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Belgique
Echo
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Même si Ia situation s'ameliore plotOtdans les pys industriahses
BIT
Les.. feinmes: sont sous-é'.aluéès
sur le marché du travail
Alors qu'elles prestent de
plus longues heures que
leurs collegues masculins,
les femmes sont en
moyenne payées 25% de
d'un homme pour le même travail,
endehors de l'agriculture. Cette inegalité reste vraie dans les pays industrialisés comme dansles pays en
moms.
chOmage'sontentre 50 et 100% plus
nombreuses que les hommes dans Ia
voie d'industrialisation, et 1'écart ne
diminue pas.
Principales victimes de Ia recession
des années 1990, les femmes au
plus en plus de femmes
Detravaillent mais Ia grande
plupart des pays industrialisCs. IIfaut dire qu'en AmCrique du Nord,
majorité occupe des emplois pré-' en Europe et au Japan, dies ont etC
caires, mal rémun6rés et a faible deux fois plus nombreuses que les
productivité. Elles vont done pour hommes a rejöindre Ia population
Ia plüpart grossir les rangs des tra-
vailleurs pauvres*, explique Lin
Lim, I'auteur du rapport ntitu1é
More and Better Jobs for Women,.
active entre 1980 et 1990.
La principale force
an Action Guide, publié par l'agenee
dii succès des PVD
des Nations unies spécialisée dans
les questions sociales dans Ia foulée
En Asic du Sud-Est'et de l'Est, Ic
de Ia conference mondiale des se'xe faible*' représente jusqu'à
femmes organisée l'an dernier a 80% des personnes employees dana
P6km
et du sommet social mondial
de Copenhague.
-
les industries exportatrices. <Cest ''45% des femmesde 15 à64 ans travaillent dIes représentent ai
sur, Ia main-d'reuvre feminine, rela-
p!us de Ia moitié de Ia population active dans les pays industrialisé:
Par ontre, dies sont toujours plus tivement bon marchC, que repose
nombreuses dans des professions l'industrialisation axée vers les cx- une.activité professionneile aec des
traditionneliement dominCes, par les portations et Ia competitivitC de responsabilités familiales.
hommes, rapporte Ic Bureau interim- nombreux pays en dCveloppement*, La plus forte syndicalisation des
remarque'Michel Hansenne, direc- femmes et les nCgociaTtions OIlectional du travail (BIT), soulignant
-
qu'elles n'occupent malgré tout que
6% des pastes de cadres supërieurs.
Environ 45% des femmes âgées de
15 a 64 ans travaillent: cUes rejirésentent ainsi aujourd'hui plus de Ia
moitiC de Ia population active dans
les pays industrialisés, contre 37%
en Europe occidentale et 30% aux
Etats-Unis ii y a 20.ans.
La majorité d'entre elles ne gagnent
en moyenne que les 3/4 du salaire
teur gCnCral du,BIT.
dans les pays industrialisés. Ainsi,
par exempie, les femmes sont plus
nombreuses a des i5ostes qualifies, et
certaines ont même accédé au sommet de Ia hiérarchie. De nombreux
'pays ont adopté une legislation sur
est en augmentation.
tives ont Cgalement contribué a pro
L'Ctude constate péanmoins une mouvoir i'Cgalité des sexes, mais
sensible amelioration de Ia situation
erivoie d'industrialisation, cUes
forment encore que 31% de Ia pa
Iation'acive mais leur participati
4'Cga1ité de chance et de traitement
pour les femmes dans.le mondé du
travail reste encore partout un objectif a atreindre", souligne Hansenne.
La BIT s'attend ace que les femmes
La hausse du nombre de'femmes
travail dans les pays du Nord est
en grande partie a des emploi
temps partiel. Les femmes représ
tent dc 65 a 90% des emploi:
temps partiel des 28 pays
représentent lé même pourcéntagé i'OCDE. Hors OCDE, dIes
de Ia main-d'oeuvre que les hommes
vailleñt en majorité dans l'écono-
l'Cgalité des salaires et facilité Ia. dans de nombreux pays industria- informelle, moms bien payee et
tãche de celles qui doivent concilier uses d'ici I'an 2000. Dans Ie pays protection sociale.
BelgiqUe
Soir
30.07.96
Un rapport accablant du IT
egaux stir le marche du travail
j 'egalite entre hornmes et Plus pauvres aussi car chômeuLi femmes clans le travail n'est
pas pour tout cle suite. Un rapport du Bureau international du
travail (BIT) vient une nouveUe
ses: les femmes ont payé très
cher Ia recession dii debut des
années 90. Dans les deux tiers
des pays industrialisés, le taux
sont toujours plus nombreuses
a trava,ller, mais ) plupart rejo!gnent les rangs des travail/eurs
pauvres, constate de prime
100% supérieur a celui des
fois le confirmer. Les femrnes de chOmage féminin est de 50 a
abord le BIT.
Les travailleuses du monde entier, gagnent en rnoyenne 25%
de moms que leurs homologues
masculins. Mais, elles travaillent
plus Iongtemps: dans les pays
développés, Ia difference va jus-
hommes!
Pauvres enfln parce que victimes d'une ségrégation. D'après
des statistiques du BIT qui. por-
tent sur 500 professions non
agricoles aux liSA, RoyaumeUni et France, 45% de Ia main-
d'ceuvre occupe des emplois
itsexués. a plus de 80%.
Cette segregation commence
qu'à deux heures de plus par bien entendu a I'école. Sur Ia
semaine, et il n'est pas rare centaine de millions d'enfants
qu'elte monte jusgu'à cinq a dix qui n'ont pas accès a Venseignement primaire, 60.% sont des
heures de plus...
Mais cela ne les rend pas plus filles, alors que toute année en
fortunées, bien au contraire. plus de scolarisation permet a
Quelque 70% des pauvres et Ia femme d'ugmenter ses réve65% des analphabètes dans le
monde sont des femmes.
Pauvres d'abord de par leur emp101. Dans les pays industilels,
nus de 15% (contre 11 pour les
hommes), de diminuer Ia morta-
lité infantile, et de baisser les
taux de fécondité.
Les femmes sont po.urtant bien
l'augmentatiofl de Ia main-d'ceuet nécessaires: Michel
vre feminine est due en grapde utiles
Hansenne, directeur general du
partie au développement du tra- BIT, souligne que c'est sur Ia
vail a temps partieL Elles occu- main-d'ceuvre feminine, relativepent de 65 a 90% des postes ment ban nharché, que reposent
de ce type. Et en dehors de ces /'industrialisatiofl, axée sur les
pays, elles travaillent principale exportations, et Ia compétitivité
ment dans le secteur informel
(travail en noir), oü elles exercent des activités non réglementees et rnal rémunérées.
internationale de beaucoup de
pays en développement.
L.d.H.(St)
Beigique
Lanterne
30.07.96
Meuse
30.07.96
les femmes toujours
payéés 25 % en moms
Pourtant, elles font
plus d'heures que
leurs collègues
masculins
le Bureau In-
ternational du Travail
D'ARES
(B.L1'.), elles sont cependant plus nombreuses aujourd'hui dans des professions
traditionnellement domindes
par les hommes.
Selon Mine Lin Liin, auteur
du rapport
Plus et mieux
pour I emploi des femines, un
guide pour l'action, les fern-
mes reprdsentent Ia plus grande partie des pauvres et des il-
lettrés. De plus, 'Ia majorité
d'eñtre dies occuperait des
emplois prdcaires,. mal rémunrs eta faible productivitd.
Plus de 45 % des femmes
daps le monde agées de 15 64
ans travaillent et reprdsentent
aujourd'hui plus de la 'moitid
de Ia population active dans les
pays rndustrialisés.
Les principales conclusions
- de l'étude sont que:
- la majoritd des femmes ne
gagnent en moyenne que les
trois-quarts du salaire d'un
homme pour le même travail.
- elles sont les principales
victimes de Ia recession des années 1990.
- elles, n'occupent que 6 %
des postes de cadres sup6rieurs
dans le monde.
- en Anidrique du Nord, Eu-
rope et Japon, deux fois plus
de femmes que d'hommes ont
rejoint Ia population active entre 1980 et 1990.
- en Asie du Sud-Est et de
l'Est, les femmes reprdsentent
jusqu'a 80 % des personnes
employees dans les industries
exportatrices
Michel Hansenne, directeur
général du B.LT., explique que
c'est sur la main d'oeuvre feminine, relativement bon marché, que repose l'industrialisaZion (...) de nombreux pays en
développemente.
L'étude du B.I.T. note cependant des progrès, notarn-
ment dans les pays industriali-'
sés, comme par exemple une
plus grande representation des
femnies a des postes qualifies,
la creation de leur propre entreprise, ou encore l'adoption
de legislations sur une 'égalité
de salaire. De plus, lesfemnies
se syndicalisent en grand nombre, et des négociatidns collectives ont contribué. a promouvoir l'dgalité des sexes dans de
nombreux pays.
D'ici i'an 2000, les femrnes
reprdsenteront le. même pour-
centage de la main d'oeuvre
que les hommes dans de nombreux pays industrialisés. Dans
les pays en voie d'industrialisa-
tion, leur participation est en
augmentation.
Dans les pays du Nord, les
femmes reprdsentent la majorite des emplois a temps partiel
des 28 pays de l'OCDE. Hors
OCDE, elles travailent en ma-
jorité dans l'économie informelle, moms bien . payées et
sans protection sociate.
Selon le B.I.T., l'une des
priicipales causes de cot état
de fait est Ia discrimination
dont elles sont victimes a l'ecole.
Belgique
Nouvelle Gazette Charleroi
Province
Peuple
Journal et Indépendance
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Belgique
Dernière Heure/ Les Sports
30.07.96
Tra vail
/ GENEVE. Les femmes moms bien payees. Les femmes font plus
dheuresque leurscolleguesmasculinsetsontpayées25 ¼ demoinsen
rnoyenne dans le monde mais efles sont aussi plus nombreuses
,?aujourd'hui dans des professions traditionnellement dominées par les
hommes, rapporte le Bureau international du travail (BIT). Les femmes
representent 70 ¼ des pauvres dans Ie monde at 65¼ du milliard
d'illettrés. Plus de 45 % des femmes dans le monde ágeesde 15 a 64 ans
travaillent: elles representent aujourdthui plus de Ia moitié de Ia
population active dans es pays industrialisés, contre 37 ¼ en Europe
.' occidentale et 30% aux Etats-Unis ii y a 20 ans. Le BIT prévoit que Ies
femmes representeront le méme pourcenta9e de Ia main d'niuvre que
des hommes dans de nombreux pays'industnalisesd'ki l'an 2000. Dans
les pays en voie d'industrialisation, dies ne forment que 31 % de Ia
population active mais leur participation est en augmentation.
Nieuwe Gazet
Laatste Nieuws
31.07.96
V rouw blijft <zwak>>
WASHiNGTON - Hoewél
al 45 jaar geleden werd afge-
sproken dat voor gelijkwerk
een gelijk loon nicest wor-
den betaald, blijkt in de
praktijk dat vrouwen nog
teiir Michel Hansenne onderstreept dat bet aantal
werkende vrouwen weliswaarsterk is gestegen, maar
dat hun positie zwak blijft.
.Ze doen meestal slechtbetijd minder verdienen dan taalde jobs, hebben minder
mannen Dc Enternationale werkzekerheid dan mannen,
Arbeidsorganisatie
1W werken vaak langere uren en
schrjft in een nieuw rapprt dringen hoogst zelden door
dat vrouwen over heel de tot topfuncties.
-
wereld tussen de 50 en 80
procent verdienen van bet
loon dat mannen meé naar
huis nemen voor dezelfde
taken.
De Belgische ILO-direc-
Vergeleken bij mannen
hebben vrouwen daarenbo-
yen nog altijd af te rekenen
met ongelijke aanwervingsprocedures en ongelijke opIeidingsmogeIijkheden.
BELGIQUE
Morgen
31.07.96
Werkende vrouw flog
steeds kind vaÜ rekening
deerd ult schrik vuor bet moederschap. Bet.
darbeidsmarkt. waarze steeds
Vrouwen leveren een groeiend aandeel mdc W
hogere funkties bekieden. Tot daar bet goede nieuws.Volgens een uleuw rapport van
de InternanonaleArbeidsorganizatie npj verdient de vrouw voor dezelfde funktie
gemiddeld een kwart minder dan de man. Ookm Belgie.
zelfde geldt voor seminaries. btJschollngen en
post.unlveraitaiieopleldlngen."
Oplossingen liggen nochtans voor de hand.
De W1t "Bet Is belangiljk dat de bedrijven
axbeldsverdeling en funktlewuzdering onder
de loep nenlen. Selectiecrlterla van vroeger
wouw daardoor meet afwezlg zal zijn. Verge. gain ailing niet meet op. Bet bedxfJfsleven Is
wcedt dat kinderen geboren moeten wOr- gekeolueerd. de funkises niet. Een sekeetarese
wee vroegervooenamelljk dactylo, Nil beelt Xe
de*en dat demane zich vocflptant."
reel sneer verantwoozdelljkhèld en gut sUes
cijfexa van het U.O.rapport. In navol.
OndeewJs
sneUer. Todi blljftze nog in dlkwIJIe op het.
glngvan deVN.Vrouwenkonferintievan
Peking. liegen ernietom. Slechts4spct. Hoewel BelgiC al enkele jaren di Europese zelfde ,alazisnlveau. Ben ,rouwelljks lngenl
SfiUSSEL
D°
van deviouwenvlchtaldwerk.lndeVS richthjnen voor em gellJke4cansenbeleld eur woedt nag steeds gewelgerd audit an 'a
nadits niet snag wesken. Veal bedeljven ver
en de EUlanden werken se twee tot tien uur volgt. blIjft vooral de prlvlsektor achtezop.
meet per week dan de man. Slechts 6 pct. van Hetllgtaandementilltelt."aldusnogDeWlt.
de topbanen in het bedxlJMeven Is voor vio* "Ondenuseen woedt wet heel wit kreadvltelt
wen bestemd. .DaaxbJ is de werkloosheid
onder vrouwen in de Induanlelanden 50 tot
100 pct. hager dan die onder mannen. Toch
Ook in België verdient een
boekenvrouwen.vaoral indelndusirletanden.
vooruitgang. Veswacht wordt dat In bet jaar
vrouw gemiddeld een kwart
2000 In die linden evenveel mannen ala vrou
minder
wenop de arbeldsmarkt akilef sullen zljn.
Daarentegen Is er geen loon naar werken:
schuI1enzlthdanadsterdecudewetevingop
nachtwerk. terwiji em erouwflu welnachtar-
-
kid snag doen alrxe em verantwoordelke
positle ofeenvemouwens(unktlebekleedt."
Ookselekteren de meeste bednjvenvrouwen
niet omdat ze niet
of'agefgenoeg
zouden zljti "Er wordt te welnig rekening
gehouden met koncentratle en naulelettend.
beldwurwouwen*terkln ziju. oak In de vet.
koop," zegt De Wit. "Sen vrouw heefaoyer bet
algemeen sneer aoclaal voelende kwulitelten
zowel in ontwikkellngslanden ale In de Indus-
din de man en kin diatom evengoed eon
trielanden worden vrouwen 25 pct. lager en lnventhlteltweggegooid."
betaald voor hetzelfde west danbun manneliJ.
ke evenknie. Ook In BelgiC lade toestand die
In bet rapport wordt weerapiegeld een Mt
zegt Georgette De Wit. ,00rzltster van de kom.
missie arbeid In de lnternationale Vrouwen.
De man worth nog steeds voorgelxokken.
Veouwenverdlenenook hlergemiddeld 25 pct
minder. 00k blj promotie warden ze nag em.
sggedlemintinomd
Een van de belangrijkste argumenten in ons
land Is daarbij so cud aIr de strait. mast bran.
dend aktueel: "bet moederschap", zegt De Wit.
"Et wordt nag altijd van uitgegaan dat de
goele verkoopster zljn. Dan bedoel 1k nlet in
Discriminalle beginevolgens bet ILO.rapport
a! In de schooldjd. Bet Is geen toeval dat twee
dude van del mlljeeti vaiwassen analfabeten
yrouwen sun. In veal Afrlkaanse en /tslatische
linden giat 90 pct. van de vrouweliJke bevol.
king zeifa ssoolt flair school Van de 10OmI1-
bet warenhuls. meat in Internationale f'.
ties."
Volgens De Wit Is de globule markt deels de
boosdoener, meat bled; ze oak pelspektleven
door di toenemende nzobllitelt. 'De disalml.
joen kinderen die niet nut school gain. zljn nerende mentalitelt weait over nit bet bullets.
twee derde meisjes. Ale die wel ussr school land. Bedrijven zIjn bang dat de vrouw voor
gain. krijgen an minder onderricht In tech. hear gezin sal kiezen. terwijl de toenemende
niek of wetenschap. Elk schooljaar betekent mobiliteit wont dat dit niet nodig Is. Op een
nachtans 15 pet. mer inkomen. 5 tot 10 pcI. pair uur vilegen ben je In New York. En ale de
vrouw near bet bultenland treict, wiarom situminder kindeten en minder kindersterite.
De Wit "Demokratizering van bet onderwijs den hear man en hair gezin niet volgen? Bet
is er bij our we!. meat dat wottit niet gewiar- omgekeerdegebeurtaljaren." (MR)
-
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BELGIQUE
Letzeburger Journal
11.06.96
Hunderté M!Ilionen Kinder als Arbeitskräfte mil3braubht
Kélne Zéit für Schule
Forderung nach sofortigem Verbot auf ILO-Konfereflz
Mehrere hundert Millionen
Kinder werden weitweit als Eubeitskräfte miübraucht. Einem
gestern veröffentlichten Be-
richt der Internationalen Ar-
beitsorgafliSatiOfl (ILO) zufolge
müssen 13 Prozent der Kinder
arbeiten. Auf einer Konferenz
am morgigen Mittwoch in Genf
wollen die Minister aus den 173
ILO-Mitgliedsstaaten beraten
wie die Kinderarbeit verrmgert
werden kann.
Nach einer Statistik der ILO arbeiten 73 Mililonen Kinder im
Alter zwischen zehn und 14
Jahren. Würden auüerdern jun-
gere Kinder beucksichtigt sowie Midchen, die als Hausangestelite arbeiten, seien es mclirere hundert Millionen, heillt Cs
in dem Bericht. Die meisten
gebe es mit 44,6 Millionen in
Mien: Dort müsse jedes achte
Kind zwischen zehn und 14
4
Jahren zum Familienunterhalt
beitragen. In Afrika sëien es 3,6
Millionen, in Lateinamerika 5,1
Millionen Kinder. Aber auch
im wohihabenderen Südosteuropa arbeiteten Kinder in der
Landwirtschaft, un Stralleñhandel und in kleinen Werkstätten.
Viele wUrden gezwungen, be-
Ernte der Baumwolle in Usbikistan
ILO die Arbeitszeiten so lang,
sechs Jahren zu arbeiten. Meist daB für Schule keine Zeit
sind nach Erkenntnissen 4cr bleibt. ,,Die Kindearbeiter von
reits im Alter von funf oder
1
heute werden die ungebildeten
und ungelernten Erwachsenen
von morgen scm, die für immer
in qualender Armut gefangen
sind', sagte derILO-Generaldirektor Michel Hansenne.
BELGIQIJE
Laatste Nieuws
Nieuwe Gazet
10.06.96
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Belgique
Letzebu rger Jon rn al
03.08.96
iauén érhalten
Weitweit wenigér
Geld für gleiche
Arbeit
Studie der Intemátiónalen
Arbeitsorganisation veröffentlicht
Noch immer erhalten Frauen
weitweit. für di gleiche geleistete Arbeit erheblich weniger
Lohn als Manner. Zu diesem
Schiull kam die Internationale
Arbeitsorganisation (ILO) der
UN in einer am Montin Washington .veröffentllchten Stu-..
die. Frauen verdienten wischen .50 und 80 Prozent des
Lohns, den Manner erhielten,
befand der Bericht mit dem Titel ,,Mehr und bessere Jobs für
Frauen".
Die Autorin der Studie, die Ma-
laysierin Lin Lean Lirn, erklärte, seit 124 Regierungen izn
seien Fortschritte erzielt worden. Sic seien jedoch ,,weder
weltweit noch daucrhaft, nicht
einmal in Lãndern und Gegenden, die sich besonders bemüh-
ten'. In den USA etwa betrage
der Lohn von Frauen durchschoittlich 68 bis 70 Prozent je-
nes von Mãnnern In Letein-
anierika und der Karibik kOnne
deIUnterschied bis zu SO Pro-
zent betragen. In einem Vorwort zu dem Bericht schrieb
1jQ-Direktor Michel Hanseie, Praueñ seien zudem benachteiligt bei Ausbildung, Berufswabl, faniliärer Belastung,
Karriereaussichten, Kreditver-
Jahr 1951 eine Vereinbarung gabe mid Vollzeitstellen. Der
iTher gleiche Löhne für gleiche ILO mit Sitz in Genf gehOren
Arbeit unterzeichnet hãtteñ, 179 Lander an.
Belgique
Gazet van Antwerpen
30.07.96
Vrouwén werken meer
tegen lagere lonen
vakbonden en cao's afdwingen
om gelijke kansen voor mante garanderen.
Vrouwen leveren een nenInendevrouwen
rijke industrieiánden is
groeiend aandeel in de we- in de jaren tachtig het aandeel
afp/anp/belga
datinhetjaar2000inveeivan
die landen evenveel mannen
ais vrouwen op de arbeidsrnarkt actief zullen zijn. Meer
vrouwen dan mannen beginnen
maar van vrouwen op de arbeids- een eien bedrijf, vooral in de
reld-arbeidsmarkt,
verdienen een kwart minder markt tweemaal zo snel toege- Verenigde Staten.
Ondanks de vooruitgang
dan mannen. Dat staat in nomen abs dat van mannen. In
blijft
discriminatie een proOostelijk
Azië
was
er
zelfs
een
een nieuw rapport van de stijgin van bijna 20 %.
bleem, vooral in ontwikkeInternationale Arbeidsor-.
lingsianden. Dat begint al in de
ganisatie (ILO), dat giste-
In Oost-Europa waar onder schooltijd. Tweederde van het
bet communistische regime het miljard voiwassen analfabeten
een vervoig op de VN-vrou- aantal werkende vrouwen al op aarde zijn vrouwen. In veel
dan 50 % bedroeg, is dat Afrikaanse en Aziatische lanwentopconferentie in Pe- meer
cijfer sinds de val van bet corn- den ziet 90 % van de vrouwen
king en de Sociale Top in munisme niet veranderd. In nooit een school. Envande 100
Kopenhagen.
Latijns-Amerika, Azie en Afri- miljoen kinderen die niet naar
ren uitkwHet rapport is
Terwiji overal ter wereld ka zijn de meeste werkende school gaan, zijn bijna tWeesteeds meer vrouwen (45 %) vrouwen actief in de diensten- derde meisjes.
betaald werk verrichten, blijft sector en de landbouw, de
Als meisjes wel naar school.
65 % arm en 70 % analfabeet. siechts betaaide banen ter wegaan,krijgenzij ookinderijke
In de geindustrialiseerde Ian- reid.
Siechts 6 % van de topbanen landen minder onderricht in
den, Zuidoost-.zië en OostEuropa werkt meer dan 50 % in bet bedrijfsieven zijn we. techniek of wetenschap, en bevan de vrouwenbevoiking. reldwijd voor vrouwen. Daar- mn zij vaak de "typisch vrouOveral ter wereld worden entegen is de werkboosheid on- Welijke" yakken zoals bedievrouwen een kwart lager ver- der vrouwen in de industrielan- nen, secretaressewerk en naaibond dan mannen voor het- den 50 tot 100 % hoger dan die en. In de armere landen komt
onder mannen. In tijden van daarbij dat huishoudelijk werk
zeifde werk.
Het rapport dringt aan op economische tegenspoed vlie- beiangrijker wordt gevonden
betere wetgeving die vrouwen gen vrouwen er overal ter we- dan school, hoewel ieder jaar
school 15 % meer inkomen begrotere flexibiliteit garandeert reid als eerste uit.
Toch boeken vrouwen voor- tekent, 5 tot 10 % minder kinbij zwangerschap en kinder
zorg. Vrouwen moeten zich al in de rijke industrielanden deren en aanzienlijk minder
voorts ook meer organiseren in vooruitgang. De verwachting is sterfte onder baby's.
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Financjeel Ekonomjsche Tijd
30.07.96
lAO: vrouwen maken opmars in mannenjobs
Mannen en vrouwen nog steeds
ongelijk behandeld op arbeidsmarkt
(td) - De discriminatie naar geslacht blijft groot op de ar-
beidsmarkt. Vrouwen ontvangen voor hetzelfde werk gemiddeld 25 procent minder loon dan mannen, terwiji ze langer
werken. In de industrielanden Iigt de werkloosheidsgraad bij
vrouwen bovendien 50 tot 100 procent hoger dan die b
mannen. Maar er is verbetering merkbaar: zo krijgen vrouwen steeds meer toegang tot voorheen pure 'mannenjobs'.
industrialisering en de internationale concurrentjekracht van veel
ontwikkelingslanden', stelt Michel
Hansenne,
directeur-generaal
van de lAO.
De discriminatie volgens geslacht begint al in het onderwijs.
Van de 1 miljard analtabeten ter
wereld, zijn twee derden vrouDeze bevindingen staan te lezen in het rapport 'More & Better
Jobs for Women - An Action Guide' van de Internationale Arbeidsorganisatie (lAO). Het rapport is
een opvolging van het Vierde Wereldcongres voor Vrouwen dat vorig jaar in Peking plaatsvond.
De lAO stelt vast dater de jongste jaren een opmerkelijke verbetering is geweest wat betreft vrouwenwerk. In het Westen, Latijns
Amerika en de Cariben, oefenen
vrouwen steeds meer administra-
tieve en managementsfuncties
werk en deze kloof wordt niet kleiner. Nochtans werken vrouwen in
de industrielanden gemiddeld
twee tot tien uur per week langer
dan mannen. Bovendien ligt in de
industrielanden de werkloosheidsgraad bij vrouwen 50 tot 100
procent hoger dan bij mannen.
Overal ter wereld vinden de
vrouwen vaker de weg naar het
arbeidscircuit. In de geindustrialjseerde wereld zal de participatiegraad van vrouwen in 2000 even
groot zijn als die van mannen, aldus het rapport. De deeltijdse ar-
uit. Sommigen zijn zeUs doorgebeid speelt hier eeri belangrijke
broken tot echte topfuncties. In de rol. In de industrielanden maken
VS zetten vele vrouwen een eigen
vrouwen 65 tot 90 procent van de
zaak op poten en heel wat landen deeltijdse arbeiders uit.
hebben in hun wetgeving de gelijke verloning van man en vrouw
opgenomen. De arbeidsvoor- Ontwlkkellngslanden
waarden voor vrouwen zijn verbeIn de ontwikkeiingslanden werterd en steeds meer vrouwen yinken vrouwen vaak in de informele
den de weg naar een vakbond.
sector, waar ze slecht betaalde
Niettemin blijtt er nog een hele baantjes uitvoeren. In Oost-en
weg at te leggen. Er is nog geen Zuidoost-Azië zijn 80 procent van
gelijk loon voor gelijk werk'. Ge- de arbeiders in de exportindustrie
middeld verdienen vrouwen vrouwen. 'De relatief goedkope
slechts drie vierden van het loon vrouwenarbeid vormt dikwijls de
dat eeri man krijgt voor hetzelfde hoeksteen van de exportgerichte
wen. Ook nu nog, zijn 60 procent
van de 100 miljoen kinderen die
geen onderwijs genieten, meis-
jes. Vrouwen krijgen niet alleen
minder onderwijs, ze krijgen ook
ander onderwijs. Vaak leren ze
'typisch vrouwelijke' vaardigheden, zoals typen en naaien. In arme landen stoppen meisjes ook
vaker hun opleiding dan jongens
om thuis een handje toe te steken. Nochtans zijn de voordelen
van onderwijs bewezen: per bijkomend studiejaar, stijgen de inkomsten van vrouwen met 15 pro-
cent (slechts 11 procent voor
mannen); de vruchtbaarheidsgraad daalt 5 tot 10 procent en
per 1.000 opgeleide meisjes daalt
de kindersterfte met 43 eenheden.
Het rapport stelt ten slotte dat
het niet voldoende is de kansen
op werk voor vrouwen te verbeteren, ook de arbeidsvoorwaarden
moeten erop vooruit. Daarbij
moet onder meer het principe ge-
Iijk loon voor gelijk werk' geëerbiedigd worden en er moet vrijheid van vereniging zijn, aldus de
lAO.
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Correio Braziliense
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Deutschland
Handelsblatt
I ARBEITSMARKT
fib sieht
Nachtéile
fur Frauen:
HANDEISBLA1T..Montag, 29.7.96
sha DUSSELDORE Weitwelt bekom-
men Frauen im Durchsclmitt für die
gleiche Arbelt em Viertel weniger
bezahit als ihre m8nnlichen Koflegen. Schlechtere Bildungschancen
und längere Arbeitszeiten behindern
noch immer die Gleichberechligung
von Frauen ha Bert Das 1st das
Ergebnis elnes Berichts, den die Internationale Arbeitsorganisation Ho
am Dienstag 'vorgelegt hat. Frauen
sind hiufiger berufstãtlg, aber sle
lassen dabei meist nur das Heer der
Schlechtbezahlten anwachsens,
teilte Lie Urn, die Autorin des 194
Seiten umfassenden Berichts ,,Mchr
mid bessere Jobs für Frauen.
Weitweit sind den Untersuchungsergebnissen zufolge lnzwlschen
mehr als 45% der Frauen ImAlter
von 15 his 64 Jahren berufstatlg. In
den Industrielindern stellen ale sogarmehr als die Haute der Erwerbatatigen. Die Studie sleht die Frauen
als Hauptopfer der Wlrischaftsrezession der vergangenen Jahre. In
elnigen Industrielãndern sind ale his
zu doppelt so häuflg von Arheltslo-
sigkelt betroffen wie Manner. Und
wennsie einen Job ergattert haben,
stoBen sie nur selten In die Spltzen-
gruppen vor. Nur 6% aller Filhrungspositionen sind laut Ho von
Frauen besetzt.
Die Diskrlminierung von Frauen
werde durch die Konzenfratlon auf
besthnmte Berufe gefordert, helilt es
welter. In den USA. Groilbrltannlen
und Frankreich wUrden 45% aller
Beschaftigten in Berufen arbeiten,
die mindestens zu 80% von elnem
Geschlecht dominiert wurden. In
den Exportzonen der asiatischen
Wachstumsstaaten seien his zu 80%
der ArbeitskrAfte Frauen.
In vielenlndustrielündern zeichnen sich laut Ho Fortscbrltte ab. So
werde gleicher Lohn für gleiche Arbeit gesetzlich vorgescbrleben.
DIEZEIT
20095 HAMBURG
till
26.07.00
Deutschland
Klaus Schwab. GrUnder und Prasident dcc
World Economics Forum in Davos. und Forumsdirektor Claude Smadja. einst uneingeschranktc
BefUrworter der Globalisierung. verireten mullerweile die Ansicht. daB die Glohalisierung in cm
kritisches Stadium getreten ist. In cinem l3cilrag
für die intentational herald lriIn.nv.' verweisen .ie
auf die zunehmendc Angst und Hilflosigkeit in
den Industrienationen. die leicht in cine Revolte
mtlnden konne. Zwar lasse die Glohalisicrung
nicht nur neue. bedrohliche Wettbeuerher nach
wachscn. sondern sorge auch Für neue Märktc und
damit höherc Gewirine. Aber frilher hiiltcn hOhere Gewinne eben sicherere Arbeitsplatze und
bessere Lohne bedeutet. Heute vcrkUndetcn Manager Entlassungen und höhere Profite im gleichen Atemzug. Wcnn die nationalen Rcgierungcfl
ihren Btlrgern nicht helfen. sich dci neuen Welt
anzupassen. wUrde Glohalisierung zum Synonym
für cinen Zug werden. der ohnc Bremsen auf den
Abgrund zustaucit.
Während auf internationaler Bfthne die warnenden Stimmen lauter Warden. tehen die Deutschen dci Globalisierung noch meist positir gegenUbcr. Bundeshankchef Hans Tietmeycr zum
Beispiel vcrspricht sich von dci Integration der
Mrkte ..weltweit groBeren Wohlstand und durchaus auch grdBere Stabilität". Eine Delegation dcr
Friedrich-Ebert-Stiftung kam zu dem SchIuG. daLi
die zunebmenden Verflechtungen beim Handel
mit Waren. Kapital und Dienstlristungen ..insgcsamt gesehen sowohi für die Industrie- als auch
Entwicklungslander ftbers'iegend mit posisivcn
Auswirkungen verbunden" seien. Die gcgenuher
den Entwicklungsländern hohen ExportUherschilsse der Industrielttnder gerade bei hochwcrtigen Industriegtktern sprachen ..eher für den Ex-
port von Arheilslosigkeit denn von Arheit".
Globalisierung soilte deshath nicht verhinderl.
sondern als Chance verstanden werden. Und 1G.
Metall-Vize Walter Riester glaubl. ..es geht nicht
ohne Gtobalisierung'. Die Horrorzahlcn. die Olaf
Henkel. Chef des Bundesverbandes dci Deutschen Industrie (BDI). verhreite. nenni Riester
in
..perfide". Sic soilten die Besehautigten
Dcutschland nur gefugig machen Henkel geht sail
._spttsetzUflV°'t Seite 20
diese v:randerUflgefl. die im Zuze der Gb-
All
saIisierufleJfhmmc
sind. haben gravierende
aut die Arbeitskrattc: Die Antorderur.eCfl an Qualilikation und Flexibiiitàt dci
Mdrbetter wachsen erheblich. Eine gemeinsame
studie von JAB und Prosnos AG geht davon aus.
daB im Jahr 2010 der Anteil der hoherqualifizter-
ten Tbtigketten hei last vierzig Prozent began
wird. l95 wacen es 2S Prozent. wahrend die cm-
1achn Arheiten von 27 Prozcnt aul 17 Prozent
inken warden. Ernuchterung machi sich selhst in
dci Mubtimcdiabranche brett. dia einst von his zu
funi Millionen neuen Jobs schwarnste. Das Deut-
che Institut tur Wirtschaitslorschung tDIWI in
Berlin eeht neucrdmngs gerade noch ron 200000
zusaizlichcn Arheitsplatzen his 2010 aus.
Anmiesichts dieser Umbrdche in der Arbeitswelt
Buft das deutsche System industrieller Bezighungen Gefahr. corn Vorzcige- zum Auslaufmoelell zu
werdcn. Die AuflOsung des normalen Arbeitsverhillinisses erschwert die Mitgliederwerhung bet
.Arbeitgebcrverbanden und Gewerkschaften. lhre
kollektiven Regelungssysleme werden unteilaufen
Monaten mit der - nicht nur von Gcwcrkschtftern. sondern auch von Okonomen bestrittenen These hausieren. in den wergangenen fOn( Jahren
ceien mindestens.0() 000 Arheitsplittzc ins Aus-
land verlagert wordcn. weil in Deutschland die
Arbeilskosten zu hoch. die Struern cidrUckcnd
und die Regelungsdichte zu groG selen.
DaLi Deutschland im internatioaalen Wetthewerh nur mithalten kann. wcnn sich hierzulande
vieles veründert. hcslrcitct indes niemand. Aflar.
dings hat dci Zwang zur Vcriinderung vik
Grtlnde. Wolfgang Klaudcr. Dircktnr am lnstitul
für Arbeitsmarkt- und Bcrulsforschung (lAB) der
Bundesanstalt fIJi Arbeit. fUhrt die wachccnde Arbeilslosigkeit auf mchrere ..Mcgatrcnds" zurUck.
Die wichtigstcn sind Internationalisicrung und die
iechnologische Revolution, die den weltweiten
Wettbewerb noch verssärkt. Weichen Anteil die
Globalisierung an dci zunehmenden Erwerhslusigkeit in den Industrienationen hat. läBt sich nur
schwer ausmachen. Die meisten Analysen hc7ilfern ihn mit zehn bis dreiBig Prozent.
Die grofltcn Auswirkungen auf die Arbeitswelt
bcirkcn nach Ansicht von Klauder die crstcn
beiden Trends: Technik und Internationalisierung.
Dci denkenda. spre-
IflveSIueiefl in Sachsen 174 FeIgn
mko - Globalisierung 151 auth Chancc. Aber
Zwickel ist nicht blauaugig. Er weiB. daB die in.
ternattonale Konkurrenz deutsche Lohne enken
und Crnweltnormen schleifen kann. Als Gegengewicht tordert ci staikere intemationale Gewerkcchaftsstruktunen sowie die lanssame Anpassung
dci Arbeits-. Social- und CmweltstandardS. Doch
davon smnd die Gcwerkschatten noch wait entfaint. Denn schon die Varsuche. elnen durchsetiungsiahigen europaweltcn Becriebsiat für Spa.
flier und Deutsche. Franzosen und Italiener zu
onganisieren scheilern haufig an unterschiedlichcn lnteressen. Zielen und Sprachen. Wieviel
schwmenger wird es da cern. weltweit gemeinsama
Standards durchzusetzen. Dci Publizist Claus
Koch 1st denn auth sichcr: La gibt kein organismarbares gemeinsames Interesse dci Arbeitnehmer im curopdischen Markt. lm Gegenteil. die interessen der nationalen ArbeiinehmeiSChaften.
die sich ihrerseits dunch die Intemationahisierung
immer weiter aufspalten. driften zusehends ausamnander."
Doch Tatsache is,. daB die Arbeitnehmervcrtretungen schon jetzt zunehmend ihre Mitglicderbasis verlieren, Mehr noah: Auch don ..Sozialstaat.
in dem sic so lange verankert waren. wenden sic
bald verlicien". prophezeit Koch, .Die lnteinationalisieiung ihrer industrien und dci Guterniaikte
und die unbehinderte Reaktionsfahigkeit dci
Stoffliche
Verb in dun ge n.
rn MatenaffoisdlungsvetbUfld Dresden (Mm) mmd 16 hsd'
nile dci Wemksiofforschung zusamrneiigeschfossen. Die Atbeissgensemnsehaft bidet Unlemnelimen wmssenschahtkhe
Ergebrusse und die Kompetena von fast 1.000 Milambsmtem
an- au Dirosdemsuing. Suehen Ste Veibjmndete' Wirisdmatis-
lordemurig Sachsen GmbH, Susanne Meyer, Tel. (03 51)
3199-li 27, Fan (0351)3199-1099. hitpJ/w..v.sathseade
SACHSEN!
Sachnen machi kiemne Anielgen. damit melir Geld ICr
Investoren bteibt.
Weltflnaiusnärkto haben den europaisclsen WohIfahrtsstaaten das Kreuz gebrochen." Die sozialen
Sicherungssysteme sind im internationalen Weltbewerb schlicht zu teuer geworden.
Der Wissenschaftlei Hoist Atlseldt. zur Zcit
Gast am Stamberger Institul zun Erforschung gb.
baler Strukturen'iind Knisen. malt denn auch em
dusteres Zukunftsbibd: ,%Verden in caner Welt mit
schnell wachsender Bevolkerung alle Handelsschranken wirklich vobbstandig ahgebauL dann
wird der groBte Teil menschhicher Arbeit nach em
odor zwei Generationen weltweit so billig wie
Dreck. Und wer wie Dreck bezahtt wjrd. landet
frUher oder spater auch dort."
und ausgehohlt. Viele Indizien sprachen dafIJr. so
dci Gottinger Sozialwissenschaftler Klaus Done.
daLi sich ..der gesellschaftliche Basiskonsens . - mit rasender Geschwindiglceit auflOsr. Kollektive
Verhandlungssysteme stOnden zur Disposition.
Dci interne Standortwettbewerb und Sozialdumping-Stralegien der Unternehinen schwachten vor
sham Gewerkschaftcn und Betriebsrdte. well sic
Afheldt bietet aber auch cine Losung Da der
Markt soziale Ziele oder Umweltziele nicht von
sich aus veifolgt. muG die pohltische Macht. die
dern Maikt diese Ziele c'orgibt. ebenso weit reichen wie dci Markt sclbsi. Eine Weltregierung.
die diesem Anspruch tterecht wfirde.
scm em
Deshalb mUBten grolhe Virtschaftsrdume gebildet warden - wia zurn Baispmeb
Europa. Ostasicn. Nordamermka -- in dcnen dem
..Hirngespmnst".
und schende
anders abs die Unternehmen nicht fiber transnatio-
Rohoter. dr die Pulzfrau mcd den Botcn.
den Facharheiter und
den Konstrukteur. den
nale Strukturen verfUgen. So stimmie dci Be-
Markt gcmclnsame sozmale mcd okologasche Mm-
iriehsrai im Opel-Werk Bochum dam Samsiag als
Regelarhetlstag zu. wail er Produktionsverlagerungen ttlrchtete. Die Belegschatt des Heizkorper-
men kOnnten duich ZUhIc vor sozialem mcd Okoho-
chende
Uhersetzcr und den
Assistenten crsCl7t. iSt
langct kcinc Utopia
niehr. Multimediaysteme crlauhcn 7ugleich Informatiirncn jeder Art.
unahhangig von Zeil und Standort auszulaucchcn.
Das alles fllhrt zur Auflosung des starrcn Normal.
arheitsverhälinisses. heiBi für ride Ahschied corn
festen Arheitsplatz. lmncer mehr Heumarheit. TeIearbeit. Teilzeitheschaftigung. befristetc Jobs und
neue Formen dci Selhstandigkcit sind die Folgen.
Nach Schlltzungen des Verhandc Deutceher
Maschinenbaucr (VDMA) konnic hcreilc mittelfristig jeder zehnte Arbeitsplatz aus den Firmen
nach Hause oder in mobile BBros verlagcrt werden. In den Unternebmen werden die Arheitsein.
heilen klciner. und selbsi anspruchsvolle Aulgaben lassen sich von externen Beratern erledigen.
Fortsetzung .iichsle Seite
hersiellers Viessrnunn crklarte sich heneit. pro
\Voehe drei Stunden unhezahit lunger zu arheiten.
urn ama Werlssgrbndung in Tschechien zu varhmndarn.
IG-Metall-Chet Klaus Zwickel giht sich dennoch optimislisch. ..Gbohahisierung ist auth unter
cewerkschaltlichefl MaBsiahen nicht our cm
Ri-
dcststandards vorgegeben wUrden Sotche Norgischcm Dumping geschutzt werden. Die Sozial-
siaatsregmoncn waren dann zwar .Anseln den
Saligen". Doch die Alternative ware: exinemer
Raichtum und extreme Armut irn selben Land.
Dann aher wane dcr Siaat eezwungen. den Besitz
dci Reichen mit Pohizei und Justiz vor dam Ansturm dci Armen zu schutzcn. Kann so Demokiatie gekht werden?
Deutschland
DIE
ZEIT
20095 HAMBURG
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o7J
Der alltagliche Skandal
haben das WeiBe Haus in Washington,
Jm
das Hauptgebaude des weltgroBten Konzerns Mitsubishi, die Nato-Zentrale und der
Vatikan gemeinsam: Auch im Jahr 1996 ist es
kaum vorsteilbar, daB cue Frau doit die Hausmacht flberninimt. Ebenso laBt sich in den Fabriken der Vereinigten Staaten, auf den Feldenn Süd-
afrikas mid in den Büros in Deutschland eine
Gemeinsamkeit feststellen: Die Frauen arbeiten
dort meist für weniger Lobn mid haben geringere
Aufstiegschancen als die Manner.
Jahxzehnte nachdem die Frauenbewegung erstmals die geschlechtsspezifische Diskriminierung
angeprangert hat, kommt eine Studie der Internationalen Arbeitsorganisation der Vereinten Nationen (ILO) zu einem bitteren Ergcbnis. Zwar wer-
den iijer mehr Frauen berufstatig - mittlerweile
arbeiten fast 45 Prozent der weiblichen Weltbevol-
kerung gegen Entlohnung. Doch hat die wachsende Beteiligung am Erwerbsleben die traditlonelle Benachtdiligung von Frauen auf dem
Arbeitsmarkt kaum grundlegend geändert. un Gegenteil: Weitweit werden immer noch liber neun
Zehntel der Ftthrungsposten von Männenn besetzt.
Fraun verdienen in der Industrie und im Dienstleistungssektor durchschnittlich ciii Viertel
weniger als die Manner.
Und die neuen weiblichen
Arbeitskräfte
.drangen vor aliem in
schlecht bezahite, unge-
sicherte Jobs. In den
U
ten, das Gegenteil bewirkt haben. Sic verringertën
deren Chancen, überhaupt elnen Arbeitsplatz zu
bekommen. Daher schluBfolgert die Autorin zu
Recht, daB spezielle gesetzliche SchutzmaBnahmen für Frauen generell eher abzulehnen slid.
Nur chic Ausnahme scheint ihr sinnvoil: der be-
sondere Schutz von Schwangeren und Müttern.
Doch selbst hier überrascht chic auch in Deutschland nicht verwirklichte Forderung. Die Lasten
des gesellschaftlich erwunschten Schutzes soilten
ganz von der Gesellschaft und nicht zum Tell von
den Arbeitgebern getragen werden. Nur so kann
verhindert werden, daB die Arbeitgeber aus ökonomischen GrUnden männliche Arbeitskrlifte vorziehen - chic Praxis, die auch hierzulande tLbhch
1st; Frauen im gebarfahigen Alter finden schwieriger eunen Arbeitsplatz. In den neuen Bundeslän-
dern haben sich sogar viele Arbeitnehmerinnen
aus Angst vor dem Verlust ihres Arbeitsplatzes
sterilisieren lassen.
Auch vom Reizwort ,,Quote" halt die ILO we-
nig. Die Quotierung von Arbeitsplatzen sd nlcht
selten als Diskriminierung der Manner beurteilt
worden. Rechtliche Hindemisse, die mangeinde
wissenschaftliche lJntermauerung mid der Wider-
stand von seiten der
Weitweit arbeiten
Frauen langer
und verdienen weniger
als Manner
Entwickhmgslandenn
1st ihr Einkommen daher oft so gening, daB sic auch der Lohn nicht von
der Armut befreit. Dabei ermöglicht gerade ihre
billige Arbeitskraft vielen Ländenn meist erst die
exportorientierte Industrialisierung.
Der ILO-Benicht dokunientiert diesen alitAglichen Skandal. Besonders interessant wird en jedoch deshalb, weller nicht bei der Analyse stehenbleibt: Die ILO zählt nicht nun die verscbiedenen
Arten der Diskrirninierung von Frauen in der Arbeitswelt auf; sic steilt auch Ansätze zur Uberwindung dar, beschreibt positive Beispiele und scblagt
ihren Mitgliedsstaaten konkrete MaBnahmen vor.
Manner hatten auBerdem ihre Wirkung verrungert Die Hinweise
vor allem auf rechtliche
Hürden sind sicher be-
denkenswert - vor al1cm seit der EU-Gerichtshof den Einsatz
von Quoten im offent-
lichen Dienst beschrankt hat. Das Argument des
männlichen Widerstandes ist jedoch àuBerst
schwach - darnit lieBe sich fast jeder Kampf urn
rnehr Gleichberechtigung ablehnen. So 1st auch
die Empfehlung, Quoten nun ausnahmsweise ciiizusetzen, wohi selbst Politikerinnen der CDU zu
vorsichtig.
Der Konigsweg der Frauenforderung 1st für die
ILO die affirmative action, die aktive Frauenförderung. Allerorten soilten Ziele für chic stärkere
Beteiligung von Frauen vorgegeben werden: Mit
Forderprogrammen und Ausbildungsgangen, mit
Pragmatisch analysiert die Studie die unter-
zeitlichen Vorgaben und Offentlichkeitsarbeit
schiedlichen Instrumente der Frauenforderung: Es
geht der malaysischen Autorin Liii Learn Liii dabei me urn die Rechtfertigung politisch korrekter
Mittel, sondenn iinmer urn das Ziel der Chancengleichheit. Das ermoglicht Uberraschende SchluB-
mllBte dann auf diese Ziele hingearbeitet werden.
Vdr ailem ciii überzeugendes Argument führt
die ILO für diese Idee. an: Die meisten sozialen,
politischen mid okonomischen Strukturen entstanden in euner Zeit, in der die Diskriminierung der
folgerungen. Deutlich wird das am Beispiel der
Arbeitsgesetzgebung. Nicht selten hat sich in den
Vergangenheit gezeigt, daB Gesetze, weiche die
Arbeitsbedingungen von Frauen verbessern soil-
Frauen an der Tagesordnung war. Nur ebenso-
breit angelegte Mittel konnen also den Spalt
schlieBen, den den Arbeitsmarkt von Mannern
mid Frauen trennt.
Petra Pinzler
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20355 HAMBURG
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30.7.96
ch1echt bezahit und ausgenutzt
Qualitative Verbesserungen
für Frauen am Arbeitsmarkt
sind kaum erkennbar. Auch
in den reichen Industriena-
tionen sind sie schlechter
bezahit, weniger abgesichert und von der Rationali-
sierungswelle am strksten
betrotfen. Weiche Perspektiven gibt es? Wie sind die
Biidungschancen. wie die
Entlohnungen? Das Abendbiatt sprach mit der Autorin
des neuen Frauenreports
der Vereinten Nationen, Lin
Lim: ,,Jedes zusätzliche
Schuljahr erhöht das spate-
re Einkornmen für Frauen
urn etwa 15 Prozent, reduziert gleichzeitig die Fruchtbarkeitsrate urn fünf bis
zehn Prozent und vermindert die Sauglingssterblichkelt."
Bauarb&tan In Indian: Frauen schteppun, Minner fOhrsn Aufsicht. In elnlgen LAndern Asians und Atrikas heben
90 Prozent der Frauen nia .me Schute besucht, Doch auch In den Industriesteaten werden Frauen benchtelIigt.
Studie der UNO
Frauen von Ratlonalisierung mid Armut besonders betroffen
Von IRMINTRAUD JOST
SAD New York In den Burns
Der ,,kleine Unterschied" beim Lohn
L0h',' I, s,pue..s.'.n
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000nt d.L. .00,rrfld*,
.100 PaNel
und Fabriken der Welt werden
Frauen auf absehbare Zeit bel
Arbeitssicherhett
Arbeitszeit,
und EntIohnurg nicht mit thren
mannlichen Kollegen gleichziehen kdnnen. Ion Gegenteil.
Rationalisierungswelle und Mas.
senentlassungen trelTen die
Frauen besonders hart. Dies ist
100 Milbionen Kindern, die welt-
welt keine Mdglichkeit haben,
zur Schule zu gehen, sind 60 Prozent Madchen.
das Ergebnis einer Studie der In.
tornnUonalen Arbeitsorganisation (ILO) der Vereinten Natio.
_Jedes zusätzliche Schuljahr
erhdht das spdtere Einkommen
für Frauen urn etwa 15 Prozent,
reduziert gleichzeitig die Fruchtbarkeiterate urn fünf bis zehn
Prozent und vermindert die
Sauglingssterblichkeit', so Lirn.
Bessere Ausbildung kornme
nicht nur den MSdchen selbst,
sondern der gesarnten Familie
nen. the gestern veröffentlicht
wurde. _Es gibt keine bedeutenden qualitativen Verbesserungen für die Frauen am Arbeitsmarkt", sagt Lin Lean Urn (50),
Autorin des ILO-Reports im Ge.
sprách mit dem Hamburger
AbendblatL
Zwarwachseweltweit die ZahI
der arbeitenden Frauen. ,,Doch
damit wdchst meist nur das Heer
der In Armut lebenden Berufsthtigen'. denn zahlreiche Arbeiten
seien unterbezahit. Für die mcisten Jobs auf3crholb der Landwirtschaft erhalten Frauen gera.
de drei Fünftel des Lohnes ohrer
onaoonlichen Kollegen. Dabei ma-
che es kaum einen Unterschied,
ob die Arbeit in elnem Industrieland oder in einem EntwickIungsland verrichiet werde. ,,Die
Schere schlieilt sich nieht.'
in Westeurqpa beispielsweise
sei zwar die Rate berufstttiger
Frauen in den vergangenen zwei
Jahrzehooten von 37 auf gut 50
Proent gestiegen. Die jungste
ftationalisierungswelle der Un.
ternehmen aber, mit der im Wege
globalen Wirtschaftens überall
die Personalkosten gesenkt wurden. habe besonders die Frauen
getroffen. die vielfach nur TeiIzeitstellen oderbefristeteAnstellungen fanden. So iSgen in den
roichen Industriestanten die Ar-
nie in der unterschiedlichen Erziehung. Mehr als zwel Dritteb
der nahezu eine Milbiarde Crwachsenen Anaiphabeten weltwait sind Frauen. In einigen Landern Miens und Afrikas haben
rnehr abs 90 Prozent der Frauen
Ira Alter von 25 Jahren und diter
ale eine Schule besucht. Von den
und letztlich der Geselischaft zu-
gute. Die bulge Frauenarbeit
In Japan verdienen Frauen Im Schnitt nlchtelnmal haib soviet wie Manner.
beitsiosenraten für Frauen zwischen 50 und 100 rozent über
denen der Manner. ,,Einrnai arbeitsios, haben Frauen es zudem
schwerer, wieder elne Beschaftigung zu fonden, sagt Lion.
In Entwicklungslandern, so
Lim, liegt die Ursache für den
Sexismus des Arbeitsmarktes
vielfach ion sozialen Status der
Frauen. In den Industriestaaten
dagegen werden die vorhandenen Gesetze oft nicht angewendet. kritisiert die Expertin der
ILO. Auch in den lndustriestaaten verlauft die Geschlechtergrenze sowohi horizontal als
auch vertikal quer4urch den Arbeitsmarkt.
Viele Berufe sind immer noch
entweder Frauen oder Männern
vorbehalten, Lion steilte fest, dalI
selbst in den USA, Frankreich
und Grollbritannien 45 Prozent
der Beschiifligungsfelder auller-
haib der Landwirtschaft zu so
Prozent entweder von Frauen
oder Mdnnern dominiert werden. Den Frauen fallen dabei in
der Regel die schlechter bezahlten und schlechter abgesicherten Bernie zu. Und selbst innerhaib einer Branche bekleiden
bei technischen Produkten hat
vielen EntwicklungslSndern erst
ermoglicht, in Exportmdrkte emzudringen", so Lim.
Prozent haben technische Ex-
Die Wirtschaftswissenschaftaus Malaysia spart ober
auch nicht mit Kritik an den Industrienationen. Die skandinavischen Lander erhabten die besten Noten, Frauen verdienen in
Schweden 90 Prozent des Gehalts ihrermännlichen Kollegen.
In Japan kommen weibliche Beschtftigte ion prod .izierenden
Gewerbe nach wie or nur auf
gut 40 Prozent. Trots quasi gicicher Ausbildungschancen und
entsprechender Gesetze stehen
rigkeiten der Frauen in der Arbeitswelt sieht Lim in erster Li-
Ltndern schlechter abs Manner.
da sic versuchen müssen, Familie und Beruf miteinander zu verbinden. ,,Arbeitgeber sehen
Frauen immer noch oft abs nicht
so verlätilich an, da sie auf ihre
Kinder Rücksicht nehmen mussen.'
Frauen in der Beget die Arbeitsplatze mit geringerer Bezahiung
und Stellenwert.
So werden zwei Drittel afler
Frauen ira produzierenden Gewerbe sb ungebernte oder ange-
berate Arbeiter gefuhrt. Nur fünf
pertise, nuT zwei Prozent bekleiden Manager- oder Verwaltungspositionen. Insgesamt sind welt.
weitnur sechs Prozent derleitenden Managenient-Funktionen
von Frauen besetzt.
Die Ursachen für die Schwie-
berm
sich Frauen in europäischen
Deutschland
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Berufstätige Frauen weitweit diskriminiert
110-Report: Unterbezahiung und schlechtere Ausbildung hemmen Aufstieg in der Arbeitswelt
-
Genf.dpa
Geringerè Lohné. Iângere Arbelts-
a
zeiten und schlechtere Bildungs-
chancen verhindem weitweit noch
immer die Glelchberechtlgung von
Frauen Im Beruf. Selbst in den reithen lndustrlestaaten lgen die Arbeitsiosenquoten für Frauen zwischen SOund ioo Prozent uberjen.n
der Minner.
Das 1st das Ergebnis einer Studie
des Internatlonalen Arbeitsamtes
111.0), die gestern in GenI vorgelegt
wurde. irnmer mehr Fraucn werden
beruistatig, doch lassen sie meist nut
das I-Jeer der in Armut lebenden lierufsthtigen anwachscn", meint die
Autorin des Berlchts, Lin Lean Lim.
Denn die meisten Arbeiten seien unterbezahit, unproduktiv und oft auch
gefahrlich.
Für die meisten Jobs au8erhalb der
Landwirtschaft erhaiten Frauen ge.
*de dreI.VIertel des Lohnes ihrer
männlichen Koliegen. Dabei mache
es kaum elnen Unterschied, ob die
Itrbeit in elnem Industrieland ocler
in einem Entwicklungsiand verrichlet werde. ,,I)ie Schere schiiet sich
nicht", klagt die Studie.
t2
Sclbst In den reichen industriestaaten lagen die Arbeitsiosenquoten
für Franen zwischen 50 und 100 Pro-
zent liber eneii der Manner. Ergattern Frauen cinen guten job, stolen
sic kaurn In die Spitzengruppe vor.
Nut sechs Prozent aller Positionen
Die Textilindustrie gehort in den Entwicklungs- wie in den IndustrieIndern zu den Wirtschaftsbereichen, in denen
vorwiegend Frauen weit unterbezahit rind und zu schlechten Bedingungen Arbeit finden.
.
Foto: argus
gen im Verwaltungsbereich. Ihre
Chancen ergrelfen Frauen dort, wo
ste gleiches Geld für gleichen Lohn
im lop-Management seien von Frau- erhalten und Sozialgesetze helfen,
Familie und Seruf In Einklang zu
en bcsetzt, land Lean Urn heraus.
1)cnnoch verzcichnen die Frauen bringen.
Noch werde die Dlskriminlerung
auch kicine Erfolge im Kampf urn
einen Piatz Im Arbeitsmarkt, vor al1cm in den 28 Industrielandern der
OFCD. in diesen Staaten, aber auch
in Latcinamerika und der Karibik,
dflnen sich den Frauen immer mehr
technische Berule und Beschaftigun-
von Frauen etwa dutch ihre Konzentratlon auf bestlmmte Berufe gefordert, steilt der Bericht fest. So seien
45 Prozent alter Beschaftigten in den
USA, Grolibritannien und Frankreich
in Berulen, die von elnem Ge-
schlecht bis zu 80 Prozent dominiert
wurden. In den Exportzonen der aulstrebenden asiatischen Staaten würden Frauen ebenfalls bis zu 80 Prozent der Arbeltskrafte stellen. Rund
70 Prozent ailer Frauen, die sich in
der Dominlkanischen Republik mit
Gelegenheitsjobs. das NOtlgste zum
Uberleben verdienten, lagen mit ihrem Einkomrnen unter der Armuts-grenze.
in Deutschland, i(anada und Australien arbeiten Manner und Frauen
etwa die gleiche Stundenzahl, stellt
die ILO-Studie fest. Im EU-Land Ita-
lien abet wurden Frauen rund em
Viertel langer arbeiten als Manner,
in Osterreich zwoif Prozent.
