Les convoyeurs attendent - Cents
Transcription
Les convoyeurs attendent - Cents
56 WIRTSCHAFT & FINANZEN BIP an Übernahme von Socotec beteiligt Die Investmentfirma „BIP Investment Partners S.A.“ hat sich an der Übernahme der französischen Firma „Socotec“ beteiligt. Das „Buy-out“ wurde von den Investmentfirmen „Cobepa“ und „Five Arrows Principal Investments“ vorangetrieben. Für BIP bedeutet die erfolgreiche Übernahme eine indirekte Teilhabe an Socotec von sieben Prozent. Das französische Unternehmen Socotec ist als globaler Anbieter von Dienstleistungen im Bereich des Risikomanagements aktiv. BIP ist an der Luxemburger Börse notiert und operiert hauptsächlich in Deutschland, Frankreich und dem BeneluxRaum. (C./CBu) Lifteurop reçoit le label «Luxembourg» La société «Lifteurop» vient de recevoir le label «Luxembourg». Décerné par la Chambre de Commerce, ce label identifie l'origine luxembourgeoise des produits et services. Fondée en 2010 et installée à Wiltz, Lifteurop fabrique des accessoires de levage. Elle crée et développe également des systèmes de levage spécifiques qu'elle met au service de ses clients luxembourgeois et inter-nationaux – un savoir-faire qui a notamment retenu l'attention des institutions luxembourgeoises pour l'attribution du label. «Ce label est im-portant pour nous» dit Gaëtan Lambert, l'ingénieur en charge du développement technique chez Lifteurop. «Pour nos clients la marque «Luxembourg» est un gage de qualité.» (C./CBu) Goldpreis fällt auf tiefsten Stand seit sieben Monaten London. Der Goldpreis hat am Donnerstag seinen Sinkflug vom Vortag fortgesetzt und ist auf den tiefsten Stand seit vergangenem Sommer gerutscht. Der Preis für eine Feinunze (etwa 31 Gramm) lag im Tief bei 1 555,71 US-Dollar und damit so niedrig wie zuletzt Mitte Juli 2012. Händler erklärten den Preisrutsch mit Hinweisen auf ein vorzeitiges Ende der Anleihekäufe durch die amerikanische Notenbank. Im Vormittagshandel konnte sich der Goldpreis wieder etwas erholen und stand zuletzt bei 1 570 Dollar. Das Protokoll zur letzten Fed-Zinsentscheidung weckte an den Märkten Spekulationen über ein vorzeitiges Ende der Anleihekäufe durch die Fed. „Jetzt hat es die Fed auch einmal geschafft, den Markt negativ zu überraschen“, hieß es in einer Einschätzung vom Bankhaus Metzler. Derzeit kauft die USNotenbank jeden Monat Wertpapiere in einem Volumen von 85 Milliarden Dollar, um die Konjunktur stärker in Schwung zu bringen. Im geldpolitischen Ausschuss FOMC wird jedoch auch über die Gefahren der Geldschwemme debattiert. Mit Veröffentlichung der Fed-Mitschrift legte der Dollar spürbar zu, was den Goldpreis belastete. Eine festere US-Währung verteuert Gold für Anleger außerhalb des Dollarraums und drückt damit die Nachfrage nach dem Edelmetall. (dpa) Luxemburger Wort Freitag, den 22. Februar 2013 Luxair: le consultant Roland Berger devrait clôturer et dévoiler en mars sa revue stratégique de Les convoyeurs attendent La compagnie de passagers et celle de fret Cargolux engagées dans le renouvellement de la con PAR LÉONARD BOVY Luxair attend toujours avec impatience le rapport d'un consultant extérieur, le bureau Roland Berger, sensé définir les contours d'un plan stratégique pour redresser l'activité Airline. Il devrait arriver sur la table du conseil d'administration de la compagnie courant mars. D'ici là, la direction de la compagnie a provisoirement suspendu les réunions traitant du renouvellement de