A propos de la numismatique antique

Transcription

A propos de la numismatique antique
d'une résidence aristocratique, peut-être consécutive à
l'effondrement de la voûte du passag e antique.
Le passage piétonnier, au seuil rehaussé, fonctionne
alors, au cours du XIIe siècle, comme une porte basse
d'accès à la demeu re plutôt qu' un passage pub lic
maintenu. Durant une période qui ne doit pas excéder le
XIIIe siècle , l'espace devant la poterne sert de zone de
rejet domestique (faune abo ndante). Dans une phase
tardive du Moyen Age , un important glacis est plaqué
sur tous les abo rds du monu ment. ente rrant de moitié
les tours de la porte antique et masquant la poterne .
Nou s avo ns renco nt ré enf in dans les phases
récentes de l'occupation du jardin, une tranchée de fouille
ancienne qui correspond à l'évidence à la fouille de 1860
évoquée plus haut.
L'an née 20 07 devra it perm ettre d'ab ord er le
monume nt lui-même. et d'avancer sur l'architecture
antiq ue de la porte et ses transformations médiévales .
Grou pe de reche rche du projet collec tif :
Hervé Gaillard, David Hourcade, Jean-Pascal Fourdrin,
Claudine Girardy-Caillat, Dominique L év êque,
Elisabeth Pénisson, Jean-François Pichonneau,
Dominique Tardy
Ci-contre : Périgueux - Porte de Mars
Fig. 3 - Sond ag e au pied de la tcor nord : apparition de la poterne .
Le prog ramme co llect if de recher che int itu lé
"Circulation monétaire en B éarn" a pour point de départ
l'étude du médaillier du musée municipal de Pau. Mais
cette collection mun icipa le sert seulement de point
d'ap pui à une recherche plus appro fo ndi e qui non
se uleme nt ré vise les lots co ns ervés mais Intè gre
égal ement les déc ouv ertes moné ta ires régio nales
récent es recueillie s en fou ill es et en pro spe ctions
archéologiques afin de donner une image plus appropriée
de la circulation monétaire dan s l'Aquitaine mérid ionale
aux époq ues antique et médiévale.
Les campag nes 2004 ·2005 avaient vu la mise en
place d'u ne méthodologie spécifique pour traiter les
qu elqu e s 1442 mo nna ies anti ques et méd iéva les
recensées (conditionnement de l'ensemble monétaire,
recherche en archives pour reconstitu er l'histoire du
médail lier et pallier la perte du catalogue d'inventaire des
mobi liers archéo logiques, identifications monétaires et
couverture photographique), t' étude de collections privées
régionales, gracieusement mises à notre disposition , a
permis d'enrichir notre échantillon monétaire.
A propos de la numismatique
antique
Le travail d'identification moné taire, qui portait sur
550 exemplaires, est achevé. La présence de pièces
singulières et de fragments de dépôt monétaire provenant
de différents départements aquitains a au to risé de
no mbreuses révision s et des complémen ts d'études
numismatiques.
•
Une é tude approfondie des monnayage s
préaugustéens
Une veille num ismati qu e se pou rsu it en ce qui
concerne la découverte de monnaies à légende ibérique
dans le piémont pyrénéen français. Celle-ci confirme les
traits de circulation monétaire développé s à l'occasion
du bilan sc ientifique 2005 . En revanche, les originalités
vienne nt encore de l'a nalyse des monnay age s dits
aquitains (attribués aux Tarusates, aux Elusates et aux
Sotiates).
185
En effet, dans l'ensemb le aquitain sud-occidental,
qui offre des monnaies comportant des " protubérances
informes" sur les deux faces , nous avions disting ué le
type Pomarez (type "à la paire de fesse" autrefois attribué,
sans réel fondement, aux Tarusates, dont le musée
municipal de Pau conserve un exemplai re) avec un
épicentre émette ur qu i se situerait dans l'actue l
département des La ndes , et le type Bey rie, bie n
circonscrit auto ur de la fu ture cité de Beneharnum
(Lescar) , sur le territoire probable des Venarni. Nous
pensons que nous avons affaire à deux monnayages
distincts , que de nombreuses homotypies de contiguïté
rapprochent néanmoins (Callegarin, 2005a et2007).