Vor aliem in Entwicklungslandern
hatten Madchen zudem mit Diskrirninierung im Biidungsbereich zu
kämpfen. Dabel trage eine gute
Schuiblidung nicht nur dazu bei, den
Verdienst spurbar zu erhohen, sondern auch die oft grolien Geburtenraten der armen Lander zu senken.
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Frauen bleibt der
Weg nach bbèñ
welter verspel
Studie: We3tweit arbeiten ns sechs Prozent
weibliche Kräfte im Top-Management
Genf (dpa). Geringere LOhne, langere Arbeitszeltefl
und schlechtere Bildungschancen verhindern welt-
walt noch immer die Gleichberechtigung von Frauen irn
aber auch In Latelnamerlka.
öffnen sich -den Frauen Irnmer rnehr technische Berufe
und. BeschAftiguflgefl irn
verwaltungsbereich. lhre
Chancen ergrelfen Frauen
Beruf. Des ist des Ergobnls
ether Studie des Internatio-
dort, wo ale gleiches Geld für
gleichen thhn erhalten und
nalen ArbeitsarnteS çQL.' Sozialgesetze helfen, Fanil-
Get ährlich
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lie und Beruf In Einklang zu
bringen.
Noch werde die Diskxlini-
,,Imrner inehr Frauen wer- illerung von Frauen etwa
den berufstátig. doäh lessen duxch lhre Kozentratiofl
ale meist nur das fleer der In auf bestinunte Berufe gerArmut lebenden BerufstAtlgen anwachsen", meint die
Autorin des UNO-Berlchts,
tin Lean Lirn. Denn die melsten Arbeiten seien Unterbe-
zahit, .unproduktiv und oft
audi gehrlich.
Pür die moisten Jobs anBerhaib der Landwirtschaft
erhalten Frauen gerade drel
Viertel des Lobnes ibrer
dert. So salon 45 Prchent aller Beschaftlgten -- in den
USA. GroBbrltannlen und
.Frankxeich In Berufen, die
von elneni Geschlecht bis zu
80 Prozent dominiert wUrden. In den Exportzonen der
aufatrebenden aslatlachen
Staaten- wurden Frauen
ebenfalls bis an 80 Prozent
der ArbeltskrMte stellen.
Rund 70 Prozent aller Frau-
mänñlichen Kollegen. Dabei.
mache es kaurn elnen Unter- en, die sich in derDomkaschied, ob die Arbelt In ei- nlschen Republik mit Gale-
nem Industrieland áder In Entwickhmgslafld
elnem
verrichtet werde.
Selbst In den reichen Industriestaatefl lagen die
für
ArbeitsiosenquOten
Frauen zwlschen 50 und 100
Prozent uber jenen der Manner. Ergattern Frauen elnen
guten Job, stoBen ale kaum
genheitsiobe über Wasser
halten, lBgen mit ihrern Eln.
kommen unter dor Armutsgreuze.
Schulbildung
-
In Deutschlafld, Kanada
und Austtalien arbeiten
Manner und Frauen etwa
in die Spitzengruppe vor. die gleiche Stundeuzahi,
Weltweit seien nur seche stoUt die ILO-Studie lest. mi
Prozent aller Positionen im EU-Land Italien abor wOr-.
Top.Managemeflt von Frauen besetzt.
Dennoch verzeichnen die
den Frauen rimd am Vieitel
OECD. In diesen Staaten,
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langer arbelten als Manner,
in Osterreich zwölf Prozent.
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ILO: Frauen bei Arbeit cnskrimirnert
Wéltweit geringere Löhné, 1angere Arbeitszeiten und schlechtere Bildungschancen
Genf (dpa). Geringere Löhne,
langere Arbeitszeiten und
schlechteife Bildungschancen
verhindern weitweit noch immer die .Gleichberechtigung
von Frauen im Beruf. Das ist
das Ergebnis elner Studie des
Intemationalen Arbeitsarntes
(ILO). ,,Immer mehr Frauen
werden berufstAtig, doch lassen sie meist nur das Heer der
in Annut lebenden Berufstäti-
der
Industrieländern
an Lirn. Dean die meisten Ar- striestaaten lägen die Arbeits- 28
beiten seien unterbezahit, un- losenraten für Frauen zwi- OECD. In diesen Staaten,
produktiv und oft auch ge-. schen 50 und 100 Prozent aber auch in Lateinamerika
führlich.
Für die meisten Jobs auBerhaib der Landwirtschaft erhalten Frauen gerade.drei Ftinftel
des Lohnes ihrer männlichen
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kaum einen Unterschied, ob
die Arbeit in einem Indusirie-
land oder in einem .Entwick-
gen anwachsen", meint die lungsland vemchtet werde.
Autorin des Benchts, Un Le- Selbst in den reichen Indu-
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126 S-T. 1 TEXT
uberjenen der Manner. Ergattern Frauen elnen guten Job,
stoBen sie kaurn in die Spitzengruppe vor. Nur sechs Prozent aller Positionen irn TopManagement seien von Frauen besetzt.
Dennoch . vezzeichnen die
Frauen auch kiehie Erfolge im
Kampf urn einen Platz un Arbeitsmarkt, vor allem in den
und der Karibik, öffnen sich
den Frauen immer mehr technische Berufe und Beschäfti-
gungen irn Verwaltungsbereich. Ihre Chancen ergreifen
Frauen dort, wo sic gleiches
Geld für gleichen Lohn erhalten und Sozialgesetze helfen,
Familie und Beruf in Emkiang zu bringen.
3U.(J?.. 1446:l2
Frauen verdienen 25% wenier
Trurig, ber .jhr: Fruen erhalten
weitweit für die yleiche Arbeit 1w
Durchsct-initt 25% weniger Geld als
manner. Das geht aus cinem Bericht
tier Internationalen Arbeitsorganjsa.tion der UNO hervor.
Nach dem Papier drängen Frauen verstarkt auf die Arbeitsniarkte, haben
aber em
rbBeres Risiko, gefeuert
zu werden. AuBerdem stehen ihre
Chancen schlechter, in FUhrungspositionen aufzusteigen. Besonders bedenklich: kluf't zwischen mannhichen
und weiblichen Einkommen wird hicht
kleiner, Frauen-Arbeitslosenquote
in Industrienationen 5@%-1013% hbher.
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T&etext:SAT:.1
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Datum 30.07.1:996
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Globale Diskriniiiiierung von Frauen
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mer die Gleichbereclltigung von Frau- Arbeit in einem Industrieland oder In
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werde. Die Schere schlieSt sich
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tes (ILO), die am Dienstag in Genf vor- nicht", klagt die Studie. Selbstm den
-gelegt wird. ,,InunerunebrFraueflWer- reichen Industriestaatefl lagen die
den beruistatig, doch lassen sic meist Arbeitsiosenraten für Frauen zwiilber jenen
nur das liter der in..Armut lebenden- schen 50 und 100 Prozent
Berufsthtigen anwachsen", meunt die der Manner. Ergattern Frauen einen
kleine Erfolge mm Kampf urn einen
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den 28 Industriellindern der OECD.
In diesen Staaten, aber audi in La-.
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sich den Frauen mrnnier mehr techniache Bernie mid BeschAftigungen lm
Verwaltungsbereich.
Noch werde die Diskriminierung
von Frauen etwa durch ihre Konzentration ant bestixnmte Berufe geforste]li der Bericht test. So seien
Autoin des Berichts, Liii Lean Lim1 guten Job, stoBen sie kaum in die dert,
Prozent aller Beschaftigten in den
Denn die meisten Axbeiten seien un. Spitzengruppé vor. 'Nur sechs Pro- 45
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in Berufen, die von einezn CeManagement
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begefbrlich.
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Landwirtschaft erhalten Frauen ge- noch verzeicbnen die Frauen auch
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Studie: Frauen nfl
Berufimmer noch
stark benachteiligt
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GenT - Gerngerd Löhne und langere Arbeitszeitefl verhindern
weitweit noch mimer die Gleichberechtiguflg von Frauen im
Beruf. Des stelit eine Studie des biternationalen AxbejtsamteS () in
(leaf fest. ,,lmmer mehr Frauen
werden berufttatig, dochlassefl sie
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lebenden Berufstatigen' wachsen",
heillt es in dem UN-Papier. Die
meisten Mbeiten für Frauen seien
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auch gefahrlich. (EB)
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Frauen arbeiten noch immer fur weniger Geld
e ort des Internationalen ArbeltsamteS: Weitweit werden
weibliche Berufstätige diskriminiert
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Arbeitszeiten und schlechtere Bildungs- nicht", klagt die Studie.
Selbst in den reichen lndustriestaaten
chancen verhindern weitweit noch immer
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die GleichberechtigUng von Frauen irn Beruf. Des 1st des Ergebnis einer Studie des
Internationalen Arbeitsamtes (1W), die
am Dienstag in Gent vorgelegt we. ,,Immer mebr Frauen werden berufstätig,
doch lessen sie meist nur des Heer der in
Armut lebenden Berufstütigen anwachsen", meint die Autorin des Berichts, Lin
Lean Urn Denn die meisten .Arbeiten
selen unterbezahit, unproduktiv und oft
auch gefiihrlich.
lAgen die Arbeitsiosenquoten für Frauen
zwischen 50 und 100 Prozent über jenen
der Manner. Ergattern Frauen einen guten
Job, stolien sic kaum in die Spitzengruppe
vor Nur sechs Prozent afler Positionen mm
Top-Management selen von Frauen be-
bringen.
Noch werde die DiskriminierUflg von
Frauen etwa durch ihre Konzentration auf
bestimnite Berufe gefordert, stelit der Be-
richt test. So seien 45 Prozerit aller Beschaftigten in den USA, Grolibritannien
und Frankreich in Berufen, die von einem
Geschlecht bis zu 80 Prozent dominiert
würden. In den Exportzonen der aufstreDennoch verzeichnen die Frauen auch benden asiatischen Staaten wilrden
kleine Erfolge mm Karnpf urn einen Platz Frauen ebenfalls bis zu 80 Prozent der Arliii Arbeitsmarkt, vor allem in den Indu- beitskrafte stellen.
In Deutschland, Kanada und Australien
strielündern. In diesen Staaten, aber auch arbeiten
Manner und Frauen etwa die gleiin Lateinamerika und der Karibik, öffnen che Stundenzahl.
In Italien arbeiten
sich den Frauen immer rnehr technische
setzt, so die Studie.
Für die meisten Jobs aul3erhalb der
Landwirtschaft erhalten Frauen gerade Bernie und Beschaftigungefl mm Verwaldrei Viertel des Lobnes ihrer münnlichen
KoUegen. Dabei mache es kaum einen Unterschied, ob die Arbeit in einenn industheland oder in einem Entwicklungsland ver-
ten, Fanillie und Beruf in Einklang zu
tungsbereich. Ihre Chancen ergreifen
Frauen dort, wo sic gleiches Geld für gleichen Lohn erhalten und Sozialgesetze hel-
Frauen dagegen rund em Viertel länger als
Münner. Die Studie weist auchdarauf bin,
dali Bildung die Geburtenraten der armen
Lender senken hilft.
Deutschland
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Frauen am Arbeitsplatz
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Geringere Löhne als Manner - Längere Arbeitszeften
Gent (dpa). Geringere Löhne, lange- nicht", heigt es in der Studie.
Familie und Beruf in Einklang zu
re Arbeitszeiten und schlechtere Bit..
Selbst in den reichen Industrie- bringen.
dungschance, verhindern weitwelt staaten lãgen die
Arbeitslosenquoten
Noch werde die Diskthninierung
noch immer die Gte ichberechtjgung für Frauen zwischen
50 und 100 Pro- von Frauen
etwa durch ihre Konzenvon Frauen Im Beruf. Das ist das Er- zent Uber denen der Manner.
Ergat- tration auf bestiinmte Berufe geforgebnis elner Studie des Intematio- tern Frauen einen guten
Job, sto2en dert, heigt es in dem Bericht welter.
nalen Arbejtsamtes (Ito), die am sie kaum in die Spitzengruppe
vor. So seien 45 Prozent aller BeschaftigDienstag in Genf vorgelegt wurde.
Nur sechs Prozent alter Positionen ten in den USA, Grogbritannjen
und
im Top-Management seien von Frau- Frankreich in Berufen, die
,,Inimer mehr Frauen werden be- en besetzt, fand Frau Lim heraus.
von einem Geschlecht bis zu 80 Prozent
rufstätlg, doch lassen sie meist nur
dominiert wfirden. In den Exportzodas I-leer der in Armut Zebenden Be- Kleine Eriolge moglich
nen der aufstrebenden asiatischen
rufstAtigen anwachsen", meint die
Staaten stellen Frauen ebenfalls bis
Autorjn des Berichts, Liii Lean Lim.
Dennoch verzeichnen die Frauen zu 80 Prozent der
Denn die meisten Arbeiten seien un- auch
Arbeitskräfte.
kleine Erfolge im Kampf urn eiIn Deutschland, Kanada und Auterbezahit, unproduktjv und oft auch nen Platz im Arbeitsmarkt,
vor allem stralien arbeiten Manner und Frauen
gefährlich.
in den 28 Industrielandem der etwa
die gleiche Stundenzajij, heil3t
Für die meisten Jobs au8erhalb der OECD. In diesen Staaten,
aber auch es in der ilo-Studje. In Italien wlirLandwirtschaft erhalten Frauen ge- in Lateinamerika und
Karibik, den dagegen
rand em Viertel
rade dm1 Viertel des Lohnes ihrer öffnen sich den Frauen der
immer mehr langer arbeitenFrauen
als Manner, in Ostermännlichen Kollegen. Dabei mache technische Berufe und
Beschaftigun.. reich zwolf Prozent: Vor allem in
es kaum einen Unterschied, ob die gen im Verwaltungsberejch.
Ihre
Arbeit in eunem Industrie land oder in Chancen ergreifen Frauen
Entwicklungslandem hätten Maddort,
einem Entwicklungsland verrichtet sie gleiches Geld für gleichen wo chen zudem erheblich mit Diskriiniwerde. ,,Die Schere schliegt sich erhalten und Sozialgesetze Lohn nierung im Bildungsbcreich zu
helfen, kämpfen.
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Globale Diskriminierung
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Genf (dpa). Geringere Löhne, langere Arbeitszeiten und teinarnerika und der Karibik, Prozent afler Frauen, die sich i
der Dominikicchen Republi
schlechtere Bildungschancen verhindern weitweit noch linmer die öffnen sich den Frauen immer
Gleichberechtigung von Frauen im Beruf. Das ist das Egebnis ei- mehr technische Berufe mid Bener Studie des Internationalen Arbeitsamtes (Q), die jetzt in schaftigungen im VerwaltungsGeuf vorge1et wurde. ,,bnmer mehr Frauen werden berufstatig, bereich. Thre Chancen ergreifen
doch lassen sic meist nur das Eeer dar in Armut lebenden Berufs-. Frauen dart, wo sic gleiches
tatigen anwacbsen", meint die Autorin des Berichts, Lin Lean Geld für gleichen Loin erhalten
lam. Denn die meisten Arbeiten seien unterbezabit, unproduktiv mid Soziaigesetze he]fen, Famiund dazu oft auchnôch geftlhrlich.
lie mid Beruf in Eiiing zu
bringen.
Für die meisten JObs auBer-. 50 und 100 Prozent über jenen Noch werde die Diskriininiehaib der Landwirtschaft erhal- der Manner. Ergattern Frauen rung von Frauen etwa durch iiten Frauen gerade drel Viertel einen guten Job, stoBen sic reXonzentration auf bestimmte
des Lobnes ihrer männlichen kaum in die Spitzengruppe von Berufe gefordert, stelit der BeKollegen. Dabei mache es kaum Nur sechs Prozent afler Positio- richt fest. So seien 45 Prozent
elnen Unterschied, ob die Ar- nan in bp-Management seien afler Beschaftigten in den USA,
beitin einern Industrieland oder von Frauen besetzt, fend Lin GroBbritannien mid Frankreich
in einem Entwicklungs1andver Lean Lin heraus.
in Berufen, die von einern Gericlitet werde. Die Schere Dennoch verzeichnen die schlecht bis zu 80 Prozent domischlieSt sich nicht", klagt die Prauen auch kleine Erfolge irn niert wOrden. In den ExportzoStudie.
Kainpf urn elnen Platz im Ar- nan der aufstrebenden asiatiSelbst in den reichen Indu- beitsrnarkt, vor aflem in den 28 schen Staaten wurden Frauen
striestaaten lagen die Arbeitslo- IndustrieInndern der OECD. In ebenfails bis zu 80 Prazent der
senquoten für Frauen zwischen diesen Staaten, aber auth in La- Arbeitskräfte steflen. Rund 70
mit Gelegenheitsjobs des Nötif
ste zum Uberleben verdiente3
lagen mit threm Einkomrne
miter der Armutsgrenze.
in Deutschland, Kanada'un
Australian arbeiten Män
mid Frauen etwa die g1eicl
Stundenzabl, steilt die 1LC
Studie feat. liii EU-Land Italic
aber wurden Frauen rund ci
Viertel anger arbeiten ala Mar
nei in Osteneich zwolf Prozen
Vor a]lem in Entwick1ungslai
dern hatten Mädchen zudex
mit Diskriminierung in Bi]
dungsbereich zu karnpfen. Da
bei trage eine gute Schulbil
dung nicht nur dazu bei, de
Verdienst spurbar zu erhohex
sondern auch die oft groBen GE
burtenraten der armen LändE
zu senken.
'4n'1,d -A1t$ir
Uk Born
53121 BONN
NW
30.07.96
Diskriminierung der Frau in der Arbeitswelt
Studie des Internationalen Arbeitsamtes - Gelegenheitsjobs
Genb (dpa) Geringere Löhne, langere Arbeitszeiten und schlechtere Bildungschancen verhindern weitweit noch
Immer die Gleichberechtigung von
Frauen im Beruf.
Das 1st das Ergebnis einer Studie des Internationalen Arbeitsarntes (1W), die heute
in Genf vorgelegt wird. ,,ImmTnehr Frauen
werden berufstätig, doch lassen sie meist nur
des Heer der in Armut lebenden Berufstätigen anwachsen", meint die Autorin des Berichts, Lin Lean Urn. Denn die meisten Arbeiten seien unterbezahit, unproduktiv und
oft audi gefährlich.
Für die meisten Jobs auBerhalb der Landwirtschaft erhalten Frauen gerade drei Fünftel des Lobnes ihrer rnnn1ichen Kollegen.
Dabei mache es kaurn elnen Unterschied, ob
die Arbeit in einem Industrieland oder in einem Entwicklungsland verrichtet werde. Die
Schere schliellt sich nicht", kiagen die Auto-
ren der Studie. Selbst in den reichen Indu- in den USA, GroBbritannien mid Frankreic:
striestaaten lägen die Arbeitsiosenraten für in Berufen, die von einem Geschlecht bis z
Frauen zwischen 50 und 100 Prozent über je- 80 Prozent dominiert würden. In den Expor
nen der Münner. Ergattern Frauen einen gu- zonen der aufstrebenden asiatischen Staate
ten Job, stoBen sie kaurn in die Spitzengruppe würden Frauen èbenfalls bis zu 80 Prozer
vor. Nur sechs Prozent aller Positionen im der Arbeitskrãfte stellen. Rund 70 Prozer
Top-Management seien von Frauen besetzt, aller Frauen, die sich in der Dorninikanische
fend Lean Urn heraus.
Republik mit Gelegenheitsjobs das Notigst
Dennoch verzeichnen die Frauen auth kid- zurn tYberleben verdienten, lägen mit ihrer
ne Erfolge im Karnpf urn einen Platz im Ar- Einkonimen miter der Armutsgrenze.
beitsmarkt, var allem in den 28 IndustrielänIn Deutschland, Kanada und Australien a
dern der OECD. In diesen Staaten, aber auch beiten Maimer mid Frauen etwa die gleich
in Lateinamerika und der Karibilc, öffnen sich
stelit die ILO-Studie fest. Im E1
den Frauen imnier mehr technisehe Berufe Stundeazahi,
Land Italien aber würden Frauen rund ci
mid Beschaftigungen im Verwaltungsbereich.
lire Chancen ergreifen Frauen dort, wo sic Viertel hanger arbeiten als Manner, in Oste:
gleiches Geld für gleichen Loin erhalten und reich zwölf Prozent. Vor allern in Entwicl
Sozialgesetze helfen, Familie und Beruf in lungslündern hätten Mädchen zudem mit Di
kriminierung im Bildungsbereich zu kümpfei
Einldang zu bringen.
Noch werde die Diskrixninierung von Frau- Dabei trage eine gute Schulbildung nicht ni
en etwa durch thre Konzentration auf be- dazu bei, den Verdienst splirbar zu erhöhe
stimrnte Berufe gefordert, steilt der Bericht sondern auch die oft grollen Geburtenrate
fest So seien 45 Prozent aller Beschaftigten der armen Lünder zu senken.
Deutschland
Ruhr-NaChriChtefl
RuhrNaChriChten
Botiroper Volkezeittlig
Ruhr-Nachrichtefl
DrVdkszeittmg
Ruhr-NachriChtefl
Ztg. ilk Untie + Holzwlckede
59432 UNNA
46282 DORSTEN
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44787 DOCHUM
NW
46236 BOTIROP
P1W
P1W
3O7.96
RUHR NACHRICHTEN
ZIG. F. KAMEN UM) BER((A MEN
59174 KAMEN
NW
Wenigér Lohn, längere Arbéitszeit
Repért: Frauen
wéltweit bel
Jobs im Nachteil
Genf (dpa) - Geringere'
Löhne, langere Arbeitszeiten und schlechtere
BildungschanCefl verliindern weitweit noch immer die Gleichberechtigung von Frauen m Be-
rnännlichen Kollegin Dabei
mache es kaum einen Unterschied, ob die Arbeit in einem
Industrieland oder in emem
Entwicklungsland verrichtet
werde. ,,Die Schere schlieSt
sich nicht", so die Studie.
Selbst ix den reichen Industriestaaten lagen die ArDas ist das Ergebnis emer beitsiosenquoten für Frauen
Studie des Internationalen zwischen 50 und 100 Prozent
Arbeitsamtes (ILO), die ge- über jenen der Manner. Erstern in Genf vorgelegt wurde. gattern Frauen einen guten
,jmmer mehr Frauon werden Job, stoBen sie kaum in die
berufstätig, doch lassen sie Spitzengruppe vor. Nur sechs
meist nur das Heer der in Ar- Prozent aller Positionen im
mut lebenden Berufstatigen Top-Management seien von
anwachsen", meint die Au- Frauen besetzt, fand Lean Lim
torin des Berichts, Lin Lean heraus.
Lim. Denn die meisten ArDeirnoch verzeichnen die
beiten seien unterbezahit, un- Frauen auch' kleine Erfolge
produktiv und oft auch ge- im Kampf urn einen Platz tin
fáhrlich.
Arbeitsmarkt, vor allem in
Für die meisten Jobs au- den 28 Industrieländern. In
Berhaib der Landwirtschaft diesen Staaten öffnen sich
erhalten' Frauen gerade drei den Frauen irniner mebr techViertel
des Lohnes ihrer
uische Berufe.
Deutschiand
HELLWEGER ANZEIGER
59423UNNA
NW
30.07.96
ILO-RePort stelit test:
Weitweite Diskrirninierung
von FraUen in der Arbèitswelt
Geni.
Germgere
Löhne,
langere Arbeitszeiten und
schlechtere Bildungschan-
cen verhindern weitweit
noch immer die Gleichberechtigung von Frauen im
Beruf. Das ist das Ergebnis
emer Studie des lntemationalen Arbeitsarntes (ILO),
Für die meisten Jobs an- Positionen im Top- Manaflerhaib .der Landwirtschaft gement seien von Franen
erhalten Frauen gerade beselzt, fend Lean Urn herdrei Viertel des Lohnes ill- aus.
rer mrni1ichen Kollegen.
Dennoch verzeichnen die
Dabei mache es kaum einen Unterschied, ob die Ar- Frauen audi Ideine Erfolge
beit in einem Industrieland im Kampf urn einen Platz
oder in einem Entwick- im Arbeitsmarkt, var aflem
Iungsland verrichtet werde. in den 28 Jndustrieländern
,,Die Schere schlieSt sich der OECD. In diesen Staa-
die am Dienstag in Genf
vorgelegt wurde. Nllnrner
mehr Frauen werdeii be- nichta, klagt die Studie.
Selbst in den reichen Inrufstatig, doch lassen sie
meist nur das Heer der in .dustriestaaten lägen die ArArmut lebenden Berufstäti- beitsiosenquoten für Fraugen anwachsen, meint die en zwischen 50 und 100
Autorin des Berichts, Lin Prozent über jenen der
Lean Lim. Denn die meisten Manner. Ergattem Frauen
Arbeiten seien unterbe- einen guten Job, stoBen sie
/ zahit, unproduktiv und oft kaum in die Spitzengruppe
var. Nur sechs Prozent aller
audi gefahrlich.
Familie und Beruf in Emkiang zu bringen.
Noch werde die Diskriminierung von Frauen etwa
durch thre Konzentration
auf bestimrnte Berufe ge
fördert, steilt der Bericht
fest. So seien 45 Prozent al-
ler Beschäftigten in den
USA, Groi3britannien und
ten, aber audi in Latein- Frankreich in Berufen, die
arnerika und der Karibik, von elném Geschlecht bis
öffnen sich den Frauen im- zu 80 Prozent dominiert
mer mehr technische Bern- wurden. In den Exportzofe und Beschaftigungefl irn nen - der aufstrebendefl
Verwaltungsbereich. Ihre
Chancen ergreif en Frauen
dort, wo sie gleiches Geld
für gleichen Lohn erhalten
und Sozialgesetze helien,
asiatischen Staaten wtirden
Frauen ebenfalls bis zu 80
Prozent der Arbeitskräfte
stellen.
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30.07.96
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!JO-StudIe zur Arbeltswelt:
Frauen global diskriminiert
Weñlger Lohn unci schlechtere Blldungschancen - HOhere Arbeltsloslgkelt
(dpa). Geringere LObne, langere Arbeitszei- nem Entwicklungsland verrichtet werde.
ten und schleehtere Bildungschancen verhin- *Die Schere sch]ieSt sich mcht, klagt die
dern weitweit noch immer die Gleichberechtigung von Frauen im Beruf. Das ist das Ergebnis elner $tudie des Internationalen Arbeitsaintes (ILO), die gestern in Genf vorgelegt wurde. *Irnrner inehr Frauen werden berufstatig, doch lassen sie meist nur das Heer
der in Armut lebenden Berufstatigen an-
wacbsen<, meint die Autorin des Bericlits, Un
Lean JAm. Denn die meisten Arbeiten seien
unterbezabli, wiproduktiv und oft auth ge-
Studie. Selbst in den reichen Industriestaaten
lagen die Arbeitslosenquoten für Frauen zwischen 50 und 100 Prozent über jenen der ManneiErgattem Frauen einen guten Job, stof3en
sie kaum in die Spitzengruppe vor. Nur sechs
Prozent aller Positionenim Top-Management
seien von Frauen besetzt, hiel3 es.
Dennoch verzeichnen die Frauen audi kleine Erfolge im Kampf urn einen Platz im Arbeitsmarkt, var ailem in den 28 Industrieländern der OECD. In diesen Staaten, aber audi
inLateinamerika und der Karibik, offnen sich
fährlich.
Für die meisten Jobs auBerhaib der Landwirtschaft erhalten Frauen gerade drei Vier- den Frauen iinmer mehr terhni'che Berufe
tel des Lohnes threr mnr.1ichen Kollegen. und Besehaftigungen im Verwaltungsbereich.
Dabei mache es kaurn einen Untersehied, ob Thre Chancen ergreifen Frauen dort, wo sie
die Arbeit in einem Industrieland oder in ei- gleiches Geld für gleichen Lohu erhalten.
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30.07.96
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Studie: Frauen in derBérufswelt höch immer diskrirninièrt
Mehr Arbelt für wenigerLohn
von Frauen besetzt, fand Lean
Urn heraus.
Dennoch verzeichnen die
des Lobnes direr männlichen Frauen auth kielne Erfolge im
Koilegen. Dabei mache es kaum Kampf urn einen Platz im ArNach wievorseien 7OProzent elnen Unterschied, ob die Ar- beitsmarkt, vor allem in den 28
der armen Menschen.und 6S belt in elnem industrieland Industrieländern der OECD. In
Prozent der Anaiphabeten auf oder in elnem Entwicldungs- diesen Staaten, aber audi in Lateinamerika und der Karibik,
der Welt Frauen. ,,lmmer mehr land 'vemchtet werde.
Sellst in den reichen Indu- Offnen sich den Frauen immer
Frauen werden bemfstätl&
doch lassen sie meist mix das strlestaaten lägen die Arbeitslo- mehr technische Berufe und
Heer der in Annut lebenden senquoten für Frauen zwischen Beschaftigungen irn Verwalanwachsen", SOund 100 Prozent Ober jenen tungsbereich. lhre Chancen er.Berufstätigen
meint die Autonn des Berichts, der Manner. Ergattem Frauen greifen Frauen dort, wo sle gleiLin Lean Urn. Denn die mel- einen guten Job,. stollen sie dies Geld für gleichen Lohn ersten Axbeiten selen .untebe- kaum in die Spltzengruppe vor. halten und Sozialgesetze helzahlt, unprodulctiv und oft. Nur sedis Prozent aller Positlo- fen, Pamilie und Beruf in Emnen liii Top-Management seien kiang zu bringen.
audi gefahrlidi.
GENF. . Weitweit besetzen belteten, wurden liii EU-Land
Frauen nach Angaben der In- Itallen die Frauen rund em
ternationalen Arbeitsorganisa- Viertel langer arbelten als die'
tion (ILO) nur sechs Prozent al- Manner, in Osterreich urn
ler leitenden Positionen, ob- zwölf Prozent.
wohl dir Anteil am Mbeits
rnarkt bestandig wächst. Sie ax-
belteten zwischen zwei und
zebn Stunden pro Woche langer als Manner, erhielten aber
"dafür im Durchschnitt 25 Pro-
zent weniger Lohn, he1ft es
welter in einer am Dienstag in
Genf veröffentlichten ILO-Studie. Wahrend zurn Beispiel in
Deutsd4aix1, Kanada. und Austraflen Manner und Frauen etwa die gleiche Stundenzahl ar-
Für die .melsten Jobs au1erhalb der Landwfrtschaft erhalten Frauen gerade drei Viertel
Deutschland
Volksblatt
97070 WUERZBURG
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30.07.96
Iriternationale Arbeitsorganisation:
Kairierélelter für Frauen noch
mimer vërsperrt'
GENF (EPD)
Weitweit besetzen Frauen nach
Angaben der Internationalen Arbeitsorganisation (ILO) nur sechs
Prozent aller leitenden Posifloflea, obwohl ibr Anteil am ,Arbeitsmaxkt bestandig wächst.
Sie .arbeiteten zwischen zwei
und zehn Stunden pro Woche
mehr als Manner, erhielten aber
dafur im Durchschnitt 25 Prozent wen ger Lohn, heffit es wei-
teT in einer am Dienstag in Genf
veröffenthchten
ILO-Studie.
Nacji wie vor seien 70 Prozent
der armen Menschen und .65
Prozent der Analphabeten auf
der Welt Frauen. Zwar . gebe es
burner mehr Frauen, die auth in
traditionellen Männerberufen arbeiteten. Dies beschränke sich
aber auf schlecht bezahite Bereithe, so die ILO. Vor allem in den
armen Ländern müten Yrauen
zusätzlich zwischen 31 und 42
Stunden in der Woche für unbezahite Haus- raid ?eldarbeit aufwenden.
Manner seien nur fun! bis 15
Stunden in der Woche mit unbezahiter Arbeit beschäftigt. Gleich-
zeitig würden Frauen eher eatlassen a]s Manner. Besonders in
industrialisierten Lander sei die
Arbeitsiosenquote miter Frauen
oft doppelt so hoch wie miter
Mannem, hei& es in der Studie.
Butfltt 91atltLbtefl
28195 BREMEN
MB
30.O796
und oft gefährlich"
JJnterbezahlt unproduktiv
schlechtere Bildungschancen, selten Fuhrungspositionei
77__
ILQ-Studie zu Frauenarbeit: Geringere Löhne,
oder in elnérn Entwicklungsland vemchtet
beitszeiten und schlechtere Bildungschan- werde. Die Schere schlieSt sich nicht,
cen verhindern weitweit noch immer die klagt die Studie.
Selbst in den reichen Industriestaaten lãGleichberechtigung von Frauen im Beruf.
Das 1st das Ergebms einer Studie des Inter- gen die Arbeitsiosenraten 1ur Frauen zwinationalen Arbeitsamtes (ILO), die am schen 50 und 100 Prozent über jenen der
Dienstag in Genf vorgelegt wird. 1mmer Manner. Ergattem Frauen einen guten Job,
mehr Frauen werden berufstütig, doch las- stollen sie kaurn in die Spitzengruppe vor.
sen sie meist nur das Beer der in Armut le- Nur secbs Prozent aller Positionen ira Topbenden Berufstätigen auwachsenM, memt Management seien von Frauen besetzt,
die Autorm des Berichts, Un Lean Urn. fend Lean Urn heraus.
Dennoch verzeichnen die Frauen audi
Denn die meisten Arbeiten seien unterbezahit, unproduktiv und oft auth gefährlich. kleine Erfolge ira Karnpf urn einez Platz im
Für die meisten Jobs auflerhath der Land- Arbeitsmarkt, vor aliem in den 28 Industriewirtschaft erhalten Frauen gerade drei Iändern der OECD. In diesen Staaten, aber
Funftel des Lobnes ihrer männlichen Kolle- audi in Lateinarnerika mid der Karibik, offgen. Dabei mache es kaurn emen Unter- nen sich den Frauen immer mehr technische
schied, ob die Arbeit in einem Industrieland Berufe mid Beschaftigungefl Ira VerGéHI (dpa). Geringere Löhne, langere Ar-
waltungsbereich. Ihre Chancen ergreib
Frauen dort, wo sie gleiches Geld für gl
then Lohn erhalten und Gesetze helfen, F
mile und Beruf In Emklang zu bringen.
Noch werde die Diskrhninierung vi
Frauen durch thre Konzentration auf b
stimmte Berufe gefordert, steilt der Beric
fest. So seien 45 Prozent aller BesdiAftigt
in den USA, Grollbritannien und Frankrei
In Berufen, die von einem Geschlecht bis
80 Prozent dominiert würden.
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bereich zu karnpfen. Dabei trage eine g
Schulbildung nicht nur dazu bei, den V
dienst spürbar zu erhöhen, sondem au
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Lander zu senken.
Deutschland
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01091 DRESDEN
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LEIPZIGEHVOL1SZEITUNG
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04552 BORNA
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04880 TORGAU
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O4600ALTENBURG
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80.07.96
Frauen erhalten in.vieien Jobs
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ILO-Report: Weibliche Arbeitskräfte weltwéit noch immer diskriminiert
G e n f (dpa). Geringere Lohne, Jim-
gore Arbeltszeltèn und schlechtere
Bildungschancefl verhundern weltwelt nocli Immer die Glelchberech-
Landwlrtschaft èrhalten Frauen gerade rirel Vlertel des Lobnes ibrer
männlichen Kollegen. Dabel mache
es kaum omen Untersôhied, oh die
tigung von Frauen liii Beruf. Das 1st
das Ergebnls elner Studio des Internationalon Arbeltsamtes (ILO), die
jetzt In Genf vorgelegt wurde.
Arbelt in elnem Industnieland oder in
,,Imrner rnehr Frauen werden beruistatig, doch lassen sie meist nur
das Heer der in Armutlebenden Berufstatigen anwachsen", meint die
ten lägen die Arbeitsiosenquoten fir
Frauen zwischen 50 und 100 Prozent
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werde. Die Schere schlleSt sich
nichtN, klagt die Studie.
Selbst in den reichen Industniestaa-
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kaurn In die Spitzengruppe von. Nun
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terbezahit, unprodukthi mid oft audi Top-Management seien von Frauen
bes'etzt, fand Lean Urn heraus..
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Dennoch verzeichnefl die Frauen
Für die meisten Jobs auBerhaib der
auch kielne Erfolge im Karnpf urn einen P1at im Arbeitsmarkt, vor allem
in den 28 IndustrielAndenn der
OECD. In diesen Staaten, aber auch
in Lateinamenika und der Karibik,
öffnen sich den Frauen Jmrner mebr
technische Berufe mid Beschäftigungen im Verwaltungsbereich.
In Deutschland, Kanada mid Australien arbeiten Manner und Frauen
etwa die gleiche Stundenzahl, steilt
die ILO-Studie fest. Irn EU-Land Ita-
lien aber wurden Frauen rund em
Viertel langer arbeiten als Manner, in
Osterreich zwölf Pro2ent. Vor aflem
in Entwicklungsländenfl hätten Madchen zudem mit Diskniminierung im
Bildungsbereich zu kampfen.
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ILO-Stuclie: Frauen weiter unterbezahit
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Muhsamer Weg zur
Gleichberechtigung
Genf. Genngere Löhne, Ian-
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30.07.96
gere Arbeitszeiten und
schlechtere Bildungschancen verhindern weitweit
noch immer die Gleichberechtigung von Frauen im
Beruf.
Das ist das Ergebnis elner Stu-
die des Intemationalen Arbeitsamtes (ILO). ,,lmmer mehr
Frauen werden berufstatig,
ddch Lassen sie meist nur das
elnen Unterschied, ob die Arbelt in elnem InUustrieland
oder in einem Entwicklungsland verrichtet werde. Die
Schere schliegt sich nlchr,
klagt die Studie.
Selbst in den reichen Industriestaaten lagen die Arbeitslo-
senraten für Frauen zwischen
50 und 100 Prozent tiber jenen
der Manner. Ergattem Frauen
einen guten Job, stoEen sie.
kaum in die Spitzengruppe vor.
Nut sechs Prozent after Positionen im Top-Management seien
Heer dér in Armut lebenden Be- von Frauen besetzt. Dennoch
rufstatigen. anwachse", so die
Autorin des Berichts, Lin Lean
verzeichnen die Frauen auch
kleine Erfolge irn Xampf urn ei-
nen Platz im Arbeitsmarkt, vor
seien unterbezahit, unproduk- állem in den 28 Industrieläntiv und oft auch gefährlich.
dern der OECD: In diesen Staa.
Für die meisten Jobs auler- ten, aber auch in Lateinamerika
haib der Landwirtschaft erhal- und der Karibik, öffnen sich den
ten Frauen gerade drei Fünftel Frauen immer mehr technische
des Lohnes threr männlichen Berufe und Beschaftigungen im
KnlIeen. Dabei mache es kaum Verwaltungsberejch.
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30.07.96
"ILO: Frauen bei Arbeit diskriminiert
Weitwelt geringere Lohne, längere Arbeitszeiten und schlechtere Bildungschancen
Genf (dpa). GeringereLohfle, an Liin. Denn die meisten Arlängere Arbeitszeiten - und beiten seien unterbezahit, unschlàchtere Bildungschancefl .produktiy. und oft auch geverhindern weitweit noch im- fahrlich.
Fur die meisten Jobs auBermer die GleichberechtigUflg
von Frauen im Beruf. Das ist haib der Landwirtschaft erhaldas Ergebnis einer Studie des ten Frauen gerade drei Fünftel
Internationalen ArbeitsamteS des Lohnes ihrer männlichen
(ILO). ,,Immer inelir Frauen Kollegen. Dabei mache es
werden berufstätig, doch las- kaurn einen Unterschied; ob
sen sie meist nur das Heer der die Arbeit in elnem Industriein Armut lebenden Berufstäti- land oder in einem Entwickgen anwachsen", meint die Iungsland verrichtet werde.
Autorin des Berichts, Lin Le- Selbst in den reichen Indu-
striestaaten lagen die Arbeits- 28
Industrielandem
de
losenraten für Frauen zwi- OECD. In diesen Staaten
schen 50 und 100 Prozent aber auch in Lateinamerik
uberjenen der Manner. Ergattern Frauen einen guten Job,
stoBen sie kaum in die Spitzengruppe vor. Nur sechs Prozent aller Positionen im TopManagement seien von Frauen besetzt.
und der Karibik, öffnen sici
den Frauen immer mehr tech
nische Berufe und Beschäfti
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reich. Ihre Chancen ergreife
Frauen dort, wo sie gleiche
Dennoch verzeichnen die Geld für gleichen Lohn erhal
Frauen auch kleine Erfolge im ten und Sozialgesetze heifer
Kampf urn einen Platz im Ar- Familie und Beruf in Eiti
beitsmarkt, vor allem in den klang zu bringen.
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WelLweIt werden
Frauen in der Arbeitswelt diskriminiert. Dies besagt eine Studie des Internatioflalen Arbeitsanites (ILO),
die gestern in Genf vorgelegt wurde.
Die meisten Arbeiten, selen unterbezahit, unproduktiv und oft auch ge
flihrlich. Dabei mache 'es kaum elnen Untershied, ob die Arbeit in einem Industrie- oder EntwicklUflgSland verrichtet werde. (Weltspiegel)
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30.07J6
Studie: Frauen werden weitweit
am ArbeitsplatZ diskr,miniert
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,,Jobs sind meitens untérbezahit und gefährlich" /
GENF (dpa). Geringere Löhne,
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Arbeitszeiten
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schlechtere BildungschaflCefl verhindern weitweit noch immer die
GjeichbereChtigUflg von Frauen
im Beruf. Das ist das Ergebnis einer Studie des internationalen
Arbeitsamtes (JLO), die gestern
in Geuf vorgelegt wurde.
,,Immer mehr Frauen werden berufstätig, doch lassen sie meist nur
das Heer der in Armut lebenden Berufstatigen anwachsen", meint die
Autorin des Berichts, Lin Lean Lim.
Denn die meisten Arbeiten seien unterbezahit, unproduktiv und oft
auch gefährlich. Für die meisten
Jobs auLerhalb der Landwirtschaft
erhalten Frauen gerade drei Fünftel
des Lohnes ihrer männlichen Kollegen. Dabei mache es kauni elnen
Unterschied, ob die Arbeit in einem
Industrieland oder in einem EntwicklUflgSlafld verrichtet werde.
Selbst in den reicheñ Industrie-
staMen ligen die ArbeitsiOsenraten
für Frauen zwischen 50 und 100
Prozent über jenen der Manner. ErgatternFrauen elnen guten Job, MoEen ale burn in die SpitzengrupPe
vor. Nur sechs Prozent aller Positlonen im Top-Management seien von
Frauen besetzt, fand Lean Lim heraus. Dennoch verzeichnen die
Frauen auch kleine Erfolge
Kampf urn einen Platz im Arbeitsmarkt, vor allem in-den 28 Industrie-
làndern der OECD. In diesen staaten, aber auch in Lateinarnerika und
der Karibik, öffnen sich den Frauen
immer mehr technische Berufe und
Beschliftiguflgefl im VerwaltuflgSbereich. Ihre Chancen ergreifen
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Frauen dort, wo sie gleiches Geld
für gleichen Lohn erhalten und Sozialgesetze helfen, Familie und Beruf in.Einklang zu bringen.
Noch werde die DiskriminierUflg
von Prauen etwa durch flue Konzentration auf bestimmte Berufe gefordert. So seien 45 Prozent aller Bescliaftigten in den USA, Gro1britan
nien und Prankreich in Berufen, die
von einem Geschlecht bis zu 80 Prozent dominiert würden. In den Expoi'tzonen der aufstrebenden asiatischen Staaten würden Frauen ebenfalls bis zu 80 Prozent der ArbeitskrAfte stellen. Rund 70 Prozent aller
Frauen, die sich in der Dominikanischen Republik mit Gelegenheitsjobs dás Nötigste zum t)berleben
verdienten, lägen mit ihrem Einkommen unter der Armutsgrenze.
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DILL-POST
HInter1nder Anzeiger
35578 WEZLAR
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Geringere Löhne, lãngere Arbeitszeiten mid schlechtere Bildungschanceñ
110: Die wèltweite Diskrinthilerung
von Fraueni der Arbeitswélt daürt an.
Genf (dpa)Geringere LOh- 1ei tôlines ther mànnhlchén
ne, lflngere Axbeltszelten uhd Kqllegen. Dabel mache es
schlechtere Blldungschancen
Raurn elnen :unterschied,: ob
verhindern weitwell noch lin- cite Arbelt In. ethem Industriemer dle-Gletchberechtlgung. iand oder In elnem Entwlckvon Frauen Im Beruf. Das 1st
lungsland verrichtet werde:
das Ergebnls elner Studle des
Selbst In den reichen InduInternatlonalen Axbeltsamtes striestaaten lagen die Arbelts
(ILO), die heute In Geni vorge- 1osenrater für Frauen 50 bls
legt winI.
100 Prozent über. jenen der
auch in LatelnameEfka und aufsfrhéi1dén
asiatiscitel
der Karibik, Offnen sich den Staaten würden Frauen eben
Frauen Immer mehr techn1- falls bis zu -80 Prozent de:
sche Berufe mid BescMltlgun- Arbeltskrafte stellen.
gen Im Verwaltungsbereich.
In Deutschlancl, Kanada unc
litre Chancen ergrejfen Australien arbelten Männe:
Frauen dort, wo ste gleiches und Fraun etwa die glelchc
Geld für. gleichen 'Lohn erhal- $tundenzahl, so die ILO. In
ten und Sozialgesetze helien, EU-Land Itallen aber würdez
Famifie und Beru.f In Elniclang Frauenrund etu Viertel 1ãnge
immer mehr Frauen wer Manner. Ergattern Frauen el- zu bringen.
arbeltena1s Manner, In Oster
den berufsttIg, doch lassen nen guten Job, stoIen ste Noch werde die Dlskrllni- reich zwölf Prozent.
sie ineist nir das Heer der In kaum in die . Spltzengruppe nierung von -Frau.en etw
Vor allem in Entwicldungs
Armut lebenden Berufst&tlgen vor. Nur 6 Prczent slier ,Posl- durch litre Konzentration auf landern 'Mtten Madehen zu
"anwachsenM, meint die Auto- tionen Im Top-Management bestinunte Berufe gefordert, dem mit Dlskrlmlnierung In
nfl des Berichts, Lin Lean Lim. selen von Frauen bstzt.
stéllt der Bericht fest. So selen Bildungsbereich zu kantpfen
Deun die meisten Arbelten Dennoch 'verzeichnen -die 45 Prozent aller BescliAftlgten Dabel trage elne gute Schul
.seien untethezahlt, urtproduk- Frauen auch kleine Erfolge im In den USA, GroJbritannien bildung nicht nur dazu bet
tiv und oft auch gefalirlich.
Kampf urn einen Platz jut und Franicreich in Berufen, den Verdienst spfirbar zu e
Für die meisten Jobs aulSer- Arbeltsmarkt, vor allem In die von einem Geschlecht bis hOhen, sondern auch die of
haTh der Landwirtschaft erhal- den 28 Industrielandern der zu 80 Prozent dominiert wür- groen Geburtenraten der ar
ten Frauen gerade diei Viertel OECD. In diesen Staaten, aber den. In den Exportzonen der men Lander zu senken.
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01.06.96
Frauen liii Beriifnicht gleichbérechtigt
Nurgeringe Fortschrltte/.Auch in Indu trielandern weitaus rnehr von Arbeitslosigkeit betroffen
Genf (dpa). Geringere Lohne-iangere
Arbeltszelten und schlechtere Blidungs.
chancen verhindem die Glelchberechtlgung von Frauen Im Beruf.
Das 1st das Ergebnls elnér Studie des
Intemationalen Arbeitsamtes (ILO). '.Im-
mer mehr Frauen werden berufstAtig,
doch lassen sie meist nur'das Heer der in
Armut lebenden. Berufstatigen anwachsenuc, meint die Autorin des Berichts, Un
Lean Urn. Dje méisten Arbelten seien un.
terbezahlt,unproduktiv und gefahrlich.
Für die meisten Jobs erhalten Frauen
gerade drel Viertel des Lohnes ihrer
.männlichen KoIlegen. Dabei mache es
kaum elnen Unterschied, ob die Arbeit In
elnem Industrieland oder In einem Entwicklungsland verrichtet werde. *Die
Schere schliet sich nicht.c, so die Studie.
Selbst in den reichen Industriestaaten
.lägen die Arbeitslosenquoten für Frauen
zwischen 50 und 100 Prozent über jenen
der Mariner. Ergattern Frauen elnen guten Job, stoflen sie kaurn In die Spltzengruppe vor. Nur sechs Prozent aller Positionen Im Top-Management selen von
Frauen besetzt, fand Lean Urn heraus.
Dennoch verzelchnen die Prauen audi
kleine Erfolge tin Kaxnpf urn elnen Platz
im Arbeltsmarkt,. vor allern in den 28
OECD-Landem. In diesen Staaten, aber
auch In Lateinamerika und der Karibik,
Offnen sich den Frauen Immer mehr
elnem Geschleclit bis zu 8O Prozent dominiert wurden.. In den Exportzonen der
aufstrebenden aslatlschen Staaten wurden Frauen ebenfalls bis zu 80 Prozent
der Arbeitskräfte stellen. Rund 70 Prozent
aller Frauen, die sich in der Dominikanischen Republikmlt Gelegenheitsjobs das
NOtigste zurn Uberleben verdienten, lagen mit ihrem Einkommen unter der Armutsgrenze.
In Deutschland, Kanada und Austra-
technlsche Berufe und Beschaftigurigen
in den Verwaltungen. Ihre Chancen ergrelfen Frauen dort, wo sie .glelches Geld
für gleichen Lohn erhalten und Sozialgesetze helfen, Familie und Beruf in Ein.
kiang zu bringen.
Noch werde die Diskziminierung von
lien arbeiten Manner und Frauen etwa
die gleiche Sttindenzahl, steilt die ILOStudie fest. Im Italien wtirden Frauen allerdings em Viertel langer arbeiten als.
auf bestimmte Berufe gefordert, steilt der
eine gute Schulbildung nicht nur dazu
Frauen etwa durch ihre Konzentration
Bericht fest. So seien 45 Prozent aller
Beschaftigten in den USA, Gro8britannien und Frankreich in Berufen, die von
Manner, in Osterreich zwolf Prozent. Vor
allem in Entwicklungsiandem batten
Mädchen zudem mit Diskriminierung Im
Bildungsbereich zu kampfen. Dabei trage
bel, den Verdienst spUrbar zu erhOhen,
sondem auch die oft groüen Geburtenraten der armen Lander zu senken.
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Benachteiligte Frauen
Argemis
Dagibt es Fmuenquoten, Forderprollramme, eine Weltfrauenkonferenz mid die gescblechtsneutral
formulierte Stellenanzeige. Und
jeW das: Die Intemationale Arbeitsorganisation steilt fest, daB
zwar immer mehrFrauen erwerbstatig sind, abernach wie
vor fUr mehrArbeit weniger
Lohn bekommen als ihre männlichen Kollegen.
Dies abet keineswegs nut in fernenEntwicklungslandem. Auch
in den lndustriestaaten, die sich
viel aufihre ,,political correctness" zugutehalten, sind
Fraucn lllngst nichtgleichberech-
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tigt. Dem UN-Bericht zufolge
bleibt Frauen fast ausnahmslos
derAufstiegan die Spitze vet-
wehrt - trotz immerbesserer
akademischerwidberuflicher
Bildung. Und daB siè ,,êtinbei"
meist auch noch den Haushalt
schineillen, allen Lippenbekenntnissen der ,,emanzipierten Mannet" zum Trotz, weill man nicht
nuraus Umfragen.
NW
Stand per Verordnung lösen zu
können. Gleichzeitiglilllt eraber
auch hoflen: Sozialgesetze, die
die Vereinbarkeit von Faniilie
und Beri4fbrdem, die gesetzliche
Verankerung der Grundsatzes
,,Gleiches Geld fiirgleiche Arbeit" und die Sensibilisierung der
Gewcrkschaften fUr Frauenfra.
gen sind weitweit aufdem Vormarsch.
linmerhinjammern wit auf'
hohem Niveau. Den Frauen in
Entwicklungslllndern steht oft
nicht emma! die elementarste
Schulbildungoffen, womit sich
ihre ,,beruflichen Perspektiven"
auflebenslange Schwerstarbeit
gegen Hungerlohn reduzieren.
In ihrem Gefolge verbesert sich
auch die konkrete Situation fUr
Frauen. BemUhungen in diese
Richtung versprechen also durcham Erfoig. Frustierend ist nut,
daB dersich erst äul3erst langfristigeinsteilt. Die Blockaden in
DerBericht derILO versetzt all
denen einen Däififer, die meinen, das Gleichberechtigungsproblem in derArbeitswelt am dem
in Zeitrilumen von Genemtionen
ab.
den Kbpfen - nicht nurder
Manner - bauen sich eben nur
Jutta Vossieg
Deutschland
SUDWEST PRESSE
89073 ULM
SW
31.07.96
FraUen haben schlechte Chancen
Weitweit keine Gleichberechtigung im Beruf - Niedrigere Löhne
Geringere Lohne, langere Arbeits-. werde. ,,tiie Sâhere scbuie8t sich then Lohn erhalten und SozialgeseIze helfen, Familie und Beruf in
zeiten und schlechtere Bildungs- nicht", klagt die Studie'
Selbst in .den reichen Industrie- Eunklang zu bningen.
chancen verhindern weltweit
Noch werde die Diskrirninienoch immer die Gleichberechti- staaten lagen die Arbeitsiosenragung von Frauen im Beruf. Das ten für Frauen zwischen 50 und rung von Frauen etwa durch ihre
ist das Ergebnis einer Studie des 100 Prozent über jenen der Man- Konzentration auf bestinunte BeArbeitsamtes ner. Ergattenn Frauen elnen gu- rufe gefordert, steilt der Bericht
Intennationalen
(IJ.Q). ,,Immer mebr Frauen wer- ten Job, stolten sic kaum in die fest. So seien 45 Prozent alter Be-.
den berufstatig, doch lassen sie Spitzengruppe von. Nur 6 Prozent schüftigten in den USA, Grollbrimeist nur das Beer der in Armut aMer Positionen mm Top-Manage- tannien und Frankreich in Berulebenden. Berufsthtigen anwach- ment seien von Frauen besetzt, fen, die von einem Geschlecht bis
zu 80 Prozent domuniert würden.
sen", meunt die Autorin des Be- fend Lin Lean Urn heraus.
nichts, Liii .Lean Lina. Denn die Dennoch verzeichnen die In den Exportzonen der aufstre-
meisten Arbeiten seien unterbe- Frauen auch kleine Erfolge im
zahit, unproduktiv und oft auch Kampf urn eunen Platz im Arbeitsmarkt, vor allem in den 28
gefhrlich.
Für die meisten Jobs aul3erhalb Industnieländenn den OECD. In.
der Landwirtschaft erhalten diesen Staaten, aber auch in LaFrauen gerade 60 Prozent des teinamenika und der Karibik offLohnes ihrer münnuichen Kolle- nen sich den Frauen immer mehr
gen. Dabei mache es kaum einen technische Berufe und BeschOftiUnterschied, ob die Arbeit in ci- gungen im Verwaltungsbereich.
nem Industrieland oder in einém hire Chancen ergreifen Frauen
EntwicklungsLand
benden asiatischen Staaten wür-
den Frauen ebenfalls bis zu 80
Prozent der Arbeitskräfte stellen.
In Deutschland, Kanada und
Australien arbeiten Manner und
Frauen etwa die gleiche Stunden-
zahl, steilt die ILO-Studie fest. Im
EU-Land Italien aber würden
Frauen rund em Viertel langer ar-
beiten als Manner, in Osterreich
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vernichtet dort, wo sic gleiches Geld für glei- 12 Prozent.
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/.Report des Intemationalen Arbeitsamtes belegt globale Diskriminierung am Arbeitsplatz
Frâuen Iebefl trotz .Beruf in Armut
Geringere Lohne, längere Arbeitszeiten und schtechtere Bildungschancen verhindern weitweit noch
immer die Gleichberechtigung von
Frauen im Beruf. Das ist das Ergebnis einer Studie des lnternationalen
Arbeitsamtes (ILO). ,,lmmer mehr
Frauen werden berufstatig, doch
lassen sie meist nun das Heer den in
Armut lebenden Berufstätigen anwachsen", meint die Autorin des
Benichts, tin Lean Urn. Denn die
meisten Arbeiten seien unterbezahit, unproduktiv und oft auch gefähnlich.
Für die meisten Jobs auerhalb
männlichen Kollegen. Dabei mache es kaum einen Untenschied, pb
die Arbeit in elnem Industnieland
oder in einem Entwicklungsland
vernichtet werde.
Setbst in den reichen Industniestaaten lägen die Arbeitslosenquoten für Frauen zwischen SOund 100
Prozent über jenen den Manner. Ergattern Frauen einen güten Job, stoLien sie kaum in die Sputzengruppe
vor. Nur sechs Prozent alter Positionen im Top-Management seien von
Frauen besetzt.
Dennoch verzeichnen die Frauen
auch kleine Erfolge irn Karnpf urn
OECD. In diesen Staaten, aben auch
in Lateinarnenika und den Karibik,
öffnen sich den Frauen immen
rnehr technische Berufe und Beschaftigungen irn Verwaltungsbelhre Chancen ergneifen
Frauen dort, wo sic gteichen Lohn
für gleiche Arbeit enhalten und Sozialgesetze helfen, Famitie und Beruf in Einklang zu bningen.
Noch werde die Diskriminierung
von Frauen durch ihre Konzentration auf bestimmte Berufe gefordent. 45 Prozent alien Beschäftigten
in den USA, Gnogbnitannien und
reich.
Frankreich selen in Berufen, die
der Landwirtschaft erhalten Frauen einen Platz irn Anbeitsmarkt, von at- von einern Geschlecht bis zu 80,
gerade drel Viertel des Lohnes ihrer tern in den 28 Industnieländem den Prozent dorniniert würden. (dPay
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Frauen bleibt.der
Weg nach obén
weitér' versperrt
.Studie: Weitweit arberten nur sechs Prozent
weibllche Kräfte im Top-Management
Genf (dpa). Geringere Lhne, langere Arbeitszeiten
und schlechtere Bildungschancen verhindern weltweit noch immer die Gleichberechtigung von Frauen Im
Beruf. Das 1st das Ergebnis
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Offnen sith den Frauen finmar mehr technieche Berufa
und BeschAftlgungen Irn
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gleiche Arbeit em Viertel weniger
bezahlt als Hire münnlichen Kolle-
gen. Schlechtere Bildungschancen
und langere Arbeitszeiten behindern
noch miner die Gleichberechtigung
von Frauen im BeuL Das 1st das
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am Dienstag vorgelegt hat. Frauen
sind 'häufiger herufstitig. aber sie
lessen dabei meist nur das Heer der
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und bessere Jobs für Frauen.
'lie mid Beruf In Einkleng zu
bringen.
Noch werde die DlskrflnI-
nierung von Frauen etwa
durth thre I(onzantratlon
auf bestfrnrnte Berufe gefürdert. So selen 45 ProzeM .1-
gen anwachseif, meint die
ler Beschäftlgten -In den
USA, GroBbrltannlen und
Lin Lean Urn. Denn die melsten Arbeiten selen unterbe-
Frankrelch In Berufe, die
zahlt, .unproduktiv und oft
80 Prozent dominlert wur-
auch geffihrlich.
den. In den Exportzonen der
aufstrebenden ulatiachen
Staaten wurden Frauen
von elnem Geschlecht bis zu
ebenfalle his zu 00 Prozent
der Aibeltakiafte stellen.
