La Maison de Bernarda Alba

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La Maison de Bernarda Alba
[ LA MAISON DE BERNARDA ALBA ]
Libre adaptation de la pièce de Federico García Lorca
Théâtre et Musique
[ GENÈSE ]
Lorsque Estelle Micheau, alors jeune diplômée du Conservatoire d’Orléans, me parla de ce
projet, je n’ai pu qu’y adhérer immédiatement. En effet adapter cette pièce de Lorca en
intégrant des mélodies espagnoles correspondait tout à fait à la démarche de Siebel
Compagnie.
Lorca est en effet bien connu du monde du théâtre par ces pièces : La maison de Bernarda
Alba, Yerma, Noces de sang. Toutes sont comme des reportages photographiques du
monde rural espagnol de la moitié du XXe siècle. Monde fermé s’il en est, quasi carcéral par
ses conventions, ses non dits. Mais nous connaissons moins les mélodies que Lorca écrivit.
C’était l’occasion de les faire découvrir, complétées par des mélodies de Manuel de Falla et
des Chants religieux du XVIe siècle.
Crée tout d’abord au sein de la Compagnie l’Eau qui dort à Ingré, le projet s’étoffa au fil du
temps : des chants espagnols de Lorca, De Falla, Granados interprétés en direct et
accompagnées par un jeune guitariste de talent figurant ainsi le personnage de « Pépé le
Romano ’ , des poèmes de Federico García Lorca et quelques pas de danse tirés des
fameuses sevillanas s’intégrèrent petit à petit au texte.
D.P.
Adaptation : Estelle Micheau
Mise en scène : Nelly Delas et Estelle Micheau
Distribution : Muriel Blondeau (Angustias)
Florie Dufour (Martirio)
Aimée Leballeur (Poncia)
Estelle Micheau (Adela)
Dominique Pautas (Bernarda)
Julien Siguré (guitariste)
Costumes : Elisa Micheau
Éclairage :
Grégory Renault
Affiche :
Ludovic Meunier
[ RESUMÉ ]
Antonio Maria Benavides est mort.
Sa femme Bernarda, véritable tyran, se doit de sauver les apparences et d'éviter tout
commérage:elle impose donc à ses filles, Angustias, Martirio et Adela, un deuil de huit ans
pendant lequel elles resteront murées dans la maison familiale.
Seule l'aînée, Angustias, est promise à une vie meilleure car elle doit bientôt épouser Pépé le
Romano, le plus convoité des hommes du village.
Désir, jalousie et frustrations se lisent dans les chants et les échanges de ces femmes, sous
le regard de Poncia, servante et témoin du drame familial.
[ NOTE D’INTENTION ]
À travers l’histoire de ces femmes aux désirs bridés, la pièce nous parle du poids de la
convention sociale et de la bienséance comme frein à l’expression du soi : femmes
prisonnières de leur condition de femme sous la coupe destructrice d’une mère rigide qui
perpétue « la tradition » en tyrannisant ses filles et en tentant de leur inculquer l’éducation
stricte qu’elle a du elle-même subir.
Tantôt soumises, tantôt révoltées mais camisolées, elles n’ont pour seule échappatoire que
la mort , réelle ou métaphorique.
Ne sommes-nous pas parfois des « morts-vivants », refoulant constamment nos sentiments,
nos émotions, nos désirs pour correspondre aux normes sociales ?
La femme ne subit-elle pas encore ces pressions à l’heure actuelle mais sous une autre
forme ?
[ LA SCÉNOGRAPHIE ]
Scénographie épurée :
Une chaise, objet associé principalement à Bernarda, tel un trône, véritable symbole de
pouvoir.
Un escabeau, qui fait le lien entre le patio et le monde extérieur.
Un rideau de perles de bois, qui fait le lien avec l’intérieur de la maison.
Des pans de tulle de tailles différentes utilisés par les comédiennes comme « tissus à
broder » sur lesquels, telles Pénélope, elles recommencent sans cesse l’ouvrage dans
l’attente du retour de leur Ulysse.
Les tulles délimitent également l’espace des femmes, rapport au patio espagnol, lieu de
réunion familiale et véritable cœur de la maison.
Ce décor sans fioritures donne une atmosphère aride, spartiate.
Unité de costume chez les comédiennes : elles portent toutes une robe noire en rapport au
deuil tout récent du père, hormis parfois Adela qui en guise de révolte se permet d’étrenner
une robe verte.
