont elle avait bien besoin, la piscine du Petit Bourgogne avait perdu un peu de sa splendeur. En effet les vagues qui ornaient ses murs s’étaient échouées sous les couches de la nouvelle peinture. Il fallait donc parfaire cet espace thérapeutique en lui donnant un peu de couleur. Proposition a donc été faite à Benjamin PARENT, ergothérapeute sur le site Agora et collaborateur de Point commun, de remplir ce défi. Il a accepté avec plaisir et quatre nageurs ornent dorénavant les murs de la piscine. Ils apportent de la gaieté et de la convivialité auprès des patients et des professionnels qui la fréquentent. Juan-Miguel Vera y Legasa de vue Chapeau bas ! Ô Infâmie, ô débâcle ! Le bâtard bénêt qui avec entêtement et opinâtreté, rabâche sans grâce que ce petit dos-d’âne circonflexe, traîtreusement mis en dépôt sur nos voyelles, est là pour empêcher les êtres rêveurs de baîller à brûle-pourpoint. Ce casse-tête, à l’affût, attendrait sur le bas-côté défraîchi, la disgrâce embêtante du môme folâtre qui renâclerait à le faire paraître sur son carton-pâte. - «Quoi !» dit théâtralement le maître à l’élève «êtes-vous sûr qu’il n’y ait point d’écrêtement hâtif, apôtre malhonnête ? Serait-ce un bête avant-goût d’un futur champêtre où le faîte des a, e, i , o, u, aura disparu ?» Aussitôt, le voyant fâché, le crâne du quidam pâlit. Il se pâme. Son teint extrêmement hâlé devient jaunâtre. Il n’a plus la pêche. Sa tête de têtard laisse transparaître un abîme gênant non maîtrisable et son côlon entre lâchement en ptôse. - «Non mais allô quoi !» ânonne à la hâte et sans contrôle le blêmissant gâte-sauce «cette supiqûre vient du Moyen-âge ! Elle est incongrûment sans intérêt !» - «Sans intérêt ? Le vôtre ou le nôtre ?» remâche l’honnête mâle après l’avoir ouï (NDLR: le lobby du tréma a fait pression pour qu’on ne l’oublie pas non plus !). Plutôt que de me traiter d’ancêtre, de vieux croûton, d’idôlâtre, de pimbêche opiniâtre, de prêtre soûl, de tâcheron traînard, d’âne bâté ou de quelqu’autres câlineries, lisez sans bâcler ceci. Non pour vous embêter mais pour que vous goûtiez ma suprême requête !» Sommaire 2ème de couverture: Fresques à la piscine du PB page 1: Chapeau bas ! Vous pouvez aussi page 2: Les bienfaits de l’eau découvrir votre journal page 5: Et si on parlait un peu de nous ? en full couleur: page 6: Inauguration après rénovation / Sex’Etera page 7: Ma conception du bien-être au travail - soit sur Intranet page 8: Parking pour les membres du personnel (onglet Point commun page 9: Ce mec fait un tabac ! page 10: Rencontre à thème / Pause santé, pause sans T dans les Liens rapides); page 11: La nature s’invite à l’hôpital page 12: Journée de la Santé de la femme - soit en surfant sur page 13: Pour Lilou www.isosl.be; page 14: Un peu de tout... page 15: Les uns et les autres / Belgique terre d’immigration -soit en scanant ce QR page 16: L’heure des doutes code. avant dernière: Que d’art ! dernière: 24 heures jogging Bonne lecture Je vais me faire un petit jeûne vs je vais me faire un petit jeune - «En effet» mâchonne en râlant le malhonnête suppôt, «Il apparaît un drôle d’apprêt. Le bâti de la phrase est blâmable. Cher aîné, je suis un bêta, vous m’avez démâté. Mon désintérêt m’a entraîné vers l’entêtement. Dorénavant, je ne gâcherai plus de manière incontrôlée ce surcoût d’écriture». - «Eurêka ! Comme si sans cette vaguelette d’air, cette hirondelle sur le dos, gout s’écrirait comme ragout, abime renoncerait à ce que cime lui a légué, l’espoir de s’en sortir, la voûte ne serait qu’une arcade menaçant ruine, la chaîne n’aurait plus de force, la forêt aurait perdu une moitié de sa feuille et le pécher de son fruit, l’ame se serait perdue elle-même !» (NDLR: ça, c’est pas de moi, c’est du journaliste Vincent Manilève). Aussi tôt fait ! Je n’entendrai donc plus de votre part: ci-gît le bâtonnet gâteux des accents aigus et graves à jamais réunis. Bientôt, en août peut-être, nous accroîtrerons âprement notre étude en bûchant le reste des diacritiques utilisés en français et nous clôturerons avec la cédille». Mîchel Vîgand Comité de rédaction Point commun Journal d’entreprise d’ISoSL Intercommunale de Soins Spécialisés de Liège rue Basse-Wez, 145 à 4020 Liège Point commun est membre de l’Association Belge de la Communication Interne Rédacteur en chef Michel Vigand 04 225 87 83 [email protected] Tirage 3400 exemplaires Dessins Benjamin Parent, Jan Wronski Impression AZ Print rue de l’Informatique 4460 Grâce-Hollogne 04 227 83 85 Maria Calderon, David Collard, Sabine Déom, Isabelle Doyen, Elliott Forment, Carl Jadot, Pierre Kabwe, Isabelle Lavennes, Albert Leclercq, Chantal Lemaire, Antoinette Liébecq, Jeanine Malchaire, Emmanuel Pierret, Bernard Rinaldi, Annick Vanwelkenhysen, Juan Miguel Vera y Legasa, Anne-Marie Virzi, Joëlle Wauthier, Chantal Yerna, Aymeric Zappia. 1 Point commun Piscines Les bienfaits de l’eau Thalasso, thermes, jacuzzi, spa... Il suffit d’aller faire un tour sur les sites Internet pour voir apparaître une offre de séjours «bienêtre» impressionnants. L’eau et ses bienfaits nous seraient profitables. Tiens ! Savez-vous qu’il y a deux piscines au sein d’ISoSL ? Michel VIGAND Jonathan Ponsart, Fabrice De Cao, David Paquay, Sylvie Steyns et Stefan Vandenbrouck devant la piscine du Petit Bourgogne Au Secteur A, la piscine se situe au sous-sol du Petit Bourgogne près de la salle de gymnastique. Le bassin fait 10 mètres sur 5 avec une profondeur constante d’1m50 et une eau chauffée à 28,5°. Au Secteur B, la piscine de rééducation se trouve, elle aussi, en sous-sol, elle est intégrée dans le service de Médecine physique, Physiothérapie et Revalidation. Le bassin fait 10 mètres sur 7 et l’eau est chauffée à 33-34°. Il y a deux profondeurs: 1m20 et 1m40. Ceci pour pouvoir rééduquer des patients de taille différente. On y trouve aussi un jacuzzi d’attente, un couloir de marche, un tapis de marche et 2 vélos aquabike. 