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IIlIIIlIIIihIIihIIIIihIIi/ihI/f/II/ 44713 ° c I Z5 nc '. Cl) ri 0 I S i . - ___ o.!cEses C,Mgj ..a.u.__ c5 .i 4 1 i I I J $ Cli t 0 J't I iiL. ci.) E I Cl) C Cl) G) E E w Cl) -J - c& : C . ,. E I k E mc .- ° 4 Sen L..a.. cce.c na e ; _.it3 4j.e ..' e_9 - 1!! Ut1cEE2S c_m tflI °!5J: IiiI11111I4UIh i1 Belgique Echo 30.07.96 Même si Ia situation s'ameliore plotOtdans les pys industriahses BIT Les.. feinmes: sont sous-é'.aluéès sur le marché du travail Alors qu'elles prestent de plus longues heures que leurs collegues masculins, les femmes sont en moyenne payées 25% de d'un homme pour le même travail, endehors de l'agriculture. Cette inegalité reste vraie dans les pays industrialisés comme dansles pays en moms. chOmage'sontentre 50 et 100% plus nombreuses que les hommes dans Ia voie d'industrialisation, et 1'écart ne diminue pas. Principales victimes de Ia recession des années 1990, les femmes au plus en plus de femmes Detravaillent mais Ia grande plupart des pays industrialisCs. IIfaut dire qu'en AmCrique du Nord, majorité occupe des emplois pré-' en Europe et au Japan, dies ont etC caires, mal rémun6rés et a faible deux fois plus nombreuses que les productivité. Elles vont done pour hommes a rejöindre Ia population Ia plüpart grossir les rangs des tra- vailleurs pauvres*, explique Lin Lim, I'auteur du rapport ntitu1é More and Better Jobs for Women,. active entre 1980 et 1990. La principale force an Action Guide, publié par l'agenee dii succès des PVD des Nations unies spécialisée dans les questions sociales dans Ia foulée En Asic du Sud-Est'et de l'Est, Ic de Ia conference mondiale des se'xe faible*' représente jusqu'à femmes organisée l'an dernier a 80% des personnes employees dana P6km et du sommet social mondial de Copenhague. - les industries exportatrices. <Cest ''45% des femmesde 15 à64 ans travaillent dIes représentent ai sur, Ia main-d'reuvre feminine, rela- p!us de Ia moitié de Ia population active dans les pays industrialisé: Par ontre, dies sont toujours plus tivement bon marchC, que repose nombreuses dans des professions l'industrialisation axée vers les cx- une.activité professionneile aec des traditionneliement dominCes, par les portations et Ia competitivitC de responsabilités familiales. hommes, rapporte Ic Bureau interim- nombreux pays en dCveloppement*, La plus forte syndicalisation des remarque'Michel Hansenne, direc- femmes et les nCgociaTtions OIlectional du travail (BIT), soulignant - qu'elles n'occupent malgré tout que 6% des pastes de cadres supërieurs. Environ 45% des femmes âgées de 15 a 64 ans travaillent: cUes rejirésentent ainsi aujourd'hui plus de Ia moitiC de Ia population active dans les pays industrialisés, contre 37% en Europe occidentale et 30% aux Etats-Unis ii y a 20.ans. La majorité d'entre elles ne gagnent en moyenne que les 3/4 du salaire teur gCnCral du,BIT. dans les pays industrialisés. Ainsi, par exempie, les femmes sont plus nombreuses a des i5ostes qualifies, et certaines ont même accédé au sommet de Ia hiérarchie. De nombreux 'pays ont adopté une legislation sur est en augmentation. tives ont Cgalement contribué a pro L'Ctude constate péanmoins une mouvoir i'Cgalité des sexes, mais sensible amelioration de Ia situation erivoie d'industrialisation, cUes forment encore que 31% de Ia pa Iation'acive mais leur participati 4'Cga1ité de chance et de traitement pour les femmes dans.le mondé du travail reste encore partout un objectif a atreindre", souligne Hansenne. La BIT s'attend ace que les femmes La hausse du nombre de'femmes travail dans les pays du Nord est en grande partie a des emploi temps partiel. Les femmes représ tent dc 65 a 90% des emploi: temps partiel des 28 pays représentent lé même pourcéntagé i'OCDE. Hors OCDE, dIes de Ia main-d'oeuvre que les hommes vailleñt en majorité dans l'écono- l'Cgalité des salaires et facilité Ia. dans de nombreux pays industria- informelle, moms bien payee et tãche de celles qui doivent concilier uses d'ici I'an 2000. Dans Ie pays protection sociale. BelgiqUe Soir 30.07.96 Un rapport accablant du IT egaux stir le marche du travail j 'egalite entre hornmes et Plus pauvres aussi car chômeuLi femmes clans le travail n'est pas pour tout cle suite. Un rapport du Bureau international du travail (BIT) vient une nouveUe ses: les femmes ont payé très cher Ia recession dii debut des années 90. Dans les deux tiers des pays industrialisés, le taux sont toujours plus nombreuses a trava,ller, mais ) plupart rejo!gnent les rangs des travail/eurs pauvres, constate de prime 100% supérieur a celui des fois le confirmer. Les femrnes de chOmage féminin est de 50 a abord le BIT. Les travailleuses du monde entier, gagnent en rnoyenne 25% de moms que leurs homologues masculins. Mais, elles travaillent plus Iongtemps: dans les pays développés, Ia difference va jus- hommes! Pauvres enfln parce que victimes d'une ségrégation. D'après des statistiques du BIT qui. por- tent sur 500 professions non agricoles aux liSA, RoyaumeUni et France, 45% de Ia main- d'ceuvre occupe des emplois itsexués. a plus de 80%. Cette segregation commence qu'à deux heures de plus par bien entendu a I'école. Sur Ia semaine, et il n'est pas rare centaine de millions d'enfants qu'elte monte jusgu'à cinq a dix qui n'ont pas accès a Venseignement primaire, 60.% sont des heures de plus... Mais cela ne les rend pas plus filles, alors que toute année en fortunées, bien au contraire. plus de scolarisation permet a Quelque 70% des pauvres et Ia femme d'ugmenter ses réve65% des analphabètes dans le monde sont des femmes. Pauvres d'abord de par leur emp101. Dans les pays industilels, nus de 15% (contre 11 pour les hommes), de diminuer Ia morta- lité infantile, et de baisser les taux de fécondité. Les femmes sont po.urtant bien l'augmentatiofl de Ia main-d'ceuet nécessaires: Michel vre feminine est due en grapde utiles Hansenne, directeur general du partie au développement du tra- BIT, souligne que c'est sur Ia vail a temps partieL Elles occu- main-d'ceuvre feminine, relativepent de 65 a 90% des postes ment ban nharché, que reposent de ce type. Et en dehors de ces /'industrialisatiofl, axée sur les pays, elles travaillent principale exportations, et Ia compétitivité ment dans le secteur informel (travail en noir), oü elles exercent des activités non réglementees et rnal rémunérées. internationale de beaucoup de pays en développement. L.d.H.(St) Beigique Lanterne 30.07.96 Meuse 30.07.96 les femmes toujours payéés 25 % en moms Pourtant, elles font plus d'heures que leurs collègues masculins le Bureau In- ternational du Travail D'ARES (B.L1'.), elles sont cependant plus nombreuses aujourd'hui dans des professions traditionnellement domindes par les hommes. Selon Mine Lin Liin, auteur du rapport Plus et mieux pour I emploi des femines, un guide pour l'action, les fern- mes reprdsentent Ia plus grande partie des pauvres et des il- lettrés. De plus, 'Ia majorité d'eñtre dies occuperait des emplois prdcaires,. mal rémunrs eta faible productivitd. Plus de 45 % des femmes daps le monde agées de 15 64 ans travaillent et reprdsentent aujourd'hui plus de la 'moitid de Ia population active dans les pays rndustrialisés. Les principales conclusions - de l'étude sont que: - la majoritd des femmes ne gagnent en moyenne que les trois-quarts du salaire d'un homme pour le même travail. - elles sont les principales victimes de Ia recession des années 1990. - elles, n'occupent que 6 % des postes de cadres sup6rieurs dans le monde. - en Anidrique du Nord, Eu- rope et Japon, deux fois plus de femmes que d'hommes ont rejoint Ia population active entre 1980 et 1990. - en Asie du Sud-Est et de l'Est, les femmes reprdsentent jusqu'a 80 % des personnes employees dans les industries exportatrices Michel Hansenne, directeur général du B.LT., explique que c'est sur la main d'oeuvre feminine, relativement bon marché, que repose l'industrialisaZion (...) de nombreux pays en développemente. L'étude du B.I.T. note cependant des progrès, notarn- ment dans les pays industriali-' sés, comme par exemple une plus grande representation des femnies a des postes qualifies, la creation de leur propre entreprise, ou encore l'adoption de legislations sur une 'égalité de salaire. De plus, lesfemnies se syndicalisent en grand nombre, et des négociatidns collectives ont contribué. a promouvoir l'dgalité des sexes dans de nombreux pays. D'ici i'an 2000, les femrnes reprdsenteront le. même pour- centage de la main d'oeuvre que les hommes dans de nombreux pays industrialisés. Dans les pays en voie d'industrialisa- tion, leur participation est en augmentation. Dans les pays du Nord, les femmes reprdsentent la majorite des emplois a temps partiel des 28 pays de l'OCDE. Hors OCDE, elles travailent en ma- jorité dans l'économie informelle, moms bien . payées et sans protection sociate. Selon le B.I.T., l'une des priicipales causes de cot état de fait est Ia discrimination dont elles sont victimes a l'ecole. Belgique Nouvelle Gazette Charleroi Province Peuple Journal et Indépendance 08.08.96 c °b°° '.a)a) 1 / !I 11!.ca I- I V) I) al) I _.I_. Cl : j: a) Ii 6' 'i uc.-4 I;J a) == a) iJ r. ==o a)- . -C r 'C I I Q.(n,,a° E° a) a i - aaOØa)a) ea)o a) ca c , =__=a).. -.=--- q!EO a O) LQ I ' - :a) 4)ma) ' 1fl F!- 11 a) 'Za4c ' - I_I °Eu.uQ. Ee rF ifl K =u ==- E - I &) * a)* o a)I-.o K4 u . I * I.. U E .a2 2g a) M) E.:IU E I- C'cl)-C,! h'C E2 p 'a) a) = $.I a) ,0 00 a C;,) rC).2 I.) :E 'I.) 4I&g: O00 . : c 1-uii 11I , '.2 C;,)):' U - :0 ____ . - U U q IPI" = -i4 hd := : h .- o '0E' ) = U ..i - '04'0 U'0.D, U'0 -I UU'0 ''00 Qo: h4U 'i_____ ceU:E ,- 0 . 'U:,1:- I C:1,) , _______ ______ C) .. 0 C) :uC)O'C o= E - C)'0 'C) ,:øü V) U 4_ 4 :_ _U.'0)Q EZOO .ii. 1) r1 C) i 4 C)2'0 1- 0 ____ E rn U 04C) L NE'004Q C) 0 C) n Ii øO OO in rn 0 rn ni C)0trC)U = 0 rn -1 Ji '-uC)O 'C) ' I 0 0 I : C) E C1,) 1 U '0 U0. o:0 c: C) U..'U CO%Ut) -oa: U E0 C) 0 - UC U - 1..) ____ M) ,'o - ni .,C) C) .'0'0:U '- ZU:oo: ØU o 0, UUUU. ___ ___ : t 9UE00l4_ : t) UUIN 0 -:oE°+.4:.li C) C) = UU LU '2 o: U c1? ;u '0I.* E-' 0: I :0 0i U UU U34) - C 'C) ni C) ni C)C) : - -o - I 0 F-' 0 Uj US4) 0 :U-n,1ni VJ'C) E Belgique CL) ji1i ;fl : U . E ' c 2 E -=__ - _. - UO'UU . u 2 .- - U ' E Hih'i4L E..9 I. flfl g %. C a i . E0'UU E 'U u oU, '2 - .9.2 . u UU ' u I) . U u u ,, 0 .&c U#.2:2 ou0U 0U© .2 U . -E E E' <.Ec ' °' t;0\U;; 0_i auU '2E Uj_IU .U U. 00= 00 == U2 0'U' U_" .== ,.UOCU(SI . Ufj 0U ....'U{ U-- U E 2 E E c. Uc'U '- U IL .-J U o u LI 0. 0.-. 0 I U- U- 0 U U U'ojU0. u c.2E . u.2 ...{5 EE iefl .9 f;IU 'U.Ej.&U .9 Ec Eu u: 3 U U.'U.E - E.E UU13 _0(U u' I) C,)- : - I# 0 0. = Z U U U .9 U E E U- U- .2 E d ' & U 0 UU U 'U 0 00 U U aU = o'2 U E II 0 U U'.1 E u 0. 'l .2 o U.UU'I ..0.2 -. , 0. 0 U- E U0 .0. 0 .0 Belgique Dernière Heure/ Les Sports 30.07.96 Tra vail / GENEVE. Les femmes moms bien payees. Les femmes font plus dheuresque leurscolleguesmasculinsetsontpayées25 ¼ demoinsen rnoyenne dans le monde mais efles sont aussi plus nombreuses ,?aujourd'hui dans des professions traditionnellement dominées par les hommes, rapporte le Bureau international du travail (BIT). Les femmes representent 70 ¼ des pauvres dans Ie monde at 65¼ du milliard d'illettrés. Plus de 45 % des femmes dans le monde ágeesde 15 a 64 ans travaillent: elles representent aujourdthui plus de Ia moitié de Ia population active dans es pays industrialisés, contre 37 ¼ en Europe .' occidentale et 30% aux Etats-Unis ii y a 20 ans. Le BIT prévoit que Ies femmes representeront le méme pourcenta9e de Ia main d'niuvre que des hommes dans de nombreux pays'industnalisesd'ki l'an 2000. Dans les pays en voie d'industrialisation, dies ne forment que 31 % de Ia population active mais leur participation est en augmentation. Nieuwe Gazet Laatste Nieuws 31.07.96 V rouw blijft <zwak>> WASHiNGTON - Hoewél al 45 jaar geleden werd afge- sproken dat voor gelijkwerk een gelijk loon nicest wor- den betaald, blijkt in de praktijk dat vrouwen nog teiir Michel Hansenne onderstreept dat bet aantal werkende vrouwen weliswaarsterk is gestegen, maar dat hun positie zwak blijft. .Ze doen meestal slechtbetijd minder verdienen dan taalde jobs, hebben minder mannen Dc Enternationale werkzekerheid dan mannen, Arbeidsorganisatie 1W werken vaak langere uren en schrjft in een nieuw rapprt dringen hoogst zelden door dat vrouwen over heel de tot topfuncties. - wereld tussen de 50 en 80 procent verdienen van bet loon dat mannen meé naar huis nemen voor dezelfde taken. De Belgische ILO-direc- Vergeleken bij mannen hebben vrouwen daarenbo- yen nog altijd af te rekenen met ongelijke aanwervingsprocedures en ongelijke opIeidingsmogeIijkheden. BELGIQUE Morgen 31.07.96 Werkende vrouw flog steeds kind vaÜ rekening deerd ult schrik vuor bet moederschap. Bet. darbeidsmarkt. waarze steeds Vrouwen leveren een groeiend aandeel mdc W hogere funkties bekieden. Tot daar bet goede nieuws.Volgens een uleuw rapport van de InternanonaleArbeidsorganizatie npj verdient de vrouw voor dezelfde funktie gemiddeld een kwart minder dan de man. Ookm Belgie. zelfde geldt voor seminaries. btJschollngen en post.unlveraitaiieopleldlngen." Oplossingen liggen nochtans voor de hand. De W1t "Bet Is belangiljk dat de bedrijven axbeldsverdeling en funktlewuzdering onder de loep nenlen. Selectiecrlterla van vroeger wouw daardoor meet afwezlg zal zijn. Verge. gain ailing niet meet op. Bet bedxfJfsleven Is wcedt dat kinderen geboren moeten wOr- gekeolueerd. de funkises niet. Een sekeetarese wee vroegervooenamelljk dactylo, Nil beelt Xe de*en dat demane zich vocflptant." reel sneer verantwoozdelljkhèld en gut sUes cijfexa van het U.O.rapport. In navol. OndeewJs sneUer. Todi blljftze nog in dlkwIJIe op het. glngvan deVN.Vrouwenkonferintievan Peking. liegen ernietom. Slechts4spct. Hoewel BelgiC al enkele jaren di Europese zelfde ,alazisnlveau. Ben ,rouwelljks lngenl SfiUSSEL D° van deviouwenvlchtaldwerk.lndeVS richthjnen voor em gellJke4cansenbeleld eur woedt nag steeds gewelgerd audit an 'a nadits niet snag wesken. Veal bedeljven ver en de EUlanden werken se twee tot tien uur volgt. blIjft vooral de prlvlsektor achtezop. meet per week dan de man. Slechts 6 pct. van Hetllgtaandementilltelt."aldusnogDeWlt. de topbanen in het bedxlJMeven Is voor vio* "Ondenuseen woedt wet heel wit kreadvltelt wen bestemd. .DaaxbJ is de werkloosheid onder vrouwen in de Induanlelanden 50 tot 100 pct. hager dan die onder mannen. Toch Ook in België verdient een boekenvrouwen.vaoral indelndusirletanden. vooruitgang. Veswacht wordt dat In bet jaar vrouw gemiddeld een kwart 2000 In die linden evenveel mannen ala vrou minder wenop de arbeldsmarkt akilef sullen zljn. Daarentegen Is er geen loon naar werken: schuI1enzlthdanadsterdecudewetevingop nachtwerk. terwiji em erouwflu welnachtar- - kid snag doen alrxe em verantwoordelke positle ofeenvemouwens(unktlebekleedt." Ookselekteren de meeste bednjvenvrouwen niet omdat ze niet of'agefgenoeg zouden zljti "Er wordt te welnig rekening gehouden met koncentratle en naulelettend. beldwurwouwen*terkln ziju. oak In de vet. koop," zegt De Wit. "Sen vrouw heefaoyer bet algemeen sneer aoclaal voelende kwulitelten zowel in ontwikkellngslanden ale In de Indus- din de man en kin diatom evengoed eon trielanden worden vrouwen 25 pct. lager en lnventhlteltweggegooid." betaald voor hetzelfde west danbun manneliJ. ke evenknie. Ook In BelgiC lade toestand die In bet rapport wordt weerapiegeld een Mt zegt Georgette De Wit. ,00rzltster van de kom. missie arbeid In de lnternationale Vrouwen. De man worth nog steeds voorgelxokken. Veouwenverdlenenook hlergemiddeld 25 pct minder. 00k blj promotie warden ze nag em. sggedlemintinomd Een van de belangrijkste argumenten in ons land Is daarbij so cud aIr de strait. mast bran. dend aktueel: "bet moederschap", zegt De Wit. "Et wordt nag altijd van uitgegaan dat de goele verkoopster zljn. Dan bedoel 1k nlet in Discriminalle beginevolgens bet ILO.rapport a! In de schooldjd. Bet Is geen toeval dat twee dude van del mlljeeti vaiwassen analfabeten yrouwen sun. In veal Afrlkaanse en /tslatische linden giat 90 pct. van de vrouweliJke bevol. king zeifa ssoolt flair school Van de 10OmI1- bet warenhuls. meat in Internationale f'. ties." Volgens De Wit Is de globule markt deels de boosdoener, meat bled; ze oak pelspektleven door di toenemende nzobllitelt. 'De disalml. joen kinderen die niet nut school gain. zljn nerende mentalitelt weait over nit bet bullets. twee derde meisjes. Ale die wel ussr school land. Bedrijven zIjn bang dat de vrouw voor gain. krijgen an minder onderricht In tech. hear gezin sal kiezen. terwijl de toenemende niek of wetenschap. Elk schooljaar betekent mobiliteit wont dat dit niet nodig Is. Op een nachtans 15 pet. mer inkomen. 5 tot 10 pcI. pair uur vilegen ben je In New York. En ale de vrouw near bet bultenland treict, wiarom situminder kindeten en minder kindersterite. De Wit "Demokratizering van bet onderwijs den hear man en hair gezin niet volgen? Bet is er bij our we!. meat dat wottit niet gewiar- omgekeerdegebeurtaljaren." (MR) - r BELGIQUE Letzeburger Journal 11.06.96 Hunderté M!Ilionen Kinder als Arbeitskräfte mil3braubht Kélne Zéit für Schule Forderung nach sofortigem Verbot auf ILO-Konfereflz Mehrere hundert Millionen Kinder werden weitweit als Eubeitskräfte miübraucht. Einem gestern veröffentlichten Be- richt der Internationalen Ar- beitsorgafliSatiOfl (ILO) zufolge müssen 13 Prozent der Kinder arbeiten. Auf einer Konferenz am morgigen Mittwoch in Genf wollen die Minister aus den 173 ILO-Mitgliedsstaaten beraten wie die Kinderarbeit verrmgert werden kann. Nach einer Statistik der ILO arbeiten 73 Mililonen Kinder im Alter zwischen zehn und 14 Jahren. Würden auüerdern jun- gere Kinder beucksichtigt sowie Midchen, die als Hausangestelite arbeiten, seien es mclirere hundert Millionen, heillt Cs in dem Bericht. Die meisten gebe es mit 44,6 Millionen in Mien: Dort müsse jedes achte Kind zwischen zehn und 14 4 Jahren zum Familienunterhalt beitragen. In Afrika sëien es 3,6 Millionen, in Lateinamerika 5,1 Millionen Kinder. Aber auch im wohihabenderen Südosteuropa arbeiteten Kinder in der Landwirtschaft, un Stralleñhandel und in kleinen Werkstätten. Viele wUrden gezwungen, be- Ernte der Baumwolle in Usbikistan ILO die Arbeitszeiten so lang, sechs Jahren zu arbeiten. Meist daB für Schule keine Zeit sind nach Erkenntnissen 4cr bleibt. ,,Die Kindearbeiter von reits im Alter von funf oder 1 heute werden die ungebildeten und ungelernten Erwachsenen von morgen scm, die für immer in qualender Armut gefangen sind', sagte derILO-Generaldirektor Michel Hansenne. BELGIQIJE Laatste Nieuws Nieuwe Gazet 10.06.96 08 I S I- U ,7 0 0),) 0) Hf 1 00 0) a).4 - a U) 0) I C', U diUt 0) . a) Belgique Letzebu rger Jon rn al 03.08.96 iauén érhalten Weitweit wenigér Geld für gleiche Arbeit Studie der Intemátiónalen Arbeitsorganisation veröffentlicht Noch immer erhalten Frauen weitweit. für di gleiche geleistete Arbeit erheblich weniger Lohn als Manner. Zu diesem Schiull kam die Internationale Arbeitsorganisation (ILO) der UN in einer am Montin Washington .veröffentllchten Stu-.. die. Frauen verdienten wischen .50 und 80 Prozent des Lohns, den Manner erhielten, befand der Bericht mit dem Titel ,,Mehr und bessere Jobs für Frauen". Die Autorin der Studie, die Ma- laysierin Lin Lean Lirn, erklärte, seit 124 Regierungen izn seien Fortschritte erzielt worden. Sic seien jedoch ,,weder weltweit noch daucrhaft, nicht einmal in Lãndern und Gegenden, die sich besonders bemüh- ten'. In den USA etwa betrage der Lohn von Frauen durchschoittlich 68 bis 70 Prozent je- nes von Mãnnern In Letein- anierika und der Karibik kOnne deIUnterschied bis zu SO Pro- zent betragen. In einem Vorwort zu dem Bericht schrieb 1jQ-Direktor Michel Hanseie, Praueñ seien zudem benachteiligt bei Ausbildung, Berufswabl, faniliärer Belastung, Karriereaussichten, Kreditver- Jahr 1951 eine Vereinbarung gabe mid Vollzeitstellen. Der iTher gleiche Löhne für gleiche ILO mit Sitz in Genf gehOren Arbeit unterzeichnet hãtteñ, 179 Lander an. Belgique Gazet van Antwerpen 30.07.96 Vrouwén werken meer tegen lagere lonen vakbonden en cao's afdwingen om gelijke kansen voor mante garanderen. Vrouwen leveren een nenInendevrouwen rijke industrieiánden is groeiend aandeel in de we- in de jaren tachtig het aandeel afp/anp/belga datinhetjaar2000inveeivan die landen evenveel mannen ais vrouwen op de arbeidsrnarkt actief zullen zijn. Meer vrouwen dan mannen beginnen maar van vrouwen op de arbeids- een eien bedrijf, vooral in de reld-arbeidsmarkt, verdienen een kwart minder markt tweemaal zo snel toege- Verenigde Staten. Ondanks de vooruitgang dan mannen. Dat staat in nomen abs dat van mannen. In blijft discriminatie een proOostelijk Azië was er zelfs een een nieuw rapport van de stijgin van bijna 20 %. bleem, vooral in ontwikkeInternationale Arbeidsor-. lingsianden. Dat begint al in de ganisatie (ILO), dat giste- In Oost-Europa waar onder schooltijd. Tweederde van het bet communistische regime het miljard voiwassen analfabeten een vervoig op de VN-vrou- aantal werkende vrouwen al op aarde zijn vrouwen. In veel dan 50 % bedroeg, is dat Afrikaanse en Aziatische lanwentopconferentie in Pe- meer cijfer sinds de val van bet corn- den ziet 90 % van de vrouwen king en de Sociale Top in munisme niet veranderd. In nooit een school. Envande 100 Kopenhagen. Latijns-Amerika, Azie en Afri- miljoen kinderen die niet naar ren uitkwHet rapport is Terwiji overal ter wereld ka zijn de meeste werkende school gaan, zijn bijna tWeesteeds meer vrouwen (45 %) vrouwen actief in de diensten- derde meisjes. betaald werk verrichten, blijft sector en de landbouw, de Als meisjes wel naar school. 