Revue 28 Noël 2009 - Institut Saint

Transcription

Revue 28 Noël 2009 - Institut Saint
Revue 28
Une école en projet
Noël 2009
St Berthuin-Malonne
Comme promis, nous remercions, à nouveau, les sponsors qui
nous avaient soutenus pour la revue de Juin 2009
Sommaire :
Editorial :
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Gribouille, qu’est-ce que c’est ?
Concernant l’école :
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Premières, Bienvenue !
Coups de coeur, coups de gueule
Poèmes des deuxièmes (Classe de Mr. Devienne)
Une américaine parmi nous
Les nouveaux professeurs se dévoilent
Un ancien nous parle
Retarder les pensions dans l’enseignement, une solution ?
Sortie au parlement
Ambleteuse
Echange linguistique
Le 24ème FIFF
Le coin des plus petits
Oxfam à l’école
St Berthuin, 39 ème école sur 4000 !
Dessin des élèves de M. Van Dyck
Divertissement :
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Histoire de Noël
Quizz sur les séries télé
Tout sur Twilight et public ennemies
Jeux
Recette pour les fêtes
Les lauriers des anciens
Editrial
Gribouile, qu’est-ce que c’est ?
Si, comme beaucoup d’autes personnes, vous ouvrez cete revue pour la première fois,
vous alez sans dout vous poser cete queston.
Nous alons donc tntr une réponse !
Ente journal ofciel d’une école exceptonnele et revue informatve de personnes
créatves, Gribouile rest un moyen pratque de se tnir au courant des diférents
actvités et projets réalisés par les élèves de l’insttut.
Il peut contnir aussi des pages de divertssement, des recetes gourmandes, des idées
de voyage, de sortes ou autes.
Gribouile peut donc se défnir comme un journal d’informatons scolaires et de
divertssements. Gratuit et disponible pour tus avant les vacances de Noël et en fn
d’année scolaire.
Quoi qu’il en soit, gribouile rest le rendez-vous inconturnable des parents qui
veulent suivre les nombreuses actvités et sortes de leurs enfants ; des étudiants euxmêmes, qui peuvent, dans cete revue, se faire connaîte des lecturs par des txts de
leur compositon, sélectonnés par les rédacturs.
Ou plus simplement encore, Gribouile peut ête un souvenir chaleureux d’une année
passée à Saint Bertuin Malonne.
La Rédaction
Un tout grand merci à tous ceux, élèves et professeurs, qui ont participé d'une manière ou d'une
autre à l'élaboration de cette revue.
Premières, bienvenue !
En tant qu’élèves de
secondaire, nous nous
souvenons tous du
grand moment qu’est
le passage en rénové.
Cet
instant
tant
attendu
par
les
sixièmes primaires et
parfois si difficile.
Voici le début d’une
tout autre aventure qui
commence pour vous,
première année de
Saint-Berthuin. Cette
année est marquée par
énormément
de
changements autant au
niveau des cours, des
professeurs que des
nouvelles rencontres
que vous allez faire.
La différence avec le
primaire est frappante.
Ici, c’est la cour des
grands ; règles plus
strictes,
plus
de
contraintes et, bien
sûr, plus de travail. Le
rythme est différent
mais, heureusement,
on s’y habitue très
rapidement.
Vous
avez la chance d’avoir
une
équipe
enseignante qui vous
encadre et qui vous
soutient tout au long
de
votre
apprentissage.
C’est un moment
crucial pour vous car
c’est là que vous
acquérez les bases qui
vous
seront
nécessaires pour vous
former et ainsi vous
préparer aux années à
venir. Vous trouverez
votre méthode de
travail et apprendrez à
gérer votre temps.
Certains d’entre vous
auront plus de facilités
ou de difficultés que
d’autres, mais il ne
faut surtout jamais
baisser les bras. Il faut
s’accrocher jusqu’au
bout, car c’est votre
avenir qui se joue tout
au long de ces six
années de secondaire.
Celles
qui
vous
prépareront pour vos
études
supérieures,
pour votre métier.
C’est rentrer dans la
vie du bon pied.
Marchal F.
De Keuster E.
En ce début d’année à Saint-Berthuin, nous pouvons remarquer
quelques changements qui améliorent le confort des élèves. Des
changements qui ne font que commencer !
Une agréable surprise est la magnifique salle informatique, remplie de
nouveaux ordinateurs bien plus modernes que les ancêtres des autres
années ! Des « Macs Minis » dotés d’écrans plats. Le changement est
radical ; il nous faudra donc un temps d’adaptation pour comprendre leur
fonctionnement mais une fois habitués, leur utilisation se révèlera très simple.
La cafétéria a elle aussi subi de nombreuses améliorations. Un
gain de place considérable par exemple grâce à la suppression du
couloir qui la longeait. Le but étant de l’agrandir et de recevoir
davantage d’élèves. De plus, un plafond bientôt rénové… espérons!
Nous avons aussi remarqué l’effort esthétique apporté aux journaux de
classe, ce qui ravit les élèves qui, pour une fois, ne sont pas obligés de recouvrir
l’outil de travail indispensable pour chaque étudiant.
Le coup de cœur des 5èmes : Nous vous annonçons que le
voyage à Barcelone se fera car bien plus de 90% des élèves ont
confirmé leur participation. Nous avons tous déjà hâte d’y être !
Depuis septembre, nous avons la chance de disposer
de nouvelles toilettes. Génial ! Lors de la rentrée, nous
avons, pour la plupart des filles, directement remarqué qu’il
manquait quelque chose d’essentiel… LES MIROIRS !
De plus, le chemin du hall est toujours dans un état
aussi exécrable;nous redoutons l’arrivée de l’hiver !
Une simple question : Pourquoi faut-il, chaque année,
redessiner des rangs de plus en plus mal placés ?! A croire
qu’on ne nous considère pas encore comme responsables !
Pourquoi pas, tant qu’on y est, nous tenir la main 2 par 2 ?
Qu’est devenue la fontaine promise par le groupe
Oxfam ? Le projet a-t-il déjà été abandonné ?
Nous allons prendre nos renseignements prochainement
pour de plus amples informations.
Florence Boreux, Joy Dugardeyn, Florence Léglise
Détnt en rimes.
Poésies réalisées par les élèves de M. Devienne
Le déf
Relever le déf
Ne laisser planer aucun dout
Se débatre comme un beau diable
Tout perdre
Réessayer
Saisir la bale au bond
Et tut gagner.
Coleen Lambert 2A
La jeunesse et la vieilesse
Tout commence par l’âge ingrat
Où l’on est doux comme un agneau
Ensuit vient l’âge de raison
Où l’on a soif d’apprendre
Et puis l’âge rebele
Où l’on rêve d’ête libre comme l’air
Et encore l’âge mur
Où l’on ente dans la vie
Et voilà enfn qu’on arrive à l’âge avancé
Où l’on comprend nos erreurs et où on arrêt d’essayer.
Louise Coupez 2B
Dessin réalisé au cours de Mr Van Dyck
Une Américaine parmi nous
a
Vous souvenez-vous de Oranat ?
Une jeune étudiante
thaïlandaise venue passer l’année 2007-2008 à l’Institut SaintBerthuin, pour découvrir notre beau pays qu’est la Belgique.
Un échange très enrichissant pour elle, comme pour nous.
Nous avons eu également la chance d’accueillir à SaintBerthuin, Hilary, venue des Etats-Unis pour refaire une
deuxième rhétorique. Cette année encore, une jeune étudiante
choisi notre école pour faire une année d’immersion en
Belgique. Elle s’appelle De Noyo Claire, elle a dix-huit ans et
elle nous vient d’Oregon, Etats-Unis. Spécialement pour nous,
elle répond à nos questions.
-
Quelles sont tes raisons d’avoir choisi la Belgique ainsi que
l’institut Saint-Berthuin ?
Aux Etats-Unis, j’ai étudié le français durant quatre ans.
J’aimais bien donc je voulais le parler couramment. Ainsi, mes deux options étaient la France et la
Belgique. J’ai décidé de choisir la Belgique comme premier choix (et la France en deuxième) pour
certaines raisons. Je n’étais jamais venue en Belgique et je trouvais que ça pouvait être intéressant.