la convention collective, les discussions devant logiquement être influencées par la nature du futur «business plan». Sur le même thème, chez Cargolux, une rencontre entre direction et syndicats se déroule aujourd'hui mais les discussions semblent piétiner sur la manière de sabrer dans les coûts. Le point. Luxair a lancé depuis plusieurs mois un processus de réflexion visant à opérer un redressement de sa division Airline largement déficitaire. La compagnie luxembourgeoise a dans ce cadre fait appel en octobre à un consultant extérieur, le bureau Roland Berger, spécialisé dans les problématiques de stratégie, de management et d'amélioration de la performance des entreprises. Alors que le rapport du consultant, sa «revue stratégique», était attendu fin 2012 afin que Luxair puisse repartir d'un bon pied début 2013, le timing planifié subit un certain retard et, selon le service communication de Luxair, le conseil d'administration de la compagnie ne devrait prendre connaissance de ce rapport que dans le courant du mois de mars. Sauf autre report! Il semblerait également, selon les premières indications succinctes du bureau Roland Berger, que Luxair ne sera pas contraint de totalement chambouler sa stratégie, le business plan actuel devrait simplement être adapté. Pas de vraie révolution en vue donc selon les premières tendances! Ce retard cependant débouche sur une remise sine die des discussions portant sur le renouvellement de la convention collective: une réunion sur le sujet programmée hier jeudi entre la direction et les Luxair ne devrait pas totalement chambouler sa stratégie, le business plan actuel devrait simplement être adapté, selon les premières indications du bureau Roland Berger. (PHOTO: MARC WILWERT) syndicats ainsi que d'autres rencontres similaires prévues jusqu'à la mi-mars ont en effet été annulées. Luxair attend d'avoir redéfini sa stratégie avant d'entrer dans le vif des négociations qui peuvent en effet être impactées par les décisions qui seront arrêtées. C'est vraisemblablement pour la même raison que la compagnie a annulé une autre réunion prévue également hier jeudi, une rencontre avec la presse celle-là, au cours de laquelle devaient être présentées la politique commerciale 2013 et la nouvelle campagne marketing de la compagnie. Difficile en effet d'imaginer qu'une telle présentation puisse se faire en l'absence de stratégie définie quant aux liaisons aériennes par exemple, ou en ignorant quelles mesures ayant trait à la réduction des coûts seront adoptées. Ces mesures d'économies figureront au menu car il s'agit clairement pour Luxair de redéfinir son «business plan» afin de replacer la division Airline sur le chemin de la rentabilité ou, à tout le moins, lui permettre de limiter la casse. Il n'empêche que ces retards cumulés dans les négociations sur le renouvellement de la convention collective réduisent fortement le temps dont disposeront effectivement les négociateurs: dénoncé en octobre 2012, l'accord social entre direction et syndicat devra être renouvelé avant le 30 septembre 2013, alors que les négociations en sont toujours au point mort, selon des sources syndicales qui estiment qu'«on aura un sérieux problème de temps» pour aboutir. LCGB: «Le personnel sait où faire des économies» Quoi qu'il en soit, le syndicat LCGB a clairement annoncé la couleur jeudi dans un communiqué, et ses commentaires s'adressent à la fois à Luxair et à Cargolux, le