Rund 70 Prozent aller Frauen, die sich In der Domlnlke-
niachen Republik mit Gale-
genheltejobs über 'Wasser
halten, lagen -mit Hiram Em-
kommen miter der Armdtsgrenze.
Schulbildung
In Deutschland, Kanada
Australlen arbalten
Manner und Frauan etwa
mid
in die Spitzengruppe vor. die gleiche Stundenzahl,
Weitweit seien nur secha stout die ILO-Studle feat. Im
Prozent aller Positionen im EU-Land Italien aber wurTop-Management von Frau- 'den Frauen rund em Viertel
en besetzt.
tenger arbelten ala Manner,
Dennoch verzeichnen die in Osterreich zwOlf Prozent.
Frauen auth kielne Erfolge Vor allem In Entwlcklungaim Kampf urn omen Platz im landern hatten MAdcheu zuAxbeitsmarkt, vor allern in dam mit Diskrlmlnlerung urn
den 28industrleländern der
OECD, In diesen Staaten,
HANDEISBLAT1 Montag, 29.7.96
sha DUSSELDORF. Weltweit bekom-
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Für die meisten Jobs auBerhaib der Landwirtschaft
erhalten Frauen gerade dial
Viertel des Lohnes threr
mannlichen Kollegen. Dabel
mache es kaum einen Unterschied, ob die Arbeit In etnem 'Industrieland oder In
einem
Entwicklungslaud
verrichtet werde.
Selbst in den reichen Industriestaaten lagen die
Arbeitsiosenquoten
für
Frauen zwischen 50 und 100
Prozent über jenen der Manner. Ergattern Frauen einen
guten Job, stoBen ale kaum
für Franen
dort, wo ale gleiches Geld für
den barufstAtlg, doch lessen
sie meist nur das Heer der In
Armut lebenden BerufstAti-
Autorin des UNO-Berlchta,
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Chancen ergrelfen Frauen
einer Studie des lnternatio- gleichen Lohn erhalien und
nalen Arbeitsamtes (lID). Sozialgeaetze helfen, Faith-'
Gefährlich
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Bildungsbereich zu kampfan.
Weitweit sind den Untersuchungsergebnissen zufolge inzwlschen
mehr als 45 % der Frauen urn Alter
von 15 his 64 Jahren berufstAtig. In
den Industrieliindern stellen sie.so-gar mehr ala die HHlfte der Erwerbstatigen. Die Studie sieht die Frauen
ala Hauptopfer der Wirtschaftsrezession der vergangenen Jabre. In
einigen Industrie!Hndern sind ale his
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sigkeit betroffen wie Manner. Und
weun ale einen Job ergattert haben,
stoBen ale nur selten in die Spitzen-
gruppen vor. Nur 6% aller Fuhrungspositionen sind laut lb von
Frauen besetzt.
Die Diskriminierung von Frauen
werde durch die Konzentration auf
bestimmte Berufe gefbrdert. heiilt es
weiter. In den USA, GroBbritannjen
und Frankreicli wurden 45 % aller
Beschäftigten in Berufen arbeiten,
die mindestens zu 80% .von einem
Geschlecht dominiert würden. In
den Exportzonen der asiatischen
Wachstumsstaaten seien his zu 80%
der Arbeitskrijfte Frauen.
In vielen Industrieländern zeichnen sich laut lb Fortschritte ab. So
werde gleicher Lohn für gleiche Arbait gosetzlich vorgeschrieben.
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Fraüen in der Arbeitswelt / Oft unterbezahite und gefahrliche Arbeit
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Gent (dpa).Geringere Löhne, hogore Arbeitszeiten und schiechtore Bhldungschaflcefl verhindern
weitweit noch immer die Glaichberechtlgung von Frauen im Be-
rut. Das lit dci Ergebnis siner
Internationalen
des
Studio
Arbeftsamtes (ILO).
,,Iminer mehr Frauen werden berufstätig, doch lessen sie meist nur
das Heer der in Armut lebenden
Berufstätigen anwachsen"1 meint
die Autorin des Berichts, Liii Lean
Lim. Denn die meisten Arbeiten
seien unterbezahit, unproduktiv
und oft auch gefãhrlich.
Für die meisten Jobs auBerhaib
der Landwirtschaft erhalten Frau.en gerade drel Viertel des Lohnes
ihrer männlichen Kollegen. Dabei
mache es kaum einen Unterschied,
ob die Arbeit in einem Industrieland oder in einem.Entwicklungsland verrichtet werde.
Selbst in den reichen Industriestaaten lagen die ArbeitslosenquotenfurFrauenzwischefl50ufld 100
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in Deutschland, Kanada und
Australien arbeiten Manner und
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Dennoch veizeichnen die Frau- Frauen etwa die gleiche Stundenen auch kleine Erfolge ira Kampf zahi, so die ILO-Studie. Im EUurn cinen Platz'imArbeitsmazkt, Land Italien aber würden Frauen
vor aUem in den 28 Industrielän- rund em Viertel langer arbeiten als
den derOECD.ln diesen Staaten, Münner, in Osterreich zwölf Proaber auch in Lateinanienika und zent. Vor allem in EntwicklungSderKaribik, öffnen sich den Frauen ländem hätten Mädchen zudem
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erhöhen, sondern auch die oft grogattern Frauen einen guten. Job, für gleichen Lohn erhalten und So
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Geriiigere Löhne, längere MbeitszeIten imd schlechtere Bildungschancen
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von Frauen in der Arbeitswelt dauert an
Gent (dpa) Geringere LOhne,.Iängere Axbeltszelten und
sclilechtere BlldungschanCefl
verhindern weitwelt noch unmer die GlelchbereChtlgUflg
von Frauen Im Beruf. Das 1st
das Ergebnls elner Studle des
Internatlonalen Arbeltsamles
(ILO), die heute in Genf vorge-
asiatischen
des Lohnes hirer m&nnhiclieIL audi in Lateinamerika und aulstrebenden
Staaten
würden
Frauen
ebender
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Offnen
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kaüm elnen Tjnterschied, ob Frauen lunmer mehr techni- falls bis zu 80 Prozent der
die Arbeit in elnem Industrie- sche Berufe und Besch0ltigun- Arbeitskr1te stellen.
In Deutschlan, Kanada und
land oder in einem Entwick- gen lxii Verwaltungsbereich.
Australien
arbeiten Manner
Chancen
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ergre3.fen
lungsland verrichtet werde.
Selbst in den reichen Indu- .Frauen dort, wo she gleiches und Frauun etwa die gleiche
striestaaten lagen die Arbeits- Geld für gleichen Lohn erhal- Stundenzahl, so die ILO. Im
losenraten für Frauen 50 bis ten und Sozialgesetze helfen, EU-Land Italien aber würden
100 Frozent über jenen der Farniie und Beruf in Einklang Frauen rund em Viertel langer
arbeiten als Manner, in Osterjrnmer mehr Frauen wer- Manner. Ergattern Frauen ei- zu bringen.
reich zwOlf Prozent.
Noch
werde
die
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guten
Job,
stoen
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Vor allem in Entwicklungssie meist nur das Heer der in kaum in die SpitzengrUpPe nierung von Frauen etw landern
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anwachsen', meint die Auto- tiônen im Top-Management
Bildungsbereich zu karnpfen.
legt wird.
steilt der Bericht lest. So seien
Dennoch verzeichnefl die 45 Prozent aller Bescha.ftigten
seien unterbezalilt, unproduk- Frauen auch kleine Erfolge un in den USA, GroIbritannien
Karnpf urn elnen Flatz irn und Frankreich in Berufen,
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Für die meisten Jobs auJer- Arbeitsmarkt, you allem in die von elnem Geschlecht bis
haTh der Landwirtschaft erhaF den 28 Industrielandern der zu 80 Prozent dominiert wUrten Frauen gerade chef Viertel OECD. In diesen Staaten, aber den. In den Exportzonen der
un des Berichts, Lin Lean Lirn. seien von Frauen besetzt.
Denn die meisten Arbeiten
Dabei trage eine gute Schul-
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den Verdienst spürbar zu erhOhen, sondern audi die oft
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Deutschland
FrUebleibider
Weg naçh oben
weitr. vérspetrt.
Studie: Weitweit arbeiten nur sechs Prozent
weibliche Kräfte im Top-Management
Genf(dpa). Geringere LOhne, Iangere Arbeltazeiten
aber auch in Latelnamerjka.
Offnen sidi den Frauen Iraund schlechtere Bildungs- mer main, technlsche Berufe
chancen verhindern welt- und Beschaftigungen Ira
wait noch immer die Gleich- Verwaltungsberemch.
Ihre
berechtigung von Frauen Irn Chancen ergrelfen' Frauen
BeruL Des ist des Ergebnis dort, wo ale gleiches Geld für
amer Studie des Internatio- gleichen Lehn erhalten und
ñalen Arbeitsamtes (1W). Sozlalgesetze helfen, FarnIlieundBerufmnEmnklangzu
bringen.
Gefährlich
Noch werde dleDiskrlmj1mmer mehr Frauen war nierung von Frauen etwa
den berufstAll& doch lessen
siemeist nui das Hear dar in
Armut lebenden BeruTatAtigen anwachsenTM, meint die
Autorin des IJNO-Berlchts,
Un Lean lAth. Denn die melsten Arbeiten selen unterbe- -
durch line Konzentratjon
euf bestlrnmte Berufe gefürdart. So seien 45 Prozent al-
let BeschAftigten In den
USA, GroBbrltannjen raid
-Frankrelch in Berufen. die
von elnem Ceschlocht his zu
zahit, unproduktiv und oft 80 Prozent dominiert wIrauth gethhrlich.
-
Für die meisten Jobs an-Berhaib der Landwirtschaft
erhalten Erauen gerade thai
\riertel des Lohnes liner
mAnnllchen ICollegen. Dabel
mache as kaurnelnenjjnterschied, ob die Arbeit in elnem Industrieland oder In
elnem . Entwicklungsland
verrichtet werda.
Selbat In den reichen Industxiestaaten lagen die
Arbeitslosenquoten
für
Frauen zwischen 50 und 100
Prozent über jeneffdar Manner. Ergattern Frauen elnen
guten Job, stoBen sie kaurn
den. In den Exportzonen der
aufstrebenden asiatischen
Staaten ivUrden Frauen
ebenfalls ble zu 80 Prozent
dat ArbeltakrAfte stellen.
Rund 70 Prozent allot Frauen, die sich in derDominlka-
nlschen Republik mit Gale-
genheltsjobs uber Wasser
halten. lagen mit ihrem Einkommen unter der Armuts
grenze.
Schulbildung
In Deutschland, Kanada
und Australian arbeiten
Manner und Frauen etwa
in die Spitzengruppe vor. die gleiche Stundenzahl,
Weltweit selen nur sechs steilt die ILO-Studie feat. Im
Prozent sUer Positionen mi EU-Land Italien abet würTop-Management von Frauen besetzt.
Dennoch verzeichnen die
den Frauen rund ein Viertel
länger arbelten ala Manner,
in Osterreich zwolf Prozent.
Frauen auth kleine Erfolge Vor allem in Entwickhmgsim Kampf urn amen Platz Ira landern hatten Mädchen zuArbeitsxnarkt, vor allem In dem mit Diskrlminlerung ira
den 28 Industrielandern der Bildungsbereich zu kAnip-
OECD. In diesen Staaten,
fan.
NH' NELL RLIHR
AusgDakenDI
46535 DINSLAKEN
TUP48
NW
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Ausgabe Essen EZ
45128 ESSEN
NW
05.06.96
Deutschland
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RUNDSCHAU
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04924 BAD LIEBEitVERDA BR
LAUSITZER
RUNDSCHAU
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LAUSITZER
RUNDSCHAU
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BR
02911 HOYERSWERDA
IAUSITZER
RUNDSCHAU
03238 FtN8TENAWE
Wehweit weniger Lohn für Frauen
Washingtàn (APi. Nbch mimer erhalten Frauen weitweit für die
gleiche geleistete Arbeit erheblich weniger Lohn als Manner. Zu
diesem Sch1u kern die Intemationale Arbeitsorganisation (ILO) in
einerjetzt veroffentlichten Studie. Frauen verdienten zwischen 50
und 80 Prozent des Lohns, den Manner erhielten, befand der Bericht mit dem Titel ,,Mehr und bessere Jobs für Frauen". In den
USA etwa betrage der Lohn von Frauen durcbscbnittlich 68 bis 70
(Kommentar Seite 2)
Prozentjenes von Mannern.
BR
IAUSITZER
RUNDSCHAU
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03201 CALAU
Verdient?
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RUNDSCHAU
VON IDA KRETZSCHMAR
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03050 COTTBt
BR
3t07.96
konnen fragen wen sie wollen Niemand würde zugeben, daJerso viel bekommt, wie erverdient. Man
frozzelL So hat man die Lacherauf seiner Seite.
Freilick Manchem bleibtdann wohidoch das Lachen ins
Halse stecken. Denn noch unmer erhalten Frauen weitweit
weniger Geld fiirgleicheArbeit. Von der.unbezahlten
Hans- und Familienarbeit dabei noch garnichtzu reden.
Zwnalda von glei her Verteihing ohnehin nichtgesprochen
werden kann.
Eine m Washington veroffentlichte Studie derinternationalenArbeitsorganisätiOfl zerrte esmal wiederans Licht:
Frauen bekommen gerade mal5O his 80 Prozent von dem,
was die Manner einstecken. Zwarhaben vorüber viezig
Jahren 124 Regienmgen eine höchst ehrenhafte Erklärung
abgegeben, da$ nurnoch gleiche Löhne für gleicheArbeit
gezahltwerden sofiten. Das Leben aberspricht seine eigene
Sprache.
Auch, wenn es in Ländern, die sick gem hochentwickelt
nennen, inzwischen garnichtmehrso leicht ist die Frauenauszubootern Schleusen linden sick Daglbt es Einzelverträge für besondeEs hochmotivierte Mitarbeiter, zu denen
Frauen seltenergezählt werden, weilsie vielleicht noch die
Familie irn Kopf haben könnten. Die hochbezahlten Jobs
sindohnehin tradUionell in MännerhantL Seibstirn Osten
Deutschlands, wo sick Mädchen in technischen Ben4en
durchaus behaupteten, itt es inzwischen schwer, einen Fufi
in die Tiirzu kriegen. Ins Gegenteik Selbst die traditionellen
Frauenberufe sind bei derLage auf demArbeitsinarkt vor
männlichen Mitbewerbem nicht snehr sicker.
Und ganz oben in den Chefetagen, wo an Goldenen Kreditkarten bek.annthch kaurn Mangel herrscht, trifft man halt
Frazten meistimmernoch nurin den Vorznmnern.
Es glbt Leute, die stort das herzlich wenig. Die frozzein
eifrig weiter: Frauen haben es nicht andeis verdient. Warurn sind sie nicht Manner geworden!?
Sthill1kstung
Der Prignitzer
MV
19260 LLEWKISLUST
&aizgerAIgemee
19348 PEFLEHEAG
BR
Sdnrhier1k&zei1ung
Hag nower Kreisbaft
Sehrin
Deutschlafl d
Liu8terTageiatt
19230 HAGENOW
SdVo1
Meddenbwgische Ztg.
19061 SCHWERIN
MV
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Pard*nerZeitg
19370 PARCHIM
MV
Nifte Nadirichten
Rostocker Anzeiger
16055 ROSTOCK
MV
GuestrowerAniesger
18273 GUESTROW
MV
MV
30.07.06
Fraüen wêltweit im
Beruf dliskriminiert
IIJO-Studlie: Keine GieichberechtigUflg
mehr tecbnische Berufe und BeGenf (dpa) Geringere Lohne,
schaftigungen tin VerwaltungSund
langere Arbeitszeiten
schlechtere Bildungschaflcefl bereich. line Chancen ergreffen
verhindern weitweit noch un- Frauen dort, wo sie gleiches
mer die Gte jchberechtigUng von
Frauen un Beruf. Das ist das Er-
Geld für gleichen Lohn ethalten
und Sozialgeselze helfen, Faini-
gebnlselner Studie des Intema- lie und Beruf In Einklang zu
tionalen Arbeitsarnte$ (ILO), die bringen.
Noch, werde die Dlskriminieheute In GeiffvorgelegtWUrde.
,,imrner meh± Frauen werden rung von Frauen etwa durch Iiiberufstätig doch 'lassen ste reKonzenhiatiOfl aufbestimmte
meistnurdasHeerde1flAt Berufe gefördert, stelit der BeSoseien4SPrOZefltal
lebenden BerufstAtigefl an- .richtfest
wacbsen", meint die Autorin des ler Beschaftigtefl in den USA,
rnd FrankreiCh
Berch,UnLflU.11ie Groübritanfliefl
GeMehrzahldieserAIbeltefl selun- in Berufen,. die von einem
schlechtbis
zu
80
Prozent
dorniterbezahlt, unproduktivufld oft
audi gethhxlicb Für die meisten. ñiert wUrden. In den ExportzoJobs auBerhaib der Laudwirt- nen der aufstrebenden 'asiatischaft erhalten Frauen gerade scben Staaten wurden Frauen
diet Viertel des Lohnes lhrer ebenfalls bis zu 80 Prozent der
rnännlichen Kollegen. Dabei Arbeitskrafte stellen. Rund 10
macbe es kaurn einen Unter- Prozent alier Frauen, die sich in
schied, ob die Atbeit in einern der DominikafliSChëfl Republik
Industrieland oder lii elnem mit GelegenheitsjObS das Notig-
verrichtet ste zurn Uberleben verdienten,
Entwicklungsland
lagen mit threm Einkommen
werde, klagt die Studie.
,l
,yirhen Tndu- unter der Armutsgrenze.
In Deutschland, Kanada mid
striestaatèfl lägen die Arbeitslo.senquoten für Frauen zwischen Australienarbeitefl Manner mid
50 mid 100 Prozent fiber jenen Frauen etwa die gleiche Stun-
der' Manner. Ergattern Frauen
einen guten Job, sto1en ste
burn in die Spitzengruppe vor.
Nur secbs Prozent aller Positionen im Top-Management seien
von Frauen besetzt, fand Lean
Limheraus.
Dennoch vetzeichnen die
Frauen audi kleine Erfolge tin
Karnpf urn einen Platz urn Arbeitstuarkt, vor allem in den'28
Industrieländern der OECD. In
diesen Staaten, aber audi in Lateinamerika raid der Karibik,
offnen sich den Frauen immer
denzalil, steilt die ]LO-Studie
fest. urn EU-Land italien aber
würden Frauen rund em Viertel
langer arbeiten als Manner, in
Osterreich zwölfProzent. Vor a!lem ii Entwicklungslandern
hättenMadchenZudemmitDts
krirninierung tin Bildungsbereich zu kampfen. Dabei trage
eine gute Schulbildung nicht
nur dazu bet, den Verdienst
spurbar zu erhöhen, sondern
audi die oft groEen Geburtenra-
ten der amen Lander zu senken.
Deutschland
05.08.36
Freie Presse
Märklsche Mlgemehie
-
andetwger K
Plauener Zethmg
BR
14176 BRAPI)ENBURG
06523 PLAUEN
Freie- Presse
Märklsehe Allgemeine
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16816 NEURUPPIN
Auet Zeitisig
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Freie- Presse
Märldsche Aligemehie
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14473 POTSDAM
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Frele Presse
Märldsche Allgemelnc
llInziqIalNachrlchlen
Dahme Kuder
15711 KOENKIS WUSTERHAUS BR
"Frauen erhal*en
weitweit
weniger Lohn
Gienf (Reuter). Erauen arbei-
ten nach Angaben der UNO
weitweit mehr als Manner,
erhalten aber für die gleiche
36361
SCItUECHTERN
HE
uth aev j3 ettung
Keine Gleichberechtigung
Weniger Lohir
Genngere Löbne, langere Arbeitszeiten und schlechtere Bil.
groBeres Risiko, gefeuert zu
werden. AuBerdem stUnden
Genf(dpa)
dungachancen verhindern weltwelt die Gleichberechtigung von
Frauen im Beruf. Das geht aus
einer Studie des Internationalen
Arbeitsamtes (IQ) hervor, die
ibre Chancen schlechter, in
heute in Genf vorgelegt wird.
Fubrungspositionen
,,bnrner mehr Frauen werden
-berufstatig, doch lassen sie meist
nur das Heer der in Armut leben-
aufzu-
steigen. Die uberwiegende
Mehrheit der arbeitenden
Frauen gehore zu den arbei-
tenden Armen, lautet das
ResUme des ILO-Berichts.
Die Kiuft zwischen den
mannlichen und den weibli-
chen Einkommen wird der
ILO zufolge nicht kleiner. In
vielen Industrielilndern liege
die Arbeitsiosenquote der
Frauen zwischen 50 und 100
Prozent holier als die der
Manner. In den Staaten der
OECD, zu der auch die Staaten der Europäischeji Union
und die USA gehOren, arbeiteten Frauen niindestens.
zwei Stunden - oft fUnf bis
zehn Stunden - mehr pro
Woche ala die Manner.
S
30.07.96
Bericht der Internationalen
markt, sic hätten aber em
S
Frele Presse
09599 FREIBERG
HE
fih die Frauen'
Arbeitsorganisation (ILO)
hieB es, zwar drangten Frauen versthrkt auf den Arbeits-
09111 CHEMNITZ
Frelberger Zelttmg
36031 FILWI
Arbeit durchschnittlich 25
Prozent weniger Lohn. In cinern in Genf verOffentlichten
Cheniiltzer ZeiILX)g
den Berufstatigen anwachsen",
meint die Autorin des Berichts,
Liii Lean Urn. Denn die meisten
Arbeiten seien unterbezahit, Unproduktiv und gefahrlich. Für die
meisten Jobs auBerhaib der Landwirtschaft erhalten Frauen gerade
drei Viertel des Lohnes ihrer
männlichen Kollegen. Dabei ma-
the es kaum einen Unterschied,
ob die Arbeit in elnern Industrieoder Entwicklungsland verrichtet
werde. Selbst in den. Industriestaaten lagen die Axbeitslosenra-
ten für Frauen zwischen 50 und
100 Prozent Uber jenen der $änner. Ergattem Frauen einen guten
Job, stoBen sie kaum in die Spitzengruppe vor.
'7,
GENg (afp). :Sówohl in den Industrie- als auth in den Entwickhmgslondern erhalten Frauen im
Durcbschflitt für die gleiche .Arbeit
Viertel weniger Lohn als ibre
mann]ichen Kollegen. Das ist das
Ergebnis einesBerichts, den das Internationale Arbeitsaunt der Vereinten Natin in Genf veroffentem
lichte.' ,,Frauen sind haufiger
berufstatig, aber sie vergröBern dabei in den meisten Fallen das Heer
der ScblechtbeZablten", urteilte
Li. Lini, die Autorin des Berichts
,,Mehr und bessere Jobs für
Frauen". Weitweit sind den tJntersuchungsergebnissen. zufolge inzwischen mebr als 45 Prozetit der
Frauen im Alter von 15 bin 64 Jah-
ren berufstatig. In den Industrielander. stellen sie sogar mehr als
die Haute der Erwerbstatigen. Vor
20 Jahren lag der Anteil der weiblichen Arbeitnebmer in Europa
nochbei37PrOZefltundmdenU
bei 30 Prozent. Die Studie kommt
zu dem Ergebnis, daB Frauen die
Hauptopfer der WirtschaftsrezeSsion der vergangenen Jabre waren.
Deutschland
Mltteldeutschezeftung
Sangethuser Zeittmg
";'NEUE RLJHR WTLING
06526 SANGERHAUSEN
AusgDaken DI
SA
46535 DINSLAKEN
Mltteldeutscheze!tung
,!P.44NELW RLJHR ZBTUNE3
Dessau
Ausg.Moers MS
06944 DESSAU
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Mltteldeutschezeilung
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Bftteifeker Zeittmg
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06749 BIETEffELD
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45468 MUELHEIM'RUHR
MhleldeutscheZeltung
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47014 DtJISBURG-RIIEINH. NW
MliteldeutstheZeltung
1Ftz NEIJE RHEIN ZEITUNG
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06917 JESSEN
40212 DUESSELDORF
SA
NW
30.07.96
MltteldeutscheZeltung
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Ausg.Oberhausen OH
MersebrU Quecturt
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06217 MERSEBUAG
46045 OBERHAUSEN
Mltiekleutschezthung
Frauen erhälten
weniger Lohn
als Manner
Genf(afpj:Sowohj In den In-
dustrie- als auth In den Ent-
Aschers$ebener Z&twig
06449 ASCHERSLEBEN
wlcklungslandenn
erhalten
Frauen im Durchschnftt für die
.gleiche Arbelt em Viertel we-
SA
31.07.96
niger Lohn als thre niãnnliche
Kollegen. Das let des Ergebnis
eunes Berichts, den die hnternationale Arbeitsorganisation der
UNO gestern verOffentlichte.
,,Frauen sind haufiger benifst-
'i'rauen erhalteñ
weniger Geld
tig. aber sie vergrOfienn dabel In
den meisten Fallen des Heer
Lobnveileich mit Männem
Washingtofl/AP.
PIN
och immer er-
halten Frauen weitweit für die
gleiche geleistete Arbeit erheblich
weniger Lobn als Manner. Zu diesem SchiuB kommt eine Studie der
hnternationalen Arbeitsorganisa-
tion der iJno (ILO). Frauen verdienten zwischen 50 wid 80 Prozent des Lohns, den Mannefer-
hielten, befand der Berieht ,,Mehr
und bessere Jobs für Frauen".
/
des Sch1echtbezaIilten, so Liii.
Lim, die Autorun des Berithts.
Weiteres Ergebnis: Frauen
sind die Hauptopfer der Wfrtschaftsrezession. In eunigen In-
dustrielandenn slid ale bis zu
doppelt so hAufig von Arbeitslosgkeit betroffen wie Manner.
Weltwejt nehmen Frauen auBerden. nun sechs Prozent den'
FUhrunposten eli.
Deutschlafld
Dflenbnrprr tnpEii1f
yj
77656 CFFENBUAG
77704 OBEAKIACH
tv 3emg
77694 KEPL
8W
LAHRER ZEITUNG
779331AHR
8W
ILO-Arbeitsstudie: Schere schliefit sich nicht
B erufstätige Fthuen
wëltweit diskriminiert
Geni (dpa/AP). Geringe- Frauen gthade drei Viertël des vor allem in den 28industrielün-
threr niiinnlichei, Kofle- em der OECD. In diesen Staare Lohne,ingere Arbeits- Lobnes
gen. Dabei mache es kaum einen ten, aber auch in Lateinamerika
zeiten und schlechtere Bil- Unterschied, ob die Arbeit in ei- und der Karibik, öffnen sich den
dungschancen verhindern nem Industrieland oder in einem Prauen immer mehr technische
Entwicklungsland
verrichtet Berufe und Beschüftigungen im
weitweit noch mimer die werde.
Die Schere scblieSt sich Verwaltungsbereich. Ibre Chan-
Gleichberechtigung
Frauen im Beruf.
von nichtç heiBt es In der Studie. cen ergreifen Frauen dort, wo sie
Das istdas Ergebnis einerStudie des Internationalen Arbeitsamtes (LW), die heute in Gen!
offiziell vorgelegt wird. 'Immer
mehr}auenwerdenberufstätig,
doch lessen sie meist nur des
gleiches Geld für gleichen Lohn
erhalten und Sozialgesetze helfen, hmilie und Beruf in EmSelbst in den reichen Indu- kiang zu bringen.
strlestaaten lAgen die ArbeitsloIn Deutschland, Kanada und
uen zwischen Australien arbeiten Manner und
senquoten für
50und 100 Prozetitt1berenender Frauen etwa die gleiche StunManner. ErgatternFrauen einen denzahl, steilt die ILO-Studie
Selte 2: Kommentar
seer der In Armut lebenden Be- guten Job, stoBen ale kaum in die
rufstatigen anwachsenc, meint Spltzengruppe vor. Nur secbs
die Autorm des Berichts, Lin Prozentafler Pbsitionen Im lbpLean Lim Denn die meisten Ar- Management seien von Frauen
beiten seienunterbezahlt,unpro- besetzt, fend Lean Lim heraus.
duktiv und oft auch geführlich.
Dennoh verzeichnen die
Für die meisten Jobs auBer- Fauen auch kleine Erfolge im
haib derLandwirtschafterhalten Kampf urn einen Arbeitsplatz,
fest. Im EU-Land Italien aber
Würden Frauen rund em Viertel
lânger arbeiten als Manner, in
Osterreich zwölf Prozent. Vor a1-
lemin Entwicklungsimidernhtten Mädchen zudem mit Diskriminierung irp Bi1dungsbereic.
zu kümpfen.
Deutschland
hwôW1djcci1un
724; SK3MAFIINGEN
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dill1iilfl1ttJt cliung
Wangen
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68239 WANGEN
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IP1unDJogI't-7eitung
Ausgabe Bberath
884(X) HIBERACH
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AALENER VEJLKSZEITUNG
Sthwáblsche Zeltung
73439AA1EN
68045 FHIEDR)CHSUAFEN BW
ILO-Report: Globale Diskriminierung von Frauen In Arbeitswelt
Unterbezahite und geflihrliche Jobs
Genf dpa) - Geringere Lohne, langere dustrieland oder in einem EntwickArbeitszeiten und schlechtere Bi1dungs- lungsland vernchtet werde. ,,Die Schere
chanäen verhindern weitweit noch im- .schiieSt sich nicht", klagt die Studie.
mer die Gleichberechtigung vor Frauen
Selbst in den re'ichen Industriestaàten
imBeruf. Das ist das Ergebzus einer tu- lagen die Arbeitsiosenquoten für Frauen
die des Internationalen .Arbeitsamtes zwischen 50 und 100 Prozent über jenen
(ILO), diegesterninGenfvorgelegtwur- der Manner. Ergattern Frauen einen gude. ,,Imxner mehr Frauen werden berufs- ten Job, stoBen sie kaurn in die Spitzentatig, doch lassen sie meist nur das Heer gruppe vor. Nur sechs Prozent afler PosiderinArmutlebendenBerufstatigen an- tionen irn Top-Management seien von
wachsen", meint die Autorin des Be- Frauen besetzt, fand Lean Urn heraus.
richts, Lin Lean Lim. Denn die meisten Dermoch verzeichnen die Frauen auth
Arbeiten seien unterbezahit, unproduk- kleine Erfolge im Karnpf urn einen Platz
tiv und oft auch gefahrlich.
im Arbeitsmarkt, vor aflem in den 28 In-
Für die meisten Jobs aul3erhalb der dustrieländem der OECD. In diesen
Landwirtschaft erhalten Frauen gerade Staaten, aber auch in Lateinamerika und
dreiVierteldesLohnesihrermannlichen der Karibik, öffnen sich den Frauen imKollegen. Dabei mache es kaum einen mermehrtechnischeBerufeundBeschAfUnterschied, ob die Arbeit in einern In- tigungen°imVerwaltungsbereich.
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Deutschland
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Nach ejnçtSwdie des Intemationalen Atheitsamtes m Genf
Franen weitweit iii Naebtell
Niedrigere Löhne, Ingere Arbeftezelt geringere.Blldung$ChaflCefl
GENF (dpa) - Geringere .Löhne, liegen die Arbeitsiosenquoten für
50 und 100 Prozent
lingeis Arbeltszelten und chlechteie Frauen zwischen
Münner. Die Diskrimi-
Blldungicbsncefl verhlndern weitwelt uber jenen der
noch Immer die Glelchberechtlguflt nierung von Frauen wird noch durch
Ihre Konzentratiofl auf bestimmte Bevon Frauen ImBeruf.
AuBerdefli arbeiten
In elner Studie des Internationalen rufe gefördert.
beispieJaweise in den EUArbeitsamteS (1W) in Genf helBt es: Frauen
Lündern Osterreich und Italien zwölf
,immermr'rauenwerdenberUf5t
tig, doch lessen sie nieist nur dna Hear his 25 Prozentthnger ala die Münner.
der in Armut lebenden .erutigei Vor aliem in Entwicklungslufldern
anwachsen." Denn die nieisten Arbei- haben Müdchen und Frauen ungleich
ten eeien unterbezablt, unproduktw aChlechtere Bildungscbancen. Die Sindie weist darauf bin, daB aber gerade
und oft auch gefuhrlich.
nicht nur die Berufa- undVerir die nieisten Jobs auBerhaib der Bildung
Land.wirtschaft erhalten Frauen nür dienstmôglicbkeitefl von Frauen spur-
drei Viertel des Lohnes ihrer inannu.
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Selbst In den reichen ndustiestaMefl
barverbessert,sondernaUehdiehohen
Geburtenraten in den armen Lündern
senkt. Bildung und Ausbildung seien
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38.07.96
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Diskriminierte
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Genf (dpa). Geringere Löhne,
Iängere Arbeitszeiten und
schlechtere Bildungschancen
verb indern weltwejt noch im-
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01973 GREIZ
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männlichen Kollegen. Dabei
mache es kaum einen Unterschied, ob die Arbeit in einem
Industrieland oder in einem
mer die Gleichberechtigung Entwicklungsland verrichtet
von Frauen im Beruf. Das ist werde.
das Ergebnis einer Studie des
Selbst in den reichen Indu-
OSITHURINGER
Internationalen Arbeitsamtes striestaaten lagen die Arbeits-
Zeltung
(ILO) die heute in Genf var- losenquoten fur Frauen zwi-
geftwird. Die meisten Ar-
schen 50 und 100 Prozent über
beiten seien unterbezahit, un- jenen der Manner. Ergauern
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produktiv und oft auch ge- Frauen einen guten Job, stoBen
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thhrlich.
sie kaum in die Spitzengruppe
Für die rneisteh Jobs at,tler- vor. Nur sechs Prozdnt aller
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halten Frauen gerade drei ment seien von Frauen besetzt,
Viertel des Lohnes ihrer fand Lean Lim heraus.
Zeltung
01318 SAALFELD
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haib der Landwirtschaft er- Positionen im Top- Manage-
TM
31.07.96
UNO: Frauen arbeiten mehr
und erhalten weffiger Lohn
25 Prozent Mehr-Verdienst für Manner
Genf (rtr). Frauen arbeiten
Die Kiuft zwischen den
Einkomnien von Frauen und
Männern wird laut 1W nicht
kleiner. in vielen Jndustriedurchschnittlich 25 Prozent ländern liege die Arbeitsloweniger Lobn. In einem Be- senquote der Fraueu zwiricht der Internationalen Ar- schen 50 und 200 Prozent hobeitsorganisation (ILO) heifit her als die derMünner. In den
es, zwar drangten Frauen vet- Staaten der Organisation für
stürkt auf den Arbeitsmarkt, wirtschaftliche Zusammensie hätten aber em grof3eres arbeit und Entwicklung
Risiko, gefeuert zu werden. (OECD), u der audi die StaaAullerdem stünden Thre ten der EU und, die USA goChancen schlechter, in Fith- hOren, arbeiteten Frauen pro
rungspositionen aufzustei- Woche oft fünfbis zehn Stunden mehr als die Manner.
gen, sodielLO.
nach Angaben der UNO weltwelt mehr als Münner, erhalten abet für die gleiche Arbeit
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38.07.96
Frauen arbéiten mehr
und bekonunen weniger
Ilo-Studie zeigt; Benachthiligung noch nicht gestoppt
Von An&éas Zumach
Geni - Frauen verden auf dem
weitweiten Arbeitsmarkt weiterhin
stark benachteiligt. Inzwischen ar-
beiten 4. Prozent aller Frauen im
Alter zwischen 15 und 64 Jahren;
der Anteil steigt stilndig Dochobwobi Fmuen pm Woche zwei bis
zebn Stun1en länger arbeiten als
die Manner, erhalten sie auch für
vergleichbaze Tãtigkeiten durch-
schnittlich 25 Prozent weniger
Lohn. Das 1st das Ergebnis einer
Studie ,,Mehr und bessere Jobs für
Frauen", die die Internationale Arbeitsorganisation (110) in Geniveröffentlicht hat.
Zwar hätten Frauen in den letzten Jahren ,,deutliche Fortschritte"
gemacht beim Vordringen in tradi-
tionell ausschlieBlich von Mannern ausgeübten Berilfen, heilit es
in der flo-Studie. Auch wuchs der
,Anteil der Frauen an der Gesamtzahi allerBeschaftigten in den 28
Industriestaaten der Organisation
für wirtscha.fIliche Zusammenarbeit und Entwicldung (OECD)
deutlich. In,Westeuropa waren in
diesem Zeitraum von den acht
Millionen neuen Erwerbstlitigen
sieben Millionen Frauen.
Doch in. leitenden Positionen
sind Frauen nach wie vor nur zu
sechs Prozent vertreten. Auch 1st
der Anteil der Frauen an der Ge-
samtzahl der Arbeitsiosen in der
OECD zwischen 50 und 100 Prozent höher als der der Manner. 70
Prozent der armen Erdbevdlkerang und 65 Prozent der Anaiphabeten sind Frauen. In den OECDStaaten verrichten Frauen wö-
chentlich zwischen filni und 15
Stimden unbezahiter Arbeit - zu-
meist mi Haushalt und bei der
ICinderbetreuung. In den Staaten
des Südens sind es sogar 31 his 42
Stunden wöchentlich.
Zn den positiven Entwicklungen zãhlt die lb die Tatsache, daB
in den USA heute mehr Frauen
ilire eigene Firma grUnden als
Manner. In vielen Lilndern des
Nordens wie des SUdens sei das
Prinzip ,,Gleicher Lohn für gleiche
Arbeit" inzwischen zuinindest gesetzlich verankert. Da mehr
Frauen Mitglieder der Gewerkschaften seien, sei deren Sensibilitat für frauenspezifische Fragen ge-
wachsen. So arbeiteten Manner
und
Frailen
in
Deutschland,
Kanada und Australien etwa die
gleiche Stundenzahl.
Insgesamt failt die Bilani laut
Jlo-Generaldirektor Michel Hansenne aber negativ für die Frauen
aus: ,,Gleiche Chancen fir Frauen
und gleiche Behandlung von
Frauen auf dem Arbeitsmarkt sind
bislang nirgendwo in der Welt erreicht."
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Sächsische Zeitung
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01.00.96
Ubéráll haben Frauen
weniger Chancen
Von Gleichberechtigüng im Beruf kaum eine Spur
Genf (dpa). Geringere Lôhne, langere
Arbeitszeiten und schlechttre Bit-
dungschancen verhmdern weitweit
noch lnuñer die Gleichberechtigung
von Frauen im Beruf. Das ist das Ergebnis einer Studie des Internationalen
Arbeitsamtes (ILO). die in Genf vorgelegtwurde.
Für die meisten Jobs aullerbalb der
LandwirtscIaft erhalten Frauen gerade
drei Viertel des Lohnes il)rer männlithen Kollegen. Dabei mache es kaum
-
einen Unterschied, ob die Arbeit m
einem Industrieland oder in elnem Ent-
wicklungsland verrichtet werde. .pie
Schere schlieüt sich nichr, klagt die
Studie.
nen Ptatz mi Arbeitsinarkt, vor aliem
in den 28 Industrieländern der OECD.
Noch werde die Diskrüninierung von
Frauen etwa durch ihrCKonzentration
auf bestimmte Brufe gefordert, steilt
der Bericht fest. So seien 45 Prozent
afler Beschäftigten -in den USA,. Grolbntannien und Frankreich In Berufen,
die von einem Geschlecht bis zu 80
Prozent dominiert wurden.
In Deutschland, Kanada und Australien arbeiten Manner und Frauen etwa
die gleiche Stundenzahl, stelit die ILO-
Studie fest. In Italien aber wurden
Frauen rund ein'/iertel Iãnger arbeiten
als Manner, in Osterreich zwölf Prozent. Vor alleni in Entwicklungslandern hãtten Mãdchen zudem mit Dis-
Selbst in den reichen Industriestaaten lagen die Arbeitstoéenquoten für; kriininierung mm BiIdungsbethiWu
Frauen zwischen 50 und 100 Prozent' kampfen.
Dabei trage elne gute Schulbildung
über jenen der Manner. Ergattern
Frauen elnen guten Job. stoüen sie
nicht nur dazu bei, den Verdienst spur-
kaurn in die Sptzengruppe vor.
bar zu erhöhen, sondern auch die oft
grollen Geburtenraten der armen Lan-
auth kielne Erfolge im Karnpf urn ci-
der zu senken.
Dennoch verzeichnen die Frauen
Deutschland
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37079 GOETTINGEN
45651 RECKLINGHAU8EN NW
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31.07.96
UN-Bericht Weniger
iolii fir Frauen
Genf(rfr/p). Frauen arbeiten
nach Angaben der UN weltweit mehr als Manner, erhalten aber für die gleiche Arbeit
durchschnittlich 25 Prozent
wemger Lohn. In einem am
Dienstag in Genf veröffentlichten Bericht der lnternatio.nalen
Arbeitsorganisation
(ILO) hieB es, zwar drangten
Frauen verstiirkt auf den Arbeitsmarkt sic batten aber em
gro1eres Risiko, gefeuert zu
werdei. Au1erdem stunden
Hire Chancen schlechter, in
Fiihrungspositionen aufzusteigen. Die flberwiegende Mehr-
heit der arbeitenden Frauen
gehore zu den arbeitenden Ar-
men, lautet das Resümee des
ILO-Berichts.
85051 INGOLSTADT
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.07.96
,,Globale Diskriminierung
vn Frauen in Arbeitswelt"
'Geñfc1pa) Geringere Lohne,
lüngere
Mbeitszeiten mid
schlechtere Bildungschancen
verhindern weitweit noch immer die Gleichberechtigimg von
Frauen mi Beruf. Das ist das Ergebnis einer Studie des Internationalen Arbeitsamtes (ILO), die
heute In Genf vorgesteilt wird.
,,Tinmer mehr Franen werden be.
rufstatig, doch lassen sie theist
nur daslèer dér in Armut le-
benden Berufstatigen anwachsen", meint the Autorin des Berichts, Lin Lean Lim. Denn die
meisten Arbeiten seien unterbezahit, unproduktiv mid oft auch
gefahrlich. Für die meisten Jobs
aui3erhalb der Landwirtschaft
NW
31.07.96
WeitWeit weniger
Lohn für Fraueri
Washington. (AP) Noch immer
erhalten Frauen weitweit für die
gleiche geleistete Arbeit erheblich weniger Lohn als Manner. Zu
diesem Ergebnis karn die Internationale
Arbeitsorganisation
(ILO) der UN in einer am Montag
in Washington veröffentlichten
neuen Studie. Frauen verdienten
zwischen 50 und 80 Prozent des
Lohns, den Manner erhielten, be-
fand der Bericht mit dem Titel
,,Mehr und bessere Jobs für
Frauen".
Die Autorin der Studie,, die Malaysierin Lin Lean Urn, erklãrte,
seit 124 Regierungen im Jahr
erhalten Franen gerade drei
1951 eine Vereinbarung über gleiche Löhne für gleiche Arbeit Un-
Funftel des Lobnes Hirer mannlichen Kollegen. Dabei mache es
kaurn einen Unterschied, ob die
jedoch ,,weder weitweit noch
Arbeit in einem Industrieland
oder in einem Entwickhmgsland
verrichtet werde.
terzeichnet hätten, seien Fortschritte erzielt worden. Sic seien
dauerhaft, nicht einrnal in Landem und Gegenden, die sich be.
senders bemuhten".
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BADISCHES
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Arbeitsmarkt
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Frauen schlechter ab
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ILO-Studie zu Beruf:
i FRANKFURT A. M. Frauen arbeiten rund umden GlobuB nach wie vor Ianget, erhalten für die gleiche Tatigkeit jedoch im Schnitt em Viertel weniger Lohn
ala ibre mnnhichen Kollegen. So lautet
dan Fazit einer Studie der Internationalen
Arbeitsorganisation (flip). Immer mehr
Frauen seien berufatAtig, damit babe aich
aber dan Heer der in Armut lebenden Beechaftigten nut noch vergroBert. Denn die
meisten Frauen seien in Niedriglobn.Joba
beschàfUgt, die in vielen Fälle zudem gefährlicb seien.
Krasse Unterschiede bei der Bezahiung
von Mannern und Frauen registriert die
Organisation dabei in Entwicklungs- und
audi in Industrieländern. ,,Die Kiuft
scbrumpft nic1it Audi bei der Bildung
eien Frauen benachteiligt. Sie machten
nicht nut fast 70 Prozent der Armen die-
Fraué. welter
benachteiligt
Genf (dpa) - Geringere Löhne, Iangere Arbeitszeiten und
schlechtere
Bildungschancen
verhindern weitweit noch immer
die Gleichberechtigung von
Frauen im Beruf. Das ist das-Ergebnis einer Studie des Internationalen Arbeitsamtes (ILO), die
in Genf vorgelegt wurde. ,,Immer mehr Frauen werden berufs-
tätig, doch lassen sie meist nut
das Heer der in Armut lebenden
Berufstatigen
anwachsen",
meint die Autorin des Berichts,
Lin Lean Urn. flenn die meisten
aer Welt nun, sondern audi nahezu 65
Prozent derAnaiphabeten.
Arbeiten seien unterbezahit, Un-
produktiv und oft auch gefah-.
lich.
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31.07.96
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Frauen erhalten
weniger Geld
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Noch irnuner er-
halten Frauen weitweit für die
gleiche geleistete Arbeit erheb]ich
weniger Lohn als Münner. Zu diesem SchluI3 kon1mt elne Studie der
Internatioflalen rbeitsorgafla
tion der Uno (ILO). Frauen verdienten zwischen 50 und 80 Pro-
zent des Lohns, den Manner erhielten, befand der Bericht ,,Mehr
und bessere Jobs für Frauen".
30.07.96
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cenverhjnderijnoch iinmer die Gleichberechtigung von Frauen irn Beruf. So
das Ergebuis einer Studie des Intenna-.
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Ergebnis euner Studié des Intennationalen Arbeitsamtes
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legt wurde. ,,Imnier mehr
Frauen werden berufstatig,
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Heer dot in Arunut lebenden
Berufstatigen
anwachsen",
meunt die Autorin des Berichts, Liii Lean Urn. Denn
die meisten Arbeiten seien
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und oft auch gefährlich.
Für die meisten Jobs aufler-
haib der Landwirtschaft er-
tionalen Arbeitsarntes (ILO), die in
Genf vorgelegt wurde. ,,lrnrner mebr
Frauen werden berufstatig, doch las-
halten Frauen gerade drei
lebenden Berufstatigen anwachsen",
erklärt die Autorun des Berichts, Liii
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Frauen zwischen 50 und 100 Prozent
in den reichen Industiiestaa-
sen ale meist nut das Heer dot in Armut
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ment seien von Frauen besetzt. in den
hndustrjeländenn hätten Frauen jedoch irnrner bessere Chancen in techruschen Berufen und irn Verwaltungs...
bereich.
Viertel des Lohnes ihrer
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31.07.96
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an den Tag: Weniger Lohñ und schlechtere Blidungschancen
von unserer Agentur
Das 1st das Ergebnis einer
Studie des internationalen
Arbeitsamtes, die in Genfvor.
gelegt wurde. ,,Inuner mehr
Frauen werden berufstatig,
doch lassen ale meist nurdas
Heer der in Armut lebenden
Berufstätigen
anwachsen",
meint die Autorin des Be-
richts, Liii Lean Lim. Denn
die meisten Arbeiten seien
Dennoch. verzeichne
die
Frauen. auch kleine Erfolge
:1m .Kampf urn einen Platz im
- .Arbeltsmarkt, vor aflem in
den Industrielandern. in dle.
sen Staaten, aber auch in Laund der Karibik,
öffien sich den Frauen Immer
mehr techniache Berufe und
Beachiftigungen liii Verwal-
tungsbereioh. ihe Chancen
ergrelfen Frauen dort, wo sic
gleiches :Geld für gleiche Ar-
belt erhalten und Sozialgesetze belfen, Familie und Beruf in Binklang zu bringen.
Noch werde die. Diskrirni-
ñlerung von Frauen etwa
durch ihre Kongentratjo atlf
bestlnirite Berufe gef6rdeit,.
steilt der Berlcht feet. So
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unterbezahit,
unproduktjv
und oft auch gefbhrlich.
Für die meisten Jobs aufler-
schftigten in den USA, Grolibritannien und Frankrejch in
halten Frauen gerade drel
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haib der. Landwlrtschaft erViertel
des Lobnes ihrer
männlibhèn Kollegen. Dabel
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schied, oh die .Arbeit in einem welt ,,ibren Mann stehen", haben aleder
oft mit DIskrImInle.
Industrieland oder in ehnem rungen zu klimpfen.
-. . Foto: Uwe Brock
Entwicklungsland verrichtet 1osenquotenfur FrAuen zwi-. Spitzengruppevor.
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werde. ,,Die Schere schiieSt schen 50 und -100- Prozent
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sich nicht", klagt die Studie. tiber -jenen der Manner. tr- TOp-Management
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Selbst in den reichen hndu- gattern Frauen eunen guten .
besetzt, fand Lean
striestaaten Iagen die Arbeits- Job, stoi3en sie kaum in die Frauen
lAm heraus.
Berufen, die von einem Ge.
schlecht bis zu 80 Prozent do-
asiatischen Staaten würden
Frauen ebenfails bis zu.T80
Prozent der Arbeitskräfte
stellen. .Rund 70 Prozent aller
Frauen, die sich in der Dominikanischen Republik mit Ge.legenheitsjobs das Notigste
zum Oberleben verdienten,
lägen unter
grenze. (dpa)
der
Armuts-
Deutschlafld
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Genfer Organisation mit immer geringerem Ansehen
Zum Artikel von Nico 'PlIdhgèr 1ieharrlichkeit und Geduld" über den Zustand der Internationalen Arbeitsorganisa-
tion (ILO) in Genf (F.A.Z. vom 4. Juli)
scheinfrmir nach zwei Jahren Mitarbeit
als Direktor der ILO-Abteilung ,,erufliche Bildung" einige zusãtzliche Bemerkungen wichtig. Natürlich 1st eine Organisati-
on wie die ILO neben Weitbank oder Internationalem Wãhrungsfonds notwendig.
Aber davon müBte sic, ausgehend von der
Spitze, auch überzeugt scm, sie müBte wis-
sen, wofür sic inhaitlich eigentlich steht.
Der gegenwârtige Generaldirektor, der
ehemalige belgische Arbeitsminister Michel Hansenne, und seine informell mitleitende Entourage bekommen aber leider
nur immer Ieuchtende Augen, wenn jemand berichtet, die ILO sd bei irgendeiner
Gelegenheit formal mit der Weitbank oder
Internationalen Wãhrungsfonds
dem
(IWF) on equal footizg" behandelt worden.
Von dem überzeugten Marktwirtschafticr Eucken stammt die Feststcllung: ,,Jeder
Markt verzehrt Moral." Nach Auftrag
und Geschichte ware die ILO im Zusammenspiel mit der Weithandelsorganisation
(WTO) genau der Ort, die neuen globalen
Aufgabenstellungen aus dieser Analyse
konstruktiv zu begleiten und zu gestalten.
Dazu müBte die Organisation aber zwei
spezifische Gefahren für sink selbst thenia-
tisieren könñen: Das über die letzten 77
Jahre entwickelte Regeiwerk verliert in der
tradierten Form für die Lander, die sich
von der Industrie- zur Informationsgesellschaft bewegen, mimer mehr an Relevanz,
well deren neue Produktions- und Dienstleistungsmethoden, ihre Formen der Arbeitsorganisation und die daraus folgenden Arbeitsbeziehungen davon mimer weniger berührt werden. Und weil neben den
von 1919 hochhalten und neue Instrumente cntwickeln, schãrfen und beThrdern, die
den neuen Realitãten gerecht werden. Das
Unterfangen ware natürlich ambitiös und
schwierig, aber'das zum groBen Tell hochqualifizierte technische Personal irn Genfer
Amt und im AuBendienst wartet nur auf
einen solchen Auftrag, er würde als
Durchbruch begriffen, die eigene Relevanz
ii Konzert der anderen internationalen
Organisationen beweisen zu können. Statt
dessen wird dieses Personal von der Leitung und den zentralen ,,Dienstleistungs"Abteilungen an fast jeder inhaitlichen Initiative gehindert.
Die zentralen ,,Dienstleistungs"-Abteilungen haben in Genfmehr als doppelt so
viel Personal wie die technischen, potentiell produktiven Abteilungen. Well aber
die Ergebenheit dieser Zentralabteilungen
die Machtfülle des Generaldirektors am-
macht, fmdet keine .sinnvolle, auf mehr
Wirtschaftlichkeit gerichtete Reform der
Ablauforganisation statt. Gespart werden
müBte zwar, schlieBlich hat man im letzten
Jahr über fünfzig Millionen Schweizer
Franken Miese gemacht, wofür nicht nur
BeitragsrückstAnde der Vereinigten Stan-
ten verantwortlich waren. In die zwecks
es muü etwas geschehen" flugs eingerichReform
von innen" wurden aber nur Vertreter des
teten Arbeitsgruppen für eine
bereits existierenden ,,Küchenkabinetts"
berufen, die für die Malaise schon mitverantwortlich waren.
So hat die Weitbank gegenüber der ILO
einen weiteren komparativen Vorteil: An
deren Spitze ist seit einem Jahr em Mann
mit Vision, Einfiihlungs- und Durchsetzungsverrnögen, der tatsächlich etwas mit
Engagement, Leidenschaft und Einfallsreichtum verãndern will. Bei der ILO aber
muB welter rãsoniert werden, weshaib die
treten sind, diese aber potentielle ,,Insider"
Zeitläufte nach der Interpretation der eigenen Leitung so sind, daB die Diskussionen
urn die eigene Existenz mit ,,grenzenloser
Geduld" ausgehalten werden sollen, statt
vertreten, traut sich die ILO zwar dekiamatorisch, aber nicht praktisch an die zentrale Frage der beruflichen und sozialen
Ausgrenzung in fast alien Lãndem heran.
Die Antworten auf beide Problemkreise
die existierenden Fähigkeiten des Arnts,
für das die Mitgliedsstaaten viel Geld bezahlen, ganz selbstverstãndlich zur Existenzsicherung einzusetzen.
Dr. Joachim Reichling,
wären ja einfach: die Werte der Verfassung
Frankfurt am Main
Regierungen auch die ,,repräsentativen"
Arbeitnehmer- und Arbeitgeberorganisationen in den Entscheidungsgremien ver-
Deutscbland
66953 PIRMASENS
HP
ooee
GlelchberechtigUflg
noch nIcht In Sicht
Lim: Frauen nach wie vorim Berufsleben benachteiligt
Genf. Geringere Lbhne, Ianund
Arbeitszeltefl
gere
schlechtere Ellldungschancen verhindern weitwelt
ten lagen die ArbeltslosenquO- in den USA, GràIbrltannien
ten für Frauen zwischen 50 und Vrankreich In Berufen, die
und 100 Prozent uber jenen von einem Geschlecht bis zu
der Manner. Ergattem Frauen 80 Prozent dominiert wUrden.
den Exportzonen der aufnoch Immer die Gleichbe- etnen guten Job, stoflen sie In
rechtigung von Frauen Im kaum in die Spitzengruppe strebenden asiatlschen Staavor. Nur sechs Prozent aller PD- ten wurden Frauen ebenfalls
Beruf.
sitionen im Top- Management bis zu 80 Prozent der AxbeitsDas 1st das Ergebnls elner selen von Frauen besetzt, fand kräfte stellen. Rund 70 Prozent
aller Frauen, die sich in der
Studie des Internationalen Ar- Lean Lim heraus.
Republik
Dennoch verzeichnen die
beltsamtes (ILO), die gestem
In Genf v5fgelegt wurde. Frauen auch kielne Erfolge Im
,,Immer mehr Frauen werden Kampf tim elnen Platz Im Arbexufstätlg, dock lassen sle beltsmarkt, vor allem In den
meist nur das Heer der In 28 Industrleländern der
Armut lebenden Berufstätlgen OECD. In diesen Staaten, aber
anwachsen", ineint die Auto- auch in Latelnamerika und der
rin des Berichts, Lin Lean Lim. Karibik; öffnen sick den Frau-
Denn die meisten Arbeiten
DominlkaniSChefl
mit Gelegenheltsjobs das NOtigste zum Uberleben verdienten, lagen mit lhrem Elnkornmen unter der Armutsgrenze.
In Deutschland,. Kanada
und Australien arbelten Mannet und Frauen etwa die gleien immer mehr technlsche.Be- che Stundenzahl, steilt die
rufe und Beschaftiguflgefl. Im ILO-Studie fest. Im .BU-Land
Ihre Itallen abet wurden Frauen
verwaltungsbereich.
Chancen ergrelfen Frauen rund em Viertel langer arbeidort, wo sle gleiches Geld flit ten als Manner, in Osterreich
seien unterbezahit, unproduktiv und oft auch gefahrlich..
Für die meisten jobs aulerhaib der.Landwirtichaft erhalten Frauen gerade drel Viertel gleichen Lohn erhalten und
des Lohnes ihrer mannlichen Sozlalgesetze helfen, Familie
Kollegen. Dabel mache es und Beruf in Elnidang zu bnnkaum einen Unterschied, ob gen.
Noch werde die Disicrimidie Arbeit in einem Industrieland oder in elnem Entwick- nierung von Frauen etwa
lungsland verrichtet werde. durch ihxe Konzentration auf
Die Schere schlieflt sich bestimmte Berufe gefordert,
nicht", klagt die Studie. Selbst stelit der Bericht fest. So seien
In den reichen Industriestaa- 45 Prozent aller Beschäftigten
zwOlf Prozent. Vor allem In
Entwlcklungslaflderfl hatten
Madchen zudem mit Diskriminierung im Bildungsbereich zu
kampfen. Dabel trage elne
gute Schulbildung nicht nut
dazu bei, den Verdienst zu er-
hohen, sondern auch die oft
grollen Geburtenraten der
armen Lander zu senken. (d3
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WESER KURIER
WESER KURIER
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Deknenhorster Kijier
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H8
30i7.96
,,Frauen weitweit noch
immer im .Nachteil"
.1
ILO-Studie untersuchte Situation in
Gent (dpa). GeringereLöhne. lângere Arbeitszeiten und schlechtere Bildungschancen verhindern weltweit noch immer die
Gleichberechtigung von Frauen un Beruf.
Das 1st das rgebms emer Studie des internationalen Arbejtsarntes.(ILO),. die heute in
Gent vorgelegt wird. ,,Immer rnehr Frauen
werden berufstAtig,.doch lessen .sie.rneist
nur das Heer der in Armut lebenden Berufstatigen anwàchsen. meint die Autorin des
Berichts, Lin Lean Urn. Die meisten dieser
Arbeiten selen nãrnlich unterbzahlt, unproduktiv und oft audi gefährlich.
der Arbeitswelt
bik, ôffnen sich den Frauen immer mehr
.technische Berufe und Arbeit irn Verwaltungsbereich. Ibre Chancen ergreifen Frauen dort, wo sie gleiches Geld für gleichen
Lohn erhalten und Sozialgesetze helfen, Fa.milie uñd Beruf in Einklang zubringen.