Très récemment. l'ensemble aquitain sud-occidental
s'est enrichi d'un troisième type monétaire totalement
inédit (fig. 1). Depuis le début des années 2000, des pièces
en argent non répertoriées sont apparues dans les salons
numismat iques rég iona ux . D'ap rès les dernières
informations, la majorité des monnaies proviendrait de
prospections clandestines menées dans le pays basque
f rançais (zone d'Itxassou et de Cambo-les-Bains .
Pyrénées-Atlantiques) et dans le piémont espagnol (zone
d'Agoi tz-Sangüesa , Navar re) . Ces mo nnaies ,
an épiqraphes et aniconiques, présentent une seule face
frappée montrant un enfoncementcentrald'où partenttrois
sillons formant un Y ou un T. Le diamètre des unités
recueillies est de 15 mm et leur poids moyen est de
4,30 g. Il existe des exemplaires découpés à la cisaille
formant des demi-bronzes.
Il semblerait que nous soyons en présence soit d'un
nouveau monnayage , soit de monnaies protoaquitaines
sud-occidentales, émises dans le(s) piémont(s) basque(s)
probableme nt dès la fin du Ille siècle av. n. è .
Parallèlement à l'étude de ce nouvel ensemble
moné taire, nous avons réexaminé le bien fondé de
l'attribution des monnaies au cheval au peup le élusate
(dont trois exemp laires du trésor de Laujuzan sont
conservés au musée municipal de Pau) et des monnaies
à la louve au peuple sotiate . nous obligeant à revenir à la
fois sur l'évolution des émiss ions monéta ires depuis
l'origine de la frappe , sur les modèles typologiques qui
ont inspiré la gravu re des coins et sur la nature des
émissions et la délim itation d'un territoire de circulation
monétaire pour chacune des séries.
Au final, sur la base de la dispersion des monnaies
des deux séries monétaires et de t'étude stylistique, nous
écartons l'idée de l'existence d'un monnayage élusate
au profit d'un seul peuple émette ur, le peuple sottate. qui
débute probablementses émissions dès la fin du Ille siècle
av. n. è. Cette dernièreaffirmations'appuie sur une récente
découverte faite sur la comm une d'Abo s (PyrénéesAtlantiques) ; il s'agit d'un exemplai re rarissime de la
première émission au cheval (fig. 2).
Par les associations de matériels numismatiques
issus du méda illier de Pau et des trouvailles récentes,
l'Aquitaine méridionale , à la fin du Second Âge du Fer,
offre un faciès monétaire riche et diversifié . Ce constat
prend le contrepied des récentes analyses publiées
(Depeyrot, 2002).
To ujo urs es t- il que les mon na ies aq uit alnes
connaissent une circulation très restreinte, cantonnée au
sud-ouest de la Gaule, et ne participent pas à la circulation
monétaire générale de la Celtiqueoccidentale. Ces frappes
répondent essentiellement aux besoins en numéraire des
populations aquitaines depuis vraisemblablement la fin
du Ille siècle comme l'attestent les poids élevés aussi
bien des monnaies sud-occidentales de type au T que de
la première émission sctlate . en assoc iation avec les
pièces d'argent gauloises, les unités d'arge nt puis les
bronzes ibériques . Plus l'on s'éloigne des rives de la
Garonne, où l'on enreg istre un véritable brassage des
monnaies gauloises , plus la variété de l'offre monétai re
s'appa uvrit. Dans le même ordre d'idée, si le peuple
sonate. du fait des relations qu'il entretient avec les autres
peuples localisés le long de l'axe garonnique ouverts sur
la Médite rranée , a pu frappe r un type monéta ire
indirectement issu des drachmes d' Emporion , les autres
peuples aqultalns émetteurs de monnaies inventent une
typo logie monétaire sing uliè re dont il est difficile
aujourd'hui de définir le prototype. Il apparaît clairement
que si que lques homotypies de contiguïté lient les
différents monnayages aquitains entre eux (usage de
l'a rge nt , mé tro log ie simila ire, face aniconique et
anépigraphe), l'ensemble aquitain sud-occidental demeure
Circulation monétaire en Béarn.