processus de renouvellement de la convention collective étant également en cours dans la compagnie de fret aérien: «Sous réserves de certaines conditions, le LCGB est prêt à discuter de toute mesure concrète qui aidera Luxair et Cargolux à surmonter leurs difficultés et à garantir la pé- rennité de leurs activités et logiquement le maintien des emplois existants.» Le syndicat rappelle donc ses trois revendications – prolongation des conventions collectives actuelles, garantie d'emploi et de revenu pour les salariés et implication des salariés dans l'implémentation des stratégies – tout en appelant au dialogue. Clairement, du côté de Cargolux, les syndicats OGBL et LCGB ont un problème avec les revendications de la direction générale qui vont dans le sens d'une diminution des salaires et autres avantages (paiement des heures supplémentaires ou du travail du week-end) ou primes prévus dans la convention actuelle. «Il ne suffit pas de vouloir couper dans le salaire du personnel», s'insurge Hubert Hollerich de l'OGBL, qui veut connaître, sans succès jusqu'à présent, quelles seront les autres mesures d'économies planifiées par la compagnie, et s'interroge par exemple sur l'effort que consentira le cas échéant le management. Pour les syndicats, les salariés ne doivent pas être les seuls à trinquer. Stühlerücken bei Daimler Vertrag von Dieter Zetsche nur drei Jahre verlängert Stuttgart. Dämpfer für DaimlerChef Dieter Zetsche: Der Aufsichtsrat des Autobauers hat den Vertrag des 59-Jährigen überraschend nur um drei Jahre verlängert. Das teilte der DaxKonzern am Donnerstag in Stuttgart mit. Eigentlich werden Vorstände bei dem Autobauer mittlerweile für fünf Jahre wiederbestellt. Der bisher als Kronprinz gehandelte Top-Manager Wolfgang Bernhard bekommt eine neue Aufgabe: Er tauscht die Posten mit dem bisherigen Nutzfahrzeugchef Andreas Renschler. Nach dpa-Informationen hatte sich vor allem die Arbeitnehmer- seite für die geringere Vertragslaufzeit stark gemacht. Zugleich wurde auch der Kontrakt von Forschungsvorstand Thomas Weber nur bis Ende 2016 erneuert. An der Börse gaben die Papiere des Autobauers nach der Bekanntgabe um mehr als 2 Prozent auf rund 44,27 Euro nach. Nach Angaben von Daimler hat die kürzere Periode Altersgründe: Man habe sich entschieden, die Verträge aller Vorstände, die während einer Vertragsverlängerung 60 Jahre alt sind oder es werden, nur noch um drei Jahre zu erneuern. Zetsche wird damit bis Ende 2016 verpflichtet. Der 59-Jährige „Altersgründe“ sollen die Ursache für die verkürzte Amtszeit von DaimlerChef Zetsche sein. (FOTO: AP) steht seit Anfang 2006 an der Spitze des Konzerns. Sein Vertrag wäre Ende dieses Jahres ausgelaufen. Einem Daimler-Sprecher zufolge sei die Entscheidung für die Verlängerung einstimmig gewesen „Erfolgreiche Unternehmen entwickeln ihre Strategien gemeinsam mit den Vertretern der Arbeitnehmer“, sagte Gesamtbetriebsratschef Erich Klemm der Nachrichtenagentur dpa. „Die jetzt beschlossenen Veränderungen erleichtern einen solchen konstruktiven Dialog.