Noch werde die Diskriminierung von
Frauen etwadurch ibre Konzentratiofl ant
bestimmte Berufe gefordert, steilt der Bericht test. So seien 45 Prozent aller Beschäf-
tigten in den liSA, GroBbntannien und
Frankreich in Berufen, die von elnem Geschlecht bis zu 80 Prozent dominiert würFür die meisten Jobs aul3erhalb der Land- den. In den Exportzonen der aufstrebenden
wirtschaft erhalten Frauen gerade drei Vier- asiatischen Staaten würden Frauen ebentel des Lohnes ihrer inünnlichen Kollegen. falls bis zu 80 Prozent der Arbeitskräfte stelDabei mache es kaurn emen Unterschied, len. Rund 70 Prozent aller Frauen, die sich
ob die Arbeit in elnem Industrieland oder in In der Dominikanischen Republikmit Geleelnem Entwicklungsland verrichtet werde. genheitsjobs des Nötigste zurn .iJberleben
Die Schere schlieSt sich nicht, klagt die verdienten, Iàgen mit ihrem Einkomrnen
tinter der Armutsgrenze.
Studie.
In Deutschland, Kanada mid Australien
Selbst in den reichen lndustriestaaten Iagen die Arbeitslosenquoten für Franen zwi- arbeiten MAnner und Frauen etwa die gleischen 50 und 100 Prozent über jenen der die Stundenzahl, stelit die ILO-Studie test.
Manner. Ergattern Franen einen guten Job, Im EU-Land Italien aber würden Frauen
stoflen sie kaurn in die Spitzengruppe vor. rund em Viertel lAnger arbeiten als Manner,
Nur sechs Prozent aller Positionen im Top- in Osterreich zwölf Prozent. Vor allem in
Management seien von Frauen besétzt, EntwicklungslAndern hAtten MAdchen zudem mit 'Diskriminierung urn Bildungsfand Lean Lim heraus.
Dennoch verzeichnen die Franen audi bereich zu kAmpfen. Dabei trage eine gute
kleine Erfolge un Karnpf urn elnen Platz auf Schulbildung nicht nur dazu bei, den Verdem Arbeitsmarkt, vor allem in den 28 Indu- dienst spürbar zu erhöben, sondern auch
strielän.dern der OECD. In diesen Staaten, die oft hohen Geburtenraten der armen
(aber audi in Lateinarnerika und der Karl- Lander zu senken.
Deutschland
Frauen werden
weitweit diskriminiert
einen Untexschied, ob die Albeit
in einem Industrieland oder in einem EntwicklUIlgSla1ld verrichtet
werde. Selbst in den reichen Industriestaatefl lagen die Axbeitslosenquoten für Frauen zwiscben 50
und 100 Prozent über jenen dér
ArStudie des Internationalen
aller
beitsarnteS (ILO), die in Genf vor- Manner. Nur sechs Prozent
mi Top.Managemeflt
Positionen
gelegt wurde.
fand
,Immer rnehr Frauen werden seien von Frauen besetzt,
berufstAtig, doch lessen sie meist Lean Urn heraus.
In Deutschlalid, Kanada und
nur das Heer der in Armut lebenAustralien
Manner und
den Berufstãtigen anwachsefl", Frauen etwaarbeiten
Stundendie
gleiche
Lin
meint die Autorin des Berichts1
zahi,
stelit
die
ILO-Studie
fest.
Lean Len. Dabei mache es kaum
Genf (dpa) Geringere Lobne, Iangere Axbeitszeitefl und scblechtere
verbindern
BildungSChanCen
weitweit noch imnier die GleichberechtigUflg von Frauen im Beruf. Das 1st das Ergebnis einer
OSTSEE , 1I. ZEITUNG
OSTSEE ' i ZEITUNG
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16526 BERGEN
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OSTSEE r1j ZEITUNG
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OSTSEFITUNG
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39.076
Deutschland
UN: Frauen bei Entlohnung
immer noch kraB benachteiligt
WSfflNGTON' (ap). Noch iinmer
erhalten weitweit Frauen für .die
.gleiche geleistete Arbeit weniger
Lohn als Manner. !". diesem
Schiufi kam die Internationale
Abitsoganisation (ILO) tier UN
des Männerlohns.. Die Autorm der
Studie, die Malaysierin Liii Lean
Lixn, kritisierte, daB keune nennenswerten Fortschritte erzielt
worden seien seit 124 Regierungen
im Jahr 1951 eine Vereinbarung
fiber gleiche Löhne für gleiche
Arbeit unterzeichnet batten. Der
in ciner in Washington verüffentlithtezi Studie. Frauen .erhielten
nur zwischen 50 und 80 Prozent
ILO gehören 179 Staaten an.
RHEINISCHE POST
RHEINISCHE POST
JJSCHE POST
41747 VIERSEN
51379 LEVERKUSEN
48483 WESEL
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Greniiend KLlIerVIe($en
NW
RHEINISCHE POST
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NW
RHEINISCHE POST
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40549 DUESSELDORF
NW
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PHEINISCHE POST
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41061 MOENCHEPWDMCH NW
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RHEINISCHE POST
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bestandig wãchst. Sie arbeite-
Mäfiner, erhielten aber im
SH
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Durchschnitt 25 Prozent weniger Lohn.
litbeiter 9ndjvMjten
Ubcitcr tIndjrtrIten
(ILO)
nur sechs Prozent aller leitenden Positionen, obwohl
ihr Anteil am Arbeitsmarkt
ten zwischen zwei und zehn
Stunden pro Woche mehr als
Osthobtein Nord
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23556 LUEBECK
GENF - Weitweit besetzen
Arbeitsorganisation
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Karriereleiter bleibt
Franen versperrt
Frauen laut Internationaler
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NACHRICMTEN
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06.07.98
Beruf benachteiligt
Genf (dpa). Geringere Löhne, lãngere Arbeitszeiten und schlechtere Bildungschancen
verhindern weitweit noch immer die Gleichberechtigung von auen im Beruf. Das 1st
das Ergebnis elner Studie des Internationalen
Arbeitsamtes (ILO), die heute in Genf vorge-
legt wurde. -
,,Immer mehr Frauen werden berufstatig,
doch lassen sie meist nur das Heer der in Armut lebenden Berufstatigen anwachsen4,
meint die Autorin des Berichts, Lin Lean
Lim. Denn die meisten Arbeiten seien unterbezahit, unproduktiv und oft auch gefabrlich.
Selbst in den reichen Industriestaaten lagen
die Arbeitslosenquoten für Frauen zwischen
50 und 100 Prozent über jenen der Manner.
Deutschland
Hanñxger Morgeost
22763 HAMBURG
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lie! Arbelfurdië
Fraueo -aber weolger Geld
Weitweite Studie Manner werden Uberall besser beza hit.'
Weibliche BiiIig-Arbeitskräfte ermöglichen Asiens Boom
Gent - Gleiche Löhne für- gleiche Arbeit - schon 1951 ver-
pflichtetensich l24RegierungenauhflesenGrundsatz.Dieaktuelleñ Zahien, die dieInterñafiona1eArbeitoiganisafion(ILO)
derUN gestern vorlegte, machen hingegen deutlich, daB dieses
Papier lediglich einer Absichtserklärunggleithkommt: Noch
-immerverdienenFraueninveigleichbarenlobsgerademaldrei
Viertel dessen, was ihremnnnlichen Kollegen bekommen.
Em MiBverhItnis,-an dem
sich so Liii Lean Lim,Autorin
der Studie ,,Mehr und bessere
Jobs für 1auenu, un abseh-
zumBoomverhalfen-siestellen
rund 80 Prozent der ArbeitskrafteimExportbereicbin den
entwickeltenLändemarbeiten
dagegen 60 Prozent derauen
Der 25-Prozent-Bonus für. imService-Bereich,undenLãnManner gUt dabei weitweit - den der OECD, den 25 hndubarer Zeit nichts ändennwird".
wenngleich aus unterschiedlichenGrftndenJndenEntwickIungslandenn, allen voran Südund Sudostasien, sind es vor-
striestaaten angehoren, besetzen sie zwischen 65 und90 Pro-
zentder1ilzeitjobs.
Aus den Tefizeitarbeit mid
rangig die Frauen,.die durch - . den niednigen Bezugen erklãrt
iedrige Lohne der Industrie
sichauchderEinstellungsboom
von Frauen in den 8Oern. So
stiegdieZalilderberufstatigen
auen in den OECD-Ländern
zwischenl98Ound 1990 doppelt
sostäkwiediederManner-un
den EU waren in dieseni ZeitraumsiebenvonaclitMilhionen
neueingestelltenArbeitskraften
uen.Dochnurdiewethgsten
tandenden.Wegundiehochdotierten Jobs derChefetagen
Dortsitzenweltweitwenigera]s
sechsPrbzent auen.
EinenerheblichenAnteilhabenFauendagegenamBereich
nichtbeiablter Arbeit. Bis zu
zehnStundenmehr als Manner
leisten sie wochentlich in den
ndustrie1ndennzusätzlichab,
indenEntwicklungslandernsomdi
gar 31 bis 42 Stunden.
Deutsch land
PER lACES SPIEGEL
,lbeKdze//Jrns/
8th-Butt"
90403 NUERNBEAG
31.07.96
10185 BERJN
B
BA
'Fmuen werden nach wie
vor sdilechter bezahit
Frauen werden
Uherall betrogen
Secls frozent in Fuhrungspositionen
Gni Gtriiigere L.öhne, langere Arbeitszeiten.und .schlechtere Bildungschancen verhindern
weitweit noch irnmer die
Gleichberechligung von Frauen
ixii Berüf, so das Ergebnis elner
Studie des internationalen Arbeitsamtes (ILO). Für die melsten Jobs auBerhaib der Landwirtschaft erhalten Fauen
etwa drel Viertel des Lohnes threr münnlichen Koliegen. Dabei
GENF (èpd). Weitweit besetzen Fmuen
nach Angaben der Intemationalen Arbeitsorganisation (1W) nur sechs Prozent alter
leitenden Posiflnen, obwohl ihr Anteil am
Arbeitsmarkt bestandig wächst. Sie arbeite-
ten zwischen zwei und zehn Stunden pro
Woche mehr als Manner, erhielten aber da-
für im Durchschnitt 25 Prozent weniger
Lohn, heiSt es welter in einer jet in Genf
veroffentlichten ILO-Studie. Zwar gebe es
mache es kaum einen Unter-
immer mehr Frauen, die auch in tiuBitionel-
schied, ob man in einem Industrie- oder in elnem Entwicklungsland arbeite. Selbst in den
len Mannerberufen arbeiteten. Dies beschränke sich aber auf schlecht bezahite Be-
es bel Frauen zwischen 50 mid
100 dzent mehr ohne Job a1
bei Mönnern.
42 Stunden in der Woche für unbezahite
Haus- und Feldarbeit aufwenden. Manner
reichen Indusiesthateflgébe
....
reiche. Vor allem in den armen Ländern
muilten Frauen zusätzlich zwischen 31 und
seien nur flinfbis 15 Stunden in der Woche
mit unbezahiter Arbeit beschaftigt Gleich-
zeitig wurden Frauen eher entlassen als
Manner. Besonders in industrialisierten Lam-
der sel die Arbeitsiosenquote oft doppelt so
hoch, heiSt es in der Studie.
31.07.96
10969 BERLIN
B
30.07.96
80331 MUENCHEN
Frauen: Immernoch
kein gleicher Lohn
Genf - Frauen arbeiten ein.viel groBeres Risiko, gezwar weitweit mehr als die feuert zu werden. Ihre
Herren der Schopfung, er- Chancen auf FUhrungspohalten aber für die gleiche sitionen sind scblechtet
durchschnitffich Fazit des ILO-Berichts: Die
Arbeit
immer noch 25 Prozent we- groBe Mehrheit der arbeiniger Lohn a]s die Männen tenden Frauen gehort zu
Das geht aus einer gestern den arbeitenden Armen.
prasentierten Stuclie der Sogar in den USA betrligt
Internationalen Arbeitsor- der Lohn von Frauen un
ganisation. (0) hervor. Durchschnitt 68 bin 70 ProAuBerdem Fren. haben zent des Mämer-Lohns.
BA
'Frtwen weitwelt miflachtet
ñ?-i..4eringere Löhne,
lüngere Arbeitszejten
und schlechtere Bildungschancen verhin-
dern weltwejt noch jiiimer die Gleichberechtjgung von Frauen im Be-
ru!, so dna Ergebnis einer Studie des Internationalen Arbeitsamtes
(1W). Für die meisten
Jobs aullerhalb der
Landwirfseh
erhalten
Frauen etwa drel Viertel
des Lohnes ihrer mann-
lichen Kollegen. Dabei
mache es kaum einen
Unterschied, ob man in
élnem Industrie- oder in
éinem Entwicklungs-
land arbeite. Selbst in
den reichen Industrie-
staaten gebe es bei Frauen zwischen 50 und 100
Prozent mehr ohne Jo1
ala bei Münnern.
Deutschland
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72764 REIJILINGEN
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33D76
werden weltiveit diskriminiert.
:Fiauen
Studie des Internationalen Arbeitsamtes vorgélegt _ Im Beruf gibt es keine Gleichberecbtigung
Genf. (dpa) Geringere Löhne, lãngere
rbeitszeiten und achlechtere Bildung-
thnncen verhindern weitweit noch burner
ie Gleichberec$igung von Frauen mi Beif Ds 1st das Ergebnis einer Studie des
nternationalen Arbeitsamtes (ILO), die am
*Jrnmer
'enstag in Genf vorgelegt
hv Frauen werden berufstàtig, doch lasn ste meist nur des Heer der in Axrnut
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ebenden Beru.fstAtigen anwaclisenic, meint
ie Autorin des Berichts, Un Lean Urn.
-in die meisten Arbeiten selen unterbehIt, unprdduktiv und oft auchgefäbrlich.
Für die meisten Jobs auflerhaib der Land-
rtschaft erhalten Frauen gerade drei
Tjertel des Lobnes ihrer m5nnlichen Kolle-
en. Dabei mache es kaum elnen Unter
chied, ob die Arbeit in elnem IndustrieFoto: prs
mid oder in einem EntwicklunIBnd "
Wettwett kein Untersched: IriChefetagen gehorenFraUefl zur Minderheit
chtet werde. *Die Schere schlieSt sich
in des Domini1nniSChefl Republik mit
icht'c, klagt die Studie.
fen Frauen dort, wo ale gléiches Geld für sich
Gelegenheitsiobs
dos NOtigste zum ber1eSelbst in den reichen Tndustriestaateil
gleichen Lohn erhalten und Sozia]gesetze
1en die Arbeitsiosenquoten für.Frauen zwi- helfen, Faniilie und Beruf in Einkbrng zu ben verdienten, lagen mit ihrem Einkom-
rhen 50 und 100 Prozent 1ber jenen des brg
nner. Ergattern Frauen einen guten Job,
8en ste kaum in die Spitzengruppe vOr.
sechs Prozent alTer Positionen im Top-
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men tinter des Armutsgrenze.
In Deutschland, Kanada und Australien
arbelten Manner und Frauen etwa die gleicite Stunden7hl, steilt die ILO-Studie est.
Tm EU-Land Italien aber wOrden Frauen
Noch werde die Diskrlininierung VOfl
tanagement seien von Frauen besetzt, Frauen etwa durch ilire Konzentration auf
bestimmte Berufe gefordert, steilt des e- rund em Viertel langer arbeiten als Mannd Lean Urn heraus.
feat. So seien45.Prozent alTer BeschM- ner, in Osterreich zwolf Prozent. Vor allern
Dennoch vezzeichnen die Frauen auch rlcht
Entwickhmgslandern batten Mãdchen
tigten
in den. USA, GroBbritaiinien und
Platz
tin
-eine Erfolge urn Kampf urn elnen
zudem
mit Diskrimlnierung imBildungsbeFrankreich
in
Berufen,
die
von
elnem
Geden
28
Indu
rbeitsrnarkt, vor allem in
zu kampfen. Dabei trage eine gute
e1ündem des OECD. In diesen Staaten schlecht bis zu 80 Prozent doninuert wUr- reich
Schulbildung nicht nur dazu bei, den Ver-ber audi in Lateinamerika und des Karl- den. In den Exportzonen des aufstrebenden dienst spOrbar zu erhöhen, sondern audi
asiatischen
Staaten
wurden
Frauen
ebenrnehr
1k, Offnen sich den Frauen mimer
i'cbnische Berufe und BeschaftigUflgen tin falls bis zu 80 Prozent des Arbeitskräfte die oft groBen Geburtenraten des armen
7erwaltungsbereich. Thre Chancen ergrei- stellen. Rund 70 Prozent alTer Frauen, die Lander zu senken.
T
España
E[PAIS.
BARCELONA
30 JUL.1996
P
Las mujeres trabajan más hOras quelos hombres y percibe
un 25% menos de salario,. segün denuncia la OTT
-
ANAFERNANDEZ, Ginebra
Apesardequeel45%deiasmuje-
causas principales de la pobreza y
de Ia mala calidãd del empieo fe-
ies entre 15y 64 afios son econó- menino.Yloqueespeor.lasdifemicamente activas, trabajan más -rencias no disminuyen. Michel
boras que los hombres y perciben Hansenne, director general de la
un 25% menos de salario por el Orrsentencia: ''La iguáldad de
anismo trabajo, segán ci informe oportunidades ye! trato en ci em-.
Másy inejores trabajospara hi mu- pico para la mujer estãn lejos de
jer-Unaguladeaccion, delaOfici- conseguirse en ci mundo".
na Iijternacional del Trabajo
Entre las formas más maiiifies(Ow), publicado ayer. El docu- tas de discriininación -por sexo
to, que es un seguiniiento de destacan los diferentes estOndares
Conferencia de Pekin sobre la de contratación y promoción,, la
inujer, y de Ia Cumbre de Ia Po- desigualdad en ci acceso a la forbreza de Copenliague de. 1995, macion y capacitaciOn permanenpone de relieve Ia discriminación te; acceso a los créditos y a otros
enlaeducaciónqueesunadelas
recursos produclivos; Ia diferencia
de retiibución per ci mismo trabaJo; Ia segregación ocupacioflal y,
Ia que en ci Tercer mundo las;
jeres trabajan hasta 10 horas
Ia desiguai participaciOii en la
quc los bombres y entre 31 y
horas de su trabajo no percibe
muneración alguna, frente a
toma de decisiones. Menos del 6%
de los puestos directivos en ci
mundo están ocupados per mujeres. Pero ci mejor resumen de esta
discriminaciOn es que ci 70% de
los pobres y el.65% de los anlfabetos son mujeres.
Segén ci informe, la segregadOn ocupacional continua siendo
ntáximo de 15 horas en ci case
los hombres.
alta en todas las regiones del mando, independientemente de los iiiveles de desarro]lo.
guen ofreciendo formaciOn "f:
nina" estereotipada, que unvit
las jóvenes a convertirse en m
nógrafas, enfermeras, costur
camareras.
En ci capitulo interminable de
discriminaciones; ci informe sefia-
La discriminación empi
pronto, afirma ci informe. Se
monte a las silfr'c y ala escuela.
cluso cuando hay una oferta
cativa, muchas instituciones
:pIjl.j.
GERONA
Fecha.
30-JUL.1996
Les donés treballenfins a deu hores més a 1
setmana que-els. homes perè guanyen menys
EFE
N Ginebra. Les dones treballen
fins a deu bores més a Ia selmana
que els homes perô els seus salaris
son entre un 50 i un 80% més
baixos, segons revela l'informe
presentat ahir a Ginebra per i'Organització Internacional del Terball (O1T) Ma I millor #eball per
a ks dones.
Aquesta discriminaciO salarial
anys sOn econàmicanient actives
actualment Segons L'OlT, aquest
fenomen augmenta a ffiesura que
Ia dona s'incorpora al mercat Iabond, la qual cosa ha fet dc manera significativa en les darreres
decades. Ai4, ms del 50% de
la poblaciO femenina dIs palsos
industrialitzats té an treball assalariat,-proporciO que favunt anys
era a Europa occidental del 37%
Les dones sOn tambO les més
afectades per la desocupaciO, que
en aiguns palsos industrialitzats Os
un 50 per cent superior a la dels
homes. 4(Tot I els avancos que
s'han experimentat I de tots els
Liii Lire, 4cres indica per aia
aquesta diferCncia s'estigui
discursos politics, la realitat és que
duunt*, realitat que es fa exte-
les áctivitats econOmiques de les
dones continuen concentrades en
modalitats de treball escassament
remunerat de baixa productivitat
a altres sectors econOmics i
pendentment del nivell de de
volupament del pals en qü
Segons Lire, aquestes dife
cies salarials es nodreixen r
discrIminaciO de què Os obj
Ia dona des de Ia unfància, a
cola, on en alguns paisos afri
és del 25% en els paisos indus-
trialitzats, segons l'OIT, que
i ais EUA del 30%. Es calcula,
a ntás, que set dels vuit milions
I duna gran precarietat*, afirma
I'autora de l'unforme, Liii Lim.
compta les vIctimes d'aquesta de-
de persones que es van uncoiporar
sigualtat per milions, ja que ci
45% de totes les dones d'edats
compreses entre els 15 i els 64
a! mOn del treball a Europa occidental entre ci 1980 i ci 1990
Un dels sectors economics amb
mOs grans diferències entre temps
Ireballat, salari isexe,Os l'agrIcola,
eren dones.
reben de mitjana remunera
que corresponen a tres qu parts del salari que reben els
mes per la mateixa feina. Se
on ci gros de les treballadores
ci tent per cent d'esco!ari
femenina no ha arribat miii a! -
Espafla
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i11Iu!iiIIIIu;I I
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30 JUL 1996
aS müjeres träbäjäñ
rnás y ganafl rnenos
que los hombres
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Diez horas más a la semana,segün
uninformede lä Organización -.
Jnternacionaid1 Trabajo
que en algutios palses industria-.
lizados es un 50% superior al de
INEBRA.Las mujeres trabajan Los varones. A pesar. de Los
Lian experirnenasta diez horasmása Ia semana .avances que
ue Los hombres. Sin embargo tadoy de todos los discursospoll-us salarios no son iguales:,exac- ticos in realidad es que las.actiamente entre un .5O..y un 80%. vidades cconómicas do las muje- MUNDO
is bajos. Lo dice ci Informe
- fás y mejores trabajospara Las
:uieres" presentado ayer. por la
rganización Internacional del
rabajo (Om, segün infonn
fecom.
rés siguen concentradas en
modalidacles de empico escasamente remuneradas, de baja pro-
ductividad y de gran precariedad*, afirma .la atora- dci informe, Lin Urn.
Esta discriminación salanal es
el 25% en los palses industria- scoGmcoi.A.- Uiossecizados, que çuenta Las victimas tores ccondmicos con niayorcs
e era desigualdad por mfflone diferdncias entre .tiempo. trabajaa que ci 45% de todas Las muje- do, salario y sexo, es ci agricola..
es con edades entre los 15 y 64. En 61, la mayor parte de las tra
ños son econdmicamente acti- bajadoras perciben :en promedio,
'as en La actualidâd en eLmundo. remuneraciones que correpon-
gtin 1a O1T, este fenómeno
umenta a medida que La mujer
incorpora a! mercado laboral,
o que ha hecho de forma crcentc en las tSltimas d6cadas.
sI;rns del 50% de Ia población
emenina de Los palses industriaizados tiene un trabajo asaIaria
den a tres cuartos dcI' saLario
pagado a los hombres por ci mis-
mo trabajo. Segdn Iim, .-Knada
indica por ahora que esa dife-
rencia se este reduciendow, rca-
lidad que es extensiva a otros
sectores económicos indepen-
COVER
Doe
mujerss trabajando en Un qufrófano, en una Imagen do archivo
dientem'nte del niveL de Ia Off, Michel Hansenne, opine
'0, proporción que hace veinte desarrollo del pals en cuestión. que *La igualdad de oportunidaños era en Europa occidental En su opinion, esas diferencias des y de tratro para las mujeres
'ci -37% y del 30% en EEUU. salariales se nutren de La discri- en ci einpleo sigte siendo una
calcula además que siete de minaciOn que sufre La mujer des- .meta que hay que esforzarse por
os ocho millones de personas de Ia infancia y a partir de La alcanzar en todo ci mundo*.
4cEn España las mujeres
'c se incorporaron al mundo propia escuela, por La que nunca
cobran
de media un 30% menos
pisaron
más
dcl
90%
de
las
rnñas
't'1 trabajo en Europa occidental
.n ci perlodo 1980-1990, eran de muchas naciones africanas y que ci salario de Los hombres,
en un mismo trabajow, afirma
asiIticas. '.
ujeres.
No es de extrañar qüe con este Soledad Ruin Seguin, responsaLas mujeres .son también las
panorama ci propio director de ble dcl Departamento de La
s afcctadas pqr ci desempleo,
.
-
Mujer de UGT. Además, ci saLa-
rio inedio femenino en comparaciOn con ci masculiho en Los
paIses de la UniOn Europea es:
En .Espafia y eL Reino Unido,
70%; en Luxemburgo, 65%; en
Irlanda, 69%; eLi BéLgica, 75%,
en ALemania y Portugal, 76%; en
Finiandia y PaIses Bajos,77%;
Grecia y Austria,, 78%; Italia,
80%; Francia, 81%; Dinamarca,
83% y Suecia, 89%..
Espafla
EL Du DEL
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Fa 30 JUL.1996
Las mujeres trabajan
más y ganan menos
que los hombres
Diez horas más a Ia semana, segün
un informe de Ia Organización
Internacional del Trabajo
/
ELMUNDO
hasta diez horas mis a Ia semana
quc en algunos pulses industrializados es Un 50'4 superior ai de
los varones. A pesar de los
avances que se han experimcn-
que los hombres. Sin embargo
tado y de todos los discursos poli-
sus salarios no son iguales: cane-
ticos. In realidad es que las actividades cconómicas de las muje-
GINEI3RALas mujeres trahajan
tamenic entre Un 50 y un 80%
mis hajos. La dice ci informe
rca siguen concentradas en
"Mis y mejores trabajos para las
mujeres" presentado aycr por Ia
modalidades de empieo escasamente remuneradas. de baja pro-
Organizaciin lnternacional dcl
Trabajo (OIT). segun informa
ductividad y de gran precaricdad'. afirma Ia autora dcl infor-
Efecom.
me, Lin Lim.
Esta discriminaciin salarial es
del 25C/r en los paises industrializados. que cuenla las victimas
de esa desigualdad por millones.
ya que ci 45% de todas las muje.
rca con edadcs entre los 15 y 64
años son cconómicamente acti-
Segun Ia OIT. este fenimeno
den a tres cuarlos del salarlo
aumenta a medida quc Ia mujer
se incorpora al mercado laboral.
pagado a los hombTes par el mismo trabajo. Scgin Urn. nada
Ia que ha hecho de forma crcciente en las iltimas dicadas.
indica par ahora que esa dife-
Sc caicula ademis que siete de
los ocho miliones de personas
que se incorporaron al mundo
del trabajo en Europa occidental
en el periodo 1980-19')O. eran
mujeres.
Las mujeres son tambiën las
mis afectadas par ci desempleo.
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tores econimicos con mayores
vas en Ia actualidad en ci mundo.
dci 37% y del 30% en EEUU.
a.
sroftAGIcou. Unodelossecdiferencias entrc tiempo trabajado. salario y sexo. cs ci agricoia.
En dl. Ia mayor parte de las trabajadoras percibcn en promedio.
rcmuncraciones que correspon-
Mi. mis dci 50% de Ia pobiación
femenina de los paiscs industrializados tiene un irabajo asalaria.
do. proporción que hace veinte
años era en Europa occidental
,
rcncia se este rcduciendo*. rca-
lidad quc es extensiva a otros
sectores econdmicos indepen-
dientemente dcl nivel de
desarrolio dci pals en cuestión.
En su opinion. esas diferencias
salariales sc nutren de Ia discriminaciOn que sufrc Ia mujer des-
de Ia infancia
a partir de Ia
propia escucla. par Ia que nunca
pisaron mis dci 90% dc las niias
de muchas naciones africanas v
asiiticas.
No es dc cxtrañar que con este
panorama ci propio director de
lmag.n di arclilvo di una muj.r tiabajando
Ia Oil'. Michel Hansenne. opine
que "Ia iguaidad de oportunidades y de tratro para las mujeres
en el empieo sigue siendo una
Mujer de UGT. Ademis, ci asiario mcdio fcmenino en comparaciOn con ci mascuilno en los
paiscs de Ia Union Europea Cs:
meta que hay que esforzarse par
alcanzar en todo ci mundo.
En Espana y ci Reino Unido.
"En Espana las mujeres
70%; en Luxemburgo. 65%: en
Irlanda. 69%; en Edigica, 75%.
cobran de media un 30% menos
en Alemania y Portugal. 76%; en
que ci salario de los hombres.
en un mismo trabajo*. atlrma
Finlandia y Paises Bajos77%:
Soledad Ruiz Seguin, rcsponsa.
80%; Francia. 81%; Dinamarca.
bIn dci Departamento de Ia
Orccia y Austria. 78%; ftaiia,
83% y Suecia. 89%.
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LA RIOJA
LOGROo
30 JUL.1996
Las mujeres tmbajan
más qUe los hPn*es y
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Segthi la OlTthda vez hay máifrabajadoras,
peroengroTan la nómica de kis emplëadospobres
COLPISA. GINEBRA
:
Las nnieres trabajan mäs horas que sus colegczs masculinos yen
canthio sits ietnl,ucjones son, enttnninos niedios, un 25% inferio-..
res en Cl mundo. No obstante, las'trabajadoras son nids numerosas
actualmente en profesiones tradiciônahnente dominadas por los
hombn segán informa la Orgw iEaciónintemixjo, del Trabajo.
TMCada vez hay más mujerés que ties cüartas partés lel salarià de
un
trabajan, pew Ia gran mayoria de iombre por el mismotrabajo, exellas se suma a las filas de los tra- duida de Ia agricultura. Esta desibajadores pobre", escribe Un Urn, guàldad es vâlida tanto para los
autora de un Informe que seth cia- pafses Industrializados como en vido a conocer miflana por Ia agen- as de desarrollo, diferenda que
no
cia de las Nadones unidas espedadlsmlnuye. Las princijiales victilizada en cuestiones laborales y mas de Ia xecesión de lo años 90,.
sociales, la OIl. "La mayorIa de las mujeres desocupadas, son enellas ocupan empleos precarlos, tie un SOy tin 100% más
ma! remunerados y de débil.pro- .. sas que los hombres numeroen muchos
ductividad", aflade.
Las mujeres representan el.70%
de los pobres en el mundo y el
pulses industhalizados.
Las mujeres sôloocupan el 6%
de los cargos de altos ejecutivos
end mundo. En America del Nor-
6S% de los mil 'nhlonesde iletrados, segün el informe "Más y mete Europa y Japon; el doble de
jor pam el empleo de las mujeres, mujeres que de hombres paso
a
una gula pam Ia acción". EL estu- formar de Ia pobladOn
activa
endio, de casi 200 páginas, es tin do- tie l980y 1990. Mientras
tanto,
cumento de seguimiento de Ia enel Sudeste y el Este de Asia, las
conferencia mundial de las muje- niujeres répresentan hasta el 80%
res organizada el aflo pasado en de las personas empleadas
en las
PekIn y de la cumbre
social de Copenhague de 1995.
Más del 45% de las mujeres en
el mundo, cuyas edades &scilan
entre los IS y los 64 anos; traba.
jan: representan actualmente más
de Ia mitad de Ia pc$blaciOn activa
industrias explotadoras.
El estudio de Ia OIl apreda, sin
embargo, algunos.progresos, sobre
todo en los pulses industrializados.
AsI, existe una neta tendencia a
una mayor representaciOn de las
mujeres en cargos cualificados: dien los palses industrializados, recdOn,
ejecutivos, técnicos, admifrente al 37% en Europa
occidental y el 30% en Estados Unidos hace 20 aflos, segün el BIT. El Informe destaca que mayoria de las mu-
jeres solo ganan de prornedlo las
mstradón, y algunas ilegan inclu-
so a la cumbre de Ia jerarquIa.
En Estados Unidos, ha aumentado
el nümero 'de mujeres que crean
empresas.
España
LA CRONICA
AUERIA
30 JUL:!996
Se calcula adeinás que siete
de los ocho milbones de perso-
nas que so incorporaron al
mundo del trabajo en Europa
occidental en ci perfodo 1980-
Las mujéres
1990 eran mujeiies.
Las mujeres son tambiCn
trabajan mds
ganan menos
-. las más afectadas por ci
desempleo, que en algunos
palses industrializados es un
50% superior a! de los varo-
.que los hombres
nes.
"A pesar de los avances que
se han experirnentado y de
todos los discursos politicos, Ia
malidad es que las actividades
EFE
.GINEBRA,
económjcas de las mujeres
Las mujeis tiabajan hasta diez
horas más a Ia semana que.los
hombies pert, sus salarios son
siguen concentrada en moth-
bajos, segiin ci infonne "Más y.
mejoics Irabajos para las mujeres" piesentado ayer lunes por
Ia Organizacion Internacional
del Trabajo (O11).
anna Ia autora del informe,
iâflhiflL
lidades de empleo escasamente
lemuneradas, de baja producti-
vidad y de gran precariedad",
enu un 50% y un 80% más
Uno de los sectotes econó-
Esta dismcjónjal
esdel25%enlospafses.jn
trializados, indica la Orr, que
cuenta las vlctimàs de esa desi-
gualdad por millones,ya.que
ci 45% de todas las mujeres
con odades entre los 15 y 64
micos con mayores difezencias
entie tiempo. trabajado, salaiio
y sexo, es ci agricola, donde Ia
mayor pane de las trabajadoras
peiviben en promedio remune-
racioncs quc corresponden a
-
lies cuartos del Salario pagado
a los hombres por ci mismo
trabajo.
alios son económjcamente
Segdn Lim, "nada indica
activas en Ia actualidád en ci
per thom que esa difezencia se
estt teduciendo", realidad que
Segün Ia On, este fenómeno aumenta a medida que Ia
Cs
mujer so incorpora a! mercado
mente del nivel de desarrollo
laboral, b que ha hecho de
fonna significativa en las dlii-.
del pals en cuestión.
En su opinión, esas diferen-
mundo.
mas decades.
AsI, más del 50% de la
población femenina de los pal-
extensiva a otros sectores
cconómicos independiente-.
-. cias salariales se nutren de 1a
-discriminacidn que sufre la
mujer desde la infancia y a
que hace veinte años era en
partir de Ia propia escuela, por
Ia que nunca pisaron más del
90% de las niñas de muchas
Europa occidental del 37% y
naciones africanas y asiátjcas.
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trabajo asalariado, proporcion
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las mujeres trabajan mas
horas que los hombres
cobran menos de la mitád
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Las mujeres trabajan. hasta
diez horas .más a Ia semana
de.los palses industrializados
tiene un trabajo asalariado, pro-
porolón que hace veinte afios
era en europa occidental de137
quo los hornbres pero sus sala- - por ciento y. do! 30 por ciento
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Se calcula àdemásque siete
ciento más bajos, segUn el iri
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ayer por Ia OrganizaciOn Internacional del Trabajo (Ol
Esta discriminaci&i salanal
es del 25 por ciento en !os pal-
ses industrializados, Indica Ia
quo se incorporaron at
:mundo' del trabajo en Europaoccidental en el peri'odo 19801990 eran mujeres.
Las mujores son tamblén las
más afectadas por el desem-
OIT, que cuenta las vIctimas de
.pIao, que en algunos palses in-
esa desigualdad por millones,
ya que el 45 por. .ciento de to-
ciento superior al de los varo-
dustrializados os un 50 por
das las mueres con edades
nes.
entre los 15y 64 afios son económicarnente activas en Ia actualidad en el mundo.
micos con mayores diferencias
entre tiempo trabajado, alario
SegUn Ia QIT, este fenómeno
äumentaa medida que Ia mujer
so incorpora. al mercado labo-
Uno de los sectores econó
y SeXO, Os el agricola, donde Ia
mayor parte de las trabajadoras
perciben en proniedio remune-
ral, lo que ha hecho de forma
significativa en las iltimas dé-
raciones que corresponden a
ciento do la poblaciOn tenernina
bajo.
tres cuartos del salàrio pagado
cadas. Asi, más ael 50 por a los hombres por el mismo tra-
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AVILES
ELCOMERcIO
30 JUL1996
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Lasmues
Las mujeres
menos
y traajan
más horas
EFE. Gebra
Las mujeres trabajan hasta
diez horas más a Ia semana
que los hombres. pero sus salarios -son entre un 50y un 80
por ciento mas bajos, segUn el
informe .cMás y mejores trabajos para las mujeres*,presentado ayer par Ia OrganizaciOn Intemacional del Trabajo (Oil).
Esta discriminación salarial
es del 25 por ciento en los pal-
ses industrializados, indica Ia.
OIT, que cuenta lasvlctimas de
esadesigualdad por millones,
yaque el 45 por ciento de todas
las mujeres con edades entre
los 15 y64 allos son econOrnicamente activas en Ia actualidad en el mundo. Segtn Ia Off.
este fenOmeno aumenta a me'dida que Ia mujer se incorpora
al mercado laboràl, Jo que ha
hecho de formasignificátiva en
las Ciltimas decadas. Más del
50% de Ia poblaciOn fenemina
de los palses industrializados
tiene un trabajo asalariado,
proporciOn que hace veinte
altos era en Europa occidental
deI 37% y del 30% en EEUU.
cobran Un 25%
menos que
los hombres,
segün Ia OIT
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strabjaninás horas
que sus colegas mascu]inos y
en cambio sus retribuciones
son, en térxninos medios, un
25% inferiores en ci mundo.
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son más numerosas actualrnente en profesiones tradicio-
nalmente dominadas por los
hombres, segn informa Ia
OrganizaciOnlntemacioiial del,
abajo (Ofl.
Cada vez hay rnás mujeres
que trabajan, pero la gran
inayorIa de ellas se suina a las
filas de los trabajadores
pobres, escribe LinLim, automdc un informe que será dado
a conocerinaiiana por la agen-
cia de las Naciones unidas
especializada en cuestiones
laboralesysociales,laOlT. La
mayorIa de ellas ocupan empleos precarios, inal remunerados
y de débilproductividad*, afia-
de. Las mujeres representan
ci 70% de los pobres en ci
mundo y el 65% de los mil
millones de iletrados, seg*n ci
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DIARIO DE JEREZ
MADam
Fecha
30 JuLig9
15 ABO. 1996
EMPLEO FEMENINO: UGI'
redama medidas para Ia
La población femenina..
igualdad de oportunidades
El sindicato UGT exge a! gobierno ha adopción de mcdidas que avancen en la-supresión de las desigualdad laboral entre hoinbrcs y mujeres,
segdn un comunicado emitido
ayer pore! sindicato. De
acuerdo con ci üitimo informe
de ha Organizacida Internacional del Trabajo (Off), las
trabajamisy
gana menos que Ia
Las mujeres trabajan rfiás
horas que sus colegas masculinosy en cambio sus retribucio-
nes son, en terminos medios,
un 25% inferiores a nivel mun-
dial. No obstante, las trabaja-
doras son más numerosas
mujeres trabajmás horas a
actualmente en profesiones
tradicionalmente dominadas
la semana que los hombres y
siguen percibiendo un 30%
menos de salario que éstos, lo
que convierte a Espaa en ci
pals de La Union Europea con
mayor diferencia salariaL
por los hombres, seg1n informá
la Organizacidn Internacional
del Trabajo (OIT). El estudio
viene a ser un seguimiento de
Ia conferenciade Pekfn que se
organizó el año pasado.
EL4'DIADELMUNIX
,'alma de MãlkirFecha. 3
Oj UI.
1996
Las mujeres que trabajan
,yeJfin de la retórica.
El informe de Ia Organización Jnternacional del
Trabajo (Ofl) presentado
aycr aporta upàto que no.
de obra femenina igual
que Ia hifantil porque
resultaba más barata que ha
masculina. Es indudable
por ser archisabido resulta
menos lacerante: las mujeres trabajan más horas que
que la situaciOn de la
menos. En los palses mdustrializados esta discrimina-
recorrer as adn enorme. El
informe sefiala, con escepticismo, que esta desigualdad so produce tca pesar de
los avances y de todos los
mujer trabajadora ha rnejorado mucho, pero no Jo es
los .hombres y cobran menos que ci trecho por
don salarial Jiega hasta el
25%, una cifra que apenas
ha descendido en las ditimas d6cadas. Bien so dirla
que Ia filosofia de las con-
trataciones laborales se
asemeja a ha que prevaleciO
discursos polIticos>. Dc
bien poco sirven las declaraciones de intenciones si
no so acompanan de mcdi-
en ha primera revolucidn 'das que erradiqueñ de una
industrial. Entonces se vez por todas esta injusta
comcnzd a Utili7JIr Ia mano
lacra.
Espafla
SIUorte kn6tiUe
VALLADOLID
3OJUL 1996
Is mujeres. cObrafl u.n 25% menos
ue los hbmbres, segün Ia OIT
davéz hay más trabajadoras, pero engrosan las fila .de los empleados pobres
muleres trabajan mis horns quo sus
egas mascuflnos yen camblo sus
dbuclones son, en t&nilnos medlos, un
% Inferlores Ofl 01 mundo. No obstante,
-.
las trabajadoras Son mis numerous
actualmente en profeslones
tradiclonalmente dominadas por los
hoinbres, sogUn Informa Ia Organlzacl6n
.
Intemaclonal dot Trabajo (OtT).. Un
Informe destaca quo mayorla do las
mujeres ocupan empleos precarlo., mat
remunerados y do debit productividad.
GINEBRA.
rCada vez hay. mds mujeres.
! trabajan, pero Ia gran mayo-
deellasseswnaalasfilaSde
- trabajadores pobrw, escriLin Urn, autora tie un inforque será dado a conocer hoy
r la agenda tie las Naciones
- ida3 especializada en cues-
nes laborales y sociales, Ia
IT. .La mayorla de ellas ocun empleos precarios,, malreunerados y de débil.producti-
'Iqd, aade.
Las mujeres representan el
% tie los pobres en ci mundo
ci 65% delos mil millones de
trados, se1ln el inorme Mds
mejor para ci ampleo dé las
ujeres, una gula para la acon. El estudio, de casi 200 pa-
nas, es un documento de Se-
'imieilto deJa conferencia
undial de las mujeres organida ci año pasado en Pekin y
La cumbre social de Copengue de 1995.
Más del 45% dc las mujeres
- eimundo, cuyas edades osciii entre los .15 y los 64 afios,
abajan: representan actual-
ente más de.lamitad de la polación activa en Los palses inustrializados, freñte al 37% en
uropa Occidental y ci 30% en
£tados Umdos hace 20 afios,
gün ci BIT..
IguaIdad satarlal
El inform destaca que maoria tie las mujerçs sdlo ganan
e promedlo las tres cuartaS
artes del salario de un hoznbre
r ci mismo trabajo, excluida
- agricultura. Esta desigualdad
-ç válida tanto para los paises
Una mujer vietnamlta realizando tareas agrIcolas. Foro EL NoRm
industrializaIos corno en vias
de desarrolló, diferencia que no
disminuye.
Las principales vfctimas de Ia
recesitin de 10 afios 90, las müje-
res. desocupadas, son entre un
50 y Un 100% rnás numerosas
que los bombres en muchos palses industrializados. Asimismo,
las mujeres stiIo ocupan ci 6%
de los cargos tie altos ejecutivos
en ci mundo. En .Arn6rica del
Norte Europa yJaptin, ci doble
de mujeres que tie hombres
paso a formar tie la pobiaciOn
activa entre 1980 y.l990. Mien-
tras tanto, en ei Sudeste y ci
Este de Asia, las müjeres representan hasta ci 80% de las jersonas empleadas en las industrias expiotadoras.
tLa industrializaciôn basada
en in exportación y in competitividad demuchos palses en desarroio reposa en Ia inano de bbra
femenina, relativamente barata,
destaca Micbei Hansenne, director general tie Ia O1T.
El estudio aprecia, sin embargo, algunos progresos, sobre
todo en los palses industrializa-
dos. AsI, existe una neta ten-
denciá a una mayor representa-
citin de las mujeres en cargos
cualificados: direcciOn, ejecutivos, tOcnicos, administrcitin, y;
algunas ilegan incluso a Ia cumbre de la jerarquIa.
En EEUU, ha aumentado ci
ntimero de mujeres 'que crean
empresas. Por lo demás, mu-
chos palses del Norte, pero tambiOn del Sur, han adoptado legislaciones sobre igualdad retñbutiva, de manera las condiciones ban mejorado para permitir
a las mujeres conmpatibilizar
profesiOn y familia.
Espafla
EL DRIO \SCO
SAN SEMSTIAN
Fecha.
30 JUL.1996
Las mujeres trabajan más tiempo
y ganan menos qUe los hombres
Sus salarios son entre tin 5Q% y un 80% más bajos, segün la Organización del Trabajo
AGENcZ&.
GINEBRA
presentado ayer por Ia Organación Intemaclo-
Las mujeres trabajan hasta dkez horas más a Ia
nal del Trabajo (On). Esta discflminaciOn salariai
es del 25% en los paises Wduslrlaiizados, indica
Ia O11, que cuenta las vlctimas do esa desigual-
mujeres con edades entre los 15 y 64 afios son
economicamente activas en Ia actualidad. Segón
Ia OIl, este fenómeno aumenta a medida quo Ia
mujer so incorpora al trabajo, lo quo ha hecho
dad per miilones, ya quo el 45% do todas las
do foirna sbgn'dtcallva en las Ottimas décadas.
semana que los hornbres pero sus saatios son
ernie Un 50% y un 80% rnás bajos, segOn el m.
forme 'Más y mejores trabajos para las mujeres'
MOS del 50% de Ia poblaciOn fe-
menilna de los paises industrializados tiene un trabajo asalariado. proporcion que hace veinte
anos era en Europa occidental del
37% y del 30% en EE UU. Sc Ca!cula ademñs que siete de los ocho
Las mujeres
Más do 45% do las mujeres
yëI trabajo
del5 a 64 años tienen
una actividad laboral
Las mujeres
recthen salanos
que son 25%
infenores
inillones de personas que se incorporaron al mundo del trabajo
en Europa occidental en el perlo-
aJ de
do 1980-1990 eran mujeres.
25%
Las mujcres son también las
más afectadas por el desempleo,
que en algunos palses indus-
'r
los hombres
(en promedio
en el mundo)
trializados es un 50% superior al
de los varones. -A pesar de los
avances que se han experimen-
70% de las
las personas
quo viven
tado y de todos los discursos politicos. Ia realidad es que las actividades econOrnicas de las mujeres
siguen concentradas en modalida-
en situadón
de extrema
pobreza
des de empleo escasamente remuneradas. de baja producthidad
y de gran precanedad-, afirma Ia
autora del informe. Un Jim.
Uno de los sectores ecnndmieos
65%
de los 1.000
millones do
anaffabetos
en el niundo
son
mujeres
tiempo trabaado. sala b v sexo,
es el agricola. donde Ia mayor parte de las trabajadoras perciben en
promedbo remuneraciones que
corresponden a tres cuartos del
salaiio pagado a los hombi s por
da indica par ahora que esa diferencia Se esté reduciendo-. realidad que es extensiva a otros seetores econOmicos independiente-
mente del nivel de desarrollo del
pals en cuestiOn.
En su opiniOn. esas diferencias
salarfales se nutren de Ia discriminaciOn de Ia mujer desde Ia infancia v a partir de La propia escuela.
par Ia que nunca pisaron más del
Actualmente
son mujeres
con inayores diferenci:s entre
el mismo trabajo. Segün Urn. -iia-
Haca 20 arias
Aw
pobreza. -Discriminación en Ia es-
cuela y consecuentemente también en La ida laboral-. subrava
Urn. que cita entre otras forrnas
90% de las niñas de muchas na-
flagrantes de discriminaciOn en el
mercado de trabajo la desigualdad
en Ia contrataciOn y Ia promociOn
s' en el acceso a Ia fonnaciOn y a
Ia readaptaciOn pmfesional.
Completan esa relaciOn Ia dls-
ciones afiicanas v asiOticas.
criminaciOn de las mujeles a Ia
El resultado es que las mujeres
representan el 65% de Ia poblaciOn mundial analfabeta v el 70%
de Ia que ive en el umbra! de Ia
hora de acceder a créditos y a
otros recursos productivos, Is desigualdad en Ia 1emuneraciOn par
igual trabajo y Ia exclusion en el
Las mujeres Las mujeres
representan trabajan por
de65a90% to menos 2 horas más
de los empleos por semana quo los
a tiempo parcial hombres y con
de los 28 paises do Ia OCDE frecuencia 5 a 10 horas
más.
--
La tasa do desempleo do las mujeres es de 50 a 100%
supeor aide los hombres (en 2i3 de !ospaisesAdustñeJizados)
proceso de toma de decisiones.
Para ilustrar esas afirrnacbones,
Urn cita entre otros ejempios que
el 80% de Ia fuerza de trabajo en
las zonas francas de exportaciOn
en Asia está constituida par inujeres y que el '71% de las trabajadoras de America Latina y Caribe
factura están ernpleadas como
obreras y operadoras. mientras
que sOlo el 5% ocupa puestos profesionales y técnicos ' un 2% cargos adrninistrativos y de direcciOn.
En todo el rnundo se calcula
se concentra en el sector de los
sericios. Incluso en los sectores
mejor remunerados. las muieres
que las mujeres. que representan
ci 40% de La fuerza laboral inundial. solo ocupan el 1696 de los
puestos de gestiOn y menos del
6% de Ia cOpula de direcciOn. Li
ocupan los niveles In±èriores de Ia
OfT opina que -Ia igualdad de
escaladesalarios.
As!. cerca de dos tercios de las
mujeres empleadas en La manu-
oportunidades y de trato pars las
niujeres en ei empleo sigue siendo una meta par alcanzar..
Espafla
LaOph1I6
3OJLIL 1996
Las mujeres trabajan hasta diez horas más a Ia
semana que los hombres pero sus salarios son entre un 50 y un 80 por ciento más bajos, segün el
informe 'Más y mejores trabajos para las mujeres" presentado ayer por Ia Organización Intemacional del Trabajo (Off). Esta discriminación sa-
lanai Cs del 25 por ciento en los paIses industrializados, indica la Off, que cuenta las victimas de
esa desigualdad por millones, ya que el 45 por
ciento de todas las mujeres con edades entre los
15 y 64 aiios son econdmicainente activas en la
actualidad en el mundo.
Irabajar más, ganar menos.
Un informe de la OrganizaciOn Internacional del Trabajo revela que el 50% de Ia poblaciOn
fern enina tiene empleo pem con mayor jornada laboral y salario menor que el de los hombres
GINEBRA (Ere)
Segün Ia OIT. cste fenómeno
aumenta a medida que Ia mujer
se incorpora al mercado laboral, lo que ha hecho de forma
significativa en las Oltimas décadas.
AsI. más del 50 pot ciento de
Ia población femenina de los
palses industrializados tien un
trabajo asalariado. proporción
que hace veinte aflos era en Europa occidental dci 37 pot cien-
to y del 30 pot ciento en EE
IJU.
Se calcula además que side
de los ocho millones de perso-
nas que Se incorporaron a!
mundo del trabajo en Europa
occidental en ci periodo 19801990 cran mujeres.
Las mujeres son también las
más afectadas por ci desempieo. que en algunos palses in-
dustrializados es un 50 pot
etdnto superior ai de los varones.
.A pesar de los avances que
se ha experimentado y dc todos los discursos polIticos. Ia
realidad es que las actividades
económicas de las mujeres Si.
guen concentradas en modalidades de empleo escasamente
remuneradas. de baja producti-
vidad y de gran precariedad.
utirma Ia autora del iniorme.
Lin Lim.
Uno de los sectores económicos con mayores diferencia.s
entre tiempo trabajado. salario
y sexo. Cs ci agricola. donde Ia
mayor parte de las trabajadoras
perciben en promedin remune-
raciones que corresponden a
tres cuartos del salario pagudo
a los hombres pot ci mismo trabajo.
Segdn Lim. nada indica pot
ahora que esa diferencia se estã
reduciendo". realidad que es
extensiva a otros sectores eco-
Las mujeres trabajan inás horas y cobran nienos que los hombres
En su opinion. esas diferencias salariales se nutren tIe Ia
discriminación que sufre Ia mu-
jer desde Ia infancia y a partir
de Ia propia escuela. pot Ia que
nunca pisaron más del 90 pot
ciento de las niñas de muchas
naciones africanas y asiáticas.
El resuitado es que las mujeres representan el 65 por ciento
de Ia población mundial analfa-
beta y ci 70 por ciento de Ia
que vive en ci timbral de Ia ppbreza.
Discriminacidnen Ia escueIa y consecuentemente tanibién
en In vida lahoral. subraya
Lim. que cita entre otras formas flagrantes de discriminacitIn en el mercado de trabajo
Ia desigualdad en Ia contratación y Ia promociOn y en ci accesri a Ia formación y a Ia rca-
nómicos independientemente
del nivel de desarrollo del pals
daptación profesional.
en cuestión.
discriminaciOn de las mujeres a
Completan esa reIación Ia
Ia horn de acceder a créditos y
a otros recursos productivos. Ia
desigualdad en Ia remuneracitIn
pot igual trabajo y Ia exclusiOn
en el proceso de soma de dccisiones.
Para ilustrar esas afirmaciones. Lim cita entre otros ejempbs que ci 80 pot ciento de Ia
fuerza de trabajo en las zonas
francas de exportación en Asia
está constituida por mujeres y
que el 71 pot ciento de las Irahajadoras de America Latina y
Caribe se concentra en ci sector
de los servicios.
incluso en los sectores me jot
remunerados. las mujeres ocu-
pan los niveles inferiores de Ia
escala de salarios.
AsI. cerca de dos tercios de
las mujeres empleadas en Ia
manufactura están empleadas
como obreras y operadoras.
mientras que sOlo ci 5 per ciento ocupa puestos profesionales
y tCcnicos yun 2 por ciento
cargos administratiyos y de dirección.
En todo eI mundo se calcula
que las mujeres. que representan el 40 per ciento de Ia fuerza
laboral mundial. solo ocupan ci
16 por ciento de los puestos de
gestiOn y menos del 6 pnr ciento de Ia c6pula de dirección.
No es de extrañar ante ese
panorama que ci propio director general tIe In OtT. Michel
Hansenne. opine que la igual.
dad de oportunidades y de tram
para las mujeres en ci empleti
sigue siendo una meta que hay
que esforzarse pot alcanzar en
todo el mundo,.
MOxime cuando .la fuerza
laboral femenina. relativamente
harata. ha servido de piedra angular para Ia industriaiizaciOn y
Ia competitividad internacional
en muchos paises en desarroho'. agregó Hansenne.
Espaila
FAR° BE V1GO
.
Fecna
viGo
30 J VI. 1996
Segün el informe de la Organización Intemacional del Trabajo, presentado en Suiza
La poblaclén fomenina mundial trabaja
más y gana menos quo Ia masculina
esa desigualdad por miltones, ya que ci
45 por ciento detodas las mujeres entre
sue salarlos son entre un 50y un 80 por
uMasymejorestrabalosparalasmUje..
resN presentado ayer por Is Organización intemacional del Trabajo (Off). In-
ciento mae bajos, segün ci informe
diOflquecuentaiasvictimasde
activas en Ia actualidad en ci mundo.
mujeres trabajan hasta diez horas
más a Ia semana que Los hombres pero
ILas
los 15 y64 años son econômicamente
I GINEBRA
Ia OIT este fenómeno aumenta a medida
que Ia mujer Se incorpora al meitado laboral, lo
que ha hecho de forma significauva en las ültimas décadas.
Asi, más del SOpor ciento de
Ia población fenemina de los pa-
Segün
Ises industrializados tiene un
trabajo asalariado, proporción
que hace veinte aflOs era en Eu-
ropa occidental del 37 por dentoy del 30 por ciento en EE UU.
Se calcula ademés que siete
de los ocho millones de personas que se incorporaron a! mun-
do del trabajo en Europa occidental en ci perlodo 1980-1990
I
'
eran mujeres.
Las mujeres son también las
mds afecrrJs por ci desempleo,
que en algunos paises industria-
lizados es un 50 por ciento superior al de los varones.
"A pesar de los avances que
se han experimentado y de todos los discwos politicos, Ia ie-
alidad es que las actividades
económicas de las mujeres siguen concentradas en modalidades de emplco poco remuneradas, de baja productividad y de
gran precariedad", afirma La autora del informe, Liii Lint
Uno de Los sectores económicos con mayores diferencias
entre tiempo trabajado, salario y
sexo, es ci agricola, donde Ia
mayor parte de Las trabajadoras
perciben en promedio remune-
raciones que corresponden a
tres cuartos del salario pagado a
los hombres porel mismo trabaJo.
Segtin Lim. "nada indica por
ahora que esa diferencia se esté
reduciendo", realidad que es cxtensiva a otros sectoreS económicos independientemente del
nivel de desarrollo del pals en
cuestión.
En su opinion, esas diferen-
cias salariales se nutren de La
M.AwAAcHrvO
Las m4.ras, como cads
o, ocs pusitos mis ingratoed. I.s.stadsslthoralss.
discriminacidn que sufre Ia muicr desde Ia infancia y a partirde
promociOn y en ci acceso a Ia
forinaciOn y a Ia readaptaciOn
Ia propia escuela. por Ia quc
nunca pisaron más del 90 por
ciento de las niflas de muchas
profesional.
naciones africanas y asiáticas.
El resultado es que las mujetes representan el 65 por ciento
de La población mundial analfabetay ci 70 por ciento de Ia que
vive en el umbra! de Ia pobreza.
"DiscriminaciOn en Ia escueIa y consecuentemente tanibién
en Ia vida laboral', subraya
Lim, que cita entre otras formas
flagrantes de discriminaciOn en
el mercado de trabajo La desigualdad en Ia contratación y Ia
Para ilustrar esas afirmaciones, Lim cita entre otros ejempbs que ci 80 por ciento de La
fuerza de trabajo en las zonas
francas de exportaciOn en Asia
está constituida por mujeres y
que ci 71 por ciento de las trabajadoras de America Latina y Canbc se concentra en ci sector de
los servicios.
En todo ci mundo se calcula
que las mujeres, que representan ci 40 por ciento de Ia fuerza
laboral mundial, sOlo ocupan el
16 por ciento de los puestos de
gesdOn y mcnos dcl 6 porciento
de lacOpulade direcciOn.
No es dc extrañar ante ese
panorama que el propio director
general de Ia Olt Michel Hansenne, opine que "Ia igualdad de
oportunidades y de trato para las
mujeres en el empieo sigue
siendo una meta que hay que esfoizaxse per aicanzar en todo ci
mundo".
Máxime cuando "Ia fuerza
laboral femenina, relativamente
barata, ha servido de piedra angular pam Ia industrializacidn y
La competitividad internacional
en muchos paises en desarroho", agregO Hansenne.
Espaila
DI1o16
LA
c'
30 JUL 1996
16
VIVIR16
Ias nuevas esciavas ilevan faldas
Las mujeres trabajan hasta 10 horas más a la semana que los hombres
pero cobran un 80% menos, segün la Organización Internacional del Trabajo
Gnebra/ EFE.Las mujeres trabajan hasta diez horas
másalasemanaquelos hornbres pero sus salarios son entre Un 50 y Un 80 por 100 xnás
bajos, segUn el informe "Mâs
y mejores trabajos para las
mujeres" presentado ayer
por Ia Organización IntemacionaldelTrabajo(OFF).
