5 mai, journee de la langue portugaise et de la culture

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5 mai, journee de la langue portugaise et de la culture
5 MAI, JOURNEE DE LA LANGUE PORTUGAISE ET DE LA CULTURE
DES PAYS DE LANGUE PORTUGAISE
Organisation:
Ambassades du Brésil et du Portugal à Tunis
http://www.cplp.org/
En juin 2009, la Communauté des Pays de Langue Portugaise – CPLP - constituée par l’Angola, le
Brésil, le Cap-Vert, la Guinée-Bissao, le Mozambique, le Portugal, Sao Tomé et Principe et TimorLeste, a institué le 5 mai, Journée de la Langue Portugaise et de la
Culture.
La CPLP englobe plus de 250 millions de lusophones, disséminés sur
7,2 % de notre planète, avec une prédominance dans l’hémisphère
Sud, ce qui positionne la Langue Portugaise comme la 5.ème langue la
plus parlée dans le monde et la 6.ème la plus utilisée dans le monde des affaires et sur Internet.
L’une des langues qui a apporté le plus à son lexique a été la langue arabe, avec environ 800 à 1.000
mots présents en divers domaines, de la science à l’agriculture, en passant par la toponymie (nom de
lieux), et d’où provient le nom de l’Algarve (Al Gharb, la région la plus occidentale de Al Andalous).
La CPLP célèbre cette journée par divers évènements qui visent à mettre en exergue la Langue
Portugaise et les diverses cultures qui par elle s’expriment, en accentuant, aussi souvent que
possible, la richesse de leur diversité découlant de la spécificité de chaque pays ou région.
Avec le soutien:
Cinéma Alhambra
PROGRAMMATION 2014
PARTIE 1 - JOURNÉES DES FILMS DES PAYS DE LANGUE PORTUGAISE
DU 29 AVRIL AU 2 MAI
Cinéma Alhambra – Le Zéphir - La Marsa
- mardi,
29 avril, 19H
"Viagem a Cabo Verde" /"Voyage au Cap-Vert"
José Miguel Ribeiro, 2010, 17', PORTUGAL (court métrage)
«Histoire d’un voyage de 60 jours de marche au Cap-Vert. Sans téléphone portable,
sans montre, sans prévoir le lendemain, avec le minimum essentiel sur le dos, le
voyageur découvre les montagnes, les villages, la mer, une tortue, la musique, les
chèvres, la brume sèche, les cap-verdiens et surtout une part essentielle de luimême. »
source/adapté de: http://www.festivaltouscourts.com
"Narradores de Javé"/"Narrateurs de Javé"
Eliane Caffé, 2003, 100', BRÉSIL (long métrage)
“Face à la menace de construction d’un barrage hydroélectrique qui inonderait leurs
terres, les villageois de la vallée de Javé n’ont qu’une seule solution : faire de leur
terroir un patrimoine national. Une idée lumineuse surgit alors : convaincre que la
mémoire de cette petite contrée est digne d’être conservée. (...) llustrée par des
flashs-back, où se mêlent souvenirs plus ou moins exacts, mythes et légendes,
l’histoire est habillement racontée par un narrateur.”
source/adapté de: http://www.rewmi.com/festival-du-cinema-bresilien-ecran-auriverde-a-dakar_a8019.html
- mercredi,
30 avril, 19H
"O Herói"/"Un Héros"
Zezé Gamboa, 2004, 97', ANGOLA
(long métrage)
«Vitorio, qui vient de perdre une jambe sur une mine, est enfin démobilisé après vingt
ans de combat dans l'armée qui l'a recruté de force. A Luanda en Angola, l'errance
puis le retour à la vie de Vitorio dans cet environnement autrefois familier devenu
étranger... »
source/adapté de: http://www.premiere.fr/film/Un-Heros-143430
- jeudi,
1 mai, 19h
"Nha Fala"/"Ma voix"
Flora Gomes, 2002, 85', GUINÉE-BISSAO (long métrage)
“Dans la famille de la jeune Vita, au Cap-Vert, une légende ancestrale promet la mort
à celle qui s'essaiera à chanter. A Paris, où elle va poursuivre ses études, Vita tombe
amoureuse de Pierre, un jeune musicien. Subjugué par sa voix, Pierre la convainc
d'enregistrer un disque. Mais terrifiée à l'idée d'avoir bravé la malédiction, Vita décide
de rentrer et avec Pierre met en scène sa libération, montrant que tout est possible
pour qui a le courage d'oser.
"Nha fala", dont le réalisateur a confié la musique à Manu Dibango, a été tourné au Cap-Vert en
2001, alors que la situation en Guinée-Bissao était assez tendue (...)”
source/adapté de: http://www.trigon-film.org/fr/movies/Nha_Fala
- vendredi,
2 mai, 19h
"Central do Brasil"/"Central du Brésil"
Walter Salles, 1998, 115', BRÉSIL (long métrage)
Nommé pour l’Oscar de Meilleure Actrice 1999 (Fernanda Montenegro)
«L’ancien enseignant, Dora, fait le fait que écrit des lettres pour les personnes
analphabètes à venir à la gare centrale de Rio de Janeiro. Indifférent à ses clients, il
faut un dollar par lettre, et d’un dollar, si vous lui demandez d’envoyer. Et il n’envoie
pas toutes les lettres.»
source/adapté de: http://kinomusorka.ru/fr/films-film-central-station.html
PARTIE 2 – CONCERT DE MUSIQUE
SUPER MAMA DJOMBO, 3 mai, Acropolium de Carthage, 20h
Algures nos anos 60, na Guiné-Bissau, quatro jovens amigos
deram início a uma das bandas africanas mais
revolucionárias e históricas de sempre. Na procura do nome,
escolheram Mamadjombo, o nome dum espírito
reverenciado que os revolucionários apelaram para
protecção.
A Orchestra Super Mama Djombo liderou um período
efervescente da revolução cultural na época da
independência desse país e reinventou / dinamizou o crioulo
local (combinatória muito particular das línguas portuguesa e africanas) como língua de unidade
nacional, utilizada maioritariamente no seu repertório. O seu enorme sucesso manifestou-se em
inúmeros concertos um pouco por toda a África Lusófona, Cuba e Portugal, assim como pelo Senegal,
onde o ainda desconhecido Youssou N‘Dour abriu a primeira parte de um dos seus concertos mais
concorridos.
Em 1980, a banda iniciou as suas primeiras gravações,
exponenciando o sucesso obtido através dos concertos.
Destacou-se com prémios diversos, nomeadamente com a
banda sonora do filme "Os Olhos Azuis de Yonta"
(premiado, em 1992, com "Un Certain Regard" no Festival
de Cannes, tal como com o “Tanit de Bronze“ no Festival
International de Carthage), assim como com, entre outros,
o álbum "Ar Puro", produzido e lançado na Islândia em
2008, sobejamente conhecido pelas várias gerações da Guiné Bissau.
Os Super Mama Djombo estão de volta aos palcos, com uma nova formação que junta fundadores e
novos músicos, revitalizando a qualidade e energia de sempre!