2 Point commun au Petit Bourgogne Les activités thérapeutiques en piscine sont aussi bien accessibles aux patients du Petit Bourgogne qu’aux patients d’Agora, d’Hillier et de tout le Secteur A. Elles sont réalisées par l’équipe des professeurs de gymnastique du Petit Bourgogne. Celle-ci est composée de: • Fabrice De Cao; • Eric Leclercq; • David Paquay; • Jonathan Ponsart; • Sylvie Steyns; • Et Stefan Vandenbrouck. La piscine est ouverte de 9h30 à midi et de 13h30 à 16h00. Elle reçoit une centaine de patients par semaine. Certains y viennent même 2 fois par jour. NATATION Nage libre ou organisée sur demande et initiation à la natation avec la présence permanente d’un professeur de gymnastique. La taille et la profondeur du bassin sont idéales pour pratiquer la natation. Les patients qui éprouvent le besoin de pouvoir nager sans risque ou de profiter d’un bassin de natation sans savoir nager peuvent y venir à leur convenance. Celui qui désire apprendre à nager pourra le faire avec l’aide d’un professeur. AQUAGYM (avec Fabrice De Cao) La gymnastique aquatique est adaptée à la condition physique des patients. Elle allie gymnastique et détente. Durant l’effort, le contact avec l’eau crée une sensation de massage sur toute la surface du corps, et ça, c’est plutôt agréable. Exit donc les sensations de douleur et de lutte acharnée pendant l’effort. D’autant plus que, dans l’eau, le corps ne pèse plus qu’un tiers de son poids ! Et même si la résistance de l’eau oblige les muscles à travailler davantage pendant l’effort, le «ressenti» est moindre et le corps se muscle pourtant deux fois plus. L’aquagym fait travailler tous les muscles et élimine la cellulite ! Elle améliore aussi la circulation sanguine et tonifie le rythme cardiovasculaire tout en véhiculant une réelle sensation d’apaisement. JEUX DE COOPERATION et WATER-POLO (pour les services ados Caktus et Cyprès avec Jonathan Ponsart et Stefan Vandenbrouck pour le water-polo) La piscine devient aussi bien un lieu de détente qu’un lieu de défoulement. Des jeux de coopération et de psychomotricité y sont programmés, avec petit matériel, en groupe ou en individuel. Le water-polo est aussi au programme en tant qu’activité défoulante mais aussi avec le respect de ses règles. PLONGEE SOUS-MARINE (avec David Paquay pour les adultes et Stefan Vandenbrouck pour les ados) Les patients apprennent ici à maîtriser leurs peurs et à gérer leurs émotions. Ils travaillent avec tuba, masque et palmes et avec bouteilles. Les profs de gym mettent les patients dans des situations où ils doivent résoudre des exercices de plus en plus compliqués dans un milieu hostile. Il y a ici aussi un objectif de resocialisation. 3 Point commun Les bienfaits de l’eau au Valdor Nous avons ici une piscine uniquement réservée à la revalidation et la rééducation. Ce sont des kinés qui se mettent à l’eau avec des patients hospitalisés ou externes. Thomas Bednar, Alain Gilsonnet, Nancy Van Deyck, Brigitte Oger, Xavier Hauffroid, Brigitte Penelle et Olivier Bertrand se partagent les rééducations. 3 kinés à l’eau matin et après-midi. Ils travaillent à la piscine par demi-journée. Environ 70 patients sont accueillis par jour. Contre-indications à l’accès: Incontinence et plaies. LES SOINS Ils se font sous prescription d’un physiothérapeute. On y soigne entre autres: la fibromyalgie, les traumatismes, l’orthopédie de prothèse de hanche et de genoux, les fractures du membre inférieur principalement, les lombalgies et les personnes en décharge, l’hémiplégie, les problèmes neurologiques... Le principe d’Archimède permet des rééducations plus ciblées et aisées. Le corps est en état d’apesanteur et la température de l’eau favorise la vasodilatation et la relaxation, la pression de l’eau favorise quant à elle le drainage. Le jacuzzi amène la détente en fin de traitement. Actuellement, vu le succès des soins, le délai de RDV est au maximum d’une semaine. Le service a doublé les prises en charge depuis l’ouverture en juin 2014. Comme c’est la seule piscine de rééducation en ville, elle répond à un réel besoin de la population. 4 Point commun L’HYGIENE L’eau étant très chaude, un soin particulier est apporté à l’hygiène et à la vérification des données bactériologiques. Une analyse de l’eau est effectuée avant l’entrée à l’eau du premier kiné. Une autre analyse est réalisée deux fois par jour par le service technique. Et une fois par semaine, l’Institut Malvoz vient y prélever des échantillons. Les patients doivent prendre une douche avec savon avant l’entrée en piscine et peuvent également le faire après la sortie du bassin. LE MATERIEL Au départ des vestiaires, 2 palans offrent la possibilité de transporter, à la piscine ou au couloir de marche, tout patient qui se déplace difficilement. Ils sont aidés par un brancardier lors du déshabillage, du rhabillage et pendant les déplacements. Point commun Et si on parlait un peu de nous ? Anne-Marie Virzi Psychologue (hé oui, encore une…), AnneMarie faisait partie des membres du personnel de l’ancienne IPAL depuis déjà une vingtaine d’années. Tout d’abord sur le site Valdor puis sur le site Petit Bourgogne, elle a, à présent, la grande joie d’avoir ses quartiers à la Brasserie. Anne-Marie a des attributions un peu particulières puisque, en compagnie de Danielle Sarto qui s’occupe plus spécifiquement du secteur A, elle est une personne ressources en matière non seulement des formations mais également et surtout dans l’accompagnement des membres du personnel qui rencontrent des difficultés dans le cadre de leurs activités professionnelles ou qui ont tout simplement des souhaits pour des projets futurs. Personne de confiance, elle nous accompagne donc aussi bien dans la gestion de projets, dans la mise en place d’audits concernant les risques psycho-sociaux mais également dans la gestion et la médiation des conflits. La confidentialité est donc un maître-mot dans le cadre de ses attributions. Anne-Marie a su, au fil de ces années, renforcer une écoute bienveillante sur les difficultés que peut rencontrer le personnel afin que notre hiérarchie puisse éventuellement trouver des solutions concertées. Elle a donc une mission difficile puisqu’elle est directement en contact avec la réalité de terrain et, bien que n’ayant aucun pouvoir hiérarchique, elle est un soutien direct, un pont entre le vécu de chacun d’entre-nous et notre direction. Sous des dehors discrets, Anne-Marie, c’est pourtant une passionnée. Passionnée de cuisine tout d’abord, italienne précise-telle. A nous les pâtes, les panacotta et autres polpette si délicieuses. Accompagnée de son mari et de ses deux enfants, elle est également passionnée de rénovation. Leur maison s’est élevée au gré de leurs envies. Passionnée également de vacances où brille surtout le soleil: soleil de Toscane, soleil du Midi. Passionnée d’art et d’activités manuelles, elle ne désespère pas de se mettre un jour à la poterie ou la sculpture et souhaiterait avoir plus de temps afin de participer à la vie du journal de façon plus régulière. Enfin, si une phrase devait la caractériser, ce serait la suivante: Liberté + responsabilité = bonheur au travail. Un but en soi qu’elle ne désespère pas de trouver, non seulement pour elle, mais également pour les autres. Merci Anne-Marie de faire partie des nôtres, nous ne désespérons pas non plus de te rencontrer plus souvent. Isabelle Lavennes 5 Point commun Résidence Louis Demeuse Inauguration Secteur A Amour, affection, après Chlamydia... rénovation Sex’Etera Dans le courant du mois de mai 2014, M. Frédéric Daerden, Député-bourgmestre de Herstal et Mme Maggy Yerna, Présidente d’ISoSL inauguraient le deuxième étage de l’aile B de la Résidence