Esta dlscrimlnación sobrialesdel2sporlooenlospaises industrlalizados, indica
La OFT, que cuenta las victi-
mas de esa desigualdad por
millones, ya que el 45 por 100
de todas Las mujeres con edades entre los 15 y 64 años son
econOrnicamente activas en
Ia actualidad en el mundo.
SegUn La orr, este fenôrne-
no aumenta a medals que Ia
mujer se incorpora al niercado laboral. lo qua ha hecho de
forma significativa en las dlfimasdécadas.
Se calcula ademés que sie-
tedelosochomilionesdepersonas que Se incorporaron al
mundo del Irabajo en Europa
occidental en el periodo
19Q0i990eranmWeres.
Las mujeres son tambldn
Las mds afectadas par el desempleo, que en algunos palses industrializados es un 50
par 100 superiOr aide los Varones. "A pesar de los avances que so hen experimentadoydetodoslosdisCUrSOSPOliticos. La realidad es que Las
actividades econOmicas de
las mujerus siguen concentradasenmodaildadesdeempleo escasamente remuneradas. de baja productividaLl y
de gran precariedad". afirma
Ia aurora del informe, Lin
Lam
Uno de Los sectores econô-
micos con mayores diferencias entre tiempo lxabajado,
salario y sexo, as el agricola.
donde La mayor parte de Las
trabajadoras perciben en
promedlo rernuneracioneS
que corresponden a tres
M*ONORLLasmujeressoatambin lasmasafectadasporeldesemplea, queenalgunospaisesesun5o% supenoral delosvarones.
SIN PODER NI MM4DO
Ladiscrhninaclonquesufrelamujertfllflbléflse
palpaala horadeacceder acréditosya otrosre-
cuersosproductivos.asiCOmO suprdcticaexclusldnen elprocesodetomadedeclslones.
Secalculaque Las mujeres. que representan e140
porloOdelafuerzalaborallflufldial. sóloocupan
ci 16 por ioodelospuestosdegeStlonymeflOsdel
6porlOOdelaCdPUladedirecclófl.
No as de extrañarante ese panorama que el proplo
director general de Is O1T. MicheiHansenne, opi-
neque "lalgualdaddeoportunldadesYdetratO
paralasmujeres en elempleoslguestendouna
metaque hay que esforzarse poralcanzarentodo
elmundo". Mdxline cuando'lafuerzalaboralfemenlna.relativamente barata. haservidode piedra angular para La lndustrialización y La competitivldadlnternaclOnaleflmuChOSPaiseS endesarrollo", agregd Hansenne.
cuartos del salario pagado a
dial analfabeta yel lopor 100
los hombres par el inismo
dela queviveenelumbralde
trabajo.
Lapobreza
que as extensiva a otros sec-
subraya Lu. que cita entre
ott-as forinas flagrantes de
"Discriminaciôn en La asSegun Lim, "nada mdica
par ahora que esa diferencia cuela y consecuentemente
so esté reduciendo", realidad también en Ia vida laboral".
tores econónucos Independientemente del nivel de desarrollo del pals en cuestión.
En so opinion, esas diferencias salariales so nun'en dab
discriminacion que sufre is
mujer desde La infancia y a
partir de La propia escuela.
discriminación en el mercado de trabajo La desigualdad
en La contrataciOn y La promociOnyen el acceso ala formaciOn y a La readaptaciOn
profesional. Completan esa
relaciOn]adiscrintinaciônde
muchas naciones africanas y
asiáticas. El resultado as que
las mujeres representan el 65
sos productivos, La desigualdad en La reinuneraciOn par
igual trabajo y La exclusion
porlaquenuncapisaronmds Las znujeres a La horn de accedel 90 per 100 de las nifias de deracrdditos yaotros recur-
par 100 de La población mun-
enlatomadedecisiones.
Espafla
{ LAVANCUARD1A
I
MRcELONA
F.cha.
3OJUL 1996
4'
4
1
U4MA SAWJ2 N eMANOA
los trabajos realizados msyoritariarnente por mujeres tienen menor compenssción salarial que los habitualmcnte mascuiinos
Un informe de la OIT revela que las muj eres
ganan un 50% menos que los hombres
CIUDADANOS
Las mujeres son las más afectadas por el paro, y en
algunos paises industrializados el desempleo
fernenino es un 50 % superior a! de los varones
(INF.I3RA,(E1ccoiH) Las niujercs trahajan hasia dicz horas rnás a
Ia seinana que los bomb res pero sus
sakirios son entre tin 50 y un 80 %
rnás bajos. segün ci inforrnc "Más y
rncjorcs trahajos para las mujeres"
presentado ayer por Ia Organización Internacional dcl Trabajo
(OIT). Esta discrirninación salarial
es dci 25 % en los paises industrializados. indica Ia OlT. que cuenta las
victinlas de esa desigualdad por mihones. ya que ci 45 % de las mujeres
de entre 15 y 64 años son eeonómicamente activas en ci mundo.
El Programa de Naciones Unidas
parael Desarrollo ya habia hlegado a
conclusiones similares en su infor-
mecorrespondientea 1995 sobreel
indice de desarrollo humano.
SegOn La OIT. este fcnómeno aumenta a medida que Ia mujer se in-
corpora ai mercado laborai. fenómeno especialmente significativo
en las Oltimas décadas.
Asi. más del 50% de ha pobiación
femenina de los paises industrializados tiene Un trabajo asalariado.
proporción que hace 20 alios era en
Europa occidental del 37% y del
30% en Estados Unidos.
Sc calcuia ademis que siete de los
ocho millones de personas que se incorporaron al mundo del trabajo en
Europa occidental en Ia década
1980-1990 eran mujeres.
Las mujeres son tarnbién las rnás
afectadas por ci descmpleo. que en
algunos paises industrializados es
un 50 % superior al de los varones.
El documento publicado per Ia
OtT es un seguimiento de Ia conicrencia de Ia Mujer celebrada en Pc-
kin ci ailo pasado y de Ia cumbre
mundialdeCopenhague de 1995.
Empleo precario
"A pesar de los avances que Se
han experimentado y de todos los
discursos politicos, Ia realidad es
que las actividades econórnicas de
las mujeres siguen concentradas en
modalidades de ernpleo escasarnenIc remuneradas. de baja productivi-
dad y de gran precariedad". afirma
Ia autora del informe Lin Urn.
Uno de los sectores económicos
con mayores diferencias entre tiem-
po trabajado. salario y sexo es ci
agricola. donde Ia mayor parte de
las trahajadoras percihen en promedio remuneraciones que corresponden a ties cuartos del salarin pagado
a loshombresporel misinotrahajo.
Scgün Lim.nada indicaporahora que esa diferencia se esté reduciendo". realidad que es extensiva a
otros sectores económicos independientemente del nivel de desarrollo
dcl pais en cuestiôn.
En su opinion. esas diferencias
salarialessenutren de ladiscriminación que sufre Ia mujer desde La in.
fancia y a partir de Ia propia escuela.
per la que nunca pasaron más dcl
90% de las niflas de muchas naciones africanas y asiáticas.
El resultado es que has mujeres re-
presentan ci 65% de Ia poblaciOn
mundial analfabeta y el 70% de Ia
que vive en ci umbral de ha pobreza.
lncluso en los sectores mejor remunerados, las mujeres ocupan los
niveles inieriores sic ha escala de sa-
larios.a
tspaua
JE..cORREOESPANOI.
I
-
30 JUL 1996
Las mujeres ganan un 25% menos que los'
hombres pese a que trabajanmás horas
Especialmente afectadas por el paro, solo ocupan el 6% de los altos cargos ejecutivos
AGENCIAS GINE8RA
Las mujeres trabajan hasta diez horas más
a Ia sernana que los hombres. pero en las
naciones industrializadas sus salarios son
un 25% más bajos. una diferencia que se
.A 7.s'.sar de bs. arnIues que se ban
e.spennzrntado , dt' Sodos Ins dis.
rwsos politicos. In realidad ca que
las (U Inidadi's i'conórnuas de 1(1%
:nzijerrs ciquen concenlradas en
dispara hasta el 80% en los paSses en vlas de
desarrollo, segün el informe do Ia Organización Internacional del Trabajo (Ofl') 'Más y
mejores trabajos para las mujere'runa guia
para ha acción'. El estudio, que constata
unos niveles de paro quo so duplican entre
ha poblaclén femenina, determina que las
mujeres solo ocupan ci 6% de los altos cargos ejecutivos del mundo, Aim asi. tamblOn
aprecia progresos en su situación laboral.
Situaclon laboral de Ia mujer en el mundo
Ms do 45% do las mujeres
Las mujeres
reciben salarios
quo son 25%
inferiores
nzi,datulades de .'inpleo eseasanicOle re,,,nneradas. de !SijU pro-
-'S.
do15a648ñ05
tienen una
actividad
laboral
aide
dui'i irhlaii y de qran l(sl'(anedad-. alirina l.n* I am. autola dci
25%
('510(110. qut' ha realizado un detailado st'eUillliL'fltO (IC Ia conleren-
los hombres
(en promedlo
en el mundo)
cia lnuinhial dt' la imit'rt's or;lni,ada ci nui p.is;itici cii I'ekin vdc
Ia iiiiuliti' snt'i;il cit Cojieliaguc
70% do las
las personas
dc l'UI.
que viven
en situaciOn
do exirema
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pn' iiulustriah,;uln'.. d,uidc las
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Hace 20 años
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hIlL' stihrcii es hO O°n superior al
a
tie has saranes En Ins Estadoc dcl
Sur. I;i dikreiicia Sc incrementa V
Ins salarios pueden liegar ( st'r t'ii-
65%
doles 1.000
(r(' titi 11)"u v un 8(1. tii.is htos.
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l.a incc'rs'raCk'fl dc Ia mujur al
millones de
anallabetos
eneimundo
inorcada laboral ha vxperimcn-
son
mujeres
tudo tin itotahie increlnellto en los
üItll(loS anus s' en Ia aciiialfdad
iiias (itI ."u
En
lie mujeres
Tiempo parcial
Las mujeres
representan
do 65 a 90%
do los empleos
a liempo parcial
do los 28 palsos do Ia OCDE
90%
Las rnujeres
trabalan por
10 menos 2 horas más
por semana quo los
hombres y con
frecuencia 5 a 10 horas
más.
Desempleo
La tasa do desempleo do las mujeres es do
50a100%
superior aide los honibres (n adad. los pa(ses indualnaliradOs)
dc Ia 1xii,lación Ic-
tiicnina nnindial tie (lItre 15 v (34
altos esti cinpicada. -Coda ye:
lnlif inns Innt-ri's que Iral,u:un.
ELCORREO AlP
Fuente SIT
,s'rO 1(1 I/TOil lil(l4OrlO ih' ellas si'
simm
a Inc fibs de
Inc
trahaja-
(timid'S ptibri's . ak'ria 1.111 liiii. Hii'
en clia. his iéiniiias integran el
705i dc' las persnnas itIc S iccIl en
ci uinlral tic pnbia.
Origen do Ia discrlminaclón
En ilpinion Ie Liii,. las clilerencias
salarialt's tk'm'i so oiigcn cii Ia
cliserilllin,,t'iimli quc pulecc Ia IOU-
;cr desdt' Ia inlalKia. quc se Iradtite t'll tiiia illenlir ('al)aL'it3lc'i(Ifl
prok'sional. Eli iiiuclias ilaciotles
;ilricai,as 5' asi.ilicas. ci ilO°m, ilt, las
luil;is no w.udc mIllea a Ia t'si'uela
V. a 111% ci global. las hhnmnas repre-
sL'il(ail ti bj% (IC it's roil miihmes
(It' lIllIit,hl)t'tUS eicleiItes.
1)1st rHnivatirni (Ii (ii e.seneba i
c,iicm''iu'izlcIiirn1f iunibii'n en Ia
1 1(1(1 hi/mural-. re'alta I,iii till,. que
ella. ('litre otra farnias de discritiiiiac'ion lalsiral. Ia (hesilttltllda(l
elm Ia ('011tnIt,lCilitl. cii hi prfl
coot ' en ci acceso a Ia fi)flflaCi(ili
a Ia re'adaptación prolesional.
Una lisl;i que se compteta con las
itiasores diticuitades que tienen
EL CORREO
Una mujer sormrie a un compañero de Irabap en Ia Bolsa deJohannesburg
las nmwrcs para acceder a crédiIn'. v a otr(ic recUrsos produenvos.
las dilerencias Cli Ia rt'Illtlflt'radoll aifle igual tral)a.io v ha exduik' tollia (it' (It'siöii C.'I, ti
(IsiuilIt".
LII ('Stt' sentido, hi tlncstiga&'mnhl
apunta que solo tin 2% de Ins eargals a(lllnnistratiros V de direccbSui
i.'ii
luaiIuiacttlra' t'St.i 0C(lpa(I()
kr 1m'ililliUi.
El pnrcentajc as-
t'ientk al 5i Cli ci t'asti CIL' puestos
prolesionales v (écntcos. Inientras
(tl(' t'aSi dais tercius de las einplea-
das en Ia induslria trahajan COlil()
en los paises industrializados. l.a
teiudencia a una maYor represen-
mundial, se calcula que las Inujeres (nuicaiiieflte acceden al 113%
dc Ins puestos dt' gestioul v a ii,t--
taciOn femenina en cargos cualfficados es cmo de ellos. asi como el
lilerelnenlo de mujeres elnprcsarias via adopciOn do legislaciones
sabre igualdad retributiva,
obreras v operadoras A nhel
111)5 dcl (a's (IC Ia ecipula dt' direc-
doll.
ProgresOs
Entre (anta conclusion negativa.
ci doculnento tamblén aprecia algunoc progresos en Ia situaclOn Ia-
licirah de las mtjeres. sohre todo
Además. se han mejorado las
condk'iones do trahajo para perinitir conipatibilizar ci desarrohlo
de una (area profesional con las
responsahilidades familiares s- ha
aumentado ci nOmero de niujeres
ahIliadas a sindicatas
A pesar de csoc asanccs el director general de Ia 011. Michci
Hansenne, considera quc ia
iqualdad di' upurinnidadrs ii dr
trali, pam las nlztCI('s mum ui i'm
ph'o sique siendr, una lOmb-. maxime cuando -Ia fuerza labural p3'menina. reIatiz'anente barns a. ha
.cen'jdu, di' ph'dra an quint para In
industrializaciOn il Ia (oinpcifli-
z'idad inlernacional en niuchos
paises en desarrolhm
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aOMUNDÔ
MADRID
0
DELOS,6OcIO
MADRID
Fectia
30 JuL 1996
Las mujeres que trabajan
y el fin de Ia retórica
informe de in Organición Internacional del
de obra femenina .igual
hajo (O1T) presentado
er aporta Un dato que no
r ser archisabido resulta
-as lacerante: las muje- trabajan inás horas que
resultaba más barata que in
--
que Ia situación de la
recorrer es aim enorme. El
informe seflala, con escepn salarial ilega hasta el ticismo, que esta desigual%, una cifra que apenas dad se produce ca pesar de
descendido en las (titi- los avances y de todos los
c dacadas. Bien se dirIa discursos politicosN. Dc
Ia filosofla de las con- bien poco sirven las declataciones laborales se raciones de intenciones si
meja a in que prevaleció no se acompahan de mcdiin piimera revolución das que erradiquen de una
'ustrial. Entonces se vez por todas esta injusta
enz6 a utilizar la mano lacra.
.
30 JUL.1995
.,._L'...,.
'
.,
ns palses iicos, seün Ia OñT
rnigercóbñIIiase
eThoIn1flibajamas
masculina. Es indudable
mujer trabajadora ha mejorado mucho, pero no lo es
.
Esta dfra es del 2
que Ia infantil porquc
s hombres y cobran menos que ci trecho por
os. En lospalses indus1izados esta discriniina-
Fecha.
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a.Lasmijeres tabaIa OIT, que
jnhasta dies horasms a in se-- dustrIalizados,jndj
cuenta
las
:vfótinias
de
esa desimann que los hombres
pero sus
r salarios son enire e50 y.el 80%
bajos, segimn-eI infonne Mar
y mejore., trabajos paralos muje.
es presentado ayer por.la Organizacján Inteniãcional del Traba-
jo (Orl La discriminaj
sala-
-
gualdad por millozzes, ya que el
45% de las mleres con edades
eatre los 15 .y 64 aflos son
ecOfldmicamenteactjvas.
Este fenimineno aunlenta con
Ia incorporacj n de Ia niujer al
rnerchdo Iaboral que se ha incrementado en las tiltinias décadas.
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EIPAI
MADRa
!1
MADRID
Fecha.
30 JUL.1996
110 -16A6O. 1996
-
Las mujeres
cobran menos
Las rnüjeres ganan uñ 25%
menos que los hombres por el
mismo.empleo, dice la OfT
ANA FERNANDEZ. Ginebra
A pesar de que ci 45% de las mujeres entre 15 y 64 años son eco-
penhague de 1995, pone de relie-
ve Ia discriminación en Ia edu-
nómicamente activas, trabajan
cación.
Entre las formas de discriminación destacan los diferentes es-
perciben un 25% menos de salario por ci mismo trabajo, segiin
ci inforrne Mds y mejores grabajos para Ia mujer- Una guia de acdon, de Ia Oficina internacional
tándares de contratación y promoción, Ia desigualdad en ci acceso a la formación y capacitación permanente; acceso a los
créditos y a otros recursos pro-
ayer. El documeflto, que es un
seguimiento de Ia Conferencia de
ción par ci mismo trabajo; La sgregación ocupacional; y, Ia de-
Pekin sobre La mujer, y de Ia
Cumbre de La Pobreza de Co-
de decisiones.
más horas que los hombres y
del Trabajo (OIT), publicado
ductivos; Ia diferencia de retribu-
sigual participación en la toma
informe de Ia Oraniza-
Undon Intemacional del
Trabajo revela que las mujeres trabajan hasta diez horas
más a In semana que los
hombres, aunque el personal
femenino cobra entre un cmcuenta y un ochenta por
ciento menos que sus cornpaneros varones. La discriminaciOri salailal es del veinticinco por ciento en los palses industrializados, mientras
que en Espana ese porcentaje es cinco puntos superior.
Espafla
[4 Adelanto]
MA
Fecka.
30 JUL.. 1996
Las mujeres soportan peores condiclones laborales que los hombres.
La pobiãción fernenina trabája rnás
y gana inenos quela inascillina
Las mujeres trabajan basta diez horas ñiis a Ia semana. que
los hombres pero sus salaries son entre un 50 y un 80 por dento
mis bajos, segtIn el inlorme "Más y mejores trabajos para las
mujeres" presentado ayer por Ia Organización Internacional del
Trabajo (Ott). Esta discriminaciin salarial es del 25 por ciento
en los paiSE'industrializados, indica Ia O1],que cuenta las victimas de esa desigualdad pormiUones, ya que el 45 porciento de
todas lasmujeres con edades entre los l5y64 añosson económicamente activas en Ia actualidad en el mundo. Segén Ia OH', este
fenómeno aumenta a medida que Ia mujer so incorpora al mer
cado laboral, lo que ha hecho dé forma signilicafiva en las ültimas décadas.
GINEBRA (Elecom).Asf,
más del 50 por ciento do Ia
todos los discursos politicos, Ia,
realidad es que las actividades
población fenemina de los pal-
econômicas do las mujeres
ses industrializados tiene un
trabajo asalariado, proporción
que hace veinte años era en
Europa occidental del 37 por
ciento y del 30 por ciento en
siguen concentradas en modalidades de empleo escasamen-
EEUU.
Se calcula además que siete
de los ocho rnillones do perso-
nas que se incqrpoaron al
mundo del trabajo en Europa
occidental en el periodo 1980-
te emuneradas, de baja produtividad y de gran precariedad",. afirma Ia autorá del informe, Lin Lim.
Uno do los sectores econômicos con mayores diferencias
entre tiempô trabajado, salario
y sexo, es el agricola, donde Ia
mayor parte de las trabajado-
económicos indepandientemonte delnivdl dedesarrollo
del pals en cuestión.
En su opinion, esas diferen-
cias salariales se nutren de la
discriminaciOn qué sufre Ia
mujer desde Ia infancia y a par-
tftde Ia propia escuela, por Ia
que nunca pisaron más del 90
por ciento do .Ias niñas de
muchas naciones africanas y
asiáticas.
El resultado es que las
mujeres representan el 65 por.
ciento de Ia poblaciOtl mundial
analfabeta y el 70 por ciento de.
Ia quo vive en. el umbral de Ia
pobreza.
"DiscriminaciOn en Ia
escuela y consecuentemente
también en Ia vida laboral",
subraya Lim, quo cita entre
otras formas flagrantes de
discriminaciOn en el mercado
do trabajo Ia desigualdad en
Ia contrataciOn y Ia promoción
yen el acceso a Ia formación
y a Ia readaptación profesio-
1990 eran mujeres.
Las mujeres son también las
ras perciben en promedio
remuneraciones que corres-
Completan esa relaciOn Ia
más afectadas por el desem-'
pleo, que en algunos paises
industrializados es un 50 por
ciento superior al de los varo-
ponden a tres cuartos del salario pagado a los hombres por el
mismo trabajo.
Segün Lim, "nada indica por
discrirninaciOn de las mujeres a
Ia hora do acceder a créditos y
a otros recursos productivos, Ia
nes.
"A pesar do los avancés quo
ahora que esa diferencia so
ciOn por igual trabàjo y Ia exclu-
esté reduciendo", realidad que
se han experimentado y de
es extensiva a otros sectores
siOn en el proceso do toma de
decisiones.
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desigualdad en Ia remunera-
Espana
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30 JUL.1996
OIT.
Las mujeres trabajan rns y
DIARIDE
GIRONA
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30 JUL.
1996
Les dofles
treballen més i
guanyen menys
que els homes
Ginebra.- Les dones tre-
ganan menos que los hornbr
GINEBRA. (Efe). Las mujeres trabajan. hasta diez horas mâs a Ia
semana que los hombres pero sus
salarios son entre un 50 y un 80%
más bajos, segün el informe Mâs
y mejores trabajos para las mujeresa, presentado ayer par Ia Organizaciôn Internacional del Trabajo
(OIT). Esta discriminaciOn salarial
es del 25% en los palses industrializados, indica Ia OIT, que cuenta
las victimas de esa .desigualdad
- 'por nillones,- -ye- quo el 45% de
todas las mujeres con edades entre
los 15 y 64 años son econômicamente activas en Ia actualidad en
el mundo.
ballen fins adeu hores més a
La setmana que els homes
perb els seus salaris son en-
MS
desempleo
Segün Ia OIl, este fenOmeno
tre un 50 i un 80% més baixos, segons l'informe. MOs i
aumenta a med ida que Ia niujer se
inilors feines per a les dones" presentat ahir pe l'Or-
quo ha hecho do lorma significati-
ganitzaciO Internacioñal del
Treball. Aquesta discriminaciO salarial és del 25% en
els paIsos industriaiitzats,
.indica l'OIT, que compta les
victimesaquesta desigualtat per inilions, ja que ci 45%
de totes les dones amb edats
entre els 15 1 64 anys sen
econémicainent actives en
I'actualitat al mOn.
incorpora al mercado taboral, to
va en las Oltimas décadas. Asi, més
del 50% de Ia poblaciOn fenemina
de los paises industrializados tiene
un trabajo asalariado, proporción
que hace veinte años era en Europa occidental del 37% y del 30%
en EE JJU. Se calcula además que
siete de los.ocho millones de personas que so incorporaron at mundodd trabajo en Europa occidental en ci perIodo 1980-1990 eran
mujeres.
real/dad es que las activ/dades
econOm/cas de las mujeres s/guen
concentradas en modaildades de
empleo escasamente remunera-
'des, de ba/a product/v/dad y de
gran precariedad,.i, afirma Ia autora
del informe, Lin Lim.
Uno de los sectores econOmicos
con mayores diferencias entre
tiempo trabajado, salario y sexo es
el agricola, donde Ia mayor parte
de las trabajadoras perciben en
promedio remuneraciones que corresponden a tres cuartos del sata-
rio pagado a los hombres por el
mismo trabajo.
SegUn Lirn, nada md/ca por
ahora que esa d/ferenc/a se esté
reduc/endo#, realidad que es extensiva a otros sectores econOmicos independientemente del nivel
de desarrollo del pals en cuestiOn.
En su opinion, esas diferencias salariales se nutren de Ia discrimina-
ción que sufre Ia mujer desde Ia
infancia y a partir de Ia propia
escuela, por Ia que nunca pasaron
más del 90% de las niñas demu-
chas naciones africanas y asiáticas.
El resuttado es que las mujeres
representan el 65% de Ia poblac iOn
mundial analfabeta y el 70% de Ia
que vive en el umbral de Ia pobreza. rDiscr/minac/dn en Ia escuela y
consecuentemente también en Ia
Las mujeres son tambiOn las
v/da laborals, subraya Lim, que
més afectadas por el desempleo,
que en algunos palses industriali-
cita entre otras formas flagrantes
de discriminaciOn en el mercado
zados es un 50% superior al de los
varones. wA pesar de los avances
de trabajo Ia desigualdad en Ia
que se han exper/mentado y de
todos los discursos polIticos Ia
el acceso a Ia formaciOn y a Ia
contrataciOn y Ia promociOn y en
readaptaciOn profesional.
LE FIGARO 0
MONDE
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Salaires féminins:
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une décote de 25 %
MONDE
SaWres fémi
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N 16158- CahIer national n'2
France
wiedécoteth
Ras ia/airec ethorairec frop lourds:
leBffdtnonce les conditioizc de frarai/
desfemines dancle monde.
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GENEVE:
NOIW
' Ceaf sur Ia nzath-dvuvz
tions collectives sur I'autcl du
dCveloppement. D'autant
moms quc lea avantages cornparatifs Cvoluent rapidement
d'une region a l'autre et que lee
1ththic rclathancnt bon mar- atouts de cc type sont très
thó qi iiosent iindwtriaIisa- éphCniCres.
L'exemple du textile eat des
tion ax6csurks erportationset
Ia compétitivitd internationaic
plus significatifs, soulinc l'ins-
titution. Après avoir quittC
La directeur général
l'Europe pour ice pays nouvel-
condition feminine, caractCri-
dans une nouvdlle migration,
du Bureau international du lement industrialists d'Asie,
travail (BIT) illustre ainsi Ia voilà cette industrieengagte
see par les bas salaires et las
horaires trop lourds. Dans un
notamment vera Ic Bangladesh
et Ic Vietnam, ol Ic coüt de Ia
nouveau rapport publiC a Ge-
main-d'euvre cat plus faible.
fanmessont Wig,wrplacnombrcuses I tra miller, Is plupart
rCclamer Ic p1cm respect des
conventions du travail et de recommander aux pays du Sud
nCve, ii note que, s si ks C'est une facon pour Ic BIT de
d'dlerivjoi.gncntics iniz
de ne pas donner des armes
aux tenants d'une clause soaipIoipi*abea, mairdtdbiá dale ccnsCe rCCquilibrer Ic
sTuwea Is ma,,*d d'cntre elks ocaoant des
des Ira wil
commerce international.
ctI
Dana I ensemble du monde,
lea femmes sont en moyenne
payCes 25% de moms quc lea
hommes Dana lea pays dCveloppés elks travaillent pourtant an moms deux heures de
plus par aemaine. En Aik.
magne, en Australie et au Canada, Ia durée du travail eat a
peu prCs égale alors qu'en halie elks effectent 28 % de travail en plus, 12 % en Autiiche
et 11 % en France. Au Japan,
cUes consacrent ucuf fois plus
de temps que lea homines a dçs
activités non rémunCrées. Une
chose est sure, partout cites
paicnt k tribut Ic plus lourd I
Ia recession. Dana les deux
tiers du monde industrialisé, Ic
taux de chomage pour Ics
femmes eat de 50 % a ioo %
supéneur I celui des hommes.
Atouts
très éphémères
Legislations
spéciales
Las grandes conftremxs de
Beijing sur lea femmes et de
openhague sur Ic développe.
ment social avaicnt en 1995
fourni amplement I'occasion
de brosser an Ctat des licux. La
BIT entend aujourd'hui servir
de guide pour redresser Ia Situation. ii prone ainsi Ia prise
en compte d'un certain
nombre de considerations per-'
mettant d'amCliorer Ic sort des
femmes au travail. Cest ainsi
qu'il réclame l'application du
pnncipe dc Is valeur compamblc qui veut qu'un salaire
égal soit assure pour.un travail
6
Sans trancher Ic dCbat, e
rapport appelie par ailleurs I
un cxamen attentif de deux
questions très controverstes.
Celle des legislations spéciales
introduites pour tenir lea
La globalisation de l'écono-
femmes I l'écart des emplois
feinmes, dana Ia mesure 01 lea
mvestissements directs, efféctués par exempic par lea multi-
dictions du travail de nuit qul
constituent dCsormais, scion
mie profite pourtant aux péniblea. C'est Ic cas des nternationales dane les zones
franches d'exportation, ont
créC de multiples postes de tra-
vail dont jusqu 1 80 % leur
sont rCservCs. Mais il s'a?it
presque toujours de labeur intensifet mal rCtubuC.
C'est i'occasion pour Ic BIT
d'inciter lea gouvernements
concernés Inc pas allaiblir Ice
certains, de vCritables entraves
I l'accession au marchC professionnel.
II en irait de mCme pour Ia
fixation de quotas rigides, qui
permettraient aux femmes
d'acctder de facon autoritaire
aux postes a pourvoir. Une
tulle pratique, souhaitte par ice
usa, eat jugCe contre-produc-
five par lea autres. Elle pour-
attirer lea capitaux Ctrangers,
et I ne pas sacrifier Ia libertC
rait cependant Ctre pratiquCe I
litre provisoire, Ic temps de rttablir uncertain Cquilibie.
d'association et de nCgocia-
LN.
lois Ct rCglements sociauxpour
1' A 11&ICC
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France
Mardi 30 juil et 1996
TEop d'heures et
sálairé àIä tralne
situation se genéralise. Lea femmes veuScion. le Bureau international to
lent des enfants et travailler en même
du Iravail, a fonctions égales, temps et elles en subissent lea conséquences. Même si elles ne sont pas toutes
elles gagnent en moyenne
dans ce cas. On ne voit pas pourQuoi lee
25 % de.moins que leurs
fenunes sent moms payées a qualification
égale. Dana ce domaine, il y a encore beaucollègnes niascullus
coup de progrés A faire *.
Thris
font pkis dlieuieS quo Iei
coIègues masci4lfls et sent pUyées
25% do mo&is en moyeone dens le
Lemmes
ROSANILMA*, 38 ANS,
nndemsessontamuoonnibreuses a4oixhti dana des pessonsfta- it Ellesn'ontplus beaucoup lechoLr.
iementdomkiés par fee hommes,
rappo.te le Bureau kitematfonal do
fraVal (611). De plus en plus defommesfravallent mals Ia gmnde maodté d'entie ales
itLe résultat de cette etude ne m'étonne
pas. Je rencontre de nombreuses femmes
qui mettent de plus en plus de temps a
va gtos* es rangs desbval$eurs pauvres *,
trouver un emploi. Maintenant, elles n'ont
Nalions urges spéclullsée dens los questfons
prendre tout ce qu'on leur propose sans
iii rappoit pifié p I'agenco des
sodale& Nos cthws réagfesent
DAMIEN*, 19 ANS,
tUn vraipivblême
Que les femmes travaillent plus en gagaunt moms, constitue un vrai problème. U
eat vrai que lea employeurs prefbrent souvent embaucher des hommes. lJne fois 1e
aervce militaire terminé, nous sommes fran-
plus beaucoup le choix, elles doivent
jouer lea difficiles pour le salaire. C'est un
probleme que je connais bien pour l'avoir
vécu *.
*Mjjg.js,
SYDNEY*, 43 MIS,
tElles méritent d'êliv mieux
payeesquenous!i.
Cette situation eat anormale. fl ny a pas cia
es,'les femmes, ellea, ont des contraintes
raison
pour qua lea f'pmm gagnent moms qua
as tout au long de leur carriere. *
lea hommot1l faudrait qua ce soitle contrmre,
udiant (Val.de-Marne)
elles mériteraient d'être mieux payées que
ARTHUR*, 20 ANS,
thy a beaucoup deprogns àfafre
it
C'est choquant. Ma]heureusement, cet-
none I Quand dies sortent du bou1ot elles dcivent encore assumer toutes lea tâches ména-
geresets'occuperdesenfanta*
Paris
Recueilli par Laurence YZELLA
France
SEtIEUR HEBt,O
TRAVAIL
Selon le Bureau international du
2 AOUT 96
Travail, les femmes travajilent
plus que les hommes mais sont
moms bien payées. Dans l'en-
sernble du monde, elles sont
paydes en moyenne 25% de
3 AOUT 96
LE PROGRES PE CORNOIJAILLE
moms que les hommes. Dans les
pays développes, eHes travajilent
pourtant au moms deux heures
de plus que les hommes, notamment en Ita lie, en Autriche et en
3 AOUT 96
LE COURRIER tlU LEON
France.
9
0UT 96
PELERIN MAGAZINE
Les femmes surexploitées
et sous-payees
On savait que les femmes Iravaillent, en moyenne, plus que
les hommes. Une enquête du
BiT (Bureau international du
travail) vient d'en faire la
preuve avec des résultats portant sur de nombreux pays. De
manière générale, les femmes
travailient plus longtemps que
lea hommes mais leur salaire
reste inférieur de 25 %. Par allleurs, Ia majoritd dentre elles
occupent des emplois précaires
du NoiI, 65 a 90% des emplois
et mal rémunérés. Dans lea pays
du Sud, elles représentent 70 %
pas surprenants, us reflètent
parfaitement Ia situation des
a temps partiel. Commentaire
de Roselyne Bachelot, prdsidente de l'Observatoire pour Ia
parité: Ces chiffres ne sont
des plus pauvres et, dans ceux femmes en France.>>
LE OUOTIDIE'I LIE
France
1 AOUT 96
L.
REUNI OH
LES FEMMES ET LE MARCHE DU TRAVAIL
Des bosseuses sous-payéeS
If
S
etsontpayées25% do moms en
LOS femmesfontplils dileurOS quo louts cvil&u.smaSCUllllS
moyenne dans Ic monile mals ellos sent aussl p1us nombieulos auJouril7iul dans des professions
arleshommes rapporte le Bureau intemsUonal du travail jIV.
tradltlonneliemellt dom
- en plus ii.
SOrt 100% plus non*re050s
Plus d. 45% des famines quo las honinas dens do nom
ttraux psys P.du*la1155.
ISi
mats Ia grand. m*- dana I. mmd. Igéas do
tsiamn1es n'occupeflt quo
am bavatfent: alIas raprö
ntè dentre eltes vs 64
irnIent
.*u!d'IU
plus
do
P.
6%
des pastes do cadres supégrossir los rangs des Ira vs dews
doors dens P. monde.
pauvres -. emit M" Un Urn, mote6 do P. populabofl ctivs
- un Améiiquo do Nord.
I'auteur du rapport pul,llé mardi dens len pays Induabfal,is. Europe
at Japan, deux fats plus
par I'agence des Nations unleS conOs 37% un Eumpe asol
DE
lemmas
dialdeCopanta9uede 1995.
bavadent
dental. at 30% ator Etsts-lJnis
speciatlsée dons los questions
do lemmas qua d'hOmmea 001
reoUsi Pa populatiOn active efltr.
soclales. - La majont...enfra ya2O ens. asIan P. BIT.
Los pdndpstesWldiona do 1900 at 1990.
altos occt,e des emplols pint- Sn *310 dii Sod-Eat it do
l'êtude
soot
quo:
caires, ma! rdmunérds .11 laible
- P. majoitté des funenas n. VEst. lea famines rupresentefll
product 16 - ajoute+Sba.
lusqUe 60% des porsonnes amgagnent
an
moyenne
quo
los
Los fernmes ropcésentent 70%
players dens lea induatnes K
des pauvres dons to mood. st trols-quts do sal*a dim portathces.
65% du milliard d'lHettréS. salon homme pow i. mOme Pavoll, an
Cast air Ia main d'oeuvre
to rapport - Plus at m,eux POIf dehoisdol'agikvftUra.Catteité-
rernploi des lemmas. on guide
relabv,meflt
boo
aatit* reals vrae dens las pays
f4nllnloo.
d'iOdustflaksat,ofl...EcatI na diminue pen.
- pritcipoles vidXnes do Is ré-
astion aver Vets lea .xpoilations
.4titivlIé do nombreux
at Is
iduat,iali,M comma an vole mU&qUertpOSOl'l1dU5tfl
pourl'action-.
Le document do prés do
200 pages represenlo Un Stan ci.
Ia cool brence mondislo des
famines organia6e l'sn dernier I
Péktn of du sommet social moo-
oesai
des avalas 1990, las
famines lo chomage aant .1st.
pays an dévofoppement -. re-
maique IL Michal Hans0000. directal, g4nIral do BIT.
Létude do BIT note cependant
des progrés, nolamment dana
lea pays industrialisés:
- one nette tendanco S 000
plus grande representation des
famines a des posIes qualifies:
dtrectlon, cadres, lechniciens.
admInIstration. Certaines soot
memo parvenues su sornmet do
- six Etats-UnIs, los famines
soot plus nombreuses S creer
des antreprises.
des legIslatIOns sur one egoPita do salaire ant Ste adoptéeS
dons do nombreux pays du Nord
mats aussi du Sud at los co4i
lions as 5001 améhothes pour
petmetire aux fommes do conci
Pier t&thes pcofessionnelles et
reiponsabulltes famikalos.
- los famines so ayndicalisent
en plus grand ncmbre of lea néant
collectives
goclationS
contzitrué S promouvoir I'égalité
des sexes dans de nombreux
pays.
Les temmes
et le travail
Plus do 45% des fernmes
ageesdei5à64anS
travaiflent dons to moride
En%
Les temntes
sontpayées25%
e
do moms en
moy0000
dans
le monde
par rapport
aux hommes
.1
I
de(emmes
actives
representeront le même pourcentage de (a main d'oeuvre que
los hornmes dans de nombreux
pays industrialisCs dicil'an
2000. Bans los pays on vole
70% des
d'industrialisation. ones ne torment quo 31% do Ia population
active mats tour participation est
on augmentation.
Ieseuil
La hausse du nombre do
do pauvreté
famines au travail dans los pays
du fIord eat due en grande partie
danslemoode
soot des femmes
to monde
soot des
femmes
AlP i*év
NéanmOiflS, dl M. Hansenne.
- ldgalitd do chance at do tra,te-
ment pour las lemmas dons to
moodo du travail reste partout 6
arteindre
Le BIT prSvoit que les femrnes
personneS
vivant sous
65%
do mIllard
dilleltrés dans
Eqailte
ale chance
a
'-
Les famines Lea femmes
reprdsentenl travaillent
de65190% aumoins2heuresde
desemplois plus par sefnaine quo
atemps partiel los honrmes et souvent
des28 pays do OCDE 5 a 10 heures do plus
Chomage
LetauxdethOrnagedesfernmoSestde 500100%
sppédetxa celui des honimes (dare 23 do pays tt&isViels)
é des emplols S temps partiel.
Lea femmes représentent do
65 a 90% des eniplols a temps
partiel des 28 pays do I'OCDE.
Hors OCDE. riles travaillent
en majocite dens l'économio In-
fonnelle, moms bien payee et
saris protection sociate.
Le BIT estimo quo lone des
principates causes do Ia paw
vreté of do soos-emploi des
temnies oat Ia discrimination
dent cUes soot victirnes a ltcoto,
France
30 JUIL 96
LE COURRIER BE L'OUEST
'Travail : les femmes valent 25 %
30 JUIL 96
NOUVELLE REPUBLIQUE EIU
CENTRE OUEST
de moms que les hommes
Travail:
-
les femmes
moms payées
que les hommes
Si l'on considOre Ia eftuatlon
génerale dana te monde, (es
lemmas font plus d'heures do
travail que (ours collegues
masculins et sont payees25 %
de moms en moyenne. Elles
sont aussi plus nombreuses
aujourd'hui dans des profes-
Mud. 45% des f.nimes daas I. monda igèes de l5à54anstravaillent
Si les femmes sont dé plus en plus nombreuses a
envahir les professions tradiUonnellement réser.vées aux hommes, elles.n'en restent pus moms
sous-payées par rapport a leurs collgues mascu-
Les principales conclusions
quo leurs collégues masculins
do I'étUde sont que :
.etsontpayées25%dernoins
en moyénne dens Ia monde
mais elles sont aussi plus
nombreuses aujourd'hui dens
des professions traditionnellement dominées par los
hommes, rapporte le Bureau
international du travail (BIT).
it Do p1us en plus de femmes
travail/ant mais Ia grande ma-
jori$ d'entre elles va grossir.
-
:L.stemmes représentont
70% des pauvres dans le
monde at 65% du milliard d'lIlettrés, salon Ia rapport.
II ya 20 anttr:
ILes
GENEVE(ONU).
femmes font plus d'heures
sions traditionnellement dominéee par las hommes, rapporte
Ia Bureau International du travail (On).
Deplus en plus do femmes
travail/ant, mais Ia grande magrossir
jorne d'entre el/es
los rangs des trava'illeurs pauvros , dcrlt Mme Un Urn, l'auteur du rapport. La majorlté
occupo des emplols precaires,
mairémunérés eta foible product/vitO , ajouto-t-eIIe.
:
9
-la majoritédes femmes ne
gagnent enflloyenne quo los
trois-quarts du salaire d'un
homme pour Ia méme travail,
en dehors del'agriculture: Cette inégalite reste vraie dans los
pays-industrialisés comme en
voie d'industrialisation at
I'écart nedirninue pas..
-principalesvictimes de Ia récessiondes années 1990, los
Plus do-45% des femmes
dana to monde, Agées de 15 a
64 ens, travaillent : elles représentent aujourd'hui plus de Ia
moitiè do Ia population active
dane lea pays industrialisés
(contré 37% on Europe occidentale et 30 % aux Etats-Unis
lly a vingt ans, salon to BIT).
Parmi los conclusions do
('étude, on note qua:
- l'InOgalité do salaires
hommes-femmes reste vraie
partout, y compris dana los
las rangs des travaileurs
pauvres , écnt M Lin Lim
lemmas au chômage sont
pays Industrialisés.
entre 50 at 100 % plus nom-
Lamajorité d'entre elles occupe des emplois prdcaires,
mat rémunérés eta foible productMtéii, ajoute-t-elle.
breuses quo los hommes dans
do nombreux pays industrialisés.
-les femmes n'occupent que
recession des années 1990, (as
70%despauvres
6% des pastes de cadres supérieurs dans le monde.
sont des femmes
Los femmes représentent
70 % des pauvres dans lemon-
de at 65 % du miHiard d'illettrés selor lé rapport Plus at
-en Amerique du Nord, Europe at Japon, deux fols plus de
femmes qUe d'hommes ont rejoint Ia population active èntre
entre 50 ot 100 % plus nom-
breuses que los hommes dans
de nombreux pays Industrialisés.
- en Amérique du Nord,
Europe at Japan, deux fois
plus do femmes que d'hommes
ont rejoint Is population active
entre 1980 at 1990.
-en Asia du Sud-Est-et de
I'Est, les femmes représentent
femmes, un guide pour faction .
Plus do 45 % des femmes
dens le monde âgees de is a.
jusqu'à 80 % des personnes
64 ans travaillent : elles représentent aujourd'hui plus do Ia
moitié do (a population actn,e
feminine, relativement bon
dentbleet 30 % aux Etats-Unis
femmes au chômago sent
1980 at 1990.
mieux pour !'emploi des
dans (es pays industrialisés,
contra 37 % en Europe occi-
- principales victimes do Ia
employees dans les industries
expórtatrices.
t C'est sur Ia main d'oeUvre
marché, -que repose I'industrialisation axée vers !es exortations et Ia compétitivité
de nombreux pays en développement i.
30 JUIL 96
CENTRE PRESSE POITIERS
30 JUIL 96
LE MAINE LIBRE
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JUIL Y6
VUCLUSE MATIN
1
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LE EIAUPHINE LIBERE
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I-
France
France
Les Echos
MardI 30 juliet 1996
Les temmes travaillent plus longtemps que les hommes mais
SOCIAL
elles perçoivent un salaire inférieur de 25 % en moyenne.
Dans son demier rapport, publié aujourd'hui, le BIT s'alarme.
BIT: la <<discrimination salariale>>
frappe sévèrement les femmes
structures dconomiques, lphabétisation.. La hate
Demographic,
i.iduif,asc.aisdscauz1kIUuu$
Za
des cntères sur lesquels s'opposent pays
IIWIc.hS*1n3U$
développés et en vole de dévehoppement est interminable. II existe pourtant un point vess luel us convergent:
he traitement disxiininatoire impose
aux feinmes dans he cadre de Leur
travail. Dans les deux cas, cUes suppoc-
tent en effet une charge de travail
supérieure a relic de leurs collègues
masculins,pourwisalaireplusfaiblcde
25% en moyenne, rappocte he Bureau
international du travail (BIT) dans un
rapport publié aujourd'hui.
Ce rapport, Chaboré a ha suite de Ia
conference monchiale des femmes orga-
nisée l'an dernier a P6km et du sommet
sodal de Copenhague de 1995, Se livre
a Un constat en demi-teinte. Dc plus
az plus de femme.c travaillent maLs la
graiemajoritCd'enlreelks votztgrossir
las sungs des travailleurs pauvres , rC-
pays en vole de developpement, et qui
sument ses auteurs.
d'éconcanies se fondent sur cette inCga-
Des lois, la plupan d'ezure elks
occupeni des emplois précaires, mal
ne tend pas a diminuer pas. Nombre
C'esi sur la ,nasn-d'iruvre fémi11t6.
nine, relaiivement bon march4 que re-
inonde, plus des deux tiers sont des
femmes Et lea fonnations ne soft pas
toujours de nature a favoriser leur
emancipation: Beaucoup d'établissemerits d'enseignement ci de formation
professiorindle co,uinuait de cwuonner
rémunérés eta foible productivité : les
pose l'induc:riolisation ares vers ks
femines représentent desormais 70 %
des pauvres dans Ic thonde.
Depuis quelques annécs, l'entrée des
femmes sur he marchC du travail est
massive. Plus de 45 % d'entre cUes, en
age de iravaihler (de 15 a 64 ans, en
théorie), occupent une activitC profes-
erportations ella compétiti viM de nombreux pays en vole de devdoppetnent ,
exphique Michel Hansenne, Ic directeur
les flUes dans desspécialuf.c dues 'fCmi-
gCn6rai de I'organisation intcrnatio-
des discqriines scientifiques ou techniques ', souligne Ic rapport. D'ohl ha
nécessité, scion Ic BiT, d'agir trCs tot
nonnehie: elks représentent aujourd'hui plus de Ia moitlC de Ia population
active dans les pays industriahis6s,
contre 37 % en Europe occidentale Ct
30% aux Etats-Unis ii y a seulement
vingt ans. Une Cvolution que le BIT
quahifle de veritable phénomène de
feminisation de Ia main-d'euvre ci de
l'emploi mais qui ne se traduit pas par
nale. En Ask de h'Est et du Sud-Est, les
femmes représentent en effet jusqu'à
80% des personnes employCes dam les
industries exportatrices.
Pr.mlèrsi victimes du ch6mage
Deja frappóes par Ia discrimination
salariale. les fernmes n'en sont pas
iine amelioration significative de Ia
condition fCminine: Ia phupart des
moms durement touchées par he chômage. Ce sont mCme hes principales
victimes de Ia recession des années 90:
les femmes au chomage sont entre une
fois et demie ci deux fois plus nombreuses que les hommes dans de nom-
femmes n gagnent en moyenne que les
breux pays industrialisés.
trois quarts du salaire d'un homme
pour le même travail (en dehors de
I'agriculture). Un écart.constaté dans
les pays industrialisés conune dans les
Cette situation trouve une explication dans Ia difference de qualification
entre hes deux sexes. Sure le milliard
d'adultes analphabètes que compte Ie
nines": daclylos, inflnnières, couzurières, serveuses, etc., las tenant éloignées
en amont *.
Tout n'est poultant pas si noir. La
BIT relève mCme des progrès dans
plusieurs pays. Des lois prOnnt I'Cgaliti des salaires ont ainsi Cté adoptCes
dens de nombreux pays, du Nord
comme du Sud, et les conditions se sont
améliorées pour permeitre aux femmes
de concilier tilches professionnelles et
responsabilités familiales. Las femmes
se syndicahisent en plus grand nombre
et leurs conditions de travail sont de
mieux en mieux prises en compte par
lea conventions collectives. Enfin, el!es
sont, aux Etats-Unis, plus nombreuses
que les hommes a se lancer dans in
creation d'entreprise.
France.
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France
30 dUlL 96
VAUCLUSE IIATIN
30 qJUIL 96
LE PAUPHINE LIBERE
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France
Viva
Septembre 1996
TRAVAIL
Les fémmes
touj ours
sous-payées
I les fernmes sont toujours plus nombreuses a travailler, la plupart d'entre
elies rejoignent les rangs des Iravailleurs
pauvres,laniajorité d'entre des occupantdes
enlosprécairesmalretrlbuésetafaihleproductivité .,noteleBureauintemationaldutravail dans mi rapport pani en juiflet denmier.
Depuis 1990, les femmes conslituent, dansle
monde, le tiers de Ia population active et en
repisentaumoinslamoitiéenl'an2O00.
Pourtant,les disixninations persistent. Elies
gagnentenmoyexme25 % demoinsqueleurs
colIèguesmasa&eIessontlespremières
victimesduchômage dans beaucoup depays
Industiialisés,elles sontenlreunefoisetdemie
etdeuxfoisplusnombreuses queleshommes
àréchercherun emploL Dans les pays en vole
dedéveoppement,un grand nombre tmvaillent
de façon infornielle, sans protection sociale.
Côté durée du Iravail, l'egalité est a peuprès
acquise en Allemagne, en Australie et an
Canada, alors qu'en Italie les femmes effecinnt28%defrava11enp1us, enFrance,11 %,
sans compterles tâches ménagères.0
France
MARD'1 30.-JT.IILLET 1996
17
E.0 ON OH I.E
Pour le BIT, 3 hommes
égalent 4 femmes
Les femmes travaillent plus longtemps
queleshommesmaisleursalaireresteinferieurde25%.Uneenquétedu BIT (Bureau international du travail), rEsumant
les ddbats de la conference mondialedes
femmes rEuniel'an dernierà Pékinsou1eque4cIamajoritdd'ent1e1Iesoccupent
dprécairesetma1thnunérds.Au
Sud, 70% des pauvres sont des femmes.
AuNord,eliesoccupent65 à90% desem-
ploisàtempspartieL
L' ECHO REPU3LICAIN
AOUT 1996
28000
Dcins le monde entier
-
Lés féniñieiióiit soüspäyées.
femmes font plus d'heu-
res que leurs collègues
-a
faible productivit6, ajoute-t-:
LESmasculins et sont payées
cUe.
25% de moms en moyenne dans
des pauvres dana Ic monde -et
le monde mals elles sont aussi
65% du alilliArd d'illettrés, scion
dans des professions tradition-
le rapport Plus et mieux pour
I'empioi des fenunes, un guide
plus nombreuses aujourd'hui
neliement doniinées par les hornmes, rapporte le Bureau interna-tional dutravall (BIT).
De plus eli plus de femmes
travaiilent mais In grande majo-
ritE dentre cues va gmssfr les
rangs des travailleurs pauvres,
écrit Mme Lin Lim, l'auteur du
rapport publié par l'agence des
Nations wiles spécialiule dana
lea questions sociales. La majolitE d'entre des occupe des empioisprEcaires, malimunExs et
-
Les femnies représentent 70%
pour Faction
.
En moyenne:
25 %demoins
Plus de 45% des fexnxnes dans
Etats-Unis il y a 20 ans, Seionic BIT.
Lea principales conclusions de
l'étude sont que:
- lamajoritC des fenimes ne gagnent en Inoyenne que lea trois-
quarts du salaire d'un homme
pour le même travail, en dehors
de ;I'agriculture. Cette inCgalitéreste vraie dans les pays industrialisEs connie en vole d'industrialisation et l'Ccart ne diminue
pea.
-
6% des postes de cadres supérieurs dana le monde.
- en Amérique du Nord, Europe
et Japon, deux fois plus de fernmes que d'hommes ont rejoint Ia
population active entre 1980 et
1990.
- en Asic du Sud-Est et de
l'Est, les fenunes représentent
jusqu'l 8096 des personnes employées dana les industries cxportatrices.
C'est curia main d'cuvrefE-
le monde âgdes de 15 1 64 ans
travaillent: cUes reprdsentent
- principales victmmes de Ia récession des années 1990, les fernmes au chornage sont entre 50 et
mmmc, relativement bon marché, que repose iindustriaJisa-'
aujourd'hui plus de La moittd de
100% plus nombreuses que les
in compEtitivitE de nombrevi
hoinnies dana de nombreuz pays
industrializes.
pays en développement , remarque M. Michel Hansenne, direc-
La population active dans lee
pays industrialisés, contre 3796
en Europe occidentale et 30%
- lea femmes n'occupent que
tion axEe vers les exportations et
teur général du BIT.
France
CHARENTE MARITIME
.,- r'. t :'.. I_.J
17000 La ROCHth.IZ1
France
LA CHARENTE LIBRE
.
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1.
16000 ANGOtIL-EM
.'
I Travail '.
.Lésfe.mrnespayées 25% :
demoins que les hornrnes,.
Lea femmes font
piLls
'Los lemmas :reprá.nt.
dheur.s. que leurs ,collègues
masculiñs of sontpayóes 25%.
de moms en moyenne dans le
monde mals oDes sont ausel
plus nombreuses auJourdliul
70% des pauvres dana
monde of .65% -du millard
dana des professions traditionneilement dominées par
los hommes, rapporte le Bureau internationaj du trava
(Bfl).
l'actioni..
d'illettrés,
salon Ia rapport
Plus at rn/ow pour I'ernplol
des fewnos, on guide pour
La document do prèe do
200 pages represent. un suM
do Ia conference Tnondlale
des femnmes organlsóe Lan
demnier a Pékin at du somm.t
Ira vall/ent nials La grande majo
rite d'enire el/es
grossfr los
mangs des travaiIleufspaLrwBs
écrtt Mme Lin Urn, i'auteur du
rapport pubile aujoOrd'hul par
lagence des Natiomis Unies
s$clalisée dane les questions
soclales. .'La m*dté d'entre
ellos oocupe des. amp/ole pf
!ris, ma! rémunérés eta faIbW'
pmdectMté, ajoute-t-elIe;
social mondlal de.Copenhaguede 1995.
Plus do 45% des femmes.
dane to monde àgées do 15 è
64 ans travaUlent oDes representent áijourd'hui plus do Ia
moitlé do Ia populatIon-actIve
dane lea pays IndustrialisEs,
contra 37% en Europe cccldentale of 30% aux Etats-UnI.
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30 JIIIL 96
2 AOUT 96
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LE COURRIER FRANCiIS
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L' ECHO tiE 1. QUEST
2 AOUT 96
LÀ RENAISSANCE PU LOIR ET
-.
TRAVAIL
Solon Ia Ruteati iñternaflonal du
Travail, les femmes travaillent
plus que les hommes mais sont
moms bien payées. Dans I'en-
Travail:
les femmes
mal payées
Emplois précaires, mál
rémunérés
et
a faible
productivité sont le lot de plus
en plus de femmes, selon Ic
Bureau international du
Travail. Bien qu 'dies fassent
semble du monde, elies sont
payées en moyenne 25% de
plus d'heures que leurs
moms que les hommes. Dans Ins
pays dévetoppés, elles travaillent
payées 25 % de moms en
pourtant au moms cleux heures
do plus que les hommes, notammont en Italie, en Autriche et en
France.
collègues masculins, elles sont
moyenne. Elles représentent
aujourd'hui plus de la moitié
de lapopulation active dans les
pays industrialisés contre 37%
en Europe occidentale et 30 %
aux Etats-Unis il y a 20 ans.
France
30 JUIL 96
L' EST REPUBLICAIN
30 JUIL 96
JOURNAL BE LA HAUTE
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mal cotees
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mes sur lé marché. ..........
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mnnde mats alias sontauuii 'f
plus nonibreuaes i*jozrd'hul'
dens dee professions traditionncilement .domhee per, lee
hcwnvn
rapporte Ia Bureau
International du travail (Bfl'). "
prDe plus en plus de remmes travaillent mats Ia gran-
de majorité d'entre elles va
grossir las rangs des travailleurspauvresécrjtMme Lin
Urn, lauteur
rapport pu;
m-
me. représentent 79% del
pauvre.danslemonde.t65%
dunflIiard d'lllettrs, s.Ionls
i*pport .rPlui at mleux pour
Vemplol des femmes, un gui-
de pour l?action,.. La docu-
ment de prêt de 200 pages re-
présente un sulvi dole conerence mondiale des femmes
organhaéel'an dernleriPékin
at du aommet social mondlal
do Copenhague do 1Q95.
Plus do 45% des feznmes
dansle monde £géesde 15164
ens' travaillent: alias représententaujourd'hulplugdeja
unies spécialiaée 'dens
moitlé dole population active
questions socialee. La mejodana lee pays Industrisilsés
rite d'e.ntze. alias occup&dee, c*fltre 37% enEurope peelemp1oiapréc.ir1(g(njj
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de l'étude sont que:
La rnajorité des ferñthes
ne gagne en moyenne que lea
trois-quarta du aalaire d'un
homme pour le rnêmefrivail,
endehors del'agriculture. Cet
te Inégalite reste vraie dañi]ee
pays induatrialisés comma en
voie d'industrialisation et l'écart ne dininue pas.
Principaleevlctimesdeln
recession des années 199Q, lea
femrnes auchérnagesontentre
50 et 100% plus nombreuees
que lea hommes dane de nombreux pays Industha]isés.
Lea femmes n'occupent
que 6% des postes de cadres
aupérieurs dana le monde.
En .Aniérique duNord,
Europe et Japon, deux fois
plus de femmes que d'hommes ont rejomt in population
active entre 1980 et 1990.
En Asie du Sud-Est at de
l'Eat, lea fernmes représen.
tent jusqu'à 80% des personnes employees dana lee industries exportatrices.
C'èst surla main d'oeuvre
Mminine, relativement bon
marc.hé, que repose l'industrIalisation
axée vera 'lea
exportations at ii compétitivité de nombreuz
en
dCveloppement. remarque
pays
&L Michel Hansenne, directeur general du BIT.
L'étude du BiT note cependent des progres, not2rnrnPnt
dana lea pays industrializes:
tine nette tendance I
une plus grande représen-
tItlondes femmes I des postee qualiflés: directions, ca-
dres, technicians, admin-
tration. Certalnes sont même
parvenues au sommet do 1*
hlérarchle.
Aux Etati-Unla, lee fernmae sent plus nombreuses I
créer.des entreprises.
Des legislations lurune
égalite de ealaire ont éte
adoptées dens de nombreux
pays du Nord maia aussi du
Sud et lee conditions se sont
amélioréea pour permettre
aux femmes de conciller tIthes profesajonnelles et rae-
ponsabilités faroiliales.
