PROCHAIN CONSEIL MUNICIPAL
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PROCHAIN CONSEIL MUNICIPAL
L’an deux mille onze Le vingt huit septembre à vingt heures Le Conseil Municipal, légalement convoqué, s'est réuni au lieu habituel de ses séances, sous la présidence de Mr MANGOLD Jacques, Maire Etaient présents : Mr MANGOLD Jacques, Maire ; Mr PAGNY Gilles ; Mr COULAU Philippe; Mme LE MORVAN Martine ; Mr SIMON Yvon; Mr PEDRON Bertrand Adjoints ; Mr LE ROUX Loïc ; Mr LE FRIEC Dominique ; Mr LE LOUEDEC Michel ; Mme LE CHEVANTON Danielle ; Conseillers Délégués; Mr LE TYRANT Olivier ; Mme HAMON Chantal ; Mme RIVOALLAN Véronique ; Mr LAHAYE Alain ; Mme HAROUARD Martine ; Mr PAUL Stéphane ; Mme GOUELOUCAPLAT Jacqueline ; Mme BOUREL Florence, Conseillers Municipaux formant la majorité des membres en exercice. Absent excusés: Procurations : Monsieur PLOUZIN Dominique à Monsieur PEDRON Bertrand Madame GUEZOU Marie Louise à Monsieur LE FRIEC Dominique Madame AMOURET Sylviane à Madame HAMON Chantal Monsieur LE JOUANARD Armand à Monsieur MANGOLD Jacques Monsieur MINIER Mickaël à Monsieur SIMON Yvon Madame BOUREL Florence a été élu secrétaire de séance Après que le compte rendu de la dernière séance ait été approuvé à l’unanimité, Le Maire passe à l’ordre du jour. 1 01 – URBANISME – OPERATIONS FONCIERES 11 – CONTENTIEUX VERDOT - CONTENTIEUX D’URBANISME CONTENTIEUX Le Maire expose que le Conseil Municipal lui a donné délégation par délibération du 30 mars 2008 pour intenter au nom de la commune les actions en justice ou de défendre la commune dans les actions intentées contre elle, dans l’urgence ou dans les cas définis par le conseil municipal Il suggère qu’une précision soit apportée dans ce domaine et que le conseil Municipal indique que cette autorisation vaut notamment pour les contentieux d’urbanisme et la gestion du droit des sols. Cette autorisation s’appliquerait immédiatement au contentieux en cours se rapportant à des permis tacites. Le Maire expose qu’un permis de construire tacite a été accordé à Mme VERDOT Anna sur un terrain situé à Pont Huon et que Monsieur le Préfet des Côtes d’Armor a saisi le Tribunal Administratif pour le faire annuler, en considérant que la construction attaquée ne serait pas en continuité avec l’urbanisation existante. Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, à l’unanimité, - - Décide d’autoriser Le Maire à entreprendre toute procédure utile pour ce qui concerne les contentieux d’urbanisme en cours et à venir et de gestion du droit des sols. D’autoriser en l’occurrence Le Maire à défendre le permis tacite accordé à Mme VERDOT Décide de confier la défense des intérêts de la commune à l’avocat qui sera désigné par le groupe d’Assurance DAS. 12 - PROJET ETABLISSEMENT PUBLIC FONCIER REGIONAL Le Maire expose que l’Etablissement Foncier a légèrement modifié la convention passée avec lui en ce qui concerne l’acquisition des terrains de Kervégan. Modification de l’article 11 de la convention : Rédaction antérieure : « le taux d’actualisation est décompté au jour le jour et appelé une fois par an par l’EPF le premier semestre de l’année N pour la somme due au titre de l’année N-1 » Rédaction actuelle : « Le taux d’actualisation est décompté au jour le jour et appelé en fin de portage, au moment de la revente » - Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, à l’unanimité Approuve la modification de la convention passée avec l’Etablissement Foncier Régional les 5 et 12 avril 2011 tel qu’elle est reprise ci-dessus. OBSERVATION : Le Maire expose qu’avec l’EPFR il est possible d’opérer une gestion collective des terrains. Il indique par ailleurs que la modification souhaitée offre une plus grande souplesse 2 à la collectivité pour procéder à ses remboursements et facilite donc l’approvisionnement de la trésorerie. 