Point Commun n°40

Transcription

Point Commun n°40
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Nouvelles fresques
à la piscine
du Petit Bourgogne
Suite aux travaux de rénovation dont elle avait bien besoin, la piscine du
Petit Bourgogne avait perdu un peu de sa splendeur.
En effet les vagues qui ornaient ses murs s’étaient échouées sous les
couches de la nouvelle peinture.
Il fallait donc parfaire cet espace thérapeutique en lui donnant un
peu de couleur. Proposition a donc été faite à Benjamin PARENT,
ergothérapeute sur le site Agora et collaborateur de Point commun, de
remplir ce défi.
Il a accepté avec plaisir et quatre nageurs ornent dorénavant les murs
de la piscine.
Ils apportent de la gaieté et de la convivialité auprès des patients et des
professionnels qui la fréquentent.
Juan-Miguel Vera y Legasa
de vue
Chapeau bas !
Ô Infâmie, ô débâcle !
Le bâtard bénêt qui avec entêtement et opinâtreté, rabâche
sans grâce que ce petit dos-d’âne circonflexe, traîtreusement
mis en dépôt sur nos voyelles, est là pour empêcher les êtres
rêveurs de baîller à brûle-pourpoint.
Ce casse-tête, à l’affût, attendrait sur le
bas-côté défraîchi, la disgrâce embêtante
du môme folâtre qui renâclerait à le faire
paraître sur son carton-pâte.
- «Quoi !» dit théâtralement le maître à
l’élève «êtes-vous sûr qu’il n’y ait point d’écrêtement hâtif, apôtre
malhonnête ? Serait-ce un bête avant-goût d’un futur champêtre où
le faîte des a, e, i , o, u, aura disparu ?»
Aussitôt, le voyant fâché, le crâne du quidam pâlit. Il se pâme. Son teint
extrêmement hâlé devient jaunâtre. Il n’a plus la pêche. Sa tête de têtard laisse transparaître un
abîme gênant non maîtrisable et son côlon entre lâchement en ptôse.
- «Non mais allô quoi !» ânonne à la hâte et sans contrôle le blêmissant gâte-sauce «cette
supiqûre vient du Moyen-âge ! Elle est incongrûment sans intérêt !»
- «Sans intérêt ? Le vôtre ou le nôtre ?» remâche l’honnête mâle après l’avoir ouï (NDLR:
le lobby du tréma a fait pression pour qu’on ne l’oublie pas non plus !). Plutôt que de
me traiter d’ancêtre, de vieux croûton, d’idôlâtre, de pimbêche opiniâtre, de prêtre soûl, de
tâcheron traînard, d’âne bâté ou de quelqu’autres câlineries, lisez sans bâcler ceci. Non pour vous
embêter mais pour que vous goûtiez ma suprême requête !»
Sommaire
2ème de couverture: Fresques à la piscine du PB
page 1: Chapeau bas !
Vous pouvez aussi
page 2: Les bienfaits de l’eau
découvrir votre journal
page 5: Et si on parlait un peu de nous ?
en full couleur:
page 6: Inauguration après rénovation / Sex’Etera
page 7: Ma conception du bien-être au travail
- soit sur Intranet
page 8: Parking pour les membres du personnel
(onglet Point commun
page 9: Ce mec fait un tabac !
page 10: Rencontre à thème / Pause santé, pause sans T dans les Liens rapides);
page 11: La nature s’invite à l’hôpital
page 12: Journée de la Santé de la femme
- soit en surfant sur
page 13: Pour Lilou
www.isosl.be;
page 14: Un peu de tout...
page 15: Les uns et les autres / Belgique terre d’immigration
-soit en scanant ce QR
page 16: L’heure des doutes
code.
avant dernière: Que d’art !
dernière: 24 heures jogging
Bonne lecture
Je vais me faire un petit jeûne vs je vais me faire un petit jeune
- «En effet» mâchonne en râlant le malhonnête suppôt, «Il apparaît un drôle d’apprêt. Le bâti de la
phrase est blâmable. Cher aîné, je suis un bêta, vous m’avez démâté. Mon désintérêt m’a entraîné vers
l’entêtement. Dorénavant, je ne gâcherai plus de manière incontrôlée ce surcoût d’écriture».
- «Eurêka ! Comme si sans cette vaguelette d’air, cette hirondelle sur le dos, gout s’écrirait
comme ragout, abime renoncerait à ce que cime lui a légué, l’espoir de s’en sortir, la voûte
ne serait qu’une arcade menaçant ruine, la chaîne n’aurait plus de force, la forêt aurait
perdu une moitié de sa feuille et le pécher de son fruit, l’ame se serait perdue elle-même !»
(NDLR: ça, c’est pas de moi, c’est du journaliste Vincent Manilève).
Aussi tôt fait ! Je n’entendrai donc plus de votre part: ci-gît le bâtonnet gâteux des accents aigus et
graves à jamais réunis.
Bientôt, en août peut-être, nous accroîtrerons âprement notre étude en bûchant le reste des
diacritiques utilisés en français et nous clôturerons avec la cédille».
Mîchel Vîgand
Comité de rédaction
Point commun
Journal d’entreprise d’ISoSL
Intercommunale de Soins Spécialisés de Liège
rue Basse-Wez, 145 à 4020 Liège
Point commun
est membre de l’Association Belge
de la Communication Interne
Rédacteur en chef
Michel Vigand
04 225 87 83
[email protected]
Tirage
3400 exemplaires
Dessins
Benjamin Parent, Jan Wronski
Impression
AZ Print
rue de l’Informatique
4460 Grâce-Hollogne
04 227 83 85
Maria Calderon,
David Collard,
Sabine Déom,
Isabelle Doyen,
Elliott Forment,
Carl Jadot,
Pierre Kabwe,
Isabelle Lavennes,
Albert Leclercq,
Chantal Lemaire,
Antoinette Liébecq,
Jeanine Malchaire,
Emmanuel Pierret,
Bernard Rinaldi,
Annick Vanwelkenhysen,
Juan Miguel Vera y Legasa,
Anne-Marie Virzi,
Joëlle Wauthier,
Chantal Yerna,
Aymeric Zappia.
1
Point commun
Piscines
Les bienfaits de l’eau
Thalasso, thermes, jacuzzi, spa... Il suffit d’aller faire un tour sur
les sites Internet pour voir apparaître une offre de séjours «bienêtre» impressionnants.
L’eau et ses bienfaits nous seraient profitables.
Tiens ! Savez-vous qu’il y a deux piscines au sein d’ISoSL ?
Michel VIGAND
Jonathan Ponsart, Fabrice De Cao, David Paquay, Sylvie Steyns et Stefan Vandenbrouck
devant la piscine du Petit Bourgogne
Au Secteur A, la piscine se situe au sous-sol du Petit Bourgogne près
de la salle de gymnastique.
Le bassin fait 10 mètres sur 5 avec une profondeur constante d’1m50 et
une eau chauffée à 28,5°.
Au Secteur B, la piscine de rééducation se trouve, elle aussi, en
sous-sol, elle est intégrée dans le service de Médecine physique,
Physiothérapie et Revalidation.
Le bassin fait 10 mètres sur 7 et l’eau est chauffée à 33-34°.