Le guitariste qui symbolise l’homme se trouve en dehors des tulles, à l’extérieur de ce huis
clos.
Le reste de l’ambiance est généré par la lumière qui privilégie les couleurs chaudes pour
ajouter au côté pesant de l’ensemble.
Certaines pensées des protagonistes (instants chantés) sont mises en valeur par une
douche de lumière qui isole et donne l’impression d’un suspens dans le temps.
[ PRÉSENTATION DES INTERPRÈTES ]
[ ESTELLE MICHEAU ]
Après des études de piano et un DEUG de musicologie, Estelle Micheau décide de se
consacrer au chant.Elle entre dans la classe de Corinne Sertillanges au Conservatoire
d’Orléans et obtient son prix de chant et son prix de musique de chambre à l’unanimité en
2007.
Très attirée par la scène, elle étudie en parallèle l’Art Dramatique, avec Jean Claude
Cotillard, Aziz Kabbouche ou encore Christophe Maltot.
Rapidement Estelle travaille pour plusieurs compagnies comme Musique à voir (« Satie et
la belle excentrique »), la compagnie Clin d’œil (« Le chat noir » et « Hypocondriac 1er »
opéra bouffe de Louis Dunoyer de Segonzac où elle tient le rôle de boulimie), Siebel
compagnie (« Les Offenbacchiades’ , « La maison de Bernarda Alba » de Lorca qu’elle
adapte et met en scène) ou encore avec le Krizo théâtre (« Les rites bougent’ ).
Elle était Ernestine dans « Monsieur choufleuri » de Jacques Offenbach au côté de François
Harismendy, production de l’Orchestre du Chapitre dirigé par Gildas harnois et mis en scène
par Baptiste Roussillon.
Elle a fait partie également de « L’atelier Philidor », ensemble de solistes réunissant de
jeunes professionnels autour de François Bazola et de L’ensemble Philidor.
On a pu l’entendre comme soliste pour « la messe de l’orphelinat » de Mozart avec
l’ensemble vocal Ami-Voix et pour le « Membra Jesu Nostri » de Buxtehude avec
l’ensemble vocal La Sarabande.
Elle se produit régulièrement en récital de mélodies espagnoles avec guitariste et de
mélodies françaises avec pianiste comme dans « Amourettes et opérettes » autre création
de la compagnie musique à voir.
Elle a été choisit pour incarner « La Cavalieri » célèbre cantatrice du XVIIIème siècle, dans
la comédie musicale « Mozart l’opéra rock ». En parallèle, elle participe à une adaptation de
la flûte enchantée de Mozart, mise en scène par Geneviève Brunet et Odile Mallet où elle est
Pamina, ainsi qu’à plusieurs concerts à la Sainte Chapelle de Paris avec le quatuor Eiffel
orchestra où elle interprète les plus beaux airs du répertoire lyrique.
Bientôt elle sera La baronne suédoise dans « La vie parisienne » à Meung-sur-Loire (Loiret)
[ MURIEL BLONDEAU ]
De 1998 à 2004, Muriel Blondeau reçoit une formation de comédienne au Conservatoire
d’Art Dramatique d’Orléans, sous la direction de Jean-Claude Cotillard puis de Christophe
Maltot. Participant à de nombreux stages, elle travaille avec des personnalités aussi diverses
que Sophie Loucachevsky, Rafaël Bianchotto ou Olivier Py.
Depuis 2004, elle a joué dans Pièce écrit et mis en scène par Jean-Marc Poullet, Une Saison
en Enfer mis en scène par Arthur Bénali et La Maison de Bernarda Alba mis en scène par
Estelle Micheau pour la Compagnie de l’Eau Qui Dort.
En 2005, elle chante dans Projet : hôtel 16, spectacle musical mis en scène par Jérôme
Marin et en musique par Eric Amrofel pour le Théâtre Orchestral de Mlle Jézabel. La même
année, elle décide de monter un tour de chant Cabaret avec le personnage de Louisa Mauer.
Dorénavant elle jongle entre spectacle de théâtre et spectacle musical.
En 2006, elle participe à l’Atelier Théâtral du Centre dirigé par François Wastiaux pour la
compagnie Orlamonde, et joue dans Le Cœur Mangé mis en scène par Christian Sterne pour
la compagnie des Fous de Bassan.