“ Autoexperte Stefan Bratzel sagte: „Das Signal heißt natürlich Kontinuität. Aber der Anspan- WIRTSCHAFT & FINANZEN 57 Luxemburger Wort Freitag, den 22. Februar 2013 la division Airline Nordisches Angebot konnte überzeugen Nordea steigert 2012 den Gewinn in Luxemburg um 20 Prozent vention collective D'autant, signale Aloyse Kapweiler du LCGB, que chez Cargolux le total des frais de personnel ne représente que 12 % environ des coûts globaux, ce pourcentage tombe même à neuf en n'envisageant que le personnel dépendant de la convention collective. Alors que les frais de kérosène pèsent eux environ la moitié de l'ensemble des dépenses de la compagnie. Ce n'est donc pas en sabrant dans ces seuls frais de personnel que Cargolux pourra faire de conséquentes économies, estime le syndicaliste, ces réductions de coûts seraient selon lui immédiatement mangées par les dépenses de kérosène si les prix venaient à augmenter légèrement sur les marchés internationaux. Or, le plan stratégique de Cargolux prévoit bien de couper dans les frais de personnel à hauteur de dix millions de dollars lors du dernier trimestre de cette année et de 40 millions en année courante dès 2014, tout en réclamant des efforts en terme de productivité. En proposant de «discuter de tout» avec la direction, le LCGB prétend même pouvoir apporter des solutions: «Le personnel sait où faire des économies», soutient Aloyse Kapweiler. A suivre alors que direction et syndicats ne semblent donc pas réellement sur la même longueur d'onde, à moins que la situation ne se décante et ne se clarifie ce vendredi lors de la réunion prévue sur le renouvellement de la convention collective. A relever encore que suite à une entrevue avec le président du conseil d'administration de Luxair et de Cargolux, Paul Helminger, par ailleurs qualifié de «porteparole de l'actionnariat luxembourgeois» des deux sociétés, le LCGB a reçu confirmation qu'une délocalisation de la maintenance de Cargolux n'était pas à l'ordre du jour. Paul Helminger a encore indiqué au syndicat que l'ouverture de nuit de l'aéroport n'est «pas une nécessité vitale pour la survie de la société» mais qu'il réclamait une amélioration de la gestion administrative de l'aéroport dont la lenteur serait préjudiciable en terme d'attractivité. Trotz der lahmenden makroökonomischen Entwicklung gelang es Nordea, seine Tätigkeit in den Bereichen International Private Banking und Global Fund Distribution auszuweiten, da in beiden Sparten weiterhin Kunden gewonnen und so neue Vermögenszuflüsse erzielt werden konnten. Nordea Bank S.A. besteht aus Nordea International Private Banking und Nordea Global Fund Distribution. Die beiden Geschäftsbereiche konnten erfolgreich neue Kunden werben und damit die Kapitalzuflüsse steigern, sodass letztes Jahr Vermögenswerte in Höhe von 19,9 Milliarden Euro verwaltet wurden, was einem Anstieg von vier Milliarden im Vergleich zum Vorjahr entspricht. Die Bank bleibt mit einem Anstieg von Kapital und Rücklagen auf 328 Millionen Euro finanziell in einer starken Position, wobei sich die Tier-1-Kernkapitalquote Ende 2012 auf 14,08 Prozent erhöhte. „Während des Jahres 2012 verbesserte der Bereich International Private Banking beständig sein Angebot auf dem Gebiet der Vermögensverwaltung, die nach wie vor ein integrierter Bestandteil unseres Nutzenversprechens darstellt. Mehrere Vermögensplanungslösungen wurden von externen Wirtschaftsprüfern genehmigt und stehen nun zur Verfügung, wobei die Anzahl der länderspezifischen Steuerbescheinigungen im Ein- (FOTO: TOM WAGNER) klang mit den Anforderungen unserer Kunden anstieg“, so Jhon Mortensen, CEO von Nordea Bank S.A. Bedeutende Zuflüsse in das Multi-Boutique-Fonds-Angebot Der Bereich Global Fund Distribution mit Sitz in Luxemburg konnte EUR '000 Nettozinserträge Nettoerträge aus Gebühren und Provisionen