Il y a deux profondeurs: 1m20 et 1m40. Ceci pour pouvoir rééduquer
des patients de taille différente.
On y trouve aussi un jacuzzi d’attente, un couloir de marche, un tapis
de marche et 2 vélos aquabike.
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Point commun
au Petit Bourgogne
Les activités thérapeutiques en piscine sont aussi bien accessibles aux
patients du Petit Bourgogne qu’aux patients d’Agora, d’Hillier et de
tout le Secteur A.
Elles sont réalisées par l’équipe des professeurs de gymnastique du
Petit Bourgogne.
Celle-ci est composée de:
• Fabrice De Cao;
• Eric Leclercq;
• David Paquay;
• Jonathan Ponsart;
• Sylvie Steyns;
• Et Stefan Vandenbrouck.
La piscine est ouverte de 9h30 à midi et de 13h30 à 16h00.
Elle reçoit une centaine de patients par semaine.
Certains y viennent même 2 fois par jour.
NATATION
Nage libre ou organisée sur demande et initiation à la natation
avec la présence permanente d’un professeur de gymnastique.
La taille et la profondeur du bassin sont idéales pour pratiquer
la natation.
Les patients qui éprouvent le besoin de pouvoir nager sans risque ou
de profiter d’un bassin de natation sans savoir nager peuvent y venir à
leur convenance.
Celui qui désire apprendre à nager pourra le faire avec l’aide d’un
professeur.
AQUAGYM (avec Fabrice De Cao)
La gymnastique aquatique est adaptée à la condition physique des
patients.
Elle allie gymnastique et détente. Durant l’effort, le contact avec l’eau
crée une sensation de massage sur toute la surface du corps, et ça,
c’est plutôt agréable. Exit donc les sensations de douleur et de lutte
acharnée pendant l’effort.
D’autant plus que, dans l’eau, le corps ne pèse plus qu’un tiers de son
poids !
Et même si la résistance de l’eau oblige les muscles à travailler
davantage pendant l’effort, le «ressenti» est moindre et le corps se
muscle pourtant deux fois plus.
L’aquagym fait travailler tous les muscles et élimine la cellulite !
Elle améliore aussi la circulation sanguine et tonifie le rythme cardiovasculaire tout en véhiculant une réelle sensation d’apaisement.
JEUX DE COOPERATION et WATER-POLO (pour les services
ados Caktus et Cyprès avec Jonathan Ponsart et Stefan
Vandenbrouck pour le water-polo)
La piscine devient aussi bien un lieu de détente qu’un lieu de
défoulement.
Des jeux de coopération et de psychomotricité y sont programmés,
avec petit matériel, en groupe ou en individuel.
Le water-polo est aussi au programme en tant qu’activité défoulante
mais aussi avec le respect de ses règles.
PLONGEE SOUS-MARINE (avec David Paquay pour les
adultes et Stefan Vandenbrouck pour les ados)
Les patients apprennent ici à maîtriser leurs peurs et à gérer
leurs émotions.
Ils travaillent avec tuba, masque et palmes et avec
bouteilles.
Les profs de gym mettent les patients dans des situations où
ils doivent résoudre des exercices de plus en plus compliqués
dans un milieu hostile.
Il y a ici aussi un objectif de resocialisation.
3
Point commun
Les bienfaits de l’eau
au Valdor
Nous avons ici une piscine uniquement réservée à la revalidation et la
rééducation.
Ce sont des kinés qui se mettent à l’eau avec des patients hospitalisés
ou externes.
Thomas Bednar, Alain Gilsonnet, Nancy Van Deyck, Brigitte Oger,
Xavier Hauffroid, Brigitte Penelle et Olivier Bertrand se partagent les
rééducations.
3 kinés à l’eau matin et après-midi. Ils travaillent à la piscine par
demi-journée.
Environ 70 patients sont accueillis par jour.
Contre-indications à l’accès: Incontinence et plaies.
LES SOINS
Ils se font sous prescription d’un physiothérapeute.
On y soigne entre autres: la fibromyalgie, les
traumatismes, l’orthopédie de prothèse de hanche
et de genoux, les fractures du membre inférieur
principalement, les lombalgies et les personnes en
décharge, l’hémiplégie, les problèmes neurologiques...
Le principe d’Archimède permet des rééducations plus ciblées et
aisées.
Le corps est en état d’apesanteur et la température de l’eau favorise la
vasodilatation et la relaxation, la pression de l’eau favorise quant à elle
le drainage.
Le jacuzzi amène la détente en fin de traitement.
Actuellement, vu le succès des soins, le délai de RDV est au maximum
d’une semaine.
Le service a doublé les prises en charge depuis l’ouverture en juin 2014.
Comme c’est la seule piscine de rééducation en ville, elle répond à un
réel besoin de la population.
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Point commun
L’HYGIENE
L’eau étant très chaude, un soin particulier est apporté à l’hygiène et à
la vérification des données bactériologiques.
Une analyse de l’eau est effectuée avant l’entrée à l’eau du premier kiné.
Une autre analyse est réalisée deux fois par jour par le service
technique.
Et une fois par semaine, l’Institut Malvoz vient y prélever des
échantillons.
Les patients doivent prendre une douche avec savon avant l’entrée en
piscine et peuvent également le faire après la sortie du bassin.
LE MATERIEL
Au départ des vestiaires, 2 palans offrent la possibilité de transporter, à la piscine ou au couloir de marche, tout patient qui se déplace
difficilement.
Ils sont aidés par un brancardier lors du déshabillage, du rhabillage
et pendant les déplacements.
Point commun
Et si on parlait un peu de nous ?
Anne-Marie Virzi
Psychologue (hé oui, encore une…), AnneMarie faisait partie des membres du personnel de
l’ancienne IPAL depuis déjà une vingtaine
d’années.
Tout d’abord sur le site Valdor puis sur le site Petit
Bourgogne, elle a, à présent, la grande joie d’avoir
ses quartiers à la Brasserie.
Anne-Marie a des attributions un peu particulières puisque, en compagnie de Danielle Sarto qui
s’occupe plus spécifiquement du secteur A, elle
est une personne ressources en matière non
seulement des formations mais également et
surtout dans l’accompagnement des membres du
personnel qui rencontrent des difficultés dans le
cadre de leurs activités professionnelles ou qui
ont tout simplement des souhaits pour des projets
futurs.
Personne de confiance, elle nous accompagne donc
aussi bien dans la gestion de projets, dans la mise en place d’audits concernant les risques
psycho-sociaux mais également dans la gestion et la médiation des conflits.
La confidentialité est donc un maître-mot dans le cadre de ses attributions.
Anne-Marie a su, au fil de ces années, renforcer une
écoute bienveillante sur les difficultés que peut
rencontrer le personnel afin que notre hiérarchie puisse
éventuellement trouver des solutions concertées.
Elle a donc une mission difficile puisqu’elle est
directement en contact avec la réalité de terrain et,
bien que n’ayant aucun pouvoir hiérarchique, elle est
un soutien direct, un pont entre le vécu de chacun
d’entre-nous et notre direction.
Sous des dehors discrets, Anne-Marie, c’est pourtant
une passionnée.
Passionnée de cuisine tout d’abord, italienne précise-telle. A nous les pâtes, les panacotta et autres polpette
si délicieuses.