Lee femmes so syndica-
lisent en plus grand nombre
at lee négociationa collectives
ont contribué I prornouvoir
l'égalité des sexes dane de
nombreux pays.
LE PROGRES
30 JUIL 96
France
Femmes .:
phis de travail
moms d'argent
!. En nombre, elles pèsentde plus en plus
sur le marché du travail. Mais avec des emplois
féniininc le plus souvent précaires,
mal rémuñérés etpeu qualifies, l'egalité
des sexes est loin d'être une réallté,
commele montre un rapport de l'ONU
ur le marché du travail, ii
no fait pas ban .étre une
femme. Si elles font plus
d'heuros quo leurs collègues
masculins, elles sont payées
25% de moms. Ainsi, malgré
uelques avancées, los discriminations hommes-femmes
prsistent Un rapport de l'ONU,
pUblié aujourd'hui, et qui fait
Oite do Ia conference mandia-
le des femmos organisée lan
.dernior a Pékin et du sommet
social mondial de Copenhague
de 1995, vient confirmer, chiffres
I l'appui, ce que tout le monde
4ait déjà. 'iDe plus en plus do
iemmestravaillent mais Ia grandemajorité d'entre elles va gros-
sir los rangs dos travailleurs
pauvresi, écrlt Mrne Lin Urn,
rauteur du rapport
Solon le Bureau international du travail (BIT), emplois préCaires, mal rémunéres eta faible
productivité, sont le lot do Ia
rando majorité. Les chiffres par-
ten d'eux-mémes 70% des
times do Ia recession des années 1990, los femmes constituent entre 50 et 100% do chômeurs de plus que los hommos
clans do nombreux pays industrialisés.
Le sexisme touche surtout
los pastes de responsabilité.
puisque seulement6% des
pastes do cadres supérieurs
dons le monde sont occupés par
des femmos, memo si tine nouvoIle tendance so dessine avec
une plus grande representation
feminine a des pastes qualifies.
Certaines sont méme parvenues
au sommet do Ia hiérarchie, notamment aux Etats-Unis, øü los
fémmes sont plus nombreuses
a créer des entreprises.
- Des. prbgres sont toutofóis
soulignés.. par le rapport, notamment dons les pays .industrialisés. Comme par exemplo,
des legislations sur une égalité
do salaire.
.pauvres dans le monde et 65%
Denambreuxpaysdu Nord
du milliard d'illettrés sont do
mais aussi du Sud en ant adoptéeset lesfemmes disposentde
meilloures conditions leur per-
Sexe féminin.
Car los travailleurs sont do
plus en plus destravaillouses. En
Amérique du Nord, Europe et
Japon, par exemple, deux fois
plus do femmes quo d'hommes
ont rejoint Ia population active
entre 1980 et 1990. La raison
essentielle do cette augmentation do travailleuses : Ia multiplication des emplois a temps
.partiel. 65 a 90% d'entro eux sont
occupés par des femmes, dons
los 28 pays do I'OCDE. Ailleurs,
-elles travaillent on majorité clans
l'économie informelle, moms
-bien payee et sans protection
sociale. En Asie du Sud-Est et
do rEst, los femmes représenfent jusqu'à 80% des employés
darn los industriesexportatrices.
Los conclusions du rapport
'iPlus at mieux pour lemploi dos
femmos, un guide pourEactioni.
iônt éloquentes. Pour le mOme
travail, Ia majorité des femmes
ne-gagnent en moyenne quo los
tiois-quarts du salaire d'un hornme, excepté dons l'agriculture.
Dons los pays industrialisés
comme dans ceux en voie d'indtitriajisation, cette inégalité ne
dtmJue pas. Principales vic-
mettant de conciliertâches pro-
-
fessionnelles et responsabilités
familiales. Ces avancées en ma-
tière d'egalite des sexes dans
do nombreux pays n'est pas
sans lien avec l'augmentation
des syndicalistes parmi les
femmes.
Néanmoins, 'il'égalité do
chance at de traitement pour los
fommes dons le monde du travail reste partout a atteindre
souligne Michol Hansenne. Un
objectif d'autant plus urgent que
solon los previsions du BIT,
femmes et hommes pèsoront le
memo pourcentagede Ia main
d'ceuvre dàns de nombreux
pays industrialisés d'ici Pan
2000. Et dons les pays en voie
d'industrialisation, si elles représentent mains d'un tiers de
la:populätion activ,.Ieur participation eat en augmentation.
Pour le BIT, Ia discriminatioñ dont elles sont victimos a
l'écolo constltue l'uno des principales causes de Ia pauvreté at
du sous-emploi des femmes.
France
1
INDEPEND.PNT
66000 PERPI
TEL :68.35
I11I 1996
Le rapport
Las lemmes font plus d'heures que leurs col-
30 JUIL 96
LE POPULAIRE DU CENTRE
legues masculins et sont payées 25 % de
moms en moyenne dans le monde mais elles
sont aussi plus nombreuses aujourd'hui dans
des professions traditionnellement dominées
par les hommes, rapporte le Bureau international du travail .(Bfl). tes femmes représen-
Discrimination i
La vãleur
des femmes
tent 70 % des pauvres dans le monde et
65 % du milliard d'Hlettrés.
t1oi oPgIr1oN
*
J66iI
CENTRE PRESSE - AVEYRON
MOINS
12000 RODEZi
-
LOU
0 JUL 1996
Cafltou.
de l'homme, Ii femme?
Paul-il lire poll. pour tine tell.
AVENIR
affirmation! Car nos mIres,
swwc et compagnes restent a Ia remorque d'une société machi.cte.
Dernilre preuve, la publication lzier
par le Bureau international du travail
d'une étude laissant clairement entEndre
que les femmes valeil 25% de nioins
que 1.5 hommes stir 1. marché ,h& tra-
vail!
Des quarts, nos moiliés ? MIme pas, si
l'on considère qu 'elks représentent 70 %
des pauvres dans 1. monde ci 65% du
mihiard d'iletlrés.
L.a France n'échappe pus a ladWirence de cell. discrimination noloire. Ii
existe bien tin arsenal législatif pour 1.
famneux "a travail égal salaire égal'.
Mais on se garde de le claironner.
Les femmes qui ne vivenl plus sous Ia
Intel!. absolue .de .leur niazi depuis 31.
ans seulemenl se forgent tine raison de
loujours atlendre...
Micliel Fillière
font plus d'heures que leurs
collègues masculins et sont payées 25% de
moms en znoyenne dans le monde. Elles sont
également plus nombreuses aujourd'hui darts des
professions traditionnelienient doniinées par len
hommes, rapporte le Bureau international du travail
Lfemmes
(Bri).
De plua en plus de femmes Iravaillent mais Ia
grande majorité d'entre elles va grossir len rangs des
travailleurs pauvres w, écrit M un Lim, l'auteur du
rapport publie aujourd'hui par l'agence des Nations
unies spécialisée dans len questions sociales. La
majorité d'entre ellen occupe des emplois précaires,
mal rémunérés eti bible producthité ., ajoute-t-elle
Lea femmes représentent 70% des pauvres dans le.
mondeet 65% du milliard d'illettrés. Phis de 45%
des femmes dans le monde âgees de 15 a 64 arts
Iravaillent : ellen représentent aujourd'hui plus de la
moitlé de Ia population active dans lea pays
industrialisés, contre 37% en Europe occidentale et
30% aux Etats-Unis 11 y a vingt ans, selon le BIT.
L'étude souligne que in majorite des feinmes ne
gagne en moyeone que lea trois quarts du salaire
d'un homme pour le méme travail, en dehors de
l'agriculture. Cette inégajité reste vraie dans lea pays
industriaiisés comme en vole d'industrialisalion et
l'écart ne diminue pas.
Piincipales viclimes de Ia recession des années 1990,
lea femmes an chômage sont entre 50 et 100% plus
nombreuses que lea hommes dana de nombreux
pays industrialisés. Par ailleurs, ellen n'occupent que
6% des postes de cadres supérieurs dans le monde.
Ie BIT estime que )'une des principales causes de in
pauvreté et du sous.emploi des fernmes est Ia.
discrimination dont elies sont victimes a rec1e.
France
30 1JUIL 96
L' ECLAIR PYREHEES
30 JUIL 96
VAR MATIN
: nbrnbis
30 JUIL 96
LE r1ERItIIONAL
Salaires: es femmes,
payées. 25% de moins-.
fenimes font plus
Marché
du travail '
les femme's
mal loties
femmes font plus d'heures que leurs collegues masculins et sont payées 25% de
moms en moyenne dans le mando mais elles sont aussi plus nombreuses aujourd'hui dans des pro-
LES
fessions traditiohnellernent
dominées par les hommes1 rapporte Ia Bureau international du
travaiL(Bm.4
"De plus en plus do femmes.
Lesd'heures que leurs col-
"Plus et rnieurpour l'emploi
des femmes, un guide pour
moyenne dans le inonde mais
dans le monde ágees de 15 a
publié àujourd'hui par l'agence
elles sont aussi plus nom-
des Nations unies spécialisóe
breuses aujourd'hui dans des
64 ans travaillent: elles représentent aujourd'hui plus
professions traditionnelle-
de Ia moitié de la population
legues masculins et sont
payées 25% de moms en
meat dominées par les hornmes, rapporte le Bureau hiternational du travail (Bit)
"De plus en plus de fernmes travailent mais la grande majorité d'entre elles vs
grossir les mangs des travail-
l's ction".
Plus de 45% des femmes
active dans les pays industrialisés, contre 37% en Europe oceidentale et 30% aux
Etats-Unis 11 y a 20 ans, selon
le Bit.
Lea principales conclu-
publié aujourd'hui par l'a-
sions de l'étude sont que Ia
majorité des femmes ne gagnent en moyenne que les
trois-quarts du salaire d'un
gence des Nations unies spé-
homme pour.le méme travail,
cialisée dans les questions
sociales. 'Ia rnajorité d'en-
Principales victimes de la ré-
leurs pauvres", écrit Mme
Lin Lim, l'auteur du rapport
tre elles occupe des emplois
precaires, mal rémunérés et
a faible productivité", ajoute-t-elle.
Les femmes représentent
70% des pauvres dans le
monde et 65% du mulliard
d'ilettrés, selon le rapport
en dehors de l'agriculture.
cession des années 990, les
femmes at chômage sont entre 50 et 100% plus nombreu-
ses que les hommes dans de
nombreux pays industrialisés et n'occupent que 6% des
postes de cadres supérleurs
dans le monde.
travailent mais Ia grande majorité
d'entre elles va grossir los rangs
des travailleurs pauvres", écrit
Mme Un Urn, I'auteur du rapport
dans les questions sociales. "La
.majorité d'entre efles occupe des
emplois précairos, ma! rémunérés
et a faible productivité",
ajoute-t-elle.
Los femmes représentent 70%
des pauvres dans le monde et
65% du milliard d'illettrés, solon le
rapport "Plus et mioux pour l'em-
ploi des femmes, un guide pour
l'action".
La document do pres de 200
pages représente un suivi de Ia
conference mondiale des femmes
organisée l'an demier a Pdkin et
du sommet social mondial de Copenhague do 1995.
Plus do 45% des fommos dans
le monde âgées do 15 a 64 ans
travaillent: oDes représentent aujourd'hui plus do Ia moitié do Ia
population active dans los pays industrialisés, cortre 37% en Europe
occidentale et 30% aux Etats-Unis
ii Va 20 ans, salon le BIT.
France
30 JUIL 96
LA REPUBLIQUE E1U CENTRE
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30 dUlL 96
France
LA tIARSEILLAISE
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France
30 JUIL 96
LA IIEPECHE IIU MIII
Elles font pourtant plus d'heures que les hommes.
Les salaires des femmes
'toUjóurs' a là tralne
femmes font plus d'heu-
Lesres que leurs collègues
Plus do 45% des femmes
ágóes do 15 a 64 ans
travaIent dans le monde
masculins et sont payées 25 %
de moms en moyenne clans le
monde. Mais elles sont aussi
plus nombreuses aujourd'hui
Lesfemmes
sont payêes 25%
do moms en ::moyenne
dans
le rnonde
par rapport
aux hommes
clans des professions tradition-
nellement domin6es par les
hommes, rapporte le Bureau in.tcrnational du travail (BiT). Dc plus en plus de femines
travailient, reals lagrande majo-
rite d'entre cUes va grossir les
rangsdes travailleurs pauvres *,
.c; ....
..
, --% s
écrit M' Lin Lire, i'auteur du
rapport publiC hier par l'agence
des Nations unies sp6cialisCe
jans les questions sociales. KLa
plupart d'entre ëlles occupent
des emplois prCcaires, mat rC-
*
.de pauvreté
dansIe monde
ont des femmes
, ajoute-t-dlle.
70 % des pauvres
dans le monde
et 65 % du milliard d'ilettrCs,
fommes
scion le rapport <<Plus et mieux
Chomage
Le taux do chôrnage des femmes est do 50 a 1,00 %
ion. -Ic BIT. Les principales
conclusions de l'Ctude sont que
les femmes ne gagnent en
moyenne que les trois-quarts dix
salaire d'un hon'une pour le me-
me travail, en dehors de l'agriculture.
travaillent: elles reprCsentent
Principales victimes de la rC-
aujoürd'hui pius de la moitiC de
cession des annCes 1990, les
Ia population active dans les
femmes an chômage sont entre
pays industrialisCs, contre 37 %
50 et 100 % plus nombreuses
que les hommes clans de nombreux pays industriauisés. Par
aux Etats-Unis ii y a 20 axis, se-
Los femmes Les femmes
.représantent travaitlent
de65à90% au moms 2 heures do
des emplois plus par semaine quo
a temps partiet lee hommes et souvent
28 pays do rOCDE 5 a 10 heures de p!us
d'illettrês dans
lemonde
soft des
Aijourd'I
k, Temps partiel
65%
70 % des pauvres dans le monde
en Europe occidentale et 30 %
:. llya2Oans
dumliard
Les femmes reprCsentent
mes, organisCc l'an dernier a PCkin, etdu somniet socialniondial
de Copenhague de 1995.
Dans le monde, plus de 45 %
des femmes âgCes de i5ià 64 ans
70% des
personfles
vmvant sous
munCrCs et a faible productivi-
pour I'emploi des femnies, un
guide pour i'action >. Le document repr6sente un suivi de la
conference mondiale des fern-
En%
de femmes
act!yes
ailleurs, les femmes n'occupent
que 6% des postes de cadres supCrieurs clans le monde.
Quelques progrès
'L'etude du BIT note cependant des progrês, notamment
dans les pays industrialisés : une
nette tendance a une plus grande
representation des femmes a des
postes qualifies (direction, cadres, techniciens, administration). De mCme, aux Etats-Unis,
les femmes sont plus nombreuses a crCer des entreprises. Par
- ailleurs, ies fenunes se syndicalisent en plus grand nombre et les
nCgociations collectives ont
contribuC a promouvoir l'CgalitC
des sexes dans de nombreux
pays.
Le BIT estime que l'une des
principales causes de Ia pauvretC
et du sous-emploi des femmes
est la discrimination dont cites
sont victimes des l'Ccole.
France
I EMPLOI los feinmes soot payêes 25% de moms qu los hoinmes osi
mnderappotte le Bueauintemaliofll4etXaVaU(Bfl),
moyosne d
dans un documentpublié mardi 30 juliet. Mme slretudeduBrrni*edes
progrès, notamment dans lee pays indualisés, elle esdme que I'giditi
de chance et de lruitwrient pour lesfemmee dons le moude du tmwzil, ieste
partoutàafthindre - (APE)
lPartout cantonnées dans des emplo!s précaires et mal payés
Sept pauvres surdbç soft des femmes..
El.. travalll.nt plus longtsmps mali sont moms
bl.n payè.s. El.. r.prósntint 70% d.s pauvr.s
t 65 % d.s lll.ttrós... La
situation dss fmmss dans
l mond n'st dicldómènt
La situation des temmes en 1995
pa. brlllant. Mali .11. s'arrang. un p.u, constat Un
rapport du Buraau lntrnational du travail
ant.yéss
:moIa1n
eniequaIsé
-
Partout darts Ia monde, los
temmes travaillent davantage et
gagnent moms quo los hommos.
Tel est, grosso modo, Ia constat
HnnáIt 'UsO0cUpIfltUI9O%"
unch6rnsgi desetet*
$Oèl00%supkisur pa.Ides28$*y*
cemtdeshommes.
spluskótdellsé
dressé - une nouvelle lois -
par Ia Bureau international du Ira-.
v$IABI dons un rapport publiè
.aujourd'hui. Baptise - Plus et
mleux pour l'emploi des lemmes,
*Wt
plois a tempspartlel sur dix sent
occupes par des lemmas. Dane
un guide pour I'actlon", ce document s'lnscrit dans le . prolongemont do Ia Conference mondlale
des fommes de Pékin at du Sommet social do Copenhague qui so
aunt tenus Ian dernier.
EmpIois.préqaires
rite d'.ntre sue, vs groulr los
-
pales victirnes de Ia recession
dos années 90. Dan de nom-
los pays los moms mndushialisés, breux pays industrialisés, le taux
los femmes travallient en majorité do chOmage férninin est bien plus
dansl'économle Intormelle, autre- élevé quo celui dos hommes.
fernmont dit,. au noir, sans protection rAinsi, en France, 14%
soclale. Autre Injustice: qu'ils vivent ou non dans un pays Industriallsé, pour le memo travail, las
.
.t Do plus en plus de femmes
travallient, miii I. grande male-
e
mes sont a Id recherche d'un
emplol, contre 100% des hornmao.
hommes sent en .moyenne payes
un tiers do plus quo leurs
consurs.
Comme le soullgne le BIT, l'ar-
Slgneè d'espolr
Darts ce tableau trés sombre,
le BIT distingue toutefois quel-
rings des bavalileurs peuvrss ,
rivée massIve de Ia population
quos signes d'espoir, surtout
écrlt l'auteur du rapport, Mme Un
urn. Los femmes representent
feminine sur le marché du travail
et so contribution é Ia production
de richàses ont pernils Ia crols-
darts los pays developpés: los
alnsi 70 % des pauvres darts le
monde, at 65 % du milliard d'lllettrés quo compte Ia planèto. El
parmi cellos qul travalllent, i Ia
majorité occupe des .mplols precakes, mel rémunérés eu
falbie
Dans los pays du Nord, nombre
d'entre elles sont a temps partlel.
En France, par exemple, huit em-
comma du Sud. i C'ut our cello
maIn.d'osuvr
relativement bee
femmos y sont un peu plus nombreusos a conquerir des pOstes
qualities, certains gouvernernents
adoptent des legislations surl'égailté des salaires, et le nom
saUce axes von los exportation,
'bre do syndiquées progresse.
Mels, conclut tout de memo le
sance économlque du Nord
marché quo reposent ru*l&iails compOutMté do nombreux
rapport, ii l'égatfté do chance el
pays en développement *, remarquo le rapport. Mais, a l'inverse,
los lemmes sont aussi lea princi-
parlout C atleIndie
Budget 97: ultirnes arbitrages
Le Premier ministre a engage
sa demière semaine de négocialions avec sos différents ministres
atm de boucler le budget 1997.
L'exercice est marque par une
rigueur sans precedent depuls
1958 et le gel des dépenses.
ministères seront touches par Ia
reduction du train do vie de i'Etat,
qui dolt atteindre un total do
soixante milliards de francs; los
Impéts devront cependant dimi-
30 JUIL 96
OUEST FRANCE
nuer des 1997 denviron vingt cates, avec des rentrées fiscales
milliards, ce qui nécessiterait do
nouvelles economies; Ia suppression des effectits dans Ia Fonction
publique se situeralt aux alentours de 8 a 000 postos, dont
2 000 a 2 500 darts I'Education
nationale.
Ce qui parait acquis bus les
do tnaltement pour los femmes
dens le monde du travail reste
incertaines et une reprise de Ia
crolssañce trop molle.
II ost aussi pris en tenaille entre Ia nécessité do respecter lea
critères de Maastricht, d'oü Ia reduction des deficits, at Ia crainte
de susciter une rentrée sociale
agitOe. D'autant quo lea syndicéte
Ces demiors chiffres sont en
baisse par rapport aux previsions
plus élevées des derniers laura.
Mais le gouvernement arbitre
darts des conditions trés deli-
so preparent a agiter le chiffon
rouge dos salaires et quo los
causes de mOcontentements sont
nombreuses (éleveurs, arsenaux.
médecins, fonctionnaires...).
France
30 JtJIL 96
LE JOURNAL PU CENTRE
MARCHE MONDIAL DU TRAVAIL
Les femmes "valent" 25 % de moms
que leurs collegues masculins
Genève. - Lea femmes
font plus d'heures que leurs
collêgues masculins et sont
payées 25% de moms en
moyenne dana Ic monde,
mais cUes sont aussi plus
nombreuses aujourd'hui
dans des professions traditionnellement doniinécs par
los hommes, rappoxte It Bureau international du travail.
ic
Do plus en plus do
femmes travaillent mais la
grande majoritd d'enfre des
va grossir lea rangs des fra-
vaillours pauvres *, écrit
Mine Lin Lim, l'auteur du
pulation active enfre 1980 et
calisent en plus grand
1990.
contre37%enEuropeoccidentale et 30 % aux Etats-
nombre et les négociations
collectives ont coniribuC A
do l'Est lea fenunes repré-
TJnis il y a vingt ans.
sentent jusqu'à 80 % des
promouvoir l'Cgalité des
sexes dana do nombreux
personnes employees dana
pays:
lea industries exportatrices.
La BiT prévoit quo los
fommes représenteront Ic
mzne .pourcentage de Ia
main-d'ceuvre quo lea
do ha population active dana
los pays industrialisds,
Los principales conclusions do l'átude sont quo:
- La majorit6 des
moyenne quo lea trois quarts
do salaire thin hoinme pOuf
lo ni8me travail, en dehors
de1culuire,Ceuein6ga.
ilic mare VnnC.anS,-Ie:paySY
industrialis
cdrnme
voie dndustrialisation et'
I'dcart no diñiine pas.
- .
- Prrncipøles victimeS
do la mccs8icMr des années
occupe des emplois pré-
mage sont e
fible produclivit6 *, ajoutet-dlie.
Los femmes représentent
70% des pauvres dans 10
monde Ct 65 % du milhiard
1990, lea femmes an chô-
St 100 %
plus nombreüses ue los
hommes dana do ñombreux
pays indusiEiahis6.
- Los femmes n!occu
pentque6%dospostesde
cadres superieurs dana Ic
dllettrés. Plus do 45 % des
morale.
âgées do 15 a 64 ans travail-
- En AmCrique du Nord,
Europe ot Japon, deux fois
fernmes dans lo monde
lent: dies représentent
aujourd'hui plus do la moiti6
L'Ctude note cependant
femmes ne gagne en - des progrès, notarnment
rapport.
ic La rnajorit6 d'entre cUes
cakes, rnal rdmunérés et a
EnAsieduSud-Estet
plus do femmes quo
d'hommes out rejoint la po-
.
dans lea pays industrialiads:
..- lIne nette tendance a
une plus grande représenta-
tion.. des femmes A des
qualifi6s: direction,
,tochniciens, dmini-
hommes dana do nombreux
pays industrialisCs d'ici
flin2000.
Dana lea pays en voic
ertaines sont mêrne
dindustriahisation, cUes no
forment que31 % deJa po-
ues au sommet do Ia
,hi6zrôhie.
pulation active rnais leur
fl.
A-Ax Etats-Unis, lea
feniiies sont plus nom-
breuses" A cr6er des entreprises.
-- Des I6gislations sur
participation cat en augmentation. La hausse du nombre
do femmes an travail dana
los pays du Nord eat due en
grande panic A des emplois
a temps partiel. Los femmes
une egalite de salaire out Cte
adoptáes dana do nombreux
représentent do 65 1 90 %
paysduNordmaisaussidu
des vingt-huit pays do
Sad Ct los conditions so sont
amóliorécs pour permetfre
aux femnies do concilier
tches professionnelles et
responsabilites familiales.
- Los femmes so syndi-
des emplois A tenips partiel
1OCDE.
Hors OCDE, cUes travail-
lent en majorité dana l'éco-
nornie informeile, moins
bien payee et sans protection sociale.
France
30 dUlL 96
LA REPUBLIQUE LIES
P YREHEES
30 JUIL
ÉTUDE
1.1 TELEC3I(ArIME DE: BREST
Lës femmes
aà rabais
LES FEMMES a VALENT
25% DE MOINS OUE LES HOMMES
SUR LE MARCHE DU TRAVAIL
Los femmes font plus dheures que leurs collègues masculins et sorit payees 25 % do
moms en moyenne dons le
monde mats elles sont aussi
plus flora uses atourd'hui
dons des professions trothlionnellement domlnées par
los hoffimes, rappolte le Bureau international du travail
(Sn).
Les femmes représentent
70 % des pauvres dans le
monde et 65 % du milliard
Las lemmas font plus d'heures qua louis collégues masculine at sent
payées 26% do mains an moyanna dens Ia monda mais alIas sent
eussi plus nombreusas aujourd'hui dons des professions traditionnallament dcminées par lee hommes. rapport. Ia Bureau international du
travail (BITh La majodté d'entre alias occupe des emplois précaires,
mel rémunérés at a faibte productivité. Las femmos raprésentant 70%
des pauvras dane Is moiide at 85% du milliard d'illettrés, salon I. rapport Plus at mieux pour rernploi des lemmas, un guide pour l'ac-
tiOns.
d'illettrés, solon le rapport
Plus do 45% des lemmas dens I. monde agees do 15 ê 64 ans travaillent. Principales victimas de Is rócession des années 1990, las
Plus et mieux pour l'emploi
des femmes, un guide pour
I'action
fenimes au chOmage sont entre 50 at 100% plus nornbreusas qua lee
hommes dens de nombreux pays industrialisés. Elles noccupant par
ailleurs qua 6% des postes de cadres supériaurs dens I. monda.
Dee progrés peuvent néenmoins étre constatés une natta tendanca
a une plus grande representation des femmes a des pastas qualifies.
des legislations stir une egalité do salaira ont éte adoptées dans de
nombraux pays du Nord mais aussi du Sud at las conditions sa sent
méliorées pour permattra aux fammes do concilier taches professionnelles at responsabilités familialas. Enfin, las fammes se syndicalisant
n plus grand nombre at las négociations collectives ont contribué a
promouvoir regalite des saxes dens do nombreux pays.
.
Plus do 45 % des femmes
dons le monde égées do 15
a 64 ans travaillent elles
représentent aujourd'hui plus
do Ia mollié do Ia population
-active dons tes pays industiialisds, corttre 37 % en Europe occidentale et 30 % aux
Etats-Unis ily a 20 ans, tielon
IeBIT.
Les principales cønclusions -
del'etudesontque:
- Ia majorité des femmes ne
ga9nent en moyenne quo los
trols.quarts du salaire d'un
30 dUlL 96
homme pour 10 méme travail,
LA LIEPECHE IIU MUll
en dehors do i'agnculture..
Cette Inégalité reste vrale
dane los pays Industrialisés
cornme en ve d'industrlalisation et I'écart no diminue pas.
Les salaires
des femmes
toüj ours
a 1a tralne
- principales victimes do Ia
recession des années 1990,
los femmes au chômage sont
entre 50 et 100 % plus noni-
breuses que los hommes
dons de nombreux pays In-
dustrialisés.
- les fommes n'occupent que
6 % dos postes do cadres
supérieurs dens le monde.
- en Amérique du Nord, Europe et Japon, deux fols plus
do femmes quo d'hommes ont
rejoint Ia population active
enlre 1980 et 1990.
- en Asie du Sud-Est at do
l'Est, los femmes representent jusqu'à 80% des person-
nes employees dens los
industries exportatrices.
s C'est sur Ia main d'oeuvre
feminine, relativement bon
marchd, quo repose l'industhalisalion axée vers los cxportalions et Ia compétitivité
do nombreux pays en développement, remarque M. MI
chel Hansonne, directeur
général du BIT.
L'égalité do chance et do
traitement pour los femmes
dons 10 monde du travail reste
partout a atteindre .
Le BIT estime que4'udos
principales Causes:dkaUvreté et du sous-emplot des
femmes est Ia discrimination
dont elles sent victimes a
l'école.
Photo La Ddp
Un rapport du Bureau in
ternational dutravail.
diguu
payée,eñiiöyeññe,
25 % moms cberque les
hommes.
Salaires féminins:
uNe décote de 2, %
France
Bassalaires etboraires frop lourds:
le BIT dénonceles condiflons de Era vail
des fernines dansle inonde..
tions collectives sur l'autel du
doveloppement. D'autant
GENEVE:
Laa
moms que les avantages corn-
M
paratifs êvoluent rapidement
l'autre et que lea
Cect.sur k main.d'zirnv d'une region a
Penithrne relatiwmcnt hon mar-
atouts de ce type sont très
.
éphéith
d36qxrqnt!ifldU5ttth1LS8
.
L'exemplellutextilecStdes
flbnar&surlesexportatiansci plus StfllfientlfS, sOUli$fle l'ins-
Ia compétitivité internationaie :titution. AprCs avoir quitté
kbazzpdeffiCUkelQP 1'Europo pour les pays nouvel-
panzL Le directeur générai
du Bureau international du
travail (BIT) iliustre ainsi La
condition feminine, caractCri-
see par lea bas salaires et les
horaires trop lourds. Dans un
nouveau rapport publiC a Ge-
lernent industrtaiises d Asic,
voilà cette industne engagée
dans ñne nouvelle migratiozf,
mment vers le Bangladesh
et le Vietnam, oü Ic coilt de la
main-d'ceuvre est plus faible.
C'est une facon pour le BIT de
nCve, ii note que, ' si/es réclamer le p1cm respect des
fenimes scat toujourspitis nombrcuses a travail/cr, Ia plupart
d'cntrc elks rcjoigncntics mugs
des rawJlicurspauvres La majoi*é d'cntrc cUes compant des
cmp!oispráircs ma! rIttibuà
pivductMtén.
eta
conventions du travail et de re-
commander aux pays du Sud
de ne pas donner des armes
aux tenants d'une clause sociale censée rCequilibrer Ic
commerce international.
..Dans.l'enseniblc du monde,
les femmes sent en moyenne
payées 25 % de moms que les
hommes. Dans les pays développés elies travailient pourtant au moms deux heures de
plus par sernaine. En Allemagne, en Australie et au Canada, la durée dutravail est a
peu prés égale alors qu'en Italie eUes effectuent 28 % de travail en plus, 12 % en Autriche
et 11%en France. Au Japon,
des consaôrent' fleuf fois plus
Legislations
spéciales
Les grandes conferences de
Bemjmn
sur les femmes et de
Copenliague sur Ic developpe-
ment social avaient en 1995
fourni amplement l'occasion
de brosser un état des lieux. Le
BIT entend aujburd'hui servir
de guide pour redresser la Situation. ft prone ainsi Ia prise
en compte d'un. certain
activités nóil renunerees. lIne
.nombre de considerations permettant d'amCliorer le sort des
femmes au travail. C'est ainsi
chose est sare, partout cites
qu'ii réclame l'application du
de tempquë1 hommes a des
paient le tribut le plus lourd a
la-recession. Dans les deux
tiers du monde industrialisé, Ic
taux de chômage pour les
femmes est de 50 % a 100 %
supérieur a celui des hommes.
Atouts
très éphémères
-
principe dck vaieurcvmpamb/c -m qui veut qu'un salaire
égal soit assure pour un travail
Sans trancher lé débat, le
rapport appelle par ailleurs a
un examen attentif de deux
questiofls trés controversées.
Celle des legislations spéciales
introduites pour tenir les
femmes a l'écart des emplois
La globalisation de l'écouoC'est le ens des intermie profite pourtant aux pénbies.
dictions du travail de nuit qui
femmes, dans Ia mesure oü
rnvestissements directs, effectués par exemple par les multi-
nationales dans les zones
franches d'exportation, ont
créé de multiples pastes de
vail dont jusquà 80 % leur
sont réservés. Mais ii s'agit
presque toujours de labeur intensifet mal thtribué.
C'est l'occasion pour Ic BIT
d'inciter lea gouvernementS
concemés a ne pas affaiblir tes
lois et regiements sociaux pour
attirer lea capitaux étrangers
et a ie pas sacrifier Ia liberté
d'associatiOfl et de négocia-
constituent désormais, scion
certains, de véritables entraves
i'accession au marché professionnel.
lien irait de même -pour La
fixation de quotas rigides, qui
permettraieflt aux femmes
d'accéder de facon autoritaire
aux postes a pourvoir. Une
telie pratique, souhaitée par lea
uns, est jugée contre-productive par lea autres. Elle pour
rait cependant etre pratiquCe a
titre provmsoir, le temps de rCtablir uncertain &iuilibre.
_ M.
LYON FIGARO
30 JUIL 96
France
Femmes
ps .dè travail,
;
30 1JUIL. 96
LES DEPECHES
30 JUIL 96
LA TRIBUNE LE PR0RES
Q.PROVINd C
1996
LE JOURNAL DE L'AIN
JOURNAL D
LOIRE
SAONE
ET
'
U
71100 CHLON SUR
SAO
niOins d'argent
En nombre, des pèsent de plus en plus
sur le marché du travail. Mais avec des emplois
-.
féminins le plus souvent précaires,
mal rémunérés et peu qualifié.s, l'égalité
-. des sexes est loin d'être une réalité,
commé le montre un rapport de I'ONU
le marché du travail,
Sur
femme. Si ellesfont plus
d'heures quo leurs coHègues
ii no fait pas bon être une
lisation, cette inégalite ne di.
minue pas. Pnncipates victimes
do Ia recession dos annéos
1990, las femmes constitUent-
masculins, ellos sont payées
'25% do moms. Ainsi, malgré
quolques avancéos, los discriminations hommos-femmes
entre 50 et 100% do chômeurs
do plus quo los hommes dans
do nombreux pays industriali-
I'-ONU, publié aujourd'hui, et
qui fait suite do Ia conféronco
mondiale dos fommes organi- '
sea l'an dernier a Pékin et du
sonimet social mondial do Co-
Lesexismotouchesurtout
los postos do responsabiljtO
puisque seulement 6% des
postes do cadres supérieurs
dans lo mondo sont occupés
porsistent. Un rapport do
ppnhaguo de 1995, vientconfir-
mer, chiffres a l'appui, ce quo
sés.
par des femmes, memo si une
nouvélle tendance so dessine
avec une plus grande repré-
tout Ia monde salt déjà. De
plus en plus do femmes tra-
sentation feminine a des
vaillent mais Ia grande majorité
pOStOS qualifies. Certaines sont
dentre elles va grossir les
memo parvenues au sommet
do Ia hiérarchje, notamment
ran,gs des travailleurs
pauvres., écrlt Mme Un Urn,
l'autour du rapport.
Selon-le -Bureau 'internstionel du travail (BIT), emplois
précaires, mal rémunérés et
produCtivité, sont le. lot
aux Etets-Unis, oO les femmes
sont plus nombreuses a créer
des entreprises.
Des progrés sont toutefois
soulignes par le rapport, notamment dans los pays industrialises.Commeparexomple,
des legislations sur une égalité do .salaire. Do nombroux
pays du Nord mais aussi du
fble
Ia grande majorité. Les
oh5ffres parlent d'eux-mOmes:
Q% des pauvres dans lemon-
4frt 65% du milliard d'illettrs sont do sexo féminin.
-.
Sud-en ont adoptees ot les
-Carlestravailjeurssontde
femmes. disposent
tJapon, par exemple, deux
meilleures conditions leur permettant do conciliertâches professionnelles et responsabjlj-
iDus en plus des travailleuses.
EfAmeriquo du Nord, Europe
Gi plus de femmes que
ont rejoint Ia poulation active entre 1980 et
1990. La raison ossentielle de
aette augmentation de travailleuses Ia multiplication
des emplois a tomps partiel.
65a 90% d'entre eux SOflt OC
cupés par des femmes, dens
les28paysderOCDE.p.jIleurs
eiros travaillent en majorité
dons l'économie informelle,
de
tésfamjljales.Cesavanoson
matière d'egalite des sexes
-
dans do nombroux pays n'est
pas sans lien avec l'augmentation des syndicalistes parmi
los femmes.
Néanmoins, icl'égalité do
chance et do traitemerit pour
les femmes dans lo monde du
travail reste partout a at-
teindrei souligne Michel Han-
thoins bien payee et sans protection sociale. En Asie du SudEat at do VEst, los femmes -
senne. Un objectif d'autant
employés dans los industries
exportatricos.
r. Los conclusions du rapport
4Plus et mieux pour I'emploi
pourcentage do Ia main
2000. Et dans los pays en voie
l'action sont éloquentes. Pour
l-rhéme travail, Ia majorité des
d'industrialisation, si elles représentont moms d'un tiers do
Ia population active, leur par-
résentent jusqu'à 80% des
des femmes, un guide pour
femmes no gagnerit en moyen-
ne quo los trois-quarts du sa-
hire d'un homme, excepté
dens lagriculture. Dens les
pays industriahisés comme
dans ceux en voie d'industria-
plus urgent quo selon les pre-
visions du BIT, femmes et
hommes péseront Ia memo
d'cuvre dans de nombreux
pays industrialisés d'lci l'an
ticipation est en augmentation.
Pour le BIT, Ia discrimina-
tion dontelles sontvictimes a
l'écoleconstitueI'unedesp.
cipales causes do Ia pauvreté
at du sous-emplol des femma
-
France
30 JUIL 96
LA CORSE
30 JUIL 96
LE PROVENCAL
BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL,
Lesfemmes travaillent plus
nais sont moms payeeS
Les femmes font plus dheu.
hommepour, le méme travail,
moms en moyenne dans le mon
recession des années 1990, les
femmes an chOmage sent entre
res que leurs collègues nias-. ;Cndaiu0r8 de l'agrlculture.
- principales victimes de la
culius ét sont payées 25% de.
de mais elies sont aussi plus
nombreuses aujourd'hui dans
des professions traditionnellement dominées par les hommes,
rapporte le Bureau internatlonal du travail wm.
"De plus en plus de femmes
tzavaillentmais in grande majo-
rite d'entre elies va grossir les
mugs des travailleuiupauvres",
50 et 100% plus nombreuses que
les hommes.
-ins femmes n'occupent que
6% des postes de cadres supérieurs dans le monde.
-en Amérique du Nord, Europe etjapon, deux fols plus de
femmes que d'hommes ont rejoint in population active entre
écrit Mme JAn 1Am, l'auteur du
1980 et 1990.
dial de Copenhague de 1995.
Les principales conclusions
les femmes commencent a accé-
de l'étude sont que:
-Ia majorité des femmes ne
prises. En outre, des
- en Asie du. Sud-Est et de
rapport publié hier par l'agençe des Nations umes spéciall- l'Est, les femmes représentent
sée.dans les questions sociales.. jusqu'à 80% des personnes emLe document, de pres de 200 pa- ployees dans les Industries exges, représente un suivi de la portatrices.
L'étude du BiT note cepenconference mondiale des fernmes orgarnsée l'an dernier a dant des progres, notamñient
Pékin et du sommet social mon- dans les pays industrialisés oa
gagnent en moyenne que es
trois-quait.. u salaire dun
der a des postes qualifies unportants et a créer des entre-
legislations ont éte adoptée
urune egaiité dessalaireF
France
L' EVEIL DE LA HAUTE
LOIRE
43000 LE
W JUIL. 1995
$ femmes au travail
J PIuS d'heures,, moms d'argent
1s femmes
vàlént 25 % é moms que les
nmes sur lemarché du travail, se/on le BlT
One si.elles sont plus nombreuses a travailler,
sont souvent ma! rérnunérées.
Sur le marché du travail, il ne fait
pas Don Otre une femme. Si elles
font plus d'heures que leurs col-
lègues masculins, elles sont
payées 25 % do moms. Ainsi, matgre quelques avancées, les discri-
minations hommes-femmes persistent. Un rapport de I'ONU, publié
mardi, et qui fait suite a Ia conférence mondiale des femmes orga-
nisée I'an dernier a Pékin et au
sommet social mondial de Capon-
dans ceux en vole d'ndustrialisacette inégalité ne diminue pas.
Principales victimes de Ia récession des années 1990, tesfemmes
constituent entre 50 et .100 % do
chômeurs do plus que les hommes
dans de nombreux pays industrialisés.
Le sexisme touche surtout les
postes de responsabilité puisque
seulement 6 % des postes de
cadres supérieurs dans le monde
hague de 1995, vient confirmer, sont occupOs par des femmes,chiffres a l'appui, ce quo tout to memo si une nouvelle tendance so
monde salt déjà rDe plus en plus. dessine avec une plus grande
de femmes travaiientrnais/a.gran-
representation -feminine a des
de majorité d'entre elles va rossir postes qualifies. Certaines sont
les rangs des Ira vailleurs même parvenuos au sommet do Ia
pauvres ', écrit MM Un Lim, hiérarchie notamment aux Etatsl'àuteur du rapport.
unis,-oi les femmes sont plusnombreuses a créor des entreprises..
LES CHIFFRES PARLENT
Solon le Bureau international du
DES PROGRES
travail (BIT), omplois prÔcaires,
mal rémunérés et a faible productivité, sont le lot de Ia grande majori-
té. Los chiffres parlent d'eux-
memos :70 % des pauvres dans le
monde et 65% du milliard d'illettrés
sont de sexe féminin.
Car tes travailleurs sont de plus
en plus des travailleuses. En Amé-
rique du Nord, Europe et Japon,
Des progrès sont tàutefois souli-
gnes par le rapport notamment
dans tes pays industrialisés.
Comme par exomple, les législations sur uno égalite de salaire. De
nombreux pays du Nord mais aussi
du Sud en ont adoptées et los
femmes disposent deniellioures
conditions teur permettant do
par exemple, deux fois plus de
concilier tâches professionnelles et
femmes que d'hommes ont rejoint
Ia population active entre 1980 et
avancées en matiére d'égalité des
1990. La raison essentielle de cette
augmentation do travailleuses : Ia
multiplication des emplois a temps
partiel. 65 à"90 % d'entre eux sont
occupés par des femmes, dans les
28 pays do l'OCDE. Ailleurs, elles
travaillent en majorité dans I'éco-
nomie informelle, moms bien
payee et sans protection sociale.
En Asie du Sud-Est et de l'Est, los
femmes représentent jusqu'à 80 %
des employés dans les industries
exportatrices.
CONCLUSIONS
Les conclusions du rapport
Plus et mieux pour l'emp!oi des
femmes, un guide pour !'action
sont éloquentes. Pour le méme tra-
vail, Ia majorité des femmes ne
gagnent en moyenne quo los trois-
quarts du salaire d'un homme,
excepté dans l'agriculture. Dans
les pays industrialisés comme
responsabilités familiales. Ces
sexes dans do nombreux pays
n'est pas sans lien avec l'augmentation des syndicalistes parmi los
femmes.
Néanmoins,
l'égalité de
chances et de traitement pour les
femmes dans le monde du travail
reste partout a atteindre
souligne
Michel Hansenne. Un objectif
d'autant plus urgent quo solon los
previsions di,- BIT, femmes et
hommes pèseront le méme pourcentage do Ia main d'ceuvre dans
de nombreux pays industrialisés
d'ici l'an 2000. Et dans les pays en
voio d'industrialisation, si elles
représentent moms d'un tiers de Ia
population active, leur participation
est en augmentation.
Pour le BIT, Ia discrimination
dont elles sont victimes a I'école
constitue I'une des principales
causes do Ia pauvreté et du sousemploi des femmes.
s'
France
30 JUIL 96
LA flONTAGNE
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France
Sur Je march du travail
Les femmes
"valent" 25. %'
de moms
.;':quë les hommes
S
3AOUT9'
LIBERATION CHAt1PAGf1E
Lés lemmas font plus d'heures qué leure coilegues
mascullns et sont payées 25% de mains en moyenne dens
le monde male elles sont ausil plus nombreuses aujour-
d'hui dana des professions tradftlonnellement dominées par
lea hommes, rapporte Ic Bureau International du travail.
(BIT).
De plus en plus de femmes
Iravalilent mals Ia grande majorite d'entre elles va grossil las
ranps des travailleurs pauvres",
lisation axOe vers los exporta-
lions el Ia compétitivité do
nombreux pays en développe-
mont", remarque M. Michel
:écnt M" Un Lim, l'auteur du
Hansenne, directeur general du
rapport pubile mardi par
BIT.
'i'agence des Nations unles
L'étude du BIT note capondant des progrès, notamment
spécialisée dans les questions
sociales. La majorité d'entre
elles occupe des emplois precaires, mal rOmunérés at a faible productivite", ajoute-t-elle.
dans las pays industrialisOs:
- une nette tendance a une
plus grande representation des
fommes a. des postes quali'flés: direction, cadres, techni-
Les femmes reprOsentent
70 % des pauvres dans le
dens, administration. Certaines
sont memo parvenues au sommet do Ia hiérarchie.
monde at 65 % du milliard d'iliettrés, salon So rappoñ Plus at
.mieux pour. i'emploi des fern-.
Jnes, Un guide pour i'action".
Le documeflt de' près do 200
- aux Etats-Unis, los fernmes sent plus nombreuses a
créer des entreprises.
des legislations sur une
pages reprOsente un suivi do Ia
égalité do salaire ont ete adop-
conference mondiale des fern-
tees dans de nombreux pays
du Nord mais ausél du Sud at
(as conditions sa sent améllorées pour permettre aux fern-
mes organisee l'an dernier a
Pékin et du sommet social
mondial de Copenhague de
'1995.
mes de concilier tAchas professionnelles el responsabilités
miliales.
) , ljus de 45% des femmes
tdans le monde égées e 15 a
'64 ans travalilent elles repi-esentent aujourd'hui plus de Ia
moitiO de Ia population active
- las lemmas se syndicallsent en plus grand nombre at
dans los pays industrialisés,
contre 37% en Europe'occi-
las nOgoclations collectivos ont
contribuO a prornouvoir I'égalité
des sexes dens do nombreux
dentale et 30 % aux ,Etats-Unis
ily a 20 ans, salon Ia BIT.
Las principales . conclusions
de l'étude sont que:
- Ia majonté des lemmas ne
pays.
NOanmb$ns, dit M. Han.
senne, 'l'égalfté do chance et
do traltemant pour las lemmas
dens (a monde du travail reste
ganent en moyenne que les
trous-quarts du sataire d'un
homme pour le méme. travail,
en dehors de l'agriculture.
Cotta Inégalite reste vraie dans
les pays industrialisés comme
en vole d'industrialjsation at
l'écart ne diminue pas.
- principales victimes de Ia
recession dos années 1990.
las femmes su homage sont
entre 50 et 100% plus nombreuses qué los hommes dans
de nombreux pays 'industrialisés
- les femmes n'occupent
que 6 % des postes de cadres
supérieurs dans le monde. -
en AmOrique du Nord, Europe
et Japon, deux lois plLrs.de
lemmas quo d'hommes ont rejoint Ia population active entre.
1980 at 1990.
- en Asie du Sud-Et at do
partout a atteindre".
-
Le BIT prévolt quo las fernmes représenterord Ia memo
pourcentage de Ia main d'ceuwe que las hornmes dens do
'nombreux pays industrialisés
'd'ici l'an 2000. Dans las pays
en vole dindustrialisrttion, alIas
ne torment que 31 % do Ia population active mais leur participation est en augmentation,
La hausse du nombre de fern-
mes au travail dans los pays
du Nord est due en grande
partie a des emplois a temps
partial. Las femmes représenlent de 65 a 90% des emplois
a temps partiel dos 28 pays de
l'OCDE.
Hors OCDE, elles travaillent
en majorité dens l'économie In-
formelle, mains bien payee at
sans protection soclale.
EEst los lemmas représentent
jusqu'è 80 % des personnes
employees dans les industries
exportatrices.
"Cest sur Ia main d'uvra
feminine, relativemerut bon
marché, que repose l'industria-
La BIT estime que l'une des
principales causes de Ia pau-
vreté at du sous-emplol des
temmes est (a discrimination
dont elles sont victimos a
iécole.
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France
30 JUIL 96
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30 JUIL 96
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LYON MATIN
Femmes :.
plus.de. fravail
En nombre, elles pèsent de plus en plus
surie marché du travail. Mais avec des emplois
féminins le plus souventprécaires, .rnal rémunérés et .peu qualifies, l'égalité
des sexes est loin d'être une réalité,
comme le 'nontre ün rapport de l'ONU
Ic inarché du travail, ii
ne fait pas bon être une
femme. Si ellesfont plus
cYheures que leurs èollègues
masculins, elles sont payées
times de Ia recession des années 1990, los femmes constituent entre 50 et 100% de ché-
Sur
mourn de plus quo les hommes
dans de nombreux pays indus-
25% de moms. Ainsi,malgré
trialisés;
I.e sexism&touche surtout
quelques avancées, los discri-
minations hommes-femmes
les postes do responsabilité
puisque seulement 6% des
persistent. Un rapport del'ONU,
publié aujourd'hui, etqui fait
postos do cadres supérieurs
suite de Ia conference mondiaIc des femmes organisée I'an
dernier a .Pékin et du sommet
social mondial de Copenhague
dons le mondesontoccupes par
des fammes, même si une nouvoIle tendance so dessine avec
une plus grande representation
feminine a des postes qualifies.
Certaillessont memo parvenues'
au sommet do Ia hiérarchie, noamment aux Efats-Unis, oCles
emmes sont plus nombreuses
créer des entreptises.
Ce 1995, vient confirmer, chiffres
a l'appui, ce quo tout le monde
Sait déjà. De plus en plus de
femmestravajllent mais Ia gran(Iemajoritôd'efltr&ellesvagros..
sir los rangs des travalileurs
pauvres., écrit Mme Lin Urn,
.t
J'auteur durapport.
Solon Ia Bureau intêmatio.
hel du travail (Bin, emplois precaires, mal rémunéEé$ eta foible
productivitê,son I lot, dela
grande majonté.tècIres p
lent d'eux-mêmes 70% des pauvres dans le mond. et 55%
.
Des progrs sont toutefois
par 18 rapport, no-
$ oulignés
tamment dons los pays indusnalisés. Comme par exemple,
d es legislations sur uno égalité
d o salaire.
Denombreux pays du Nord
du milliard d'illettréssont do
mais aussi du Sud en ont adopSexeféminin. ..... , .........,. éeset los femmes disposent de
Car los travâilleurs sent do
meilleures conditions leur perplus en plus destravailIeuees En.. mettantde conciliertâches proAmérique duNord, Europe et - essionnelles ot responsabilités
Japon, par exemple,deux4ois miliales. Ces avancées en maplus defemmesquecPhommes
tière d'égafite des sexes dons
ont rejoint Ia population active
d o nombreux pays n'est pas
entre 1980 et 1990. La raison
Øssentielle de cette augmentation do travailleuses Ia multiplicatron des emplois à temps
ans lien avec l'augmentation
dossyndicalistes parmi los
femmes.
partiel. 65 a 90% d'entre eux sont
Néanmoins1 tlégalité de
occupés par des femmos, dons
les 28 pays do I'DCDE. Ailleurs,
elles travaillent on majojité dons
chance et detraitement pour les
femmes dons Ic monde du travail reste partout a atteindre
souligne Michel Hánsenne. Un
objectif d'autant plusurgent que
léconomje informelle, moms
bien payee et sans protection
socialo. En Asie du Sud-Est et
do l'Est, lesfemmes représentent jusqu'à 80% des employés
dons los industries exportatrices.
Los conclusions du rapport
'Plus et mieux pour l'emploi des
femmes, un guide pour l'action
sont éloquentes. Pour le memo
travail, Ia majorité des femmos
no gagnenten moyenno quo los
trois-quarts du salaire d'un hornme, excepté dans lagriculture.
Dans les pays industrialisés
comme dans ceux en voie d'industrialisation, cette inégalité ne
diminue pas, Principales vic-
solon los previsions du BIT,
femmes et hommes pèseront lo
mOme pourcentage do Ia main
d'ceuvre dans do nombreux
pays industrialisés d'ici Pan
2000. Et dons los pays en voie
dindustrialisation, si elles représentent moms d'un tiers do
Ia population active, teur participation est en augmentation.
Pour lo BIT, Ia discrimination dont ellos sont victirnes a
l'école constitue l'une des prin
cipalos causes de Ia pauvrete
du sous-emploi des fo
France
LA DEPECHE DTJ MIDI
31000
-
-
France
/
TOL3UUT 1996
,.Les.fèrnmes.:,
ut sous-pavees
Les salaires des femmes de Toulouse et dela
region sont inférieurs de 25 % a ceux des
hommes. La diffrecê est plus importante.
pour les chefs d'entreprise que pour les
...
ouvrières.
vaut8tie ouvrière
et employee que pa-
Mieuxtron... lorsqu'on
Les femmes cadres
ónt
:
compare les salaires des femmes
Toutefois, ces disparités ne
etdeshommesdanslarégion.En
sont pas majoritairement le fait
de chefs d'entreprisemisogynes.
L"ana!yse seraittrop somm2ire.
effet, a Toulouse et dans Midi-
Pyrénées,les salaires des pIemières sont en moyenne infé
rieurs de 25 % a celui des se-
conds pour l'ensembledes
rémunérations.
Maisunefemmechefd'entreprise gagne un tiers de moms
(35 %) qu'un homme patron,
alors que la difference pour les
salaires ouvriers eat de 17 % en
défaveur des femmés et de 10 %
pour ceux des employés. Toute-
fois, une femme patron gagne
9.780 F net par mois et tine ouvriIre 5.3 14 F...
Rests que Ia difference entre
les salaires fCminins et masculins est éloquente. Les chiffres
publiés dans ce domaine enjuil-
let dernier par l'Insee de MidiPyrénées - a partir des salaires
mensuels nets moyens verses en
1993 illustrent tine fois de
plus les disparités criantes enire
les hommes et les femmes en
matière de rémunCrations.
Une situation qui n'est pas
propre ala region. On!' observe
dans le monde entier comme
vient de le démontrer le Bureau
International du Travail (le B11)
dans tine étude consacrde au travail des femmes. Elie fait appamitre que les salaires de ces des-
iièressontinfCrieursde25i% a
ceux des hommes (Ia Ddpéche
du 30jufflet 1996).
Elles illustrent bien davantage in
place que les femmes occupent
clans lahidrarchie des entreprises
et de !'emploi.
-
En d'autres termes, les fernmes sontplus souvent ihfiriniIres que médecins spécialistes.
Un chiffreéloqjient adans laré-
gion, !es femmes cadres sont
deux fois moms nombreuses que
les hommes, a!ors qu'elles sont
quatre fois plus présentes chez
les employees secteur oh les salaires sont plus faibles.
Les fravaux publics
àlatramne
L'dtude de !'Inse met aussi
ledoigtsurle fait que les disparitéc salariales ne se Iimitent pas
aux hommes et aux femmes El-
las s'observent aussi, pour les
deux sexes, entre les secteurs
d'activités.
-
C'est ainsi que Ic bâtimënt et
les travaux publics < sontlanterne rouge dam ce domaine affirme l'lnstitut. Les salairessont
25 % inféricurs a ceux de là région. Les Ctablissements industriels sontles plus gCnCreux, me-
me pour -les rémunéralions des
jeunes do moms de 25 am.
Las femmes sent plus souvent infirmières que grand patron de
chirurgie. (Photo archives c La Dépéche *)
La Haute-Garonne
en premièreilign
Enfin, les disparités salariales
sont aussi géographiques. Le salaire moyen de Ia Haute-Garonne est supdnieur de 8 % àcelui de
Un jeune dc cette tranche
la region et ceux des departsments ruraux infénieurs a cette
d'âge percoit en móyénnéiiiiè.a
laire netde 4.227 Fdath l'indusInc. 3.456 F dana le BTP et de
3.618 F dans le tertiaire.
Alors que le salairemensuèl
net moyen perçu dana Midi-Pyrénées, toutes categories socio-
professionnelles confondues,
s'6lve a 8.100 F, ii est de
7.000 F dana le Gers, de 7.750 F
clans Ic Tarn et les Hautes Pyre-
nées et se situe dam tine four-
chette de 8 a 9.000 F dans la
Haute-Garonne.
En clam, du point de vue du
salaire, mieux vaut Ctre un horn-me cadre travaillant a Toulouse
qu'une femme employee vivant
clans un departement rural.
Ginette TOULET
JAPAN
Women still
Mainichi Daily News
31 July 1996
struggling
despite some
progress
GENEVA (AFP-Jiji) - Wo-
men work longer hours than
men do, but earn on average 25
percent less, the International
Labor Office (ILO) says in a
report out Tuesday.
This is despite the fact that
more women today fill jobs
that used to be traditional male
domains, the U.N. agency says
in "More and Better Jobs for
Women: An Action Guide."
"While more and more wo-
men are working, the great
majority of them are simply
swelling the ranks of the work-
ing poor," said Lin Lim, who
prepared the report.
"Women's economic activities remain highly concentrated
in low-wage, low-productivity
and precarious forms of employment," she said.
Women represent 70 percent
of the world's poor and 65 pei-
cent of its 1 billion illiterates,
the report says.
More than 45 percent of
women aged 15 through 64
work, representing more than
h?If of the working population
in industrial countries, cornpared with 37 percent in western Europe and 30 percent in
the United States 20 years ago.
.
These are two of the major
findings of the report, which
follows up on last year's international women's conference
in Beijing and a 1995 world
summit on social issues in
Copenhagen:
Outside agriculture,
women earn by average only
thrcc-quarters of what men are
paid for the same work; that is,
25 percent less - a gap that is
found in both industrialized
and developing countries.
Unemployment among
women is 50 to 100 percent
greater in several industrialized
countries, making women the
principal victims of the economic downturn of the 1990s.
JAPAN
Nihon Keizal Shimbun
30 July 1996
j4,
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I
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*
IJ+
..
S
°
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Women work longer hours for lower wages, says the ILO report
GENEVA, 30 July (Jiji) - While women are obliged to work longer hours than men (including unpaid domestic
work), women earn on average three-fourths of the male wage for the same work, says the report released by
the International Labour Organization (ILO) today.
The report fmds that in developed countries, women work at least two hours per week more than men, and
often five to ten hours more per week. In Australia, Canada and Germany, the hourly work loads of men and
women are roughly equal, but in Italy women work 28 percent more than men and in France 11 percent.
In Japan, family responsibilities weigh unproportionately more heavily on women than on men and the time
women spend on unpaid domestic work Is nine times greater than that of men. This is ten times greater than
Kenya. The fact reveals the underdeveloped situation of Japanese men in the domestic work.
JAPAN
Sankei Shimbun
30 July 1996
Women hold only 6% of senior
management jobs
More women are working but the
female-male pay gap stifi exists, says
ILO report
GENEVA, 30 July (Kyodo) - On 30
July, the International Labour I
Organization (ILO) released a report,
which fmds that while more and more
women are working, as exemplified by
the fact that more than 45 percent of all
the world's women (aged 15 to 64) are
economically, active in 1994, women
earn on average just three-fourths of the
male wages and hold less than 6 percent
of senior management jobs.
'The report entitled More & Better Jobs'
for Women says that in the industrialized
member countries of the OECD,. 60
percent of women work, compared'to 53
percent in the decade ago.
However, even in the OECD countries, women make up between 65 and 90 percent of all part-timers and
much of the' growth in the women's labour force has come in part-time employment.