Aussi, il y avait un étudiant qui y était déjà allé et il disait tout le temps que la Belgique était un
pays magnifique ! Après la Belgique et la France, mes choix étaient l’Italie, le Brésil et l’Argentine.
Et je vais à l’institut Saint-Berthuin car mes deux sœurs d’accueil (Amandine et Gwennoline
Willame) y vont.
- Pour quelles raisons as-tu décidé de refaire une deuxième rhétorique dans un pays étranger ?
Quand j’étais un « junior » (l’équivalent de 5ème) j’ai décidé que je voulais passer un an
dans un pays étranger mais je n’ai pas voulu manquer mon « senior year » (l’équivalent de la
rhétorique) ou attendre ma 3ème année d’université (c’est la période où beaucoup d’Américains
étudient dans un pays étranger). J’ai fait quelques recherches et j’ai trouvé le programme « gap
year », on prend un an entre « High school » (lycée) et « college» (université) pour étudier dans un
pays étranger. J’ai donc décidé que c’était parfait pour moi !
- Quelles sont tes attentes et tes objectifs pour cette année à venir ?
J’essaye de ne pas avoir trop d’attentes parce que je ne sais jamais ce qui va se passer, mais
j’ai beaucoup d’objectifs ! D’ici la fin de l’année, j’espère que je pourrai parler le français
couramment. Je veux aussi me faire de nouveaux amis, apprendre sur la culture Belge et
Européenne, et bien les représenter aux Etats-Unis.
- Y a-t-il de nombreuses différences entre notre école et la tienne ?
Oui, il y en a beaucoup ! Mon école aux Etats-Unis est plus grande que Saint-Berthuin
(plus de 2000 élèves) et il y a seulement quatre années, « 9th-12th grade » (équivalent de 3ème-6ème).
Le premier cours commence à 7h35 et le dernier finit à 14h20, et c’est la même chose tous les
jours, y compris pour le mercredi. Il n’y a pas de petites pauses durant la journée comme ici et, à
Saint-Berthuin, il y a plus de congés que dans mon école aux Etats-Unis.
En plus des cours obligatoires, dans mon école aux USA, il y a aussi des cours «d'amusement »
que l’on appelle « électives ». Par exemple, il y a des cours d’art (peinture, dessin, photographie,
calligraphie, graphique), musique (orchestre et chant), théâtre, et des cours pour se préparer à une
profession spécifique (biologie marine, menuiserie, militaire, éducation sanitaire, psychologie,
etc….
- As-tu de grosses difficultés et lesquelles ?
La langue est le fond de tous mes problèmes et de mes difficultés ! (Ah! Ah !) Mais ce n’est
pas grave parce que je pense que mon français s’améliore….doucement, mais sûrement !
- Que penses-tu de la langue française, du pays, des Belges et de notre école ?
Tout d’abord, j’aime le français ! Je trouve que la langue est très belle mais que c’est
difficile à apprendre !
A propos de la Belgique, c’est un pays très beau, les gens sont très gentils et le chocolat y
est plus que meilleur !
Au niveau de l’école, c’est difficile encore mais je l’aime parce que j’aime le défi et que je
peux y voir mes amis tous les jours.
- Qu’est ce que tu as préféré lors de ton arrivée ?
Quand je suis arrivée, ma famille d’accueil m’a emmenée faire ce qui s’appelle « le tour de
Belgique », c’est ce que j’ai adoré. Ils m’ont emmené dans beaucoup de villes Belges et même à la
plage en France !
- Est-ce que tu te sens bien ici ? As-tu été bien accueillie ?
Oui ! Je suis ici depuis presque trois mois et je me sens comme chez moi (sauf que tous
parlent français !). Ma famille d’accueil m’aide toujours avec mes problèmes (Ils corrigent mon
français !), je les aime beaucoup. Tout le monde ici aime m’aider avec mon français, c’est très
gentil !
- Ne te sens-tu pas trop perdue, désorientée ?
Au début, oui. Mais maintenant, certains jours sont juste plus difficiles que d’autres, mais
en général, les choses deviennent plus faciles avec le temps.
- Avais-tu des craintes avant ton arrivée ?
Ben oui! J’avais peur que ma famille et les élèves ne m’aiment pas et que je n’apprenne
jamais le français ! Mais, quand je suis arrivée, j’étais si enthousiaste que j’ai oublié mes peurs.
Marchal F.
De Keuster E
Fini les cachoteries, fini les secrets : les nouveaux
professeurs nous confient tout.
Mr Mullier est le nouveau professeur de sciences économiques de l'institut St
Berthuin.
- Quelles études a-t-il poursuivi ?
Tout d'abord, il a fait ses études à l'UCL de Louvain-la-neuve pour ensuite faire
son agrégation à la faculté d'économie et de gestion de Mons.
- Qu'est-ce qui lui plait dans les sciences économiques ?
Pour lui, il est très difficile de répondre à cette question puisqu'elle est très large.
Mais il fini par dire que l'économie est une branche qui touche à beaucoup de
domaines tels que le domaine social, politique ou encore culturel. Puisqu'il est
très récurrent que dans l'actualité on parle de choses ayant des rapports avec les
sciences économiques. Par contre, ce qu'il ne lui plait vraiment le moins dans
l'économie, c'est la partie plutôt judiciaire de la matière.
- Pourquoi avoir choisi St Berthuin ?
Il n'a pas vraiment choisi Malonne même s'il ne le regrette pas le moins du
monde. En fait, il a eu une perte d'heure de cours à cause de la fusion entre le
collège St André à Fosses-la-ville et celui d'Auvelais. Alors il a postulé à St
Berthuin, qui recherchait justement un professeur diplômé dans cette matière. Il
a accepté car cet emploi lui permet d'être quand même assez proche de chez lui.
-Professeur de sciences économiques, un rêve de toujours ?
Non, ce n'était pas son objectif de base. Après être sorti de l'UCL, pendant plus
ou moins 5 à 6 mois, il recherche du travail dans les banques mais il ne trouve
que quelques propositions intéressantes à Bruxelles. Etant donné la longue
distance entre ces emplois et son domicile, il décide de se tourner provisoirement
vers l'enseignement qui restait une option à laquelle il ne fermait pas la porte
puisque ses parents sont aussi dans l'univers de l'enseignement.
-Combien de cours assure-t-il à Saint-Berthuin ?
Il enseigne ici à St Berthuin à trois classes de sciences économiques à raison de
4h semaine par groupe.
- On dit souvent qu'un nouveau professeur a plus de mal à se faire accepter
par les élèves, est-ce son cas ?
Non, ce n'est pas son cas. Mais il dit quand même qu'il manque un peu
d'autorité parfois. Cette question ne peut pas être totalement objective puisqu'il
donne son propre avis sur la question.
- Quelles sont « ses relations » avec les autres professeurs ?
Il l'a de bonnes relations avec les autres professeurs de l'institut car il n'a
vraiment jamais eu de réels problèmes avec ses confrères dans le passé. Mais il
faut quand même un temps d'adaptation pour être totalement « intégré ».
- Malgré qu'il ne soit pas là depuis longtemps, que retient-il de St Berthuin ?
Il retient que c'est une école familiale avec un bon esprit convivial, si on omet la
grandeur de l'école. Il trouve que les élèves sont très bien disciplinés et que
l'école a plutôt bien réussi son organisation tel que son site internet,..., .
- Quelles sont ses résolutions pour l'année à venir ?
Il est assez compliqué de répondre à la question car il ne sait pas vraiment s'il
conservera son emploi pour l'année à venir. Si tel est le cas, il espère être encore
mieux intégré dans l'institut et voudrait aussi créer des partenariats avec
d'autres professeurs tels que ceux de géographie ou encore d'anglais. Il espère
pouvoir organiser plus d'activités extra-scolaires tout en restant dans les
objectifs du cours de sciences économiques.
Une prof au top!
Cette année, nous avons accueilli une nouvelle prof dans l'institut.
Passionnée de biologie et de lecture, mademoiselle Moiny nous vient tout droit... de Saint Berthuin. Et
oui! Elle a suivi ses études secondaires dans ce même institut!
Rappelons toutefois qu'il y a eu d' énormes changements depuis lors! Il n'y avait pas de cuisine, la
cafétéria était divisée en plusieurs salles de cours, et les classes actuelles se tiennent là où étaient placés
les dortoirs à son époque. C'est donc un énorme changement et elle nous avoue qu'elle a encore du mal à s'y
retrouver.