En 2008, elle joue dans Alpenstock, de Rémi De Vos, mis en scène par Wissam Arbache
pour la compagnie de L’Oeuf à dix pas et participe à différents courts-métrages réunis sous
le nom de Kinématographe, pour la compagnie de la Tortue Magique.
Depuis 2009, elle tourne avec le spectacle Crampe Affective du Théâtre du Palpitant et dans
différents spectacles musicaux, Boris Vian en chansons : Chansons impossibles au côté de
Jérôme Marin et Antoine Bernollin, et avec son personnage Louisa Mauer dans « De cris, de
cordes et d’âmes... » accompagnée par Eric Amrofel au piano et le Quatuor Horizon.
En 2010, de nouveaux spectacles de chansons voient le jour : La commune en chantant au
côté de Vincent Lenormant, Pépé La Jactance, spectacle d’hommage à Pierre Perret
commandé par l’association ABCD pour le Festival de Travers 2010.
Elle rejoint également l’équipe d’Albert Tandem où elle interprète les compositions du
tandem A. Roi (textes) - F. Ferrand (musique).
[ DOMINIQUE PAUTAS ]
Conjuguant musique et théâtre, après une formation de comédienne, Dominique PAUTAS
entre au Conservatoire National de Musique de Paris en Art Lyrique. Suite à l’obtention de
son prix, elle se produit sur de nombreuses scènes françaises dans des spectacles
d’opérettes et d’opéra : La vie parisienne, Orphée aux enfers, La Belle Hélène ( Offenbach) ,
La Chauve Souris ( J.Strauss), La Traviata ( Verdi) Five o’clock Tea ( G.Finzi), Les
mousquetaires au couvent ( Varney), La Belle de Cadix, Le Chanteur de Mexico( Lopez)
Valses de Vienne ( Strauss) Leçons de français pour étudiants américains ( I.Aboulker), Le
roi Pausole ( Honegger), Le capitaine Fracasse ( Dunoyer de Segonzac) et donne de
nombreux récitals de mélodies françaises.
Aimant participer à des expériences originales faisant appel à l’art lyrique, elle chante lors de
nombreux évènements et festivals sur l’agglomération orléanaise : Théâtre en herbe à
Saran, illustration musicale de film dans le cadre de Images Imaginées à Orléans, fêtes
johanniques de Chécy, festival Cours et jardins, festival Bouton d’art. Festival de Travers.
Elle collabore avec des groupes de musique traditionnelle avec lesquels elle enregistre des
Perbroach, musique savante écossaise pour cornemuse et travaille également avec des
musiciens électroacousticiens avec lesquels elle se produit dans des SMAC.
Elle crée en 2000 Siebel compagnie, entreprise destinée à promouvoir l’art lyrique auprès
des publics les plus variés. Avec cette compagnie, elle monte
Un impossible rêve
(spectacle-cabaret autour de Kurt Weill), Dieu que la chair est faible ( spectacle-cabaret à
base d’opérette), Pas d’pagaille (spectacle jeune public d’après La flûte enchantée” de
Mozart) , Mes Andromaques (opéra contemporain de P.Lipchitz et S.Ceccaldi pour soprano
et violoncelle) , Offenbacchiades et Bons baisers de…
En 2010, elle met en scène La vie parisienne de J.Offenbach à Meung sur Loire.
[ FLORIE DUFOUR ]
Florie Dufour, née en 1985 au cœur de la Sologne, étudie le basson à RomorantinLanthenay et obtient son Diplôme de Fin d’Etudes en 2003.
Elle découvre ensuite le chant lyrique et se lance dans des études supérieures littéraires et
musicales. En 2007, elle obtient une licence de lettres modernes à Paris III-SorbonneNouvelle et un brevet de chant lyrique dans la classe de Sharon Coste au Conservatoire
d’Orléans. Elle poursuit ensuite sa formation lyrique dans la classe d'Hélène Obadia.
Florie suit parallèlement une formation théâtrale sous la direction de Christophe Maltot puis
de Fabrice Pruvost au Conservatoire d’Orléans. Elle obtient son Diplôme National
d’Orientation Professionnelle Théâtrale en juin 2009 après avoir alterné stages et cours
réguliers (interprétation, improvisation, masque, danse contemporaine…). Elle travaille ainsi
sous la direction d’Olivier Balazuc, Philippe Lebas, Christiane Cohendy, Alain Bézu, Tim Mc
Donough et Janice Ackers de l’Université d’Atlanta et enfin Denis Lachaud et Vincent Rafis,
artistes associés au CDN d’Orléans.
