Notes de bas de page - Architectures et villes face à la mondialisation

Séminaire de Master :Architectures et villes face à la mondialisation
Alessia de Biase
ENSAPB
> Notes de bas de page ou de fin de document
Il existe deux types de notes qui sont utilisées différemment suivant les disciplines :
- Les notes de bas de pages
- Les notes de fin de section.
Les premières sont placées en dessous du texte principal et sont séparées par une ligne de partage ;
les secondes figurent à la fin du document, à la suite du développement, dans une rubrique intitulée
« notes ».
Au sein du séminaire, nous privilégions les notes en bas de page.
Dans la norme bibliographique dite « à l’américaine », les références des ouvrages sont inscrites
dans le corps du texte, mais pas dans les notes de bas de page.
Dans la norme bibliographique dite « à la française », les notes servent essentiellement à indiquer
la référence exacte des publications citées dans le corps du texte.
Les notes sont aussi consacrées aux commentaires connexes et au développement de détails utiles.
Ainsi, la note ne doit pas servir uniquement à référencer la citation ou le concept utilisé. Elle a une
fonction logique et hiérarchique qu’il ne faut pas perdre de vue. Elle sert à compléter le texte principal
en le précisant ou en l’étayant.
Sur le plan formel, les appels de notes doivent être numérotés de manière continue. On peut repartir à
l’appel de note n° 1 à chaque chapitre.
L’appel de note doit être placé après le mot, en exposant, et juste avant la ponctuation.
Exemple : …. »1 .
Renvois internes
On utilise généralement les abréviations suivantes dans les notes, en italique :
p. (pour une seule page) ;
pp. (pour plusieurs pages) ;
Id. (pour Idem, même auteur) ;
Ibid. (pour Ibidem, même ouvrage que celui de la note précédente)
op. cit. (opere citato, oeuvre déjà citée)
sq. (pour sequentia, plusieurs pages qui se suivent)
cf. (pour confer, comparer avec telle autre publication),
voir supra (plus haut) ; voir infra (plus loin dans le texte)
Exemples de notes en bas de page :
1 Thiesse, A-M., La création des identités nationales, Paris, Seuil, 1999, p. 14
2 Colin, M., « Mythes et figures de l’héroïsme militaire dans l’éducation patriotique des jeunes italiens
(1860-1900) », in Actes de la journée d’études franco-italiennes du 2 décembre 1982, Caen, éd. De
l’Université de Caen, 1984, p.147
3 Ibid.
4 Thiesse, A-M., op. cit., p. 15