Après sa rétho dans l'institut, Mademoiselle Moiny s'est dirigée vers les FNDP de Namur pour
suivre une licence en biologie et une agrégation par la suite.
C'est une série de coïncidences qui l'ont poussée à devenir prof de sciences.
Tout a commencé dans notre école, quand elle passait déjà beaucoup de son temps à aider ses
camarades de classe en leur réexpliquant les matières qu'ils n'avaient pas comprises.
Par la suite, elle a voulu se lancer dans une licence de recherches en laboratoire, mais la
concurrence était trop importante. Elle risquait de ne pas trouver d'emploi par la suite, donc elle s'est
dirigée vers l'enseignement, qui correspondait lui aussi à ses attentes.
Tout au long de son parcours, elle a continué à donner des cours particuliers aux élèves en
difficulté. Des cours non rémunérés, bien sûr!
Saint Berthuin était une école connue pour elle, elle connaissait les profs, mais elle a a eu
l'occasion de les voir différemment: en collègues et non en professeurs. Mademoiselle Moiny avoue toutefois
qu'elle a eu quelques surprises à leur sujet.Elle tient à préciser que le corps enseignant s'est montré très
accueillant quand elle est arrivée et que tous forment une équipe très soudée.
Une chose revient toujours dans son attrait pour la pédagogie: l'envie de communiquer son savoir
aux jeunes.
Elle enseigne pour le moment à des classes de troisième, de cinquième et de rhéto.
On sait qu'à l'heure actuelle beaucoup d'élèves éprouvent des difficultés envers les sciences.
Mademoiselle Moiny a cependant un plan solide pour remédier à ce problème:
Elle rappelle que dans les sciences, il faut suivre pour ne pas accumuler de matières incomprises,
mais pour ce, elle compte motiver ses élèves en proposant des sujets concrets qui conviennent au plus grand
nombre d'entre eux. Et en plus, elle est prête à consacrer des heures en dehors des cours à la remédiation.
Sans doute un grand projet qui va permettre à beaucoup de se rattraper.
Un merci n'est certainement pas superflu!
Pour terminer, Mademoiselle Moiny, professeur dévoué pour ses élèves, nous fait part de sa seule
résolution pour l'année à venir, à savoir, amener le plus grand nombre de ses élèves à la réussite.
Binamé C.
Petites questions à une nouvelle prof de Math
En plus de Mademoiselle Moiny la nouvelle prof de sciences, et Monsieur Mullier,
prof de Sciences économiques, Saint-Berthuin a également accueilli Mademoiselle
Van Tongelen. Elle est prof de mathématiques et donne cours à un groupe d’élèves
de math 4 heures en 5eme.
Lors d’une petite pause d’entre-cours nous
avons pu lui poser quelques petites
questions pour en savoir un peu plus sur
cette nouvelle enseignante de l’Institut.
•
-
•
Les élèves c’est mitigé. Il y en a quelques uns avec qui c’est
dur d’avoir un vrai contact, de pourvoir arriver à une
conversation.
Où enseignez-vous à part à Saint Berthuin ?
-
•
Oui, il y a une bonne ambiance.
Et les élèves ?
-
•
Oui, même si je n’ai que 6h à Saint Berthuin, je m’y sens déjà
très bien.
Les profs sont-ils sympas ?
-
•
Vous sentez-vous bien intégrée ?
J’ai déjà enseigné à Floreffe, l’année passée. Cette année c’est
à Malonne et à Saint Aubain, à Salzinnes.
Comment avez-vous eu contact avec l’école ?
-
J’ai juste remis mon Cv. Comme Mme Genard était absente
pendant quelques temps, la direction m’a prise comme
remplaçante. Puis quand elle est revenue, j’ai pris un groupe de
math 4h car les élèves étaient très nombreux dans chaque
groupe.
•
Quel est votre parcours ?
-
•
Quelle est la chose la plus difficile dans le métier d’enseignant ?
-
•
Assurer la légitimité, faire passer le message malgré les élèves.
Ceux-ci n’ont pas toujours envie de travailler, d’apprendre alors
que c’est pour leur bien que nous sommes là. Cela, il ne s’en
rendent pas toujours compte.
Depuis quand voulez-vous être professeur ?
-
•
J’ai commencé par une candidature en sciences économiques.
Ensuite j’ai fait une maîtrise en informatique à Namur. Après cela
j’ai travaillé 2 ans et demi pour Oxfam solidarité et l’année passée
j’enseignais donc au séminaire de Floreffe.
Pas longtemps. Il m’a fallu un an et demi de réflexion avant de
prendre ma décision définitive.
Pourquoi avez-vous choisi ce métier ?
-
Pour passer un message. C’est la même raison pour laquelle
j’ai travaillé chez Oxfam solidarité. C’est surtout le côté relationnel
qui m’a attirée dans ce métier. Je veux amener une bonne
manière de penser. C’est pour ça que je me suis un peu plus
intéressée à la Belgique au lieu des autres pays en difficultés. Il y
a d’abord des choses que je peux faire dans mon pays avant de
m’investir pour un autre endroit.
Joy Dugardeyn ; Florence Léglise
Dessins réalisés au cours de Mr Van Dyck
Nouvelles d’un ancien
Par l’intermédiaire de Florence, sa sœur, nous avons eu la chance de pouvoir poser quelques
questions à Jérémy Monfils, un ancien élève de Saint Berthuin, étudiant aux Fac à Namur. Cela fait
toujours plaisir d’avoir quelques nouvelles de ceux qui nous ont quitté récemment pour prendre
leur envol dans la société.
•
Quelles sont tes études ?
Ingénieur de gestion aux Fac à Namur.
•
Pourquoi avoir choisi cela ?
Parce que j’aimais bien les mathématiques, c’était une branche dans laquelle j’étais à
l’aise et de plus, l’économie me passionne.
•
Quels sont tes projets ?
Premièrement, le plus important c’est de réussir mon année. Pour la suite on verra plus
tard, comment les choses vont évoluer d’une bonne ou d’une mauvaise manière.
•
Comment réagissent tes proches suite à tes choix ?
Ils n’ont pas tellement d’avis. Ils sont d’accord avec mes choix. Le principal pour eux est
que cela me plaise. Ils sont heureux pour moi.
•
Tes études actuelles sont-elles fort différentes des secondaires ? En quoi ?
Oui, elles sont extrêmement différentes ! Déjà, les cours se passent dans des auditoires,
bien plus grands que les classes de Saint-Berthuin. Ils y a plus d’élèves, tout est plus
grand il faut un temps d’adaptation important. Les cours sont plus difficiles aussi bien sûr,
il faut travailler beaucoup plus.
•
Y a-t-il beaucoup plus de pression sur tes épaules ?
Un peu. Tout est plus dur là-bas. Mais mes parents ne me mettent aucune pression et
pour l’instant on est encore un peu cool vu que ce n’est que le début de l’année.
•
Te sens-tu déjà un peu plus responsable ?
Non pas trop. C’est moi qui décide d’aller aux cours ou non, c’est moi qui serai pénalisé
mais je suis conscient de ce que je fais quand même.
•
Quels sont les conseils que tu pourrais nous donner pour nos études supérieures ?
Je n’ai pas encore de conseils à vous donner car ça ne fait que 2 mois que j’ai commencé
mes études supérieures et j’avance petit à petit.
•
Regrette-tu les secondaires ? Pourquoi ?
Oui ! Il y a moins de travail et l’ambiance est plus cool.
•
Garde-tu des contacts avec tes amis de secondaires ?
Oui, j’ai encore de nombreux contacts. Il y a aussi des amis que j’avais déjà à SaintBerthuin qui sont là-bas aussi. (François Piraprez, Kevin Evrard,…). Je me suis également
fais beaucoup d’amis à l’Université.
•
Message à faire passer ? J
Travaillez et gardez courage !
10% de profs en moins!?