Accompagnée de son mari et de ses deux enfants, elle
est également passionnée de rénovation. Leur maison
s’est élevée au gré de leurs envies.
Passionnée également de vacances où brille surtout le
soleil: soleil de Toscane, soleil du Midi.
Passionnée d’art et d’activités manuelles, elle ne désespère pas de se mettre un jour à la poterie ou la sculpture et souhaiterait avoir plus de
temps afin de participer à la vie du journal de façon plus régulière.
Enfin, si une phrase devait la caractériser, ce serait la suivante:
Liberté + responsabilité = bonheur au travail.
Un but en soi qu’elle ne désespère pas de trouver, non seulement pour elle, mais
également pour les autres.
Merci Anne-Marie de faire partie des nôtres, nous ne désespérons pas non plus de te
rencontrer plus souvent.
Isabelle Lavennes
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Point commun
Résidence
Louis Demeuse
Inauguration Secteur A Amour, affection, après
Chlamydia...
rénovation
Sex’Etera
Dans le courant du mois de
mai 2014, M. Frédéric Daerden,
Député-bourgmestre de Herstal
et Mme Maggy Yerna, Présidente
d’ISoSL inauguraient le deuxième
étage de l’aile B de la Résidence
Louis Demeuse.
Deux ans plus tard, ce mardi 10
mai, c’est encore en présence du
Mme Maggy Yerna et M. Frédéric Daerden
Député-bourgmestre et de nomcoupent le ruban inaugural
breuses personnalités de la Ville
de Herstal, de directeurs d’ISoSL,
de représentants du personnel et des résidents que Mme Yerna a procédé à
l’inauguration des différents étages entièrement rénovés de l’aile A de notre
Résidence.
Dans son discours d’accueil, Mme Yerna a brièvement rappelé la cession de la
Résidence et retracé le long et lent cheminement des travaux de rénovation,
initiés par le CPAS de Herstal et enfin finalisés sous le management d’ISoSL.
M. Daerden a, lui, réaffirmé l’attachement de la Ville de Herstal à « sa » maison
de repos et a assuré Mme Yerna de son soutien face aux projets de la Ministre
de la Santé. Il a rappelé les engagements du CPAS et évoqué la collaboration
de la Ville à la réalisation des objectifs d’ISoSL. Illustrant son propos, c’est
sous les applaudissements que notre Député-bourgmestre a annoncé la
réfection des voiries menant à la Résidence par les services de la Ville, et ce,
dès la rentrée.
Après cette partie protocolaire, tout un chacun a pu découvrir les nouveaux
locaux lors d’une visite guidée par la directrice de la maison, Mme Thielen.
Si la capacité d’accueil reste identique, les résidents seront
dorénavant hébergés dans des conditions de confort
moderne.
Le verre de l’amitié et un buffet de tartes et de délicieux
sandwichs préparés par le personnel de cuisine furent offerts
aux nombreux participants pour conclure cette matinée.
Albert Leclercq
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Point commun
Mme Barbara Thielen, Directrice du site, fait découvrir
les nouvelles chambres
Cindy Novello, René Antognini
& Isabelle Haulotte
Cette année encore, le bus rose et jaune de
Sex’Etera est venu prendre place sur nos
parkings durant 3 jours (1 sur le
site Agora et 2 sur le site Petit
Bourgogne).
Ce bus qui sillonne nos routes
depuis 2002 fait partie d’un projet initié par le Service provincial de
la Promotion de la Santé.
Tout au long de ces 3 jours, de petits groupes de patients ont
pu ainsi profiter de cette boîte à outil sur roue pour aborder des
grands thèmes comme: la vie affective, la sexualité et les maladies
sexuellement transmissibles (MST) au travers de 3 modules.
Ces modules se voulaient interactifs, ceci permettait aux patients
de participer activement aux séances par le biais d’animations
spécifiques.
Chaque groupe à sa sortie faisait preuve d’une certaine
satisfaction d’avoir appris des choses dont il n’avait pas
connaissance.
On peut dès lors parler d’objectif atteint.
Pour plus d’infos, consultez le site :
www.provincedeliege.be
Juan-Miguel Vera y Legasa
Interview
Ma conception du bien-être au travail
Lors de la journée «bien-être» au travail organisée pour
les cadres du Petit Bourgogne, Madame Ginette Houssonloge,
infirmière en chef à Louis Hillier, est intervenue afin de
présenter sa réflexion par rapport à la thématique du jour.
Nous l’avons interviewée en exclusivité pour qu’elle nous
explique sa conception du bien-être au travail.
Emmanuel Pierret
Point commun: Madame Houssonloge, pouvez-vous vous
présenter en tant qu’infirmière ?
Ginette Houssonloge: J’ai commencé à travailler à l’hôpital
Volière en tant qu’infirmière graduée psychiatrique en 1979.
En 1993, je suis devenue responsable de feu le RPA, puis d’Oasis
et actuellement au Centre Louis Hillier.
P.c.: Qu’avez-vous voulu faire passer lors de cette journée ?
G.H.: J’ai voulu attirer l’attention sur le fait que le bien-être
au travail était lié à notre savoir-être. Mais pour cela il faut
connaitre ses valeurs personnelles et professionnelles. Pas vos
qualités, mais bien vos valeurs qui déterminent votre identité
personnelle et qui dictent vos actions.
Déterminez vos valeurs, ce n’est pas bien difficile, mais ce qui
l’est moins, c’est de les respecter.
Respecter ses valeurs c’est également bien se connaitre et avoir
une solide confiance en soi. Il ne s’agit pas de subir les valeurs
des autres au détriment des nôtres.
P.c.: Et vous, quelles sont vos valeurs ?
G.H.: Mes valeurs personnelles sont la liberté de choix, de
penser, de décider. Je veux également la justice et donc je refuse
que l’on abuse de la faiblesse des autres. L’amitié est essentielle
également. Très utile pour le travail en équipe.
Mes valeurs professionnelles sont la persévérance, la détermination et l’esprit d’équipe.
P.c.: Qu’est-ce que les personnes doivent retenir ?
G.H.: Elles devront identifier leurs valeurs et ensuite les
prioriser. Celles-ci guideront ensuite leurs actes, leurs paroles et
faciliteront leurs choix.
P.c.: Après l’individu, vous avez voulu parler des équipes.
G.H.: En effet, j’ai voulu montrer que la «culture équipe» permet
de les rendre unique.
Cette culture permet la cohésion d’une équipe pluridisciplinaire. Celle-ci travaille dès lors dans un but commun grâce à un
projet. Mais ce processus est long et doit passer par l’infirmière
en chef, par le médecin et la direction. Et avec leur pleine
implication.
C’est un facteur de performance et de présentéisme.
P.c.: Vous avez néanmoins sorti deux personnes de l’équipe
pour ce processus.
G.H.: Oui et j’ai appelé cela le tandem: l’infirmière en chef et le
médecin du service.