65 % arm en 70 % analfabeet. siechts betaaide banen ter wegaan,krijgenzij ookinderijke In de geindustrialiseerde Ian- reid. Siechts 6 % van de topbanen landen minder onderricht in den, Zuidoost-.zië en OostEuropa werkt meer dan 50 % in bet bedrijfsieven zijn we. techniek of wetenschap, en bevan de vrouwenbevoiking. reldwijd voor vrouwen. Daar- mn zij vaak de "typisch vrouOveral ter wereld worden entegen is de werkboosheid on- Welijke" yakken zoals bedievrouwen een kwart lager ver- der vrouwen in de industrielan- nen, secretaressewerk en naaibond dan mannen voor het- den 50 tot 100 % hoger dan die en. In de armere landen komt onder mannen. In tijden van daarbij dat huishoudelijk werk zeifde werk. Het rapport dringt aan op economische tegenspoed vlie- beiangrijker wordt gevonden betere wetgeving die vrouwen gen vrouwen er overal ter we- dan school, hoewel ieder jaar school 15 % meer inkomen begrotere flexibiliteit garandeert reid als eerste uit. Toch boeken vrouwen voor- tekent, 5 tot 10 % minder kinbij zwangerschap en kinder zorg. Vrouwen moeten zich al in de rijke industrielanden deren en aanzienlijk minder voorts ook meer organiseren in vooruitgang. De verwachting is sterfte onder baby's. Belgique j Hk V 4' 4 'vE Voo I E80 z V E Pui L 1 J 4-. e N i I V d: , V bI3 _ o ffl1k 1 'V U E'N N iU!1L v1 = .E V 6. V EV OV6VV 6. 0C o.2P V V U i-. V . V V 1'. . V I V0V di' _:U V _ Belgique N0t N 1I14JIU .. ..,. bo. I I : - 4- .) t' d Di 0 h bDj E .. " E 11i. Hift1h b I111F ii' E : P' .cr3 .a) 0 .Lccr 0 Belgique Financjeel Ekonomjsche Tijd 30.07.96 lAO: vrouwen maken opmars in mannenjobs Mannen en vrouwen nog steeds ongelijk behandeld op arbeidsmarkt (td) - De discriminatie naar geslacht blijft groot op de ar- beidsmarkt. Vrouwen ontvangen voor hetzelfde werk gemiddeld 25 procent minder loon dan mannen, terwiji ze langer werken. In de industrielanden Iigt de werkloosheidsgraad bij vrouwen bovendien 50 tot 100 procent hoger dan die b mannen. Maar er is verbetering merkbaar: zo krijgen vrouwen steeds meer toegang tot voorheen pure 'mannenjobs'. industrialisering en de internationale concurrentjekracht van veel ontwikkelingslanden', stelt Michel Hansenne, directeur-generaal van de lAO. De discriminatie volgens geslacht begint al in het onderwijs. Van de 1 miljard analtabeten ter wereld, zijn twee derden vrouDeze bevindingen staan te lezen in het rapport 'More & Better Jobs for Women - An Action Guide' van de Internationale Arbeidsorganisatie (lAO). Het rapport is een opvolging van het Vierde Wereldcongres voor Vrouwen dat vorig jaar in Peking plaatsvond. De lAO stelt vast dater de jongste jaren een opmerkelijke verbetering is geweest wat betreft vrouwenwerk. In het Westen, Latijns Amerika en de Cariben, oefenen vrouwen steeds meer administra- tieve en managementsfuncties werk en deze kloof wordt niet kleiner. Nochtans werken vrouwen in de industrielanden gemiddeld twee tot tien uur per week langer dan mannen. Bovendien ligt in de industrielanden de werkloosheidsgraad bij vrouwen 50 tot 100 procent hoger dan bij mannen. Overal ter wereld vinden de vrouwen vaker de weg naar het arbeidscircuit. In de geindustrialjseerde wereld zal de participatiegraad van vrouwen in 2000 even groot zijn als die van mannen, aldus het rapport. De deeltijdse ar- uit. Sommigen zijn zeUs doorgebeid speelt hier eeri belangrijke broken tot echte topfuncties. In de rol. In de industrielanden maken VS zetten vele vrouwen een eigen vrouwen 65 tot 90 procent van de zaak op poten en heel wat landen deeltijdse arbeiders uit. hebben in hun wetgeving de gelijke verloning van man en vrouw opgenomen. De arbeidsvoor- Ontwlkkellngslanden waarden voor vrouwen zijn verbeIn de ontwikkeiingslanden werterd en steeds meer vrouwen yinken vrouwen vaak in de informele den de weg naar een vakbond. sector, waar ze slecht betaalde Niettemin blijtt er nog een hele baantjes uitvoeren. In Oost-en weg at te leggen. Er is nog geen Zuidoost-Azië zijn 80 procent van gelijk loon voor gelijk werk'. Ge- de arbeiders in de exportindustrie middeld verdienen vrouwen vrouwen. 'De relatief goedkope slechts drie vierden van het loon vrouwenarbeid vormt dikwijls de dat eeri man krijgt voor hetzelfde hoeksteen van de exportgerichte wen. Ook nu nog, zijn 60 procent van de 100 miljoen kinderen die geen onderwijs genieten, meis- jes. Vrouwen krijgen niet alleen minder onderwijs, ze krijgen ook ander onderwijs. Vaak leren ze 'typisch vrouwelijke' vaardigheden, zoals typen en naaien. In arme landen stoppen meisjes ook vaker hun opleiding dan jongens om thuis een handje toe te steken. Nochtans zijn de voordelen van onderwijs bewezen: per bijkomend studiejaar, stijgen de inkomsten van vrouwen met 15 pro- cent (slechts 11 procent voor mannen); de vruchtbaarheidsgraad daalt 5 tot 10 procent en per 1.000 opgeleide meisjes daalt de kindersterfte met 43 eenheden. Het rapport stelt ten slotte dat het niet voldoende is de kansen op werk voor vrouwen te verbeteren, ook de arbeidsvoorwaarden moeten erop vooruit. Daarbij moet onder meer het principe ge- Iijk loon voor gelijk werk' geëerbiedigd worden en er moet vrijheid van vereniging zijn, aldus de lAO. JL Brazil Correio Braziliense 30.07.96 ç, t' a Da09zE a .E 'DE 2 a. 8! V 0 I) I RE ndIL F I o .. ZEE8°' oE V flhi Eu E 0 V8 2 1 g1I V I a Eoi'eE oEil c2.god V .. 41111 1i E VVV V' V.V 8a O 1 %2s ire UOQVU) V.0 VV V VE V vV VV E 8V' I) 8 V 0V 0. a a ..Va 8Z0°V V E DOD DV 0 q V 0. V 0 .0 V 0.0.0. 0., VV V a IE V it'ii sdt.g O0Q.. eaE i1!J : D1 c â - aRe ate V , V 09aEa8E.O[ 0'UV 0 a.oII a. o a... 't VVO.VO VV 0. V E 8, EEEV . .0 : ) ,C.1, a _VV2V V V.0.0.2 U a VgNO V w E oVo8L...VV.. VVV0....0...V UVV0..... oEe VV a :: D.dDV E000a .:e VV 2 0V V VO 0 0 V V V OW V "'0V' V'"V ;0VI.. V . d) Eg VO.E EEo VVE. E a.a 0. fljfl LH1 'EIV0W0E 8u I-1L . VSV0 V a. W V V a.oa. .0: Ec Brazil E. - t II . .fl1.!1 u.;: ' E U rI 05 C = 5 ...2 . .5 .s E QI) -- __ 4"0.. I II f E iLq u 1. o: '0.I III ,tIIf It!:Ifluil = =5.- jZ1 1! C) E "1ij Ii flIPII LI o;== 5.L E .e.E a '-4 I! - E V -! .0 o0 0 E - .0 - = .- =E- F 4 a I . = . . E E .0 = C .0 S .0 CC 0.C'5 Coo.E5C. 0 0 a .-0 -'5.EE EE .E .E E . o. -- .* CnU C)_t 50 H51 ;.H. .0 = -. C0IC( 00 :i -0. - 0.0 !-! z5E E 5 Ih1 C)LJ o o....- E o i"_C aC -o C C_. _.50 CCo5.0.C'._ =.0=V0.0 . - 0 Deutschland Handelsblatt I ARBEITSMARKT fib sieht Nachtéile fur Frauen: HANDEISBLA1T..Montag, 29.7.96 sha DUSSELDORE Weitwelt bekom- men Frauen im Durchsclmitt für die gleiche Arbelt em Viertel weniger bezahit als ihre m8nnlichen Koflegen. Schlechtere Bildungschancen und längere Arbeitszeiten behindern noch immer die Gleichberechligung von Frauen ha Bert Das 1st das Ergebnis elnes Berichts, den die Internationale Arbeitsorganisation Ho am Dienstag 'vorgelegt hat. Frauen sind hiufiger berufstãtlg, aber sle lassen dabei meist nur das Heer der Schlechtbezahlten anwachsens, teilte Lie Urn, die Autorin des 194 Seiten umfassenden Berichts ,,Mchr mid bessere Jobs für Frauen. Weitweit sind den Untersuchungsergebnissen zufolge lnzwlschen mehr als 45% der Frauen ImAlter von 15 his 64 Jahren berufstatlg. In den Industrielindern stellen ale sogarmehr als die Haute der Erwerbatatigen. Die Studie sleht die Frauen als Hauptopfer der Wlrischaftsrezession der vergangenen Jahre. In elnigen Industrielãndern sind ale his zu doppelt so häuflg von Arheltslo- sigkelt betroffen wie Manner. Und wennsie einen Job ergattert haben, stoBen sie nur selten In die Spltzen- gruppen vor. Nur 6% aller Filhrungspositionen sind laut Ho von Frauen besetzt. Die Diskrlminierung von Frauen werde durch die Konzenfratlon auf besthnmte Berufe gefordert, helilt es welter. In den USA. Groilbrltannlen und Frankreich wUrden 45% aller Beschaftigten in Berufen arbeiten, die mindestens zu 80% von elnem Geschlecht dominiert wurden. In den Exportzonen der asiatischen Wachstumsstaaten seien his zu 80% der ArbeitskrAfte Frauen. In vielenlndustrielündern zeichnen sich laut Ho Fortscbrltte ab. So werde gleicher Lohn für gleiche Arbeit gesetzlich vorgescbrleben. DIEZEIT 20095 HAMBURG till 26.07.00 Deutschland Klaus Schwab. GrUnder und Prasident dcc World Economics Forum in Davos. und Forumsdirektor Claude Smadja. einst uneingeschranktc BefUrworter der Globalisierung. verireten mullerweile die Ansicht. daB die Glohalisierung in cm kritisches Stadium getreten ist. In cinem l3cilrag für die intentational herald lriIn.nv.' verweisen .ie auf die zunehmendc Angst und Hilflosigkeit in den Industrienationen. die leicht in cine Revolte mtlnden konne. Zwar lasse die Glohalisicrung nicht nur neue. bedrohliche Wettbeuerher nach wachscn. sondern sorge auch Für neue Märktc und damit höherc Gewirine. Aber frilher hiiltcn hOhere Gewinne eben sicherere Arbeitsplatze und bessere Lohne bedeutet. Heute vcrkUndetcn Manager Entlassungen und höhere Profite im gleichen Atemzug. Wcnn die nationalen Rcgierungcfl ihren Btlrgern nicht helfen. sich dci neuen Welt anzupassen. wUrde Glohalisierung zum Synonym für cinen Zug werden. der ohnc Bremsen auf den Abgrund zustaucit. Während auf internationaler Bfthne die warnenden Stimmen lauter Warden. tehen die Deutschen dci Globalisierung noch meist positir gegenUbcr. Bundeshankchef Hans Tietmeycr zum Beispiel vcrspricht sich von dci Integration der Mrkte ..weltweit groBeren Wohlstand und durchaus auch grdBere Stabilität". Eine Delegation dcr Friedrich-Ebert-Stiftung kam zu dem SchIuG. daLi die zunebmenden Verflechtungen beim Handel mit Waren. Kapital und Dienstlristungen ..insgcsamt gesehen sowohi für die Industrie- als auch Entwicklungslander ftbers'iegend mit posisivcn Auswirkungen verbunden" seien. Die gcgenuher den Entwicklungsländern hohen ExportUherschilsse der Industrielttnder gerade bei hochwcrtigen Industriegtktern sprachen ..eher für den Ex- port von Arheilslosigkeit denn von Arheit". Globalisierung soilte deshath nicht verhinderl. sondern als Chance verstanden werden. Und 1G. Metall-Vize Walter Riester glaubl. ..es geht nicht ohne Gtobalisierung'. Die Horrorzahlcn. die Olaf Henkel. Chef des Bundesverbandes dci Deutschen Industrie (BDI). verhreite. nenni Riester in ..perfide". Sic soilten die Besehautigten Dcutschland nur gefugig machen Henkel geht sail ._spttsetzUflV°'t Seite 20 diese v:randerUflgefl. die im Zuze der Gb- All saIisierufleJfhmmc sind. haben gravierende aut die Arbeitskrattc: Die Antorderur.eCfl an Qualilikation und Flexibiiitàt dci Mdrbetter wachsen erheblich. Eine gemeinsame studie von JAB und Prosnos AG geht davon aus. daB im Jahr 2010 der Anteil der hoherqualifizter- ten Tbtigketten hei last vierzig Prozent began wird. l95 wacen es 2S Prozent. wahrend die cm- 1achn Arheiten von 27 Prozcnt aul 17 Prozent inken warden. Ernuchterung machi sich selhst in dci Mubtimcdiabranche brett. dia einst von his zu funi Millionen neuen Jobs schwarnste. Das Deut- che Institut tur Wirtschaitslorschung tDIWI in Berlin eeht neucrdmngs gerade noch ron 200000 zusaizlichcn Arheitsplatzen his 2010 aus. Anmiesichts dieser Umbrdche in der Arbeitswelt Buft das deutsche System industrieller Bezighungen Gefahr. corn Vorzcige- zum Auslaufmoelell zu werdcn. Die AuflOsung des normalen Arbeitsverhillinisses erschwert die Mitgliederwerhung bet .Arbeitgebcrverbanden und Gewerkschaften. lhre kollektiven Regelungssysleme werden unteilaufen Monaten mit der - nicht nur von Gcwcrkschtftern. sondern auch von Okonomen bestrittenen These hausieren. in den wergangenen fOn( Jahren ceien mindestens.0() 000 Arheitsplittzc ins Aus- land verlagert wordcn. weil in Deutschland die Arbeilskosten zu hoch. die Struern cidrUckcnd und die Regelungsdichte zu groG selen. DaLi Deutschland im internatioaalen Wetthewerh nur mithalten kann. wcnn sich hierzulande vieles veründert. hcslrcitct indes niemand. Aflar. dings hat dci Zwang zur Vcriinderung vik Grtlnde. Wolfgang Klaudcr. Dircktnr am lnstitul für Arbeitsmarkt- und Bcrulsforschung (lAB) der Bundesanstalt fIJi Arbeit. fUhrt die wachccnde Arbeilslosigkeit auf mchrere ..Mcgatrcnds" zurUck. Die wichtigstcn sind Internationalisicrung und die iechnologische Revolution, die den weltweiten Wettbewerb noch verssärkt. Weichen Anteil die Globalisierung an dci zunehmenden Erwerhslusigkeit in den Industrienationen hat. läBt sich nur schwer ausmachen. Die meisten Analysen hc7ilfern ihn mit zehn bis dreiBig Prozent. Die grofltcn Auswirkungen auf die Arbeitswelt bcirkcn nach Ansicht von Klauder die crstcn beiden Trends: Technik und Internationalisierung. Dci denkenda. spre- IflveSIueiefl in Sachsen 174 FeIgn mko - Globalisierung 151 auth Chancc. Aber Zwickel ist nicht blauaugig. Er weiB. daB die in. ternattonale Konkurrenz deutsche Lohne enken und Crnweltnormen schleifen kann. Als Gegengewicht tordert ci staikere intemationale Gewerkcchaftsstruktunen sowie die lanssame Anpassung dci Arbeits-. Social- und CmweltstandardS. Doch davon smnd die Gcwerkschatten noch wait entfaint. Denn schon die Varsuche. elnen durchsetiungsiahigen europaweltcn Becriebsiat für Spa. flier und Deutsche. Franzosen und Italiener zu onganisieren scheilern haufig an unterschiedlichcn lnteressen. Zielen und Sprachen. Wieviel schwmenger wird es da cern. weltweit gemeinsama Standards durchzusetzen. Dci Publizist Claus Koch 1st denn auth sichcr: La gibt kein organismarbares gemeinsames Interesse dci Arbeitnehmer im curopdischen Markt. lm Gegenteil. die interessen der nationalen ArbeiinehmeiSChaften. die sich ihrerseits dunch die Intemationahisierung immer weiter aufspalten. driften zusehends ausamnander." Doch Tatsache is,. daB die Arbeitnehmervcrtretungen schon jetzt zunehmend ihre Mitglicderbasis verlieren, Mehr noah: Auch don ..Sozialstaat. in dem sic so lange verankert waren. wenden sic bald verlicien". prophezeit Koch, .Die lnteinationalisieiung ihrer industrien und dci Guterniaikte und die unbehinderte Reaktionsfahigkeit dci Stoffliche Verb in dun ge n. rn MatenaffoisdlungsvetbUfld Dresden (Mm) mmd 16 hsd' nile dci Wemksiofforschung zusamrneiigeschfossen. Die Atbeissgensemnsehaft bidet Unlemnelimen wmssenschahtkhe Ergebrusse und die Kompetena von fast 1.000 Milambsmtem an- au Dirosdemsuing. Suehen Ste Veibjmndete' Wirisdmatis- lordemurig Sachsen GmbH, Susanne Meyer, Tel. (03 51) 3199-li 27, Fan (0351)3199-1099. hitpJ/w..v.sathseade SACHSEN! Sachnen machi kiemne Anielgen. damit melir Geld ICr Investoren bteibt. Weltflnaiusnärkto haben den europaisclsen WohIfahrtsstaaten das Kreuz gebrochen." Die sozialen Sicherungssysteme sind im internationalen Weltbewerb schlicht zu teuer geworden. Der Wissenschaftlei Hoist Atlseldt. zur Zcit Gast am Stamberger Institul zun Erforschung gb. baler Strukturen'iind Knisen. malt denn auch em dusteres Zukunftsbibd: ,%Verden in caner Welt mit schnell wachsender Bevolkerung alle Handelsschranken wirklich vobbstandig ahgebauL dann wird der groBte Teil menschhicher Arbeit nach em odor zwei Generationen weltweit so billig wie Dreck. Und wer wie Dreck bezahtt wjrd. landet frUher oder spater auch dort." und ausgehohlt. Viele Indizien sprachen dafIJr. so dci Gottinger Sozialwissenschaftler Klaus Done. daLi sich ..der gesellschaftliche Basiskonsens . - mit rasender Geschwindiglceit auflOsr. Kollektive Verhandlungssysteme stOnden zur Disposition. Dci interne Standortwettbewerb und Sozialdumping-Stralegien der Unternehinen schwachten vor sham Gewerkschaftcn und Betriebsrdte. well sic Afheldt bietet aber auch cine Losung Da der Markt soziale Ziele oder Umweltziele nicht von sich aus veifolgt. muG die pohltische Macht. die dern Maikt diese Ziele c'orgibt. ebenso weit reichen wie dci Markt sclbsi. Eine Weltregierung. die diesem Anspruch tterecht wfirde. scm em Deshalb mUBten grolhe Virtschaftsrdume gebildet warden - wia zurn Baispmeb Europa. Ostasicn. Nordamermka -- in dcnen dem ..Hirngespmnst". und schende anders abs die Unternehmen nicht fiber transnatio- Rohoter. dr die Pulzfrau mcd den Botcn. den Facharheiter und den Konstrukteur. den nale Strukturen verfUgen. So stimmie dci Be- Markt gcmclnsame sozmale mcd okologasche Mm- iriehsrai im Opel-Werk Bochum dam Samsiag als Regelarhetlstag zu. wail er Produktionsverlagerungen ttlrchtete. Die Belegschatt des Heizkorper- men kOnnten duich ZUhIc vor sozialem mcd Okoho- chende Uhersetzcr und den Assistenten crsCl7t. iSt langct kcinc Utopia niehr. Multimediaysteme crlauhcn 7ugleich Informatiirncn jeder Art. unahhangig von Zeil und Standort auszulaucchcn. Das alles fllhrt zur Auflosung des starrcn Normal. arheitsverhälinisses. heiBi für ride Ahschied corn festen Arheitsplatz. lmncer mehr Heumarheit. TeIearbeit. Teilzeitheschaftigung. befristetc Jobs und neue Formen dci Selhstandigkcit sind die Folgen. Nach Schlltzungen des Verhandc Deutceher Maschinenbaucr (VDMA) konnic hcreilc mittelfristig jeder zehnte Arbeitsplatz aus den Firmen nach Hause oder in mobile BBros verlagcrt werden. In den Unternebmen werden die Arheitsein. heilen klciner. und selbsi anspruchsvolle Aulgaben lassen sich von externen Beratern erledigen. Fortsetzung .iichsle Seite hersiellers Viessrnunn crklarte sich heneit. pro \Voehe drei Stunden unhezahit lunger zu arheiten. urn ama Werlssgrbndung in Tschechien zu varhmndarn. IG-Metall-Chet Klaus Zwickel giht sich dennoch optimislisch. ..Gbohahisierung ist auth unter cewerkschaltlichefl MaBsiahen nicht our cm Ri- dcststandards vorgegeben wUrden Sotche Norgischcm Dumping geschutzt werden. Die Sozial- siaatsregmoncn waren dann zwar .Anseln den Saligen". Doch die Alternative ware: exinemer Raichtum und extreme Armut irn selben Land. Dann aher wane dcr Siaat eezwungen. den Besitz dci Reichen mit Pohizei und Justiz vor dam Ansturm dci Armen zu schutzcn. Kann so Demokiatie gekht werden? Deutschland DIE ZEIT 20095 HAMBURG HH o7J Der alltagliche Skandal haben das WeiBe Haus in Washington, Jm das Hauptgebaude des weltgroBten Konzerns Mitsubishi, die Nato-Zentrale und der Vatikan gemeinsam: Auch im Jahr 1996 ist es kaum vorsteilbar, daB cue Frau doit die Hausmacht flberninimt. Ebenso laBt sich in den Fabriken der Vereinigten Staaten, auf den Feldenn Süd- afrikas mid in den Büros in Deutschland eine Gemeinsamkeit feststellen: Die Frauen arbeiten dort meist für weniger Lobn mid haben geringere Aufstiegschancen als die Manner. Jahxzehnte nachdem die Frauenbewegung erstmals die geschlechtsspezifische Diskriminierung angeprangert hat, kommt eine Studie der Internationalen Arbeitsorganisation der Vereinten Nationen (ILO) zu einem bitteren Ergcbnis. Zwar wer- den iijer mehr Frauen berufstatig - mittlerweile arbeiten fast 45 Prozent der weiblichen Weltbevol- kerung gegen Entlohnung. Doch hat die wachsende Beteiligung am Erwerbsleben die traditlonelle Benachtdiligung von Frauen