Quelqu`un m`a dit... - Dita Von Bliss - L`Orient-Le Jour

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Quelqu`un m`a dit... - Dita Von Bliss - L`Orient-Le Jour
Quelqu’un m’a dit... - Dita Von Bliss - L'Orient-Le Jour
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À Vienne, où l'œil est à la fête, l'oreille est aussi au diapason. Embarqués par Lama Tyan, les amateurs d'art lyrique ont pu découvrir en live
une impériale Gilda, Olga Peretyatko, sacrée reine du bel canto par le public du MET, après son Elvire « époustouflante » dans I Puritani, en
2014 !
Outre Rigoletto, Mimi Farah Sehnaoui, Marina et Raffoul Sabbagha, Janine Maamari, Mona Iskandar, Mona et Paul Yared, Andrée Riachi,
Rosette Debbas, Elham Raphaël, ainsi que Maha Hussami, Vera Wakim, Claude Fatte, Anne-Mathilde Chalhoub, Dolly Cassir, Nina Tabourian,
Vivane et Robert Elias, Annie Sandrik, Nicole et Antoine Sacy et Leslie Sayegh, ont eu droit à deux autres opéras : La Flûte enchantée et Le
Crépuscule des dieux. Ainsi qu'un récital à la salle dorée du Musikverein (Goldener Saal) où se tient traditionnellement le fameux concert du
Nouvel An de l'Orchestre philharmonique de Vienne, diffusé à travers le monde pour une audience estimée à 50 millions de personnes. Un
voyage qui les a emportés comme une valse de Strauss !
Installé au cœur de Vienne dans le raffinement de l'hôtel Sacher, établissement qui a accueilli de nombreuses célébrités dont la reine
Élisabeth II et la famille Rothschild, et, où Graham Green et Carol Reed avaient tourné leur film The Third Man, en 1949, notre groupe de
Libanais est allé à pied, en taxi ou en bus, à la découverte de la prestigieuse capitale des Habsbourg. Entre le palais baroque de Shönbrunn
et le palais impérial de Hofburg, les pauses gourmandes dans des cafés viennois, un dîner gastronomique dans l'un des meilleurs
restaurants, leurs pas les ont conduits au Musée d'art moderne « MuMok », ou encore au musée de Belvédère qui présente la confrontation
de trois superstars de l'art Gustave Klimt, Egon Schiele et Oscar Kokoschka, avec la gent féminine. En bref, l'immersion dans Vienne était
totale. Lama Tyan a bien concocté son programme. Zweig aurait applaudi.
Et ce n'est pas tout. Une partie du groupe est allée à la découverte de l'artiste danois-islandais Olafur Eliasson, qui, dans les salons du palais
d'hiver du prince Eugène, faisait jouer ses lumières « Baroque, Baroque », avec miroirs, projecteurs, verres aux effets de couleur et films,
créant « une ambiance unique en son genre », dit Mimi Sehnaoui. Ce magicien invité du domaine du château de Versailles, en juin prochain,
avait signé une installation intitulée Ice Watch Paris, lors de la COP21, en décembre dernier : un cadran polaire qu'il a disposé en 12 blocs de
glacier groenlandais, sur la place du Panthéon, pour alerter l'opinion sur le réchauffement climatique.
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Une journée particulièrement animée à Alita, région de Jbeil, si l'on en juge par l'affluence enregistrée dimanche au musée Macam, vaste
espace voué à l'art moderne, créé par César Nammour et Gabriella Schaub. Artistes, amis et amateurs d'art se sont mêlés en une joyeuse
foule pour découvrir les six magnifiques sculptures offertes au musée par le peintre sculpteur Hussein Madi. De circonstance en ce 14
février, est venu s'ajouter un petit grain de Saint-Valentin avec le cœur ciselé dans le marbre par le même Madi, offert il y a 30 ans à César
Nammour. De même, on s'est extasié devant les petits-fours et le délicieux gâteau format big heart, partagés au son d'une guitare rythmée
par Chaouki Abi Akl.
Ce jour-là, ont défilé plus de cent personnes, dont Mona Issa el-Khoury, Marwan et Mona Iskandar, Tony et Janine Maamari, Afif Daouk,
Nayla Kettaneh Kunig, Diane Fadel, Joseph Tarrab, Jean-Marc Bonfils, Fawzi et Leila Kubba Kawash, Amal Dibo, Ziad Abillama, Robert Azar,
Joumana Behlok, Roger et Najoie Tarazi, Simon Khazen, Mona et Samir Sayegh, Boulos Richa, pour n'en citer que quelques-uns. Le grand
absent était Hussein Madi. Souffrant du dos, il n'a pu faire le trajet jusqu'à Alita. Mais le déroulement de la journée avait été enregistré sur
vidéo, qui lui a été remis le soir même...
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Jeudi dernier, en hommage à Georgette, sa mère et sa muse, le chef Maroun Chédid a joué une partition culinaire pleine de panache. Il a
lancé la gamme éponyme des produits artisanaux allant de la mélasse de grenade et des confitures inédites aux pignons, zaatar et
summac... En un mot, des classiques revisités pour épater les palais. L'événement s'est déroulé à l'ex-Time Out–La Closerie (rue de
l'Université Saint-Joseph) en présence d'un nombre de convives, parmi lesquels Désirée Sadek, Roula Nahas, Maya Bekhazi Noun, Chawki et
Rita Yazbeck, Maria Jallad, Naji Choucair, Joumana Dammous et Elga Trad, qui a raffolé de la tapenade aux deux olives du chef. Également
présents Charlie Frem, Tony Rached, Marwan Keyrouz ainsi qu'Élie Chehwan, qui entreprend un grand projet d'écotourisme à Saghbine.
Spécialement venue de Lyon pour cette occasion, Agnès Caso, à la tête de Meditea, une initiative de rencontres pour valoriser, partager et
transmettre l'excellence du patrimoine culinaire de la Méditerranée, était ravie de rencontrer tout ce beau monde et de goûter aux saveurs
libanaises !
La gamme Georgette n'est qu'un préliminaire qui va agir comme un aphrodisiaque et (ré)ouvrir l'ex-Time Out à un nouveau projet : celui d'un
espace dédié à l'univers culinaire du chef, englobant un restaurant, une académie de cuisine et une boutique. Les travaux de rénovation ont
été confiés à Rana Nasr. La Maison Maroun Chédid sera inaugurée à l'automne prochain.
[email protected]
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