Leur collaboration et la qualité de celle-ci a un impact
primordial sur la qualité des soins et le bien-être au travail. Dans
le modèle hiérarchique, l’infirmière en chef est subordonnée
à l’autorité médicale et a donc une autonomie limitée. C’est
pour cela que je revendique le modèle complémentaire où
médecin et infirmière en chef participent ensemble à la prise
de décisions et partagent les responsabilités. Je suis persuadée
que ce type de collaboration participe à un meilleur bien-être au
travail car il induit le respect du rôle de chacun
P.c.: Vous avez néanmoins différencié infirmière en chef et chef
de service
G.H.: Oui, j’insiste sur l’importance de cette fonction d’infirmier
chef de service.
Ce chef a un rôle hiérarchique de supervision et d’encadrement
des infirmiers en chef qui je vous le rappelle sont les derniers
cadres de terrain. Et il est important que ces cadres s’impliquent
dans les réflexions menées par les équipes de leurs unités. Cela
afin d’améliorer ce bien-être au travail tant recherché.
P.c.: Et le travail au sein d’une unité de soins ?
G.H.: C’est penser la rencontre entre des compétences, des
dispositions, des volontés, des besoins, des aspirations
collectives.
P.c.: Que faites vous avec ce travail ?
G.H.: Vous devez lui donner du sens. Trop souvent il y a absence
de réflexion sur le sens même de ce que l’on fait. Il faut travailler
avec les compétences professionnelles des agents, pas avec des
diplômes. Mais il sera important que le chef les aide à trouver
leurs ressources, leurs compétences et leur offre un accompagnement personnalisé. Formez-les, valorisez-les! Autrement dit,
portez-les vers le haut!
P.c.: Et l’absentéisme ?
G.H.: En effet, c’est en augmentation. Vous savez, on nous fait
faire des formations pour bien accueillir l’agent à son retour
de maladie, mais je pense qu’il est d’abord nécessaire de se
demander pourquoi il est parti en maladie !
P.c.: Et dans votre équipe ?
G.H.: Je n’ai pas d’absentéisme dans mon équipe (6 jours de
remplacement EMRI sur un an).
P.c.: Comment pouvez-vous l’expliquer ?
G.H.: Je vois deux raisons : nous avons une culture d’équipe qui
veut que l’on s’absente uniquement quand c’est impossible de
faire autrement. Ce qui aide aussi, c’est qu’il règne un climat de
bienveillance entre chaque agent.
La deuxième raison est que je suis convaincue que le PEP
appartient à l’équipe. D’ailleurs je n’ai pas de cahier de
desiderata et je suis disponible pour chaque demande de l’agent
et je la gère directement avec lui.
P.c.: Comment définir un bon infirmier chef ?
G.H.: Pour moi, c’est celui qui sait faire preuve d’humilité, de
bienveillance, de confiance et de courage.
Il accompagne ses agents, il génère de l’enthousiasme et les fait
grandir.
P.c.: Une ébauche de missions ?
G.H.: Il crée un contexte motivant; il gère les conflits, il ne les crée
pas !
Il fuira la routine et veillera à maintenir un niveau de
performance car rien n’est acquis.
Il n’hésite pas à manier l’humour (et pas l’ironie !)
P.c.: En conclusion ?
G.H.: Faites les choses sérieusement mais sans vous prendre au
sérieux !
Et si vous vous prenez au sérieux n’oubliez pas d’en rire !
J’aimerais aussi qu’on cesse de faire de la gestion des ressources
humaines et qu’on fasse enfin de la gestion humaine des
ressources !
7
Point commun
Valdor
Parking pour les membres du personnel
Accès au bâtiment :
Nous vous demandons d’utiliser la
porte vitrée située à côté des ascenseurs panoramiques pour pénétrer
dans le bâtiment, l’accès par le quai
de déchargement étant strictement
interdit pour des raisons de sécurité.
Parking visiteurs :
La totalité du parking accessible par
la rue Basse-Wez (près de l’entrée
principale) est exclusivement réservée aux visiteurs et aux patients de la
policlinique.
Le ticket reçu à la barrière de l’entrée
du parking visiteurs devra être validé
auprès des agents de l’accueil, du
guichet de la policlinique, de l’hôpital
de jour, de la radiologie ou du service
de médecine physique.
Bernard Rinaldi
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Point commun
Depuis ce mardi 17 mai, un parking réservé aux membres
du personnel (toutes pauses confondues) est accessible sur
le site du Valdor.
L’accès se fait par le n° 9 de la rue des Prébendiers.
L’ouverture de la barrière d’entrée est commandée par votre
badge personnel et pour la sortie, via la rue des Prébendiers également, la barrière se lèvera automatiquement à
l’approche de votre véhicule.
Un espace spécifique pour les vélos et les motos est
également disponible sur le site.
Une zone réservée et contrôlée est accessible aux médecins
et aux véhicules autorisés sur l’arrière du parking.
Secteur A
.
Ce mec fait un tabac !
Aujourd’hui, nous rencontrons Thierry HAZARD, psychologue au Genêts 31
et 32 sur le site Petit-Bourgogne pour l’atelier « STOP TABAC ».
Le taux de réussite est très faible, certains ne vont
pas au bout du module. Tandis que d’autres sont
abstinents sur une période de 1 à 2 mois.
Point commun: Comment est née cette activité ?
Dans tous les cas, je propose au patient un
Thierry Hazard: J’ai travaillé de nombreuses années au service « START » et
entretien qui vise à essayer de comprendre les
la prise en charge de la toxicomanie m’a apporté beaucoup d’expériences.
raisons de cette baisse de motivation.
Notamment sur le fait que le tabagisme est un nœud de départ vers d’autres
Cela est très positif et lui permet de faire
types de consommations (drogues, alcool,…).
l’expérience de l’abstinence.
J’ai pu constater que même si la cigarette n’induit pas de symptômes dit
A long terme, on peut projeter un changement plus
«psychotropes» et ne débouche pas sur une modification de comportefort (arrêt du tabac) pour autant que le patient mette
ment, son usage est largement utilisé.
toutes ses expériences à profit pour arriver à son
De ce constat et sur base de ma motivation personnelle, je voulais créer
objectif.
quelque chose par rapport à cela.
P.c. : Ces derniers temps ont été riches en événements sur la thématique
P.c.: Comment s’organise le groupe ?
du tabagisme. On a beaucoup entendu parler de la cigarette électroT.H.: Le module s’étend sur 5 semaines à
nique. Vous constatez un changement de
raison de 6 séances au total.
votre point de vue ?
« On vise l’arrêt tabagique par la prise de
Je prends en charge un groupe de 7 à 8
T.H.: Nous avons en effet des patients qui
conscience de l’acte de fumer et sa diminution » utilisent ce moyen au sein du groupe et du
personnes. Etant sur un plateau de deux
services, je m’ occupe de tous les patients de
service. Nous n’avons pas assez de recul
ces unités.
actuellement pour évaluer de manière objective
Il peut également arriver que j’aie un patient d’un autre plateau. Il faut
son impact sur l’arrêt du tabagisme auprès des patients hospitalisés.
savoir que ce groupe n’est pas obligatoire, il n’y a pas de prescription
En revanche, afin de coller au mieux à la réalité du terrain, j’envisage de
médicale pour y participer.
mettre à jour l’outil de formation afin d’y inclure ces nouveaux moyens
Ce module, comme beaucoup, n’est pas scindé en partie théorique et
d’arrêt du tabac.
pratique. En effet, nous abordons les deux aspects en même temps tout au
P.c. : Que pensez-vous de cette première bourse aux activités ?
long du module.