Betriebliche Aufwendungen insgesamt Jahresgewinn (nach Steuern) weiterhin erhebliche Kapitalzuflüsse aus verschiedenen europäischen und anderen internationalen Märkten in die 64 Teilfonds des Nordea 1 Sicav verzeichnen, der das Flaggschiff des Nordea-Konzerns für Vertriebszwecke darstellt. „Im Jahr 2012 konnten wir 2012 2011 Veränderung 41 992 109 230 34 097 97 803 23,2 % 11,2 % 99 453 93 628 6,2 % 51 744 43 260 19,6 % Quelle: Nordea einige der weltweit größten Vermögensverwalter als Vertreiber gewinnen, was für die Qualität unserer Vermögensverwaltung spricht. Diese sehr gute Entwicklung ist das Ergebnis des Engagements und des Einsatzes unseres multikulturellen und multinationalen Teams innerhalb und außerhalb Europas in Verbindung mit den Stärken unserer Multi-Boutique-Strategie, in der der Standort Luxemburg eine Schlüsselrolle spielt“, kommentiert Christophe Girondel, Leiter von Global Fund Distribution. Der Konzern Nordea Bank S.A. mit Sitz in Luxemburg wurde 1976 gegründet und beschäftigt rund 400 Mitarbeiter. Nordea Bank S.A. ist das führende nordische, paneuropäisch tätige Institut für Private Banking und Fondsvertrieb, die Kunden verschiedener Staatsangehörigkeit auf der ganzen Welt betreut. Der Nordea-Konzern verfügt über eine äußerst solide Kapitalbasis sowie ein hervorragendes Kreditrating (AA-) und ist der führende Finanzdienstleister in der nordischen Region. Unsere Position wurde von The Banker bestätigt, indem Nordea mit dem Titel „Bank of the Year 2012“ in Westeuropa ausgezeichnet wurde. Nordea zählt gemessen an der gesamten Marktkapitalisierung zu den zehn größten Universalbanken in Europa. (C.) Angeschlagene Dexia macht fast drei Milliarden Euro Verlust Finanzkonzern und Kommunalfinanzierer gilt als erstes Opfer der Euro-Schuldenkrise Brüssel. Die Pleitebank Dexia kommt nicht aus der Verlustzone. Das belgische Institut, das in den letzten vier Jahren drei Mal gerettet werden musste, fuhr 2012 einen Nettoverlust von 2,9 Milliarden Euro ein. Nachdem sie sich im Rahmen eines von der EU gestützten Restrukturierungsplans von einem Großteil ihrer Geschäfte getrennt hat, hofft die Bank im laufenden Jahr auf Besserung. „Anfang 2013 zeigt sich die Bank mit neuem Gesicht: Der Großteil der französischen Geschäfte wurde verkauft“, sagte Chairman Robert de Metz. „Dexia kann sich jetzt auf die Verwaltung der ver- bliebenen Assets im Volumen von 250 Milliarden Euro konzentrieren.“ Allerdings warnte Dexia gleichzeitig vor einer Reihe von Stolpersteinen. Sie verwies auf sinkende Zinsen, Abstufungswellen der Rating-Agenturen bei Finanzunternehmen und Staaten und die wirtschaftlichen Schwierigkeiten der südeuropäischen Länder. Hohe Abschreibungen und Refinanzierungskosten Den Milliardenverlust 2012 hat Dexia zu zwei Dritteln in den Geschäftsbereichen erlitten, die fortgeführt und nicht abgestoßen werden. Gründe waren vor allem hohe Abschreibungen und Refinanzierungskosten. So mussten etwa die Aktivitäten in der Türkei (DenizBank), Luxemburg und Frankreich unter Buchwert verkauft werden. DexiaGeschäftsführer Karel De Boeck sagte laut Mitteilung: „Die Ergebnisse für das Jahr 2012 spiegeln die Fortschritte bei der Abwicklung der Bank wider.“ Der Finanzkonzern und Kommunalfinanzierer gilt als erstes Opfer der Euro-Schuldenkrise. Die Bank geriet wegen fehlgeschlagener Investments in Griechenland ins Taumeln und musste mehrfach vom Staat gerettet werden. 