Louis Demeuse. Deux ans plus tard, ce mardi 10 mai, c’est encore en présence du Mme Maggy Yerna et M. Frédéric Daerden Député-bourgmestre et de nomcoupent le ruban inaugural breuses personnalités de la Ville de Herstal, de directeurs d’ISoSL, de représentants du personnel et des résidents que Mme Yerna a procédé à l’inauguration des différents étages entièrement rénovés de l’aile A de notre Résidence. Dans son discours d’accueil, Mme Yerna a brièvement rappelé la cession de la Résidence et retracé le long et lent cheminement des travaux de rénovation, initiés par le CPAS de Herstal et enfin finalisés sous le management d’ISoSL. M. Daerden a, lui, réaffirmé l’attachement de la Ville de Herstal à « sa » maison de repos et a assuré Mme Yerna de son soutien face aux projets de la Ministre de la Santé. Il a rappelé les engagements du CPAS et évoqué la collaboration de la Ville à la réalisation des objectifs d’ISoSL. Illustrant son propos, c’est sous les applaudissements que notre Député-bourgmestre a annoncé la réfection des voiries menant à la Résidence par les services de la Ville, et ce, dès la rentrée. Après cette partie protocolaire, tout un chacun a pu découvrir les nouveaux locaux lors d’une visite guidée par la directrice de la maison, Mme Thielen. Si la capacité d’accueil reste identique, les résidents seront dorénavant hébergés dans des conditions de confort moderne. Le verre de l’amitié et un buffet de tartes et de délicieux sandwichs préparés par le personnel de cuisine furent offerts aux nombreux participants pour conclure cette matinée. Albert Leclercq 6 Point commun Mme Barbara Thielen, Directrice du site, fait découvrir les nouvelles chambres Cindy Novello, René Antognini & Isabelle Haulotte Cette année encore, le bus rose et jaune de Sex’Etera est venu prendre place sur nos parkings durant 3 jours (1 sur le site Agora et 2 sur le site Petit Bourgogne). Ce bus qui sillonne nos routes depuis 2002 fait partie d’un projet initié par le Service provincial de la Promotion de la Santé. Tout au long de ces 3 jours, de petits groupes de patients ont pu ainsi profiter de cette boîte à outil sur roue pour aborder des grands thèmes comme: la vie affective, la sexualité et les maladies sexuellement transmissibles (MST) au travers de 3 modules. Ces modules se voulaient interactifs, ceci permettait aux patients de participer activement aux séances par le biais d’animations spécifiques. Chaque groupe à sa sortie faisait preuve d’une certaine satisfaction d’avoir appris des choses dont il n’avait pas connaissance. On peut dès lors parler d’objectif atteint. Pour plus d’infos, consultez le site : www.provincedeliege.be Juan-Miguel Vera y Legasa Interview Ma conception du bien-être au travail Lors de la journée «bien-être» au travail organisée pour les cadres du Petit Bourgogne, Madame Ginette Houssonloge, infirmière en chef à Louis Hillier, est intervenue afin de présenter sa réflexion par rapport à la thématique du jour. Nous l’avons interviewée en exclusivité pour qu’elle nous explique sa conception du bien-être au travail. Emmanuel Pierret Point commun: Madame Houssonloge, pouvez-vous vous présenter en tant qu’infirmière ? Ginette Houssonloge: J’ai commencé à travailler à l’hôpital Volière en tant qu’infirmière graduée psychiatrique en 1979. En 1993, je suis devenue responsable de feu le RPA, puis d’Oasis et actuellement au Centre Louis Hillier. P.c.: Qu’avez-vous voulu faire passer lors de cette journée ? G.H.: J’ai voulu attirer l’attention sur le fait que le bien-être au travail était lié à notre savoir-être. Mais pour cela il faut connaitre ses valeurs personnelles et professionnelles. Pas vos qualités, mais bien vos valeurs qui déterminent votre identité personnelle et qui dictent vos actions. Déterminez vos valeurs, ce n’est pas bien difficile, mais ce qui l’est moins, c’est de les respecter. Respecter ses valeurs c’est également bien se connaitre et avoir une solide confiance en soi. Il ne s’agit pas de subir les valeurs des autres au détriment des nôtres. P.c.: Et vous, quelles sont vos valeurs ? G.H.: Mes valeurs personnelles sont la liberté de choix, de penser, de décider. Je veux également la justice et donc je refuse que l’on abuse de la faiblesse des autres. L’amitié est essentielle également. Très utile pour le travail en équipe. Mes valeurs professionnelles sont la persévérance, la détermination et l’esprit d’équipe. P.c.: Qu’est-ce que les personnes doivent retenir ? G.H.: Elles devront identifier leurs valeurs et ensuite les prioriser. Celles-ci guideront ensuite leurs actes, leurs paroles et faciliteront leurs choix. P.c.: Après l’individu, vous avez voulu parler des équipes. G.H.: En effet, j’ai voulu montrer que la «culture équipe» permet de les rendre unique. Cette culture permet la cohésion d’une équipe pluridisciplinaire. Celle-ci travaille dès lors dans un but commun grâce à un projet. Mais ce processus est long et doit passer par l’infirmière en chef, par le médecin et la direction. Et avec leur pleine implication. C’est un facteur de performance et de présentéisme. P.c.: Vous avez néanmoins sorti deux personnes de l’équipe pour ce processus. G.H.: Oui et j’ai appelé cela le tandem: l’infirmière en chef et le médecin du service. Leur collaboration et la qualité de celle-ci a un impact primordial sur la qualité des soins et le bien-être au travail. Dans le modèle hiérarchique, l’infirmière en chef est subordonnée à l’autorité médicale et a donc une autonomie limitée. C’est pour cela que je revendique le modèle complémentaire où médecin et infirmière en chef participent ensemble à la prise de décisions et partagent les responsabilités. Je suis persuadée que ce type de collaboration participe à un meilleur bien-être au travail car il induit le respect du rôle de chacun P.c.: Vous avez néanmoins différencié infirmière en chef et chef de service G.H.: Oui, j’insiste sur l’importance de cette fonction d’infirmier chef de service. Ce chef a un rôle hiérarchique de supervision et d’encadrement des infirmiers en chef qui je vous le rappelle sont les derniers cadres de terrain. Et il est important que ces cadres s’impliquent dans les réflexions menées par les équipes de leurs unités. Cela afin d’améliorer ce bien-être au travail tant recherché. P.c.: Et le travail au sein d’une unité de soins ? G.H.: C’est penser la rencontre entre des compétences, des dispositions, des volontés, des besoins, des aspirations collectives. P.c.: Que faites vous avec ce travail ? G.H.: Vous devez lui donner du sens. Trop souvent il y a absence de réflexion sur le sens même de ce que l’on fait. Il faut travailler avec les compétences professionnelles des agents, pas avec des diplômes. Mais il sera important que le chef les aide à trouver leurs ressources, leurs compétences et leur offre un