T.H: Très positif, avoir l’occasion de pouvoir montrer
P.c.: Avez-vous suivi une formation ?
aux autres ce qui est mis en place pour les patients
T.H.: Tout à fait, j’ai suivi une formation d’un an
était une expérience riche et éprouvante.
en tabacologie et j’ai pris pour base de cette
En effet, une autre salle présentait un groupe
formation un outil créé par le Dr Figiel.
auquel je participe également. De ce fait, je me suis
P.c.: Quel retour avez-vous au niveau des
coupé en deux durant cette journée (rires).
patients ?
Juan-Miguel Vera y Legasa
T.H.: La participation est sur base volontaire.
Nous constatons depuis 2015, une augmentation
de la demande de patients qui éprouvent l’envie
d’arrêter de fumer.
9
Point commun
Secteur A
Rencontre
à thème
Le 26 avril dernier s’est
déroulée sur le site du
Petit-Bourgogne, une rencontre à thème « Oser l’arrêt
du tabac en hôpital psychiatrique ? Quelles pistes ? Une
opportunité de prise en Pierre Bartsch devant un auditoire attentif
charge globale. »
Le temps d’une matinée, nos deux orateurs ont choisi la manière interactive
pour répondre au mieux aux attentes des participants concernant la prise
en charge du tabagisme dans un hôpital psychiatrique
Jacques DUMONT, tabacologue, nous a gratifié de ses expériences de
terrain notamment sur la prise en charge des patients psychotiques
désireux d’arrêter de fumer.
De manière très dynamique, les participants
ont été invités à différencier un entretien
motivationnel d’un entretien classique au
travers d’une vidéo.
Pierre BARTSCH, tabacologue et professeur
de pneumologie à l’ULg a centré son exposé sur les méthodes permettant de réduire /
arrêter le tabac. Parmi celles-ci, la cigarette
électronique fut largement abordée.
En s’appuyant sur des études médicales
anglaises, le professeur a tenu à rassurer les
participants en démontrant que la cigarette
électronique est la méthode la plus utilisée et
le moyen le plus efficace pour arrêter de fumer.
10
Point commun
Pause santé,
pause sans T
La « journée mondiale sans
tabac » a été fêtée ce 1er juin par
une pause santé…sans T.
Cette
année,
suite
aux
travaux effectués sur la dalle du
Petit Bourgogne, l’activité a été centrée sur une ballade d’1h30 sur les sites
des deux hôpitaux psychiatriques.
Chaque unité a sensibilisé ses patients pour cette activité en leur présentant
une carte reprenant l’itinéraire de la balade.
Sur le site du Petit Bourgogne, l’itinéraire reprenait des sites historiques
permettant la découverte du quartier de Cointe.
Tandis que sur le site Agora, les participants ont pu découvrir ou redécouvrir
le quartier Pierreuse et remonter vers la Citadelle.
Le temps pluvieux n’a pas eu raison des plus courageux (60 personnes sur le
Site PB et 30 pour Agora).
Au terme de la balade, un en-cas était prévu et une distribution d’eau, de
fruits et de petits pains au chocolat a eu lieu.
Une implication des équipes soignantes et paramédicales ont permis, une
fois de plus, la réussite de cette
matinée avec, en soutien, les
diététiciennes, le Département
hôtelier et le coursier, tous très
impliqués dans cette journée
d’action.
Juan-Miguel Vera y Legasa
Juan-Miguel Vera y Legasa
Thierry Hazard avec Jacques Dumont
Anne Descamps, Djamel Messafri, Daniela Bartolai
et une participante
Pèrî
Quand la nature
s’invite à l’hôpital
Ce 3 mai 2016, la première «Troc plantes»
d’ISoSL s’est déroulée sur le site Pèrî.
Cette bourse aux plantes avait pour objectif
l’échange de plantes, de semis, de boutures
et de petit matériel de jardinage…
Tout a commencé avec le projet «convivialité» pour lequel diverses activités étaient
organisées par les éducatrices tout au long
de l’année au sein de la cafétéria.
Ces animations avaient pour objectifs de
créer un espace convivial de rencontre et
d’échange dans un cadre «non hospitalier», pour le personnel, les patients et leurs
familles.
Elles visaient le plaisir, la socialisation et
la valorisation par la mise en lumière des
réalisations des patients lors de différents
ateliers et travaillaient l’orientation temporelle.
Dans le cadre de ce projet, en 2015, les
éducatrices avaient repris l’ancien potager
des ergos laissé à l’abandon, pour y créer un
espace fleuri où se côtoient plantes, maison
à insectes, nichoirs et déco de jardin…
Ce petit coin de verdure, dédié à la détente
et au bien-être, est un espace nature au sein
de l’hôpital !
Aménager un jardin coûte cher et
nous avons tous chez nous des plantes
ou des bulbes en trop !
Alors, pourquoi ne pas faire une
brocante de plantes ?
Cela permet, à tout un chacun, même
avec des petits moyens, d’embellir son
potager ou son jardin.
L’idée de cet échange de plantes va
germer. Avec le soutien de notre
direction et grâce aux conseils de
collègues expérimentés, cette idée un
peu folle va voir le jour.
Très vite, des collègues intéressés par
le projet se sont proposés pour faire des
semis et tenir un stand.
Les connaissances des uns et des autres ont
permis divers contacts; c’est ainsi que «Les
jardins partagés d’Oreye», «La ferme de la
Vache», «Cycle en terre», «Swaece» vont
devenir des partenaires.
Durant plusieurs semaines, lors de l’atelier
créatif, nous avons réalisé, avec les patients,
des semis de fleurs, de plantes aromatiques,
de potirons, de butternuts et de plantes
d’intérieur. Nous avons décoré des nichoirs,
des pots, des palettes… afin
d’agrémenter le jardin.
Il nous a fallu user de patience
et d’astuces pour que ces
boutures poussent…
Est-ce le coup de chance du
débutant, la main verte ou les
bons conseils de nos différents
partenaires ?
Quoi qu’il en soit le jour «J», notre stand était
garni de végétation et la cafétéria ressemblait plus à une serre qu’à un restaurant.
Tous nos partenaires se sont donnés beaucoup de mal et ont apporté une multitude
de plantes, de conseils, de trucs et d’astuces.
Durant tout l’après-midi, des membres du
personnel et des collègues de maison de
repos sont venus avec des résidents.
Patients et familles vont ainsi se succéder,
cherchant à trouver des graines, la plante
rare, le conseil utile à la bonne pratique
du jardinage ou simplement passer un bon
moment !
Tous sont ressortis de la cafétéria avec le
sourire aux lèvres et les bras bien chargés.
Reste maintenant à chacun le plaisir de
replanter ses trouvailles pour agrémenter son potager, son parterre
ou son appui de fenêtre…
Que ce soit au niveau de nos
partenaires ou des personnes
venues échanger, tous étaient ravis
de cette initiative et prêt à rééditer
l’expérience en 2017 !
Alors si l’aventure vous tente,
préparez vos boutures et semis dès
le mois de mai et donnons-nous
rendez-vous fin du mois de mai
2017 pour la deuxième édition de
notre «Troc plantes».