13 - CHARTE DU SYNDICAT MIXTE ENVIRONNEMENT DU GOËLO ET DE L’ARGOAT La Charte Communale pour une gestion durable de l’eau vise à : 1. Formaliser l’engagement de la commune pour une gestion durable de la ressource en eau sur son territoire (pratique d’entretien des espaces, gestion du milieu – zones humides, bocage, réseau hydraulique, entretien des bâtiments), 2. Encourager les communes dans l’amélioration de leurs pratiques et constituer un code de bonnes pratiques, 3. Engager la commune dans une politique de communication auprès des particuliers, 4. Engager la communauté de communes dans une action concordante à celle de la commune, 5. Formaliser l’engagement du SMEGA pour l’accompagnement de la commune sur ces points d’engagement. La Charte Communale pour une gestion durable de l’eau comprend trois volets : 1. Entretien des espaces communaux : contenu technique et méthodologique d’une maîtrise des pollutions ponctuelles et diffuses liées aux pratiques de désherbage. Ce volet reprend les recommandations élaborées au niveau régional sous l’égide de la Cellule d’Orientation Régionale pour la Protection des Eaux contre les Pesticides (CORPEP) ; 2. Milieux : contenu technique et méthodologique d’une gestion des milieux respectueuse de l’eau et des milieux aquatiques (réseau hydraulique, zones humides, bocage) ; 3. Gestion durable de l’eau : contenu technique et méthodologique pour une gestion de l’eau économe et pour des équipements d’épuration communaux efficaces. Un élu de la commune suivra particulièrement le déroulement de ces opérations, en la personne de Monsieur LE LOUEDEC Michel, et sera chargé d’en rapporter le déroulement à l’ensemble du conseil municipal. Une fois la Charte Communale validée par la commune, la Communauté de Communes et le SMEGA, la commune s’engage à respecter les orientations définies dans la charte. Il est important que ces orientations soient immédiatement connues de l’ensemble des élus et du personnel communal (service technique, secrétaire de mairie...) afin, par la suite, de pouvoir les communiquer à la population. Après en avoir discuté, le conseil municipal est favorable à ce que la commune s’engage pour une gestion durable de l’eau à travers la charte communale proposée par le SMEGA. 3 Le Conseil municipal décide donc : - D’autoriser Monsieur le Maire à signer la Charte Communale pour une gestion durable de l’eau proposée par le SMEGA OBSERVATIONS : Le Maire souligne que l’objet de la charte est d’aboutir à une amélioration de la qualité de l’eau. La Commune inscrit sa politique de l’eau dans cette perspective au travers de la charte qui sera à la fois un plan de travail et une feuille de route. En réponse à Mr LE LOUEDEC, qui se demande quelle sera la forme de l’action du SMEGA, le Maire précise qu’il s’agira de fiches techniques ou d’actions directes. Les actions visent le milieu agricole, mais aussi les particuliers avec notamment l’entretien des talus ou le désherbage mécanique. L’objectif recherché étant bien de protéger les nappes phréatiques. Il précise que le SMEGA a aussi passé des conventions avec les agriculteurs pour reconstituer les talus ou le bocage. Mr LE LOUEDEC déplore qu’il n’y ait pas de mesures coercitives dans le domaine du désherbage et se plaint par ailleurs de l’incohérence qu’il y a à autoriser des produits dangereux sans contrôle des modes d’épandage. Mr COULAU souligne que le particulier dans l’utilisation des produits par souci d’efficacité a tendance à augmenter les quantités. Il se réjouit par contre que des conventions aient été passées entre le SMEGA et les vendeurs pour sensibiliser les acheteurs sur la nature des produits de traitement. Le Maire après avoir préciser les limites du désherbage thermique, met aussi l’accent sur la nécessité de veiller à la sécurité des usagers de la route en procédant à l’élagage des arbres. A Mr PAGNY il précise qu’à présent il y a une possibilité de facturer au riverain des prestations d’élagage. Il indique qu’une information sur ce sujet sera à nouveau portée au bulletin municipal Mr LE TYRANT déplore aussi que de nombreuses branches sont prises dans les câbles électriques ou téléphoniques. ZONES HUMIDES Mr COULAU fait un exposé succinct sur la réalisation de l’inventaire des zones humides dont un plan est suspendu dans la salle du conseil municipal. Un cahier d’observations est tenu à disposition du public pendant une période d’un mois. 14 - CONSERVATOIRE DU LITTORAL - MISSION DE DIAGNOSTIC PAYSAGER A la demande du Maire, Monsieur SIMON présente le projet de dossier que le Conservatoire envisage de mettre en œuvre dans le cadre d’une consultation dans la perspective d’aménagement de la Pointe de Bilfot, englobant le stationnement automobile, un schéma de circulation piétonne, signalétique, une harmonisation et intégration paysagère. Le Conservatoire recherche ainsi un maître d’œuvre susceptible de définir le schéma d’intentions détaillé d’un projet d’aménagement global du site. Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, à l’unanimité, Approuve le cahier des charges défini par le Conservatoire du Littoral dans la perspective de définir le schéma d’intentions détaillé d’un projet d’aménagement global du site de Bilfot. 