Le jeudi 17 septembre, les élèves de St Berthuin on vu leur temps de midi prolongé d'une
heure. En effet la ministre de l'enseignement obligatoire Marie-Dominique Simonet a proposé de
reculer l'âge de la prépension des enseignants (actuellement fixé à 55 ans) au-delà de 2011 ainsi que
d'augmenter le temps de travail de deux heures. Les syndicats des enseignants ont vivement réagi à
cette proposition car le véritable problème n'est pas de travailler deux heures de plus mais les
nombreux licenciements que cela causerait.
Selon Régis Dohogne (secrétaire général de la Fédération des Instituteurs chrétiens) le
nombre de professeurs licenciés en Belgique serait entre 2000 et 3000! Concrètement, à St
Berthuin, cela représenterait une diminution du nombre de professeurs de 10%!
C'est à cause de cela que, le 17 septembre, les syndicats ont consacré une heure de cours à
expliquer la situation aux professeurs. Les arguments des politiciens qui défendent le projet de la
ministre Simonet sont que la Communauté française a vu son budget diminué de 611 millions
d'euros et que le secteur de l'enseignement doit lui aussi participer aux efforts budgétaires
Malgré avoir proposé ces réformes, les négociateurs disent « veiller à ce que l'enseignement
soit le moins touché par les mesures économiques ».
Au vu des réactions assez vives des syndicats et des enseignants, ce projet a été abandonné.
JOURNEE D’ETUDE POUR LES RHETOS
OUVERTURE A L’EUROPE.
La visite au Parlement européen ce mardi 10 novembre s’articulait autour d’un bref
historique et d’un débat sur l’Europe.
Initialement, les rhétoriciens qui participaient à cette activité visitaient une salle d’apparat,
utilisée notamment pour les conférences de presse.
Actuellement, et pour un an et demi encore, c’est un local plus modeste qui accueille les
jeunes visiteurs. Mais si l’attrait lié à l’apparence imposante de la grande salle de presse n’y était
plus, le cours d’histoire que nous avons reçu valait le détour. Il consistait en une introduction à
l’Union Européenne : bref historique, causes et buts, structure générale… Madame de Toussignant,
chargée de la présentation, donna un cours interactif, structuré et clair. Sur base d’une fine sélection,
elle transmit une vision claire de l’UE.
LE MUSEE DES SCIENCES NATURELLES
Après un repas de midi, arrivée au Musée des Sciences Naturelles.
Les galeries et expositions diverses sont vivantes et fraîchement rénovées pour certaines.
La galerie de l’évolution, notamment, était particulièrement interactive, à partir d’un fil conducteur
qui permet de recadrer les informations et de raccrocher à ce qui nous est déjà connu. Les
reconstitutions, grandeur nature, des squelettes de cétacés, les animaux empaillés, les images, films
et interview… autant d' éléments qui rendent le musée attrayant. Le tout dans un langage facile
d’accès pour tous.
Maxime Lebeau
AMBLETEUSE 2009.
Comme chaque année, au mois de Septembre, les élèves de deuxième eurent la chance de vivre
une semaine de classes de mer au « Cap d’Opale » d’Ambleteuse.
Promenades, visites, découvertes culturelles et scientifiques se succédèrent à un rythme
effréné.
Un récit détaillé de cette semaine vous
parviendra dans la revue de fin d’année.
Mais cette aventure ne s’est pas terminée le
18 septembre …
En effet, de nombreuses exploitations de ce
projet sont menées dans différents cours.
C’est pourquoi nous vous invitons, dès à présent à une soirée « exposition-souper » au cours de
laquelle vous pourrez découvrir les nombreux travaux réalisés, le film et les diaporamas de la
semaine.
Retenez bien la date !!!
Le vendredi 29 janvier, dès 17h30
Nous espérons vous y voir très nombreux et vous communiquerons de plus amples
renseignements sur cette soirée dans le courant de la première semaine de rentrée.
Les élèves et les professeurs de 2ème
Echange linguistique/Taaluitwisseling
Comme chaque année à cette époque, c’est en ce mois d’octobre qu’a lieu la
première rencontre entre les élèves de 4eme et leurs correspondants
néerlandophones. Des correspondants brugeois de l’école d’OLVA. Une
première expérience d’échange linguistique souvent très intéressante aussi
bien pour prouver que la seule différence entre le Nord et le Sud n’est que la
langue et que celle-ci n’est même pas un obstacle à la création de nouveaux
amis.
Après avoir rempli une fiche de description ou écrit une petite lettre, les
professeurs de Néerlandais ont essayé de trouver le double flamand de
chaque élève, ce qui n’est pas toujours facile !
On s’échange aussi quelques courriers, histoire de connaître un peu plus de
choses sur l’inconnu chez lequel vous aller vous loger.
Les cours précédant le jour J aident à se remémorer peut-être quelques mots
assez importants de la vie courante qu’on aurait oublié et sans lesquels nous
serions bien embêtés (surtout au moment du souper : fourchette, couteau,
…). Ces cours sont aussi destinés à discuter de nos sentiments avant la
rencontre. Certains sont stressés, d’autres confiants ou encore anxieux à
cette idée.
Le jour même, rendez-vous à la gare de Namur pour le commencement d’une
journée bien remplie. Quelques heures de train (très longues ou très courtes
selon les avis) et nous voici dans la belle Venise du Nord.
On aperçoit directement de nombreux vélos, moyens de transport préférés de
ces Brugeois (bien sûr vu qu’il fait tout plat !).
Le premier contact est parfois un peu mitigé ou au contraire rassurant.
Durant la journée se déroulent beaucoup d’activités diverses (sports, quiz, le
fameux Tourniquet ou chaise musicale : le but est de connaître le plus
d’informations sur chaque personne pour ensuite les présenter le plus
complètement possible, …).
Après cette journée épuisante, l’épisode souvent le plus dur : le retour à la
maison ! Quelques élèves organisent des soirées d’autres choisissent la
kermesse, ce qui permet toujours aux élèves wallons de retrouver leurs amis.
Les voyages se faisant toujours à vélo ! Aller & retour ! Il est donc question
de pouvoir toujours être capable de tenir sur un vélo pour rentrer !
Le lendemain matin, lorsqu’on arrive à OLVA tous les élèves se sentent un
peu mieux après avoir passé la soirée avec la famille du « penvriend » !
Après encore quelques activités presque identiques à la veille, il est déjà
temps de dire au revoir aux nouveaux amis, attendant impatiemment les
retrouvailles au mois de mai !
Léglise Florence
Journée au FIFF
Cette année, les thèmes du FIFF (Festival International du Film
Francophone) sont les droits de
l’homme et la citoyenneté. Les
élèves du 3ème degré s’y sont
rendus le lundi 5 et le jeudi 8
octobre. Ces journées sont
organisées, notamment, dans le but
d’amener une discussion dans le
cours de religion de Madame
Woltèche.
Le film passé aux 5ème était un
documentaire sur les chercheurs
d’or au Burkina Faso : « Ceux de la
colline ». Il a été réalisé par le
suisse Berni Goldblat, habitant non
loin de cette colline.
On rentre totalement dans
l’ambiance ; dans le monde hostile des chercheurs d’or, où chacun
fait son maximum pour survivre.
Ensuite, ils ont eu droit de participer à un débat avec le
producteur très animé car certaines personnes n’ont pas hésité à
exprimer ouvertement leur avis. Cette discussion leur a permis de
mieux comprendre le message que Berni Goldblat voulait faire
passer à travers son œuvre. Celui-ci débordait d’émotions très
contradictoires les unes aux autres (tristesse, haine, pitié,…).
La matinée achevée, les élèves ont été répartis dans 4 activités :
Géologie, jeux de rôles (avec les maillons des chaînes
commerciales), jeux de la ficelle en rapport avec l’environnement
et débat sur les différences écologiques entres les pauvres et les
riches.
Dessins réalisés au cours de Mr Van Dyck
Nous avons eu la chance de pouvoir connaître certains
avis sur cette journée particulière, en dehors de
l’école, qui a permis (ou pas) d’avoir une nouvelle
vision sur la société actuelle. Voici un témoignage d’un
élève de 5eme :
« La partie de la journée au FIFF qui m’a le plus marquée est la vision du film.