Nous voudrions vivement remercier toutes
les personnes qui nous ont aidées dans la
préparation, l’organisation et la réalisation
de cette merveilleuse journée ainsi que nos
patients qui, comme à chaque fois, nous
font confiance et ont œuvré pour que cette
journée, qui leur était dédiée, soit pleine de
surprises.
Pour vous donner l’envie d’être curieux,
voici quelques photos de cette journée
qui illustrent bien l’état d’esprit de notre
première «Troc Plantes».
Fanny Marissal & Joëlle Wauthier,
les éducatrices
11
Point commun
Valdor
Journée Santé de la femme
Une vue d’ensemble du hall du Valdor
Véronique Henry et Myriam Gilot à l’accueil
12
Point commun
Ce samedi 28 mai nous avons eu le plaisir d’accueillir 235 dames soucieuses
de leur santé, dans le cadre de la journée de la santé de la femme organisée
au Valdor.
Un public concerné qui a visité avec beaucoup d’intérêt les 15 animations mises sur
pied par un personnel particulièrement motivé et attentionné.
Les questions furent nombreuses et les entretiens se sont déroulés dans une ambiance
décontractée et conviviale.
Les visites du service de médecine physique et d’hydrothérapie ont été grandement
appréciées par nos visiteurs et de nombreux examens ont été réalisés, comme des
électrocardiogrammes (53), des ostéodensitométries (28) ou des épreuves fonctionnelles respiratoires.
A noter la participation, cette année, de l’association Inforfemmes, un centre de
planning familial de Liège, qui proposait des animations interactives et des pistes de
réflexion pour renforcer le sentiment de confiance et d’estime de soi.
L’équipe de RTC nous a rejoint sur le temps de midi pour réaliser un reportage qui a été
diffusé dans le journal du soir et que je vous invite à découvrir sur leur site Internet ou
directement via le lien
http://www.rtc.be/reportages/262-general/1471199-sante-des-femmes-le-valdor-en-parle
129 évaluations ont été recueillies par notre équipe d’accueil
coachée par Jeanne Michel. Les collègues présents qui ont accueilli nos
visiteurs peuvent être fiers de leur travail et du résultat puisque la totalité des évaluations sont rentrées positives et même très positives pour
plus de 75% des visiteurs interrogées.
Un constat intéressant également: une fraction non négligeable des
personnes présentes ont appris l’existence de notre organisation via
des membres du personnel ISoSL.
Merci à vous pour cette promotion !
Merci aussi à toutes les personnes présentes ce 28 mai et aux équipes
qui ont œuvré à la mise sur pied et à la réussite de cet événement.
Carl Jadot
Pour leur première participation: le stand du Maintien à domicile
avec Audrey Skevée & Alexandra Michalas
Le Dr Marie-Paule Lecart
en conversation
avec une visiteuse
Solidarité
Pour Lilou
Afin de venir en aide à Lilou et sa famille, un formidable élan de solidarité
s’est mis en place à ISoSL.
Notre club de jogging a organisé (avec le soutien et l’aide de notre
direction) un «Grand relais de solidarité».
Cela s’est concrétisé par une course relais de 230 km reliant les différents
sites de notre Intercommunale.
Vous avez été très nombreux à répondre présent, soit lors du relais, soit
lors du repas de clôture de cet événement.
L’arrivée au Valdor
D’autres manifestations de soutien ont aussi été organisées : vente de
stylos, de gaufres, de pots de confiture.
L’équipe des Gaufff !
La liste des personnes impliquées dans ces projets est très longue et il est
inutile de vouloir les citer : la récompense est le succès rencontré !
Grâce à eux, grâce à vous, nous avons pu fournir une aide à Lilou et sa
famille par rapport aux frais qu’engendre une telle maladie.
Si le but premier a été atteint, le succès de l’entreprise ne se limite pas à
cela.
C’est aussi un réconfort face aux difficultés du monde actuel, des
moments d’amitié et de convivialité, sans oublier… une victoire face à
un réel défi sportif.
Merci encore pour votre solidarité, votre soutien, votre mobilisation !
La découverte
du chèque
Pierre Mignolet
Sur chaque site, la collecte des dons
13
Point commun
ISoSL
Un peu de tout...
Les MR/MRS
Fête de la musique
à l’Accueil de Lierneux
L’ASBL Réflexions, Similes et Psytoyens, en
collaboration avec ISoSL et la Ville de Liège organisent,
dans le cadre des journées de la santé mentale 2016, une
nouvelle édition du PsyRun, La course qui va faire
parler d’ELLE.
Déjà organisée en 2014 et 2015, cette manifestation
vise la déstigmatisation des personnes atteintes de
problématiques de santé mentale en organisant une
symbolique course à pieds (seul ou en équipe).
Une distance de 10 km sera ainsi parcourue en
individuel ou par des équipes composées de 2, 5 ou
10 personnes usagères de service de santé mentale,
de leurs proches, des travailleurs en santé mentale ou
encore du grand public.
Plus d’informations rapidement mais notez déjà la
date du 8 octobre dans votre agenda !
Cela vous laisse quelques mois pour vous
remettre en forme !
Elliott Forment
14
Point commun
L’actualité sociale et un agenda chargé
nous a empêché de continuer dans ce
numéro la présentation des différents
membres du personnel de nos MR/MRS.
Celle-ci reprendra dès la rentrée.
La Rédac
Suite à la grève du 24 juin, la Fête de la
Musique à destination des agents et
compagnes/compagnons se déroulera le
vendredi 23 septembre 2016 en soirée à la salle
«Le Vicinal» à Lierneux.
Au programme :
Mad Souls / Stern Trio / Animation musicale.
Retenez la date !
Le service communication
Spectacle de danses
à Louis Demeuse
A l’initiative de Trinidad Lecloux, secrétaire et de Halima
Salouh, infirmière en chef, la Résidence Louis Demeuse
a organisé un après-midi sous le signe de la danse avec
une démonstration de flamenco et de danses de salon.
Ce sont environ 75 personnes qui se sont retrouvées à la salle
à manger de la Résidence.
Après une heure de spectacle, les résidents et les
familles ont pu déguster un goûter préparé par les soins du
personnel, tous services confondus.
Ils garderont en mémoire ces moments de plaisir et de
convivialité.
Après
ce
rendez-vous
réussi, l’équipe d’animation a
organisé fin juin deux journées
orientales où le personnel a pu
également participer.
Quoi de mieux que des moments
de partage pour créer des liens tant
entre les membres du personnel
qu’avec les résidents ?
Quelques moments de détente
pour entretenir la motivation.
Cynthia et Virginie
ISoSL
Les uns
et les autres...