Elle interprète différents rôles dans des pièces mêlant souvent théâtre et musique : La
maison de Bernarda Alba de Lorca mis en scène par Estelle Micheau avec des mélodies
populaires espagnoles (Siebel compagnie), Le pigeon de Süskind sous la direction d’Olivier
Courtemanche (Compagnie Jeux de Vilains), L'Opérette imaginaire de Novarina mis en
scène par Fabrice Pruvost et Phi-phi de Christiné mis en scène par Sharon Coste
(Conservatoire d'Orléans). Florie interprétera également Juliette dans la création en avril
2011 de Roméo et Juliette, variation pour six nez rouges (Compagnie Jeux de Vilains).
Avec la chanteuse Catherine Rouet, elle crée en décembre 2007 la compagnie Matulu, qui
s’attache à marier littérature et musique sous forme de spectacle vivant. Trois lectures
musicales plus tard (Senghor, Poésies en noir et blanc, Malices de contes en musique,
Dialogues de bêtes de Colette), Matulu présente le spectacle Echos, jeux et reflets en
collaboration avec le peintre Pierre Zanzucchi et Le Bel indifférent de Jean Cocteau, pièce
théâtrale et musicale mise en scène par Florie Dufour.
[ AIMÉE LEBALLEUR ]
Formée au Conservatoire National d’Art Dramatique de la ville d’Orléans de 1992 à 1996 par
Jean-Claude Cotillard et Nicole Mérouze de la Compagnie Renaud-Barrault, Aimée Leballeur
a également été l’élève de Claude Duparfait et de Jean-Marc Eder.
Elle a ensuite suivi une formation de manipulation et de création de marionnettes avec la
compagnie La Tortue Magique, à Orléans. Elle participe activement en tant que comédienne
à plusieurs créations de cette compagnie (La Vie c’est Super 8 !, La Vie c’est Scopitone !,
Arbrange…), et tourne avec elle depuis 2001 dans de nombreux festivals en France et à
l’étranger.
C’est aussi en 2001 qu’elle rencontre Christophe Thébault, avec qui elle travaille le jeu
masqué, et l’art de la commedia dell’arte.
Elle a participé depuis 2003 aux spectacles et à la recherche autour du jeu masqué de la
compagnie KRIZO théâtre (Scène Russe, Les Rites Bougent, et actuellement Les Vies
d’Ulysse…) à Orléans.
Elle collabore régulièrement avec d’autres compagnies dans des registres très variés et
peaufine au fil des rencontres et des expériences son jeu de comédienne et sa capacité
d’interprète (actuellement dans Le Jeu des 7 Familles du Théâtre, compagnie Clin d’œil, Le
Cœur Mangé, compagnie Les Fous de Bassan)
Aimée Leballeur est également la chanteuse irrévérencieuse des Tord-Boyaux, puis des
Amuse-Gueules, formations musicales avec lesquelles elle explore depuis 1998 le répertoire
français de la chanson cabaret à personnages.
[ JULIEN SIGURÉ ]
Julien Siguré commence l’étude de la guitare classique à 7 ans, avec Anne Riou-Lavandier
et Claude Louarn, et poursuit ses études musicales au CRD d’Orléans (France). Recevant
notamment l’enseignement de Gérard Abiton et Pierre-Alain Biget, il y remporte plusieurs
récompenses, en Formation Musicale (1er Prix), en Guitare (1er Prix et Prix Régional), et
Musique de Chambre (1er Prix et Prix Régional).
Il se produit en concert, privilégiant la musique de chambre : en trio avec flûte et chant, en
duo avec Antoine Siguré aux percussions (création en 2006 de Boîte de Pandore du
compositeur Alain-Michel Riou), ou encore avec Estelle Micheau, soprano, se consacrant
alors aux musiques populaires et savantes du XXe siècle ; il collabore aussi à l’ouvrage
collectif Dominique, avec une composition pour guitare seule. Récemment, il participe à
l’adaptation de la pièce de théâtre de Federico Garcia Lorca, La maison de Bernarda Alba,
où il accompagne les comédiennes et chanteuses.