Celui-ci était très poignant. Les difficultés que rencontrent « Ceux de la
colline » n’ont pas été masquées ni amplifiées. Le réalisateur a fait part d’une
grande objectivité malgré sa proximité d’habitation avec ces personnes. Le
tournage était fort proche des gens, ce qui nous permettait de bien mieux les
comprendre, de réaliser les difficultés de la vie dans des endroits pareils - où
tous doivent prouver qu’ils sont plus forts qu’un autre, montrer leur capacités à
pouvoir survivre alors que tout se paye au prix fort - et d’améliorer nos
connaissances sur les minerais et le métier de chercheur d’or. Ce documentaire
était rempli d’émotions grâce aux nombreux témoignages (désarroi, espoir,
crainte, joie, …). Les activités étaient elles aussi très intéressantes. La mienne
(n°1) m’a donné de nouvelles notions scientifiques sur la terre et les roches
composantes des minerais. Elle était moins en rapport avec les problèmes de
société mais quand même très instructive. »
Florence Boreux, Joy Dugardeyn, Florence Léglise
De s si n r é ali s é a u c o ur s d e M r V a n D y c k
Le coin de plus petits
Manon, Pauline, Catherine, Maud & Félicien, élèves de première, nous font part de
leurs impressions : « Il y a pas mal de changements entre l'école primaire et secondaire.
Maintenant nous avons un prof pour chaque cours. L'horaire est vraiment différent car il y
a des nouveaux cours. Il y a plus d'élèves dans l'école et donc, la cafétéria est plus grande.
Ce qu'on aime vraiment ce sont les activités comme Oxfam. On peut mettre nos fardes et
cahiers dans notre casier. De plus, on perd du temps entre chaque cours.
En secondaire, il faut plus étudier mais il y a moins de devoirs.
Malheureusement, certains profs sont sévères et on doit porter nos fardes et mallette
tout le temps. Avant on n'avait pas besoin de tout ça, il y avait des bancs pour tout ranger.
Malgré cela, Saint-Berthuin c'est vraiment chouette. »
Pourquoi ont-ils choisi Saint-Berthuin ? : « Je suis venue ici parce que mon frère et ma
soeur y étaient déjà. »; « Et moi, parce que c'est plus proche de chez moi. »; « Moi je ne
voulais pas quitter mes amies, alors je les ai suivies. »
Ils nous ont aussi fait part de leur intimidation face aux plus grands: « On sait qu'ils
sont les plus forts, on n'ose pas trop les chercher. »
Lisa, Adélaïde, Maximilien et Guillaume : « Presque tous nos amis de primaires sont
avec nous. Tout est plus grand. Les cours sont beaucoup plus nombreux, il y en a des
nouveaux, comme musique, sciences, technologie, Edm, Latin (c'est vraiment dur Latin!
J'arrête l'année prochaine!),...
On est contents de pouvoir choisir nos options. Il faut bien s'organiser maintenant
qu'on est en secondaire. Par rapport aux plus grands, on n'a pas peur mais ça fait bizarre
de ne plus dominer. On les respecte quand même. On a hâte d'être en 6ème pour à
nouveau dominer. »
Délina : « J'ai choisi cette école car elle n'est pas encore trop grande et on ne risque
pas de se perdre. Avant, en primaire, on était toujours dans la même classe. Ici, on peut se
défouler entre chaque cours, mais je préfère quand même avoir un seul prof car il peut
mieux s'occuper de nous. Je respecte les plus vieux car j'ai peur de leurs réactions. »
Arnaud et Quentin, eux aussi, aiment Saint-Berth : « Au
début de l'année, on était un peu perdus dans les couloirs de
l'école, car c'est plus grand que notre ancienne petite école.
Certains plus vieux font un peu peur. Ils devraient plus nous
respecter, car on est nouveaux, on a besoin d'être aidés pour bien
nous intégrer. »
Camille & Sabrina : « A St-Berthuin, il y a une bonne
ambiance, c'est une bonne école, où personne n'embête les autres
sauf quelques plus grands qui ne sont pas très sympas. Nous avons hâte d'être les plus
grandes de l'école pour être respectées. »
Maxence : « Saint-Berthuin, c'est une chouette école. J'ai plus d'amis que l'année
passée. Je suis venu ici car le plupart de mes copains y étaient et je ne voulais pas les
perdre et me retrouver tout seul. En plus, tout le monde dit que c'est une bonne école. »
Maxence comparé aux autres n'a pas du tout peur des grands: « Les grands, je n'en ai
pas peur! S'ils me bousculent, moi, je leur écrase les pieds et c'est bon! »
Boreux Florence,
Dugardeyn Joy
& Leglise Florence.
Oxfam
Qu'est-ce que c'est Oxfam?
Oxfam est une association
qui vend de la nourriture, des
boissons et des vêtements.
Elle fait en sorte que des
personnes qui vivent dans des
pays pauvres puissent survivre
dans notre société.
Les habitants de ces pays
cultivent
leurs
matières
premières et les transforment
en marchandises.
Oxfam n'est pas comme les
multinationales qui payent une
fois que la marchandise est
arrivée à bon port.
Oxfam paye 50% de la
marchandise avant qu'elle ne
parte et 50% une fois qu'elle
est arrivée. Cela permet aux
petits producteurs de pouvoir
continuer
à
cultiver
la
marchandise entre le départ et
l'arrivée de celle-ci.
De qui se compose le groupe
Oxfam ? Comment les participants sont-ils « formés »?
Le groupe accepte les élèves
à partir de la deuxième jusqu'à
la sixième, il y a des profs
pour les encadrer (mesdames
Duquesne, Libois, et Pairon).
Une fois par année certaines
personnes du groupe (celles qui
le veulent) partent à une
journée de formation pour faire
des activités entre JM ( Jeune
Magasin Oxfam) de Wallonie:
-Liège,
-Namur,
-Charleroi,
-Luxembourg.
Oxfam organise aussi une
journée, tous les deux ans, sur
un thème défini. L'année
dernière, cette journée était sur
le thème de l'eau. En
prolongation, une fontaine à
eau
sera
prochainement
installée et inaugurée.
Le programme
journée:
de
la
Cette année, cela s'est passé
Au matin, les premières et
le 7 octobre à la Marlagne.
deuxièmes ont eu un petitdéjeuner (produits Oxfam).
Que fait Oxfam dans l'école?
Ensuite ils ont eu une activité
Oxfam a un petit magasin pour leur faire prendre
dans la cafétéria à côté de celui conscience des richesses dans
des éducateurs. Oxfam vend le monde. Les autres élèves ont
des produits équitables un peu eu cours toute la matinée.
plus chers que le magasin des
-Pendant le temps de midi, il
éducateurs, qui est fourni par
y a eu le « concert » d'un
des multinationales.
groupe (Tarabisco ).
Les tarifs de quelques produits:
-Après-midi, les élèves (des
• des chips à 1euro,
3èmes aux 6èmes) ont assisté à
des chocolats à 70 cents
une
conférence
sur
la
• des barres de céréales à consommation de l'eau donnée
70 cents
par Ricardo Petrella (détenteur
• des jus à 60 cents et avec d'un doctorat en science
10 cents de caution,
politique
et
social
de
• des barres de sésames à l'université de Florence).
60 cents,
• de l'ice tea à 80 cents.
St Berthuin, 39ème école sur près de 4000
Les médias en parlent de temps en temps : la Région wallonne a, depuis 2006, promis de
changer l’équipement informatique des écoles (datant de 1999) dans un grand plan ‘Cyberclasse’
destiné à équiper toutes les écoles (primaires, secondaires et celles de promotion sociale), soit près
de 4000 établissements de Wallonie et de la Communauté germanophone (qui fait partie de la
Région pour ceux qui l'ignorent).
Je vous passe toutes les péripéties et rebondissements aussi bien au niveau politique et
attribution de marché qu’au niveau de notre école, mais le 13 et 14 août, le matériel était installé à
l’école. L’institut devenait la 39 ème école équipée … cela fait un joli plus pour permettre à chacun
de bénéficier de matériel récent et ‘à la pointe’ …
Nous avons donc une nouvelle
salle équipée de 25 machines type PC et,
dans le CDI, 12 nouveaux MAC sont
venus trouver une place. Rappelons qu’il y
a une troisième salle équipée de 25 PC
offerts par l’Association des Parents dans
le courant de l’année scolaire dernière …
Tout cela est ‘surveillé’ par un nouveau
serveur APPLE. Chaque machine peut-être
équipée d’une webcam et d’un casquemicro pour utiliser « à fond » le potentiel
audio-vidéo de ces postes. Ils sont
également équipés de la suite libre
‘OpenOffice’ ainsi que d’autres logiciels
tout aussi libres et néanmoins efficaces comme Audacity (édition de fichiers sonores), Gimp
(édition d’images, presque du niveau de Photoshop), Scribus (logiciel de mise en page) …
Sur les photos vous pouvez voir deux rédactrices de la revue en plein travail ainsi que les
deux nouvelles salles
Ph Lénelle
Deux dessins des élèves de M. Van Dyck.