auf dem Arbeitsmarkt kaum grundlegend geändert. un Gegenteil: Weitweit werden immer noch liber neun Zehntel der Ftthrungsposten von Männenn besetzt. Fraun verdienen in der Industrie und im Dienstleistungssektor durchschnittlich ciii Viertel weniger als die Manner. Und die neuen weiblichen Arbeitskräfte .drangen vor aliem in schlecht bezahite, unge- sicherte Jobs. In den U ten, das Gegenteil bewirkt haben. Sic verringertën deren Chancen, überhaupt elnen Arbeitsplatz zu bekommen. Daher schluBfolgert die Autorin zu Recht, daB spezielle gesetzliche SchutzmaBnahmen für Frauen generell eher abzulehnen slid. Nur chic Ausnahme scheint ihr sinnvoil: der be- sondere Schutz von Schwangeren und Müttern. Doch selbst hier überrascht chic auch in Deutschland nicht verwirklichte Forderung. Die Lasten des gesellschaftlich erwunschten Schutzes soilten ganz von der Gesellschaft und nicht zum Tell von den Arbeitgebern getragen werden. Nur so kann verhindert werden, daB die Arbeitgeber aus ökonomischen GrUnden männliche Arbeitskrlifte vorziehen - chic Praxis, die auch hierzulande tLbhch 1st; Frauen im gebarfahigen Alter finden schwieriger eunen Arbeitsplatz. In den neuen Bundeslän- dern haben sich sogar viele Arbeitnehmerinnen aus Angst vor dem Verlust ihres Arbeitsplatzes sterilisieren lassen. Auch vom Reizwort ,,Quote" halt die ILO we- nig. Die Quotierung von Arbeitsplatzen sd nlcht selten als Diskriminierung der Manner beurteilt worden. Rechtliche Hindemisse, die mangeinde wissenschaftliche lJntermauerung mid der Wider- stand von seiten der Weitweit arbeiten Frauen langer und verdienen weniger als Manner Entwickhmgslandenn 1st ihr Einkommen daher oft so gening, daB sic auch der Lohn nicht von der Armut befreit. Dabei ermöglicht gerade ihre billige Arbeitskraft vielen Ländenn meist erst die exportorientierte Industrialisierung. Der ILO-Benicht dokunientiert diesen alitAglichen Skandal. Besonders interessant wird en jedoch deshalb, weller nicht bei der Analyse stehenbleibt: Die ILO zählt nicht nun die verscbiedenen Arten der Diskrirninierung von Frauen in der Arbeitswelt auf; sic steilt auch Ansätze zur Uberwindung dar, beschreibt positive Beispiele und scblagt ihren Mitgliedsstaaten konkrete MaBnahmen vor. Manner hatten auBerdem ihre Wirkung verrungert Die Hinweise vor allem auf rechtliche Hürden sind sicher be- denkenswert - vor al1cm seit der EU-Gerichtshof den Einsatz von Quoten im offent- lichen Dienst beschrankt hat. Das Argument des männlichen Widerstandes ist jedoch àuBerst schwach - darnit lieBe sich fast jeder Kampf urn rnehr Gleichberechtigung ablehnen. So 1st auch die Empfehlung, Quoten nun ausnahmsweise ciiizusetzen, wohi selbst Politikerinnen der CDU zu vorsichtig. Der Konigsweg der Frauenforderung 1st für die ILO die affirmative action, die aktive Frauenförderung. Allerorten soilten Ziele für chic stärkere Beteiligung von Frauen vorgegeben werden: Mit Forderprogrammen und Ausbildungsgangen, mit Pragmatisch analysiert die Studie die unter- zeitlichen Vorgaben und Offentlichkeitsarbeit schiedlichen Instrumente der Frauenforderung: Es geht der malaysischen Autorin Liii Learn Liii dabei me urn die Rechtfertigung politisch korrekter Mittel, sondenn iinmer urn das Ziel der Chancengleichheit. Das ermoglicht Uberraschende SchluB- mllBte dann auf diese Ziele hingearbeitet werden. Vdr ailem ciii überzeugendes Argument führt die ILO für diese Idee. an: Die meisten sozialen, politischen mid okonomischen Strukturen entstanden in euner Zeit, in der die Diskriminierung der folgerungen. Deutlich wird das am Beispiel der Arbeitsgesetzgebung. Nicht selten hat sich in den Vergangenheit gezeigt, daB Gesetze, weiche die Arbeitsbedingungen von Frauen verbessern soil- Frauen an der Tagesordnung war. Nur ebenso- breit angelegte Mittel konnen also den Spalt schlieBen, den den Arbeitsmarkt von Mannern mid Frauen trennt. Petra Pinzler Deutschland 1. o-o :. - S r' ,.0 d w IIa ,. . ,H -VII N I j1jfl ii[:J g . i 11 4) c :u0 : 1P 4) r . . L- 0 4) .0 Ni ithUU.fl hfl ji.1#.ru. UE9 c LIu LU L0 0 _____ 0 L Deutschland = - = N _ LU z 0) C '$111" > aaI 4h > = . C a.,0,0 LU ___ l I S U- c! - 1 a, '; w = sa U.' LU a .=. = IL' 'IL' N <hil!lb : -: IhH1 ..0 w LU IN a .-= flflilh -J _z C0 Deutschlan ambure .1bgnt'b1aI1 20355 HAMBURG HH 30.7.96 ch1echt bezahit und ausgenutzt Qualitative Verbesserungen für Frauen am Arbeitsmarkt sind kaum erkennbar. Auch in den reichen Industriena- tionen sind sie schlechter bezahit, weniger abgesichert und von der Rationali- sierungswelle am strksten betrotfen. Weiche Perspektiven gibt es? Wie sind die Biidungschancen. wie die Entlohnungen? Das Abendbiatt sprach mit der Autorin des neuen Frauenreports der Vereinten Nationen, Lin Lim: ,,Jedes zusätzliche Schuljahr erhöht das spate- re Einkornmen für Frauen urn etwa 15 Prozent, reduziert gleichzeitig die Fruchtbarkeitsrate urn fünf bis zehn Prozent und vermindert die Sauglingssterblichkelt." Bauarb&tan In Indian: Frauen schteppun, Minner fOhrsn Aufsicht. In elnlgen LAndern Asians und Atrikas heben 90 Prozent der Frauen nia .me Schute besucht, Doch auch In den Industriesteaten werden Frauen benchtelIigt. Studie der UNO Frauen von Ratlonalisierung mid Armut besonders betroffen Von IRMINTRAUD JOST SAD New York In den Burns Der ,,kleine Unterschied" beim Lohn L0h',' I, s,pue..s.'.n ,, 000nt d.L. .00,rrfld*, .100 PaNel und Fabriken der Welt werden Frauen auf absehbare Zeit bel Arbeitssicherhett Arbeitszeit, und EntIohnurg nicht mit thren mannlichen Kollegen gleichziehen kdnnen. Ion Gegenteil. Rationalisierungswelle und Mas. senentlassungen trelTen die Frauen besonders hart. Dies ist 100 Milbionen Kindern, die welt- welt keine Mdglichkeit haben, zur Schule zu gehen, sind 60 Prozent Madchen. das Ergebnis einer Studie der In. tornnUonalen Arbeitsorganisation (ILO) der Vereinten Natio. _Jedes zusätzliche Schuljahr erhdht das spdtere Einkommen für Frauen urn etwa 15 Prozent, reduziert gleichzeitig die Fruchtbarkeiterate urn fünf bis zehn Prozent und vermindert die Sauglingssterblichkeit', so Lirn. Bessere Ausbildung kornme nicht nur den MSdchen selbst, sondern der gesarnten Familie nen. the gestern veröffentlicht wurde. _Es gibt keine bedeutenden qualitativen Verbesserungen für die Frauen am Arbeitsmarkt", sagt Lin Lean Urn (50), Autorin des ILO-Reports im Ge. sprách mit dem Hamburger AbendblatL Zwarwachseweltweit die ZahI der arbeitenden Frauen. ,,Doch damit wdchst meist nur das Heer der In Armut lebenden Berufsthtigen'. denn zahlreiche Arbeiten seien unterbezahit. Für die mcisten Jobs auf3crholb der Landwirtschaft erhalten Frauen gera. de drei Fünftel des Lohnes ohrer onaoonlichen Kollegen. Dabei ma- che es kaum einen Unterschied, ob die Arbeit in elnem Industrieland oder in einem EntwickIungsland verrichiet werde. ,,Die Schere schlieilt sich nieht.' in Westeurqpa beispielsweise sei zwar die Rate berufstttiger Frauen in den vergangenen zwei Jahrzehooten von 37 auf gut 50 Proent gestiegen. Die jungste ftationalisierungswelle der Un. ternehmen aber, mit der im Wege globalen Wirtschaftens überall die Personalkosten gesenkt wurden. habe besonders die Frauen getroffen. die vielfach nur TeiIzeitstellen oderbefristeteAnstellungen fanden. So iSgen in den roichen Industriestanten die Ar- nie in der unterschiedlichen Erziehung. Mehr als zwel Dritteb der nahezu eine Milbiarde Crwachsenen Anaiphabeten weltwait sind Frauen. In einigen Landern Miens und Afrikas haben rnehr abs 90 Prozent der Frauen Ira Alter von 25 Jahren und diter ale eine Schule besucht. Von den und letztlich der Geselischaft zu- gute. Die bulge Frauenarbeit In Japan verdienen Frauen Im Schnitt nlchtelnmal haib soviet wie Manner. beitsiosenraten für Frauen zwischen 50 und 100 rozent über denen der Manner. ,,Einrnai arbeitsios, haben Frauen es zudem schwerer, wieder elne Beschaftigung zu fonden, sagt Lion. In Entwicklungslandern, so Lim, liegt die Ursache für den Sexismus des Arbeitsmarktes vielfach ion sozialen Status der Frauen. In den Industriestaaten dagegen werden die vorhandenen Gesetze oft nicht angewendet. kritisiert die Expertin der ILO. Auch in den lndustriestaaten verlauft die Geschlechtergrenze sowohi horizontal als auch vertikal quer4urch den Arbeitsmarkt. Viele Berufe sind immer noch entweder Frauen oder Männern vorbehalten, Lion steilte fest, dalI selbst in den USA, Frankreich und Grollbritannien 45 Prozent der Beschiifligungsfelder auller- haib der Landwirtschaft zu so Prozent entweder von Frauen oder Mdnnern dominiert werden. Den Frauen fallen dabei in der Regel die schlechter bezahlten und schlechter abgesicherten Bernie zu. Und selbst innerhaib einer Branche bekleiden bei technischen Produkten hat vielen EntwicklungslSndern erst ermoglicht, in Exportmdrkte emzudringen", so Lim. Prozent haben technische Ex- Die Wirtschaftswissenschaftaus Malaysia spart ober auch nicht mit Kritik an den Industrienationen. Die skandinavischen Lander erhabten die besten Noten, Frauen verdienen in Schweden 90 Prozent des Gehalts ihrermännlichen Kollegen. In Japan kommen weibliche Beschtftigte ion prod .izierenden Gewerbe nach wie or nur auf gut 40 Prozent. Trots quasi gicicher Ausbildungschancen und entsprechender Gesetze stehen rigkeiten der Frauen in der Arbeitswelt sieht Lim in erster Li- Ltndern schlechter abs Manner. da sic versuchen müssen, Familie und Beruf miteinander zu verbinden. ,,Arbeitgeber sehen Frauen immer noch oft abs nicht so verlätilich an, da sie auf ihre Kinder Rücksicht nehmen mussen.' Frauen in der Beget die Arbeitsplatze mit geringerer Bezahiung und Stellenwert. So werden zwei Drittel afler Frauen ira produzierenden Gewerbe sb ungebernte oder ange- berate Arbeiter gefuhrt. Nur fünf pertise, nuT zwei Prozent bekleiden Manager- oder Verwaltungspositionen. Insgesamt sind welt. weitnur sechs Prozent derleitenden Managenient-Funktionen von Frauen besetzt. Die Ursachen für die Schwie- berm sich Frauen in europäischen Deutschland '::.' &dinerZeftun Kofl$-Wu$t,fh.Rjidsch. 10178 BEFLIN a edtnerZtttung MarzatHekrscLAunds. 10118 BERLIN B edintr Zettun 10178 BEILIN B cdinerZet(ung Spwidauer Rsidschau 10178 BERLIN B .07.96 Berufstätige Frauen weitweit diskriminiert 110-Report: Unterbezahiung und schlechtere Ausbildung hemmen Aufstieg in der Arbeitswelt - Genf.dpa Geringerè Lohné. Iângere Arbelts- a zeiten und schlechtere Bildungs- chancen verhindem weitweit noch immer die Glelchberechtlgung von Frauen Im Beruf. Selbst in den reithen lndustrlestaaten lgen die Arbeitsiosenquoten für Frauen zwischen SOund ioo Prozent uberjen.n der Minner. Das 1st das Ergebnis einer Studie des Internatlonalen Arbeitsamtes 111.0), die gestern in GenI vorgelegt wurde. irnmer mehr Fraucn werden beruistatig, doch lassen sie meist nut das I-Jeer der in Armut lebenden lierufsthtigen anwachscn", meint die Autorin des Berlchts, Lin Lean Lim. Denn die meisten Arbeiten seien unterbezahit, unproduktiv und oft auch gefahrlich. Für die meisten Jobs au8erhalb der Landwirtschaft erhaiten Frauen ge. *de dreI.VIertel des Lohnes ihrer männlichen Koliegen. Dabei mache es kaum elnen Unterschied, ob die Itrbeit in elnem Industrieland ocler in einem Entwicklungsiand verrichlet werde. ,,I)ie Schere schiiet sich nicht", klagt die Studie. t2 Sclbst In den reichen industriestaaten lagen die Arbeitsiosenquoten für Franen zwischen 50 und 100 Pro- zent liber eneii der Manner. Ergattern Frauen cinen guten job, stolen sic kaurn In die Spitzengruppe vor. Nut sechs Prozent aller Positionen Die Textilindustrie gehort in den Entwicklungs- wie in den IndustrieIndern zu den Wirtschaftsbereichen, in denen vorwiegend Frauen weit unterbezahit rind und zu schlechten Bedingungen Arbeit finden. . Foto: argus gen im Verwaltungsbereich. Ihre Chancen ergrelfen Frauen dort, wo ste gleiches Geld für gleichen Lohn im lop-Management seien von Frau- erhalten und Sozialgesetze helfen, Familie und Seruf In Einklang zu en bcsetzt, land Lean Urn heraus. 1)cnnoch verzcichnen die Frauen bringen. Noch werde die Dlskriminlerung auch kicine Erfolge im Kampf urn einen Piatz Im Arbeitsmarkt, vor al1cm in den 28 Industrielandern der OFCD. in diesen Staaten, aber auch in Latcinamerika und der Karibik, dflnen sich den Frauen immer mehr technische Berule und Beschaftigun- von Frauen etwa dutch ihre Konzentratlon auf bestlmmte Berufe gefordert, steilt der Bericht fest. So seien 45 Prozent alter Beschaftigten in den USA, Grolibritannien und Frankreich in Berulen, die von elnem Ge- schlecht bis zu 80 Prozent dominiert wurden. In den Exportzonen der aulstrebenden asiatischen Staaten würden Frauen ebenfalls bis zu 80 Prozent der Arbeltskrafte stellen. Rund 70 Prozent ailer Frauen, die sich in der Dominlkanischen Republik mit Gelegenheitsjobs. das NOtlgste zum Uberleben verdienten, lagen mit ihrem Einkomrnen unter der Armuts-grenze. in Deutschland, i(anada und Australien arbeiten Manner und Frauen etwa die gleiche Stundenzahl, stellt die ILO-Studie fest. Im EU-Land Ita- lien abet wurden Frauen rund em Viertel langer arbeiten als Manner, in Osterreich zwoif Prozent. Vor aliem in Entwicklungslandern hatten Madchen zudem mit Diskrirninierung im Biidungsbereich zu kämpfen. Dabel trage eine gute Schuiblidung nicht nur dazu bei, den Verdienst spurbar zu erhohen, sondern auch die oft grolien Geburtenraten der armen Lander zu senken. NI-W NEUE RUHR WTUW9 Ausg.Hoers MS 47414 MOERS PEE1EINZEIT1JNO 40212 DUESSELDOR tIM NW PEE RUHR NI-ti NBL RLJHR 1IJNO TUN9 Ausg.ObefhSUSefl OH AusgSbIWUIIWX 464MWESEL Deutschjand AusgDOssildott CF 46045 OBERHAUSEN NW PIN 15.0t96 Frauen bleibt der Weg nach bbèñ welter verspel Studie: We3tweit arbeiten ns sechs Prozent weibliche Kräfte im Top-Management Genf (dpa). Geringere LOhne, langere Arbeitszeltefl und schlechtere Bildungschancen verhindern welt- walt noch immer die Gleichberechtigung von Frauen irn aber auch In Latelnamerlka. öffnen sich -den Frauen Irnmer rnehr technische Berufe und. BeschAftiguflgefl irn verwaltungsbereich. lhre Chancen ergrelfen Frauen Beruf. Des ist des Ergobnls ether Studie des Internatio- dort, wo ale gleiches Geld für gleichen thhn erhalten und nalen ArbeitsarnteS çQL.' Sozialgesetze helfen, Fanil- Get ährlich - lie und Beruf In Einklang zu bringen. Noch werde die Diskxlini- ,,Imrner inehr Frauen wer- illerung von Frauen etwa den berufstátig. doäh lessen duxch lhre Kozentratiofl ale meist nur das fleer der In auf bestinunte Berufe gerArmut lebenden BerufstAtlgen anwachsen", meint die Autorin des UNO-Berlchts, tin Lean Lirn. Denn die melsten Arbeiten seien Unterbe- zahit, .unproduktiv und oft audi gehrlich. Pür die moisten Jobs anBerhaib der Landwirtschaft erhalten Frauen gerade drel Viertel des Lobnes ibrer dert. So salon 45 Prchent aller Beschaftlgten -- in den USA. GroBbrltannlen und .Frankxeich In Berufen, die von elneni Geschlecht bis zu 80 Prozent dominiert wUrden. In den Exportzonen der aufatrebenden aslatlachen Staaten- wurden Frauen ebenfalls bis an 80 Prozent der ArbeltskrMte stellen. Rund 70 Prozent aller Frau- mänñlichen Kollegen. Dabei. mache es kaurn elnen Unter- en, die sich in derDomkaschied, ob die Arbelt In ei- nlschen Republik mit Gale- nem Industrieland áder In Entwickhmgslafld elnem verrichtet werde. Selbst In den reichen Industriestaatefl lagen die für ArbeitsiosenquOten Frauen zwlschen 50 und 100 Prozent uber jenen der Manner. Ergattern Frauen elnen guten Job, stoBen ale kaum genheitsiobe über Wasser halten, lBgen mit ihrern Eln. kommen unter dor Armutsgreuze. Schulbildung - In Deutschlafld, Kanada und Austtalien arbeiten Manner und Frauen etwa in die Spitzengruppe vor. die gleiche Stundeuzahi, Weltweit seien nur seche stoUt die ILO-Studie lest. mi Prozent aller Positionen im EU-Land Italien abor wOr-. Top.Managemeflt von Frauen besetzt. Dennoch verzeichnen die den Frauen rimd am Vieitel OECD. In diesen Staaten, fen. langer arbelten als Manner, in Osterreich zwölf Prozent. Frauen audi kielne Erfolge Vor allem in Entwicklungsun Kampf urn einen Platz mm ländern bAtten Madchen zuArbeitsmarkt, vor allem In dam mltDlskrllfllflieruflg1'fl den 28 lndustrielãndem der Bildungsbereich zn kamp- Deutschland ti'crPafthtj7 59557 LIPPSTADT SOESIERANZEIGER 59494S0EST NW WETPXUCHR NW .07.96 ANZEIGER 59065 HAMM PM . ILO: Frauen bei Arbeit cnskrimirnert Wéltweit geringere Löhné, 1angere Arbeitszeiten und schlechtere Bildungschancen Genf (dpa). Geringere Löhne, langere Arbeitszeiten und schlechteife Bildungschancen verhindern weitweit noch immer die .Gleichberechtigung von Frauen im Beruf. Das ist das Ergebnis elner Studie des Intemationalen Arbeitsarntes (ILO). ,,Immer mehr Frauen werden berufstAtig, doch lassen sie meist nur das Heer der in Annut lebenden Berufstäti- der Industrieländern an Lirn. Dean die meisten Ar- striestaaten lägen die Arbeits- 28 beiten seien unterbezahit, un- losenraten für Frauen zwi- OECD. In diesen Staaten, produktiv und oft auch ge-. schen 50 und 100 Prozent aber auch in Lateinamerika führlich. Für die meisten Jobs auBerhaib der Landwirtschaft erhalten Frauen gerade.drei Ftinftel des Lohnes ihrer männlichen Kollégen. Dabei mache es kaum einen Unterschied, ob die Arbeit in einem Indusirie- land oder in einem .Entwick- gen anwachsen", meint die lungsland vemchtet werde. Autorin des Benchts, Un Le- Selbst in den reichen Indu- IYÔ 126 S-T. 1 TEXT uberjenen der Manner. Ergattern Frauen elnen guten Job, stoBen sie kaurn in die Spitzengruppe vor. Nur sechs Prozent aller Positionen irn TopManagement seien von Frauen besetzt. Dennoch . vezzeichnen die Frauen auch kiehie Erfolge im Kampf urn einen Platz un Arbeitsmarkt, vor allem in den und der Karibik, öffnen sich den Frauen immer mehr technische Berufe und Beschäfti- gungen irn Verwaltungsbereich. Ihre Chancen ergreifen Frauen dort, wo sic gleiches Geld für gleichen Lohn erhalten und Sozialgesetze helfen, Familie und Beruf in Emkiang zu bringen. 3U.(J?.. 1446:l2 Frauen verdienen 25% wenier Trurig, ber .jhr: Fruen erhalten weitweit für die yleiche Arbeit 1w Durchsct-initt 25% weniger Geld als manner. Das geht aus cinem Bericht tier Internationalen Arbeitsorganjsa.tion der UNO hervor. Nach dem Papier drängen Frauen verstarkt auf die Arbeitsniarkte, haben aber em rbBeres Risiko, gefeuert zu werden. AuBerdem stehen ihre Chancen schlechter, in FUhrungspositionen aufzusteigen. Besonders bedenklich: kluf't zwischen mannhichen und weiblichen Einkommen wird hicht kleiner, Frauen-Arbeitslosenquote in Industrienationen 5@%-1013% hbher. .5E1iti 'Il:T. T&etext:SAT:.1 lagesreichweit Datum 30.07.1:996 63SO Deutschland z -. Q) CC - CC bC -U . u ) . 8 C) cJJ CCCC CC 0 --U) - .., C) - - -. ' 0 0In CC .11 CC I- C<CC 0CC cn C) 2E CCUC) Deutschland franhisaierta 96050 BAMBERG BA 307.96 Globale Diskriniiiiierung von Frauen StiIwêdes 1nternana1en Arheitsaintes - Kaum Chanéen auf gutbezalilte Spitzenjobs GENF. Geringere Lohne, 1ngere Ar- rade drel Funftel des Lohnes threr mache beitszeiten mid schlechtere Bildungs- mrrnnlichen KoUegen. Dabei ob die cbaiicen verhindern weitweitnoch im- ' es kaum einen tjnterschied, mer die Gleichbereclltigung von Frau- Arbeit in einem Industrieland oder In en lin Beruf.'Dasist das Ergebnis einer einexn Entwicklungsland verrichtet werde. Die Schere schlieSt sich StudiedeslnternatiOflaleflArbeit tes (ILO), die am Dienstag in Genf vor- nicht", klagt die Studie. Selbstm den -gelegt wird. ,,InunerunebrFraueflWer- reichen Industriestaatefl lagen die den beruistatig, doch lassen sic meist Arbeitsiosenraten für Frauen zwiilber jenen nur das liter der in..Armut lebenden- schen 50 und 100 Prozent Berufsthtigen anwachsen", meunt die der Manner. Ergattern Frauen einen kleine Erfolge mm Kampf urn einen Platz mm .Arbeitsmarkt, vor allern in den 28 Industriellindern der OECD. In diesen Staaten, aber audi in La-. teunamerika und der Karibik,öffnen sich den Frauen mrnnier mehr techniache Bernie mid BeschAftigungen lm Verwaltungsbereich. Noch werde die Diskriminierung von Frauen etwa durch ihre Konzentration ant bestixnmte Berufe geforste]li der Bericht test. So seien Autoin des Berichts, Liii Lean Lim1 guten Job, stoBen sie kaum in die dert, Prozent aller Beschaftigten in den Denn die meisten Axbeiten seien un. Spitzengruppé vor. 