Fig. 2 - Monnaie sonate au cheval découverte à Abos (Pyrénées-Atlantiques)
(t ère émission. vers la fin du Ille siéde av. n. è.).
186
Fig. t -
séne monétaire aquitaine sud-occr dentale. type au T.
isolé du reste de la Gaule méridionale. L'Adour, davantage
que les Pyrénées et la Garonne comme le prétendent les
aute urs class iqu es, sem ble constitu er une vé ritab le
fr onti ère, au-de là de laquell e ni les imitat ions des
drachmes d'Emporion et de Rhodè, ni les monnaies
d'argent gauloises dites "à la cro ix» ne participent à la
circulation générale.
•
De nou ve lles é t ude s portant sur la
circulation monétaire dans l es c ité s
romaines d 'Aquitain e et une révision de
dépôts monétaires composés de
monnaies impériales romaines
Ent re 2004 et 2006 , la numismat ique roma ine
régionale s'est enrichie de trois nouvelles études de
circula tion monétaire urbaine, complétant ainsi celles
réalisées surToulouse et St-Bertrand-de-Comminges. Ces
études concernent les villes de Burdig ala-B ord eaux
(Geneviève, à paraître), d'Iluro-Oloron-Sainte-Marie et de
Beneharnum-Lescar (Callegarin, à paraltre). A propos de
cette dern ière cité, le dépou illement des archives du
musée nous a pe rmis d'ajouter au lot monétaire issu de
fou illes récente s les trouvailles du XIXe siècle. Dans le
même esprit, une étude des monnaies découvertes à Dax
et dans ses environs, cons ervées au musée de Borda,
est en cours de réalisation par B. Defval dans le cadre
d'un Master.
En ce qui conceme les dépôts monétaires recen sés
en Aquitaine méridionale, un bilan a été réalisé (Callegarin,
2005 b) . Il convi ent aujourd'hui de révise r certaines
données et d'en préciser d'autre s. Alors qu'un nouveau
dépôt enfoui au début du Ille siècle de n. (terminus post
quemfixé en 243 avec un sesterce émis sous Gordien III)
a été exh umé à La bast id e-Mo nréjea u (P yr én ée sAtlantiques) , nous éliminons de l'inventaire deux dépôts
sus pec ts , initiale ment rangés parmi les tréso rs du
Ille sièc le : celui d'Arette (publié en 1991) et celui inédit
de Monein. En revanche, l'étud e du fragment d'un des
trésors d'Hasparren (fragment dont le nombre de pièces
s'élève avec certitude à2 1), conservé au musée municipal
de Pau , nou s a p er mis de l'att ribue r au d ép ôt 1
d' Has pa rre n déc ouve rt da ns la seconde moi tié du
XIXe siècle (Loriot et Nony, 1990,84, n° 3) et d'affiner sa
composition et la date de son enfouissement. Sur la base
des Divo Claudio officiels (frappés sous Aurélien dès 270).
et de l'imitation d'a ntontnien au nom de Tét ricus 1. le
terminus post quem de l'enfouissement est établi en 272.
Signalons enfin l'étude en cours d'un dépôt, ou plutôt
d'un fragment de dépôt de la fin du IVe siècle, totalement
inédit et cons ervé au musée. Cel ui-ci se compose de 47
pièces ém ises entre 330 et le règne de Gratie n (367è .
383).
Ci-contre : Circulation monétaire en Béarn.
Fig. J - Monnaies wisigothiques découvertes dans un sarcophage à
Dlcrcn-Saintë-Marie .
•
En tre l'Antiquité e t le Haut Moyen  ge :
la présence de monnaies wisigoth iques
dans le piémont occidental de s
Pyrénées
Les découvertes de monnaies visigo tiques dans le
sud-ouest de la Gaule ne sont pas aussi courantes qu'on
pourrait l'imaginer. Parado xalement, elles appara issent
plus fréquentes alo rs que le royaume de Toulouse s'est
effond ré, en 507 après la défa ite de Vouillé cont re les
Francs, et que les Visigots se sont déplacés en Espagne.