(D'autres dessins illustrent certaines pages .. vous pouvez les découvrir en couleur
sur le site de l'école)
Voici une histoire de Noël avant l'heure afin de vous mettre dans l'ambiance
des festivités qui arrivent à grands pas.
Histoire de Noël :
Il descendait rapidement le chemin enneigé qui s’enfonçait abruptement
dans la sapinière. La pleine lune arrivait à éclairer partiellement la voie
malgré les imposants conifères.
L’air était glacé, mais l’absence de vent rendait l’atmosphère plus lourde
encore.
L’homme, qui continuait toujours à avancer, se mit à allonger le pas. Il se
retournait régulièrement et avait sur son visage des rides de peur qui
commençaient à se dessiner.
On aurait dit qu’il fuyait le diable, ses yeux cherchaient quelque chose, mais
on voyait qu’il espérait de tout cœur ne pas la trouver.
Une personne sensée l’aurait sans doute supplié pour ne pas qu’il s’aventure
dans cet endroit pendant une nuit de pleine lune, et qui plus est un soir de
noël. Mais il ne voulait pas croire aux légendes locales, pour lui, ces histoires
de disparitions n’étaient que des ragots de vieux villageois pour faire fuir les
éventuels touristes.
Il arrivait maintenant à un petit pont. Plus qu’une trentaine de mètres, et il
sortirait enfin de la sapinière, il serait presque en sécurité, hors d’atteinte.
Soudain, un grognement profond retentit. Son sang se glaça. Elle était là,
quelque part autour de lui, elle l’attendait…
Il savait qu’il était cerné. Il se tint immobile. C’était son seul échappatoire :
espérer qu’elle rebrousserait chemin voyant qu’il ne voulait pas se prêter à
son jeu.
Après quelques secondes qui lui parurent une éternité, elle se montra enfin.
Eclairée par la lumière de la lune, elle paraissait encore plus grosse que ce
que l’on racontait. Elle avait des poils drus, hérissés et une tête plus
effrayante que le diable avec une mâchoire d’où sortaient des crocs acérés.
Elle s’approchait doucement, calculant tous ses mouvements, toujours en
fixant l’étranger qui avait osé traverser sa forêt.
Dans un dernier espoir, il fit demi tour et prit son élan, mais le sol enneigé
restait glissant et la bête fut plus rapide que lui.
C’est un hurlement de douleur qui vint rompre le silence de la forêt sombre
cette nuit-là. Et il fut suivi par un profond hurlement qui ramena le calme et
la tranquillité dans cette nuit de noël…
Binamé C.
Pour les mordus du petit écran.
Tu es un mordu de séries télé américaines? Tu penses être incollable sur le sujet?
Alors fais-ce test, il ne t'en coûtera rien, et tu pourras ainsi prouver ton savoir!
Mais attention, on n'est jamais à l'abri d'un doute! Bonne chance!
1.Friends.
- De combien de New-Yorkais est composée la bande d'amis ?
•
A : De 4 New-Yorkais.
•
B : De 6 New-Yorkais.
•
C : De 5 New-Yorkais et un Londonien.
- Où les amis se rejoignent-ils pour discuter des aléas de leur quotidien ?
•
A : Dans l'appartement de Monica et Rachel.
•
B : Dans l'appartement de Chandler et Joey.
•
C : Dans leur café préféré : « Le central perk ».
- A partir d'où, Chandler et Monica n'ont-ils plus été que de simples amis ?
•
A : Après le mariage de Rachel et Ross à Las-Vegas.
•
B : Après le mariage mythique de Emily et Ross à Londres.
•
C : Après un séjour à la mer pour aider Phoebe à retrouver sa mère biologique.
2. Lost, les disparus.
- Quel était le nom du vol de l'avion qui s'est écrasé sur l' île déserte ?
•
A : Le vol Océanique 915.
•
B : Le vol Océanique 815.
•
C : Le vol Océanique 615.
- Lesquels de ces survivants ont-ils eu la chance de quitter l'île ?
•
A : Seulement 5 sur les 48 ont quitté l'île.
•
B : Personne n'a pu quitter l'île.
•
C : Six ont pu quitter l'île (Kate, Sun, Jack, Hurley, Sayid, Aaron)
- Pendant trois ans, après les autres soient partis, quel est le nouveau couple de l'île ?
•
A : Sawyer et Charlotte.
•
B : Benjamin et Kate.
•
C : Sawyer et Juliette.
3. Ghost Whisperer.
- Quel est le pouvoir de Mélinda Gordon ?
•
A : Elle voit des personnes disparues.
•
B : Elle voit et parle avec les esprits.
•
C : Elle lit l'avenir des gens dans les lignes de la main.
- Qu'est-il arrivé à Jim, la mari de Mélinda ?
•
A : Il est mort d'une crise cardiaque.
•
B : Il l'a quittée pour une autre femme.
•
C : Il est mort d'une balle et son esprit est entré dans le corps d'un autre homme juste avant
sa mort (Sam).
- Qu'apprend Mélinda après que Sam se soit souvenu qu'il était « Jim » ?
•
A : Qu'elle est malade.
•
B : Qu'elle va mourir.
•
C : Qu'elle est enceinte.
4. Les frères Scott.
- Que s'est fait tatouer Haley, la petite amie de Nathan dans le bas du dos ?
•
A : Le numéro de téléphone de Nathan.
•
B : Un signe chinois.
•
C : Le numéro de maillot de Nathan.
- Quelle est la signification de la comète dans la série des frères Scott ?
•
A : Cela signifie la marque de la voiture de Brooke.
•
B : Cela signifie le nom du café de sa mère.
•
C : Cela signifie la marque de la voiture de Peyton.
- Qu'est-il arrivé à Peyton dans la saison cinq de cette série mythique ?
•
A : Elle va mourir en accouchant de sa fille, Sawyer.
•
B : Elle a failli mourir en donnant naissance à sa fille, Sawyer.
•
C : Elle est morte dans un accident de voiture ainsi que l'enfant qu'elle portait.
5. Grey's anatomy.
- De qui Meridith Grey est-elle tombée amoureuse dans la première saison ?
•
A : De Mark Sloan.
•
B : De Derek Shepard.
•
C : De Alex Karev.
- Après Burke, avec qui Cristina va-t-elle sortir ?
•
A : Avec le docteur Hunt.
•
B : Avec le docteur Weber.
•
C : Avec le docteur Karev.
- Dans la saison cinq, que va-t-il arriver à Isobel alias Izzie ?
•
A : Elle va se marier avec Alex.
•
B : Elle a vécu les deux.
•
C : Elle apprend qu'elle est atteinte d'un cancer de la peau qui s'est propagé au cerveau.
6. Prison Break.
- Pour quelle raison, Michael a-t-il été incarcéré ?
•
A : Parce qu'il a braqué une banque.
•
B : Parce qu'il avait tué un homme.
•
C : Parce qu'il a braqué une banque dans le seul intérêt d'être incarcéré dans la même prison
que son frère pour l'aider à s'évader.
- Qu'ont découvert les deux frères dans la quatrième et dernière saison ?
•
A : Que leur mère n'était pas morte.
•
B : Que leur père n'était pas vraiment leur père naturel.
•
C : Que leur père est mort dans une fusillade.
- Comment est mort Michael ?
•
A : Il est mort d'une tumeur au cerveau.
•
B : Il est mort d'électrocution dans une prison pour sauver Sara.
•
C : Il est mort d'une balle dans la tête.
1. Friends.
- Q1 : B
- Q2 : C
- Q3 : B
4. Les frères Scott.
- Q1 : C
- Q2 : C
- Q3 : B
Les réponses.