Les embauches
LE CHEMIN DE LONCIN
Nadine MBENDA LOTTIN, aide-soignante
Dominique NYEMBO, infirmière
LEONARDO DA VINCI
Sharon BESANGER, aide-cuisinière
Félicia LEMAÎTRE, infirmière
Nadège DOOMS, aide-soignante
LE PETIT BOURGOGNE
ACCOLADE
Julie ESSABRI, employée d’administration
Victoria BARATE, employée d’administration Caroline DEGEY, assistante sociale
Michaël DIAMANTE, vigile
LE PÈRÎ
Arthur CORRION, infirmier
Léandre MAUNIER, infirmier
Wassila EL ABBASSI, infirmière
Irène-Marie HENSCHEN, psychologue
Aurélie DEPIREUX, logopède
Les retraites
LOUIS DEMEUSE
Guy BECKER, ouvrier technique
Sabine DUMST, infirmière
Nada ELIAZAR, ouvrière
Duangjai RATANAHUANG, aide-soignante
L’ACCUEIL
Jérôme CORNET, ouvrier
Christophe WAXWEILER, ouvrier
Samuel GENGOUX, ouvrier
Iwona KOSCIELNA, ouvrière
LE VALDOR
Laurie GIORDANO, assistante sociale
Rada VASHENKO, employée d’administration
LE CHEMIN DE LONCIN
Jean LOISEAU, le 19 mai
LE PETIT BOURGOGNE
Daniel VERNANT, le 1er juillet
Michèle ROBA, le 1er août
LE PÈRÎ
Bernadette PIRLOT, le 1er mai
LES TROIS ROIS
Maddy LERUTH, le 30 juin
LES SAULES
Bircan KILIÇ, aide-soignante
LOUIS DEMEUSE
Albert LECLERCQ, le 1er juin
Marie CRATZBORN, le 1er juin
Eveline MARCHAL, le 1er juillet
LES TROIS ROIS
Christine THSILANDA M’BUYI, aide-soignante
Fatiha BEN LAHOUCINE, infirmière
LES ORCHIDEES
Mireille CHAINEUX, le 29 février
Marie-France HERVELLE, le 30 avril
LE TILLEUL D’EDOUARD
Euphrasie KOUADIO, ouvrière
L’ACCUEIL
Cécile MONFORT, le 1er mai
Marie-Dyna MARECHAL, le 1er mai
Bernard DOR, le 1er juin
La Belgique, terre
d’immigration
et d’émigration
Organisée en collaboration avec l’association «Les ceux de chez nous»
(une organisation de liégeois, retraités pour la plupart, qui organise
des rencontres culturelles et festives), la conférence du Professeur
Jean-Michel Lafleur a réuni une bonne septantaine de participants
sur le site Valdor.
Directeur adjoint du CEDEM et Chercheur qualifié du FRS-FNRS,
il est, en outre, Maître de conférence à l’Institut des Sciences
Humaines et Sociales de l’Université de Liège où il donne
différents cours sur les migrations, le transnationalisme et le
développement.
Alors que l’actualité nous rappelle que l’Europe fait face à de
nouveaux flux migratoires, on oublie trop souvent que la Belgique,
elle aussi, a été et est toujours un pays d’émigration.
Près d’un demi-million de Belges vivent aujourd’hui à l’étranger.
L’expérience de ces émigrés belges présente un certain nombre de
similitudes et de différences avec celle des étrangers arrivant dans
notre pays ces dernières années.
La confrontation de ces différentes expériences permet de comprendre qu’au 21ème siècle, les
dynamiques migratoires sont souvent plus complexes qu’on veut bien le penser.
Il pose un regard scientifique sur ces phénomènes, à l’écart de toute interprétation politique
et bat en brèche toute une série de clichés sans langue de bois.
Un discours auquel nous ne sommes pas très habitués… Et qui plus est, accessible à tout
public.
Cet éclairage particulier a suscité énormément d’intérêt dans la salle et les questions furent
nombreuses. Questions auxquelles notre orateur du jour a pris la peine de répondre en toute gentillesse.
Si vous souhaitez découvrir vous aussi notre orateur du jour, vous pouvez utiliser le lien suivant vers une de ses
interviews :
https://www.ulg.ac.be/cms/c_5459202/fr/pause-cafe-
AGORA
avec-jean-michel-lafleur-le-lungo
In memoriam
Laetitia LEETEN, le 26 mai
Laurent L’HOEST, le 10 juin
Carl Jadot
ACCOLADE
Fanny DELBOUILLE, le 4 avril
15
Point commun
Si Fafchamps
m’était conté
L’heure des doutes...
Trois meurtres à Fafchamps et une enquête
qui piétinne.
De quoi mettre tout un monde en émoi...
Si l’assassin avait voulu mettre
le boxon, il ne s’y serait pas
pris différemment !
Trois
meurtres;
peu
d’indices; des cadavres
inconnus au bataillon; un
légume, une fleur et un fruit
bien mis en évidence... Il n’y
avait pas photo: l’assassin
savait mettre en scène ses
crimes.
Le doute commençait à
poindre dans l’esprit du
Commissaire
Liégeois.
Allait-il savoir tout gérer?
Ne devait-il pas demander des renforts malgré
l’aide d’Antoine ? Et s’il
échouait, deviendrait-il la risée de la Police
0
n série
Un tueur e
à Liège ?
été
e corps a
Un troisièm à Fafchamps.
hier
is
découvert
ien de breb
C’est le gardle corps. C’est
vé
et il
qui a trou
en
d’âge moy
er,
un homme
verg
le
dans
était couché chée comme
tran
la gorge
s.
es meurtre
pour les autr commence a
ion
La populat
sortir.
et craint de
avoir peur
16
liégeoise ?
Deux éléments inattendus lui mettaient une pression
supplémentaire.
Devant lui étaient posés La Meuse, la Wallonie et la
Gazette de Liège. Des titres énormes barraient leurs
premières pages: « Un tueur en série à Liège »,
« Fafchamps baigne dans le sang », « Trois meurtres en
trois jours… Quand cela va-t-il s’arrêter ? ». Mais pire,
c’était le sous-titre « Mais que fait donc la Police ? ».
Et pour couronner le tout, son téléphone avait sonné
ce matin aux premières heures; c’était le Bourgmestre
Auguste Buisseret qui s’inquiétait de la répercussion
qu’allait avoir cette affaire sur l’image de la Ville et sur
son habileté à gérer cette crise embêtante… Il fallait la
résoudre dans les plus brefs délais… Une arrestation
imminente serait la bienvenue…
Point commun
Fafchamp
s baigne
1960
Raymond Liégeois et Antoine Binet n’avaient pas
attendu ces soubresauts politico-journalistiques pour
avancer dans leur enquête.
Le soir du troisième meurtre, le fils Casterman était arrivé
menotté par une porte dérobée à la Violette.
Le garçon d’une petite vingtaine d’années, belle gueule,
une banane comme Elvis sur le crâne, jeans et blouson
de cuir noir, ne semblait pas plus étonné que ça de se
retrouver dans l’antre des forces de l’ordre; il s’affala sur
la chaise de la petite salle d’interrogatoire et prit l’air
buté qui allait avec son personnage de rocker.
Et l’interrogatoire avait commencé.
Liégeois jouait le rôle du méchant et harcelait le garçon
de questions directes et incisives : «On t’a vu à Fafchamps
la nuit dernière, qu’est-ce que t’y faisais ? Pourquoi as-tu
tué cette femme ? Et les deux autres, pourquoi les as-tu
égorgés? Réponds sinon je t’envoie direct à Saint
Léonard…»
Binet prenait le relais quand Liégeois sortait de la pièce.