2011 vereinbarten Belgien, Frankreich und Luxemburg die Aufspaltung der Bank, die wegen der enormen Kosten nur mit staatlicher Hilfe möglich ist. Frankreich und Belgien unterstützen den Finanzkonzern mit Kapitalspritzen von 5,5 Milliarden Euro, was deren Haushalte belastet. Dexia war einst einer der größten Kommunalfinanzierer in Europa. Die Bank wurde 2011 aufgespalten und teilverstaatlicht, nachdem sie sich nicht mehr refinanzieren konnte. Die Regierungen Frankreichs, Belgiens und Luxemburgs sprangen für den übrig gebliebenen Teil der Bank mit Staatsgarantien ein. (DJN/dpa) Kapitel Lehman-Altlasten fast abgeschlossen Eurosystem wird seine ursprüngliche Forderung von 8,5 Milliarden Euro komplett bedient bekommen nungsgrad steigt. Man muss mit den Zielen, die man sich gesetzt hat, die Wettbewerber auch aufholen.“ Statt sich entspannen zu können, stehe Zetsche mit der Vertragsverlängerung jetzt eher unter größerem Druck. Zetsche hat das Ziel ausgerufen, bis 2020 an den Konkurrenten Audi und BMW vorbeizuziehen. Zuletzt hatte der 59Jährige allerdings sowohl für den Gesamtkonzern als auch für die wichtige Autosparte einen Rückgang beim operativen Gewinn bekanntgeben müssen. Bei Absatz und Umsatz verbuchte der Autobauer indes neue Bestwerte. (DJN) Frankfurt/Main. Die Lehman-Pleite schickte im Herbst 2008 Schockwellen um den Globus. Bis heute sind die milliardenschweren Altlasten der Insolvenz nicht abgearbeitet. Die Bundesbank ist fast am Ziel. Knapp viereinhalb Jahre nach der Lehman-Pleite hat die Bundesbank Altlasten der Insolvenz des US-Instituts fast abgearbeitet. Die Restforderungen bezifferte die Notenbank am Mittwoch auf rund 1,2 Milliarden Euro. „Das Thema Lehman ist noch nicht ganz abgeschlossen für das Eurosystem, aber die größten Hürden sind genommen“, sagte Bundesbank-Vorstand Joachim Nagel in Frankfurt. Zum Zeitpunkt der Pleite Mitte September 2008 hatte die Bundesbank als Agent des Eurosystems geldpolitische Forderungen gegenüber Lehman von 8,5 Milliarden Euro. Entgangene Zinszahlungen und Kosten ließen die Forderungen auf 9,3 Milliarden Euro anschwellen. Rückstellungen wurden deutlich verringert Durch den Verkauf der überwiegend hochkomplexen Papiere wurden bislang 7,4 Milliarden Euro erlöst, dazu kamen 768 Millionen Euro aus den beiden Insolvenzverfahren gegen das Lehman-Mutterhaus in den USA und die deutsche Lehman-Tochter. „Am Ende wird das Eurosystem mit großer Wahrscheinlichkeit seine ursprüngliche Forderung von 8,5 Milliarden Euro komplett bedient bekommen“, sagte Nagel. Es habe sich bewährt, die Papiere nicht gleich – mit hohen Abschlägen – loszuschlagen, sondern abzuwarten und erst über die Jahre an professionelle Investoren wie Hedgefonds und Private-EquityHäuser zu verkaufen. Letztlich müsste der Steuerzahler geradestehen Ursprünglich waren dem Eurosystem 2008 insgesamt 33 verpfändete Wertpapier-Pakete zugefallen, die Lehman als Sicherheit für Notenbankkredite hinterlegt hatte. Im vergangenen April hatte die Bundesbank das größte Paket aus hochkomplexen besicherten Anleihen (ABS) namens „Excalibur“ mit einem ursprünglichen Nennwert von 2,16 Milliarden Euro an den Investor Lone Star verkauft. Die Rückstellungen des Eurosystems für ausgefallene Geschäftspartner, unter denen Lehman der wichtigste Posten ist, konnten von 5,6 Milliarden Euro Ende 2008 auf 0,3 Milliarden Euro Ende 2012 verringert werden. Für Verluste aus solchen Geschäften würde letztlich der Steuerzahler geradestehen. (dpa)