2. Lost, les disparus.
- Q1 : B
- Q2 : C
- Q3 : C
5. Grey's Anatomy.
- Q1 : B
- Q2 : A
- Q3 : B
3. Ghost Whisperer.
- Q1 : B
- Q2 : C
- Q3 : C
6. Prison Break.
- Q1 : C
- Q2 : A
- Q3 : B
Calculez maintenant vos points pour savoir quel est votre niveau de connaissance des
séries américaines en sachant que chaque bonne réponse à ces questions correspond à un point.
- De 0 à 9 bonnes réponses.
Après toutes ces années où ces séries américaines, ont été diffusées sur toutes les chaînes
télévisées possibles et imaginables. Vous n'êtes même pas capable de faire un score potable. Ouh la
honte !!! Certains d'entre vous se lancent dans ce test par simple envie de défi, parce qu'ils veulent
réaliser cette épreuve à tout prix même s'ils ignorent totalement le sujet dont ce test parle. Vous êtes
tellement pitoyable. Mais honnêtement, combien d'épisodes de chacune de ces séries avez-vous
vus ? A votre niveau, il faut absolument tout reprendre depuis le commencement de chacune de ces
séries. Donc vous avez de boulot !!! Rien de tel pour devenir un incollable de séries américaines et
vous finirez peut-être un jour sur la première place du podium.
- De 10 à 19 bonnes réponses.
De toute évidence, vous connaissez ces séries américaines. Pas sur le bout des doigts, pas
au point de vous rappeler des détails plus qu'insignifiants pour vous mais vous connaissez ces
séries. L'inconvénient est que pour ce genre de test, il ne faut pas se contenter d'une bête
connaissance approximative de ces six séries américaines. Le secret de la réussite pour ce genre de
test est plus que simple, c'est un mélange de concentration, de mémoire et de justesse. Croyez en
mon expérience, ça marche à tous les coups !!!
- De 20 à 23 bonnes réponses.
Sans aucun doute, vous faites bien partie du noyau des fans purs et durs des séries
américaines qui ne se limitent donc pas du tout aux six séries reprises dans ce test de connaissance.
Vous êtes maintenant prêt à réaliser vous-même vos propres tests de connaissance sur toutes les
séries américaines possibles. C'est donc à votre tour, de poser des questions pièges à vos amis et de
devenir enfin le grand champion ou la grande championne des séries américaines. Hé! redescendez
sur terre, bande de fainéants !!! Parce que passer sa vie à manger des chips et des bonbons devant la
télévision comme des gloutons, ça n'a rien de glorieux.
Elodie M.
A lire!...Twilight
"Mon sang bouilonna sous ma peau, incendia ma bouche. Mon soufe devint heurté et erratque.
Mes doigts agrippèrent ses cheveux, colant sa têt conte la mienne. Mes lèvres s’ouvrirent et
j’inhalai à fond son odeur capituse. Aussitôt, il se pétifa. Ses mains douces mais fermes, me
repoussèrent. Rouvrant les yeux, je vis qu’il était sur ses gardes."
Fascinaton, Stfenie Meyer
P etit ré s u m é de l'hi stoire:
Qui n'a jamais entendu parler du nouveau phénomène de Stefenie Meyer ?
Les livres, ainsi que le premier film connaissent un succès fou auprès des
ados. Quelle en serait la cause? La perfection époustouflante d'Edward? La
pureté & le côté aventureux de Bella? Ou simplement la profondeur de l'écrit
de l'auteur?
L'histoire d'une jeune fille banale, dont la vie l'a conduite à quitter le soleil de
l'Arizona pour la petite ville de Forks, où vit son père qu'elle n'a vu que
quelques fois depuis son enfance. Une fois là-bas, son quotidien va
totalement basculer. Elle tombe sous le charme d'un garçon mystérieux aux
prunelles dorées. Un être parfait, mais gardant un lourd secret que Bella ne
tardera pas à découvrir...
Voici quelques citatons cults que vous touverez dans le livre:
« Dors, ma Bela. Fais de beaux rêves.
Tu es la seule à avoir tuché mon cœur.
Il t’appartendra tujours. Dors, mon unique amour. »
***
" Vote liaison est étange. Il est si ... protctur envers ti. Comme s’il était prêt à se jetr
−
devant une bale de pistlet pour t sauver.
Et ce n’est pas que lui. Tu verrais tn comportment en sa présence.
Tu t déplaces comme si tu t’orientais systématquement en foncton de lui. Lorsqu’il bouge, même
un tut pett peu, tu ajusts ta positon à la sienne. On dirait des aimants ... une sort de réacton
gravitatonnele. A croire que tu es un satlit. C’est tès bizarre. "
***
−
Qui c’est ce garçon aux cheveux blond-roux, demandais-je.
Au moment où ele se redressait pour voir de qui je parlais, il leva brusquement la têt. Il
déturna les yeux, plus vif que moi, alors que, soudain tès gênée, j’avais aussitôt baissé les miens.
Edward. Il est superbe, mais inutle de perdre tn tmps. Apparemment aucune des fles
−
d’ici n’est assez bien pour lui.
−
Jessica renifa avec une tle rancoeur que je me demandai quand il avait refsé ses
avances. Il me sembla bien que la joue d’Edward tessailait, comme si lui aussi étufait un rire.
Dessin réalisé au cours de Mr Van Dyck
Public Ennemies
Public Ennemies est un film policier réalisé par Michael Mann (qui a également
réalisé Miami Vice en 2006 ou encore Le sixième sens en 1986) avec Johnny Depp
dans le rôle principal.
L’histoire, basée sur une histoire vraie se déroule dans les quartiers sombres de
Chicago, dans les années 1930. Elle retrace la vie palpitante de John Dilinger, un
braqueur de banques dont la réputation n’est plus à faire. Lors de la préparation
d’un plan des plus brillants de sa carrière, il rencontre la femme de sa vie, Billie
Frechette, incarnée par l’actrice française Marion Cotillard, pour qui il est prêt à tout
sacrifier. Arrêté plusieurs fois, il est toujours arrivé à s’évader.
Après cela, Melvin Purvis (Christian Bale), un gars du FBI, un des meilleurs des
Etats-Unis, se lance à la recherche du braqueur. La traque de l’ennemi public
numéro 1 est sans relâche.
Mais le bandit reste humain et les sentiments se mélangent en lui..
Restera-t-il aussi parfait dans chacune de ses actions ? La seule petite erreur ou la
moindre confidence de trop lui coûtera-t-elle le prix fort ?
Léglise Florence
Sudoku :
Dessin réalisé au cours de Mr Van Dyck
Mot croisés sur les grands-mères :
Dessin réalisé au cours de Mr Van Dyck
Recette pour noël :
Noël approche à grands pas, et vous ne savez toujours pas quel dessert offrir à vos invités. Devezvous perpétuer les traditions avec l’éternelle bûche de Noël ou oseriez-vous tenter quelque chose de
plus… nouveau ?
Et pourquoi pas un choix de verrines qui ravirait grand nombre de vos hôtes ?
Je vous présente ici une idée de dessert facile et délicieux!
Duo de mousses en verrine :
Pour six personnes
Temps de préparation : 20 minutes
Temps de cuisson : 15 minutes
Ingrédients :
•
225g de chocolat noir
•
60cl de crème liquide
•
3 cuillères à soupe de miel
•
150g de sucre en poudre
•
3 cuillères à café d’extrait de café
•
6 jaunes d’œuf
•
20cl de lait
•
3 cuillères à café de farine
•
3 cuillères à café de liqueur de café
•
Vin : un crémant du Jura (pétillant)
Préparation :
Râpez le chocolat avec une grosse râpe.
Versez la moitié de la crème liquide dans une casserole, portez à ébullition puis ajoutez le miel et le
chocolat. Faites fondre doucement en remuant, retirez du feu et répartissez la crème dans 6 coupes.
Réservez.
Versez le lait et l’extrait de café dans une casserole, faites chauffer doucement.
Fouettez les jaunes d’œufs avec le sucre. Ajoutez la farine et la liqueur de café. Versez le lait
bouillant en filet en fouettant sans arrêt.
Transvasez le tout dans la casserole et faites épaissir sur feu doux en remuant. Retirez du feu,
laissez refroidir.