Women hold 14 percent of management jobs and only 6 percent of senior management jobs. The gap between
male and female average wages is not decreasing. The discrimination starts early from the childhood. Of the
approximately 100 million children in the world without any access to primary education, 60 percent are girls.
The report highlights the need for several actions such as (i) reducing occupational segregation by sex in order
to elTminatë male-female wage differences, (ii) measures to improve security in part-time employment and (iii)
'-building family-friendly workplaces through measures such as maternity protection and child care services.
Maroc
Liberation
30.07.96
I
Jf
onstat implacable dii Bureau internatiOnal dii travail
Los femmes sont surexploitëes et soupayëes
d'une égalitd telle qu'elle
devrait exister. Outre lea
disparités de salaire, les
femmes sont plus exposées
au chOmage, entre 50 et
100% plus nómbreuses que
les hommes dans de nombreux pays industrialisés...
Dc plus, cUes n'occupent
que 6% des postes de cadres
supérieurs dans le monde.
Dans bon nombre de pays
(Asie du Sud-Est et de
FEst...), cUes sont majoritaires dans le secteur des
exportatrices.
industries
Michél Hansenne, directeur
général du BiT, en donne
'4
d'ailleurs la raison: "C'est sur
Ia main d'ceuvie feminine,
relativernent bon marché,
que repose l'industrialisation
axée sur lea exportations et Ia
:
compétitivité de nombreux
pays en ddveloppement".
i.e nombre de femmes
qui rejoignent Ia vie active
augmente comme le souligne
Mine Lin Urn, Fauteur du
rapport du BIT: "Dc plus en
lus et mieux pour
l'emploi
des
femmes, un guide
qu'aux trois quarts du salaire
qui échôit au sexe oppose
plus de femmes iravaillent
pour le même travailaccompli.
Situation d'autant plus
d'enire elles va grossir les
pour l'action".
II ne s'agit pas de I'intitulé
dun manifeste érnanant de
quelque groupe avant-gardiste, et hautement féministe,
mais plutôt dun rapport dressé en 200 pages par le Bureau
international du travail (BiT).
Dans le monde du travail, les femmes sont victimes d'une discrimination
criarde. Généralement, elles
font plus d'heures de tavaiI
que lea hommes, pour' un
sälIre inférleur.
Elles n'ont drnit pour une
/ bpine partie d'entre cues
/
grave qu'eIle ne conceme pas
mais la grande majorité
rangs des travailleurs pauvres
trialisés quelques progrès
(pour) occuper des emplois
pnicaires mal rdrnunénis et a
faible productivité".
L'une des principales
causes de la pauvreté et du
aient étd relevés a ce niveau.
sous-emploi des femmes,
que les seuls pays en voie
thndustrialisation, bien que
dans les cas des pays indusLes femmes y occupent
de plus en plus des postes
qualifies: direction, cadres,
souligne le BiT, eat la disciimination dont elles sont victimes a l'école.
techniciens, administration...
llurgedonc defaire"
Dans de nombreux pays, plus et mieux pour l'emploi
les conditions de travail de la des femmes" qui iuprésentent
femme ont été améliorées, et aijounf1iui 70% despauvres
des legislations sflr une égali-'4ns le monde. Ct 65% du
té de salaire ont etd adoptées. milhiard d'ilettrés.
On reste toutefois loin
Mohained BENARBIA
Luxembourg
Luxemburger Wort
30.07.96
J4J (
IL.c-B.eport rr
J
_Giobaibis!riminiv;aLi
(dpa).
Gerineb13j1èfangere
.Arbeitszeiten und schieclitere Bildungschancen verhindern weitweit
nes threr xnnnnlichen Kollegen. Da-
gung von Frauen im Beruf. Das 1st
strie1ard oder in elnem Entwick-
'
bei mache es kaum einen Unter-
noch immer die Gleichberechti-
schièd, ob die Arbeit in einem Indu-
ç1as Ergebx4s einçr Studie des Inter-
lungsiçi verrichtet wrde.. ,,Die
natiobalèn Arbettsamtes (ILO), die
am Montag : in Genf vorgelegt
wurde. ,,Imther mebr Frauen wer-
den berufstAtig, doch lassen ste
meist nur das Heer der in Armut lebenden Berufstatigen anwachsen",
meint die Autor n des Berichts, .Lin
Lean Lim Denn die meisten-Arbei
ten seien unterbezahit, unproduktiv und oft audi geiahrlich
Für die meisten Jobs atiBrha1b
erhalten
Landwirtschaft
der
-
)Jr .)
Schere scblieSt sich thcht', wird in
der Studie erkl.ärt.
Seibst in den reichen Industriestaaten lagen die Arbeitslosenquoten für Franen zwischen 50 und 100
Prozent Ilber jenen der Manner. Er-
gattern. Frauth einen guten Job,
stoflen ste kaur fn die Spitze-
gruppe jór. Nur sehs 1rozent aller
Positipnen. im Top- Management
sèiéñ von FraUê:; besetzt, fsrnd
I41
.
i9 L
Dennoch verzeichnen e .vrau
auch kleine Erfolge im Kanipf urn
einen Platz im Arbeitsmarkt, vor
allem in den 28 Industrieländern
,dér OECD. In diesen Staaten, aber
auch in LateiriRmerika und der Ksribik, offnen sich den Frauen irnmer mehr technische Berufe und
BeschaftigUngefl im Verwaltungs-
bereich. Ihre Chancen ergreifen
Frauen dort, wo ale gleiches Geld
für gleichen Lohn erhalten und Sozialgesetze he]fen, Familie und Beruf in Einklang zu bringen. Noch
werde die Diskriminierung von
Frauen etwa durch thre Kouzentra-
tion auf bestimmte Berufe gefor-
Lean lAm
ILO-Reporv
,,Globale DiskthTlinierUflg
von Frauén
in a Arbeitswelt"
(Fotsetzung von Sete 3)
dert, stelit derBericht fest. So seien
45 Prozent slier Beschaftigteñ n
den USA, GroBbritaDfliefl und
Frankreich in Berufen, die von etnem Geschlecht bis zn 80 Prozent
In den
doininiert wOrden.
Exportzonefl der aufstrebendefl
asiatischen Staaten würden Frauen
ebenfalls bis zu 80 Prozent der
ArbeitskrAfte stellen. Build 70
Prozent alier Frauen, die sich in der
DominikaflisChefl Republik mit
Gelegenheitsiobs das Notigste zum
tThetleben verdientefl, lagen mit
ihrem Binkommen unter der
Armutsgrenze.
In Deutschland, Kanada und
Australien arbeiten Manner und
gleiche
die
etwa
Frauen
- Stundenzáhl, stelit die ILO-Studie
feat. Im EU-Land Italien aber wurden Frauen rund em Viertel langer
arbeiten ala Manner, in Osterreich
zwölf Prozent. Vor allem in
batten
Entwicklungslanderu
MAdchen zudem mit Diskriininierung im BildungSbereiCh zu
kampfen. Dabei trage eine gute
Schulbilduilg nicht nur dazu bel,
den Verclienst spUrbar zu erhohen,
sondern auch die oft groi3en
Geburtenraten der armen Lander
zu senken.
1_.
(Fortsetzung Seite 7)
Maroc
Le Quotidien
08;08.96
SELONLE.B!T
:;.
lestravailleurs pauvres
Lesfemmes ont des horairés plus lourds que les hommes et ont payé 25 % de moms en
moyenne, mais elles sont aujourd'hui plus nombreuses dans des professions
ipport du bureau international du travail (BIT).
tant dans les pays ddve-
es femmes sont tou-
jours plus nom-
Ioppds que dans les pays en
ddveloppement et cet dcart
ne diminue pas. Dans beaucoup de pays industrialisds,
breuses a travailler mais Ia
plupart .rejoignent .les rañgs
des travailleurs pauvres,
Ic taux de chômage des
relève Mme Lin Lim, Pau-:
teur du rapport.. "La majo-.
femmes est de 50 a 100 %'
supórieur a celui des
rite d'entre ellesoccupent
liommes. Moms de 6 % des
postes de cadres supdrieurs
clans Ic monde sont occupds
des emplois prdcaires,. mal
remuneres et a faible productivité". Quelque 70: W"
des pauvres et.65 %:tles
analphabètes sont' xles
femmes. Le. rapport du BU.
.a
thn5%en..
es.ontdo.horaJros plus lowds quo los hommOs, et
:indiquc que plus de 45 %
environue37%en:Euthpe :1a .majorit& des. iemmes
coflornkfucment occidentale et 30% aux ganent en moyenne envi-
des femines de .15 a 64 ,ans
par des femmes. Dans les
28.pays de I'Organisation.
de coop6ration et de-deve-
loppement économique
(OCDB), Ie.rythmed'.accrôissementde lapopulation activea dtódeux lois
sont
actives. -Dans,1es pays Etats-Uzus, 11 y a seulement ron les trois quarts dii salai- plus rpide pour les fenimes
indüstriälisés,. plus deja. vingt ans Les pnncipales ie que toucbent les hommes
moitjédeslemmes travaille conclusions Llu rapport soft 'pour Ic mme travail, en que pour ks honimes entre
;t
dehorsdu:secteur agricole,, 1980et 1990.
.alors. qu'elles n'dtaient. les suivantes:.
.'
Maroc
Al Alam
06.08.96
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The Netherlands
Haagsche Courant
29.07.96
I.4
n ynuw
kwárt lage
dan bij man'
Vrouwen werWashington
ken steeds meer, maar ze ver-
dienen een kwart minder dan
mannen. Oat blijkt uit een vandaagverschenen rapport van de
llQ, de Internationale Arbeidsorganisatie van deVN.
Wereldwijd doet 45 procént van
de vrouwen betaald werk. Desondanks is 65 procent vanhen
arm en.zeventigprocent ana]fa-
beet In de geindustriáliseerde
]anden, Zuidoost-Azië en OostEuropa werkt ruim vijftig pro.
cent van de' vrouwen. Maar
overal worden .zij een kwart
slechter betaald dan mnnnen
voorhetzelfde werk.
De ILO dringt aanop.betere
wetgeving, die vrouwen meer
mogelijkheden geeftbij zwan-.
gerschap en de zorgvoorkinde-
ran. Verder stelt de ILO dat
vrouwen zich meer moeten organiseren in vakbonden en dat
zj CÁO's moeten afdwingen.
Van de.hoogste banen in het
bedrijfsleven wordt, slechts zes
procent door vrouwenbezet.
Disriminatie van vrouwen is
zeker iii de ontwikkelingslanden, een groat probleem. Dat
begmt al in de schooltijd. Twee-
derde van de één aniljard volwaseen analfabeten op aarde
zijn vrouwen. In veel Afrikaanseen Ariatische landen ziet negentig procent van de vrouwen
nooit .een school van binnen.
Van de honderd miljoen kinde-
ran die niet naar school gaan/
zijnbjjna tweederde meisjes/
The Netherlands
Haarlems Dagblad
29.07.96
WereidwUd onderzoek InternatiOnale Arbeidsorganisatie:
VrÔÜw wérkt meer en
krijgt iniñdei betaald
Vrouwén leveren een groeiend aandeel in de wereld-arbeidsmarkt, maar verdienen een
kwart minder dan mannen. Dat staat in een nieuw rapport van de Jntemationale Arbeidsorganisatie ILO dat vandaag is verschenen. Het rapport is een vervoig op de VNvrouwentopconferentje in Peking en de Sociale Top in Kopetthagen.
WASHINGTON ANP'
Terwiji overal ter wereld steeds
meer vrouwen betaald werken
(45 procent), blijft 65 procent.
arm en zeventigprocent naIfa:
beet In de, rijke gemndustrialiseerde landen, Zuid-Oost-Azië
en Oost-Europa werkt meer dan
vijflig procent van devrouwen
en overal worden ze een kwart
minder betaald. Het rapport
nen waarom .de export in die, nen beginnen een eigen bedrijf,
landen zo snel groeit.
het 'communistische regime het
vooral in dé Verenigde Staten.
Ondanks de vooruitgang blijft
discriminatie een probleem,
In Latijns-Amerika, .Azie en .Afri-
aarde zijn vrouwen. In veel Afri-
In Oost-Europa, waar onder
aantal werkende vrouwen a! vooral in ontwikkelingslanden.
meerdan vijftig procent was, is Dat begint a! jong, in de schooldat cijfer sinds de val van het tijd. Tweederde van de één roilcommunisme niet veranderd. jard voiwassen analfabeten op
ka zijn dc meeste werkende kaanse en Aziatische landen
vrouwen actief in de diensten- ziet negentig procent van de
sector en in de landbouw. Dat vrouwen nooit een school van
dringt aan op betere wetgeving zijn we! deslechtst betaalde ba- biinen. En van de honderd roildie vrouwen grotere flexibiliteit .nen terwereld. joen kinderen die niet naar
garandeert bij zwangerschap en
Slechts zes procent van de school gaan, zijn bijna tweederzorgvoor de kinderen. Vrouwen topbaiien in het bedrijfsleven demeisjes.
moeten zich verder meer orga- zijn wereldwijd 'oor vrouwen.
Als meisjes we! naar school
niseren in vakbonden en CAO's Daarentegen is de werkloosheid gaan, krijgen zij ook in de rijke
afdwingen om gelijke kansen onder vrouwen iii de industrie- landen minder onderricht in
voor mannen en vrouwen te ga- landen vijftig tot honderd pro- techniek of wetenschap, en lerandéren.
cent hoger dan die onder man- ren zij vaak de 'typisch vrouweIn de industrielanclen is in de nen. In tijden van economische 'lijke' vakken zoals bedienen, Sejaren tachtig het aandeel van tegenspoed vilegen vrouwen. er cretaressewerk en naaien. In de
vrouwen Op de aii,eidsmarkt overal terwereld als eerste uit.
armere landen komt daarbij dat
tweemaal zo snel oegenomen
Toch boeken vrouwen voorél huishoudeijk werk belangrijker
als dat van mannen. In Oostelijk in de rijke indusirielanden wordt gevonden dan school,
Azië was er gedurende datzelfde vooruitgang en klimmen snel hoewel ieder jaar school vijftien
tijdperk een stijging van bijna op de sociale arbeidsiadder. Dc procent meer inkomen betetwintig procent In Oost- en verwachting is dat in. het jaar kent, vijf tot tien procent mmZuid-Oost-Azië
produceren 2000 in veel van die landen der kinderen en aanzienlijk
werkende vrouwen ongeveer evenveel mannen als vrouwen minder sterfte onder baby's.
tachtig procent van de expoxtin- op de arbeidsmarkt actief zullen
dustrie. Het is één van de rede- zijn. Meer vrouwen dan man-
/
The Netherlands
Reformatorisch Dagblad
30.07.96
ving.moet4scrnmnatie tgengaan
IL. S : .Vrouwwrdient
vI ml nder dan
WASHINGTON (ANP) Vrouwn begeven zich
zich bovendien meer organiseren in
reldwijd.steeds meei op de ar-
tegaranderen, aldus de ILO.
vakbonden en cao's afdwingen om gelijjce kansen voor mannen en vmuwen
In de rijke industrielanden is in de
beidsmarkt, maar verdienen jaren
tachtig het aandëel van vmuwen
eeit -kwart miixler dan man- op dc arbeidsmarkt tweemaal zo snel
neil. .Dat staat in een nieuw toegenomen als dat van mannen. In
Azië was er gedurende datrapport an de. jLO (Infrrnaa oosteijk
ze1fde tijdperk een stijging van bijna
Arbeidsorganisatie) 20 procent. In Oost- en Zuidoost-Azië
fionale
dat gisteren is uscbenen. maken werkende vmuwen ongewer
Het rapport is een wrvoig op 80 procent wt van de exportindustrie.
VN-vmuwentopconferende
tie in Peking en de SocialeTop
in Kopenhagen. -
wordt dc positie van vrouwen sterker,
waardoor zij snel klimmen op de sociale arbeidsiadder. Dc wrwachting is
dat in het jaar 2000 in veel van die
uwen
landen evenveel mannen als
op de arbeidsmarkt actief zullen zijn.
Meer vrouwen dan mannen beginnen
cen eigen bedrijf, vooral in de Verenigde Staten.
Scholing
Ondanks de voonutgang blijft discriminatie een prQbleem, vooral in
Bet is een van de redenen voor de ontwikkelingslanden. Dat begint
a!
meer vrouwen betaald. werken (45
procent), blijft 65 pmcent arm en 70
snelle groei van de export van die lan- jong, in de schooltijcL Twee derde van
de een miljard voiwassen. analfabeten
den.
In Oost-Europa, waar onder het op aarde is vrouw. In we! Afrikaanse
communistische . regme het aantal en Aziatische landen ziet 90 procent
werkende vrouwen al meer dan 50 van de vrouwen nooit een school van
procent was, is dat cijfer sinds de val binnen. En. van de 100 miljoen kindevan het communisme niet veranderd. ren die niet naar school gaan, is bijna
Europa werkt meer dan 50 .pmcent
tief in dc dienstensector en de land-
Terwjjl
owral ter wereld steeds
procent analfabedt. In de geindustriali- In Latijns Amerika, Azie en Afrika
seerde landen, Zuidoost-Azië en Oost- -zijn de meeste werkende vrouwen ac-
Overal ter wereld, zowel In øntwikke- bouw. Dat zijn svel dc slechtst betaallingslandeh al in de rijke industrie- de banen ter wereld.
Van dc topbanen in het bedrijfslanden, worden vrouwen, geniiddeld
een kwart slechter betaald dan mannen lewn wonit wereldwijd 6 procent ingenomen door vmuwen. Daarentegen
voorhetzelfde weit
is de werkloosheid onder vmuwen in
de indtsUielanden 50 tot 100 procent
Kinderzorg
Om de discriminatie tegen te gaan, hoger dan die onder mannen. In tijden
dringt het rapport aan op wetgeving van. economische tegenspoed vliegen
die vrouwen gn)tere flexibiliteit garan- vmuwen er overal ter wereld als eerdeeit bij zwangerschap en het rzor- ste uit.
Vooral in de rijke industrielanden
gen van de kinderen. Vmuwen macten
twee derde meisjes.
Als meisjes we! naar school gaan,
krijgen zij ook in de rijke landen mm-
der onderricht in techniek of weten/
schap, en leren zij vaak de ,,typisch
vmuweijke" vakken zoals bedienen,
secretaressewerk en naaien. In de armere landen komt daarbij dat huishou-
dek werk belangrijker wordt genden dan school, hoewel ieder jaar
school volgens de ILO ,,15 procent
meer inkomen, 5 tot 10 procent rainder kinderen en aanzienlijk rulndc
sterfte onder baby's betekent".
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The Netherlands
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Algemeen Dagblad
30.07.96
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WAsRuWrON - In de industrie-
landen'werken inhet jaar z000
evenveel vrouwen als mannen,
voorspelt de intemationale arvrouwen moeten zich beter organiseren om een even hoog saiaris afte dwmgen als hun mannelijke coliega's die nunog een
kwart meer verdienen voor het.
zélfde werk.
In een rapport - datvoortvloeit
ult de VN-vrouwentopconferen-
tiemPeldngende SocialeTopm
Kopenhagen - constateert de ILO
dat vrouwen overal terwereld in
toenemende mate toetreden tot
de arbeidsmarkt. Inmiddels
werkt 45 procent van alle vrouwen (a procent meer dan vorig
'In 2000 werken
evenveel vrouwen
als mannen.
jaar) maar 65 procent bli1ft arm
en 70 procent is an1fabeet. In
de geindustria]iseerde landen
werkt gemiddeldde hdft van alle
vrouwen.
Van de 14ederIandse vrouwen
heeft procent een betaalde
baan van meer dan za UUL In
Oost- en Zuidoost-Azie maken
werkende vrouwen ongeveer 8o
procent uit van de exportindustrie, die mede daardoor zo snel
groeit. Dc ILO pleit voor wetge-
ving die vrouwen rneer mogeijkhedeu biedt werk en zorgtaken
te combineren en die hun lij
dens een zwangerschap betere
rechten geeft.
Gelderlander DE
30.07.96
Vrouwen werken meer,
maar verdienen minder
WASHINGTON (ANP) - Vrouwen
leveren een groeiend aandeel san
de wereldwijde arbeidsmarkt,
maar verdienen een kwart nfinder.
Dat staat in een nieuw rapport van
de Internationale Arbeidsorganisatie (ILO).
Terwiji overal tor wereld steeds
meer vrouwen betaald werken (45
procent), bli.jft 65 procent arm en
70 procent analfabeet. In de gemdustrialiseerde landen, ZuidoostAzie en Oost-Europa werkt meer
dan 50 procent. Overal ter wereld,
zowel in ontwikkellngslanden als
in de rijke industrielanden, krijgen
vrouwen voor hetzelfde werk een
kwart minder betaald dan mannen.
Het rapport dringt aan op betere
wetgeving 'die vrouwen grotere
fledbiliteit garandeert bj zwan-
mannen, In Oostelijk Azie was er
gedurende datzelfde tijdperk een
stijging van bijna 20 procent. In
Oost- en Zuid-Oost-Azie maken
werkende vrouwen ongeveer 80
procent uit van de huidige exportindustrie. in Latijns Amerika, Azie
en Afrika zija de meeste werkende
vrouwen aetief in dé dienstensector en de landbouw. Dat zijn we! de
slechtst betaalde banen ter wereid.
Slechts 6 procent van de topbanen
in het bedrijfsleven is were!dwijd
voor vrouwen. Tegelijkertijd is de
werkloosheid onder vrouwen in de
industrie!anden 50 tot 100 procent
hoger dan die onder mànnen, In
tijden van economische tegenspoed vliegen vrouwen er overal
ter wereld als eerste uit.
Tweederde van de één mlljard vol.
gerschap en kinderzorg.
In de rijke.industrielanden is in de
jaren tachtig het aandeel van wonwen op de arbeidsmarkt tweemaal
wassen analfabeten op aarde zijn
'vrouwen. In veel Mrikaanse en
zo snel toegenomen als dat van
van binnen.
Aziatische landen ziet 90 procent
van de vrouwen nooit een school
In de rijke industrie!anden is h
aandeel van vrouwen op dear-
beidsmarktindejàren '8otwee
keer zo snel gestegen als dat va
mannen. Maar de werkloosheill
onder vrouwen is in de industrielanden toch nog 50 tot Ioo
procent hoger dan die onder
mannen. Vrouwènverliezen in
economisch ongunstige tijden
dan ook eerder hun baan dan
mannen.L Bijleveld, beieidsm
dewerker van het vrouwensecre
tariaat van deFNV, vindt dat de
landen die zich op de conferentie in Peking hebben gecompro
rnitteerd aan de verbetering van
de positie van vrouwen voor het
jaar z000, haast moeten maker
omdat ze nog lang niet op de
goede weg zijn.
aiaris .vrouwen ongeveer
kwaitiñiiidérdan man en
Van een onzer redacteuren
GENEVE, dinsdag
Het salans van vrouwen ligt wereldwijd ongeveer een kwart onder dat van
mannen, en bet versehil wordt niet kleiner. Toch maken vrouwen behoorlijke
vorderingen op de arbeidsmarkt, aldus
de Internationale Arbeidsorganisatie
LU) in een rapport over vrouwen en
werk.
Ais onbetaald werk (zoals in hetliuishouden) wordt meegeteld werkenvrouwen in ontwikkelde landen gemiddeld
meer dan twee uur per week meer dan
inannen. In landen als Australië, Cairnda en Duitsiand is de hoeveelheid verricht werk van mannen en vrouwen on-
geveer gelijk. Maar in Italië werken
vrouwen 28% meer, in Oostenrijk 12%
eninFrankrijk 11%.
De economische crisis van enkele jaren geleden bracht een grotere werkloosheid onder vrouwen met zicli mee.
In de industrielanden is de werkloosheid onder vrouwen anderhaif tot twee
keer zo groot als onder mannen.
Toch neemt het aantal vrou- mannen. De achterstand van
wen dat betaalde arbeid ver- vrouwen Iaat zich ten deleverkiaren door eon gebrek san onricht overal toe.
In West-Europa bijvoor- derwijs. Tweederde van de
beeld kwamen er in de jaren naarschattingl miljardanalfa1980-1990 acht miljoen mensen beten op de wereld is vrouw
op de arbeidsmarktbij, en van In landen als Benin, Burkina
hen waren er zeven miljoen Faso, Guinee-Bissau, Mali,
Mozambique, Niger, Senegal,
vrouw.
In de 28 OESO-landen nam Togo, Afghanistan en Nepal is
het aantal vrouwen op de ar. 90% van de vrouwen boven de
beidsmarkt twee keer zo snel 5 jaar nooit naar school getoe als hot aantal mannen. weest.
Veel vrouwen komen terecht
Hetónderwljs datwel wordt
in deeltijdbanen.
gegeven richt zich vaak op 'ty-
Ook in ontwikkelingslan- pisch vrouwehijke' bezigheden zoals typen, verzorgen en
betaald werk doen, met uit- naaien. Bovendien worden
zondering van de landen rond meisjes 'vaker dan jongens
den gaan steeds meervrouwen
de Perzische Golf. In Latijns- thuisgehouden omih hot huisAinerika en bet Caribisch ge- houden te helpen.
bied met name komen meer
In zowel de ontwikkelde ala
vrouwen san de slag in leiding- de ontwikkelingslanden zijn
gevende, administratieve en, veel vrouwen actief in 'tytechnische funeties. Van she pisch vrouwelijke' beroepen.
banen in de Aziatische specia- In de VS, Groot-Brittannië en
le exportzones, waar buiten- Frankrijk bijvoorbeeld is ge.
landse bedrijven belasting- bleken dat 45% van de bevrije productievestingen neer- roepsbevohking actief is in een
zetten, wordt 80% door vrou- beroep waar meer dan 80% uit
wen bezet.
hetzij mannen dan wel vrouWel is het zo dat veel vrou- won bestaat.
wen in ontwikkelingslanden
In Japan wordt 95% van de
actief worden in de 'informe- banen in de kinderverzorging,
le' economie, die zich onttrekt verpleging en huishoudelijke
san overheidsregels en waar verzorging door vrouwen gedo lonen zeer laag zijn. Vaak is 'daan.
deze :belonkng te weinig om
Vai41e management-funcsan demInede tezntsnapties idewereld daarentegen
pen.
Bovendien verrichten vrou- wordt slechts 6% door vrou-
/
wen in ontwikkelingslanden wen beldeed. Wel komen
veel meer onbetaalde arbeid teeds meer vrouwen in topdan mannen. Vrouwen doen functies terecht en beginnen
dat tussen de 31 en 42 uur per in de VS moor vrouwen dan
week, tegen 5 tot 15 uur voor rnannen eon eigen bedrijf. /
The Netherlands
Telegraaf, DE
30.07.96
The Netherlands
Volkskrant, DE
30.07.96
VrOuwen krijgen
kwart minder
loon dan mannen,
Van onze versiaggevet AMSTERDAM
Vrouwen worden onderbetaald vergeleken mmaakt het niet nit of zij in
een ontwikkeld of een ontwikkelingsland werken. Zij verdienen gemiddeld driekwart van het mannelijke salaris en deze kloof is de afge!open jaren niet kleiner geworden.
Tot deze conclusies komt de ILO,
de internationale arbeidsorganisatie
in haar gisteren verschenen rapport
over de wereldwijde arbeidssituatie
van vrouwen. Het rapport is een
vervoig op de VN-vrouwentopconferentie in Peking en de Sociale Top in
Kopenhagen. Volgens Michel 'Han-
senne, directeur-generaal van de
ILO blijkt uit het rapport dat nog
nergens ter wereld de gelijkheid van
kansen voor en behandeling van
vrouwen is bereikt.
Volgens het rapport zijn er ook
enkele lichtpuntjes, vooral voor
.vmuwen in de meer ontwikkelde
landen. Daar bereiken steeds ineer
vrouwen de top van een bedrijf en is
in ieder geval in de wet vastgelegd
dat gelijk werk ook gelijk moet wor-
den beloond. Ook wordt in steeds
meer cao's aandacht besteed aan
discriminatie van vrouwen en rage-
lingen getroffen om vrouwen het
werken makkelijker te maken.
Ondanks de vooruitgang blijft discriminatie een probleem, vooral in
ontwikkelingslanden. Dat begint al
jong, in de schooltijd. Tweederde
van de den miljard volwassen analfabeten op aarde zijn vrouwen. In veel
Afrikaanse en Aziatische landen niet
90 procent van de vrouwen nooit
een school van binnen. En van de
100 miljoen kinderen die niet naar
school gaan, zijn bijna tweederde
meisjes.
Als meisjes we! naar school gaan,
krijgen zij ook in de rijke landen
minder onderricht in techniek of wetenschap, en leren zij vaak de 'vrou-
welijke' vakken zoals secretaresse.
In de armere landen komt daarbij
dat huishoudelijk werk belangrijker
wordt gevonden dan school.
Discriniinatie in het onderwijs is
volgens de 1W een van de belang-
rijkste oorzaken van armoede en
werkloosheid onder vrouwen leder
jaar school, zo heeft de 1W berekent, betekent 15 procent meer inkomen.
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30.07.96
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GENEVE, dinsdag
Het salaris van vrouwen ligt wereldwijd ongeveer een kwart onder dat van mannen, en het
verschilwordt niet kleiner. Toch maken vrouwen behoorlijke vorderingen op de arbezdsmarkt,
aldus de Internationale Arbeidsorganisatie ILO in een rapport over vrouwen en werk.
Als onbetaàld werk (zoals in Veel vrouwen komen terecht derwijs. Tweederde van de
naar schatting 1 milard analhet huishouden) wordt-meege- in deeltljdbanen.
teld werken vrouwen in antOak in ontwikkelingslan- fabeten op de wereld is vrouw.
wikkelde landen gemiddeld dengaan steeds meervrouwen In landen als Benin, Burkina
meer dan twee uur per week betaald werk doen, met uit- Faso, Guinee-Bissau, Mali,
meer dan mannen. In landen zondering van de landen rond Mozambique, Niger, Senegal,
alsAustralië,CanadaenDuits- d Perzische Golf. In Latijns- Togo,AfghanistanenNepalis
land is de hoeveelhèid ver- Amerika en het Caribisch ge- 90% van de vrouwen boven de
richt werk van mannen en bled met name koznen meer 25 jaar nooit naar school gevrouwen ongeveer gelijk. vrouwen aan de slag in leiding- weest.
In zowel de ontwikkelde a]s
Maar in Italië werken vrou-. gevende, wiminitratieve en
wen 28% meer,in Qostenrijk technische functies4 Van alle de ontwikkelingslanden zijn
12% en in Frankrijk 11%.
banen in de Aziatische specia- veel vrouwen actief in 'tyDo economische crisis van le exportzones, waar buiten- pisch vrouwelijke' beroepen.
elikele jaren geleden braclit landse bedrijven belasting- In de VS, Groot-Brittannië en
een grotere werkloosheid on- vrijeproductievestingenneer- Frankrijk bijvoorbeeld is geder vrouwen met zich mee. In zetten, wordt 8Q% door vrou- bleken dat 45% van de beroepsbevolking actief is in een
de industrielanden is de werk- wen bezet.
loosheid onder vrouwen anDo achterstand van vrou- beroep waar meer dan 80% uit
dethalf tot twee keer zo groot wen laat zich ten dele verkla- hetzij mannen dan wel vrouals onder mannen. Toch ren door eon gebrek aan on- wen bestaat.
neemt het aantal vrouwen dat
betaalde arbeid verricht over-
altoe.
In West-Europa bijvoorbeeld kwamen er in de jaren
1980-1990 acht miljoen mensen
op de arbeidsmarkt bij, en van
hen waren er zeven miljoen
vrouw. In de 28 OESO-landen
.nam het aantalvrouwen op de
arbeidsmarkt twee 'keer zo
snel toe als het aantal mannen.
The Netherlands
Dagblad Zaanstreek
Alkmaarsche Courant
Dagblad voor W-Friesland
Nieuwe Noordhollandse Cdt
30.07.96
ILO.onderzoek na riñternationale arbeidsmarkt
Vroiiw verdient overal,
kwart miñdèr dan man
Van ouze redactie economic
WASHINGTON - Er ko-
men steeds meer 'vrouwen op
de
wereld-arbeldsmarkt,
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port Is een vervoig op de VN-
In Oost-Europa waar onder
vrouwenconferentle in Pe- het communistische regime het
king en de Soclale Top In Ko- aantal werkende vrouwen al
penbagen.
Terwiji overal ter wereld
een kwart minder dan man- steeds meer vrouwen betaald
nen In vergeltjkbare beroe- werken (45 procent), blijft 65
pen. Dat staat In een rapport procent arm en 70 procent analvan de ILO (Internatlonale fabeet. In de geIndustrialiseerArbeidsorganisatle), dat gis- de landen, Zuidoôst-Azië en
teren is verschenen. Het rap- Oost-Europa werkt meer dan
50 procent. Overalter wereld,
zowel in ontwikkelingslanden
1s m de rijke industrielanden,
worden vrouwen een kwart
slechter betaald dan mannen
voor hetzelfde werk.
Bet rapport dringt aan op be-
tere wétgeving die vrduwen
meer dan 50 procent was, is dat
cijfer sinds de val van het corn-
munisme met veranderd. In
Latijns-Amerika, Aziè en Afri-
ka zjjn de meeste werkende
vrouwen actief in de dienstensector en de landbouw. Dat zi.jn
wel de slechtst betaalde banen
ter wereld.
Slechts zes procent van de
topbanen in het bedri.jfsleven is
wereldwijd voor vrouwen.
Daarentegen is de werkloosheid onder vrouwen in de industrielanden 50 tot 100 procent hoger dan die onder man-
bij zwangerschap en kinderzorg. Vrouwen moeten zich
nen. In tLjden van economische
tegenspoed vliegen vrouwen er
overal ter wereld als eerste uit.
Toch boeken vrouwenvooral
vakbonden en CAO's afdwin-
vooruitgang en klimmen snel
grotere flexibiliteit garandeert
verder meer organiseren in in de rijke industrielanden
gen om geli.jke kansen voor
mannen en vrouwen to garanderen.
Snelle groei
In de rijke industrielanden is
in de jaren tachtig het aandeel
van vrouwen op de arbeids-
markt tweemaal zo snel toegenomen als dat van mannen. In
oostelijk Azië was er gedurende datzelfde tijdperk eon stij-
ging van bijna 20 procent. In
Oost- en Zuid-Oost-Azië maken werkende vrouwen ongëveer 80 procent uit van de exportindustrie. Het is een van de
redenen voor de snelle groei
van de export van die landen.
op de sociale arbeidsiadder. De
verwachting is dat in het jaar
2000 in veel van die landen
evenveel mannen als vrouwen
op de arbeidsmarkt actief zul-
len zijn. Meer vrouwen dan
mannen begrnnen eon eigen
bedrijf, vooral in de VS.
Ondanks de vooruitgang
blijft discriminatie eon probleem, vooral in ontwikkellngslanden. Dat begint aijong,
in de schoolt jjd. Tweederde
van de édn miljard voiwassen
analfabeten op aarde zijn vrou-
wen. In veel Afrikaanse en
Aziatische landen ziet 90 procent van de vrouwen nooit een
school van binnen.
The Netherlands
Nieuwsblad v/h Noorden
30.07.96
VrouW wordt
nog steeds
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WASHINGTON - Hoewel 45 jaar ge-
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evenveel loon moeten krijgen voor
hetzelfde werk als maimeD blijkt in
de praktiik dat vrouwen nag steeds
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ILO in een gisteren verachenen rap-
"Vrouwen verdienen wereldwiid
tosseD de 50 en 80 procent van de
lonen die manneD verdienen," zo
scbrijft de vN.organiatie in haar
jongate document getiteld 'Meer en
Betere banen voor Vrouwefl.'
Dc auteur van het rapport, Li
Lean Lim, zei dater sinds de ondertekening van een verdrag voor gelijke lonen voor manneD en vrouwen
door 124 regeringen in 1951 wel
vooruitgang is geboekt, niaar bj
lange na niet genoeg.
Amerikaafl8eVr0U'en krijgen gemiddeld 68 tot 70 procent minder
loon n rnännen. Lim wees erop
dqtmerika8maat het verdg zelfs nooit beeft geratificeerd.
In Latijili merikaaflBe en Canbische landen verdienen vrouwen
soms niinder dan de heift van wat
mAnnen van dezelfde leeftijd en met
dezelfde ervaning krijgen veer betzefde werk. In sominige rijke Ian-
den is bet verschil niinder dan 10
procent.
Suisse
JOURNAL DE GENEYE
et Gazette de Lausanne
ti ...tIlItP INSISt IeInIct I
3O.''. cI
En moyennej les femmes
gagnent 25% de moms'
Selon te Bureau internationaL du travaiL, elLes
n'occupent pas 6% des postes de cadres supérieurs.
femmes sont toujours de chômage des femnes est de
plus nombreuses a fla- 50 a 100% supérieur a celui des
vail1er 45% d!entre cUes hommes. Dans len pays de l'OCsont économiquement acLes
lives dans l'ensemble du monde,
scion une étude du Bureau international du fravail (Bfl) publiee
mardi. Mais elles sont payées
25% de moms en moyenne et oc-
cupent en morité des emplois
précaires.
Dana les pays industrialisés,
plus de ia moitié des femmes Iravailient, alors qu'il y a vingt ans
efles etaient 37% a fravailler en
Europe de l'Ouest et 30% seulement aux Etats-iJnis. Entre 1980
et 1990, Ia main d'nuvre s'est ac-
crue de huit millions de personnes en Europe de i'Ouest,
dont sept millions de femmes.
Dans len pays en developpe-
ment, 31% des femmes Iravaillent. Len pourcentages len
plus ban sont situés enAmérique
kline (34%), en Aflique septenfrionale (21%), et clans len pays
DE, len femmes representent de
65 a 90% de thus len fravailleurs a
temps partiel 'Quelque 70% des
pauvres clans le monde et prês.
des deux tiers du rnilhird
d'adultes analphabétes sont des
feinmes.
Ia majorité des femmes ga
gnent en moyenne environ les
Irois quarts du salaire que touchent len hommes pour le méme
travaiL en dehors du secteur
agricole, lant clans len pays développés que clans ceux en voie de
developpement. Moms de 6% des
postes de cadres supérieurs dans
le monde sont occupés par des
femmes. Dans les pays develop-
pés, len femmes travailient au
moms deux heures de plus par
semaine que lea hommes etsouvent cinq a dix heures de plus.
Le rapport eat publié par le
arabes. Les pourcentages les
plus bauts de femmes qul tra
BIT afin dedonner suite a Ia quatrième Conference mondiale sur
vaillent se frouvent en Europe
orientale et en Asie du Sud-Est
(plus de 50%). Dans len deux
les femmes (Pekin, 1995) et au
Sommet mondial pour le développement social (Copenhague
tiers des pays industriels, Ic taux
1995). (ATS)
Suisse
LENouvE4u 0110 TJDIEN
SALAIRU
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Fenmies:
25% dè mohis
en moyenne
sont toujours plus
nombreuses a travailler: 45%
Lfemmes
d'entre elles sontéconorniquement
actives clans l'ensernble dumonde,
solon une étude du Bureau inter-
national du travail (BIT) publiée
aujourd'huL Mais cUes sontpayées
25% de moths en moyenne et occupent en majorité des emplois précaires.
En Suisse, selon un rapport de
l'Offlce fédéral de [a statistique,
54% des femmes âgées d'au moths
15 ans avaient un ernplOi en 94,
contre 76% des hommes. Plus de
50% des fémmes travaillant kplein
temps ontunrevenü brutinférieur
oudgala52000franconfre 20%
dos hommos. Dans les paysindus-
triallsés, plus de la motile des
femmos travaillent, alors qu'il y a
20 ans ales étaient 37% 1 travailleren Europe de l'Ouestot 30%
seulementauxEtats-Unis. Dans [es
pays en développernent, 31% des
femmes travaillont. Los pourcen-
tages los plus bas sont sltués on
Aniérique latine, en Afrique soptontrionale et clans los pays arabes.
Lea pourcentages lea plus haute so
trouvent en Europe orientaleet en
Asie du Sud-Est. KLes femmes sont
toujours plus nombreuses I Iravaliler, mals La plupart rejoignent
los rangs des - travailleurs
pauvres*, affirme Liii Lean Urn,
l'auteur do KP1us de travail et un
inelileur travail pour lea femmes un guide pour ['actions. Elies ont
payé un lourd tribut ha recession
de 90. Dans les deux tiers des pays
industriels, le taux de chômage des
femmes est do 50 1 100% supéATS
rieur I celui des hommes.
Suisse
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Suisse
Ungleichheiten in der Arbeitswelt
Em
ILO-Handbuch für Frauen
Elne nmd 200seitige Unteisuchung des Internalionalen Axbeitsamtes in Genf geht auf die
Frauenarbeit em und steilt eine VielzahI von ungleichen Behandlungen fest. Global wird
cine wachsende Tendenz des Anteils erwerbstAtiger Frauen festgestellt In einem zweiten Teil
werden verschiedene AnsAtze untersucht, wie eine Besserstellung weiblicher Arbeitskräfte er-
reicht werden könnte..
nods 37% in Westeuropa oder 30% in den Vereiniglen Staaten vor 20 .Jahren. Auffallend ant' der
Das Internationale Axbeitsamt (1W) in Genf ganzen Welt 1st zudem die Tatsathe, dan ira Verlegt em retht umfangreithes Handbuch (Iber die gleicli mit MAnnem seit iahren verhaitnismassig
Frauenarbeit und die Möglicbkeiten zu deren mebr Finuen in den Arbeitsprozess eintreten; in
Bessersteliung ant'. Die Untersuchung orientiert der Europäischen Union steilten etwa die Frauen
sich strukwrell und inlialdich an den Abschluss- zwischen 1980 and 1990 nidit weniger als 7 der 8
erkthrungen der 4. Weltfrauenkonferenz (Pekin& Mio. neu Beschaftigten. Andemeits verdient die
September 1995) und des jtlngsten Weitsozialgip- Mehrheit der Frauen fUr eine vergleichbare Arbeit
fels (Kopenhagen, Mrz 1995). Don wurde dem in der Industrie and im Dienstleistungssektor nur
1W auth der spezifische Auftrag erteilt, die mit ungefUhr drei Viertel des Gehalts eines Mannes,
der Stellung und der Besserstellung weiblither wobei dime DifTerenz sich fiber die Zeit nicht verArbeitskrAfte aufkommenden Probleme gezielt mindert hat. Weitweit werden nur 614 der Kaderwelter zu verfolgen. Das BemUhen der Autorin posten von weiblichen Besch*ftigten gehalten.
der ILO.Studie 1st unverkennbar, einerseits mög- Schuiesslich 1st auth die Arbeitslosigkeit bei
lithst alle - denkbaren und cpoliuisch geaum- Frauen vergleithsweise. bedeutender als bei MSnten - Benachteiligungen der Frau an Mbeitspro- nern; in zwei Drittein der entwickelten Lander
zess zu erOrtern und anderseits gleithzeitig ange- liegt der entsprechende Satz zwischen 50 and
messene, wirtsthaftlich einigermassen vertretbare 100% hOher, mid auth in Mittelosteuropa fiberRemeduren auauleuthten. Mit anderen Worten steigen die weiblichen Arbeitsiosenraten mit Am1st man sich beim 1W wohl bewusst, dass markt- nahme von Ungarn, Litauen and Slowenien jesse
wirtschaftliche GeseizmAssigkeiten keine ge. der MAnner.
schlech*sspezilische Differenzierung kennen.
Einer langen Liste derartiger BenachteiligunWw.
Genf 29. fuJi
Wirtschaftliche Diskriminierung
gen steilt die ILO.Untersuchung auth einige
Besserstellungen der weiblichen Azbeitskraft gegenuber, die in den Ielzten Jahrzehnten sukzessive vor allem in der industrialisierten and etwas
eine uneriassliche Rolle in der Wirtachaft, srs es weniger in der Dritten Welt - Ausnahmen bilden
auf internationaler, nationaler oder Haushalts- die asiatischen and sfidamerikanischen Schwelebene, spielen - unabdingbar 1st die Axbeit der lenUnder - sithtbar geworden sind. Der Zugang
Frau, auth volkswirtschaftlich gesehen, raft eh von Frauen zu ICaderposidonen alier Art hat sich
und je. Etwas anderes und zweifeUos zutreffender etwas geoffnet. In den Vereinigten Staaten 1st
1st die Feststellun& dass die Frau im Axbeitspro- etwa der Anteil der Frauen, die einen elgenen Bezess wirtschaftlith gegenOber dem Mann benach- trieb auflnathen, inzwischen hOlier als bei den
teiligt 1st und enisthaft diskriininiert' with. In MAnnem. Viele Staaten haben Gesetre fIber
der Arbeitswelt ortet die ILO.Autorin mebrere Gleither Lohn für gleithe Arbeits verabsthiedet.
Ungleichheiten, nlmlith in bezug 'auf den Be. Ferner sind auth Verbesserungen in denArbeitsschsftigungszugan& auf Ausbildungs. und Wei- bedingungen and beim sozialen Schulz für 'erterbildungsmoglichkeitefl, auf die Entlohnung fUr werbstalige Frauen fesizustellen
vergleichbare Arbeit, auf den Zugang zu Produkweil von ibnen wahrstheinlith kontraproduktive
tionsfaktoren, auf den Zugang zur wirtschaftEffekte ausgehen und auth diejenigen, die nicht
Rezepte für chic Besserstellung
lichen Entscheidungsebene (Kader) und auf die
davon profitieren, letztlith diskriminieren; als
BefbrderungsaussiChtefl. Ebenso tat eine gewisse
Neben einer Lageanalyse unternimmt die lw.
gerade glucklicher, aber immerhin mOgliAbtrennung und Konzentration auf eine ver- Studie audi. den Versuch, handbuchartig und tell. nitht
ther*usweg with die Vorgabe von Zielen angesegleithsweise kleine Zahi von 4ctypischen Frauen- weiscunter Beizug der einsthlAgigen bestehenden hen. Aussichisreicher werden audi alle jene PolibeschAftigungen erkennbar. li.O.Konventionen die versthiedenartigsten Insektoren und
bewertet, die sukzessive an einer besseren
Schliesslith wird auth des Risiko für Frauen, strumente mir Besserstellung der weiblichen liken
Vermischung von .ctypisch weiblither und mAnnarbeitsios und arm zu sein, deutlidi hOlier eingc- Arbeitskraft ass beieuthten. Dabei with da mid lither> Arbeit futhren (Ausbildung, minimaler,
,dort Sorge dazu getragen, dass sich die Frau nicht Sicherheits- mid Gesundheitsschutz, Arbeitsplatzswft.
Dabei 1st seit den achlziger iahren ein Tend dsüth zhstzliche wirtsthaftliche Kosten als Folge bewertung, Anderung rigider hierarchisther
offensichtlich, ntunlich der steigende Anteil weib- emner geschlechterspezifischen Sonderbehandlung Strukturen usw.). .
hcher Aibeitskr5fte bei den ErwerbstAtigen in der selbat aus dens Arbeitsprozcss ausschliesst. Wo
Schliesslich hAlt die ILO.Studie fest, dan sich
indusirialisierten and der Thitten Welt. Global soldie -Zuu*zaufwendungen allenfalls aus gesell-'
gehen 45% der Frauen zwischen 15 mid 64 Jahren schafihithen oder anderen GrUnden trolzdem als am Erwerbsprozess beteiligte Fmuen grundsAlzelner BeschUftigung nash. Ins OECD-Raum arbei- wertvoll cingestuft werden (z. B. Muttersthafts lich starker auf elnen gesetzlichen Schulz abstfItten inzwischen mehr als die H1fte, gcgenuber schulz), soliten die entsprechenden Schutzsyste- zen, urn dadurch den negativen Effekten der
me nitht arbeitgeberbezogen, sondern gemein- MarktkrAfte cntgegenzuwirken. Es gebe keine
sthaftsbezogen ausgestaltet scm. ZusAtzliche und Sicherheit, dass der Markt allein wirkungsvolle
einseitige Arbeitgeberbelastungen für weibliche mid gleichgewichtige Losungen liefern kOnne, urn
Beschaftigte werden dasnit grundsatzlich abge- den sozialen Wert der Frau ins Kindergebaren anlehnt, weil sonst der Anrciz zur Anstellung von gemessen an berucksichtigen; ZnsAtzlich vermittle
Frauen vermindert werde. Solche Aufgaben sind der Markt allein der Frau unter Berticksichtigung
von der staatlichen Gemeinschaft ins Sinne einer ihrer sozialen und hliuslichen Verantworwng keibreiter abgestfitzten SolidaritAt an ubernehmen.
nen gleichwertigen Zugang an den ErwerbsVon den vielen konzeptionellen Beispielen des xnogiichkeiten. Mit anderen Worten: Die Regie.
ILO-Handbuchs scien her nur einige wenige rung hat don an intervenieren, wo der Markt die
zitiert. Das Steuersystem und die Sozialpolitik weiter gefassten sozialen Werte der Frau nitht ansind so an gestalten, dass sic die FlexibilitAt zur gemessen refiektiert. Freilith mUsse der Staat chic
Aufteilung der verfUgbaren Zeit in Bildung mid Mischung mUglichst marktkonformer Regelungen
Ausbildung, Lohnatheit, familiaren Verantwort- linden. Sonst bestehe die Gefahr, dass die
lichkeiten, freiwillige fltigkeiten, Freizeit USW. er- Frauenarbeit für die Unternehmung an relativer
leithtern. Die EinfUhrung von Quotensystemen AttraktivitAt verliere mid sith Ietztlith selber am
jeglicher Art ins Arbeitsprozess with abgelchnt, dem Arbeitsmarkt hinauskatapultiere.
Die Studie.geht von der historisch zweifelhaf-
ten Behauptung aus, dass Frauen zunehmend
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'Kvinnors värde
är 25 procent
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GENEVE (TT-AFP)
Kvinnor bar Iängre arbetstider an man, men tjänar I genomsnitt 25 procent mindre un dessa. Och detla trots aft kvinnor alit större utstrackning
bar anställts boom traditioneilt manliga yrken, heter det I en rapport fran
FN-organet Internationella arbetsorganisatlonen IO.
Rapporten "Fler och bMttre arbeten fdr kvinnor - en handledning" offentliggjordes I Geneve.
- Mcdvi alit Oar kvinnor attic-
pan
Vidare fraingir an kvinnornon vixande andei iv arbelsstyrkan till star del fiStlaras iv
itt de tar dcitidsjobb. I de 28
tat'.
- Kvinnans ekonomiska akti-
anstilldes dubbeit SM
mAngo kvinnor sam mAn mellon 1980 nab 1990; i syddstra
och Ostra Asian utgör kvinnorna 80 procent or arbetsstyrkan
mom den expoilinriktade industein.
iv dcltidsjobbcn.
tar. fir de aura fiesta bars anstaiining i l3gavlUnade yrken.
sade Lin Lim vid prcscntationan av den 200.sidiga rappor-
vitet fdrblir koncentrerad liii
ligavlonade. iAgproduktiva och
otryggajobb. soda hon vidare.
Kvinnor utgor 70 procent iv
varidens l'atliga. LikasA utgor
- Den relativi biliiga kvinnhigo asbetsssyrkan utgör lyggra.
den i den esportinrtktade industnaliseringcn av minga utveckiingslinder. soda iLO.cbe-
de 65 procent av jordens an-
Can Michel Hansennc.
alfabcter. hater dat i rapponcn.
kyinnor i Aidrarna niellan iS
variden, jimtlrt med 37 pro.
cent i vOstra Europa och 30
proccnt i USA for 20 Ar sedan.
F kvinnor toppchefer
Rapporten Sr en uppfoljning or
ruira Arets kvinnokonfcrens i
Peking och FN:s sociaba IoppmiSc i Ktlpcnhamn 1995. Rapporiens huvudsakliga slutsatser
Sr dais alt Lvinnor utanförjord-
bruksscklurn endast ljlinar 75
procent ov den iOn sam mOn i
motsvarande anstiliningar hat.
I rapporten IramgAr ocksA att
arbetsiOsheten bland kvinnnr Ar
mellon 50 nab 100 proccnt hogcc On bland mAn i tiara ildnder,
Vidore hater dat I rapporten
ott kvinnur barn upprdtlhAilcr
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ninguma i niringslivet.
Andra lakia I r.lpporlCn: I
Nurdamerika, Europa och Jo.
narita meilan 65 nab 90 procent
Rapporten redovisar ocksA sinia framstcg (Or kvinnorna under
senate Ar. sdrakilt I utvecklings-
linderna: alit Oar kvinnor (Ar
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AVKETII ZETrERVALL.THAPPER
urt sa raven! llattre ican jag inn for-
mm resktion pa Steflan
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SAF ccii andra
gwarorganisationer
tanker lamna ILO och dittoed tro sig
man konjunkeuranpassa lOnra2srnas ntrigheter. Det ekonomislta uppsving torn
Europa behover koinmer sannolike ate
beralas av Europas lOnragarc i form av
inga dIet myckee bcgransade ritrigheeer.
Det ir dee torn at SAPs definition av en
marknadaanpassning av arbetsiivet.
ILO mste modemiseras!
Ha, svararSuL(an Awn direktpd in-
vis ails telesrberande i i-varlden var
Iaggeefrdn TCO:
enlige arbersgivarnas uppfartning fel.
Für dem finns inte minsea behov are
infOra byrilerstiserade overvaknslngs-,
kunna punktera denna organisacion. Sir-
skiltsom det at linderna, I det hit failet
fin grislIer flu pa den nys ILO-
Keth Zenervall-Thappervisar i sitt in-
Svezigesom tillsarnmans med 171 andra
konventionen torn anger minimiriteigheterna for hemarbetande.
iagg art hon lika liter torn under iron
Men bista Stellan Artin Lyft
blickea ccii se lire lingie in till bars Europal Hemarberande tom bar problem
finns Overailt I virlden, framfor silt i uc-
ILO befinner sig i.
Fi av [LOs 172 mediemslinder ra-
lander ar mediemmar i ILO och inn organisauoncrna ide oiika iinderna.
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rens 1993 dundrade SAFs divarande
ordforande Ulf Launn uc ssmma budship. SAP misslydrades den gingen, trots
Laurins forsOk art sInks liv i den egna
intemationdla orgsnisationen. international Organization of Employers. JOE.
sum (ram till dess Ievt en mydret penfert
liv. Man kommer inn ate lycicas flu heller.
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ILO aren tandlos organisacion (EU
ar mycket birere, men bars nar direkriven
sum rat (ram Jigger i linje med SAPs in-
SAP
vecldingslSnderna pa de snabbe vaxande
axbeesmarlcnsdernas informella sekeorer.
Dar finns de stora skarorna av hemarbctande och kontrakrsansrSilda.
I sin totals avsaknad av regiering ger
dessa arbeesrnarlcnadcr optimal flcxibiliret, paradisee für Scellan Astin, SAP ocii
andra arberagivare. Men vi tom samanbe-
rat med facidiga kollegor i dexta lander
ser till vilkee pris dens sker.
idessa tinder Sr dee forenat med livefasi, rorryr och tr7akaasciier art vera lack-
iigt akeiv I dens tinder finnsanaifabctismen ccii fattigdomen. framflir silt bland
andes sedan hivdar an den
kvinnor ccii barn. I dens tinder finns
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lonragarnas villkor I arbeisliver omojlig-
slav- och barnazbetdrna. scm dyst Br be-
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Norge. medan tinder torn Kina midgin knitik trots avsaicnaden av grund-
laggande mansicis..rtigheter - visar
att nigorir let.
nigra ir sedan gay dirfir
anbetsgivsrna firslag till hut ILO
skulle reformerat. Dee ensterande konventionsbestindee mitre
moderniscras. Koncentrera anseringningarna pi respckren for minskliga
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rittighceer. Siuta goes vizidsomfatean-
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skuile rarificeras av ert eioeai tinder.
Denna urveciding Sr i sig etc hot moe
iLO.
Dee Sr ociesi err reeik hot for en
organisstion. scm skryrer med ace represcneera crc parter. art den p5 eec aS
flagrant sate gir heir emor en av parrerns. Denna stindige OverkOrda part
lean inre vats skyidig ate delta i dens
missbruk sv resurser och fortroendekapital ccii dinigenom ge organisationen Iegieimieee. Dee Sr nagor som
Keels Zcttervall-Thapper inte cycks
kunna fOrsti. [LOs generandirekror
Hansenne visade diremot deer omroatningen den oro ccli cfeertinksamher torn vi eftcnlysr, ccli utlovsde err
omrinlcande.
de deealjregler. Priorirera urbildning
ccli eekniskr bistind. Effektivisera
aS kailade hotee ate gnillige
ILO cdi at till ate silt kunnande torn
limna for are man fariorse it
finns i organisationezs venkligen hammer till praktisk nyeta. Kore sage, atbetagivanna vile och vill modennisera
i stiller en omtanke om
DeeaUraS
ILO, etc krav pa art organisa-
en forildrad organisasion.
Kraven pa nyeinlcande mOrn seod
fain minga regexingar. men kompskc
motsxind (rise arbetseagarna. Enlige
facken var slit redan pexfèke. och ingeneing lick indraa.
Nit sedan facken dray igenom an
psssas till dagens och morgondagens
aebeesliv. Vi viii ince delta i dee fore-
1995 ccli 1996 irs ILOkonferenser
skulie utailicta en konveneion om
hemaxbeee. uttalade arbeesgivarna
stanita tvivei pi dee meningsfulla i
dens. Det it en avgrundsdjup skillnad mellan "hemarbeee" i err mo
dennr eunopeiske land och i u-under.Tvivlet vaxte till beslursamhet are
inre ha nigor art gOra med en sidan
korivent ion. Aven flees regeringsdelegarer vat emot den. Si arbecsgivarna
seed frkriske inn heir ensamma.
Vits invindningar gailde bade
sakinnehiliec i konventiorsen och de
mets lingsiktiga principerna. Minga
hemarbeeande I ulunder hat der wire
ccii it i eringande bchov sv tirbirtrsde villkor.Ur den sspekeen finns fürscielse for ieminsrone ambitionerns
bakom forslsgen. Men ate r samma
konveneron ornfstea aven exempei-
rionen mitee moderniseras ccli an-
sates forfallee med produkeion sv
normer scm ingen viii ha ccii ants for
eget brisk
Viharsvirr art firvina uppdragsgivare (Oridara och forsvara ate vi genom eget delrsgande legieimerar vad
vi inn lean at nigon nytra med. 0th
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till prakrisk handling.
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Farnse. Under 70-islet an:o ILO 23 nya
konvenrroner. Till 1995 bade (rattan iv
dma ran literate av 20-40 lander, fern iv
40-60/Onder. snxavfiüreän 10.
Under 80-tile: miser 16 nra kin venneowv En torn handskappaaei bar fin 56
ran/ikanoner, en annan larbetemaivnathsnansuk) nan .10. Ates konvennoner
l'sranraus an 10-30 Iandet
see konvennoner at three an 10.
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Datum: 96-08-06
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Battre kvinnolöner
riskfyllt och snârigt
Kraven pa hdgre mn tox kvinnor & fdrenade
med svái risker som snklgheter. Ldnedlskrlmtnertn ken vera avAr att faststJIa, samlldigt
sam en generell kvinnolOfleS8t8flhT1 medfdr en
Okad risk fOr SAV1 hoWe InfiStlon SCm hOgre
WbOdOShSt.