4 OBSERVATIONS : Mr SIMON précise que l’étude à mener intéressera le Département, la Communauté de Communes Paimpol Goëlo et la Commune dans le cadre d’une réglementation Natura 2000. Il expose ensuite le cahier des charges élaboré par le Conservatoire, en précisant que Le Conservatoire et le Département possèdent quelques terrains à la Pointe de Bilfot. Il souligne que l’étude sera intégralement financée par le Conservatoire. Il suggère dans un autre domaine que le dossier de définition d’une zone de préemption soit repris et il se propose de le faire coïncider ce périmètre avec les limites cadastrales des parcelles. Il souligne aussi l’utilité de signer une convention avec la Société de Chasse. En réponse à Mme HAROUARD il est indiqué que les travaux définis lors du diagnostic seront à la charge de la commune. Mr PAGNY souligne que la Communauté de Communes Paimpol Goëlo est partie prenante dans cette affaire qui relève de la compétence tourisme. Il considère par ailleurs qu’une intervention devra aussi se poursuivre sur Minard et Berjul. Le Maire rappelle que le programme initial de la « liste » indiquait que le littoral était un atout de PLOUEZEC. Il suggère de démarrer une action sur Bilfot, où un recensement de 1500 voitures par jour a été effectué sur une partie de la saison sans grosse fréquentation. Il souligne aussi le rôle d’intermédiaire à jouer entre les chasseurs et le Conservatoire. 15 - PROJET PARTENARIAL URBAIN Mme LE FLOC’H et Mr BAJUL Le Maire expose que Mme LE FLOC’H Andrée née REMOND a fait une demande de certificat d’urbanisme sur la parcelle AL n° 75 au « 15, Lan Vian ». Cette parcelle n’est pas desservie en électricité, une extension étant nécessaire. Le Syndicat Départemental d’Electricité a estimé le coût de cette extension à 2 636,45 H.T, dont 2 636,45 € à la charge du demandeur. Mr BAJUL Jean Luc a également fait une demande de certificat d’urbanisme sur les parcelles cadastrées section AW 94 et 97 au lieu-dit « Le Cosquer - Route des Islandais ». Ces parcelles ne sont pas desservies non plus en électricité, une extension étant nécessaire. Le Syndicat Départemental d’Electricité a estimé le coût de cette extension à 2 760,00 H.T., dont 2 7 60,00 € à la charge du demandeur. Pour finaliser ce projet, il convient que la commune passe des conventions de projet urbain partenarial, qui préciseront que dans cette affaire, Mme LE FLOC’H et Mr BAJUL prendront respectivement en charge l’intégralité de ces dépenses. Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, à l’unanimité, - Approuve la réalisation des travaux mentionnés ci-dessus concernant l’alimentation en basse tension des parcelles cadastrées section AL n° 75 d’une part et AW 94 et 97 d’autre part. - Autorise le Maire à signer les conventions à passer avec Mme REMOND et Mr BAJUL dans la perspective de réalisation et de financement de ces travaux 5 - Modifie les prévisions budgétaires de la manière suivante : Fonctionnement : Dépenses 4581 Opérations d’investissement sous mandat 5 400,00 Recettes 4582 : Opérations d’investissement sous mandat 5 400 ,00 02 - AFFAIRES SOCIALES 21 - VOEU - PROGRAMME EUROPEEN D’AIDE AUX PLUS DEMUNIS Le Maire expose que : Depuis 1987, le PEAD a été mis en place pour utiliser une partie des surplus européens de céréales, de lait, de beurre et de viande Une décision de la Cour Européenne de justice a créé une incertitude sur la mise en œuvre du PEAD en 2012 Dans un arrêt rendu le 13 avril 2011, la Cour Européenne de Justice a condamné le fait d’avoir alimenté le PEAD 2009 par un financement direct et non en ayant recours aux excédents agricoles, qui étaient à l’époque en faible quantité. Cette décision ne remet pas en cause le PEAD en tant que tel, ni la façon dont il s’est déroulé en 2010 et se déroulera en 2011 dans la mesure où ce sont bien les excédents agricoles qui ont financé ces deux dernières années. Néanmoins, ce jugement, s’il ne fait pas l’objet d’un recours, interdira à l’avenir les financements directs en cas d’absence d’excédents agricoles. Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, à l’unanimité, formule le vœu que : Les associations demandent instamment au gouvernement français et aux pouvoirs publics français de soutenir et de faire aboutir rapidement une réforme du programme par la création d’un dispositif renouvelé et pérenne inscrivant durablement l’objectif de sécurité alimentaire des populations européennes. Dans l’attente de l’aboutissement concret de cette négociation, il compte évidemment sur le soutien du gouvernement pour assurer aux associations humanitaires leur capacité à poursuivre leur action. OBSERVATIONS : Le Maire expose qu’à l’origine, l’utilisation des excédents agricoles remonte à l’année 1987 sous la présidence de Jacques DELORS et sous la pression de COLUCHE 1% de la Politique Agricole Commune soit 485 millions du budget étaient affectés aux plus démunis. Les Aides aux agriculteurs ont été réduites ce qui a provoqué une chute des excédents. Progressivement le lait a été remplacé par de l’argent et un certains nombre de pays ont considéré qu’il n’était pas du ressort de la P.A.C. de subventionner l’aide sociale, ce qu’a confirmé la Cour Européenne. Il en résultera une baisse substantielle de l’Aide aux Plus Démunis en raison d’une réduction de l’affectation de 485 à 185 millions. 3 grandes associations vont ainsi être privées de ressources : le Secours populaire, les Restos du cœur et la Banque Alimentaire. Il 6 considère que la Politique Européenne devrait soutenir les plus démunis au titre de la Solidarité. Mme LE MORVAN indique que le CCAS local intervient auprès des personnes en difficulté par le biais de paniers de produits de première nécessité. Elle rappelle que le CCAS participe aux collectes nationales de produits alimentaires. Les personnes sont aussi orientées sur l’épicerie sociale du CASCI. Elle souligne que les associations fonctionnent sans fond avec uniquement des collectes de produits frais et de produits laitiers. S’il n’y a plus d’excédent il n’y aura plus d’aide alimentaire. Elle suggère donc qu’il y ait un maintien des aides en l’absence d’excédents. Elle met aussi l’accent sur le fait que les personnes démunies ne sont pas que des gens qui ne travaillent pas. 22 - MOTION DE SOUTIEN A l’HÔPITAL DE PAIMPOL Le Maire demande à l’assemblée d’apporter officiellement son soutien à l’hôpital de Paimpol dont le fonctionnement est depuis quelques années menacé par des règles de fonctionnement imposées par l’Agence Régionale de Santé (A.R.S). Aujourd’hui, suite à la mobilisation des acteurs du centre hospitalier, conseil de surveillance, corps médical, organisations syndicales, membres du personnel de l’hôpital et des élus locaux, le risque de se voir opposer un refus au renouvellement du scanner semble écarté. Les élus de PLOUEZEC restent néanmoins vigilants et souhaitent réaffirmer leur soutien à l’hôpital de Paimpol. Ils s’opposent à tout nouveau démantèlement du service de proximité rendu aux citoyens. Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, à l’unanimité, Approuve le vœu proposé par le Maire et déjà approuvé par le Conseil Communautaire de la Communauté de Communes Paimpol Goëlo. OBSERVATIONS : Le Maire souligne que le fait que le scanner ait été promis par l’Agence Régionale de Santé nécessite néanmoins le maintien d’une certaine vigilance pour vérifier que cet engagement sera tenu Mr COULAU rappelle que le scanner avait été promis en contrepartie de la fermeture de la maternité en 2003. Il s’inquiète par ailleurs du non remplacement du directeur actuel. Il met l’accent sur le rôle renforcé de l’A.R.S. par rapport à l’Agence Régionale Hospitalière. Mr PAGNY rappelle aussi que le projet passage de la liaison ST BRIEUC PAIMPOL en 4 voies devait participer aussi à la sécurisation des transports médicaux. 23 –CENTRE DE LOISIRS SANS HEBERGEMENT Madame LE MORVAN expose que le fonctionnement du centre de loisirs a été satisfaisant durant la période estivale. Les innovations tant au plan des sorties que de l’accueil avec notamment la fourniture des repas ont été appréciées des parents. Une nouvelle dynamique a été donnée avec aussi une nouvelle directrice et il y a une demande de prolongation de ce fonctionnement pour la période de la Toussaint. Dans la mesure où la décision était prise, il conviendrait d’ouvrir le service sur cette période du 24 au 28 Octobre en créant pour ce faire les postes suivants : - 1 emploi de Directrice dans les mêmes conditions que durant l’été, sur les bases suivantes : 7 Adjoint d’animation de 2ème Classe au 1er Echelon 297-295 Temps complet : 35 h/semaine Période d’emploi : 29 septembre au 1er octobre Puis du 24 octobre au 28 octobre - 2 emplois d’animateurs sur une durée hebdomadaire de 25 heures par semaine. Période d’emploi : Du 24 octobre au 28 