accompagnement personnalisé. Formez-les, valorisez-les! Autrement dit, portez-les vers le haut! P.c.: Et l’absentéisme ? G.H.: En effet, c’est en augmentation. Vous savez, on nous fait faire des formations pour bien accueillir l’agent à son retour de maladie, mais je pense qu’il est d’abord nécessaire de se demander pourquoi il est parti en maladie ! P.c.: Et dans votre équipe ? G.H.: Je n’ai pas d’absentéisme dans mon équipe (6 jours de remplacement EMRI sur un an). P.c.: Comment pouvez-vous l’expliquer ? G.H.: Je vois deux raisons : nous avons une culture d’équipe qui veut que l’on s’absente uniquement quand c’est impossible de faire autrement. Ce qui aide aussi, c’est qu’il règne un climat de bienveillance entre chaque agent. La deuxième raison est que je suis convaincue que le PEP appartient à l’équipe. D’ailleurs je n’ai pas de cahier de desiderata et je suis disponible pour chaque demande de l’agent et je la gère directement avec lui. P.c.: Comment définir un bon infirmier chef ? G.H.: Pour moi, c’est celui qui sait faire preuve d’humilité, de bienveillance, de confiance et de courage. Il accompagne ses agents, il génère de l’enthousiasme et les fait grandir. P.c.: Une ébauche de missions ? G.H.: Il crée un contexte motivant; il gère les conflits, il ne les crée pas ! Il fuira la routine et veillera à maintenir un niveau de performance car rien n’est acquis. Il n’hésite pas à manier l’humour (et pas l’ironie !) P.c.: En conclusion ? G.H.: Faites les choses sérieusement mais sans vous prendre au sérieux ! Et si vous vous prenez au sérieux n’oubliez pas d’en rire ! J’aimerais aussi qu’on cesse de faire de la gestion des ressources humaines et qu’on fasse enfin de la gestion humaine des ressources ! 7 Point commun Valdor Parking pour les membres du personnel Accès au bâtiment : Nous vous demandons d’utiliser la porte vitrée située à côté des ascenseurs panoramiques pour pénétrer dans le bâtiment, l’accès par le quai de déchargement étant strictement interdit pour des raisons de sécurité. Parking visiteurs : La totalité du parking accessible par la rue Basse-Wez (près de l’entrée principale) est exclusivement réservée aux visiteurs et aux patients de la policlinique. Le ticket reçu à la barrière de l’entrée du parking visiteurs devra être validé auprès des agents de l’accueil, du guichet de la policlinique, de l’hôpital de jour, de la radiologie ou du service de médecine physique. Bernard Rinaldi 8 Point commun Depuis ce mardi 17 mai, un parking réservé aux membres du personnel (toutes pauses confondues) est accessible sur le site du Valdor. L’accès se fait par le n° 9 de la rue des Prébendiers. L’ouverture de la barrière d’entrée est commandée par votre badge personnel et pour la sortie, via la rue des Prébendiers également, la barrière se lèvera automatiquement à l’approche de votre véhicule. Un espace spécifique pour les vélos et les motos est également disponible sur le site. Une zone réservée et contrôlée est accessible aux médecins et aux véhicules autorisés sur l’arrière du parking. Secteur A . Ce mec fait un tabac ! Aujourd’hui, nous rencontrons Thierry HAZARD, psychologue au Genêts 31 et 32 sur le site Petit-Bourgogne pour l’atelier « STOP TABAC ». Le taux de réussite est très faible, certains ne vont pas au bout du module. Tandis que d’autres sont abstinents sur une période de 1 à 2 mois. Point commun: Comment est née cette activité ? Dans tous les cas, je propose au patient un Thierry Hazard: J’ai travaillé de nombreuses années au service « START » et entretien qui vise à essayer de comprendre les la prise en charge de la toxicomanie m’a apporté beaucoup d’expériences. raisons de cette baisse de motivation. Notamment sur le fait que le tabagisme est un nœud de départ vers d’autres Cela est très positif et lui permet de faire types de consommations (drogues, alcool,…). l’expérience de l’abstinence. J’ai pu constater que même si la cigarette n’induit pas de symptômes dit A long terme, on peut projeter un changement plus «psychotropes» et ne débouche pas sur une modification de comportefort (arrêt du tabac) pour autant que le patient mette ment, son usage est largement utilisé. toutes ses expériences à profit pour arriver à son De ce constat et sur base de ma motivation personnelle, je voulais créer objectif. quelque chose par rapport à cela. P.c. : Ces derniers temps ont été riches en événements sur la thématique P.c.: Comment s’organise le groupe ? du tabagisme. On a beaucoup entendu parler de la cigarette électroT.H.: Le module s’étend sur 5 semaines à nique. Vous constatez un changement de raison de 6 séances au total. votre point de vue ? « On vise l’arrêt tabagique par la prise de Je prends en charge un groupe de 7 à 8 T.H.: Nous avons en effet des patients qui conscience de l’acte de fumer et sa diminution » utilisent ce moyen au sein du groupe et du personnes. Etant sur un plateau de deux services, je m’ occupe de tous les patients de service. Nous n’avons pas assez de recul ces unités. actuellement pour évaluer de manière objective Il peut également arriver que j’aie un patient d’un autre plateau. Il faut son impact sur l’arrêt du tabagisme auprès des patients hospitalisés. savoir que ce groupe n’est pas obligatoire, il n’y a pas de prescription En revanche, afin de coller au mieux à la réalité du terrain, j’envisage de médicale pour y participer. mettre à jour l’outil de formation afin d’y inclure ces nouveaux moyens Ce module, comme beaucoup, n’est pas scindé en partie théorique et d’arrêt du tabac. pratique. En effet, nous abordons les deux aspects en même temps tout au P.c. : Que pensez-vous de cette première bourse aux activités ? long du module. T.H: Très positif, avoir l’occasion de pouvoir montrer P.c.: Avez-vous suivi une formation ? aux autres ce qui est mis en place pour les patients T.H.: Tout à fait, j’ai suivi une formation d’un an était une expérience riche et éprouvante. en tabacologie et j’ai pris pour base de cette En effet, une autre salle présentait un groupe formation un outil créé par le Dr Figiel. auquel je participe également. De ce fait, je me suis P.c.: Quel retour avez-vous au niveau des coupé en deux durant cette journée (rires). patients ? Juan-Miguel Vera y Legasa T.H.: La participation est sur base volontaire. Nous constatons depuis 2015, une augmentation de la demande de patients qui éprouvent l’envie d’arrêter de fumer. 