Julien Siguré est par ailleurs diplômé de la faculté de Paris-Sorbonne, avec un Master de
Musique et Musicologie (sur les relations inter-artistiques entre Manuel M. Ponce et Juan
Gris). Après avoir enseigné plusieurs années la guitare dans la banlieue d’Orléans, il vit
actuellement en Belgique, où il se perfectionne au Conservatoire Royal de Bruxelles dans la
classe d’Hugues Navez.
[ GREGORY RENAULT ]
Après quelques années dans l'enseignement, Grégo se consacre maintenant à des activités
théâtrales: il est directeur de la compagnie Jeux de Vilains avec laquelle il met en place
nombre d'actions culturelles: festivals (du 29 au 35, L’écho du caquetoire…), animation
d'ateliers d’escrime, de spectacles (Le nez de cochon de Cyrano, Le cartel, La voix des
armes…Le Râmâyana franco-indonésien…)
Il est aussi comédien et-ou technicien pour plusieurs compagnies régionales."(Siebel,Cie
Pajon, Fabrika Pulsion…)
[ PRÉSENTATION DE SIEBEL COMPAGNIE ]
Crée par deux jeunes chanteurs issus du Conservatoire National de Musique de Paris,
Siebel Compagnie a pour objectif de promouvoir le chant lyrique sous des formes variées,
auprès de publics les plus divers possible.
Association parisienne à l’origine, l’installation d’un des membres fondateurs en Région
Centre a provoqué un changement de statut juridique tout en maintenant le projet artistique
de départ.
Ainsi Siebel Compagnie participe à la diffusion de l’art lyrique en proposant des concerts,
spectacles auprès de publics néophytes ou dans des lieux originaux : opéra concert dans
des bistrots, création jeune public, diffusion en milieu rural (granges, distillerie, musée, etc.) .
Le désir de faire croiser des univers musicaux ou s’est aussi exprimé en travaillant en
collaboration avec des groupes de musiques traditionnelles et en se produisant avec des
musiciens électroacousticiens.
Plusieurs créations ont vu le jour durant ses dernières années :
En 2008, Offenbacchiades, vaudeville lyrique à partir de la musique de Jacques Offenbach
En 2003, une production jeune public pour les enfants à partir de 5 ans : “ Pas d’pagaille” ,
libre adaptation de La flûte enchantée de Mozart, petite forme regroupant une chanteuse
lyrique, un conteur marionnettiste et un musicien (plus d’unecinquantaine de représentations
à ce jour)
En 2006, Mes Andromaques, opéra de chambre en 1 acte, pour tout public à partir de 14
ans, création musicale d’après un texte contemporain de Philippe Lipchitz autour du thème
d’Andromaque, de l’exil et de la déportation, petite forme originale avec une chanteuse
lyrique, une violoncelliste, un enfant comédien.
D’autres spectacles de la compagnie crées précédemment continuent à tourner :
- un spectacle plus cabaret avec un répertoire fantaisiste (Poulenc, Offenbach, Villemetz,
Messager) “ Dieu que la chair est faible” avec 2 chanteurs et un musicien
et bien sûr, les concerts “ Caprices de diva” autour du thème des héroïnes et des femmes
amoureuses en opéra, forme réduite avec juste une chanteuse et une pianiste.
En 2009, la reprise du projet « La maison de Bernarda Alba » permet un croisement théâtre,
musique et danse.
En 2010, un nouveau spectacle jeune public « Ondine » libre adaptation de La petite sirène
d’Andersen et s’inspirant de l’opéra « Rusalka » de Dvorak voit le jour. Là encore, l’art
lyrique y tient bonne place et se mêle au conte et à la marionnette
[ RENSEIGNEMENTS PRATIQUES ] :
Durée du spectacle : 1 heure
Montage : 2 services de 4h
Démontage : 2 heures
Prix : 2 700 ! TTC plus frais de transport (1 camionnette et une voiture)
Hébergement et repas pour 7 personnes à la charge de l’organisateur
Prévoir frais SACD-SACEM en plus
Fiche technique lumière son sur demande
Contact :
Chargée de diffusion du spectacle
Alba Martin Lataix - 06 08 67 04 55
Email : [email protected]
Siebel Compagnie – 4 allée Robin des Bois- 45450 Donnery- France
Licence : 2 – 102298 – Siret : 438 619 108 00014- APE : 9001Z
La république du Centre – 8 novembre 2007