octobre Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, à l’unanimité : - Approuve l’ouverture du Centre de Loisirs Sans Hébergement durant les vacances de la Toussaint. - Décide la création des emplois suivants : 1 emploi de Directrice dans les mêmes conditions que durant l’été, sur les bases suivantes : Adjoint d’animation de 2ème Classe au 1er Echelon 297-295 Temps complet : 35 h/semaine Période d’emploi : 29 septembre au 1er octobre Puis du 24 octobre au 28 octobre 2 emplois d’animateurs sur une durée hebdomadaire de 25 heures par semaine : Période d’emploi : Du 24 octobre au 28 octobre OBSERVATIONS : Mme LE MORVAN indique que quelques repas ont pu être pris au restaurant de la Horaine. Par ailleurs l’approvisionnement s’est opéré auprès d’Intermarché. Elle souligne qu’il conviendrait d’entretenir l’émulation qui a repris corps cet été en ouvrant à nouveau à la Toussaint. Le Maire rappelle que cette activité s’inscrit aussi dans le cadre de la politique Jeunesse. Il félicite par ailleurs les élus : Mme LE MORVAN, Mme LE CHEVANTON Mr PAGNY et les services communaux pour le bon fonctionnement du CLSH durant la période estivale écoulée. 03 –AFFAIRES FINANCIERES 31 - VENTE DU VEHICULE SAVIEM Le Maire expose qu’il convient de valider la détermination du prix de vente à 1000 €. - Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, à l’unanimité Approuve la vente du véhicule SAVIEM au prix de 1 000, 00 € 32 - ACQUISITION D’UNE TONDEUSE A GAZON Le Maire expose les propositions faites par les fournisseurs pour la fourniture d’une tondeuse à gazon. 8 OUVERTURE DES PLIS DU 18 MAI 2011 MATERIEL KUBOTA UGAP T.T.C. 29 957,25 Maintenance Non précisée RENNES MOTOCULTURE 29 900,00 Lames et Filtres 221,71 X 3 fois par a (665,00) ARMOR MOTOCULTURE 32 890,00 Homologuée Route Maintenance pour 150 heures Lames et Filtres 200,00 X 3 fois par an (600,00) JOHN DEERE 33 354,77 Homologation Route Pièces en 24 h 00 Lames et Filtres 79,29 X 3fois par an (237,00) ISEKI 30 856,00 Non Précisée OBSERVATIONS CONDUISANT AU CHOIX DE LA TONDEUSE JOHN DEERE - Les démonstrations des fournisseurs - L’appareil ISEKI a semblé bien plus fragile que les autres appareils - La Kubota pose des problèmes de ponts lors de la circulation sur route Entretien et Maintenance Le coût d’entretien de la tondeuse JOHN DEER atténue rapidement l’écart de prix avec la GRILLO La JOHN DEERE offre des sérieuses garanties compte tenu - De sa robustesse apparente - De sa longévité par rapport aux commentaires reçus d’autres utilisateurs (Possibilité de revente dans quelques années) De sa présentation de type engin agricole professionnel De sa bonne maniabilité lors des démonstrations De l’offre du Kit Mulching et les documents d’immatriculation Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, à l’unanimité, - Approuve le choix du matériel proposé par la Société John DEERE au prix de 33 354,77 T.T.C. 04 – PROJETS COMMUNAUX 41 - LOGEMENTS COMMUNAUX Le Maire expose que la commune est dans l’obligation de réaliser une étude sur la Résistance des Planchers dans le cadre de la détermination des quantités de travaux à mettre 9 en œuvre, Mme RICUPERO, Architecte d l’opération préconise une étude de structure pour apprécier la résistance des planchers et définir les renforcements à envisager. Une seule société à répondu sur cette Etude de Structure : Le Bureau d’Etudes Q.S.B. – 5 040,00 H.T. – 6 027,84 T.T.C. Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, à l’unanimité, - Approuve le choix de la Société Q.S.B. pour réaliser cette étude au prix de – 5 040,00 H.T. – 6 027,84 T.T.C. - Autorise le Maire à signer le contrat. OBSERVATION : Mr PAGNY explique que dans ce domaine c’est un peu la politique du parapluie qui est appliquée chacun voulant préserver sa propre responsabilité. 42 – CONSTRUCTION DE LA MAIRIE CONTRÔLE TECHNIQUE - ADDITIF AU CONTRAT INITIAL Le Maire expose qu’il s’avère qu’une partie du contrôle technique n’avait pas été préconisé par l’architecte au départ, il s’agit de la vérification initiale des installations électriques. Le Bureau QUALICONSULT a fait un estimatif de coût pour cet avenant à 250,00 H.T. Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, à l’unanimité, - Approuve le contrat à passer avec e choix de la Société QUALICONSULT pour réaliser cette étude au prix de – 250,00 H.T. Autorise le Maire à signer l’avenant au contrat initial. 