'Nur sechs Pro- 45 IJSA, Grolibritannien und Frankterbezahit, unproduktiv mid oft auch zent aller Positionen im Top- reich in Berufen, die von einezn CeManagement seien von Frauen begefbrlich. bis zu BOProzent dozninirt, T7 Für die meisten Jobs auBerhaib der setzt, [and Lean Lim heraus. Den- schlecht wlirden. Landwirtschaft erhalten Frauen ge- noch verzeicbnen die Frauen auch fidLureIntilThIKtrr' Studie: Frauen nfl Berufimmer noch stark benachteiligt Ausgabek 50687KOELN GenT - Gerngerd Löhne und langere Arbeitszeitefl verhindern weitweit noch mimer die Gleichberechtiguflg von Frauen im Beruf. Des stelit eine Studie des biternationalen AxbejtsamteS () in (leaf fest. ,,lmmer mehr Frauen werden berufttatig, dochlassefl sie .ineist'ur clasHee dsr.iti Anüut lebenden Berufstatigen' wachsen", heillt es in dem UN-Papier. Die meisten Mbeiten für Frauen seien unterbezahit, unproduktiv ünd oft fillhjaditr3ttIUflg 70734 FELLBACH 70567SrUTTGART SW SW 3o.07S auch gefahrlich. (EB) / Frauen arbeiten noch immer fur weniger Geld e ort des Internationalen ArbeltsamteS: Weitweit werden weibliche Berufstätige diskriminiert (pa) - Germgere Löhne, lüngere richtet werde. ,,Die Schere scbliel3t sich Arbeitszeiten und schlechtere Bildungs- nicht", klagt die Studie. Selbst in den reichen lndustriestaaten chancen verhindern weitweit noch immer GE' die GleichberechtigUng von Frauen irn Beruf. Des 1st des Ergebnis einer Studie des Internationalen Arbeitsamtes (1W), die am Dienstag in Gent vorgelegt we. ,,Immer mebr Frauen werden berufstätig, doch lessen sie meist nur des Heer der in Armut lebenden Berufstütigen anwachsen", meint die Autorin des Berichts, Lin Lean Urn Denn die meisten .Arbeiten selen unterbezahit, unproduktiv und oft auch gefiihrlich. lAgen die Arbeitsiosenquoten für Frauen zwischen 50 und 100 Prozent über jenen der Manner. Ergattern Frauen einen guten Job, stolien sic kaum in die Spitzengruppe vor Nur sechs Prozent afler Positionen mm Top-Management selen von Frauen be- bringen. Noch werde die DiskriminierUflg von Frauen etwa durch ihre Konzentration auf bestimnite Berufe gefordert, stelit der Be- richt test. So seien 45 Prozerit aller Beschaftigten in den USA, Grolibritannien und Frankreich in Berufen, die von einem Geschlecht bis zu 80 Prozent dominiert würden. In den Exportzonen der aufstreDennoch verzeichnen die Frauen auch benden asiatischen Staaten wilrden kleine Erfolge mm Karnpf urn einen Platz Frauen ebenfalls bis zu 80 Prozent der Arliii Arbeitsmarkt, vor allem in den Indu- beitskrafte stellen. In Deutschland, Kanada und Australien strielündern. In diesen Staaten, aber auch arbeiten Manner und Frauen etwa die gleiin Lateinamerika und der Karibik, öffnen che Stundenzahl. In Italien arbeiten sich den Frauen immer rnehr technische setzt, so die Studie. Für die meisten Jobs aul3erhalb der Landwirtschaft erhalten Frauen gerade Bernie und Beschaftigungefl mm Verwaldrei Viertel des Lobnes ihrer münnlichen KoUegen. Dabei mache es kaum einen Unterschied, ob die Arbeit in einenn industheland oder in einem Entwicklungsland ver- ten, Fanillie und Beruf in Einklang zu tungsbereich. Ihre Chancen ergreifen Frauen dort, wo sic gleiches Geld für gleichen Lohn erhalten und Sozialgesetze hel- Frauen dagegen rund em Viertel länger als Münner. Die Studie weist auchdarauf bin, dali Bildung die Geburtenraten der armen Lender senken hilft. Deutschland CuxhavenerNadirinten 27472 CLD(HAVEN NS BUXTEHUDER TGEBL4T 21614 BUXTEHLI)E NS STADER TAGEBL4Tf 21662 STADE SF1 BREME1)1WER ZEITUMi NORDSEE-ZEflTJNG 27432 BREMEAVOEFIDE 27576 BREMERHAVEN NS FIB 30.07.96 Frauen am Arbeitsplatz noéh weiter benachteiligt Geringere Löhne als Manner - Längere Arbeitszeften Gent (dpa). Geringere Löhne, lange- nicht", heigt es in der Studie. Familie und Beruf in Einklang zu re Arbeitszeiten und schlechtere Bit.. Selbst in den reichen Industrie- bringen. dungschance, verhindern weitwelt staaten lãgen die Arbeitslosenquoten Noch werde die Diskthninierung noch immer die Gte ichberechtjgung für Frauen zwischen 50 und 100 Pro- von Frauen etwa durch ihre Konzenvon Frauen Im Beruf. Das ist das Er- zent Uber denen der Manner. Ergat- tration auf bestiinmte Berufe geforgebnis elner Studie des Intematio- tern Frauen einen guten Job, sto2en dert, heigt es in dem Bericht welter. nalen Arbejtsamtes (Ito), die am sie kaum in die Spitzengruppe vor. So seien 45 Prozent aller BeschaftigDienstag in Genf vorgelegt wurde. Nur sechs Prozent alter Positionen ten in den USA, Grogbritannjen und im Top-Management seien von Frau- Frankreich in Berufen, die ,,Inimer mehr Frauen werden be- en besetzt, fand Frau Lim heraus. von einem Geschlecht bis zu 80 Prozent rufstätlg, doch lassen sie meist nur dominiert wfirden. In den Exportzodas I-leer der in Armut Zebenden Be- Kleine Eriolge moglich nen der aufstrebenden asiatischen rufstAtigen anwachsen", meint die Staaten stellen Frauen ebenfalls bis Autorjn des Berichts, Liii Lean Lim. Dennoch verzeichnen die Frauen zu 80 Prozent der Denn die meisten Arbeiten seien un- auch Arbeitskräfte. kleine Erfolge im Kampf urn eiIn Deutschland, Kanada und Auterbezahit, unproduktjv und oft auch nen Platz im Arbeitsmarkt, vor allem stralien arbeiten Manner und Frauen gefährlich. in den 28 Industrielandem der etwa die gleiche Stundenzajij, heil3t Für die meisten Jobs au8erhalb der OECD. In diesen Staaten, aber auch es in der ilo-Studje. In Italien wlirLandwirtschaft erhalten Frauen ge- in Lateinamerika und Karibik, den dagegen rand em Viertel rade dm1 Viertel des Lohnes ihrer öffnen sich den Frauen der immer mehr langer arbeitenFrauen als Manner, in Ostermännlichen Kollegen. Dabei mache technische Berufe und Beschaftigun.. reich zwolf Prozent: Vor allem in es kaum einen Unterschied, ob die gen im Verwaltungsberejch. Ihre Arbeit in eunem Industrie land oder in Chancen ergreifen Frauen Entwicklungslandem hätten Maddort, einem Entwicklungsland verrichtet sie gleiches Geld für gleichen wo chen zudem erheblich mit Diskriiniwerde. ,,Die Schere schliegt sich erhalten und Sozialgesetze Lohn nierung im Bildungsbcreich zu helfen, kämpfen. Deutschland Cl) E N e p - - .L4 I- .iChO I-a, '-. 0 0 ww iIp Cl) 'N E 3.4 CD C) I- CD CD : C) (I) CD CD ) CDWNC) CD. 1EO)CDCDCDO E WWz4 WNPU).0 (U Cl) 'I . - CD . CD CS) (U U) CDI-1-P U- g. 1) aj 1.l CD __ .- '4' OE : I -. CD Cl U.I CD :j0 UWOCD2 CD= CDU) CD , IItII 1 ) VD1 ___ a, Ewo CD.Ea,U)a - ,WWWW% - '4 ,1CDCDI- E F . ' CDI- w 0 U(U W)E N (5) .1 U- a, U4E 1 S a, o a, a, E JUdJ h CDCDUCDCDE I ante3Ltuna 97888 BAD K8INGEN Deutschland BA 07i6 Globale Diskriminierung Frauèri èihd weitweit in derArbeitswelt immer noch deutlich benachteiligt Genf (dpa). Geringere Löhne, langere Arbeitszeiten und teinarnerika und der Karibik, Prozent afler Frauen, die sich i der Dominikicchen Republi schlechtere Bildungschancen verhindern weitweit noch linmer die öffnen sich den Frauen immer Gleichberechtigung von Frauen im Beruf. Das ist das Egebnis ei- mehr technische Berufe mid Bener Studie des Internationalen Arbeitsamtes (Q), die jetzt in schaftigungen im VerwaltungsGeuf vorge1et wurde. ,,bnmer mehr Frauen werden berufstatig, bereich. Thre Chancen ergreifen doch lassen sic meist nur das Eeer dar in Armut lebenden Berufs-. Frauen dart, wo sic gleiches tatigen anwacbsen", meint die Autorin des Berichts, Lin Lean Geld für gleichen Loin erhalten lam. Denn die meisten Arbeiten seien unterbezabit, unproduktiv mid Soziaigesetze he]fen, Famiund dazu oft auchnôch geftlhrlich. lie mid Beruf in Eiiing zu bringen. Für die meisten JObs auBer-. 50 und 100 Prozent über jenen Noch werde die Diskriininiehaib der Landwirtschaft erhal- der Manner. Ergattern Frauen rung von Frauen etwa durch iiten Frauen gerade drel Viertel einen guten Job, stoBen sic reXonzentration auf bestimmte des Lobnes ihrer männlichen kaum in die Spitzengruppe von Berufe gefordert, stelit der BeKollegen. Dabei mache es kaum Nur sechs Prozent afler Positio- richt fest. So seien 45 Prozent elnen Unterschied, ob die Ar- nan in bp-Management seien afler Beschaftigten in den USA, beitin einern Industrieland oder von Frauen besetzt, fend Lin GroBbritannien mid Frankreich in einem Entwicklungs1andver Lean Lin heraus. in Berufen, die von einern Gericlitet werde. Die Schere Dennoch verzeichnen die schlecht bis zu 80 Prozent domischlieSt sich nicht", klagt die Prauen auch kleine Erfolge irn niert wOrden. In den ExportzoStudie. Kainpf urn elnen Platz im Ar- nan der aufstrebenden asiatiSelbst in den reichen Indu- beitsrnarkt, vor aflem in den 28 schen Staaten wurden Frauen striestaaten lagen die Arbeitslo- IndustrieInndern der OECD. In ebenfails bis zu 80 Prazent der senquoten für Frauen zwischen diesen Staaten, aber auth in La- Arbeitskräfte steflen. Rund 70 mit Gelegenheitsjobs des Nötif ste zum Uberleben verdiente3 lagen mit threm Einkomrne miter der Armutsgrenze. in Deutschland, Kanada'un Australian arbeiten Män mid Frauen etwa die g1eicl Stundenzabl, steilt die 1LC Studie feat. liii EU-Land Italic aber wurden Frauen rund ci Viertel anger arbeiten ala Mar nei in Osteneich zwolf Prozen Vor a]lem in Entwick1ungslai dern hatten Mädchen zudex mit Diskriminierung in Bi] dungsbereich zu karnpfen. Da bei trage eine gute Schulbil dung nicht nur dazu bei, de Verdienst spurbar zu erhohex sondern auch die oft groBen GE burtenraten der armen LändE zu senken. '4n'1,d -A1t$ir Uk Born 53121 BONN NW 30.07.96 Diskriminierung der Frau in der Arbeitswelt Studie des Internationalen Arbeitsamtes - Gelegenheitsjobs Genb (dpa) Geringere Löhne, langere Arbeitszeiten und schlechtere Bildungschancen verhindern weitweit noch Immer die Gleichberechtigung von Frauen im Beruf. Das 1st das Ergebnis einer Studie des Internationalen Arbeitsarntes (1W), die heute in Genf vorgelegt wird. ,,ImmTnehr Frauen werden berufstätig, doch lassen sie meist nur des Heer der in Armut lebenden Berufstätigen anwachsen", meint die Autorin des Berichts, Lin Lean Urn. Denn die meisten Arbeiten seien unterbezahit, unproduktiv und oft audi gefährlich. Für die meisten Jobs auBerhalb der Landwirtschaft erhalten Frauen gerade drei Fünftel des Lobnes ihrer rnnn1ichen Kollegen. Dabei mache es kaurn elnen Unterschied, ob die Arbeit in einem Industrieland oder in einem Entwicklungsland verrichtet werde. Die Schere schliellt sich nicht", kiagen die Auto- ren der Studie. Selbst in den reichen Indu- in den USA, GroBbritannien mid Frankreic: striestaaten lägen die Arbeitsiosenraten für in Berufen, die von einem Geschlecht bis z Frauen zwischen 50 und 100 Prozent über je- 80 Prozent dominiert würden. In den Expor nen der Münner. Ergattern Frauen einen gu- zonen der aufstrebenden asiatischen Staate ten Job, stoBen sie kaurn in die Spitzengruppe würden Frauen èbenfalls bis zu 80 Prozer vor. Nur sechs Prozent aller Positionen im der Arbeitskrãfte stellen. Rund 70 Prozer Top-Management seien von Frauen besetzt, aller Frauen, die sich in der Dorninikanische fend Lean Urn heraus. Republik mit Gelegenheitsjobs das Notigst Dennoch verzeichnen die Frauen auth kid- zurn tYberleben verdienten, lägen mit ihrer ne Erfolge im Karnpf urn einen Platz im Ar- Einkonimen miter der Armutsgrenze. beitsmarkt, var allem in den 28 IndustrielänIn Deutschland, Kanada und Australien a dern der OECD. In diesen Staaten, aber auch beiten Maimer mid Frauen etwa die gleich in Lateinamerika und der Karibilc, öffnen sich stelit die ILO-Studie fest. Im E1 den Frauen imnier mehr technisehe Berufe Stundeazahi, Land Italien aber würden Frauen rund ci mid Beschaftigungen im Verwaltungsbereich. lire Chancen ergreifen Frauen dort, wo sic Viertel hanger arbeiten als Manner, in Oste: gleiches Geld für gleichen Loin erhalten und reich zwölf Prozent. Vor allern in Entwicl Sozialgesetze helfen, Familie und Beruf in lungslündern hätten Mädchen zudem mit Di kriminierung im Bildungsbereich zu kümpfei Einldang zu bringen. Noch werde die Diskrixninierung von Frau- Dabei trage eine gute Schulbildung nicht ni en etwa durch thre Konzentration auf be- dazu bei, den Verdienst splirbar zu erhöhe stimrnte Berufe gefordert, steilt der Bericht sondern auch die oft grollen Geburtenrate fest So seien 45 Prozent aller Beschaftigten der armen Lünder zu senken. Deutschland Ruhr-NaChriChtefl RuhrNaChriChten Botiroper Volkezeittlig Ruhr-Nachrichtefl DrVdkszeittmg Ruhr-NachriChtefl Ztg. ilk Untie + Holzwlckede 59432 UNNA 46282 DORSTEN 1W 44787 DOCHUM NW 46236 BOTIROP P1W P1W 3O7.96 RUHR NACHRICHTEN ZIG. F. KAMEN UM) BER((A MEN 59174 KAMEN NW Wenigér Lohn, längere Arbéitszeit Repért: Frauen wéltweit bel Jobs im Nachteil Genf (dpa) - Geringere' Löhne, langere Arbeitszeiten und schlechtere BildungschanCefl verliindern weitweit noch immer die Gleichberechtigung von Frauen m Be- rnännlichen Kollegin Dabei mache es kaum einen Unterschied, ob die Arbeit in einem Industrieland oder in emem Entwicklungsland verrichtet werde. ,,Die Schere schlieSt sich nicht", so die Studie. Selbst ix den reichen Industriestaaten lagen die ArDas ist das Ergebnis emer beitsiosenquoten für Frauen Studie des Internationalen zwischen 50 und 100 Prozent Arbeitsamtes (ILO), die ge- über jenen der Manner. Erstern in Genf vorgelegt wurde. gattern Frauen einen guten ,jmmer mehr Frauon werden Job, stoBen sie kaum in die berufstätig, doch lassen sie Spitzengruppe vor. Nur sechs meist nur das Heer der in Ar- Prozent aller Positionen im mut lebenden Berufstatigen Top-Management seien von anwachsen", meint die Au- Frauen besetzt, fand Lean Lim torin des Berichts, Lin Lean heraus. Lim. Denn die meisten ArDeirnoch verzeichnen die beiten seien unterbezahit, un- Frauen auch' kleine Erfolge produktiv und oft auch ge- im Kampf urn einen Platz tin fáhrlich. Arbeitsmarkt, vor allem in Für die meisten Jobs au- den 28 Industrieländern. In Berhaib der Landwirtschaft diesen Staaten öffnen sich erhalten' Frauen gerade drei den Frauen irniner mebr techViertel des Lohnes ihrer uische Berufe. Deutschiand HELLWEGER ANZEIGER 59423UNNA NW 30.07.96 ILO-RePort stelit test: Weitweite Diskrirninierung von FraUen in der Arbèitswelt Geni. Germgere Löhne, langere Arbeitszeiten und schlechtere Bildungschan- cen verhindern weitweit noch immer die Gleichberechtigung von Frauen im Beruf. Das ist das Ergebnis emer Studie des lntemationalen Arbeitsarntes (ILO), Für die meisten Jobs an- Positionen im Top- Manaflerhaib .der Landwirtschaft gement seien von Franen erhalten Frauen gerade beselzt, fend Lean Urn herdrei Viertel des Lohnes ill- aus. rer mrni1ichen Kollegen. Dennoch verzeichnen die Dabei mache es kaum einen Unterschied, ob die Ar- Frauen audi Ideine Erfolge beit in einem Industrieland im Kampf urn einen Platz oder in einem Entwick- im Arbeitsmarkt, var aflem Iungsland verrichtet werde. in den 28 Jndustrieländern ,,Die Schere schlieSt sich der OECD. In diesen Staa- die am Dienstag in Genf vorgelegt wurde. Nllnrner mehr Frauen werdeii be- nichta, klagt die Studie. Selbst in den reichen Inrufstatig, doch lassen sie meist nur das Heer der in .dustriestaaten lägen die ArArmut lebenden Berufstäti- beitsiosenquoten für Fraugen anwachsen, meint die en zwischen 50 und 100 Autorin des Berichts, Lin Prozent über jenen der Lean Lim. Denn die meisten Manner. Ergattem Frauen Arbeiten seien unterbe- einen guten Job, stoBen sie / zahit, unproduktiv und oft kaum in die Spitzengruppe var. Nur sechs Prozent aller audi gefahrlich. Familie und Beruf in Emkiang zu bringen. Noch werde die Diskriminierung von Frauen etwa durch thre Konzentration auf bestimrnte Berufe ge fördert, steilt der Bericht fest. So seien 45 Prozent al- ler Beschäftigten in den USA, Groi3britannien und ten, aber audi in Latein- Frankreich in Berufen, die arnerika und der Karibik, von elném Geschlecht bis öffnen sich den Frauen im- zu 80 Prozent dominiert mer mehr technische Bern- wurden. In den Exportzofe und Beschaftigungefl irn nen - der aufstrebendefl Verwaltungsbereich. Ihre Chancen ergreif en Frauen dort, wo sie gleiches Geld für gleichen Lohn erhalten und Sozialgesetze helien, asiatischen Staaten wtirden Frauen ebenfalls bis zu 80 Prozent der Arbeitskräfte stellen. F 6i OrnerAUgeniehie Wtttcrauct Zitung 35390 GIESSEN 61231 BAD NAUHEIM HE HE 30.07.96 NsIeI ilerAllgenwiue . 393O4ALSFELD HE !JO-StudIe zur Arbeltswelt: Frauen global diskriminiert Weñlger Lohn unci schlechtere Blldungschancen - HOhere Arbeltsloslgkelt (dpa). Geringere LObne, langere Arbeitszei- nem Entwicklungsland verrichtet werde. ten und schleehtere Bildungschancen verhin- *Die Schere sch]ieSt sich mcht, klagt die dern weitweit noch immer die Gleichberechtigung von Frauen im Beruf. Das ist das Ergebnis elner $tudie des Internationalen Arbeitsaintes (ILO), die gestern in Genf vorgelegt wurde. *Irnrner inehr Frauen werden berufstatig, doch lassen sie meist nur das Heer der in Armut lebenden Berufstatigen an- wacbsen<, meint die Autorin des Bericlits, Un Lean JAm. Denn die meisten Arbeiten seien unterbezabli, wiproduktiv und oft auth ge- Studie. Selbst in den reichen Industriestaaten lagen die Arbeitslosenquoten für Frauen zwischen 50 und 100 Prozent über jenen der ManneiErgattem Frauen einen guten Job, stof3en sie kaum in die Spitzengruppe vor. Nur sechs Prozent aller Positionenim Top-Management seien von Frauen besetzt, hiel3 es. Dennoch verzeichnen die Frauen audi kleine Erfolge im Kampf urn einen Platz im Arbeitsmarkt, var ailem in den 28 Industrieländern der OECD. In diesen Staaten, aber audi inLateinamerika und der Karibik, offnen sich fährlich. Für die meisten Jobs auBerhaib der Landwirtschaft erhalten Frauen gerade drei Vier- den Frauen iinmer mehr terhni'che Berufe tel des Lohnes threr mnr.1ichen Kollegen. und Besehaftigungen im Verwaltungsbereich. Dabei mache es kaurn einen Untersehied, ob Thre Chancen ergreifen Frauen dort, wo sie die Arbeit in einem Industrieland oder in ei- gleiches Geld für gleichen Lohu erhalten. / Deutschlafld Frwikeiiposl 95119 NALA a 9Jtarffrbwir tab1dt BA 95615 MARKTHEDWffZ F,wkCiIPOSt 06525 FLAUEN 95632 WUNSIEDEL S Frainkenposl Ausbe KuInach BA 95028H0F BA ofer Q1n3eiger 95028 IIOFISAALE BA 30.07.96 5eWeLJLntt $cNONt 95IOOSELB ap.m BA Studie: Frauen in derBérufswelt höch immer diskrirninièrt Mehr Arbelt für wenigerLohn von Frauen besetzt, fand Lean Urn heraus. Dennoch verzeichnen die des Lobnes direr männlichen Frauen auth kielne Erfolge im Koilegen. Dabei mache es kaum Kampf urn einen Platz im ArNach wievorseien 7OProzent elnen Unterschied, ob die Ar- beitsmarkt, vor allem in den 28 der armen Menschen.und 6S belt in elnem industrieland Industrieländern der OECD. In Prozent der Anaiphabeten auf oder in elnem Entwicldungs- diesen Staaten, aber audi in Lateinamerika und der Karibik, der Welt Frauen. ,,lmmer mehr land 'vemchtet werde. Sellst in den reichen Indu- Offnen sich den Frauen immer Frauen werden bemfstätl& doch lassen sie meist mix das strlestaaten lägen die Arbeitslo- mehr technische Berufe und Heer der in Annut lebenden senquoten für Frauen zwischen Beschaftigungen irn Verwalanwachsen", SOund 100 Prozent Ober jenen tungsbereich. lhre Chancen er.Berufstätigen meint die Autonn des Berichts, der Manner. Ergattem Frauen greifen Frauen dort, wo sle gleiLin Lean Urn. Denn die mel- einen guten Job,. stollen sie dies Geld für gleichen Lohn ersten Axbeiten selen .untebe- kaum in die Spltzengruppe vor. halten und Sozialgesetze helzahlt, unprodulctiv und oft. Nur sedis Prozent aller Positlo- fen, Pamilie und Beruf in Emnen liii Top-Management seien kiang zu bringen. audi gefahrlidi. GENF. . Weitweit besetzen belteten, wurden liii EU-Land Frauen nach Angaben der In- Itallen die Frauen rund em ternationalen Arbeitsorganisa- Viertel langer arbelten als die' tion (ILO) nur sechs Prozent al- Manner, in Osterreich urn ler leitenden Positionen, ob- zwölf Prozent. wohl dir Anteil am Mbeits rnarkt bestandig wächst. Sie ax- belteten zwischen zwei und zebn Stunden pro Woche langer als Manner, erhielten aber "dafür im Durchschnitt 25 Pro- zent weniger Lohn, he1ft es welter in einer am Dienstag in Genf veröffentlichten ILO-Studie. Wahrend zurn Beispiel in Deutsd4aix1, Kanada. und Austraflen Manner und Frauen etwa die gleiche Stundenzahl ar- Für die .melsten Jobs au1erhalb der Landwfrtschaft erhalten Frauen gerade drei