Les deux tremisses de la fin du Vie siècle déco uverts
dans un sarcoph age à Olor on en 2005 (fig . 3) sont
l'occasion de dresse r un nouveau point sur ces monnaya ges et de mieux cerner l'apport de la numismatique
à la connaissance de l'histoire locale.
Peu de monnaies du Vie siècle sont connues dans
le départem ent des Pyrénées-Atlantiques (Lafaurie J. et
Pilet-Lemière J., 2003, 258-259). On ne cannait à l'heure
actuelle qu'un seul tremissis mérovingien frappé à Oloron
et légendé He/oro Civet (la cité d'Oloron), dont la datation
se situe vers 580. Recueilli enchâssé dans une bélière,
cette monnaie provient peut-être, comme un exemplaire
d'Agen présentant les mêmes caracté ristiques , d'une
to mbe du cimet ière Saint-Martin à Canterbury (Kent).
D'autres tremisses sont signalés à Bayonne (daté , sans
plus de précision, du Vile siècle), à Eysus (attribuab le
au règne de Léovogilde (568-5 86) . Deux petits dépôts
monétaires sont également signalés. À Dognen, à une
vingtaine de kilomètres au nord-ouest d'Oloron, ont été
exh umés , à la fin du XIXe siècle , deux tre miss es
visig oti ques (co nservés au mus ée de Pau) dont la
localisation du prem ier est que lque peu controversée .
Celui-c i est au nom du fils de Léovtqilde. Reccarède, qui
régna de' 586 à 601 ; le second, trouvé " dans un tombeau
en pierre». porte celui de Suinthila qui ass uma le pouvoir
quelques décennies plus tard entre 621 et 631. A quelques
kilom ètres au sud de Dognen, fut découvert en 1896,
«dans le mu r du cn ëteeu » de Mauléon , un petit trésor de
cinq tremisses comprenant quatre exemp laires au nom
de Sui nthila (62 1-631) et un au nom de son successeur
Sisena nd, qui régna entre 63 1 et 636. Dans ce contexte,
chacun comp rendra l'importance que revêt cette nouvelle
trouvaille de deux tremisses à Oloron. Ces deux monnaies
ont été recue illies dans une cale tte crânienne, déposée
à gauche de la tête du dernier individu inhumé dans le
sarcophage. Ces deux monnaies d'or visigot iques sont
différentes : l'une porte le nom de l'empereur Justinien et
sa date d'ém ission peut se placer ent re les années 527
et 565 ; l'autre est du type cums. dont la frappe se situerait
dans les années 573f7-578 , autour du règne de Léovigilde.
Posté rieurement à 575 , la ci rc ulat io n de ces
monnayages se développe sur l'ensemble de la péninsule
Ibérique et se lirnite esse ntiellement à ce territoire, même
si quelques exem plaires cont inuent toujo urs à filtrer audelà des Pyrénées, Si le litto ral méditerranéen constitue
toujours un axe de dispersion privilégié de ce numéraire ,
celui proche de l'Atlantique semb le prend re naissance à
cette période,
Au sujet des monnaies médiévales
béarnaises
Le catalogue des monnaies médiévale et moderne
du m u sé e de Pau (lo t de 849 pièces , don t 43 1
appartien nent aux émissions féodales du Béarn et de la
Navarre) est achevé. Le travail sur le lot médiéval a permis
de relever la présence de dépô ts moné taires inédits, au
nombre de 7, dont l'étude est en cours. Le dépou illement
des archives ne nous a malheureusement pas permis
d'éclaircir leur provenance.