9 Point commun Secteur A Rencontre à thème Le 26 avril dernier s’est déroulée sur le site du Petit-Bourgogne, une rencontre à thème « Oser l’arrêt du tabac en hôpital psychiatrique ? Quelles pistes ? Une opportunité de prise en Pierre Bartsch devant un auditoire attentif charge globale. » Le temps d’une matinée, nos deux orateurs ont choisi la manière interactive pour répondre au mieux aux attentes des participants concernant la prise en charge du tabagisme dans un hôpital psychiatrique Jacques DUMONT, tabacologue, nous a gratifié de ses expériences de terrain notamment sur la prise en charge des patients psychotiques désireux d’arrêter de fumer. De manière très dynamique, les participants ont été invités à différencier un entretien motivationnel d’un entretien classique au travers d’une vidéo. Pierre BARTSCH, tabacologue et professeur de pneumologie à l’ULg a centré son exposé sur les méthodes permettant de réduire / arrêter le tabac. Parmi celles-ci, la cigarette électronique fut largement abordée. En s’appuyant sur des études médicales anglaises, le professeur a tenu à rassurer les participants en démontrant que la cigarette électronique est la méthode la plus utilisée et le moyen le plus efficace pour arrêter de fumer. 10 Point commun Pause santé, pause sans T La « journée mondiale sans tabac » a été fêtée ce 1er juin par une pause santé…sans T. Cette année, suite aux travaux effectués sur la dalle du Petit Bourgogne, l’activité a été centrée sur une ballade d’1h30 sur les sites des deux hôpitaux psychiatriques. Chaque unité a sensibilisé ses patients pour cette activité en leur présentant une carte reprenant l’itinéraire de la balade. Sur le site du Petit Bourgogne, l’itinéraire reprenait des sites historiques permettant la découverte du quartier de Cointe. Tandis que sur le site Agora, les participants ont pu découvrir ou redécouvrir le quartier Pierreuse et remonter vers la Citadelle. Le temps pluvieux n’a pas eu raison des plus courageux (60 personnes sur le Site PB et 30 pour Agora). Au terme de la balade, un en-cas était prévu et une distribution d’eau, de fruits et de petits pains au chocolat a eu lieu. Une implication des équipes soignantes et paramédicales ont permis, une fois de plus, la réussite de cette matinée avec, en soutien, les diététiciennes, le Département hôtelier et le coursier, tous très impliqués dans cette journée d’action. Juan-Miguel Vera y Legasa Juan-Miguel Vera y Legasa Thierry Hazard avec Jacques Dumont Anne Descamps, Djamel Messafri, Daniela Bartolai et une participante Pèrî Quand la nature s’invite à l’hôpital Ce 3 mai 2016, la première «Troc plantes» d’ISoSL s’est déroulée sur le site Pèrî. Cette bourse aux plantes avait pour objectif l’échange de plantes, de semis, de boutures et de petit matériel de jardinage… Tout a commencé avec le projet «convivialité» pour lequel diverses activités étaient organisées par les éducatrices tout au long de l’année au sein de la cafétéria. Ces animations avaient pour objectifs de créer un espace convivial de rencontre et d’échange dans un cadre «non hospitalier», pour le personnel, les patients et leurs familles. Elles visaient le plaisir, la socialisation et la valorisation par la mise en lumière des réalisations des patients lors de différents ateliers et travaillaient l’orientation temporelle. Dans le cadre de ce projet, en 2015, les éducatrices avaient repris l’ancien potager des ergos laissé à l’abandon, pour y créer un espace fleuri où se côtoient plantes, maison à insectes, nichoirs et déco de jardin… Ce petit coin de verdure, dédié à la détente et au bien-être, est un espace nature au sein de l’hôpital ! Aménager un jardin coûte cher et nous avons tous chez nous des plantes ou des bulbes en trop ! Alors, pourquoi ne pas faire une brocante de plantes ? Cela permet, à tout un chacun, même avec des petits moyens, d’embellir son potager ou son jardin. L’idée de cet échange de plantes va germer. Avec le soutien de notre direction et grâce aux conseils de collègues expérimentés, cette idée un peu folle va voir le jour. Très vite, des collègues intéressés par le projet se sont proposés pour faire des semis et tenir un stand. Les connaissances des uns et des autres ont permis divers contacts; c’est ainsi que «Les jardins partagés d’Oreye», «La ferme de la Vache», «Cycle en terre», «Swaece» vont devenir des partenaires. Durant plusieurs semaines, lors de l’atelier créatif, nous avons réalisé, avec les patients, des semis de fleurs, de plantes aromatiques, de potirons, de butternuts et de plantes d’intérieur. Nous avons décoré des nichoirs, des pots, des palettes… afin d’agrémenter le jardin. Il nous a fallu user de patience et d’astuces pour que ces boutures poussent… Est-ce le coup de chance du débutant, la main verte ou les bons conseils de nos différents partenaires ? Quoi qu’il en soit le jour «J», notre stand était garni de végétation et la cafétéria ressemblait plus à une serre qu’à un restaurant. Tous nos partenaires se sont donnés beaucoup de mal et ont apporté une multitude de plantes, de conseils, de trucs et d’astuces. Durant tout l’après-midi, des membres du personnel et des collègues de maison de repos sont venus avec des résidents. Patients et familles vont ainsi se succéder, cherchant à trouver des graines, la plante rare, le conseil utile à la bonne pratique du jardinage ou simplement passer un bon moment ! Tous sont ressortis de la cafétéria avec le sourire aux lèvres et les bras bien chargés. Reste maintenant à chacun le plaisir de replanter ses trouvailles pour agrémenter son potager, son parterre ou son appui de fenêtre… Que ce soit au niveau de nos partenaires ou des personnes venues échanger, tous étaient ravis de cette initiative et prêt à rééditer l’expérience en 2017 ! Alors si l’aventure vous tente, préparez vos boutures et semis dès le mois de mai et donnons-nous rendez-vous fin du mois de mai 2017 pour la deuxième édition de notre «Troc plantes». Nous voudrions vivement remercier toutes les personnes qui nous ont aidées dans la préparation, l’organisation et la réalisation de cette merveilleuse journée ainsi que nos patients qui, comme à chaque fois, nous font confiance et ont œuvré pour que cette journée, qui leur était dédiée, soit pleine de surprises. Pour vous donner l’envie d’être curieux, voici quelques photos de cette journée qui illustrent bien l’état d’esprit de notre première «Troc Plantes». Fanny Marissal & Joëlle Wauthier, les éducatrices 11 Point commun Valdor Journée Santé de la femme Une vue d’ensemble du hall du Valdor Véronique Henry et Myriam Gilot à l’accueil 12 Point commun Ce samedi 28 mai nous avons eu le plaisir d’accueillir 235 dames soucieuses de leur santé, dans le cadre de la journée de la santé de la femme organisée au Valdor. Un public concerné qui a visité avec beaucoup d’intérêt les 15 animations mises sur pied par un personnel particulièrement motivé et attentionné. Les questions furent nombreuses et les entretiens se sont déroulés dans une ambiance décontractée et conviviale. Les visites du service de médecine physique et d’hydrothérapie ont été grandement appréciées par nos visiteurs et de nombreux examens ont été réalisés, comme des électrocardiogrammes (53), des ostéodensitométries (28) ou des épreuves fonctionnelles respiratoires. A noter la participation, cette année, de l’association Inforfemmes, un centre de planning familial de Liège, qui proposait des animations interactives et des pistes de réflexion pour renforcer le sentiment de confiance et d’estime de soi. L’équipe de RTC nous a rejoint sur le temps de midi pour réaliser un reportage qui a été diffusé dans le journal du soir et que je vous invite à découvrir sur leur site Internet ou directement via le lien http://www.rtc.be/reportages/262-general/1471199-sante-des-femmes-le-valdor-en-parle 129 évaluations ont été recueillies par notre équipe d’accueil coachée par Jeanne Michel. Les collègues présents qui ont accueilli nos visiteurs peuvent être fiers de leur travail et du résultat puisque la totalité des évaluations sont rentrées positives et même très positives pour plus de 75% des visiteurs interrogées. Un constat intéressant également: une fraction non négligeable des personnes présentes ont appris l’existence de notre organisation via des membres du personnel ISoSL. Merci à vous pour cette promotion ! Merci aussi à toutes les personnes présentes ce 28 mai et aux équipes qui ont œuvré à la mise sur pied et à la réussite de cet événement. Carl Jadot Pour leur première participation: le stand du Maintien à domicile avec Audrey Skevée & Alexandra Michalas Le Dr Marie-Paule Lecart en conversation avec une visiteuse Solidarité Pour Lilou Afin de venir en aide à Lilou et sa famille, un formidable élan de solidarité s’est mis en place à ISoSL. Notre club de jogging a organisé (avec le soutien et l’aide de notre direction) un «Grand relais de solidarité». Cela s’est concrétisé par une course relais de 230 km reliant les différents sites de notre Intercommunale. Vous avez été très nombreux à répondre présent, soit lors du relais, soit lors du repas de clôture de cet événement. L’arrivée au Valdor D’autres manifestations de soutien ont aussi été organisées : vente de stylos, de gaufres, de pots de confiture. L’équipe des Gaufff ! La liste des personnes impliquées dans ces projets est très longue et il est inutile de vouloir les citer : la récompense est le succès rencontré ! Grâce à eux, grâce à vous, nous avons pu fournir une aide à Lilou et sa famille par rapport aux frais qu’engendre une telle maladie. Si le but premier a été atteint, le succès de l’entreprise ne se limite pas à cela. C’est aussi un réconfort face aux difficultés du monde actuel, des moments d’amitié et de convivialité, sans oublier… une victoire face à un réel défi sportif. Merci encore pour votre solidarité, votre soutien, votre mobilisation ! La découverte du chèque Pierre Mignolet Sur chaque site, la collecte des dons 13 Point commun ISoSL Un peu de tout... Les MR/MRS Fête de la musique à l’Accueil de Lierneux L’ASBL Réflexions, Similes et Psytoyens, en collaboration avec ISoSL et la Ville de Liège organisent, dans le cadre des journées de la santé mentale 2016, une nouvelle édition du PsyRun, La course qui va faire parler d’ELLE. Déjà organisée en 2014 et 2015, cette manifestation vise la déstigmatisation des personnes atteintes de problématiques de santé mentale en organisant une symbolique course à pieds (seul ou en équipe). Une distance de 10 km sera ainsi parcourue en individuel ou par des équipes composées de 2, 5 ou 10 personnes usagères de service de santé mentale, de leurs proches, des travailleurs en santé mentale ou encore du grand public. Plus d’informations rapidement mais notez déjà la date du 8 octobre dans votre agenda ! Cela vous laisse quelques mois pour vous remettre en forme ! Elliott Forment 14 Point commun L’actualité sociale et un agenda chargé nous a empêché de continuer dans ce numéro la présentation des différents membres du personnel de nos MR/MRS. Celle-ci reprendra dès la rentrée. La Rédac Suite à la grève du 24 juin, la Fête de la Musique à destination des agents et compagnes/compagnons se déroulera le vendredi 23 septembre 2016 en soirée à la salle «Le Vicinal» à Lierneux. Au programme : Mad Souls / Stern Trio / Animation musicale. Retenez la date ! Le service communication Spectacle de danses à Louis Demeuse A l’initiative de Trinidad Lecloux, secrétaire et de Halima Salouh, infirmière en chef, la Résidence Louis Demeuse a organisé un après-midi sous le signe de la danse avec une démonstration de flamenco et de danses de salon. Ce sont environ 75 personnes qui se sont retrouvées à la salle à manger de la Résidence. Après une heure de spectacle, les résidents et les familles ont pu déguster un goûter préparé par les soins du personnel, tous services confondus. Ils garderont en mémoire ces moments de plaisir et de convivialité. Après ce rendez-vous réussi, l’équipe d’animation a organisé fin juin deux journées orientales où le personnel a pu également participer. Quoi de mieux que des moments de partage pour créer des liens tant entre les membres du personnel qu’avec les résidents ? Quelques moments de détente pour entretenir la motivation. Cynthia et Virginie ISoSL Les uns et les autres... Les embauches LE CHEMIN DE LONCIN Nadine MBENDA LOTTIN, aide-soignante Dominique NYEMBO, infirmière LEONARDO DA VINCI Sharon BESANGER, aide-cuisinière Félicia LEMAÎTRE, infirmière Nadège DOOMS, aide-soignante LE PETIT BOURGOGNE ACCOLADE Julie ESSABRI, employée d’administration Victoria BARATE, employée d’administration Caroline DEGEY, assistante sociale Michaël DIAMANTE, vigile LE PÈRÎ Arthur CORRION, infirmier Léandre MAUNIER, infirmier Wassila EL ABBASSI, infirmière Irène-Marie HENSCHEN, psychologue Aurélie DEPIREUX, logopède Les retraites LOUIS DEMEUSE Guy BECKER, ouvrier technique Sabine DUMST, infirmière Nada ELIAZAR, ouvrière Duangjai RATANAHUANG, aide-soignante L’ACCUEIL Jérôme CORNET, ouvrier Christophe WAXWEILER, ouvrier Samuel GENGOUX, ouvrier Iwona KOSCIELNA, ouvrière LE VALDOR Laurie GIORDANO, assistante sociale Rada VASHENKO, employée d’administration LE CHEMIN DE LONCIN Jean LOISEAU, le 19 mai LE PETIT BOURGOGNE Daniel VERNANT, le 1er juillet Michèle ROBA, le 1er août LE PÈRÎ Bernadette PIRLOT, le 1er mai LES TROIS ROIS Maddy LERUTH, le 30 juin LES SAULES Bircan KILIÇ, aide-soignante LOUIS DEMEUSE Albert LECLERCQ, le 1er juin Marie CRATZBORN, le 1er juin Eveline MARCHAL, le 1er juillet LES TROIS ROIS Christine THSILANDA M’BUYI, aide-soignante Fatiha BEN LAHOUCINE, infirmière LES ORCHIDEES Mireille CHAINEUX, le 29 février Marie-France HERVELLE, le 30 avril LE TILLEUL D’EDOUARD Euphrasie KOUADIO, ouvrière L’ACCUEIL Cécile MONFORT, le 1er mai Marie-Dyna MARECHAL, le 1er mai Bernard DOR, le 1er juin La Belgique, terre d’immigration et d’émigration Organisée en collaboration avec l’association «Les ceux de chez nous» (une organisation de liégeois, retraités pour la plupart, qui