Viertel Deutschland Volksblatt 97070 WUERZBURG BA 30.07.96 Iriternationale Arbeitsorganisation: Kairierélelter für Frauen noch mimer vërsperrt' GENF (EPD) Weitweit besetzen Frauen nach Angaben der Internationalen Arbeitsorganisation (ILO) nur sechs Prozent aller leitenden Posifloflea, obwohl ibr Anteil am ,Arbeitsmaxkt bestandig wächst. Sie .arbeiteten zwischen zwei und zehn Stunden pro Woche mehr als Manner, erhielten aber dafur im Durchschnitt 25 Prozent wen ger Lohn, heffit es wei- teT in einer am Dienstag in Genf veröffenthchten ILO-Studie. Nacji wie vor seien 70 Prozent der armen Menschen und .65 Prozent der Analphabeten auf der Welt Frauen. Zwar . gebe es burner mehr Frauen, die auth in traditionellen Männerberufen arbeiteten. Dies beschränke sich aber auf schlecht bezahite Bereithe, so die ILO. Vor allem in den armen Ländern müten Yrauen zusätzlich zwischen 31 und 42 Stunden in der Woche für unbezahite Haus- raid ?eldarbeit aufwenden. Manner seien nur fun! bis 15 Stunden in der Woche mit unbezahiter Arbeit beschäftigt. Gleich- zeitig würden Frauen eher eatlassen a]s Manner. Besonders in industrialisierten Lander sei die Arbeitsiosenquote miter Frauen oft doppelt so hoch wie miter Mannem, hei& es in der Studie. Butfltt 91atltLbtefl 28195 BREMEN MB 30.O796 und oft gefährlich" JJnterbezahlt unproduktiv schlechtere Bildungschancen, selten Fuhrungspositionei 77__ ILQ-Studie zu Frauenarbeit: Geringere Löhne, oder in elnérn Entwicklungsland vemchtet beitszeiten und schlechtere Bildungschan- werde. Die Schere schlieSt sich nicht, cen verhindern weitweit noch immer die klagt die Studie. Selbst in den reichen Industriestaaten lãGleichberechtigung von Frauen im Beruf. Das 1st das Ergebms einer Studie des Inter- gen die Arbeitsiosenraten 1ur Frauen zwinationalen Arbeitsamtes (ILO), die am schen 50 und 100 Prozent über jenen der Dienstag in Genf vorgelegt wird. 1mmer Manner. Ergattem Frauen einen guten Job, mehr Frauen werden berufstütig, doch las- stollen sie kaurn in die Spitzengruppe vor. sen sie meist nur das Beer der in Armut le- Nur secbs Prozent aller Positionen ira Topbenden Berufstätigen auwachsenM, memt Management seien von Frauen besetzt, die Autorm des Berichts, Un Lean Urn. fend Lean Urn heraus. Dennoch verzeichnen die Frauen audi Denn die meisten Arbeiten seien unterbezahit, unproduktiv und oft auth gefährlich. kleine Erfolge ira Karnpf urn einez Platz im Für die meisten Jobs auflerhath der Land- Arbeitsmarkt, vor aliem in den 28 Industriewirtschaft erhalten Frauen gerade drei Iändern der OECD. In diesen Staaten, aber Funftel des Lobnes ihrer männlichen Kolle- audi in Lateinarnerika mid der Karibik, offgen. Dabei mache es kaurn emen Unter- nen sich den Frauen immer mehr technische schied, ob die Arbeit in einem Industrieland Berufe mid Beschaftigungefl Ira VerGéHI (dpa). Geringere Löhne, langere Ar- waltungsbereich. Ihre Chancen ergreib Frauen dort, wo sie gleiches Geld für gl then Lohn erhalten und Gesetze helfen, F mile und Beruf In Emklang zu bringen. Noch werde die Diskrhninierung vi Frauen durch thre Konzentration auf b stimmte Berufe gefordert, steilt der Beric fest. So seien 45 Prozent aller BesdiAftigt in den USA, Grollbritannien und Frankrei In Berufen, die von einem Geschlecht bis 80 Prozent dominiert würden. Vor aflem in Entwicklungsländerfl hãtt Mãdchen mit Diskriminierung im Bildun bereich zu karnpfen. Dabei trage eine g Schulbildung nicht nur dazu bei, den V dienst spürbar zu erhöhen, sondem au die oft groBen Geburtenraten der ann Lander zu senken. Deutschland DRESDN!R EUESTE NAaIR 01091 DRESDEN S LEIPZIGEHVOL1SZEITUNG Stadtaugabe 04107 LEIPZIG Totgaw Algemelne S OslEn DEll VOLKSZEITUM Borne 04552 BORNA S LErnzIGEBVOLKSZErFUNG 04880 TORGAU LEIPZIGEUVOLIcSZEITUNG S LEIPZIGERVOLISZEITUNG mn 04688 GRIMMPI S O4600ALTENBURG S DOBELNER ALLGEMELNE DöbekerAIgemMie 04720 DOEBELN S 80.07.96 Frauen erhalten in.vieien Jobs etñ Viertel .wènlger. als Manner ILO-Report: Weibliche Arbeitskräfte weltwéit noch immer diskriminiert G e n f (dpa). Geringere Lohne, Jim- gore Arbeltszeltèn und schlechtere Bildungschancefl verhundern weltwelt nocli Immer die Glelchberech- Landwlrtschaft èrhalten Frauen gerade rirel Vlertel des Lobnes ibrer männlichen Kollegen. Dabel mache es kaum omen Untersôhied, oh die tigung von Frauen liii Beruf. Das 1st das Ergebnls elner Studio des Internationalon Arbeltsamtes (ILO), die jetzt In Genf vorgelegt wurde. Arbelt in elnem Industnieland oder in ,,Imrner rnehr Frauen werden beruistatig, doch lassen sie meist nur das Heer der in Armutlebenden Berufstatigen anwachsen", meint die ten lägen die Arbeitsiosenquoten fir Frauen zwischen 50 und 100 Prozent elnem Entwicklungslafld verrichtet werde. Die Schere schlleSt sich nichtN, klagt die Studie. Selbst in den reichen Industniestaa- tiber jenen der Manner. Ergattern Frauen omen guten Job, stoBen sie kaurn In die Spitzengruppe von. Nun Autonin des Berichts, Liii Lean Liii Denn die moisten Arbeiten seien un- .sechs Prozent aMer Positionen im terbezahit, unprodukthi mid oft audi Top-Management seien von Frauen bes'etzt, fand Lean Urn heraus.. gefahrlich. Dennoch verzeichnefl die Frauen Für die meisten Jobs auBerhaib der auch kielne Erfolge im Karnpf urn einen P1at im Arbeitsmarkt, vor allem in den 28 IndustrielAndenn der OECD. In diesen Staaten, aber auch in Lateinamenika und der Karibik, öffnen sich den Frauen Jmrner mebr technische Berufe mid Beschäftigungen im Verwaltungsbereich. In Deutschland, Kanada mid Australien arbeiten Manner und Frauen etwa die gleiche Stundenzahl, steilt die ILO-Studie fest. Irn EU-Land Ita- lien aber wurden Frauen rund em Viertel langer arbeiten als Manner, in Osterreich zwölf Pro2ent. Vor aflem in Entwicklungsländenfl hätten Madchen zudem mit Diskniminierung im Bildungsbereich zu kampfen. Deutschlafld V.. Kronach iePRESSE ILO-Stuclie: Frauen weiter unterbezahit BA 9O3I7KROMACH Muhsamer Weg zur Gleichberechtigung Genf. Genngere Löhne, Ian- CoJg wePRESSE 96450C08URG BA 30.07.96 gere Arbeitszeiten und schlechtere Bildungschancen verhindern weitweit noch immer die Gleichberechtigung von Frauen im Beruf. Das ist das Ergebnis elner Stu- die des Intemationalen Arbeitsamtes (ILO). ,,lmmer mehr Frauen werden berufstatig, ddch Lassen sie meist nur das elnen Unterschied, ob die Arbelt in elnem InUustrieland oder in einem Entwicklungsland verrichtet werde. Die Schere schliegt sich nlchr, klagt die Studie. Selbst in den reichen Industriestaaten lagen die Arbeitslo- senraten für Frauen zwischen 50 und 100 Prozent tiber jenen der Manner. Ergattem Frauen einen guten Job, stoEen sie. kaum in die Spitzengruppe vor. Nut sechs Prozent after Positionen im Top-Management seien Heer dér in Armut lebenden Be- von Frauen besetzt. Dennoch rufstatigen. anwachse", so die Autorin des Berichts, Lin Lean verzeichnen die Frauen auch kleine Erfolge irn Xampf urn ei- nen Platz im Arbeitsmarkt, vor seien unterbezahit, unproduk- állem in den 28 Industrieläntiv und oft auch gefährlich. dern der OECD: In diesen Staa. Für die meisten Jobs auler- ten, aber auch in Lateinamerika haib der Landwirtschaft erhal- und der Karibik, öffnen sich den ten Frauen gerade drei Fünftel Frauen immer mehr technische des Lohnes threr männlichen Berufe und Beschaftigungen im KnlIeen. Dabei mache es kaum Verwaltungsberejch. Urn. Denn die meisten Arbeiten / fliflcnitljriulcrMadjrkhttn PM 58511 LUEDENSCFIEI) 2Mutljnei' 32602 VLOTHO N1t4etger PM Jnn*agatcrttUllO 58540 MEINERZHAGEN PM 30.07.96 "ILO: Frauen bei Arbeit diskriminiert Weitwelt geringere Lohne, längere Arbeitszeiten und schlechtere Bildungschancen Genf (dpa). GeringereLohfle, an Liin. Denn die meisten Arlängere Arbeitszeiten - und beiten seien unterbezahit, unschlàchtere Bildungschancefl .produktiy. und oft auch geverhindern weitweit noch im- fahrlich. Fur die meisten Jobs auBermer die GleichberechtigUflg von Frauen im Beruf. Das ist haib der Landwirtschaft erhaldas Ergebnis einer Studie des ten Frauen gerade drei Fünftel Internationalen ArbeitsamteS des Lohnes ihrer männlichen (ILO). ,,Immer inelir Frauen Kollegen. Dabei mache es werden berufstätig, doch las- kaurn einen Unterschied; ob sen sie meist nur das Heer der die Arbeit in elnem Industriein Armut lebenden Berufstäti- land oder in einem Entwickgen anwachsen", meint die Iungsland verrichtet werde. Autorin des Berichts, Lin Le- Selbst in den reichen Indu- striestaaten lagen die Arbeits- 28 Industrielandem de losenraten für Frauen zwi- OECD. In diesen Staaten schen 50 und 100 Prozent aber auch in Lateinamerik uberjenen der Manner. Ergattern Frauen einen guten Job, stoBen sie kaum in die Spitzengruppe vor. Nur sechs Prozent aller Positionen im TopManagement seien von Frauen besetzt. und der Karibik, öffnen sici den Frauen immer mehr tech nische Berufe und Beschäfti gungen un Verwaltungsbe reich. Ihre Chancen ergreife Frauen dort, wo sie gleiche Dennoch verzeichnen die Geld für gleichen Lohn erhal Frauen auch kleine Erfolge im ten und Sozialgesetze heifer Kampf urn einen Platz im Ar- Familie und Beruf in Eiti beitsmarkt, vor allem in den klang zu bringen. Deutschlafld ermatho Frauen werden diskrimitliért WelLweIt werden Frauen in der Arbeitswelt diskriminiert. Dies besagt eine Studie des Internatioflalen Arbeitsanites (ILO), die gestern in Genf vorgelegt wurde. Die meisten Arbeiten, selen unterbezahit, unproduktiv und oft auch ge flihrlich. Dabei mache 'es kaum elnen Untershied, ob die Arbeit in einem Industrie- oder EntwicklUflgSland verrichtet werde. (Weltspiegel) GENF dpa) 93413CHAM BA 93047 REGENSBURG OBERPFALZE R NACH RICHTEN cite nuttetb Aftm(tcte.KeIkflIr Ztg. 93309 KELHEIM BA 92837 WECEN BA BA MITTELBAYERISCHE ZEffUNG iandodt*nglt. NEUMARKTERTAGBLATT 92318 NEUMARCT BA 92421 BCHWAMO BA 30.07J6 Studie: Frauen werden weitweit am ArbeitsplatZ diskr,miniert !LO:Armut wächst U U ,,Jobs sind meitens untérbezahit und gefährlich" / GENF (dpa). Geringere Löhne, und Arbeitszeiten Iãngere schlechtere BildungschaflCefl verhindern weitweit noch immer die GjeichbereChtigUflg von Frauen im Beruf. Das ist das Ergebnis einer Studie des internationalen Arbeitsamtes (JLO), die gestern in Geuf vorgelegt wurde. ,,Immer mehr Frauen werden berufstätig, doch lassen sie meist nur das Heer der in Armut lebenden Berufstatigen anwachsen", meint die Autorin des Berichts, Lin Lean Lim. Denn die meisten Arbeiten seien unterbezahit, unproduktiv und oft auch gefährlich. Für die meisten Jobs auLerhalb der Landwirtschaft erhalten Frauen gerade drei Fünftel des Lohnes ihrer männlichen Kollegen. Dabei mache es kauni elnen Unterschied, ob die Arbeit in einem Industrieland oder in einem EntwicklUflgSlafld verrichtet werde. Selbst in den reicheñ Industrie- staMen ligen die ArbeitsiOsenraten für Frauen zwischen 50 und 100 Prozent über jenen der Manner. ErgatternFrauen elnen guten Job, MoEen ale burn in die SpitzengrupPe vor. Nur sechs Prozent aller Positlonen im Top-Management seien von Frauen besetzt, fand Lean Lim heraus. Dennoch verzeichnen die Frauen auch kleine Erfolge Kampf urn einen Platz im Arbeitsmarkt, vor allem in-den 28 Industrie- làndern der OECD. In diesen staaten, aber auch in Lateinarnerika und der Karibik, öffnen sich den Frauen immer mehr technische Berufe und Beschliftiguflgefl im VerwaltuflgSbereich. Ihre Chancen ergreifen U U Frauen dort, wo sie gleiches Geld für gleichen Lohn erhalten und Sozialgesetze helfen, Familie und Beruf in.Einklang zu bringen. Noch werde die DiskriminierUflg von Prauen etwa durch flue Konzentration auf bestimmte Berufe gefordert. So seien 45 Prozent aller Bescliaftigten in den USA, Gro1britan nien und Prankreich in Berufen, die von einem Geschlecht bis zu 80 Prozent dominiert würden. In den Expoi'tzonen der aufstrebenden asiatischen Staaten würden Frauen ebenfalls bis zu 80 Prozent der ArbeitskrAfte stellen. Rund 70 Prozent aller Frauen, die sich in der Dominikanischen Republik mit Gelegenheitsjobs dás Nötigste zum t)berleben verdienten, lägen mit ihrem Einkommen unter der Armutsgrenze. Deutschland Wclilamr Neuc leItuog DILL-POST HInter1nder Anzeiger 35578 WEZLAR 35683 DLLENBUAG 35578 WEIZLAR HE HE HE *07.96 tUdlliurgzt 'trathktIt 35781 WELDUAG HE kilt rrbotncr 35745 HERBOFIN HE Geringere Löhne, lãngere Arbeitszeiten mid schlechtere Bildungschanceñ 110: Die wèltweite Diskrinthilerung von Fraueni der Arbeitswélt daürt an. Genf (dpa)Geringere LOh- 1ei tôlines ther mànnhlchén ne, lflngere Axbeltszelten uhd Kqllegen. Dabel mache es schlechtere Blldungschancen Raurn elnen :unterschied,: ob verhindern weitwell noch lin- cite Arbelt In. ethem Industriemer dle-Gletchberechtlgung. iand oder In elnem Entwlckvon Frauen Im Beruf. Das 1st lungsland verrichtet werde: das Ergebnls elner Studle des Selbst In den reichen InduInternatlonalen Axbeltsamtes striestaaten lagen die Arbelts (ILO), die heute In Geni vorge- 1osenrater für Frauen 50 bls legt winI. 100 Prozent über. jenen der auch in LatelnameEfka und aufsfrhéi1dén asiatiscitel der Karibik, Offnen sich den Staaten würden Frauen eben Frauen Immer mehr techn1- falls bis zu -80 Prozent de: sche Berufe mid BescMltlgun- Arbeltskrafte stellen. gen Im Verwaltungsbereich. In Deutschlancl, Kanada unc litre Chancen ergrejfen Australien arbelten Männe: Frauen dort, wo ste gleiches und Fraun etwa die glelchc Geld für. gleichen 'Lohn erhal- $tundenzahl, so die ILO. In ten und Sozialgesetze helien, EU-Land Itallen aber würdez Famifie und Beru.f In Elniclang Frauenrund etu Viertel 1ãnge immer mehr Frauen wer Manner. Ergattern Frauen el- zu bringen. arbeltena1s Manner, In Oster den berufsttIg, doch lassen nen guten Job, stoIen ste Noch werde die Dlskrllni- reich zwölf Prozent. sie ineist nir das Heer der In kaum in die . Spltzengruppe nierung von -Frau.en etw Vor allem in Entwicldungs Armut lebenden Berufst&tlgen vor. Nur 6 Prczent slier ,Posl- durch litre Konzentration auf landern 'Mtten Madehen zu "anwachsenM, meint die Auto- tionen Im Top-Management bestinunte Berufe gefordert, dem mit Dlskrlmlnierung In nfl des Berichts, Lin Lean Lim. selen von Frauen bstzt. stéllt der Bericht fest. So selen Bildungsbereich zu kantpfen Deun die meisten Arbelten Dennoch 'verzeichnen -die 45 Prozent aller BescliAftlgten Dabel trage elne gute Schul .seien untethezahlt, urtproduk- Frauen auch kleine Erfolge im In den USA, GroJbritannien bildung nicht nur dazu bet tiv und oft auch gefalirlich. Kampf urn einen Platz jut und Franicreich in Berufen, den Verdienst spfirbar zu e Für die meisten Jobs aulSer- Arbeltsmarkt, vor allem In die von einem Geschlecht bis hOhen, sondern auch die of haTh der Landwirtschaft erhal- den 28 Industrielandern der zu 80 Prozent dominiert wür- groen Geburtenraten der ar ten Frauen gerade diei Viertel OECD. In diesen Staaten, aber den. In den Exportzonen der men Lander zu senken. Deutschland ,cbmorn,iflbtt olt Freudenstãdter Krelszethmg Tutter Kreiszelttmg 78532 TLJTTLINGEN 8W 3tbmar3m Ibet 3o1 78050 VLLINGEN.SCHWENN. 6W ,cbmur3mLdDtt 3olt R2 78722 OBERI1)OI 8W mmfllDet3o1 12379 HECHINGEN BW waromitlDet13ot mnrniIlOet513olt 78628 ROTTWEL 6W 9cbmar3mtilDet 5l3ote 72250 FREWENSTADI 6W Rii &t. 79761 WALDSHLJT-TIENGEN 6W OberhuthsdiesMiNsbki1t CI DerGeselschafter 72202 NAGOID 6W 79539 LOERRACH 6W 01.06.96 Frauen liii Beriifnicht gleichbérechtigt Nurgeringe Fortschrltte/.Auch in Indu trielandern weitaus rnehr von Arbeitslosigkeit betroffen Genf (dpa). Geringere Lohne-iangere Arbeltszelten und schlechtere Blidungs. chancen verhindem die Glelchberechtlgung von Frauen Im Beruf. Das 1st das Ergebnls elnér Studie des Intemationalen Arbeitsamtes (ILO). '.Im- mer mehr Frauen werden berufstAtig, doch lassen sie meist nur'das Heer der in Armut lebenden. Berufstatigen anwachsenuc, meint die Autorin des Berichts, Un Lean Urn. Dje méisten Arbelten seien un. terbezahlt,unproduktiv und gefahrlich. Für die meisten Jobs erhalten Frauen gerade drel Viertel des Lohnes ihrer .männlichen KoIlegen. Dabei mache es kaum elnen Unterschied, ob die Arbeit In elnem Industrieland oder In einem Entwicklungsland verrichtet werde. *Die Schere schliet sich nicht.c, so die Studie. Selbst in den reichen Industriestaaten .lägen die Arbeitslosenquoten für Frauen zwischen 50 und 100 Prozent über jenen der Mariner. Ergattern Frauen elnen guten Job, stoflen sie kaurn In die Spltzengruppe vor. Nur sechs Prozent aller Positionen Im Top-Management selen von Frauen besetzt, fand Lean Urn heraus. Dennoch verzelchnen die Prauen audi kleine Erfolge tin Kaxnpf urn elnen Platz im Arbeltsmarkt,. vor allern in den 28 OECD-Landem. In diesen Staaten, aber auch In Lateinamerika und der Karibik, Offnen sich den Frauen Immer mehr elnem Geschleclit bis zu 8O Prozent dominiert wurden.. In den Exportzonen der aufstrebenden aslatlschen Staaten wurden Frauen ebenfalls bis zu 80 Prozent der Arbeitskräfte stellen. Rund 70 Prozent aller Frauen, die sich in der Dominikanischen Republikmlt Gelegenheitsjobs das NOtigste zurn Uberleben verdienten, lagen mit ihrem Einkommen unter der Armutsgrenze. In Deutschland, Kanada und Austra- technlsche Berufe und Beschaftigurigen in den Verwaltungen. Ihre Chancen ergrelfen Frauen dort, wo sie .glelches Geld für gleichen Lohn erhalten und Sozialgesetze helfen, Familie und Beruf in Ein. kiang zu bringen. Noch werde die Diskziminierung von lien arbeiten Manner und Frauen etwa die gleiche Sttindenzahl, steilt die ILOStudie fest. Im Italien wtirden Frauen allerdings em Viertel langer arbeiten als. auf bestimmte Berufe gefordert, steilt der eine gute Schulbildung nicht nur dazu Frauen etwa durch ihre Konzentration Bericht fest. So seien 45 Prozent aller Beschaftigten in den USA, Gro8britannien und Frankreich in Berufen, die von Manner, in Osterreich zwolf Prozent. Vor allem in Entwicklungsiandem batten Mädchen zudem mit Diskriminierung Im Bildungsbereich zu kampfen. Dabei trage bel, den Verdienst spUrbar zu erhOhen, sondem auch die oft groüen Geburtenraten der armen Lander zu senken. Deutschlafld tO' Il-il I 'a 'a D) .-JD) .c r I0 I-; .. w 'HpJ'. ci) 2 I ci) . to + ' LI Ci) o 1I4:' ci) ) cC.c C) 11I, N tfl Eji rxl '-2 .aq9.E rq oI zH zH co i5 C) , a.. w Il?_ w pr. ci) ___ uIi I . 