Le projet Seine-Arche à travers la pensée de Marcel

01-06-16
Pas de question piège !
Recherche peut être mobilisée dans les pratiques quotidiennes en tant qu’archi
Recherche n’est pas une approche fermée.
Le projet Seine-Arche à travers la pensée de Marcel Roncayolo
Construire un projet sur la ville pour analyser un projet urbain.
Projet Seine-Arche prolonge l’arche de la défense jusqu’à la Seine.
3 chercheurs : dont un chercheur-géographe.
Projet Seine Arche :
1 – Problématique
Longue histoire qui débute dans les années 50, pour prolonger l’axe historique. Nanterre s’est battue
pour récupérer la main sur son territoire. Implantation de l’université qui a bouleversé les projets
urb. EPAD = établissement public.
Décembre 2000 = création de l’EPA Seine-Arche.
Projet qui a connu bcp de propositions
Ex : projet de Roland Castro refusé par Nanterre pcq trop dense.
Les enjeux :
 Mettre en synergie les pôles existants (université, Préfecture) entre eux et avec leur
environnement.
 Réaliser un aménagement paysager de l’axe par séquences, qui soit cohérent mais diversifié
 Désenclaver le quartier
 Améliorer la qualité de vie des habitants et des salariés… …
Appel d’offre et 3 équipes sélectionnées : Devillers, Fortier, TGT -> le dernier sélectionné qui
n’était pas une star.
Intégrer l’université dans l’axe. Proposer terrasse verdoyantes sans leur définir un usage.
2 – Voir la ville à travers la pensée de Marcel Roncayolo
Livre : « Les Grammaires d’une ville. Essai sur le genèse des structures urbaines à Marseille »
« Lectures de villes. Formes et Temps »
« Territoires en partage »
Saisir les articulations entre forme et usage dans le temps de la ville en utilisant des fondements de
la ville du passé.
Le passé d’un coté et le présent de l’autre ne veulent pas dire grand-chose au niveau de la ville. Les
processus s’enchainent se transforment …
Méthode inscrite dans la globalité et temporalité. LA ville bouge en permanence et n’est jamais
stabilisée.
Notion de strates : dans la géographie d’une ville, on a différentes strates qui correspondent aux
différentes phases du passé.
Les acteurs qui vont intervenir n’interviennent pas sur la même temporalité.
« L’imaginaire de la ville s’établit en strates, dont on ne sait jamais quand ni comment elles risquent
d’affleurer par l’effet de nos tectoniques en mouvement ».
« Le sol n’est pas table rase et le neuf se construit toujours avec une part de vieux »
Une ville est condamnée à s’étendre.