Parallèleme nt, trois au tres collections pub liques
(prove nant des musées de Borda à Dax, de Bagnèresde-B igorre et du Cabinet des méda illes de Paris), ainsi
que deux collections privées régionales, ont fait l'objet
d'un inventaire raisonné, Le fonds documentaire constitué
com pte environ 800 monnaies féodales béarna ises. A
pa rtir de ce fonds , nous avons débuté une étude portant
sur le phasage des émissions des Cent ulles , en partie
sur la base du trésor inédit de Canenx (Landes) contenant
environ 4500 denie rs et oboles . Actuellement. cinq types
différents ont pu être reconnus sur la base de l'analyse
stylistique, que devra it com p léte r l'utilisat ion de la
tec hnique du traçag e isotopique du plomb . De plus, la
collecte de tous les trésors com posés excl usivement ou
en partie de monnaies béa rnaises permet de travailler
sur la circulation et les imitations de ce numéraire en
France , en Espag ne et en Italie .
Une immense base de données est en train de se
constituer sur la numismatique du Béarn . Elle fera l'objet,
à pa rtir de 2008-2009 , d'une valorisation scientifique qui
'"
se présentera sous la fo rme d'une page Web hébergée
sur le site de la Banque Numé rique du Savoir Aqultaln . à
usage aussi bien des che rcheu rs que du gra nd public.
Mais d'ores et déjà , l'arbo rescence et la mise en place
de toutes les interfaces rense ignées (cata logues féodal
et royal, liste , composition et localisation des trésors
monétaires , hist orique de s atelie rs de frappe , etc.) sont
en cours d'achèvement.
Au final, le médai llier hétéroclite du musée municipal
de Pau se révèle d'une grande richesse d'un point de vue
archéo logique et historique du fait que ses monnaies
proviennent no n seulemen t de la zone béarnaise , mais
plus largement de l'Aquitaine méridionale . Les études
engagées po ur l'Antiquité et le Moyen-Âge pe rmette nt
désormais de pallier les insuffisances scientifiques dans
une région dont le potentiel était jusque-là considéré par
les numismates com me sous -expl oitée .
Laurent Callegarin (sldir.), G. Dardey,
V. Geneviève, A.-A. Parente.
•
CALLEGARIN L, 2oosa, Lemonnayageditlarusate (sud-ouest de la Gaule):
révisions et perspecûves. XIII Congreso internaçional de numismalica
(Madrid, sept 2003) , Madrid, p 427-440.
•
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méridionale dans l'Antiquité. in De la Préhistoir<i cl la fin de l'Antiquité. 25
ans de travaux archéologiques en Béarn et Bigorre , Arché<llogie des Pyrénées occidentales et des Landes. Hors-série n° t. Pau , p. 81-89.
•
CALLEGARIN L , 2007. L'ensemble monétaire 'aquitain sud-occidental' au
second Âge du Fer: une première approche, in Les âges du Fer dans le
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•
CALLEGARIN L.. (à paraître). l es monnaies des Aquitains. Table-ronde sur
la cullure malérielle des Aquitains (Toulouse, novembr<i 2005).
•
CALLEGARIN L" (à oeraüre j.La circu lation monétaire à lescar - &melJamum
et dans ses environs de la nn de l'âge du Fer au déllul du V' s de n. é.
•
CAlLEGARIN L , (il paraître). la circulation monétaire à lIuro-Oloron·SalOteMarie et dans sa région durant l'Antiquité
•
OEPEYROT G.. 2002, Le numéraire celtique Il, La Gaule des monnaies a
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•
GENEVIEVE V.• (à paraître), Deux rrem.sses vislgotlques découverts à
Oloron-Sainte-Marie (Pyrénées-Atlantiques).
•
GENEVIEVE V,, (à paraûre), quelques rares monnaies antiques découvertes au cours des récentes fouilles archéologiques de Bordeaux, Bulletin de
la Société Française de Numismatique.
•
GENEVIEVE V,, (à paraüre), le dépôt funéraire du cours du ChapeauRouge il Bordeaux (Gironde) : 40 entonlnene. nummi et demi·nummi enfouis en 312-313. Trésors Monétaires.
•
GENEVIEVE V,, (il paraûra). Les monnaies romaines de la Cité Judiciaire
de Bordeaux. Aqultania
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LAFAURIE J et PILET-LEMIERE J.. 2003. Monnaies du Haut Moyen Age
découvettes en France (II"-VII/' siècle), Cahiers Erne st Babeion, 8. Paris,
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VI. Aquitaine, Pari s,