1Ed zH JEfl - : ) C) tO CC :. uu_ t g05 . j tC .c ' . - 1.1 + C) U) -. ' CC U) CC 0CC c C I... UE CC E C) Deutschland In,tt iltflnrr B&schn Land 51485 BEAGISCH-GLADMCH NW J1hitt etndE Ausgabe Euskirthen NW 53679 EUSKIRCHEN Iötncr UJCI elm InrInrr KIner Stadt-Anzeger NW NW MInrretnofin3ngrr Ausgebs Porz NW 51 143 KOELN tnKLtr ftöincr PIN i1öIntr einittndgrr 50667 KOELN NW 53121 SIEGBUAG Stadt.Anzelger 51643 GUMMERSBACH Ausgabe K Ausg.Ber1Mfl-E!ftkreI$ 50126 BEAGHEIM ficrbcrnifcber bclgcr K8 2utrLndrr Ethkres/Kôw Land KL 50687 KOELN PIN Benachteiligte Frauen Argemis Dagibt es Fmuenquoten, Forderprollramme, eine Weltfrauenkonferenz mid die gescblechtsneutral formulierte Stellenanzeige. Und jeW das: Die Intemationale Arbeitsorganisation steilt fest, daB zwar immer mehrFrauen erwerbstatig sind, abernach wie vor fUr mehrArbeit weniger Lohn bekommen als ihre männlichen Kollegen. Dies abet keineswegs nut in fernenEntwicklungslandem. Auch in den lndustriestaaten, die sich viel aufihre ,,political correctness" zugutehalten, sind Fraucn lllngst nichtgleichberech- 51373 LEVEII(USEN tigt. Dem UN-Bericht zufolge bleibt Frauen fast ausnahmslos derAufstiegan die Spitze vet- wehrt - trotz immerbesserer akademischerwidberuflicher Bildung. Und daB siè ,,êtinbei" meist auch noch den Haushalt schineillen, allen Lippenbekenntnissen der ,,emanzipierten Mannet" zum Trotz, weill man nicht nuraus Umfragen. NW Stand per Verordnung lösen zu können. Gleichzeitiglilllt eraber auch hoflen: Sozialgesetze, die die Vereinbarkeit von Faniilie und Beri4fbrdem, die gesetzliche Verankerung der Grundsatzes ,,Gleiches Geld fiirgleiche Arbeit" und die Sensibilisierung der Gewcrkschaften fUr Frauenfra. gen sind weitweit aufdem Vormarsch. linmerhinjammern wit auf' hohem Niveau. Den Frauen in Entwicklungslllndern steht oft nicht emma! die elementarste Schulbildungoffen, womit sich ihre ,,beruflichen Perspektiven" auflebenslange Schwerstarbeit gegen Hungerlohn reduzieren. In ihrem Gefolge verbesert sich auch die konkrete Situation fUr Frauen. BemUhungen in diese Richtung versprechen also durcham Erfoig. Frustierend ist nut, daB dersich erst äul3erst langfristigeinsteilt. Die Blockaden in DerBericht derILO versetzt all denen einen Däififer, die meinen, das Gleichberechtigungsproblem in derArbeitswelt am dem in Zeitrilumen von Genemtionen ab. den Kbpfen - nicht nurder Manner - bauen sich eben nur Jutta Vossieg Deutschland SUDWEST PRESSE 89073 ULM SW 31.07.96 FraUen haben schlechte Chancen Weitweit keine Gleichberechtigung im Beruf - Niedrigere Löhne Geringere Lohne, langere Arbeits-. werde. ,,tiie Sâhere scbuie8t sich then Lohn erhalten und SozialgeseIze helfen, Familie und Beruf in zeiten und schlechtere Bildungs- nicht", klagt die Studie' Selbst in .den reichen Industrie- Eunklang zu bningen. chancen verhindern weltweit Noch werde die Diskrirninienoch immer die Gleichberechti- staaten lagen die Arbeitsiosenragung von Frauen im Beruf. Das ten für Frauen zwischen 50 und rung von Frauen etwa durch ihre ist das Ergebnis einer Studie des 100 Prozent über jenen der Man- Konzentration auf bestinunte BeArbeitsamtes ner. Ergattenn Frauen elnen gu- rufe gefordert, steilt der Bericht Intennationalen (IJ.Q). ,,Immer mebr Frauen wer- ten Job, stolten sic kaum in die fest. So seien 45 Prozent alter Be-. den berufstatig, doch lassen sie Spitzengruppe von. Nur 6 Prozent schüftigten in den USA, Grollbrimeist nur das Beer der in Armut aMer Positionen mm Top-Manage- tannien und Frankreich in Berulebenden. Berufsthtigen anwach- ment seien von Frauen besetzt, fen, die von einem Geschlecht bis zu 80 Prozent domuniert würden. sen", meunt die Autorin des Be- fend Lin Lean Urn heraus. nichts, Liii .Lean Lina. Denn die Dennoch verzeichnen die In den Exportzonen der aufstre- meisten Arbeiten seien unterbe- Frauen auch kleine Erfolge im zahit, unproduktiv und oft auch Kampf urn eunen Platz im Arbeitsmarkt, vor allem in den 28 gefhrlich. Für die meisten Jobs aul3erhalb Industnieländenn den OECD. In. der Landwirtschaft erhalten diesen Staaten, aber auch in LaFrauen gerade 60 Prozent des teinamenika und der Karibik offLohnes ihrer münnuichen Kolle- nen sich den Frauen immer mehr gen. Dabei mache es kaum einen technische Berufe und BeschOftiUnterschied, ob die Arbeit in ci- gungen im Verwaltungsbereich. nem Industrieland oder in einém hire Chancen ergreifen Frauen EntwicklungsLand benden asiatischen Staaten wür- den Frauen ebenfalls bis zu 80 Prozent der Arbeitskräfte stellen. In Deutschland, Kanada und Australien arbeiten Manner und Frauen etwa die gleiche Stunden- zahl, steilt die ILO-Studie fest. Im EU-Land Italien aber würden Frauen rund em Viertel langer ar- beiten als Manner, in Osterreich dpa vernichtet dort, wo sic gleiches Geld für glei- 12 Prozent. I 1lIl.UR( )NNIJ I I( )I I 1;j'\L( )I 1 IlIv1fVJI ZIi:ITIJ]N( ; 74012 HELBRONN 74653 KUENZELSAU - -: SW /.Report des Intemationalen Arbeitsamtes belegt globale Diskriminierung am Arbeitsplatz Frâuen Iebefl trotz .Beruf in Armut Geringere Lohne, längere Arbeitszeiten und schtechtere Bildungschancen verhindern weitweit noch immer die Gleichberechtigung von Frauen im Beruf. Das ist das Ergebnis einer Studie des lnternationalen Arbeitsamtes (ILO). ,,lmmer mehr Frauen werden berufstatig, doch lassen sie meist nun das Heer den in Armut lebenden Berufstätigen anwachsen", meint die Autorin des Benichts, tin Lean Urn. Denn die meisten Arbeiten seien unterbezahit, unproduktiv und oft auch gefähnlich. Für die meisten Jobs auerhalb männlichen Kollegen. Dabei mache es kaum einen Untenschied, pb die Arbeit in elnem Industnieland oder in einem Entwicklungsland vernichtet werde. Setbst in den reichen Industniestaaten lägen die Arbeitslosenquoten für Frauen zwischen SOund 100 Prozent über jenen den Manner. Ergattern Frauen einen güten Job, stoLien sie kaum in die Sputzengruppe vor. Nur sechs Prozent alter Positionen im Top-Management seien von Frauen besetzt. Dennoch verzeichnen die Frauen auch kleine Erfolge irn Karnpf urn OECD. In diesen Staaten, aben auch in Lateinarnenika und den Karibik, öffnen sich den Frauen immen rnehr technische Berufe und Beschaftigungen irn Verwaltungsbelhre Chancen ergneifen Frauen dort, wo sic gteichen Lohn für gleiche Arbeit enhalten und Sozialgesetze helfen, Famitie und Beruf in Einklang zu bningen. Noch werde die Diskriminierung von Frauen durch ihre Konzentration auf bestimmte Berufe gefordent. 45 Prozent alien Beschäftigten in den USA, Gnogbnitannien und reich. Frankreich selen in Berufen, die der Landwirtschaft erhalten Frauen einen Platz irn Anbeitsmarkt, von at- von einern Geschlecht bis zu 80, gerade drel Viertel des Lohnes ihrer tern in den 28 Industnieländem den Prozent dorniniert würden. (dPay Deutschlafld - C C ...!. C_ ':.. W4W4 C C E$L -C . 1W - ... woCg C_ .1-:DC I.. I-. C Q U)C.ECE °E ' g g :(5 - -.___ - w. a > j?" - w -O) c(O2w C5W4: Illlffl.djil.E I- P11 ( EW >E5 ai: gw wva c : tl, - G) - 0w _ CC C 0) -: ci) U) U) t ci) W vc C- u o 0-a u -ø 0CC > :Ct w5 I- 0 LLi uu ci) Z Cl) Az_I LLi uu ZH - (0 (I) !C ( 2 U- OW o 1- OD)i -0-- WC C C k. --: g'.e G) 4_I - w , '° .2 0 E ''E0 00C Deutschland WflUtL .0 G) . '.4 . w D'.a D L o(u ._ > 2 ij= o 6AE - rd .uJ I I; JL uI E -EZ - 4Z : E I* C-) Deutschjand NH i PEE ALJHR STUNG Handelsblatt AisgDuisbzgDG 40213 DUESsaDoJf 47014 DUBLJRG..RKEINH. PN 30.07.96 07.066 ARBELTSMARKT. Frauen bleibt.der Weg nach obén weitér' versperrt .Studie: Weitweit arberten nur sechs Prozent weibllche Kräfte im Top-Management Genf (dpa). Geringere Lhne, langere Arbeitszeiten und schlechtere Bildungschancen verhindern weltweit noch immer die Gleichberechtigung von Frauen Im Beruf. Das 1st das Ergebnis aber auth In LateInamer1ka Offnen sith den Frauen finmar mehr technieche Berufa und BeschAftlgungen Irn Verwaltungsberelch Ihre men Frauen fin Durchschnitt für die gleiche Arbeit em Viertel weniger bezahlt als Hire münnlichen Kolle- gen. Schlechtere Bildungschancen und langere Arbeitszeiten behindern noch miner die Gleichberechtigung von Frauen im BeuL Das 1st das ternationale Arheitsorganisation lb am Dienstag vorgelegt hat. Frauen sind 'häufiger herufstitig. aber sie lessen dabei meist nur das Heer der Schlechtbezahlten anwachsen, urteilte Lin Urn, die Autorin des 194 Soften imfassenden Berichts ,,Mehr und bessere Jobs für Frauen. 'lie mid Beruf In Einkleng zu bringen. Noch werde die DlskrflnI- nierung von Frauen etwa durth thre I(onzantratlon auf bestfrnrnte Berufe gefürdert. So selen 45 ProzeM .1- gen anwachseif, meint die ler Beschäftlgten -In den USA, GroBbrltannlen und Lin Lean Urn. Denn die melsten Arbeiten selen unterbe- Frankrelch In Berufe, die zahlt, .unproduktiv und oft 80 Prozent dominlert wur- auch geffihrlich. den. In den Exportzonen der aufstrebenden ulatiachen Staaten wurden Frauen von elnem Geschlecht bis zu ebenfalle his zu 00 Prozent der Aibeltakiafte stellen. Rund 70 Prozent aller Frauen, die sich In der Domlnlke- niachen Republik mit Gale- genheltejobs über 'Wasser halten, lagen -mit Hiram Em- kommen miter der Armdtsgrenze. Schulbildung In Deutschland, Kanada Australlen arbalten Manner und Frauan etwa mid in die Spitzengruppe vor. die gleiche Stundenzahl, Weitweit seien nur secha stout die ILO-Studle feat. Im Prozent aller Positionen im EU-Land Italien aber wurTop-Management von Frau- 'den Frauen rund em Viertel en besetzt. tenger arbelten ala Manner, Dennoch verzeichnen die in Osterreich zwOlf Prozent. Frauen auth kielne Erfolge Vor allem In Entwlcklungaim Kampf urn omen Platz im landern hatten MAdcheu zuAxbeitsmarkt, vor allern in dam mit Diskrlmlnlerung urn den 28industrleländern der OECD, In diesen Staaten, HANDEISBLAT1 Montag, 29.7.96 sha DUSSELDORF. Weltweit bekom- Eigebnis ames Berichts, den die hi- ,,lmmer mehr Frauen wer Für die meisten Jobs auBerhaib der Landwirtschaft erhalten Frauen gerade dial Viertel des Lohnes threr mannlichen Kollegen. Dabel mache es kaum einen Unterschied, ob die Arbeit In etnem 'Industrieland oder In einem Entwicklungslaud verrichtet werde. Selbst in den reichen Industriestaaten lagen die Arbeitsiosenquoten für Frauen zwischen 50 und 100 Prozent über jenen der Manner. Ergattern Frauen einen guten Job, stoBen ale kaum für Franen dort, wo ale gleiches Geld für den barufstAtlg, doch lessen sie meist nur das Heer der In Armut lebenden BerufstAti- Autorin des UNO-Berlchta, Nchtéilè Chancen ergrelfen Frauen einer Studie des lnternatio- gleichen Lohn erhalien und nalen Arbeitsamtes (lID). Sozialgeaetze helfen, Faith-' Gefährlich Ho sieht Bildungsbereich zu kampfan. Weitweit sind den Untersuchungsergebnissen zufolge inzwlschen mehr als 45 % der Frauen urn Alter von 15 his 64 Jahren berufstAtig. In den Industrieliindern stellen sie.so-gar mehr ala die HHlfte der Erwerbstatigen. Die Studie sieht die Frauen ala Hauptopfer der Wirtschaftsrezession der vergangenen Jabre. In einigen Industrie!Hndern sind ale his zu doppelt so hãufig von Arbeitslo- sigkeit betroffen wie Manner. Und weun ale einen Job ergattert haben, stoBen ale nur selten in die Spitzen- gruppen vor. Nur 6% aller Fuhrungspositionen sind laut lb von Frauen besetzt. Die Diskriminierung von Frauen werde durch die Konzentration auf bestimmte Berufe gefbrdert. heiilt es weiter. In den USA, GroBbritannjen und Frankreicli wurden 45 % aller Beschäftigten in Berufen arbeiten, die mindestens zu 80% .von einem Geschlecht dominiert würden. In den Exportzonen der asiatischen Wachstumsstaaten seien his zu 80% der Arbeitskrijfte Frauen. In vielen Industrieländern zeichnen sich laut lb Fortschritte ab. So werde gleicher Lohn für gleiche Arbait gosetzlich vorgeschrieben. Deutschland ttn1ntr agth1nU 32423 MIM)EN Ni 30.07.96 noch Weit efltFernt 4on Gleichberechtiguflg Fraüen in der Arbeitswelt / Oft unterbezahite und gefahrliche Arbeit I9RepOti 'Globde Diskrirnlnierung von Gent (dpa).Geringere Löhne, hogore Arbeitszeiten und schiechtore Bhldungschaflcefl verhindern weitweit noch immer die Glaichberechtlgung von Frauen im Be- rut. Das lit dci Ergebnis siner Internationalen des Studio Arbeftsamtes (ILO). ,,Iminer mehr Frauen werden berufstätig, doch lessen sie meist nur das Heer der in Armut lebenden Berufstätigen anwachsen"1 meint die Autorin des Berichts, Liii Lean Lim. Denn die meisten Arbeiten seien unterbezahit, unproduktiv und oft auch gefãhrlich. Für die meisten Jobs auBerhaib der Landwirtschaft erhalten Frau.en gerade drel Viertel des Lohnes ihrer männlichen Kollegen. Dabei mache es kaum einen Unterschied, ob die Arbeit in einem Industrieland oder in einem.Entwicklungsland verrichtet werde. Selbst in den reichen Industriestaaten lagen die ArbeitslosenquotenfurFrauenzwischefl50ufld 100 Prozentüberjenen der Manner. Er- Positionen mi Top-Management in Deutschland, Kanada und Australien arbeiten Manner und seién von Fmuen besetzt. Dennoch veizeichnen die Frau- Frauen etwa die gleiche Stundenen auch kleine Erfolge ira Kampf zahi, so die ILO-Studie. Im EUurn cinen Platz'imArbeitsmazkt, Land Italien aber würden Frauen vor aUem in den 28 Industrielän- rund em Viertel langer arbeiten als den derOECD.ln diesen Staaten, Münner, in Osterreich zwölf Proaber auch in Lateinanienika und zent. Vor allem in EntwicklungSderKaribik, öffnen sich den Frauen ländem hätten Mädchen zudem lmmermehrtechnische Berufeund mit Diskriminierung im BildungsBeschliftigungen ha Verwaltungs- bereich zu kämpfen. Dabei trageeibereich. lhre Chancen ergreifen ne gute Schulbildung nicht nur daFrauen dort, wo sie gleiches Geld zu bei, den Verdienst spurbar zu erhöhen, sondern auch die oft grogattern Frauen einen guten. Job, für gleichen Lohn erhalten und So en Geburtenxutenderaflflefl Unzialgesetze helfen, Familie und Bestollen sie kaum in die Spitzender zu senken. gruppe vor. Nur sechs Prozent aller ruf in Eunklang zu bringen. DILL-ZEITUNG 35685 DLLENBIJRG HE 30.01.96 Geriiigere Löhne, längere MbeitszeIten imd schlechtere Bildungschancen ILO: Die weltweité Diskriniinienmg von Frauen in der Arbeitswelt dauert an Gent (dpa) Geringere LOhne,.Iängere Axbeltszelten und sclilechtere BlldungschanCefl verhindern weitwelt noch unmer die GlelchbereChtlgUflg von Frauen Im Beruf. Das 1st das Ergebnls elner Studle des Internatlonalen Arbeltsamles (ILO), die heute in Genf vorge- asiatischen des Lohnes hirer m&nnhiclieIL audi in Lateinamerika und aulstrebenden Staaten würden Frauen ebender Karibhk, Offnen sick den Koliegen. Dabei mache as kaüm elnen Tjnterschied, ob Frauen lunmer mehr techni- falls bis zu 80 Prozent der die Arbeit in elnem Industrie- sche Berufe und Besch0ltigun- Arbeitskr1te stellen. In Deutschlan, Kanada und land oder in einem Entwick- gen lxii Verwaltungsbereich. Australien arbeiten Manner Chancen lhre ergre3.fen lungsland verrichtet werde. Selbst in den reichen Indu- .Frauen dort, wo she gleiches und Frauun etwa die gleiche striestaaten lagen die Arbeits- Geld für gleichen Lohn erhal- Stundenzahl, so die ILO. Im losenraten für Frauen 50 bis ten und Sozialgesetze helfen, EU-Land Italien aber würden 100 Frozent über jenen der Farniie und Beruf in Einklang Frauen rund em Viertel langer arbeiten als Manner, in Osterjrnmer mehr Frauen wer- Manner. Ergattern Frauen ei- zu bringen. reich zwOlf Prozent. Noch werde die Diskriminen guten Job, stoen ale den beru1sttig, doch lassen Vor allem in Entwicklungssie meist nur das Heer der in kaum in die SpitzengrUpPe nierung von Frauen etw landern hütten Madchen zudurch litre Konzentration auf you. Nur 6 Prpzent aller FosiArmut lebenden Berufslatigen dem mit Diskrimmierung un bestimnite Bernie gefOrdert, anwachsen', meint die Auto- tiônen im Top-Management Bildungsbereich zu karnpfen. legt wird. steilt der Bericht lest. So seien Dennoch verzeichnefl die 45 Prozent aller Bescha.ftigten seien unterbezalilt, unproduk- Frauen auch kleine Erfolge un in den USA, GroIbritannien Karnpf urn elnen Flatz irn und Frankreich in Berufen, tiv und oft auth gel ãhrllch. Für die meisten Jobs auJer- Arbeitsmarkt, you allem in die von elnem Geschlecht bis haTh der Landwirtschaft erhaF den 28 Industrielandern der zu 80 Prozent dominiert wUrten Frauen gerade chef Viertel OECD. In diesen Staaten, aber den. In den Exportzonen der un des Berichts, Lin Lean Lirn. seien von Frauen besetzt. Denn die meisten Arbeiten Dabei trage eine gute Schul- bildung nicht nur darn bel, den Verdienst spürbar zu erhOhen, sondern audi die oft groen Geburtenraten der armen Lander zu senken. Deutschlafl d a) .c a) a) oD I V 4-,a) Cl) 0 Cl) 4-,. a) .0 = Co 0 a) .0 . a) V I E .E EW 4-' . Cl) LU .r a, . .... . . F . 0 bt 0 iE . . £wu i44 W p . 1 - LJr N f flI Ui 0 rIq rE h dj EED E to.E W w Deutschland t. . =, I.l C - cIo :t5 - U 1L o c 1) (1) LL It U. -a; = D C r-u -I a) =) o U) = J . C a) w a C .!EE 5 to . 1UhL LU E9 u:i Q. .I .c U. 1i1tHUU'i'v .1 C) u ..a -D E '5 V V Z.c w iwQ. I iIjiH N cc -. a) U U) CD E L. 'Iu-0 o. 0. O Z a) N -. C ww E : U) E Deutschland 5.ab 5c, wWOC) 55- ;. = I- a-. a,= =wa_ a, ( 222 bC: = Cfl o15 w2 = Wt .= 2- ' a, U = a, 45 := - C) o(o 5g 'a, a, Q. 4) 4) D.Q> CCN EEc ===J,I2 2. = c LU)EE"ES.9 =4) . b1L a,bC U = c L. U)Ea) V. D E '© 1 4 I- . "i V EE.2N I _ :a,E.= w -= bO fl = U a, _a, r I a,U)a,I-a,i U) E,> I .:a, a, 4) E4)2 c 1 0.ji <= 4)4) 34) . l a, = . E H IuI:=I4) - .I E= I a,ba a,o _=a,a, 2E.5 ce : .4) a) 4) a e D a, o -:4) c . a) EU).5a, a, .E a,- bO. 4) . a, 2g '- I- N Ec,i i. - a, 4) 4) E..EL '-.E2 4)4):Oa, a,N ;a)4)IrU) a,.4.4)4)4) 4) :4) a, 4) U) = 4) I-. .4).E 4) 4) Deutschland 0)C). N)N() i C C4.4 ) C C t;tOC V 000 C C) Qr E CC C V I-. CC C co.jj 00N N .. C 0 - NEE2 NC -- - . CCC N ilcCVCcn I)LI." ilih CU, r :oC0CE V EEE ii ° ) I - .EVCU. - C C.- C 0C . 'C C 'C N ) E V 0C '.' V CO b0 00 C.0 C.) V u ___ C.) . NC Deutschland FrUebleibider Weg naçh oben weitr. vérspetrt. Studie: Weitweit arbeiten nur sechs Prozent weibliche Kräfte im Top-Management Genf(dpa). Geringere LOhne, Iangere Arbeltazeiten aber auch in Latelnamerjka. Offnen sidi den Frauen Iraund schlechtere Bildungs- mer main, technlsche Berufe chancen verhindern welt- und Beschaftigungen Ira wait noch immer die Gleich- Verwaltungsberemch. Ihre berechtigung von Frauen Irn Chancen ergrelfen' Frauen BeruL Des ist des Ergebnis dort, wo ale gleiches Geld für amer Studie des Internatio- gleichen Lehn erhalten und ñalen Arbeitsamtes (1W). Sozlalgesetze helfen, FarnIlieundBerufmnEmnklangzu bringen. Gefährlich Noch werde dleDiskrlmj1mmer mehr Frauen war nierung von Frauen etwa den berufstAll& doch lessen siemeist nui das Hear dar in Armut lebenden BeruTatAtigen anwachsenTM, meint die Autorin des IJNO-Berlchts, Un Lean lAth. Denn die melsten Arbeiten selen unterbe- - durch line Konzentratjon euf bestlrnmte Berufe gefürdart. So seien 45 Prozent al- let BeschAftigten In den USA, GroBbrltannjen raid -Frankrelch in Berufen. die von elnem Ceschlocht his zu zahit, unproduktiv und oft 80 Prozent dominiert wIrauth gethhrlich. - Für die meisten Jobs an-Berhaib der Landwirtschaft erhalten Erauen gerade thai \riertel des Lohnes liner mAnnllchen ICollegen. Dabel mache as kaurnelnenjjnterschied, ob die Arbeit in elnem Industrieland oder In elnem . Entwicklungsland verrichtet werda. Selbat In den reichen Industxiestaaten lagen die Arbeitslosenquoten für Frauen zwischen 50 und 100 Prozent über jeneffdar Manner. Ergattern Frauen elnen guten Job, stoBen sie kaurn den. In den Exportzonen der aufstrebenden asiatischen Staaten ivUrden Frauen ebenfalls ble zu 80 Prozent dat ArbeltakrAfte stellen. Rund 70 Prozent allot Frauen, die sich in derDominlka- nlschen Republik mit Gale- genheltsjobs uber Wasser halten. lagen mit ihrem Einkommen unter der Armuts grenze. Schulbildung In Deutschland, Kanada und Australian arbeiten Manner und Frauen etwa in die Spitzengruppe vor. die gleiche Stundenzahl, Weltweit selen nur sechs steilt die ILO-Studie feat. Im Prozent sUer Positionen mi EU-Land Italien abet würTop-Management von Frauen besetzt. Dennoch verzeichnen die den Frauen rund ein Viertel länger arbelten ala Manner, in Osterreich zwolf Prozent. Frauen auth kleine Erfolge Vor allem in Entwickhmgsim Kampf urn amen Platz Ira landern hatten Mädchen zuArbeitsxnarkt, vor allem In dem mit Diskrlminlerung ira den 28 Industrielandern der Bildungsbereich zu kAnip- OECD. In diesen Staaten, fan. NH' NELL RLIHR AusgDakenDI 46535 DINSLAKEN TUP48 NW NN PUE RUHR ZRTUNI3 Ausgabe Essen EZ 45128 ESSEN NW 05.06.96 Deutschland IATJSITZER RUNDSCHAU EJbe-Ei,t.rRindsch.0 04924 BAD LIEBEitVERDA BR LAUSITZER RUNDSCHAU Medediu&tzir Riadschu 01988 8EFTEN8EA3 BR a LAUSITZER RUNDSCHAU Rtmdschauf.Noracts.n BR 02911 HOYERSWERDA IAUSITZER RUNDSCHAU 03238 FtN8TENAWE Wehweit weniger Lohn für Frauen Washingtàn (APi. Nbch mimer erhalten Frauen weitweit für die gleiche geleistete Arbeit erheblich weniger Lohn als Manner. Zu diesem Sch1u kern die Intemationale Arbeitsorganisation (ILO) in einerjetzt veroffentlichten Studie. Frauen verdienten zwischen 50 und 80 Prozent des Lohns, den Manner erhielten, befand der Bericht mit dem Titel ,,Mehr und bessere Jobs für Frauen". In den USA etwa betrage der Lohn von Frauen durcbscbnittlich 68 bis 70 (Kommentar Seite 2) Prozentjenes von Mannern. BR IAUSITZER RUNDSCHAU r Bp,eew&dRmdichau 03201 CALAU Verdient? BR IAUSITZER RUNDSCHAU VON IDA KRETZSCHMAR Co Sie 03050 COTTBt BR 3t07.96 konnen fragen wen sie wollen Niemand würde zugeben, daJerso viel bekommt, wie erverdient. Man frozzelL So hat man die Lacherauf seiner Seite. Freilick Manchem bleibtdann wohidoch das Lachen ins Halse stecken. Denn noch unmer erhalten Frauen weitweit weniger Geld fiirgleicheArbeit. Von der.unbezahlten Hans- und Familienarbeit dabei noch garnichtzu reden. Zwnalda von glei her Verteihing ohnehin nichtgesprochen werden kann. Eine m Washington veroffentlichte Studie derinternationalenArbeitsorganisätiOfl zerrte esmal wiederans Licht: Frauen bekommen gerade mal5O his 80 Prozent von dem, was die Manner einstecken. Zwarhaben vorüber viezig Jahren 124 Regienmgen eine höchst ehrenhafte Erklärung abgegeben, da$ nurnoch gleiche Löhne für gleicheArbeit gezahltwerden sofiten. Das Leben aberspricht seine eigene Sprache. Auch, wenn es in Ländern, die sick gem hochentwickelt nennen, inzwischen garnichtmehrso leicht ist die Frauenauszubootern Schleusen linden sick Daglbt es Einzelverträge für