organise des rencontres culturelles et festives), la conférence du Professeur Jean-Michel Lafleur a réuni une bonne septantaine de participants sur le site Valdor. Directeur adjoint du CEDEM et Chercheur qualifié du FRS-FNRS, il est, en outre, Maître de conférence à l’Institut des Sciences Humaines et Sociales de l’Université de Liège où il donne différents cours sur les migrations, le transnationalisme et le développement. Alors que l’actualité nous rappelle que l’Europe fait face à de nouveaux flux migratoires, on oublie trop souvent que la Belgique, elle aussi, a été et est toujours un pays d’émigration. Près d’un demi-million de Belges vivent aujourd’hui à l’étranger. L’expérience de ces émigrés belges présente un certain nombre de similitudes et de différences avec celle des étrangers arrivant dans notre pays ces dernières années. La confrontation de ces différentes expériences permet de comprendre qu’au 21ème siècle, les dynamiques migratoires sont souvent plus complexes qu’on veut bien le penser. Il pose un regard scientifique sur ces phénomènes, à l’écart de toute interprétation politique et bat en brèche toute une série de clichés sans langue de bois. Un discours auquel nous ne sommes pas très habitués… Et qui plus est, accessible à tout public. Cet éclairage particulier a suscité énormément d’intérêt dans la salle et les questions furent nombreuses. Questions auxquelles notre orateur du jour a pris la peine de répondre en toute gentillesse. Si vous souhaitez découvrir vous aussi notre orateur du jour, vous pouvez utiliser le lien suivant vers une de ses interviews : https://www.ulg.ac.be/cms/c_5459202/fr/pause-cafe- AGORA avec-jean-michel-lafleur-le-lungo In memoriam Laetitia LEETEN, le 26 mai Laurent L’HOEST, le 10 juin Carl Jadot ACCOLADE Fanny DELBOUILLE, le 4 avril 15 Point commun Si Fafchamps m’était conté L’heure des doutes... Trois meurtres à Fafchamps et une enquête qui piétinne. De quoi mettre tout un monde en émoi... Si l’assassin avait voulu mettre le boxon, il ne s’y serait pas pris différemment ! Trois meurtres; peu d’indices; des cadavres inconnus au bataillon; un légume, une fleur et un fruit bien mis en évidence... Il n’y avait pas photo: l’assassin savait mettre en scène ses crimes. Le doute commençait à poindre dans l’esprit du Commissaire Liégeois. Allait-il savoir tout gérer? Ne devait-il pas demander des renforts malgré l’aide d’Antoine ? Et s’il échouait, deviendrait-il la risée de la Police 0 n série Un tueur e à Liège ? été e corps a Un troisièm à Fafchamps. hier is découvert ien de breb C’est le gardle corps. C’est vé et il qui a trou en d’âge moy er, un homme verg le dans était couché chée comme tran la gorge s. es meurtre pour les autr commence a ion La populat sortir. et craint de avoir peur 16 liégeoise ? Deux éléments inattendus lui mettaient une pression supplémentaire. Devant lui étaient posés La Meuse, la Wallonie et la Gazette de Liège. Des titres énormes barraient leurs premières pages: « Un tueur en série à Liège », « Fafchamps baigne dans le sang », « Trois meurtres en trois jours… Quand cela va-t-il s’arrêter ? ». Mais pire, c’était le sous-titre « Mais que fait donc la Police ? ». Et pour couronner le tout, son téléphone avait sonné ce matin aux premières heures; c’était le Bourgmestre Auguste Buisseret qui s’inquiétait de la répercussion qu’allait avoir cette affaire sur l’image de la Ville et sur son habileté à gérer cette crise embêtante… Il fallait la résoudre dans les plus brefs délais… Une arrestation imminente serait la bienvenue… Point commun Fafchamp s baigne 1960 Raymond Liégeois et Antoine Binet n’avaient pas attendu ces soubresauts politico-journalistiques pour avancer dans leur enquête. Le soir du troisième meurtre, le fils Casterman était arrivé menotté par une porte dérobée à la Violette. Le garçon d’une petite vingtaine d’années, belle gueule, une banane comme Elvis sur le crâne, jeans et blouson de cuir noir, ne semblait pas plus étonné que ça de se retrouver dans l’antre des forces de l’ordre; il s’affala sur la chaise de la petite salle d’interrogatoire et prit l’air buté qui allait avec son personnage de rocker. Et l’interrogatoire avait commencé. Liégeois jouait le rôle du méchant et harcelait le garçon de questions directes et incisives : «On t’a vu à Fafchamps la nuit dernière, qu’est-ce que t’y faisais ? Pourquoi as-tu tué cette femme ? Et les deux autres, pourquoi les as-tu égorgés? Réponds sinon je t’envoie direct à Saint Léonard…» Binet prenait le relais quand Liégeois sortait de la pièce. « Ecoute gamin, j’ai presque ton âge et je trouve que le commissaire exagère. Si tu as quelque chose à me dire, vas-y sans tracas, je peux l’empêcher de te frapper mais je sens qu’il s’énerve… Mais vite, hein, parce que Liégeois, quand il sort de ses gonds, il perd ses moyens et encore aujourd’hui t’as de la chance, il n’a pas bu..! » Plusieurs heures et plusieurs va-et-vient avaient été nécessaires avant que le jeune Hubert ne craque et n’avoue… Il était bien à Fafchamps la nuit du second meurtre mais il n’avait rien à voir avec ça. «En fait, en réalité… mais vous n’en parlerez pas s’il-vous-plait… parce que j’aurais des ennuis… Et puis la petite Dumont, si ses parents l’apprenaient… HORREUR ! dans le s ang ! C’est des bourgeois, ils vont à la messe et tout ça... et en plus c’est des clients à mon père...» Il était amoureux de la petite Marie-France qui habitait dans une belle maison sur les hauteurs de Pierreuse et de temps en temps, quand la famille Dumont était dans les bras de Morphée, il allait lancer des cailloux à la fenêtre de sa belle, escaladait les branches d’un vieux chêne «et, et... enfin vous savez bien Commissaire...» Après une enquête très discrète dans le voisinage, une vieille dame habitant en face et qui souffrait d’insomnie et de curiosité aiguë confirma les rendez-vous galants des deux jeunes gens. Encore une piste qui ne menait à rien... Mais bon dieu, qu’y avait-il de commun entre ces trois crimes? Le mode opératoire bien sûr et... Le poireau, la rose et la pomme... On aurait dit un conte pour enfant ou une fable... Restait le journal intime, le Commissaire y avait jeté un oeil. A première vue, des histoires de gamins, des anecdotes sur des profs, rien de bien intéressant... Sauf que la seconde partie était rédigée en flamand; et ça, ça lui posait un immense problème; il n’avait jamais pu aligner quelques phrases dans cette langue. Après avoir fait un petit somme dans le fauteuil du bureau et s’être rafraîchi le visage dans les toilettes, Liégeois téléphona au commissariat central d’Anvers. « Allo, ja ! » « Rik, Commissaire Rik Kellens ? Ici Raymond Liégeois » « Verdom Raymond ! Tu vis toujours ? Le dernière fois, c’était à le fin de la guerre quand on a fait péter le train des boches à