1 veckan faststhllde ILQ, Internattonal Labour
skarnafram till att kvinnor med sammaiobb
och I sa!nma Inrattnlng I genomsnitt tJanar
indian 2och 6 procentmlndre n mannen. Stu
dlerfrân USA bar visat aft mba och kvinnor I
samma yrken och med samma arbetsglvare tJAnar I stort sett lika mycket.
Uppenbara risker
Organisatlon, att vrldens kvinnor har en
Ijardedel lagre Ion an
mbnnen, med lbngre
arbetstld. Det ráder
knappast nâgot tvlvel
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nering forekommer.
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svArare att âstadkom
Kraven frAn kvInnor I
lagavlonade yrkesgrUP-
perochavkvlflflOrl
alimAnhet Sr dock fOr-
knlppade med uppenbare risker, bAde for de
sj6lva och for samba!let som helliet.
For det ftlrsta riskerar
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alit I ktlrva besparingstider. Den hUgre arbetsbisbeten bland handelsansthflda och anstallda
mom vârden sAgs olin
been pa detta.
FOr del andra riskerar
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inflatlonstrycket. Det
marknadsmifllster
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nor ati vbnda sig till
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genast len rAthrIs
utvftrdering om lOnediskrlminering fOre' grsv5rtafttAnkaslg
llgger.
en kompenserande
Tvá fall, sam JAmO.
IOflSIkflIfl mom fra.
in
jametAfldbetsombudsditlonella. mnervAlbemanflen. drivit I AD 811 Iãkare Istàl!et, kWnnor, sâ fr ni ocksâ hogn
beWser delta med ill loner, tycker debattören.
FOr detiredle lnnebSr
sin tydlighet. I decemhoida kvinnolOner
ber 1996 dbmde AD tll1av regisJämnO:s fOrdel dA konsdkrlmflerflgfa3blOP genom regleringaren yttezilgare form
1lThdWfle- -.
narRhtad
pa en a
u..1Ian* r,ultnftmSsekononter p5 samma - - ring
sAttnhig knappast gynnar tlllkomsten av nya
arbetsplats men med olika Ion.
Jobb.
Dlskvlmlnering
Alt kvinnor Ionedlskrhnifleras Ar bite acceptaVid en AD-dopt 1apr11 196 kunde man dock
belt, men ofta kan.det till och med vara battle
tote iaststAlla aft IOnedlskrbnlnering mellan en itt satsa pA utbildning efler aft byta yrkesbana.
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kvinnllg barmnorska oth en manlig sjukhustekolker ibrelAg.
Forutom diskrhnlnering mellan olika yrkesgrupper, pekar mycket pA att dlskrbnmnering
ocksA forekommer loom samma yrke och pA
samma arbetsplats.
I en studle av den norska arbetsmarknaden
(Petersen et al, Oslos universitet) kommer for-
'
',,.,',,
,.
c-
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Eft iltet exempel: Sverlges mest vAlbetalda
yrkesgruppAr lAkare. Idag Ar det 11cr kvinnor
An man som studerar pA en lakarutblldnlng. SA
var det Inte fOrr.
ULF HAMBRAEIJS/FTI
:AibetspIât'
'
*U1tVU5ltI1J
-.
S8143;
2
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Sverige
Nordvästra Skânes Tidningar
Datum: 96-08-06
S nâr.iga kvinnolöfler
--
Kraven pa0 1nogre lull
for kvinnor är fore-
h,oprtjettamed
all sin tydlighet. i december
AI
UIJVIL 14W
nade med SâVal flS
ker som snarigheter.
LflediSkrimiflmg
kan vara svâr aft
faststälia, samtidigt
som engenerell
vjflflo1onesatsmng
rnedför en ökad risk
for SãVäl hOgre
inflation somliogre
arbetslöshet.
I veckan- faststO]1d-ll
International Labour Organisation, aft varldens kvinnor
har en fjardedel lagre ion On
mOnnen, med liingre arbetstid. Det rOderknaPPaSt nOgot
tyivel om aft lonediskrimin-
ring fOrekonlmer, dOEmot Or
losningen svãráre aft Ostadkomma.
I Sverige uppmaflar bitrOdande arbetsmarklladsmu
niqtr 'tilrika Messing lonedisitriminerade kvinnor aft
vOnda sig till arbetsdOmsto
1,.problemUppStarge-
nast i en rOttvis utvOrdering
om onediskrimifle1i1Ig fOre-ligger.
TvO fall, som JOmO, jOm-
1995 dömde AD till JOmO:S
fastslogs mellan tvâ. fOrvaltningsekoflOmer p0 samrna ar
betsplatS men med olika lOh.
Viden AD-dom i april 1996
kunde man dock inte fast-
själva och for samhllet som
belhet.
FOrdetfôakeh0
löneaVtal aft leda till fOrre
jobb, framför alit i kOrva besparingstider. Den högre
betslOShetefl bland handelsanstOilda och anstOilda mom
vârden sags ofta bero pa det-
st011a aft lonediskfl1fleg
ta.
For det andra riskerar en
ska och en- manlig sjukhuStekniker forelOg.
generell
jnf101onesatSflhng
aft pressa upp inflatiOflS
trycket. Det Or svârt att tOnexkomPeflSeraflde lomellan olika yrkesgruPPer, kasig
nesankning
inomtraditioflel
pekar niycket p0 aft diskrimansyrla,
nier
vlilbetalda
mmnering-OCkSO forelcommer
inom samnia yrke och p0
innebOr höjsámma arbetsplatS; - -- -. .-- For det tredje
regleda
kvinnolöner
genom
I en studie av den nórska ringar en ytterligare form av
arbetsmarknadefl (Petersen regiering p0 en arbetsmark:
et al, Oslos universitet) kom- nad dOr regierad ionesattning
mer forskarna frain till aft knappast gynnar tillkomsten
kvinnor med samma jobb och
av nya jobb.
i samma inrLittniflg i genomAft kVinnor lönediskrimimitt tjOnar mellan 2 ocli 6
neras
Or inte acceptabelt, men
procent mindre On mOnnen.
oftä
kan
till och med *rara
Studier frnhJSAharvisat aft bättre aftdet
satsa
p0 utbildning
samma
mOn och kvinnor I
eller
aft
bytvyrkeSbana.
yrken och med sainma arEtt litet exempel: Sveriges
.betsgiVaretiOnar I stort sett
FOrutOm
uica myCKet.
jskrimmfleriflg
-
Uppenbara risker
mest vOlbetaida
YrkesPP
Or lOkare.
Idag -Or det fler
nnorOnmans0m1
SO var
Kraven fran kvinnor i lOg- p0 en 1karutbi1dning.
det
inte
fOrr.
avionade yrkesgruPPer och
av kvinnOr i aUmänhel Or
dock forknippade med upULF HAMBRAEUS
penbara risker; bOde for de
Sv erige
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Sverige
ostgota
Correspondenteri
Datum: 96-08-12
Kampen mot Ionediskriminering
Linkoping pa rättvä
Det ma ha knorrats mom
vissa mansdominerade yrkesomrAden, efter Linköpings kommuns.senaste loneforhandling. Men kommunen är pA rätt vfig nilr det
galler loneutjarnning mellan
könen och bOr fortsatta-
pA arbetsmarknaden fAngar upp
58 procent av kvinnoma och 40
stilhidhet i arbetslivet uppnfls.
helt omojligt aft med fantasins
De skail särskilt verka fOr aft Ut-
hjalp fOrsOka sfitta sig in i vissa
dessa trettio yrken efter den gemAnadslönen
nomsnittllga
i lOner och andra anstilllningsvilikor mellan kvinnor och man
som utför arbete som fir aft betrakta som lika eller likvardigt.
Vad som fir "lika vfirde" avgOrs med hansyn till det arbete
som ska utfOras, inte till hur det
utförs eller av vem. Vid lika och
Dessa har ju under mAnga Ar lo-
likvfirdigt arbete fir det sjfiivfallettillAtet med olika iOn, somt ex
beror pA individuella skifinader
ijuli -96 pA aft mer fin 45 procent
procent av mfinnen. Ordnas jflmna och fOrhindra skillnader kvinnogruppers
finns männen i allinfinhet pA
den övre och kvinnorna pA den
nedre delen av rangordningen.
med sift aktiva jilinstilild-
Löneskillnader
hetsarbete, anser CATHARINA ALPKVIST, jamstillldhetsdirektOr, länsstyrelsen i Linköping.
Pram till mitten av 1980-taiet
minskade
Jöneskillnadetna
mellan kvinnor och man for
stora grupper pA arbetsmarknaden. . Dfirefter stannade
IDAG FINNS kvinnor i sam- minskningen av ochi dag finns
ma utstrilckning som mãn.pA ar- tendenser till Okade löneskillbetsmarknaden. Detharvariten nader. En del av iöneskillnaderkontinuerlig ökning av kvin- na har aft gora med aft kvinnor
nors förvarvsarbete under bela och kvinnors arbete fortfarande
situation.
nediskriminerats - enbart fOr
aft jobben utfOrts nfistan huvud-
saldigen av kvinnor.
Most cieltidsjobb
I en FN-rapport av arbetsorganisationen IJQ visar man nu
av vfirldens kvinnor i dag ar ute
pA athetsmarknaden. Mycket
mellan olika arbetstagares ar- stor del av kvinnojobben ar
betsinsats. Principen utesluter emellertid deltidsjobb. Och 10mte individuell lonesilttning. neskilinaderna mellan könen
LOneskillnader fA.r dock inte ha visar ingenstans nAgra tendirekt eller indirekt samband denser aft minska. I Ost- och
Sydostasiens arbetskraftsintenmed kön.
siva lAgioneindustri fir upp till
1900-talet. De senaste decenni-
vfirderas iflgre an man och mans
emaharokningengáttsnabbare
arbete. Det fAr konsekvenser
Arbetsvürdering
80 procent av de anstfihlda kvin-
ochberört andra grupper an tidigare - gifta kvinnor och kvinnor med smâbarn. Förvärvsarbete har bhvit en sjilivklarhetför
kvinnor..
ilflr det gfiller bi a Ion, anstfillning och befordran. '
I Linkopings kommun hararbetsgivare och facklig organisa-
nor. Kvinnorna har emellertid
Tud&ad arbetimarkiiad
Det finns en tydlig - om fin
kke önskvfird - athetsdelning
mellan kvinnor och man pa arbetsmarknaden.
Kvinnor arbetar frarnför alit
morn undervisning, sjukvArd
och socialvArd. Aven mom sam-
ma yrke finns kvinnor och man
pA olika befattningsnivfler och
med olika arbetsuppgifter. Genonigflende blir det dA sA aft det
som kvinnor arbetar med vfirde-
ras iflgre fin de arbetsuppgifter
som mAn i första hand flgnar sig
at.
De trettio vanligasteyrkena
Inomi stortsettaliayrkesom-
lion pA ett mycket beromvilrt
rAden, bAde mom privat och of-
sfittmedvetet arbetat enligtjflmstAlldhetslagen i den senaste 10-
fentlig sektor, harkvinnor lagre
IOn an nifinñen. Tradilionella
varderingar, fOrestllllningar och
fordomar lever kvar. Den
grundlaggande frAgan fin Hur
vfirderas kvinnors arbete i sambAllet?
.
Konventioner och lagar
Sverige hargenom attratificera olika internationella konventioner förbundit sig aft se till aft
principenom lika ion for arbete
av lika vArde fOr kvinnor och
man genomlOrs i praktiken.
Sedan 1980 finns ocksA en jamstahidhetsiag sm sager aft:
"Arbetsgivare och arbetstagare skall samverka fOr aft jam-
neforhandlingen. Efter aft tillsammans ha .genomfort ett arbetsvilrderingsprojekt
inom
Skaf-omrAdet, har man ocksA
med stort ansvartagit nfista steg
i syfte aft utjfimna de löneskillnader som finns och som visat
barn tre firdedelar av mflnnens
lOner. Endast5 procent av kvin-
nornaivarldenstillverkningsindustri arbetar som tjfinstemän
och 2 procent arbetar som chefer.
Vi vill inte leva ien uppenbarligen orAttvisvfirld. Kvinnors atbeten mAste uppvfirderas. Kvinnors arbetsiOshet mAste tas pA
ailvar. LinkOpings kommun har
sig inte bero pA nAgot annat fin
kön. Detta har dA givit till resultat aft vissa Overvfigande man-
visat handlingskraft och bOr
fortsfitta med sift aktiva jam-
liga yrkesomrAden kflnner sig
nesattning dfir man bortser frAn
fOrfOrdelade och missgynnade.
traditioneilt och ensidigt manligt tfinkande, och försOker se
andra och nya dimensioner i ar-
Det flrfOrstAs svArt aft i en sAdan
situation forsOka se problemet i
ett stOrre perspektiv och kanske
inse det "rfittvisa" i arbetet med
en lflngsiktig loneutjamning.
Det borde emellertid inte vara
stälidhetsarbete. En rfittvis 10-
betsuppgifterna fir den enda
vagen till mera rfittvisa lOner
CATHARINA ALPKVIST
Sverige
Sverige
Sinai andsposten
Datum: 96-08-03
Dagens eko
enligt uppgifter fran ILO
Toppstyrt
Moderaterna är i clag det
framhâller förre socialde-
och ledningens dorninans Or
fuflstandig.
Aftonbiadet (ober s)
betsmarknadspolitik, Allan
nisationen).
FrAn ILO intet nytt alltsA.
Expressen (ober)
han inte vad Kenth Petters-
LOr om!
mokratiske finansxninistern,
numera generaldirektoren
mast toppstyrda partiet i
svensk politik. Carl Bildts for EU-kommissionens arson sager?
Larsson-Pettersson
De gainla arbetsrättsla-
garna duger inte langre for
framtidens kunskapsbaserade jobb. De kraver i stallet
en ny arbetsrtt som inte
hindrar
de nya
Larsson. Vad flu da? Hör
jobben,
Barometern (m)
Gamma! sanning
Kvinnor arbetar langre tid
fOr lagre loner On mOn och
de har drabbats hArdare av
den ekonomiska nedgãngen,
Aktuc-.1)t I Po1jtjJc--1
Anmäl iönédiSkriminerinq!
-Kvinnorsarbetemâsta1
bätfresta
Del. sager jamstafldhetsminis-
ter.UhicaMessingi enkommentar till en rappOrtithn Intematlo:nella arbetsorganisationen, ILO.
Del arlktIgt alt kvinnors
vlIlkorvãddon.ver blir synhiga,
sager Ulnca Messing.
Ju tier rapporter som visar hur
det stAr till, deslo kraftfullare kan
kvinnor stAlla krav pA rAtt till aT-
bete:och rAttvisa.löner, rnenar
jamstahklhetsministem.
Hon uppmanar.kvinnorafl an
mAla 0th pt6vas1tt fail cm de
misstAnker alt de Ar lônediskri-
mhernde..:
..
01)
(Internationella arbetsorga-
- LO och andra fackliga organisationer mAste Ater lära
sig att verka pA arbetsmarknaden utan att ha lAngtgAende statliga regleringar
bakom sig.
Norrbottens-Kuriren (m)
Sverige
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Sverige
Sverige
Arbetarb 1 adet
Datum: 96-08-01
I dagarna har vi eft gott exempel pA detta. När Kommunal
försOker höja sina lAgavlonade
kvinnors loner genom speciella
pofter kommer protesterna
frAn männen i fOrbimdet.
Det känner sig plOtsligt lOne-
diskriminerade trots aft de ofta
har en bra mycket hOgre lon an
sina kvinnliga kolleger i fOr-
44
Fortfarande.
lang vagtill
lönerättvisa
vinnor arbetar längre tid
fOr lagre loner. Det är
lutsatsen len undersOkning som FN-organet ILO, den
internationella arbetsorganisationen, gjort. Inget nytt under
solen. Det är en gammal sanning aft kvinnolönerna släpar
efter. Aven I ett utvecklat land
som Sverige bar kvinnolOnerna
en tydlig tendens aft hamna pa
efterkälken i jämfOrelse med
männens. När fOrsOk till utjäinrnng gOrs känner sig ofta man
ásidosatta.
bundet. Det är markligt hur
ofta solidaritet i defta land endast sifter pA ytan. Eft slags
marklig teflon-solidaritet.
Mânga man mânar om hogre
kvinnolOner, men tydligen bara
nAr det inte gár Ut Over den
egna loneutvecklingen. Det
ILO pAtalat, och ofta genom aft
htinvisa till utvecklingslander
fOr aft markera loneskiflnader
och lAnga arbetstider, finns fOrvisso liven hos oss.
FOr Kommunal och andra
fackfOrbund med en stor kvinnomajoritet galler det bara aft
stã pa sig. LOneskullnaderna
och orlittvisorna màste jäninas
Ut. Sedan far till exempel de
brandmän som flu protesterar
met aft kvinnorna for en gling
skull fAft litet mer I lönekuvertet tycka vad de viii.
Om det finns man i Kommunal som känner sig trampade
pA tArna dlirfor aft kvinnor
hävdar aft de ska ha rAttvisa loner fOr eft värdefullt och viktigt arbete, sA far de naturligtvis motivera varfOr de ska ha
en hogre lOn an sina kvinnliga
kolleger. Dessutom bOr de kiara ut hur lAgavlonade kvinnor
ska kiara sig pA sin inkomst.
FOr idag är det mãnga kvinnor
som inte klarar sig pA en heltidslOn.
Sverige
Datum: 96-07-31.
TCX)Ti.dn irigerl
Fattiga, trots
aft de bar jobb
I dag ãr 45 procent av världens
kvinnor ekonomiskt aktiva.
Andà ãterfinns majoriteten av
dem pa listan over arbetande
fattiga. dar de dessutoni Okar.
Trots att kvinnorna arbetar fler
timmar fk de i genomsnitt 25
procent lägre loner an man. ett
gap som är ett stort hinder fr
Nyi Luc3vka Tdning
"Anmäl
orättvisor"
STOCKHOLM (IT)
- Kvinnors arbete mtiste
fA bättre status.
-
Det sager jämställd-
hetsniinister Ulnica Mes-
kvinnornas ntveckling.
Enligt ao liar emellertid
sing i en kommentar till
en rapport fran Internationella arbetsorganisa-
manligt dominerade jobb. Andâ
Samtidigt fastnar mnga
bestâr de allra fattigaste i vanden till 70 procent av kvinnor
och av aMa analfabeter an 65
kvinnor i lâglonearbeten,
procent kvinnor.
ligt ILO-rapporten.
kvinnar vttit betydande fbr
delargenomattgâinitidigare
lionen, ILO.
Kvinnor arbetar mer.
osakra anställningsforhAllanden och deltidsarbeten, en-
- Det är viktigt aft kvinnors vilikor världen over blir
synliga, sager Ulrica Messing.
Ju fler rapporter som visar
hur det star till, desto kraftfWlarekan kvinnor stalla krav
pA raft till arbete och rättvisa
loner, menar jämställdhetsministerii.
Uppmanar till anmälan
Hon uppmanarkvinnor aft
anmala och prOva sift fallom
de misstänker aft de at lOnediskriininerade.
Kvinnors växande andel
av arbetsstyrkan fOrklaras I
ILO-rapporten till stor del av
aft de tar deltidsjobb.
Ulrica Messing sager aft
hon ska verka for aft de del-
tidsarbetslosas mojligheter
till heltidsjobb fOrstarks.
Sverige
Norra Skáne
flitum: 96-07-30
-
GENEVE
-
Kvinnors värde lagre
KvinnOr har Iingr. arbotstidor an mm, men tJãnar I
gonomsnitt25 procont mlii-
noriAidrarnamellanl5och64
Ar her i dag arbete, vilket ar
och 1990; i sydOstra och Ostra
drygt hAiften av arbetsstyrkan i
cent av arbetastyrkan mom den
exportinriktade undustrin.
bob Mt kvhnnor I Mt stöITe
jAmibrt med 37 procent i vAstra
Europa och 30 procentiUSA fOr
2OArsedan..
dre in dessa. Och detta
utstracknhng har anstilits
11mm traditlonellt manilga
yrken, heter dot 'I en rapport fran .FN-organet Internatlonella arbetsorganlsstionen ILO.
Rapporten 'Pier och bAttre
arbeten fOr kvinnor - en hand1edning' offentlggjordes 1
Geneve pA tisdagen.
- Medan alit flerkvinnor arbe
tar, fAr de aura fiesta bara
anstailning i IAgavlonade yrken,
sade Liii Limvid presentationen
ày den 200-sidiga rapporten.
- Kvinrnrns ekonomiska akti-
den industrialiseradO variden,
vA KVINNOR TOPPCHEFER
Rapportei Ar ennppfoljning
av fOrra Arets kinnokonferens i
Peking o& :s sociala toppmote i KOpenbamn 1995. Rapportenshuvudsakilga stutsatser
-
-Denrelativtbilligakvliga
arbetsstyrkan utgorryggraden
.i den exportinriktadeundustria-
liserungen av inAnga utvecklingsiAnder, sade .ILO-chefen
Michel Hansenne.
STARIAR EGET
Rapporten redovisar ocksA
stora framsteg fOr kvinnorna
Ar dais att kvinnor utanfjord- under senare Ar, sArskilt I
brukssektorirendast tjAnar.75. utvecldingslandernaTill exemprocentavdén ion soth'inAn i .pel fAr alit fier kvinnor jobb i
mats
nd& Ansth]Iningar liar. .iedax4e befattningar och fier
I rapporten frAmgAr ockAA att ., amerikauska kvinnor An mAn
arbetslOshetenblthidkvinnor Ar startar egna foretag
mellan50 och 100 pr cent hogrO
An bland mAni flerá ilAnder.
vitet fOrblir koncentrerad tifi lAg-
Vidaréheter det irapporten
avlonàde, lAgproduktiva och
aft kvinnor bara upprattliAller
sex procent av de hogstabefattningarna i nAringslivet.'
otryggajobb, sade hon vidare.
Kvmnor utgor 70 procent av
Asien utgor kvinnorna 80 pro-
-Men jämlikhet har Amiu
inte uppnAtts nAgonstans i vAnden, pApekade Hansenne.
ILO berAknar aft kvinnorna i
ilAiiderna kommer aft utgora en
lika star del som mAn av de.
vAridens fattiga. LikasA utejir de
Andra fakta 4. rapporten: i
65 procent avjordens analfabetar, heter det i rapporten.
Nordaunerika, Europa och Japan
utvecklingsiAnderna kommer
anstAildes dubbelt sA mAnga
kviniior som mAn mellan 1980
kvinnorna aft utgora 31 procent
av de arbetslösa.(TT-AFP)
Drygt. 45 procent av alla kvin-
arbetslösas skara vid Ar 2000.1
Sverige
Kvinnor värderas
m yckét lag r e an
man.
mote I Kopenhamn 1995. RapKvinnor har langre
portens huvudsakilga slutsatarbetstider an1 mün,
serärde1sattkvinnmutanfOr
men tjänar I genom -- -- -jordbrukssektornendast Ijanar
75 procént av den ion som man
sniff 25 procent
i motsvarande anställningar
mindre. Och delta
hat IrapportenframgárocksA
trots alt kvinnor i alit aft arbetslösheten bland kvinnor är ni.pl]an 50 och 100 prostörre utsträckning
cent hogre an bland man i flehar anställts mom
ra iländer.
Vidare heter det I rapporten
traditionelit manliga
aft kvinnor bara upprätthâlier
yrken, heter det i en
sex procent av.de hogstabefattrapport fran FN-orningarna I naringslivet.
Andra fakta i rapporten:.i
ganet Internationella
Nordamerika, Europa och Jaarbetsorganisatio-.
pan ansthlides dubbelt sâ
nen ILO.
Datum: 96-07-31
Skãnska Dagbladet
mánga kvi±inor som man mellan 1980 och 1990; i sydostra och.-
Rapporten "Fler ochbättre-.
betenibrkvinnor-enbandledningoffentliggjordes i
ye pãtisdagen.
- Medanalitfier
oslraAslenutgOr.kvinnorna80'
procitav arbetsstyrkan mom
den exportlnriktade Industrin.
Den ielativt bilhiga kvinnliga arbetssty$can utgor ryggbetar,frde aUra flestajbara an. - radenidenexportlnriktade Industria]isetingenvmánga Utstu1nfrig I lãgavlonade yxkén,
sade Lin LIm vid presentatlo-. vecklinändeisade ILO-chenen av den 200sidigarappor- ...fenMIchelMansemie.
ten..
STARTAR EGEI.- Kvinnans ekon6miskakRapportén redovlsr.ocksâ
tivltetfOrbllrkoncentreradtffl
stora framsteg fOr kvinnorna
lâgvlonade IágprO&zktiva och
under senare ár, särskilt jut'otryggajobb, sade hon vidare.
veckllngslãnderna: alit tier
Kvinnor utgor 70 procent av
kvinnor far jobb I ledande bevärldens fattiga. Likasá utgor
fattnlngar; tier amerikanska
de65 procent av jordens analk*innor an man startar egna
fabeter, heter det i rapporten.
fdreta lagar for jâniställdhet
Drygt 45 procent av allakvinbar antagith i alit tier lander I
nor i âldrarna mellan 15 och 64
sávâi industria]Iserade som utár liar i dag arbete, vllket är
vecklings]andez och arbetsvilldrygt baiften av arbetsstyrkan
koren liar fOrbättrats sâ aft
iden induslrialiseradevärlden,
kvinnor iãttare kan kombinejämfbrt med 37 procent i vastra yrkeslivet med familjesituaraEuropaoch 30 procent i USA
tionen kvinnor ansluter sig i
fOr20trsedan.
alit hogre utstracknmg till
FA TOPPCHEFER
Rapporten är enuppfoljning
avfOrra ãrets kvinnokonferens
i Peking och FN:s socia]a topp
den, pApekade Hansenne.
ILO berãkxiar aft kvinnorna
i iländerna kommer at utgöra
en lika stor del som man av de
arbetslösas skara vid àr 2000.1
fackfOreningar och alit fler kol-
lektivavtal träffas som gynnar
jämiikhet.
- Men järniikhet harännu
inte uppnátts nagonstans Ivan-
utvecklingsländerna kommer
kvrnnorna aft utgöra 31 procent av de arbetslösa.
Vidare franigar aft kvinnornas växande andel av arbets-
styrkan tifi stor del förklaras
av aft de tar deltidsjobb. I de 28
landernainom OECD bar kvinnorna méllan 65 och 90 procent
av deltidsjobben. ('rF-AFP)
Sverige
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ifl::1
D R st-Ta Ior,-
nher of women migrant
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-' ": workers to increasing steadily.
Empêoyrnsnt Editor
-'-:
-'' iLL;. :-. The -substantial growth In
Women workers suffered more
the number of women workers
hours than men for lower pay,
earning only between 50 and 90
per cent of men's wages worldwide.
As many as two-thirds of the
than mena.crossthe worJ,din' In .1ndustria1ised nations
the economic recession -of reflects .the increase In nearly lbn adult illiterates In
recent-years, accordlng';to a' parttime employment. Women the world are female. Sixty per
report' ublished-today b$-'the r mAke up between 65 and 90 per cent of the lOOm children withGeneva-based.InterflatiOflál. -cent of.ali part-timers In indus- out access to primary educaLabour Organisation.
.!:.
-
.:thallsed -economies.
1n -.developing countries
lised-comitties the jobless rate women-make up a substantial
for women is between 50 and part of the labour force In the
100 per oent higher than for Informal sector in low paid,
men. -Unemployment among unregulated activities. More
women Is also considerably
In .two4hlrds of Edustria-.-
higher than among men In subSaharan Africa, Latin America
and the Caribbean.
'Ihe survey Bhows that
Worldwide,
women work
tion are gir]s.
"Equality of opportunity and
treatment for .women in
employment has yet to be
achieved anywhere In the
world," Mr Michel Hansenne,
11.0 dIrector-general, said yesterday.
The report says that
"increasing employment opportunities for women is net suffi-
women Indeveloping countries
longer., hours
cient; -there must be action to'
Improve the terms and condi-
than-men for
lower pay
tions of such employment."
year 2000 there will be asmany
of the
make .up 81 per
world's labour force.-' By the women - In work - as men In
many industrialised econo?
rams.
in south-east Asia 54 per cent
It recommends the enforce-
ment of international labour
standards to ensure the princi-
ple of "comparable worth by
of workers axe women and In
than a third of the female providing equal pay for work
workforce in Africa work in of equal value", greater secuthe informal sector with 72 per rity for part-time workers,
Women make up 34 per cent of
cent of those in Zambia and 65
the Caribbean 49 per cent.
per cent in the Gambia. More
than 65 per cent of women in
the Indonesian labour market
Only the Gulf states con- .bave jobs In the Informal sec-
the workforce In Latin 'Amer
ica and 21 per cent In northern
........
tinue -ito -res1st ;the -trend
towards increased female
employment, says. the study,
written by Ms Lin Loan Lim,
an ILO official. But even here
tOL
-
The survey also shows
women face, widespread discrimination.
It says women work longer
guarantees of freedom of association and the right to collective bargaining for women and
"appropriate" labour market
regulation to protect women.
More and Better Jobs for
Women - An Action Guide by
Lfn Learn Lim, £1&50, from
ILO, Vincent House, Vincent
Square, London SW1 2NB
I
United Kingdom
Workplace trends
Women's wages still lag
lolig after global accord
'['hey receive only
50%_8(Y%, Of what men
are paid w)rIdwide
*OC1ATIDPIfl'Jft
WASH1NqTOI -- Dc.
spite a tmlf-ccnt.ury..old
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woman and a:flhan must earn
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women's pay levels still average far beloW men's. the Internatinnal ihnr Organize.
I
Labor Secretary Robert
Reich promised Isat
mdnt.h to get President Clinton to seek Senate approra3
B.
of another agreement bannthg job dIscrimination, including discriminatory treatment of women, That ILO
agreement dates from 1958.
l.tm's paper points to a
special difficulty for u.s.
compliance: Each state.
labor laws, and the federal
government has trouble getting them to conform.
"In some states ... women
etild not legally be required
UI lifi. loads of more than 30
Women's pa,y
still lags men's
bug after accord
[Wai?es,from Page Id
country to discriminate against
half fl.s population,"! .Im said.
Her report. says that In Latin
Americtu and the Caribbean, an
t.Ion says.
average woman can earn as little
"Women tLlI earn he. poundç the paper says. as half a man's pay. In rich count.ween 50 an 80 percent of "This was used to justify pay. trios, the difference can be les
men's wages Worldwlde, the ingtmenj.ahlgherwage."
than 10 percent.
In an Interview, Lim said
United NaUos agency said
In a preface to the guide, ILO
In "More and Be1.t.er Jobs for her country, Malayai$, has
Director
General Michel Han.
Women," an :11O document moved closer to equality be- senne said
women have unequal
cause a continuing economic
made public iest erclay.
chances
for
training, access to
Lin Lean 1irn. the paper's boom has created a labor
choice ofjobs, share in deci.
author. said advances have shortage forcing It. to Import loans,
slon-maklng, family responsibilibeen made si.nce 124 govern. workers from the Philippines
ties,
career r'rospects or steady
ments signed t.he equal- and elsewhere.
wor1
--as well as unequal pay.
More
Malaysian
girlS
are
wages agretment in 1951,
The
3L0 has 179 member counbut. "progn's has been nei- attending schools, she said,
tries,
with
headquarters In Gene.
considers
the
sinwhich
she
ther unlversl nor sustained,
even In couijtric.s and areas gle most Important require- va.
ment for Third World counwhich have made explicit el
tries to rectify man-woman
forts."
American women receive pay discrepancies.
More education Increases
68 percent to
an average
70 percent ol men's pay, the a woman's earning power,
cuts the population growth
estimated.
The UnWed States and and increases the likelihood
other rich ctuntrles should that children of both sélces
be the first t. enforce the ac.. will survive, be bct.te sred
cord, she .uge.st.cd. hut br and cducat.ed, she said.
"it. flI3kCS WJ CCOflQñU(
noted that. the U.S. SuatC
SrnfiE' fora I'e IVies, JE7r1
never rat ifind It.
United Kingdom
hratIp t1rrapl1
30 JUL 1991
Women work longer
hours than men and are
paid on average 25 per
cent less, according to a
report issued today by the
International Labour
Organisation. Between
1980 and 1990, women
accounted for seven
million of the eight million
entrants to the labour
force in western Europe.
In two-thirds of countries,
FINANCIALTIMES
uptotwiceasniany
women as men are
3'
unemployed. Gordon Martin,
Gen
JUL ig
Womn los out at woric
Worldwide: Women
work longer hours than men for
lower pay world.
wide, says an International Labour
Organjsatjo
report.:
THE
The Daily Telegraph - London
TIMEs
JUL 7ot
30 JUL 1U
Cheap labour
Wofoen work longer
hours than men and are
paid on average 25 per
cent less, according to.a
report issued today by the
International Labour
Organisation. Between
Geneva: Women work longer
hours than men but earn on
average 25 per cent
less,
despite filling jobs that used
to be traditional male occu
pations, the International
1980 and 1990, women
accounted for seven
million of the eight million
entrants to the labour
force in western Europe.
In two-thirds of countries,
up to twice as many
women as men are
Labour Office said. 4FP)
unemployed. Gordon Martin,
Geneva
The Guardian Weekly
-4 AUG 1996
average pay
levels are still well below
WOMEN'S
men's, despite a 50-year-old
worldwide agreement that the
senes must earn equal wages for
equal work, the International
our rganisBon Maid.
United Kingdom
Women
Sufféredi:
most jfl
recession
FINANC1ALT1MES
.
By Robert Taylor,'
EymeEdlt*T:
Women workers suffered iñore
."ihan men across the world In
the economic recession of
recent years, according to a
I mPost1
report published today by the
Geneva-based jternationai
Jbour OrganisatiolL'
1n twthlrds of industria-.
used countries the jobless rate
for women has been from 50 to
100 per cent higher than for
men. The survey also shows
women worked longer hours
for lower pay, earning between
50 and 80 per cent of men's
wages worldwide. "Equality of
opportunity and treatment for
women In employment has yet
to be achieved anywhere In the
world," Mr Michel Hansenne,
ILO director-general, said 'yes-
terday.'
Women are playthg an
increasing role in the formal
economy. In developing countries they make up 31 per cent
of the world's labour force and
by the. year2000 In many
Industrialised economies there
will be as many in work as
men.
But many jobs for women are
part-time or In the unregulated
Informal sector where opportunities for discrimination and.
exploitation are rife. "Increasing employment opportunities
Tor women is not sufficient;
there must be action to
30 JUL 1996.
It's still a
man's, man's
maii's world
Women in rich and poor
the world
work longer hours but are paid
25 per cent less than men docountries around
ing the same job, claims a report by the International La-
-boar Organisation (ILO).
Although more women were
entering the global labour market, they ran a higher risk of
unemployment and had had little success in mounting the Ladder to top management posts.
"The bottom line is that
while more and more women
are working, the great majority
of them are simply swelling the
ranks of the working poor,"
said the report, written by UN
agency analyst Ms Lin Leaii
"Women's economic activities
remain highly concentrated in
low-wage, low-productivitY and
precarious forms on -employ-
improve the terms and condi-'
tions of such employment," the
report says.
It recommends the enforce.
ment," she added.
standards to ensure the principie of "comparable worth by
providing equal pay for work
of equal value", greater security for part-time vorkers, and
"appropriate" labour market
women's unemployment rates
ran from 50 to 100 percçnt
more than for men and around
the world women held less
than six percent of senior man-
ment of international labour
regulation to protect women.-
The report shows the problem starts early. As many as
two-thirds of the nearly lbn
adult illiterates in the world
are female, and 60% of the
lOOm children without access
- to primary education are girls.
More and Better Jobs for
Women - An Action Guide by
Lin Learn Lim, £13.50, from
LW, Vincent gouse, Vincent
Squai London SWI 2NB
The ILO said the majority of
women earned about three
quarters of the male wage for
the samb work.
In many richer countries,
agement posts.
TheGuardiafl
30 JUL
1996
Women still get
raw pay deal
average pay
levels are still well beWOMEN'S
low men's, despite a 50
year-old worldwide agreement that the sexes must
earn equal wages for equal
work, the International
Labour Organisation said
yesterday.
The United Nations
agency claimed women still
earn between 50 and 80 per
cent of men's wages
worldwide.
It said advances have
been made since 124 governments signed the equalwages agreement In 1951.
In rich countries, the difference between men and
women's pay can be less
than 10 per cent, but In
Latin America an average
woman can earn as little as
haifa man's pay. - AP.
United States of America
IMPERIAL VALLEY PRESS
EL CENTRO, CA
DAILY
15, 500
TUESDAY
JUL 301996
Half a century after accord,
women's wages stifi trail men's
By CARL HARTMAN
Associated Press Writer
ti
enforce the accord, she suggested,
but noted that the U.S. Senate never
ratified it.
WASHINGTON (AP) - Despite
a half-century-old worldwide agreement that a woman and a man must
earn equal wages for equal work, the
International Labor Oganization
says women's pay levels still average far below men's.
"Women still earn between 50 and
80 percent of men's wages world-
wide," the. U.N. agency said in
"More and Better Jobs for
Women," an 11.0 document made
public Monday.
Lin Lean Lim, the paper's author,
said advances have been made since
124 governments signed the equal-
wages agreement in 1951, but
"progress has been neither universal
nor sustained, even in countries and
areas which have made explicit
efforts."
American women receive an average 68-70 percent of men's pay, she
estimated.
The United States and other rich
countries should be the first to
Labor Secretary Robert Reich
promised last month to get President
Clinton to ask Senate approval of
another agreement banning job discrimination including discriminato..
ry treatment of women. That ILO
agreement dates frpm 1958.
Ms. Lim's paper points to a special
difficulty for US. compliance: pach
state has labor laws, and the federal
government has trouble getting
them to conform.
"In some states ... women could
not legally be required to lift loads
of more than 30 pounds," the paper
says. "This was used to justify paying (men) a higher wage."
In an interview, Ms. Lim said her
country, Malaysia, has moved closer
to equality because a continuing
economic boom has created a labor
shortage forcing it now to import
workers from the Philippines and
elsewhere. More Malaysian girls are
attending schools, she said, which
she considers the single most impor-
tant requirement for Third World
countries to rectify man-woman pay
discrepancies.
Women's
pay still
trals men's
United States of America
45 years after accord,
wages reflect inequality
Associated Press
1J(
WASHINGTON - Dpite
!Ilãlf-century.old orldwre
ment that' a woman and a .niañ
must earn. equal Wages 'fo equal
work, the International Lithor Orization says women's pay levels
shit average far below men's.
"Women still earn between 50
and 80 percent of men's wages
worldwide," the U.N. agency said
in "More and Better Jobs for
Women," an ILO document made
public yesterday.
Lin Lean iim, the paper's au-
thor, said advances have been made
since 124 governments signed the
equal-wages agreement in 1951, but
"progress has been neither universal nor sustained, even in countries
and areas which have made explicit
efforts."
American women receive an average 68-70 percent of men's pay,
she estimated.
The United States and other rich
countries should be the first to en-
force the accord,jhe.suggestedJt
noted that the U.S. Senate never
ratified it.
Labor Secretary Robert Reich
promised last month to get President Clinton to ask Senate approval
of another agreement banning job
discrimination including discriminatory treatment of women. That
ILO agreement dates from 1958.
Lim's paper points to a special
difficulty for U.S. compliance:
Each state has labth laws, and the
federal government has trouble getting them to conform.
"In some states . . . women could
not legally be required to lift loads
of more than 30 pounds," the paper
says. "This was used to justify paying (men) a higher wage."
In 'an interview, Lim said her
country, Malaysia, has moved closer to equality because a continuing
economic boom has createda labor
shortage forcing it now to import
workers from the Philippines and
elsewhere. More Malaysian girls
are attending schools, 8he said,
which she considers the single most
important requirement for Third
World countries to rectify manwoman pay discrepancies.
More education increases a woman's earning power, cuts the popu-
lation growth and increases the'
likelthood that children of both
sexes will survive, be better cared
for and educated, she said.
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MARIN INDEPENDENT
JOURNAL
NOVATO, CA
DAILY & SUNDAY 41, 839
TUE SDAY
JUL 301996
United States of America
DAILY BREEZE
TORRANCE, CA
DAILY
80,800
11L0: Women earn
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TUESDAY
JUL 30 1 996
Desp1te a half-century-old
worldwide agreement that a
woman and, a man must earn
equal wages for equal worlç, the
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still average far below men's.
OUTLOOK
SANTA NONICA, CA
DAILY
27,572
Women still earn between
'50 percent and 80 percent of
men's wages worldwide, the
TUESDAY
JUL 301996
U.N. agency said in Morv and
Better Jobs for Women, an 1W
document made public Monday.
MANTECA BULLETIN
NANTECA, CA
DAILY & SUNDAY 7, 200
TUESDAY
JUL 301996
Women's pay still lagging
WASHINGTON (AP)óspite
a half-century-old worldwide agreement that a woman and a man must
earn equal wages for equal work the
public Monday.
Lin Lean Lim, the paper's author,
said advances have been made since
124 governments signed the equal-
International Labor Organization
wages agreement in 1951, but'
says wcmens pay ie'veas suit aver-
"progress has been neither universal
.nor sustained, even in counties and
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"Women still earn between 50 areas which have made explicit
and 80 percent of men's wages worl- efforts."
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American women receive an
"More and Better Jobs for
average 68-70 percent of men's pay,
Women," an 1W document made
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The United States and other rich
countries should be the first to enfor-
ce the accord, she suggested, but
noted that the U.S. Senate never rati-
fied it.
Labor Secretary Robert Reich
promised last month to get President
Clinton to ask Senate approval of
another agreement banning job discrimination including discriininatory treatment of women. That ILO
agreement dates from 1958.
United States of America
THOUSAND OAKS STAR
THOUSAND OAKS, CA
DAILY & SUNDAY 19, 877
MOORPARK STAR
TUESDAY
JUL 30 1 996
VENTURA, CA
DAILYSSUNDAY 6,000
TUESDAY
JUL 30 1 996
SIMI VALLEY STAR
SIN! VALLEY, CA
DAILY S SUNDAY 12,688
TUESDAY
JUL 301996
'Decades after world acord,
pay equality. eludes women
'WASHJNGTON:..j(AP) - baniiingjdb discrimination including discriminatory treatment of
women. That :ILO agreement
Despite a ba1f..centur-old worldwide agreement that a woman. and
a man must earn equ1 .wges for
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Labor' Organlaatioi says women's- difficulty for 'i.LS. compliance:
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ment in 1951 but "progress has tinuing economic boom has creat-'
been neither universal nor sus- ed a labor shortage forcing it now
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Malaysian girls are attending'
American women receive an
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States and other rich countries
should be the .first to enforce the
accord, she suggested, but noted
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the U.S. Senate never ratified it.
Labor Secretary Robert Reich
woman's, earning power, cuts pop-.
requirement for Third World
countries to rectify man-woman,
pay discrepancies.
' More education increases a
ulation growth and increases the
promised lát month' to 'get likelihood that children of both
President Clinton to ask Senate. sexes will survive, be better cared
approval of another agreement for and educated, she said.
United States of America
STAR-NEWS
PASADENA, CA
45,000
DAILY
TUESDAY
SAN GABRIEL VALLEY
TRI BUNE
JUL 301996
COVINA, CA
DAILY
122,500
TUESDAY
JUL 301996
DAILY NEWS
IHITTIES, CA
DAILY & SUNDAY 17, 200
Women stIH earn less
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TUESDAY
JUL 301996
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in 1931, but 'progress has been
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have made explicit efforts."
Abovówater
Bird-watching author
- Roger Peterson dies
'OLDLYME, Conn.RogerTory
Münir Busøhn and his
:ijiother rescue their cat
in Dhaka Bangladesh.
Peteron, a modern-day John
James Audubon who turned mUlions of Americans into bird
watchers with his easy-to-use field
.00dingthérehaS.
guides, has died at 87.
Peterson, who died Sunday
idlled at least 115 people.
Eight' ilitia members'
face conspiracy charges
SEATTLE - Seven man and a
woman arrested over the. weekend
on federal charges of conspiring.
C
to make and possess explosive
devices made initial appearances
Monday in federal court
Pasenelli said four of those
arrested were members of the
anti-government Washington
State Milltia its founder and former executive director, John Pitner,Mathn Lane Mack, Gary Marvin Kuehnoel and Frederick
Benjamin Fisher.
The other four - John Lloyd
Kirk, Judy Carol Kirk, Richard
Frank Burton and William Smith
- were members of a Seattle-area
group referred to by Pitner as
' "Freemen," according to the feder-
al complaint
'.
P
after suffering a mild stroke several months ago, wrote, illustrated
and edited 15 books that sold mulions of copies and were translated
into at least 12 languages.
Hunicane leaves 35 dead
in Central America
GUATA Cfl Guatema A Caribbean-born hurricane
emerged newly potent in the Pacif
ic on Monday, leaving at least 35
people dead in its sweep across
Colombia and Central America
Renamed Hurricane Douglas
from Hurricane Cesar because of
the change in oceans, the storm
was about 330 miles west di
Guatemala City at midday Monday, menacing Mexico's Pacific
Coast
The Mexican government
issued a tropical storm warning
from Sauna Cruz to Acapulco as
Doi'glns headed west
- Fnim wire reports
United States of America
SANTA MARIA TIMES
SANTA MARIA, CA
a SUNDAY 22, 500
DAILY
TUESDAY
JUL 301996
SALARIES'
omen's
men's
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Labor Secretary Robert '
Reich promised last month to
get President Clinton to aSk
Senate approval of'r -
By Carl Hartman.
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Assodated Press Writer.
criminatory treatment ôf
WASHINGTON
Despite a half-century-old
worldwide agreement that .*
woman and a man must earn
equal wages for equal work'
women. That 1W agreement
dates from 1958.,
the :Internatiônal Labor
Ms. Urn's paper points to!
-a special difficulty for U.S.
'compliance: each state has,
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labor laws, and the federal
'
pay levels atill averagt far
below nen's.
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""Women .stlliean
between 50 and 80 pácëntOf'
men's wages worldwide," the
U.N. agency said in "More
and Better Jobs for Women,"
an 1W document thadeiub-
government has trôublegCt-
:tingthemtoconfoi.'"'
"In some stated .. women
could not legallybe ieqUi!.
to lift loads ofmoiethañ30
pounds," the .paperziys.
"Thiiwas used to justify
- Un Lean Um th paper's
author, said 'advance! have
paying (men) a higherage."
In an interview, Ms. Lini
said her country, Malaysia,,'
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agreement in 1951,, but
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universal nor sustained, eva
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American women receive
an average 68-70 percent of
men's pay, she esthnated.
The United States and
labor shortage forcing it now
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Philippines andelsewheie.
More education increases
a woman's earning power,
cuts the population growth
and increases the likelihood
that children of both :sexes
will survive, be better caied
other rich countries should be.
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she suggested, but noted that
the U.S. Senate never ratified
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SUN
BALTIMORE. lID
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DAILY
IJEDNESDAY
AUG 21 1SSG
Btter j ohs for women
EDITORIAL
are smaller. Worldwide, women's wages fall
LOfl hours, low wages &iwauon, equaW. somewhere between 50 and' 80 percent of the
;benqfltshouseJwfrfr fema(euvr
wages paid to male workers.
The low wages paid to women workers feed a
HE TIME when wornen% work was In the. vicious cycle in which girls are given less school-
home is long past In this country, ad the. ing and, consequently, have to seek out lower-j
paying jobs. Despite their hard work, their low
same trend holds true around the world.
According to a new report from the In- wages keep their families mired In poverty, retematlonal LabQ gj,aJion by tIiiT ducing the chances that their own daughters
year 2000, womiiWllLpartIcipate In, the labor' can seekabetter education.
Educating young girls Is one' of the best inforce in about the same percentage as men in
- vestments a country can make. Each additional
'many Industrialized countries.
In developlag.countrles, where few women. year of schooling can raise a woman's earnings
' have the luxury of leisure, female workers win' by about 15 percent, compared with 11 percent
.iinake up about one-third of the formal labor for males. Better schooling also reduces fertility
fates by 5 to .10 percent and helps avoid 43 In;forcebythen.
'
Considering their household responsibilities, fant deaths for every 1,000 educated girls.:
The problems of women workers - from bewomen In most countries work longer hours. In
:lndustriallzed countries, women work at. least ing ghettoized In certain kinds of jobs to paytwo hours more per week than men, sometimes checks that do not reflect the comparable value
.up to 10 hours more. In poorer countries, worn- of their work - vary only In degree around the
.en spend up to 42 'hours per-week in unpaid world. But women are an increasingly Imporuwork In the 'home, while men spend only be- tant part of the global work forëe and signifitween five and 15 hours in unpaid chores cant sources of household income. Paying at-'
tention to their concerns can produce big benearound the house.
And not surprisingly, women's paychecks fits for.famllies, and for countries.
BURLINGTON FREE PRESS
BURLINGTON, VT
SUNDAY
70,000
AUG 4 1996
where women are less likely to lag
Most of the new jobs being
report author Lin Lean Lim.
"Taking into account the educational differences, the productivity differences, there is an
element of pure discrimination,"
she said.
Some of her other findings:
temporary jobs that offer few or
behind men in education, said filled by women are part-time,
I Occupational segregation,
Study: Women earn
25% less than men
WOthCU tdckat lower-pay-ing jobs, remains high.
with
U Of 8 million people who
joined
Western Europe's work
Wothen around the world are
force
during
tearing down barriers to joining were women. the1980s, 7 million
the work force, yet they earn an
average of 25 percent less than
men do, a new report by the
jnternational Labor Orgajzatjo.
says.
The earnings gap persists
even in developed countries,
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no benefits.
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: two-thiIds of the global
workfomve is female, the study said.
There are many reasons women
that she is fat, expecting a reply .tlt
she isn't Asking.for a raiserequires
self-promotion, something few wornen are taught to do, she writes.
Even fewer. are taught to fight. for
equal treatment.
"It takes guts to stand up for your
still get paid less than men. One
rights. Women need to fight. But
reason is that women have difficulty
addressing the pay gap because thej'
to do
most women don't have the courage
that. They're too scared,"
earn.
explained Childress, the time-share
saleswoman who sued her emplçyer.
"But it won't stop unless more of us
make is troubling because "pay is a
stand up for our rights. Unfortu-
don't know what their colleagues
Finding out how much people
topic more taboo than religion or
sex," said Carol Counter, a career
ounselor in Tempe.
"Women have to resort to espio-
nately, lawsuits are expensive, and
they require lots of time. How many
viomen can afford .that?"
Since Childress sued the Orange
nage to find out how their pay Tree, more women have been decompares with the. men in the
office," Counter said. "Then when
they get the information, there's not
manding equal pay at the resort
"My lawsuit helped other wornen," Childress said. "It.was worth it.
muchtheycandowith.itjuStpUsh. Butitwaspaimiful."
More often than not, women
for larger pay increases. But,by that
choose to run fiom the situation..
time it's too late."
For instance, when Marcia Angelo
Companies often blame the pay
imbalances on women's poor negoti- discovered that the management
ating skills. However,, women corn-- cozisulting finn she worked for 'iii
plain that men don't have to California was paying male consultnegotiate pay. Many women corn- ants more, she quit.
"I didn't give a reason oi
plain that they often get lesser offers.
"My husband has never had to
come back and say the salary wOn't
do," said Jane Elliot of Chandler, an
engineer. "Md he does the same job
as I do. I've never been offered the
kind Of money he. gets offered, and
we have the same credentials and
education. It's awful."
More important, even when worn-
en do discover pay inequities, they
rarely fight to have .them rectified.
That's because women aren't accustomed to fighting for their rights
or promoting themselves, according
to Deborah Tannen, author of You
Just Don't Understand.
Tannen writes that girls are taught
not to stand out. Later, as women,
they make selfderecatin remarks,
anything," said Angelo, who. quit
last year and is attending Arizona
State University to obtain an advanced degree. "So what did I
accomplish? Nothing, I guess."
Many employment-rights attorneys
don't believe the .. situation will
improve anytime soon because corn-
panies have been tightening their
purse strings.
"Jobs and money are
scarce
because of the downsizing movement. Unfortunately, that means the
guys are going to protect the guys,"
said Joseph Goldçn, a Michigan
attorney and former president of the
National Employment Lawyers Association. "I see things getting worse
for women."
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United States of America
Ridchmond Times Dispatch
30.07.96
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said in. "More and Better .Jols for
Women," an 11.0 document made
public yesterday.
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said advances have been made ince
124 governments signed the 4qual.
wages agreement in 1951, but "prog-
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The United States and other
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promised last month to get Pres-
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approval of another agreement
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and the federal government has.
trouble getting them to conform.
"In some states ... women
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the paper says. "This was usedin
justify paying. (men) a higher
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each state has labor laws, and
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far below men's.
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said m "More and Better Jobs
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now to import workers from the
Lin Lean Lim, the paper's
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Malaysian girls are attending
made since 124 governments
schools, she said, which she consigned the equal-wages agreesiders the single most important
ment in 1951, but "progress has
requirement for Third World
been neither universal nor sus-tamed, even in countries and
countries to rectir man-woman
pay discrepancies.
areas which have made explicit
efforts."
More education increases a
American women receive an
woman's earning power, cuts the
average 68 percent to 70 percent population growth and increases
of men's pay, she estimated.
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both sexes will survive, be better
The United States and other
rich countries should be the first cared for and educated, she said.
to enforce the accord, she sug"It makes no economic sense
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for
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Senate never ratified it.
against half its population," Urn
Labor Secretary Robert Reich
said.
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approval of another agreement
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In a preface to the guide, ILO Direc-
that the U.S. Senate never ratified it
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morethan 30 pounds," the paper says.
"This was used to justify paying
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"This was used to justify paying
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equal wages for equal work,
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American women receive pay discrepancies.
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The United States and and increases the likelihood
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will survive,, be better cared
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America and the Caribbean, an
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paper says. "This was used to justify
paying [men] a higher wage."
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percent of the world's poor and6
Please see WOMEN'S on Page 14I)
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"It makes no economic sense for a
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its population," Ms. lAm said.
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pines and elsewhere. More Malaysian jobs, share in decision-making, family
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United States of America
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DAILY
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By CARL HARTMAN
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dates from 1958.
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special difficulty for U.S.
compliance: Each state has
labor laws, and the federal
government has trouble get-
ting them to conform.
"In some states ... women
could not legally be required
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pounds," the paper says.
"This was used to justify paying (men) a higher wage."
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the International Labor Organization says wometi'i pay
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In an interview, Lim said
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moved closer to equality because a continuing economic
boom has created a labor
shortage forcing it now to
import workers from the
Philippines and elsewhere.
More Malaysian girls are at-
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men's wages worldwide," the
single-most important re-
and Better Jobs for Women,"
an ILO document made public Monday.
Liii Lean Lim, the paper's
countries to rectify man-
been made since 124 govern-
and increases the likelihood
that children of both sexes
will survive, be better caredfor and educated, she said.
tween 50 and 80 percent of
which she considers the
U.N. agency said in "More
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wages agreement in 1951,
but "progress has been nei-
ther universal nor sustained,
even in countries and areas
which have made explicit efforts."
American women receive
an average 68-70 percent of
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The United States and oth-
er rich countries should be
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Please see Page D-2, WAGES
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More education increases
a woman's earning power,
cuts the population growth
"It makes no economic
sense for a country to dis-
criminate against half its population," Urn said. Her report
says that in Latin America
and the Caribbean, an aver-
age woman can earn as little
as half a man's pay. In rich
countries, the difference can
be less than 10 percent.
In a preface to the- guide,
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Hansenne said women have
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CLEVELAND, OH
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agreement that a woman and a
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"Women still earn between 50
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public Monday.
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The United States and other
rich countries should be the first
to enforce the accord, she suggested, but noted that the U.S.
Senate never ratified it.
Labor Secretary Robert Reich
promised last month to get President Clinton to ask Senate
approval of another agreement
banning job discrimination
including discriminatory treatment of women. That ILO agreement dates from 1958.
PITTSBURGH POST-GAZETTE
PITTSBURGH, PA
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DAILY
TUESDAY
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By Carl Hartman
The Associated Press
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says women's pay levels still average far
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"Women still earn between 50 and 80
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U.N. agency said in "More and Better Jobs
for Women," an ILO document made public
yesterday.
Liii Lean Lim, the paper's author, said
advances have been made since 124 governments signed the equal-wages agreement in
1951, but "progress has been neither univer-
sal nor sustained, even in countries and
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American women receive an average 68-
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The United States and other rich coun-
tries should be the first to enforce the
accord, she suggested, but noted that the
U.S. Senate never ratified it.
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last month to get President Clinton to ask
Senate approval of another agreement banning job discrimination including discrimi-
natory treatment of women. That ILO
agreement dates frorn 1958.
Urn's paper points to a special difficulty
for U.S. compliance: Each state has labor
laws, and the federal government has trouble getting them to conform.
In an interview, Urn said her country,
Malaysia, has moved closer to equality
because a continuing economic boom has
created a labor shortage forcing it now to
import workers from the Philippines and
elsewhere. More Malaysian girls are attending sëhools, she said, which she considers
the single most important requirement for
Third World countries to rectify man-wom-
an pay discrepancies.
More education increases a woman's
earning power, cuts the population growth
and increases the likelihood that children of
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Her report says that in Latin America and
the Caribbean, an average woman can earn
as little as half a man's pay. In rich
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and increases the likelihood that children
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cared for and educated, she said.
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ment in 1951, but "progress has been
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In a preface to the guide, ILO Di-
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DAILY
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United States of America
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NEWS
CREENUILLE. SC
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DAILY
sibilities, career prospects or steady work as well as unequal pay.
The International Labor Organization has
179 member countries, with headquarters in
Geneva, Switzerland. It includes representatives of governments, employers and labor.
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TUESDAY
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By Cail Hartrnan
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pines and else-
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where. More MaIaysian girls are attending schOols, she
said, which she considers the single most,
important requirement for Third World:
countries to rectify man-woman pay dis-:
crepancies
More education increases a woman's
earning power, cuts the population growth
and increases the likelihood that children
of both sexes will survive, be better cared
for and educated, she said.
"it makes no economic sense for a coundiscriminate against half its popula'
lion," Urn said.
Her report says in Latin America and'
the Caribbean, a woman can cam as little
as half a man's pay. In rich countries, the
difference can be less than 10 percent.
In a preface to the guide, ILO Director
General Michel Hansenne said women
have unequal chances for training, access
to loans, choice of jobs, share in decision
nialdng, family responsibilities, career
prospects or steady work - as well as
unequal pay.
The ILO has 179 member countries,
with headquarters in Geneva, Switzerland.
TUESDAY
It includes representatives of govern-
JUL 30 1556
ments, employers and labor.
U.N. reports women
still em less than men
-
Despite a 45-year-old 'worldWASHINci9ON
wide agreement that a woman and a man must earn
equal wages for equal work, the jiternational La-
borOrEanization says women's pay levels still average far below men's.
"Women still earn between 50 and. 80 percent of
men's wages worldwide," the U.N. agency said in
"More and Better Jobs for Women," an ILO document made public Monday.
Lin Lean Lim, the paper's author, said advances
have been made since 124 governments signed the
equal-wages agreement in 1951, but "progress has
been neither universal nor sustained, even in
countries and areas which have made explicit efforts."
American women receive an average 68-70 percent of men's pay, she estimated.
United States of America

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