Fouettez le reste de crème liquide en chantilly et incorporez-la délicatement à la crème au café.
Versez la mousse au café sur la crème au chocolat. Réservez au frais. Décorez de grains de café au
chocolat et servez très frais.
BON APPETIT !
LES LAURIERS DES ANCIENS
Voici un aperçu de résultats obtenus par des anciens dans l’enseignement
supérieur ou universitaire au cours de l’année académique 2008-2009. Nos
félicitations et nos meilleurs vœux pour la poursuite de leur cursus.
UNIVERSITE CATHOLIQUE DE LOUVAIN
William RIGUELLE (2006)
2ème Bac en information et communication
Laurent WILVERS (2002)
1ère année du master en criminologie
Florence DEMOULIN (2004)
1ère année du master en Droit
Cyrielle CLAES (2002)
Master complémentaire en Droit européen
Sébastien FREDERICK (2003) 1ère année du master en sciences de motricité
Xavier VAUSE (2003)
2ème master ingénieur civil électricien
Gaétano TERMINE (2002)
2ème master en sciences européennes
Jean-François LAVIS (1978)
Master complémentaire en pédagogie universitaire
Diane BERTRAND (1998)
2ème master en sciences de l’éducation
Emmanuela DE DECKER (2007) 1er Bac ingénieur civil
Elodie DELVAUX (2007)
1er Bac ingénieur civil
Robin LEFRANT (2006)
1er Bac ingénieur civil
Dimitri DEVILLERS (2006)
2ème bac en sciences de l’ingénieur, ing civil.
Natassia SCHUTZ (2003)
2ème master en langues et littératures germaniques
Charlotte DIJON (2005)
2ème bac en kinésithérapie et réadaptation
Martin DUBOIS (2006)
2ème bac en kinésithérapie et réadaptation
Nicolas DECONINCK
Année prépar au master en politique écon. et soc.
Natacha DUMORTIER (1989)
2ème master en politique économique et sociale
Virginie LUCCHETTA (1996)
3ème année d’étude spécialisée en psychothérapie
Chloé deTHOMAZ de BOSSIERE 2ème bac en sc psychologiques et de l’éducation
Elise DERMIENCE (2006)
2ème bac en sc psychologiques et de l’éducation
Mélanie DEBRUXELLES (2003) 3ème bac en sc psychologiques et de l’éducation
Marion AVRIL (2005)
3ème bac en sc psychologiques et de l’éducation
Kee Sung CAILTEUX (2004)
1ère année du master en sciences psychologiques et de
l’éducation
Simon-Pierre MATHY (2003)
2ème master en sciences psychologiques et de
l’éducation
Margaux YSEBAERT (2007)
1er bac en langues et litt. modernes.
Stéphanie TERWAGNE (2004) 1er master en langues et littératures modernes
Carla PLOMPTEUX (2004)
1er master en langues et litt romanes.
Anaïs BERGER (2003)
2ème master en sciences biomédicales
Catherine GROSLAMBERT
1er bac en sociologie et anthropologie.
UNIVERSITE DE LIEGE
Julie MABILLE
Céline DERMIENCE
Cécile DUPAGNE
Alexandra JANSE
Pierre GERARD
Emilie FAURE
Annabelle DELIRE
3ème bac pharmacie
Master complémentaire en pharmacie hospitalière
1er bac en langues et littératures modernes
3ème licence en sciences psychologiques
doctorant en sciences de l’ingénieur (ing civil)
Agrégation enseignement secondaire supérieur
Doctorante en sciences chimiques
Master en sciences de gestion
EPHEC
Roman BRIQUET
Bachelier en marketing
FACULTES UNIVERSITAIRES DE GEMBLOUX
Christophe FISHER
Jean-Michel ROMNEE
2ème master en bio-ingénieur chimie et bio-industries
Doctorat en sciences agronomiques et ingéniérie
biologique
HENAM
Timothée ANCIAUX
Ludivine AUBRY
Claire AVRIL
Jonathan BAJART
Aurélie CAEKEBEKE
Delphine CAMBIER
Marion CHEFFERT
Pauline CRASSET
Sophie DEBLIECK
Raphaël DEHENEFFE
Bastien DELVAUX
Catherine DEMOULIN
Stéphanne DIEUDONNE
Fanny DREZE
Amélie DREZE
Gwennaëlle DUVIVIER
Aurélien FIVET
Maxime FORTHOMME
Frédéric FROIDBISE
Géry GAEREMINCK
Amédée GALLOUX
Théodora GILLET
Sophie HALLEUX
Thomas HENDRICK
Nastasia LAHAUT
Elodie LAMBERT
Elodie LEONET
Diana MALHERBE
Lindsay MARION
Jérôme MARNEFFE
Magali MARTEAU
Madelyne MATHYS
Simon PECHEUX
Laetitia RASE
Arnaud ROSSOME
Sylvie SOMERS
Elodie URBAIN
Alexandra VITTOR
1er bac en Informatique et systèmes
3ème bac assistante sociale
2ème r bac Education physique
3ème bac comptabilité et gestion
1er bac en Normale secondaire Sciences
1er bac Normale préscolaire
2ème bac marketing
1er bac Normale secondaire, Sciences Eco
3ème bac en soins infirmiers
2ème bac en gestion des resoources humaines
3ème bac en éducation physique
3ème bac normale primaire
3ème bac en droit
1er bac Normale primaire
1er bac Bibliothécaire - Documentaliste
2ème bac assistante sociale
1er bac Soins infirmiers
3ème bac Normale secondaire, Education Physique
3ème bac en Droit
3ème bac en Informatique et systèmes
1er bac Normale secondaire, Sciences humaines
2ème bac Normale primaire
2ème bac en éducation physique
3ème bac en soins infirmiers
1er bac normale primaire
2ème bac assistante sociale
2ème bac en Comptabilité - fiscalité
2ème bac en économie familiale et sociale
2ème bac assistante sociale
2ème bac en marketing
3ème bac bibliothécaire-documentaliste
2ème bac en soins infirmiers
1er bac en Droit
2ème bac en comptabilité
1er bac Bibliothécaire - Documentaliste
Spécialisation en orthopédagogie
2ème bac en Marketing
2ème bac en soins infirmiers
Amandine VOLAND
1er bac Normale primaire
FACULTES UNIVERSITAIRES NOTRE-DAME DE LA PAIX NAMUR
Anne-Sophie ROMAINVILLE
Bénédicte BRYSSE
Marie ROSIERE
Aude KUBJAK
Lionel GROETAERS
Gabrielle PONCELET
Thierry MOUTON
Céline MATHIEU
Népher GILET
Esteban ANTON-NAVA
Mathilde REMON
Bastien VAUTHIER
Manoëlle BULON
Sarah DOCHEZ
Florentine PATINY
Guillaume ROSIERE
Perrine THIROT
Lydie HOUBION
Eileen LENOBLE
Laurence MELOT
Romain PIRSON
Bastien DEMANET
Laura LOWIES
Quentin BRACAVAL
Mathieu DEMOULIN
Jean-François ROMAINVILLE
Aurélien THIROT
Mathieu REDERICKX
Grégory MELONI
Carole MOINY
3ème bac en langues et littératures romanes
3ème bac en langues et littératures romanes
3ème bac en histoire
2ème bac en histoire de l’art et archéologie
3ème bac en information et communication
1er bac en Sciences politiques de l’information et
communications
1er bac en Droit
1er bac en Droit
2ème bac en droit
2ème bac en Droit
1er bac en Droit
1er bac en Sciences économiques et de gestion
1er bac en Sciences économiques et de gestion
1er bac en médecine
2ème bac en médecine
1er bac en médecine
1er bac en médecine
3ème bac en sciences pharmaceutiques
3ème bac en sciences pharmaceutiques
2ème bac en sciences mathématiques
1er bac en Sciences biologiques
1er bac en Sciences biologiques
année prépa au 2ème cycle en Sciences de gestion
1er master en ingénieur de gestion
2ème master en sciences économiques
2ème master en sciences économiques
2ème master en ingénieur de gestion
2ème master en ingénieur de gestion
2ème master en sciences informatiques
Agrégation de l’enseignement secondaire supérieur
Comme promis, nous remercions, à nouveau, les sponsors qui nous
avaient soutenus pour la revue de Juin 2009

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