43 – REHABILITATION DE LA MAIRIE 4-3.1 AVENANTS MARCHE MAIRIE - LOT N° 3 CHARPENTE Le Maire expose qu’il s’avère qu’il convient que le menuisier procède à quelques travaux supplémentaires, reprise de ferme, pré-cadre en bois, solivage pour passage ascenseur, la Société LE CAM a estimé le montant de l’avenant à 1 652,00 H.T soit 1 975,79 T.T.C pour les travaux suivants: - Entourage des Lucarnes - Intégration de l’Ascenseur - Rehaussement salle des Archives Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, à l’unanimité, - Approuve l’avenant à passer avec l’Entreprise LE CAM pour un montant de 1 652,00 H.T soit 1 975,79 T.T.C. - Autorise le Maire à signer l’avenant. 10 4-3.2 AVENANTS MARCHE MAIRIE - LOT N°4 ETANCHÉITÉ COUVERTURE ZINC/ARDOISES BARDAGE Entreprise SCHOUBERT 4 287,44 H.T. - 5 127,78 TTC Le Maire expose qu’il s’avère qu’il convient de modifier quelque peu le marché passé avec l’entreprise SCHOUBERT : - Reprise partielle de la corniche - Modification légère de la charpente Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, à l’unanimité, - Approuve l’avenant à passer avec l’Entreprise SCHOUBERT pour un montant de 4 287,44 H.T – 5 127,78 T.T.C. - Autorise le Maire à signer l’avenant. 44 - MARCHE BRETAGNE SOUBASSEMENTS RESEAUX A RESILIER Le Maire expose qu’une demande de résiliation de marché a été adressée au Greffe du Tribunal de Commerce par l’Entreprise Bretagne Soubassements Réseaux par l’intermédiaire de son avocat Me PRIGENT Sylvain. Une audition a été fixée par le Greffe du Tribunal le 28 septembre à 10 h 15. Il indique que l’entreprise Bretagne Soubassements Réseaux a travaillé avec un certain dilettantisme depuis mai. Son absence sur le chantier a été répétée. Elle se trouve à présent en grande difficulté et va être mise en redressement judiciaire. Son inaction risquait de bloquer rapidement le chantier. Un huissier a donc été mandaté pour faire un constat d’absence et une demande de reprise des travaux pour réaliser un certain nombre de prestations dans un délai de 15 jours. Ce matin même il précise qu’il était au tribunal de commerce de St BRIEUC, où certains faits ont été exposés, à savoir notamment que le Tribunal Administratif était seul compétent pour répartir les dédommagements résultant d’une résiliation de marché et faire valoir les droits à ce sujet. Il s’avère que le dommage supporté par la commune est significatif et devra être imputé au compte de l’entreprise. Me DAVID, avocat liquidateur de l’entreprise fait l’intermédiaire en ce qui concerne la transaction à mener pour ne pas bloquer définitivement l’entreprise et négocier le coût de sa sortie du marché. La commune peut en définitive dès à présent relancer une consultation, ce qui devrait permettre de limiter sensiblement les délais de remise en route de ce chantier qui n’est cependant pas pour l’instant arrêté. La créance présentée à l’entreprise peut être étalée sur 10 ans. Il souligne aussi que l’entreprise était mal gérée tant en ce qui concerne la prise de ses marchés, sans tenir suffisamment compte de ses moyens, que de la fixation de ses prix mais que cela ne doit pas se répercuter sur la feuille du contribuable. Il convient que le Conseil municipal autorise le Maire à prendre toute disposition y compris judiciaires pour préserver les intérêts de la commune. Le Conseil Municipal, après en voir délibéré, à l’unanimité 11 - Autorise Le Maire à prendre toute disposition utile pour préserver les intérêts de la commune Sollicite le concours de l’assurance protection juridique dans cette affaire – Assurance DAS Confie le soin de défendre les intérêts de la commune en sollicitant le concours de maître BRIAND, Avocat à GUINGAMP Autorise Le Maire à relancer une consultation dans le cadre d’une procédure adaptée pour la réattribution du lot n° 2 Gros œuvre - Maçonnerie. 45 - ASSAINISSEMENT 451-TRANCHE DE GOAS JOULIN Le Maire expose que les travaux de réalisation de l’extension d’un réseau d’assainissement dans le secteur de Goasjoulin font l’objet d’une consultation dans la perspective d’attribution de ces travaux. Il indique qu’il convient que le Conseil Municipal se prononce sur la demande d’une subvention auprès de l’Agence de l’Eau pour un taux maximum Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, à l’unanimité. - Sollicite le concours financier de l’Agence de l’Eau au taux maximum pour financer les travaux d’extension du réseau d’assainissement dans le secteur de Goasjoulin. 