Hasselt… » « Rik, content de t’entendre. J’ai besoin de ton aide en urgence. Il faut que j’aille enquêter à Hoboken et je ne parle pas flamand. Si je prends le train de 10 heures, sais-tu venir me 3 meurtres en 3 jo urs chercher à la gare centrale ? » Quand cela va-t-il À suivre. Jeanine Malchaire & Michel Vigand s’arrêter ? Que fait la police ? Que d’art ! « COLLE & CO» Comme chaque an né dessin/peinture de e au théâtre de la Courte Echelle , le s Cèdres et des Ch armilles ont pris pl s œuvres de l’atelier tout le mois de m ai. ace sur ses murs durant Cette année nous avons exploré la pe inture à la colle su Chouette expérie nce qui a agrandit r notre panel de tech grands et petits formats. nos moyens d’exp niques artistiques ression... et donc Les grands format s ét Nous allons contin aient collectifs et les plus petits étaie uer nos sympathiq ues petites explor nt individuels. A la prochaine...» ations. Nadine Brouir, animatrice de l’ate lier dessin/peintur e DESIGMATISAT ROTONDE DES CION A LA EDRES Petit changemen t à la Rotonde de s Cèdres pour le Pa de cette année: rcours d’Artistes mixte d’artistes de une exposition artistes-résidents. Cointe avec des .. C’est avec fébrilit é et enthousiasm e que les artistes-rés id et des Charmille ents des Cèdres s peinture) ont expo (atelier dessin/ sé leurs œuvres su r Mocci et Petitjean (artistes de Cointe les murs et les cimaises de la Roto nde avec les œuv ). Rencontre de « l’in res de Mesdames térieur et de l’extér ieur»... Passés les petites appréhensions co m échange humain qu’artistique et da munes, l’exposition a pris la tour nure d’une belle ns une ambiance Cette exposition fû rencontre tant en sincèrement conv t incontestablemen iviale. Les exposants-rés t une réussite ! idents ont été ch durant ces deux jo aleureusemant fé urs d’exposition. licités et encour agés par les vis Nous espérons ré iteurs extérieurs itérer cette chouet te aventure... A L’ACCUEIL DU P ETIT BOURGOGN NOTHING / NOW HERE André Leclercq, un de nos co expose ses photog llègues, raphies au Grand Curtius en Feronstrée, 136 à Liège jusqu’au 28 août Photographies de Willy Del Zoppo et . Leclercq. d’André Vidéo de Christoph e Expo jusqu’au 28 Bouts août du lundi au dimanche de 10 à 18h (ferm «Il ne s’agit plu é le mardi) s déshérence, mais de re-présenter la Chartreuse en par calques des vu plutôt, à travers la superposition univers mouvant, es réalisées, d’extrapoler l’idée d’un tique et d’une granincertain, mais résolument esthéqui dans le même de richesse visuelle. Un univers du sens, de sorte temps construirait et déconstruirait qu’il puisse prendr universelle, synthé e tisée dans le titune dimension Nowhere». re «Nothing/ E Cette année enco re services tels que l’e l’Accueil a ouvert ses portes su r une exposition rgothérapie, le HJ , les d’œuvres d’artiste Exposition remarqu s de différents ée et félicitée unan Bleuets.... exposées! imement par un pu blic admiratif sur la qualité et la divers ité des œuvres Nadine Brouir, an imatrice de l’atelie r dessin/peinture LA ZONE SOMBRE Layla Saad, la fille de deux collègues , ses photos au Ca fé Le Wembley, ru expose e Fabry, 2 à Liège. Exposition visible jusqu’au 15 juillet. «Ce proje t tourne tique dans des endrautour de la recherche de l’esthéa pas. Nonante po oits où au premier abord il n’y en ur cent de mes phot sées dans un seul en os ont été réaliville de Liège. J’ai droit: « La Zone », situé au centre cherché à revisiter cadrage et de la lum le monde du l’incompris. La m ière, mais surtout le monde de ag ie se produit dans l’in hension totale de comprépure. L’être humain l’événement, dans son esthétique es t m aît re de la photo mais il n’e jamais représenté st notion d’élément. dans son entièreté pour garder la La sy mbolique reste flo daire laissant à ch ue, seconse projeter dans ceaque « regardant » la possibilité de t un ive rs de la nuit, du fantasm gorique et du trans aformisme…» e g è i L e d s e r u e h 4 2 s e d d n e k e e . . . s a p Le grand w s d n a r g à e h c o appr ! embre nnes …ou pas éliens, isosélie les 10 et11 sept t os is on , er es ul tiv ro or dé sp se ies, sportifs, de Liège » qui Chers amis, am lles « 24 heures ne on rsonnes ou iti ad tr x 3, 6, 12, 24 pe icipera au de rt pa pe ui ub éq cl r e tr pa core no qui se déroule Cette année en de la Boverie à Liège. urse bucolique co e rc un t pa es le c’ ns », Liège 2016 da inte ! ots: les « 24h de éraires ! … aucune cra ir n te m s En quelques m a té p us e pl n s iser c’est aussi pour le peur de ulez vous dégu cadre festif. vo même en SOLO rticiper mais vous avez us vo si t; un a es. emen Vous voulez p um d’un relais est de 40 minutus voulez sprinter, ça l’est égal un maximum de collègues dans im er vo in bl si m t; em oi ps de rass Le tem votre dr tition mais bien marcher, c’est r le site. Si vous voulez i l’objectif n’est pas la compé ! allers-retours su , ic ez s ef ul de Br vo re … us co fi vo en dé e ou t. qu un Pierre Mignole e, le week-end r place le temps arc Mazzulli ou Vous restez su mps de votre relais, la journé M s, an eg D y rr te cien Jadin, Thie Uniquement le écidé ? également) ichel Vigand, Lu M , ? D es us al pl st ir Co ir sur Youtube vo e vo sa or re ur à En A o, d, dé an vi gr la uette Le e (ne pas rater Contactez Hug ww.isonscool.b CooL/686705821407893 /w :/ p tt h : et te intern es/I-SonSvisiter notre si ook.com/pag N’oubliez pas de book: https://www.faceb face tte expérience. ureurs. et notre page e à leur tour ce a inscrit 70 co vr vi oL nt co te s. nS ai le SO uh tib I so ues irréduc ation, à manger… nouvelles recr uième particip atifs, médecins… à coté des vette, de salle de nq e bu ci né de sa an V, ur e RD po qu , u de Cha ISoSL » ). inistr En 2015 us servira de lie ion (repérez les drapeaux « urnaliers, adm no jo i , rs qu ie au m fir ite in at ap iv ch Kinés, prévus pour long de la Dér évu un grand Nous avons pr on Nautique le , croissant) sont ni at ol l’U oc et C ch A n M ai A (p M Il sera entre le petit-déjeuner pour les omage…) et le fr + n bo des boissons m ja et + es es m tt gu ue lé ag ents (b la viande, des Les ravitaillem nous aurons de ; Q BB ! rs un s eu la place. meron les cour site, il y aura de edi, nous allu le m r sa su it le nu e la iré sser En so du repos et pa pour prendre e nt participants. te e un er s, collègues… apport is, connaissance Si vous voulez am , rs te or pp amenez vos su ent à eux : convivial, donc ra se t en m possibilités s’offr ne ux de r, L’évé ge an m p) : 2,5€. . ulent des visiteurs ve ront cuire sur notre barbecue isse (mayo, moutarde, ketchu ou rs te or pp su Si des : Pain sauc illes qu’ils pour IMPORTANT : ration 24h sur 24 ent leurs victua Lasagne : 6 € 1. Ils apport r principal a prévu une restau eu at is an aghetti… rg Sp 2. L’o us y rencontrer En espérant vo é Le Comit