COMMUNIQUE DE STEPHANE FIEVET Le lundi

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COMMUNIQUE DE STEPHANE FIEVET Le lundi
COMMUNIQUE DE STEPHANE FIEVET
Le lundi 23 juin 2008
Dans l'affaire qui m'opposait au Salmanazar, en ma qualité de directeur metteur en scène de
1993 à 2006, le conseil d'administration, présidé par Mme Annick Morrier, et dont est
membre de droit la ville d'Epernay, représentée par son maire M. Frank Leroy, s'était porté
partie civile à mon encontre au motif d'abus de confiance et de détournement de fonds, et
avait prononcé mon licenciement pour faute grave en juin 2006. La partie civile avait
également porté des accusations liées à l'exercice de mon activité de président du Syndicat
national des entreprises artistiques et culturelles (Syndeac).
Lors de l'audience du 26 septembre 2007, un jugement a été rendu en première instance. Le
tribunal correctionnel de Châlons en Champagne m'a relaxé et a débouté le Salmanazar de
toutes ses demandes à mon encontre.
Le Salmanazar, ex scène conventionnée d'Epernay, exclue du Syndicat national des
entreprises artistiques et culturelles (Syndeac) en 2007, et le Parquet, ont fait appel. Le
Salmanazar s'est désisté de son appel avant l'audience. Le Parquet l'a maintenu.
Lors de l'audience du 10 juin 2008, la cour d'appel de Reims a confirmé le jugement de
relaxe.
Un rapprochement entre les parties étant intervenu, j'ai clos la procédure que j'avais entamée
auprès du Conseil de Prud'hommes d'Epernay.
Je me félicite bien entendu de cette deuxième décision de justice, conforme à la première, qui
rétablit définitivement la vérité des faits, et clôt une "affaire" qui n'en a jamais été une.
Stéphane FIEVET
Metteur en scène,
Ancien président du Syndeac.
Contact : [email protected]