besondeEs hochmotivierte Mitarbeiter, zu denen Frauen seltenergezählt werden, weilsie vielleicht noch die Familie irn Kopf haben könnten. Die hochbezahlten Jobs sindohnehin tradUionell in MännerhantL Seibstirn Osten Deutschlands, wo sick Mädchen in technischen Ben4en durchaus behaupteten, itt es inzwischen schwer, einen Fufi in die Tiirzu kriegen. Ins Gegenteik Selbst die traditionellen Frauenberufe sind bei derLage auf demArbeitsinarkt vor männlichen Mitbewerbem nicht snehr sicker. Und ganz oben in den Chefetagen, wo an Goldenen Kreditkarten bek.annthch kaurn Mangel herrscht, trifft man halt Frazten meistimmernoch nurin den Vorznmnern. Es glbt Leute, die stort das herzlich wenig. Die frozzein eifrig weiter: Frauen haben es nicht andeis verdient. Warurn sind sie nicht Manner geworden!? Sthill1kstung Der Prignitzer MV 19260 LLEWKISLUST &aizgerAIgemee 19348 PEFLEHEAG BR Sdnrhier1k&zei1ung Hag nower Kreisbaft Sehrin Deutschlafl d Liu8terTageiatt 19230 HAGENOW SdVo1 Meddenbwgische Ztg. 19061 SCHWERIN MV nmg Pard*nerZeitg 19370 PARCHIM MV Nifte Nadirichten Rostocker Anzeiger 16055 ROSTOCK MV GuestrowerAniesger 18273 GUESTROW MV MV 30.07.06 Fraüen wêltweit im Beruf dliskriminiert IIJO-Studlie: Keine GieichberechtigUflg mehr tecbnische Berufe und BeGenf (dpa) Geringere Lohne, schaftigungen tin VerwaltungSund langere Arbeitszeiten schlechtere Bildungschaflcefl bereich. line Chancen ergreffen verhindern weitweit noch un- Frauen dort, wo sie gleiches mer die Gte jchberechtigUng von Frauen un Beruf. Das ist das Er- Geld für gleichen Lohn ethalten und Sozialgeselze helfen, Faini- gebnlselner Studie des Intema- lie und Beruf In Einklang zu tionalen Arbeitsarnte$ (ILO), die bringen. Noch, werde die Dlskriminieheute In GeiffvorgelegtWUrde. ,,imrner meh± Frauen werden rung von Frauen etwa durch Iiiberufstätig doch 'lassen ste reKonzenhiatiOfl aufbestimmte meistnurdasHeerde1flAt Berufe gefördert, stelit der BeSoseien4SPrOZefltal lebenden BerufstAtigefl an- .richtfest wacbsen", meint die Autorin des ler Beschaftigtefl in den USA, rnd FrankreiCh Berch,UnLflU.11ie Groübritanfliefl GeMehrzahldieserAIbeltefl selun- in Berufen,. die von einem schlechtbis zu 80 Prozent dorniterbezahlt, unproduktivufld oft audi gethhxlicb Für die meisten. ñiert wUrden. In den ExportzoJobs auBerhaib der Laudwirt- nen der aufstrebenden 'asiatischaft erhalten Frauen gerade scben Staaten wurden Frauen diet Viertel des Lohnes lhrer ebenfalls bis zu 80 Prozent der rnännlichen Kollegen. Dabei Arbeitskrafte stellen. Rund 10 macbe es kaurn einen Unter- Prozent alier Frauen, die sich in schied, ob die Atbeit in einern der DominikafliSChëfl Republik Industrieland oder lii elnem mit GelegenheitsjObS das Notig- verrichtet ste zurn Uberleben verdienten, Entwicklungsland lagen mit threm Einkommen werde, klagt die Studie. ,l ,yirhen Tndu- unter der Armutsgrenze. In Deutschland, Kanada mid striestaatèfl lägen die Arbeitslo.senquoten für Frauen zwischen Australienarbeitefl Manner mid 50 mid 100 Prozent fiber jenen Frauen etwa die gleiche Stun- der' Manner. Ergattern Frauen einen guten Job, sto1en ste burn in die Spitzengruppe vor. Nur secbs Prozent aller Positionen im Top-Management seien von Frauen besetzt, fand Lean Limheraus. Dennoch vetzeichnen die Frauen audi kleine Erfolge tin Karnpf urn einen Platz urn Arbeitstuarkt, vor allem in den'28 Industrieländern der OECD. In diesen Staaten, aber audi in Lateinamerika raid der Karibik, offnen sich den Frauen immer denzalil, steilt die ]LO-Studie fest. urn EU-Land italien aber würden Frauen rund em Viertel langer arbeiten als Manner, in Osterreich zwölfProzent. Vor a!lem ii Entwicklungslandern hättenMadchenZudemmitDts krirninierung tin Bildungsbereich zu kampfen. Dabei trage eine gute Schulbildung nicht nur dazu bet, den Verdienst spurbar zu erhöhen, sondern audi die oft groEen Geburtenra- ten der amen Lander zu senken. Deutschland 05.08.36 Freie Presse Märklsche Mlgemehie - andetwger K Plauener Zethmg BR 14176 BRAPI)ENBURG 06523 PLAUEN Freie- Presse Märklsehe Allgemeine R&Tagebtt 16816 NEURUPPIN Auet Zeitisig S 06280AUE BR Freie- Presse Märldsche Aligemehie wII1%_ Zwickauer Zethmg PsmerTageszeItUflg 14473 POTSDAM S 30W6 BR 08O56ZWKKAU S Frele Presse Märldsche Allgemelnc llInziqIalNachrlchlen Dahme Kuder 15711 KOENKIS WUSTERHAUS BR "Frauen erhal*en weitweit weniger Lohn Gienf (Reuter). Erauen arbei- ten nach Angaben der UNO weitweit mehr als Manner, erhalten aber für die gleiche 36361 SCItUECHTERN HE uth aev j3 ettung Keine Gleichberechtigung Weniger Lohir Genngere Löbne, langere Arbeitszeiten und schlechtere Bil. groBeres Risiko, gefeuert zu werden. AuBerdem stUnden Genf(dpa) dungachancen verhindern weltwelt die Gleichberechtigung von Frauen im Beruf. Das geht aus einer Studie des Internationalen Arbeitsamtes (IQ) hervor, die ibre Chancen schlechter, in heute in Genf vorgelegt wird. Fubrungspositionen ,,bnrner mehr Frauen werden -berufstatig, doch lassen sie meist nur das Heer der in Armut leben- aufzu- steigen. Die uberwiegende Mehrheit der arbeitenden Frauen gehore zu den arbei- tenden Armen, lautet das ResUme des ILO-Berichts. Die Kiuft zwischen den mannlichen und den weibli- chen Einkommen wird der ILO zufolge nicht kleiner. In vielen Industrielilndern liege die Arbeitsiosenquote der Frauen zwischen 50 und 100 Prozent holier als die der Manner. In den Staaten der OECD, zu der auch die Staaten der Europäischeji Union und die USA gehOren, arbeiteten Frauen niindestens. zwei Stunden - oft fUnf bis zehn Stunden - mehr pro Woche ala die Manner. S 30.07.96 Bericht der Internationalen markt, sic hätten aber em S Frele Presse 09599 FREIBERG HE fih die Frauen' Arbeitsorganisation (ILO) hieB es, zwar drangten Frauen versthrkt auf den Arbeits- 09111 CHEMNITZ Frelberger Zelttmg 36031 FILWI Arbeit durchschnittlich 25 Prozent weniger Lohn. In cinern in Genf verOffentlichten Cheniiltzer ZeiILX)g den Berufstatigen anwachsen", meint die Autorin des Berichts, Liii Lean Urn. Denn die meisten Arbeiten seien unterbezahit, Unproduktiv und gefahrlich. Für die meisten Jobs auBerhaib der Landwirtschaft erhalten Frauen gerade drei Viertel des Lohnes ihrer männlichen Kollegen. Dabei ma- the es kaum einen Unterschied, ob die Arbeit in elnern Industrieoder Entwicklungsland verrichtet werde. Selbst in den. Industriestaaten lagen die Axbeitslosenra- ten für Frauen zwischen 50 und 100 Prozent Uber jenen der $änner. Ergattem Frauen einen guten Job, stoBen sie kaum in die Spitzengruppe vor. '7, GENg (afp). :Sówohl in den Industrie- als auth in den Entwickhmgslondern erhalten Frauen im Durcbschflitt für die gleiche .Arbeit Viertel weniger Lohn als ibre mann]ichen Kollegen. Das ist das Ergebnis einesBerichts, den das Internationale Arbeitsaunt der Vereinten Natin in Genf veroffentem lichte.' ,,Frauen sind haufiger berufstatig, aber sie vergröBern dabei in den meisten Fallen das Heer der ScblechtbeZablten", urteilte Li. Lini, die Autorin des Berichts ,,Mehr und bessere Jobs für Frauen". Weitweit sind den tJntersuchungsergebnissen. zufolge inzwischen mebr als 45 Prozetit der Frauen im Alter von 15 bin 64 Jah- ren berufstatig. In den Industrielander. stellen sie sogar mehr als die Haute der Erwerbstatigen. Vor 20 Jahren lag der Anteil der weiblichen Arbeitnebmer in Europa nochbei37PrOZefltundmdenU bei 30 Prozent. Die Studie kommt zu dem Ergebnis, daB Frauen die Hauptopfer der WirtschaftsrezeSsion der vergangenen Jabre waren. Deutschland Mltteldeutschezeftung Sangethuser Zeittmg ";'NEUE RLJHR WTLING 06526 SANGERHAUSEN AusgDaken DI SA 46535 DINSLAKEN Mltteldeutscheze!tung ,!P.44NELW RLJHR ZBTUNE3 Dessau Ausg.Moers MS 06944 DESSAU SA 47414 MOERS Mltteldeutschezeilung PIN ''NEUE HUHRZEJTLJNG Bftteifeker Zeittmg Ausg.M(iIen MU 06749 BIETEffELD SA 45468 MUELHEIM'RUHR MhleldeutscheZeltung PIN ,"NEUE RUHR WTUWG Berth(tger Ktxer Ausgabe Wesel WX 06406 BERNBURG SA 46483 WESEL MttteldeuischeZeltung PIN ';'-jNEUE RLJHR ZBTUNG Hale aekels 06112 HAILE PIN Aus9Duisburg DG SA 47014 DtJISBURG-RIIEINH. NW MliteldeutstheZeltung 1Ftz NEIJE RHEIN ZEITUNG Wittererg Jessen AusgflUssekloif DF 06917 JESSEN 40212 DUESSELDORF SA NW 30.07.96 MltteldeutscheZeltung p'";'NBJE RUHR ZEJTUNG Ausg.Oberhausen OH MersebrU Quecturt SA 06217 MERSEBUAG 46045 OBERHAUSEN Mltiekleutschezthung Frauen erhälten weniger Lohn als Manner Genf(afpj:Sowohj In den In- dustrie- als auth In den Ent- Aschers$ebener Z&twig 06449 ASCHERSLEBEN wlcklungslandenn erhalten Frauen im Durchschnftt für die .gleiche Arbelt em Viertel we- SA 31.07.96 niger Lohn als thre niãnnliche Kollegen. Das let des Ergebnis eunes Berichts, den die hnternationale Arbeitsorganisation der UNO gestern verOffentlichte. ,,Frauen sind haufiger benifst- 'i'rauen erhalteñ weniger Geld tig. aber sie vergrOfienn dabel In den meisten Fallen des Heer Lobnveileich mit Männem Washingtofl/AP. PIN och immer er- halten Frauen weitweit für die gleiche geleistete Arbeit erheblich weniger Lobn als Manner. Zu diesem SchiuB kommt eine Studie der hnternationalen Arbeitsorganisa- tion der iJno (ILO). Frauen verdienten zwischen 50 wid 80 Prozent des Lohns, den Mannefer- hielten, befand der Berieht ,,Mehr und bessere Jobs für Frauen". / des Sch1echtbezaIilten, so Liii. Lim, die Autorun des Berithts. Weiteres Ergebnis: Frauen sind die Hauptopfer der Wfrtschaftsrezession. In eunigen In- dustrielandenn slid ale bis zu doppelt so hAufig von Arbeitslosgkeit betroffen wie Manner. Weltwejt nehmen Frauen auBerden. nun sechs Prozent den' FUhrunposten eli. Deutschlafld Dflenbnrprr tnpEii1f yj 77656 CFFENBUAG 77704 OBEAKIACH tv 3emg 77694 KEPL 8W LAHRER ZEITUNG 779331AHR 8W ILO-Arbeitsstudie: Schere schliefit sich nicht B erufstätige Fthuen wëltweit diskriminiert Geni (dpa/AP). Geringe- Frauen gthade drei Viertël des vor allem in den 28industrielün- threr niiinnlichei, Kofle- em der OECD. In diesen Staare Lohne,ingere Arbeits- Lobnes gen. Dabei mache es kaum einen ten, aber auch in Lateinamerika zeiten und schlechtere Bil- Unterschied, ob die Arbeit in ei- und der Karibik, öffnen sich den dungschancen verhindern nem Industrieland oder in einem Prauen immer mehr technische Entwicklungsland verrichtet Berufe und Beschüftigungen im weitweit noch mimer die werde. Die Schere scblieSt sich Verwaltungsbereich. Ibre Chan- Gleichberechtigung Frauen im Beruf. von nichtç heiBt es In der Studie. cen ergreifen Frauen dort, wo sie Das istdas Ergebnis einerStudie des Internationalen Arbeitsamtes (LW), die heute in Gen! offiziell vorgelegt wird. 'Immer mehr}auenwerdenberufstätig, doch lessen sie meist nur des gleiches Geld für gleichen Lohn erhalten und Sozialgesetze helfen, hmilie und Beruf in EmSelbst in den reichen Indu- kiang zu bringen. strlestaaten lAgen die ArbeitsloIn Deutschland, Kanada und uen zwischen Australien arbeiten Manner und senquoten für 50und 100 Prozetitt1berenender Frauen etwa die gleiche StunManner. ErgatternFrauen einen denzahl, steilt die ILO-Studie Selte 2: Kommentar seer der In Armut lebenden Be- guten Job, stoBen ale kaum in die rufstatigen anwachsenc, meint Spltzengruppe vor. Nur secbs die Autorm des Berichts, Lin Prozentafler Pbsitionen Im lbpLean Lim Denn die meisten Ar- Management seien von Frauen beiten seienunterbezahlt,unpro- besetzt, fend Lean Lim heraus. duktiv und oft auch geführlich. Dennoh verzeichnen die Für die meisten Jobs auBer- Fauen auch kleine Erfolge im haib derLandwirtschafterhalten Kampf urn einen Arbeitsplatz, fest. Im EU-Land Italien aber Würden Frauen rund em Viertel lânger arbeiten als Manner, in Osterreich zwölf Prozent. Vor a1- lemin Entwicklungsimidernhtten Mädchen zudem mit Diskriminierung irp Bi1dungsbereic. zu kümpfen. Deutschland hwôW1djcci1un 724; SK3MAFIINGEN 5W dill1iilfl1ttJt cliung Wangen 5W 68239 WANGEN djwiibi1djrei1ung - Favensbwg 68212 RAVENSBLJRG 13W jwñbi1djc eiIung Friekichshaf en djmñbifdeeliun 88299LELJKIRCH 5W bmñbi1d,cti1un inboucrcitun 68131 LINDAU Wi IP1unDJogI't-7eitung Ausgabe Bberath 884(X) HIBERACH SW wbi1heeliun 73479 ELLWANGEN SW ÔH1nDer 1tttuflQ Sati9Bu 88348 SALLGAU SW 76647 TROSSINGEN SW AALENER VEJLKSZEITUNG Sthwáblsche Zeltung 73439AA1EN 68045 FHIEDR)CHSUAFEN BW ILO-Report: Globale Diskriminierung von Frauen In Arbeitswelt Unterbezahite und geflihrliche Jobs Genf dpa) - Geringere Lohne, langere dustrieland oder in einem EntwickArbeitszeiten und schlechtere Bi1dungs- lungsland vernchtet werde. ,,Die Schere chanäen verhindern weitweit noch im- .schiieSt sich nicht", klagt die Studie. mer die Gleichberechtigung vor Frauen Selbst in den re'ichen Industriestaàten imBeruf. Das ist das Ergebzus einer tu- lagen die Arbeitsiosenquoten für Frauen die des Internationalen .Arbeitsamtes zwischen 50 und 100 Prozent über jenen (ILO), diegesterninGenfvorgelegtwur- der Manner. Ergattern Frauen einen gude. ,,Imxner mehr Frauen werden berufs- ten Job, stoBen sie kaurn in die Spitzentatig, doch lassen sie meist nur das Heer gruppe vor. Nur sechs Prozent afler PosiderinArmutlebendenBerufstatigen an- tionen irn Top-Management seien von wachsen", meint die Autorin des Be- Frauen besetzt, fand Lean Urn heraus. richts, Lin Lean Lim. Denn die meisten Dermoch verzeichnen die Frauen auth Arbeiten seien unterbezahit, unproduk- kleine Erfolge im Karnpf urn einen Platz tiv und oft auch gefahrlich. im Arbeitsmarkt, vor aflem in den 28 In- Für die meisten Jobs aul3erhalb der dustrieländem der OECD. In diesen Landwirtschaft erhalten Frauen gerade Staaten, aber auch in Lateinamerika und dreiVierteldesLohnesihrermannlichen der Karibik, öffnen sich den Frauen imKollegen. Dabei mache es kaum einen mermehrtechnischeBerufeundBeschAfUnterschied, ob die Arbeit in einern In- tigungen°imVerwaltungsbereich. SW Deutschland kqnitj '3cttung 91207LALF TAO1ILMT TREUCH2LINGER 9I522ANSBACH BA 91126SC1TNABACH BA ffidu1thtJCwRl*hom BA F1I3 R ROTHHLPOLTSTEINEA yOLKS- ZEflUNG 91154 ROTH BA 91757TREUCIfTLINGEN ERLR 9O762FUERTH BA BA NURER DER BOlE FUER NUERNBEAG4.AM) 91054 ERLANCEN BA 90537 FEUCHT BA 90402 NUERNBERG BA 31.07.96 . Nach ejnçtSwdie des Intemationalen Atheitsamtes m Genf Franen weitweit iii Naebtell Niedrigere Löhne, Ingere Arbeftezelt geringere.Blldung$ChaflCefl GENF (dpa) - Geringere .Löhne, liegen die Arbeitsiosenquoten für 50 und 100 Prozent lingeis Arbeltszelten und chlechteie Frauen zwischen Münner. Die Diskrimi- Blldungicbsncefl verhlndern weitwelt uber jenen der noch Immer die Glelchberechtlguflt nierung von Frauen wird noch durch Ihre Konzentratiofl auf bestimmte Bevon Frauen ImBeruf. AuBerdefli arbeiten In elner Studie des Internationalen rufe gefördert. beispieJaweise in den EUArbeitsamteS (1W) in Genf helBt es: Frauen Lündern Osterreich und Italien zwölf ,immermr'rauenwerdenberUf5t tig, doch lessen sie nieist nur dna Hear his 25 Prozentthnger ala die Münner. der in Armut lebenden .erutigei Vor aliem in Entwicklungslufldern anwachsen." Denn die nieisten Arbei- haben Müdchen und Frauen ungleich ten eeien unterbezablt, unproduktw aChlechtere Bildungscbancen. Die Sindie weist darauf bin, daB aber gerade und oft auch gefuhrlich. nicht nur die Berufa- undVerir die nieisten Jobs auBerhaib der Bildung Land.wirtschaft erhalten Frauen nür dienstmôglicbkeitefl von Frauen spur- drei Viertel des Lohnes ihrer inannu. then Koliegen, gleichgültig, oh die Arbeit in einem Indusfrieland oder in elmEchlungsJandVerriChtetW'1 Selbst In den reichen ndustiestaMefl barverbessert,sondernaUehdiehohen Geburtenraten in den armen Lündern senkt. Bildung und Ausbildung seien Voraussetzuflg für eine erfolgverspreChende BevolkerungspOlitik. I Deutschland o '"° w V . , IU -.bCOQ, r4E U = - WW0 Q) ©- :jJj; $.i .. :i . . b E. © = E fl0w I-;' ;_ I U .9w4 _ c, 0 o 0 II. < Ill - z w zILl I- Iw U) UI I11 - : LU !O.EIE Z C LLIU C, C., I-1) 0 a. zUI U) U) 0. zILl IU) 00. 'U,. G) c - ) ) o U -. U. . C, C,0 LI.. (fl.LU a) I-. U Ci uCiflbfl U U C, C, Deutschland OSTFUURINGER Zeltung mrJ Uk Jena TH O7743JENA Oranlenburger Generalanzeiger 0STrBIYRINGER Zeltung 16515 ORANIENBURO mu Gemer Zofting 38.07.96 lit 01545 GERA Diskriminierte Frauen im Job OSTIHURLNGER Zeltung ZtgI.Rudostidt u.Umgebuig TH 01407 RICL8TADT OSTFHURINGER Zeltung Genf (dpa). Geringere Löhne, Iängere Arbeitszeiten und schlechtere Bildungschancen verb indern weltwejt noch im- mu Ztgi.Grelz uikngebs 01973 GREIZ TM männlichen Kollegen. Dabei mache es kaum einen Unterschied, ob die Arbeit in einem Industrieland oder in einem mer die Gleichberechtigung Entwicklungsland verrichtet von Frauen im Beruf. Das ist werde. das Ergebnis einer Studie des Selbst in den reichen Indu- OSITHURINGER Internationalen Arbeitsamtes striestaaten lagen die Arbeits- Zeltung (ILO) die heute in Genf var- losenquoten fur Frauen zwi- geftwird. Die meisten Ar- schen 50 und 100 Prozent über beiten seien unterbezahit, un- jenen der Manner. Ergauern ZtgI.P8neck u.tkngebu TH 07381 POESSNECK BR produktiv und oft auch ge- Frauen einen guten Job, stoBen OSTrHURINGER thhrlich. sie kaum in die Spitzengruppe Für die rneisteh Jobs at,tler- vor. Nur sechs Prozdnt aller ZtgiSaateld u.Umgebq halten Frauen gerade drei ment seien von Frauen besetzt, Viertel des Lohnes ihrer fand Lean Lim heraus. Zeltung 01318 SAALFELD a haib der Landwirtschaft er- Positionen im Top- Manage- TM 31.07.96 UNO: Frauen arbeiten mehr und erhalten weffiger Lohn 25 Prozent Mehr-Verdienst für Manner Genf (rtr). Frauen arbeiten Die Kiuft zwischen den Einkomnien von Frauen und Männern wird laut 1W nicht kleiner. in vielen Jndustriedurchschnittlich 25 Prozent ländern liege die Arbeitsloweniger Lobn. In einem Be- senquote der Fraueu zwiricht der Internationalen Ar- schen 50 und 200 Prozent hobeitsorganisation (ILO) heifit her als die derMünner. In den es, zwar drangten Frauen vet- Staaten der Organisation für stürkt auf den Arbeitsmarkt, wirtschaftliche Zusammensie hätten aber em grof3eres arbeit und Entwicklung Risiko, gefeuert zu werden. (OECD), u der audi die StaaAullerdem stünden Thre ten der EU und, die USA goChancen schlechter, in Fith- hOren, arbeiteten Frauen pro rungspositionen aufzustei- Woche oft fünfbis zehn Stunden mehr als die Manner. gen, sodielLO. nach Angaben der UNO weltwelt mehr als Münner, erhalten abet für die gleiche Arbeit I Deutschjand Jd1ncr etnD11ndgrr ftölncr tabttndgCr Ausgebe K Ausgabe Euththen 50667 KOELN PM 4oInrremOtInrtgrr 5II43KOELN 51M3GUMMEIBACH 9ththtndnfl 3öIncr K61w StadtAmeget PM 50126 BEAGHEIM fldliur JöIncr eMbttn&dga' Baisthes Land EtftkrelsJK1ner Laixi KL 50667 KOELN 51373 LEVE(USEN NW nDt(fltLgCr Ausg.Berie1m-EtftkrelS PM 53721 SIEGBURG PM PM 53879 EUSKIRCHEN Ausgib. P0(2 krbtrntfckr indgtr Kölw St.dtAnzeçer PM ntIndtcr 51466 BEAGIBCH.aADBACH PM NW 38.07.96 Frauen arbéiten mehr und bekonunen weniger Ilo-Studie zeigt; Benachthiligung noch nicht gestoppt Von An&éas Zumach Geni - Frauen verden auf dem weitweiten Arbeitsmarkt weiterhin stark benachteiligt. Inzwischen ar- beiten 4. Prozent aller Frauen im Alter zwischen 15 und 64 Jahren; der Anteil steigt stilndig Dochobwobi Fmuen pm Woche zwei bis zebn Stun1en länger arbeiten als die Manner, erhalten sie auch für vergleichbaze Tãtigkeiten durch- schnittlich 25 Prozent weniger Lohn. Das 1st das Ergebnis einer Studie ,,Mehr und bessere Jobs für Frauen", die die Internationale Arbeitsorganisation (110) in Geniveröffentlicht hat. Zwar hätten Frauen in den letzten Jahren ,,deutliche Fortschritte" gemacht beim Vordringen in tradi- tionell ausschlieBlich von Mannern ausgeübten Berilfen, heilit es in der flo-Studie. Auch wuchs der ,Anteil der Frauen an der Gesamtzahi allerBeschaftigten in den 28 Industriestaaten der Organisation für wirtscha.fIliche Zusammenarbeit und Entwicldung (OECD) deutlich. In,Westeuropa waren in diesem Zeitraum von den acht Millionen neuen Erwerbstlitigen sieben Millionen Frauen. Doch in. leitenden Positionen sind Frauen nach wie vor nur zu sechs Prozent vertreten. Auch 1st der Anteil der Frauen an der Ge- samtzahl der Arbeitsiosen in der OECD zwischen 50 und 100 Prozent höher als der der Manner. 