452 - TRANCHE D’ASSAINISSEMENT GOASJOULIN LE QUESTEL ET KERGOC/ KERAVEL Le maire expose que sur les recommandations du Bureau SAFEGE, une étude des sols à été initiée afin de mieux cerner le quantité à indiquer dans le marché de travaux en ce qui concernera les secteurs de Goasjoulin, Le Questel et Kergoc/Kéravel Le montant de l’étude s’élève à 3 905,00 H.T. Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, à l’unanimité - Approuve la réalisation de l’étude des sols dans secteurs de Goasjoulin, Le Questel et Kergoc/Kéravel pour un montant de 3 905,00 H.T. - Autorise le Maire à signer la commande. 46 - RESULTAT DE L’APPEL D’OFFRES QUAI DE PORT LAZO - MOLE DE PORT LAZO Le Maire communique à l’assemblée le résultat de la consultation se rapportant à l’attribution du marché de rehausse du quai de Port Lazo. Solution de Base 202 009,72 H.T Variante 266 460,88 H.T. Ont répondus à cette consultation Solution de Base EIFFAGE 274 418 80 H.T. NOVELLO LANDERNEAU 198 600,00 H .T. SEMEN T.P. 294 494,00 H.T. Variante 522 292,50 H.T. 252 889,00 H.T. 353 337,00 H.T. Coût Estimatif : 12 MARC S.A. BREST 262 001,30 H.T. 315 329,40 H.T. La Commission a retenu le principe du choix de la Société NOVELLO. MOLE DE PORT LAZO H.T. Travaux Aménagement du quai Talus en partie haute T.T.C. 198 816,00 237 783,94 Le Conseil Portuaire après qu’aient été présentées les différentes formules d’aménagement des installations de Port Lazo accepte les propositions suivantes : - Suppression de la réalisation du musoir - Suppression du rehaussement en partie centrale - Remplacement d’une partie maçonnée par un enrochement en partie centrale - Maintien des deux cales sur l’enrochement Coût réduit à Autres Prestations Etude de Maîtrise d’œuvre Etude Géotechnique Aménagement de l’enrochement 147 063,00 175 887,34 26 020,00 6 745,00 31 119,92 8 067,02 36 850,00 44 072,60 216 678,00 259 146,88 Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, à l’unanimité - Approuve la passation des marchés avec l’Entreprise NOVELLO pour le môle et l’Entreprise HELARY pour l’enrochement/Perré OBSERVATIONS : En réponse à Mr LE LOUEDEC, il est précisé que le Bureau d’Etude a sollicité quelques précisions supplémentaires à l’entreprise NOVELLO pour apprécier ses capacités à réaliser le chantier. 47 - DETECTION DU RADON DANS LES ETABLISSEMENTS SCOLAIRES Le Maire expose que la réglementation nationale impose que l’on fasse des mesures des taux présence de radon dans les établissements scolaires. Deux Sociétés ont été consultées à ce sujet. La Société SOCOTEC a fait une offre au prix de 1 200,00 € H.T. La Société APAVE a également fait une offre, mais qui ne présentait pas d’aussi bonnes garanties. Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré à l’unanimité, - Approuve le choix de la Société SOCOTEC pour la réalisation de l’étude radon - Autorise le Maire à signer le contrat 13 05 –ASSOCIATIONS 51- PLAISANCIERS DE BREHEC 511 - DEMANDE DE CONVENTION POUR L’OCCUPATION DU BUREAU Le Maire expose que Le Bureau a proposé de passer une convention pour autoriser les plaisanciers à utiliser le local, mais en soulignant que la Commune pourra néanmoins utiliser ce bureau à tout moment en cas de besoin. Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, - Approuve le principe d’une convention à passer avec le Bureau des Plaisanciers de Bréhec - Autorise le Maire à signer la convention OBSERVATION : Mr PAGNY considère que l’Association des Plaisanciers de Bréhec a une préférence sur d’autres associations pour occuper le local de Bréhec. 512 - DEMANDE DE SUBVENTION POUR FEU D’ARTIFICE Le Maire expose que l’Association des Plaisanciers de Bréhec sollicite à nouveau une subvention pour l’animation et le feu d’artifice tiré à Bréhec le 15 août. Coût du feu d’artifice : 970,71 TTC Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, -Approuve le versement d’une subvention de 300,00 € à l’Association des Plaisanciers de Bréhec. 52 - LOCATION DU CENTRE DE LA CAISSE CENTRALE D’ACTIVITES SOCIALES DU PERSONNEL DES INDUSTRIES ELECTRIQUES ET GAZIERES POUR UNE INFORMATION VIV’ARMOR Mr SIMON indique qu’il a été sollicité par l’Association Viv’Armor pour participer à l’organisation d’une journée d’information sur la pêche à pieds au bénéfice des Offices de tourisme des Côtes d’Armor. Le Maire indique que c’est lui qui a suggéré que cette information se fasse au C.C.A.S. EDF de PLOUEZEC. Un contact a été pris avec cette Société qui a indiqué que le prix de la location serait de 117,00 €. Il a été convenu de demander à la CCPG de prendre en charge ce loyer. Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, - Approuve la convention à passer avec CCAS EDF pour l’occupation du Centre le 29 septembre - Autorise le Maire à signer la convention 14 53- CELTIROCK Mr PEDRON signale la création d’une nouvelle association CELTIROCK, dont le Président est Mr SAUGEOT Philippe et qui devra bénéficier d’une subvention de 50,00 € Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, - Approuve le versement d’une subvention de démarrage de 50,00 € à l’Association CELTIROCK 06 –ADMINISTRATION 61 - BALISAGE DU 2ème CHENAL DE CRACA - PARTICIPATIONS DES OSTREICULTEURS Mr SIMON expose qu’il a rencontré le service des Phares et Balises à ce sujet Il a été convenu que les perches n’étaient pas envisageables et que l’on pourrait installer 3 bouées dont le coût a pu être estimé à H.T. T.V.A T.T.C 745,32 146,08 891,40 Le transport a été évalué à 170,00 33,32 203,32 915,32 179,40 1 094,72 Sont concernés par ce balisage : Mr LAFOND Christophe Mr FAVIER Mr EUDE Vincent Ets GARANDEAU Un montant de participation a été TTC – 88,50 H .T. Mr LAFOND Jacques « Ile Bergère » - BOUIN Mr ROUSSEAU Marcel déterminé pour le balisage de ce chenal : 105,85 Compte 6 : Part Communale : 354,00 Compte 4581 : Part Ostréiculteurs : 741,00 Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, - Approuve le principe d’un balisage du chenal de Craca dans les conditions financières évoquées ci-dessus - Fixe la participation des ostréiculteurs à 105,85 € - Ouvre les comptes budgétaires nécessaires à cette opération OBSERVATION : En réponse à Mr LE LOUEDEC, Mr SIMON indique que ce chenal servira aux professionnels mais aussi aux plaisanciers qui partiront vers Guilben, St Riom ou Bréhat. 62 - DROITS DE TERRASSES Le Maire expose qu’il y a lieu de fixer ou de confirmer des droits de terrasses pour plusieurs commerces de PLOUEZEC : Le Safran Accord pour une terrasse d’une longueur de 10,00 ml, sur le domaine public de l’autre côté de la voie. 15 Sté Côt’ et Mer, 51 Rte de Bréhec -Terrasse de 2 ml Conformation de délibérations précédentes : Droits de terrasses des Commerces de PLOUEZEC. Dans le Bourg 01) Restaurant La Horaine 02) Boucherie MALLO D. 03) Poissonnerie « La Salicorne » 04) Supérette Alimentation PROXI 05) Bar du Centre 06) Fleuriste Viviane GORIEU 07) Le Cheval Blanc 08) Café des Voyageurs 09) Intermarché 10) Secondes Mains Et à Bréhec 11) Le Safran 12) Le Bar de la Plage – Mme COLLIER STOCK 13) Le Green – « Chez Tonton » 14) Le Commerce de gaufres Mme MAHE Marylène Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, - Adopte les propositions faites ci-dessus 07 - AFFAIRES DIVERSES 71 – ABANDON D’UNE CONCESSION AU CIMETIERE PAR Mr DUVAL Michel - REMBOURSEMENT AU PRORATA DU TEMPS PREVU PAR LA CONVENTION Le Maire expose qu’il y a lieu de procéder au remboursement du prix d’une concession au cimetière Démarrage de la concession : 29 janvier 2010 Durée prévue : 50 ans – soit 600 mois Prix : 320,00 € Durée d’utilisation : 1 an et 8 mois (jusqu’en septembre 2010), soit 20 mois Montant à rembourser : 320,00 X 580/600 = 309,33 € Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré à l’unanimité - Approuve le remboursement de cette concession à Mr DUVAL dans les conditions mentionnées ci-dessus. 72 – RAPPORTS SUR SERVICE DE L’EAU ET LE SERVICE PUBLIC DE L’ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF Le Conseil Municipal prend connaissance de rapports établis par la communauté de Communes PAIMPOL GOELO sur les services de l’eau et de l’assainissement non collectif 16 73 - VOL AU TERRAIN DE CAMPING Un vol a été commis au terrain de camping pendant la saison estivale. Le montant disparu est de 353,90 € Le régisseur, qui avait la responsabilité de la caisse au moment du vol mais n’est aucunement impliquée dans cette affaire. Pour ne pas poursuivre cette procédure, il convient que le conseil municipal renonce à exercer un recours contre le régisseur de recettes. Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, à l’unanimité - Décide de ne pas exercer de recours en remboursement contre le régisseur du camping, à l’occasion du vol commis entre le 21 juillet et le 25 juillet 2011 74 - CLASSE BILINGUE Mr SIMON expose qu’il souhaite étudier l’éventualité de création d’une classe bilingue à PLOUEZEC dans le cadre de la défense de la langue bretonne Une commission est constituée dans cette perspective qui comprend : Mr SIMON Yvon, Mr MANGOLD Jacques, Mr PAGNY Gilles, Mr COULAU Philippe, Mme LE MORVAN Martine, Mme LE CHEVANTON Danielle 17