« Ecoute gamin, j’ai presque ton âge et je trouve que le
commissaire exagère. Si tu as quelque chose à me dire,
vas-y sans tracas, je peux l’empêcher de te frapper mais
je sens qu’il s’énerve… Mais vite, hein, parce que Liégeois,
quand il sort de ses gonds, il perd ses moyens et encore
aujourd’hui t’as de la chance, il n’a pas bu..! »
Plusieurs heures et plusieurs va-et-vient avaient été
nécessaires avant que le jeune Hubert ne craque et
n’avoue…
Il était bien à Fafchamps la nuit du second meurtre mais
il n’avait rien à voir avec ça. «En fait, en réalité… mais vous
n’en parlerez pas s’il-vous-plait… parce que j’aurais des
ennuis…
Et puis la petite
Dumont, si ses
parents
l’apprenaient…
HORREUR !
dans le s
ang !
C’est des bourgeois, ils vont à la
messe et tout ça... et en plus c’est
des clients à mon père...»
Il était amoureux de la petite
Marie-France qui habitait
dans une belle maison sur
les hauteurs de Pierreuse et
de temps en temps, quand
la famille Dumont était
dans les bras de Morphée, il
allait lancer des cailloux à la fenêtre de sa belle,
escaladait les branches d’un vieux chêne «et, et... enfin vous
savez bien Commissaire...»
Après une enquête très discrète dans le voisinage, une vieille
dame habitant en face et qui souffrait d’insomnie et de
curiosité aiguë confirma les rendez-vous galants des deux
jeunes gens.
Encore une piste qui ne menait à rien...
Mais bon dieu, qu’y avait-il de commun entre ces trois crimes?
Le mode opératoire bien sûr et... Le poireau, la rose et la
pomme... On aurait dit un conte pour enfant ou une fable...
Restait le journal intime, le Commissaire y avait jeté un oeil.
A première vue, des histoires de gamins, des anecdotes sur des
profs, rien de bien intéressant... Sauf que la seconde partie était
rédigée en flamand; et ça, ça lui posait un immense problème;
il n’avait jamais pu aligner quelques phrases dans cette langue.
Après avoir fait un petit somme dans le fauteuil du bureau et
s’être rafraîchi le visage dans les toilettes, Liégeois téléphona
au commissariat central d’Anvers.
« Allo, ja ! »
« Rik, Commissaire Rik Kellens ? Ici Raymond Liégeois »
« Verdom Raymond ! Tu vis toujours ? Le dernière fois, c’était à le
fin de la guerre quand on a fait péter le train des boches à
Hasselt… »
« Rik, content de t’entendre. J’ai besoin de ton aide en
urgence. Il faut que j’aille enquêter à Hoboken et je ne parle
pas flamand. Si je prends le train de 10 heures, sais-tu venir me
3 meurtres en 3 jo
urs chercher à la gare centrale ? »
Quand cela va-t-il
À suivre.
Jeanine Malchaire & Michel Vigand
s’arrêter ?
Que fait la police
?
Que d’art !
« COLLE & CO»
Comme chaque an
né
dessin/peinture de e au théâtre de la Courte Echelle
, le
s Cèdres et des Ch
armilles ont pris pl s œuvres de l’atelier
tout le mois de m
ai.
ace sur ses murs
durant
Cette année nous
avons exploré la pe
inture à la colle su
Chouette expérie
nce qui a agrandit
r
notre panel de tech grands et petits formats.
nos moyens d’exp
niques artistiques
ression...
et donc
Les grands format
s ét
Nous allons contin aient collectifs et les plus petits étaie
uer nos sympathiq
ues petites explor nt individuels.
A la prochaine...»
ations.
Nadine Brouir,
animatrice de l’ate
lier dessin/peintur
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DESIGMATISAT
ROTONDE DES CION A LA
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Petit changemen
t à la Rotonde de
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Cèdres pour le
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de cette année: rcours d’Artistes
mixte d’artistes de une exposition
artistes-résidents. Cointe avec des
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C’est avec fébrilit
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que les artistes-rés
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et des Charmille ents des Cèdres
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peinture) ont expo (atelier dessin/
sé leurs œuvres su
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Mocci et Petitjean
(artistes de Cointe les murs et les cimaises de la Roto
nde avec les œuv
).
Rencontre de « l’in
res de Mesdames
térieur et de l’extér
ieur»...
Passés les petites
appréhensions co
m
échange humain
qu’artistique et da munes, l’exposition a pris la tour
nure d’une belle
ns une ambiance
Cette exposition fû
rencontre tant en
sincèrement conv
t incontestablemen
iviale.
Les exposants-rés
t une réussite !
idents ont été ch
durant ces deux jo
aleureusemant fé
urs d’exposition.
licités et encour
agés par les vis
Nous espérons ré
iteurs extérieurs
itérer cette chouet
te aventure...
A L’ACCUEIL DU P
ETIT BOURGOGN
NOTHING / NOW
HERE
André Leclercq,
un de nos co
expose ses photog
llègues,
raphies au Grand
Curtius en
Feronstrée, 136 à
Liège jusqu’au 28
août
Photographies de
Willy Del Zoppo et .
Leclercq.
d’André
Vidéo de Christoph
e
Expo jusqu’au 28 Bouts
août du lundi au
dimanche
de 10 à 18h (ferm
«Il ne s’agit plu é le mardi)
s
déshérence, mais de re-présenter la Chartreuse en
par calques des vu plutôt, à travers la superposition
univers mouvant, es réalisées, d’extrapoler l’idée d’un
tique et d’une granincertain, mais résolument esthéqui dans le même de richesse visuelle. Un univers
du sens, de sorte temps construirait et déconstruirait
qu’il puisse prendr
universelle, synthé
e
tisée dans le titune dimension
Nowhere».
re «Nothing/
E
Cette année enco
re
services tels que l’e l’Accueil a ouvert ses portes su
r une exposition
rgothérapie, le HJ
, les
d’œuvres d’artiste
Exposition remarqu
s de différents
ée et félicitée unan Bleuets....
exposées!
imement par un pu
blic admiratif sur la
qualité et la divers
ité des œuvres
Nadine Brouir, an
imatrice de l’atelie
r dessin/peinture
LA ZONE
SOMBRE
Layla Saad, la fille
de deux collègues
,
ses photos au Ca
fé Le Wembley, ru expose
e Fabry, 2
à Liège.
Exposition visible
jusqu’au 15 juillet.
«Ce proje
t tourne
tique dans des endrautour de la recherche de l’esthéa pas. Nonante po oits où au premier abord il n’y en
ur cent de mes phot
sées dans un seul en
os ont été réaliville de Liège. J’ai droit: « La Zone », situé au centre
cherché à revisiter
cadrage et de la lum
le monde du
l’incompris. La m ière, mais surtout le monde de
ag
ie
se produit dans l’in
hension totale de
comprépure. L’être humain l’événement, dans son esthétique
es
t
m
aît
re
de
la photo mais il n’e
jamais représenté
st
notion d’élément. dans son entièreté pour garder la
La
sy
mbolique reste flo
daire laissant à ch
ue, seconse projeter dans ceaque « regardant » la possibilité de
t
un
ive
rs
de
la nuit, du fantasm
gorique et du trans
aformisme…»
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les 10 et11 sept
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de Liège » qui
Chers amis, am
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icipera au
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