70 Prozent der armen Erdbevdlkerang und 65 Prozent der Anaiphabeten sind Frauen. In den OECDStaaten verrichten Frauen wö- chentlich zwischen filni und 15 Stimden unbezahiter Arbeit - zu- meist mi Haushalt und bei der ICinderbetreuung. In den Staaten des Südens sind es sogar 31 his 42 Stunden wöchentlich. Zn den positiven Entwicklungen zãhlt die lb die Tatsache, daB in den USA heute mehr Frauen ilire eigene Firma grUnden als Manner. In vielen Lilndern des Nordens wie des SUdens sei das Prinzip ,,Gleicher Lohn für gleiche Arbeit" inzwischen zuinindest gesetzlich verankert. Da mehr Frauen Mitglieder der Gewerkschaften seien, sei deren Sensibilitat für frauenspezifische Fragen ge- wachsen. So arbeiteten Manner und Frailen in Deutschland, Kanada und Australien etwa die gleiche Stundenzahl. Insgesamt failt die Bilani laut Jlo-Generaldirektor Michel Hansenne aber negativ für die Frauen aus: ,,Gleiche Chancen fir Frauen und gleiche Behandlung von Frauen auf dem Arbeitsmarkt sind bislang nirgendwo in der Welt erreicht." Deutschland WS-I- G)C IUflJ = C) 15b 44- ._ a ow w'-r wo w tI'IJ1$1 INWQWW 9E-4 wI Oco 4L . 'D .o w 1-i I!q E C.) c Ec u 4V1 , ' 0 Iz c -; & ' . 1flVJi1iø. '- 4 .i di L h:jft I - hIfth1Liiil!Ih OVu ii I W 0) 2.2- '.a t 0)11) 0 C C o0 V .5 .5 CU. w C. i=10 VOU.N I. Deutschland p I a - N I Ldfl11IIII S,., a - :2 .. EI . I E . . Ia t1iillHI1iil1 flI1 hD ; jIIL 1 I? 3 ICl) o -. I4 z G) E - b.0 ' uJ ____ c. o r1tl) .d-I-1 : - .41 ____ - I. I u 0 rib a) a) 4. - ;- -4 -4 ._a) : ..co a) a) . a) . io .° a, a) Cl) a). - Deutschland I E EE _cl &E :O 1 .. ) EE C, 1.-I :V. fl! N !liiv;iJIv UhI;l ;-- " 4 ' - CQ I) C C.) C') . \ ' Ifti1:4flE' 11111 ir ' Deutschlafld Sächsische Zeitung 02706 LOEBAU Sächsische Zeitung 8 01706 PIRNA Sächsische Zeitung 8 Sächsische Zeitung Co8enhab 0117 KAMENZ 8 Sächsische Zeitting 01062 MESEN S 01445 RADEOEIJ. 8 SäChSjSChC Zeituiig Sächsische Zeitung S Sachsische Zeitung G&z Bautzen 02625 DAUTZEN Sächsische Zeitung Kres Dresden Dresden 01067 DRESDEN S O2163ZITTAU S 01558 GROSSENHAIN Sächsische Zeitung Sächsische Zeitung Zlttsu 02826 GOERLIIZ S S O158THIESA 8 01.00.96 Ubéráll haben Frauen weniger Chancen Von Gleichberechtigüng im Beruf kaum eine Spur Genf (dpa). Geringere Lôhne, langere Arbeitszeiten und schlechttre Bit- dungschancen verhmdern weitweit noch lnuñer die Gleichberechtigung von Frauen im Beruf. Das ist das Ergebnis einer Studie des Internationalen Arbeitsamtes (ILO). die in Genf vorgelegtwurde. Für die meisten Jobs aullerbalb der LandwirtscIaft erhalten Frauen gerade drei Viertel des Lohnes il)rer männlithen Kollegen. Dabei mache es kaum - einen Unterschied, ob die Arbeit m einem Industrieland oder in elnem Ent- wicklungsland verrichtet werde. .pie Schere schlieüt sich nichr, klagt die Studie. nen Ptatz mi Arbeitsinarkt, vor aliem in den 28 Industrieländern der OECD. Noch werde die Diskrüninierung von Frauen etwa durch ihrCKonzentration auf bestimmte Brufe gefordert, steilt der Bericht fest. So seien 45 Prozent afler Beschäftigten -in den USA,. Grolbntannien und Frankreich In Berufen, die von einem Geschlecht bis zu 80 Prozent dominiert wurden. In Deutschland, Kanada und Australien arbeiten Manner und Frauen etwa die gleiche Stundenzahl, stelit die ILO- Studie fest. In Italien aber wurden Frauen rund ein'/iertel Iãnger arbeiten als Manner, in Osterreich zwölf Prozent. Vor alleni in Entwicklungslandern hãtten Mãdchen zudem mit Dis- Selbst in den reichen Industriestaaten lagen die Arbeitstoéenquoten für; kriininierung mm BiIdungsbethiWu Frauen zwischen 50 und 100 Prozent' kampfen. Dabei trage elne gute Schulbildung über jenen der Manner. Ergattern Frauen elnen guten Job. stoüen sie nicht nur dazu bei, den Verdienst spur- kaurn in die Sptzengruppe vor. bar zu erhöhen, sondern auch die oft grollen Geburtenraten der armen Lan- auth kielne Erfolge im Karnpf urn ci- der zu senken. Dennoch verzeichnen die Frauen Deutschland ngbInfl 15LfthInot NS 37079 GOETTINGEN 45651 RECKLINGHAU8EN NW NS 518GFHORN Beobachter W23SEESEN ügIidjet 37603 HOLZMIM)EN t Pfaffenhofener Kurler 85278 PFAFFENIIOFEN neiger NS 45894 GELSE(IRCHEN.BUER NW BA EICHSTATTER KURIER 85072 EICIISTAEIT - Dumths 1OtLt 45772 MAI. BA NW DONAUKURIER 29664 WAISRODE NS 31.07.96 UN-Bericht Weniger iolii fir Frauen Genf(rfr/p). Frauen arbeiten nach Angaben der UN weltweit mehr als Manner, erhalten aber für die gleiche Arbeit durchschnittlich 25 Prozent wemger Lohn. In einem am Dienstag in Genf veröffentlichten Bericht der lnternatio.nalen Arbeitsorganisation (ILO) hieB es, zwar drangten Frauen verstiirkt auf den Arbeitsmarkt sic batten aber em gro1eres Risiko, gefeuert zu werdei. Au1erdem stunden Hire Chancen schlechter, in Fiihrungspositionen aufzusteigen. Die flberwiegende Mehr- heit der arbeitenden Frauen gehore zu den arbeitenden Ar- men, lautet das Resümee des ILO-Berichts. 85051 INGOLSTADT 45699 HERTEN BA .07.96 ,,Globale Diskriminierung vn Frauen in Arbeitswelt" 'Geñfc1pa) Geringere Lohne, lüngere Mbeitszeiten mid schlechtere Bildungschancen verhindern weitweit noch immer die Gleichberechtigimg von Frauen mi Beruf. Das ist das Ergebnis einer Studie des Internationalen Arbeitsamtes (ILO), die heute In Genf vorgesteilt wird. ,,Tinmer mehr Franen werden be. rufstatig, doch lassen sie theist nur daslèer dér in Armut le- benden Berufstatigen anwachsen", meint the Autorin des Berichts, Lin Lean Lim. Denn die meisten Arbeiten seien unterbezahit, unproduktiv mid oft auch gefahrlich. Für die meisten Jobs aui3erhalb der Landwirtschaft NW 31.07.96 WeitWeit weniger Lohn für Fraueri Washington. (AP) Noch immer erhalten Frauen weitweit für die gleiche geleistete Arbeit erheblich weniger Lohn als Manner. Zu diesem Ergebnis karn die Internationale Arbeitsorganisation (ILO) der UN in einer am Montag in Washington veröffentlichten neuen Studie. Frauen verdienten zwischen 50 und 80 Prozent des Lohns, den Manner erhielten, be- fand der Bericht mit dem Titel ,,Mehr und bessere Jobs für Frauen". Die Autorin der Studie,, die Malaysierin Lin Lean Urn, erklãrte, seit 124 Regierungen im Jahr erhalten Franen gerade drei 1951 eine Vereinbarung über gleiche Löhne für gleiche Arbeit Un- Funftel des Lobnes Hirer mannlichen Kollegen. Dabei mache es kaurn einen Unterschied, ob die jedoch ,,weder weitweit noch Arbeit in einem Industrieland oder in einem Entwickhmgsland verrichtet werde. terzeichnet hätten, seien Fortschritte erzielt worden. Sic seien dauerhaft, nicht einrnal in Landem und Gegenden, die sich be. senders bemuhten". BA1)IS( 1 ii:s Ihmkfurlsrlundwhuu I A ( I LAl "1' Ausgibs D 60313FMMFURT Deutschland HE 8W 76630 SADEN-BADEN 36Q96 BADISCHES TAGBLATT Arbeitsmarkt BeimLohnschneiden Frauen schlechter ab SW 78437 RASTAIT ILO-Studie zu Beruf: i FRANKFURT A. M. Frauen arbeiten rund umden GlobuB nach wie vor Ianget, erhalten für die gleiche Tatigkeit jedoch im Schnitt em Viertel weniger Lohn ala ibre mnnhichen Kollegen. So lautet dan Fazit einer Studie der Internationalen Arbeitsorganisation (flip). Immer mehr Frauen seien berufatAtig, damit babe aich aber dan Heer der in Armut lebenden Beechaftigten nut noch vergroBert. Denn die meisten Frauen seien in Niedriglobn.Joba beschàfUgt, die in vielen Fälle zudem gefährlicb seien. Krasse Unterschiede bei der Bezahiung von Mannern und Frauen registriert die Organisation dabei in Entwicklungs- und audi in Industrieländern. ,,Die Kiuft scbrumpft nic1it Audi bei der Bildung eien Frauen benachteiligt. Sie machten nicht nut fast 70 Prozent der Armen die- Fraué. welter benachteiligt Genf (dpa) - Geringere Löhne, Iangere Arbeitszeiten und schlechtere Bildungschancen verhindern weitweit noch immer die Gleichberechtigung von Frauen im Beruf. Das ist das-Ergebnis einer Studie des Internationalen Arbeitsamtes (ILO), die in Genf vorgelegt wurde. ,,Immer mehr Frauen werden berufs- tätig, doch lassen sie meist nut das Heer der in Armut lebenden Berufstatigen anwachsen", meint die Autorin des Berichts, Lin Lean Urn. flenn die meisten aer Welt nun, sondern audi nahezu 65 Prozent derAnaiphabeten. Arbeiten seien unterbezahit, Un- produktiv und oft auch gefah-. lich. NORDBAYERISCHER KURIER "' SA 95448 BAYREUTH BA ObermainTagblatt Llthterie1serTa1att 96215 LCIfTEPFELS 06366 KOErHEN 31.07.96 SA Frauen erhalten weniger Geld Lbnnvergleich mit Männerfl WashingtOfl/ Noch irnuner er- halten Frauen weitweit für die gleiche geleistete Arbeit erheb]ich weniger Lohn als Münner. Zu diesem SchluI3 kon1mt elne Studie der Internatioflalen rbeitsorgafla tion der Uno (ILO). Frauen verdienten zwischen 50 und 80 Pro- zent des Lohns, den Manner erhielten, befand der Bericht ,,Mehr und bessere Jobs für Frauen". 30.07.96 diskriminiert.. TLO legt Studie vor Geriligere Löhiie, längere Ar- beitszeiten und scthlechtere Bildungschancen vethindern Gleichberechtigung SA Kothener Zethmg 6W weitweit noch imnier die MftleldeutscheZe!tUflg 06484 QUEDUNBUAG 71634 LU)W$GSBLJRG - Frauen werden Itte1deutscheZe1tUflg O6295EISLEBEN LUDWICSBtJRGER I(REISZEITUNG - BA -Sndie: Tin Beruf räuen diskriminjert GENF. Schlechte Lohne, langere Arbeitszeiten und kaum Bildungschan.. cenverhjnderijnoch iinmer die Gleichberechtigung von Frauen irn Beruf. So das Ergebuis einer Studie des Intenna-. von FrauenimBeruLDasistdas Ergebnis euner Studié des Intennationalen Arbeitsamtes (ILO), diejetztun.Genfvorge- legt wurde. ,,Imnier mehr Frauen werden berufstatig, doch lasen sie meist nut das Heer dot in Arunut lebenden Berufstatigen anwachsen", meunt die Autorin des Berichts, Liii Lean Urn. Denn die meisten Arbeiten seien unterbezahit, unproduktiv und oft auch gefährlich. Für die meisten Jobs aufler- haib der Landwirtschaft er- tionalen Arbeitsarntes (ILO), die in Genf vorgelegt wurde. ,,lrnrner mebr Frauen werden berufstatig, doch las- halten Frauen gerade drei lebenden Berufstatigen anwachsen", erklärt die Autorun des Berichts, Liii Lean tArn Auth in den Industriestanten lagen die Arbeitsiosenquoten für Frauen zwischen 50 und 100 Prozent in den reichen Industiiestaa- sen ale meist nut das Heer dot in Armut Uber jenender Manner. Nut sechs Prozent aller Positionen im Top-Manage.. ment seien von Frauen besetzt. in den hndustrjeländenn hätten Frauen jedoch irnrner bessere Chancen in techruschen Berufen und irn Verwaltungs... bereich. Viertel des Lohnes ihrer männlichen Kollegen. Selbst ten lägen die Arbeitsiosenquoten für Frauen zwischen 50 Und 100 Prozent über jenen der Manner. Ergattenn Frauen ehnen guteb Job, sto8en sie kaurn in die Spitsengruppe von. Nut sechs Prozent allen Positionen im Top-Management seien von Frauen besetzt, Land Lean Lim herauz. Deutsehiand bethtrfl1thc jLltcfft 35039 MARBURO HE 31.07.96 Frauen werden weitweft diskriminiert Neue Studie bringt Genf. Geringere Löbne, Iängere Ar. beitszelten un schlechtere Bildungs.. chancen verhindern noch ln'n'er die. Glelchberechtlgung :von Prauen fin Beruf. an den Tag: Weniger Lohñ und schlechtere Blidungschancen von unserer Agentur Das 1st das Ergebnis einer Studie des internationalen Arbeitsamtes, die in Genfvor. gelegt wurde. ,,Inuner mehr Frauen werden berufstatig, doch lassen ale meist nurdas Heer der in Armut lebenden Berufstätigen anwachsen", meint die Autorin des Be- richts, Liii Lean Lim. Denn die meisten Arbeiten seien Dennoch. verzeichne die Frauen. auch kleine Erfolge :1m .Kampf urn einen Platz im - .Arbeltsmarkt, vor aflem in den Industrielandern. in dle. sen Staaten, aber auch in Laund der Karibik, öffien sich den Frauen Immer mehr techniache Berufe und Beachiftigungen liii Verwal- tungsbereioh. ihe Chancen ergrelfen Frauen dort, wo sic gleiches :Geld für gleiche Ar- belt erhalten und Sozialgesetze belfen, Familie und Beruf in Binklang zu bringen. Noch werde die. Diskrirni- ñlerung von Frauen etwa durch ihre Kongentratjo atlf bestlnirite Berufe gef6rdeit,. steilt der Berlcht feet. So ieien 45 Prozent sUer Be- unterbezahit, unproduktjv und oft auch gefbhrlich. Für die meisten Jobs aufler- schftigten in den USA, Grolibritannien und Frankrejch in halten Frauen gerade drel miniert wUrden. in den Exportzonen der aufstrebenden haib der. Landwlrtschaft erViertel des Lobnes ihrer männlibhèn Kollegen. Dabel mache es kauin einen tinter- Obwàhl rauen in vielen Bereichen heutlgen Arbelts. schied, oh die .Arbeit in einem welt ,,ibren Mann stehen", haben aleder oft mit DIskrImInle. Industrieland oder in ehnem rungen zu klimpfen. -. . Foto: Uwe Brock Entwicklungsland verrichtet 1osenquotenfur FrAuen zwi-. Spitzengruppevor. -Nur secha werde. ,,Die Schere schiieSt schen 50 und -100- Prozent Prozent allér Positionen liii sich nicht", klagt die Studie. tiber -jenen der Manner. tr- TOp-Management selen von Selbst in den reichen hndu- gattern Frauen eunen guten . besetzt, fand Lean striestaaten Iagen die Arbeits- Job, stoi3en sie kaum in die Frauen lAm heraus. Berufen, die von einem Ge. schlecht bis zu 80 Prozent do- asiatischen Staaten würden Frauen ebenfails bis zu.T80 Prozent der Arbeitskräfte stellen. .Rund 70 Prozent aller Frauen, die sich in der Dominikanischen Republik mit Ge.legenheitsjobs das Notigste zum Oberleben verdienten, lägen unter grenze. (dpa) der Armuts- Deutschlafld rantfurIerllgemeine 0321 FRANKFURT HE 30.07.Bb Genfer Organisation mit immer geringerem Ansehen Zum Artikel von Nico 'PlIdhgèr 1ieharrlichkeit und Geduld" über den Zustand der Internationalen Arbeitsorganisa- tion (ILO) in Genf (F.A.Z. vom 4. Juli) scheinfrmir nach zwei Jahren Mitarbeit als Direktor der ILO-Abteilung ,,erufliche Bildung" einige zusãtzliche Bemerkungen wichtig. Natürlich 1st eine Organisati- on wie die ILO neben Weitbank oder Internationalem Wãhrungsfonds notwendig. Aber davon müBte sic, ausgehend von der Spitze, auch überzeugt scm, sie müBte wis- sen, wofür sic inhaitlich eigentlich steht. Der gegenwârtige Generaldirektor, der ehemalige belgische Arbeitsminister Michel Hansenne, und seine informell mitleitende Entourage bekommen aber leider nur immer Ieuchtende Augen, wenn jemand berichtet, die ILO sd bei irgendeiner Gelegenheit formal mit der Weitbank oder Internationalen Wãhrungsfonds dem (IWF) on equal footizg" behandelt worden. Von dem überzeugten Marktwirtschafticr Eucken stammt die Feststcllung: ,,Jeder Markt verzehrt Moral." Nach Auftrag und Geschichte ware die ILO im Zusammenspiel mit der Weithandelsorganisation (WTO) genau der Ort, die neuen globalen Aufgabenstellungen aus dieser Analyse konstruktiv zu begleiten und zu gestalten. Dazu müBte die Organisation aber zwei spezifische Gefahren für sink selbst thenia- tisieren könñen: Das über die letzten 77 Jahre entwickelte Regeiwerk verliert in der tradierten Form für die Lander, die sich von der Industrie- zur Informationsgesellschaft bewegen, mimer mehr an Relevanz, well deren neue Produktions- und Dienstleistungsmethoden, ihre Formen der Arbeitsorganisation und die daraus folgenden Arbeitsbeziehungen davon mimer weniger berührt werden. Und weil neben den von 1919 hochhalten und neue Instrumente cntwickeln, schãrfen und beThrdern, die den neuen Realitãten gerecht werden. Das Unterfangen ware natürlich ambitiös und schwierig, aber'das zum groBen Tell hochqualifizierte technische Personal irn Genfer Amt und im AuBendienst wartet nur auf einen solchen Auftrag, er würde als Durchbruch begriffen, die eigene Relevanz ii Konzert der anderen internationalen Organisationen beweisen zu können. Statt dessen wird dieses Personal von der Leitung und den zentralen ,,Dienstleistungs"Abteilungen an fast jeder inhaitlichen Initiative gehindert. Die zentralen ,,Dienstleistungs"-Abteilungen haben in Genfmehr als doppelt so viel Personal wie die technischen, potentiell produktiven Abteilungen. Well aber die Ergebenheit dieser Zentralabteilungen die Machtfülle des Generaldirektors am- macht, fmdet keine .sinnvolle, auf mehr Wirtschaftlichkeit gerichtete Reform der Ablauforganisation statt. Gespart werden müBte zwar, schlieBlich hat man im letzten Jahr über fünfzig Millionen Schweizer Franken Miese gemacht, wofür nicht nur BeitragsrückstAnde der Vereinigten Stan- ten verantwortlich waren. In die zwecks es muü etwas geschehen" flugs eingerichReform von innen" wurden aber nur Vertreter des teten Arbeitsgruppen für eine bereits existierenden ,,Küchenkabinetts" berufen, die für die Malaise schon mitverantwortlich waren. So hat die Weitbank gegenüber der ILO einen weiteren komparativen Vorteil: An deren Spitze ist seit einem Jahr em Mann mit Vision, Einfiihlungs- und Durchsetzungsverrnögen, der tatsächlich etwas mit Engagement, Leidenschaft und Einfallsreichtum verãndern will. Bei der ILO aber muB welter rãsoniert werden, weshaib die treten sind, diese aber potentielle ,,Insider" Zeitläufte nach der Interpretation der eigenen Leitung so sind, daB die Diskussionen urn die eigene Existenz mit ,,grenzenloser Geduld" ausgehalten werden sollen, statt vertreten, traut sich die ILO zwar dekiamatorisch, aber nicht praktisch an die zentrale Frage der beruflichen und sozialen Ausgrenzung in fast alien Lãndem heran. Die Antworten auf beide Problemkreise die existierenden Fähigkeiten des Arnts, für das die Mitgliedsstaaten viel Geld bezahlen, ganz selbstverstãndlich zur Existenzsicherung einzusetzen. Dr. Joachim Reichling, wären ja einfach: die Werte der Verfassung Frankfurt am Main Regierungen auch die ,,repräsentativen" Arbeitnehmer- und Arbeitgeberorganisationen in den Entscheidungsgremien ver- Deutscbland 66953 PIRMASENS HP ooee GlelchberechtigUflg noch nIcht In Sicht Lim: Frauen nach wie vorim Berufsleben benachteiligt Genf. Geringere Lbhne, Ianund Arbeitszeltefl gere schlechtere Ellldungschancen verhindern weitwelt ten lagen die ArbeltslosenquO- in den USA, GràIbrltannien ten für Frauen zwischen 50 und Vrankreich In Berufen, die und 100 Prozent uber jenen von einem Geschlecht bis zu der Manner. Ergattem Frauen 80 Prozent dominiert wUrden. den Exportzonen der aufnoch Immer die Gleichbe- etnen guten Job, stoflen sie In rechtigung von Frauen Im kaum in die Spitzengruppe strebenden asiatlschen Staavor. Nur sechs Prozent aller PD- ten wurden Frauen ebenfalls Beruf. sitionen im Top- Management bis zu 80 Prozent der AxbeitsDas 1st das Ergebnls elner selen von Frauen besetzt, fand kräfte stellen. Rund 70 Prozent aller Frauen, die sich in der Studie des Internationalen Ar- Lean Lim heraus. Republik Dennoch verzeichnen die beltsamtes (ILO), die gestem In Genf v5fgelegt wurde. Frauen auch kielne Erfolge Im ,,Immer mehr Frauen werden Kampf tim elnen Platz Im Arbexufstätlg, dock lassen sle beltsmarkt, vor allem In den meist nur das Heer der In 28 Industrleländern der Armut lebenden Berufstätlgen OECD. In diesen Staaten, aber anwachsen", ineint die Auto- auch in Latelnamerika und der rin des Berichts, Lin Lean Lim. Karibik; öffnen sick den Frau- Denn die meisten Arbeiten DominlkaniSChefl mit Gelegenheltsjobs das NOtigste zum Uberleben verdienten, lagen mit lhrem Elnkornmen unter der Armutsgrenze. In Deutschland,. Kanada und Australien arbelten Mannet und Frauen etwa die gleien immer mehr technlsche.Be- che Stundenzahl, steilt die rufe und Beschaftiguflgefl. Im ILO-Studie fest. Im .BU-Land Ihre Itallen abet wurden Frauen verwaltungsbereich. Chancen ergrelfen Frauen rund em Viertel langer arbeidort, wo sle gleiches Geld flit ten als Manner, in Osterreich seien unterbezahit, unproduktiv und oft auch gefahrlich.. Für die meisten jobs aulerhaib der.Landwirtichaft erhalten Frauen gerade drel Viertel gleichen Lohn erhalten und des Lohnes ihrer mannlichen Sozlalgesetze helfen, Familie Kollegen. Dabel mache es und Beruf in Elnidang zu bnnkaum einen Unterschied, ob gen. Noch werde die Disicrimidie Arbeit in einem Industrieland oder in elnem Entwick- nierung von Frauen etwa lungsland verrichtet werde. durch ihxe Konzentration auf Die Schere schlieflt sich bestimmte Berufe gefordert, nicht", klagt die Studie. Selbst stelit der Bericht fest. So seien In den reichen Industriestaa- 45 Prozent aller Beschäftigten zwOlf Prozent. Vor allem In Entwlcklungslaflderfl hatten Madchen zudem mit Diskriminierung im Bildungsbereich zu kampfen. Dabel trage elne gute Schulbildung nicht nut dazu bei, den Verdienst zu er- hohen, sondern auch die oft grollen Geburtenraten der armen Lander zu senken. (d3 DeutsChtafl d WESER KURIER WESER KURIER 28195 BREMEN 28195 fiREMEN &emerlageszelti,ç FIB WESER* KURIER W(ktme ZtgJJenthXurier 28195 BREMEN FIB FIB WESERe KURIER Deknenhorster Kijier 28195 BREMEN H8 30i7.96 ,,Frauen weitweit noch immer im .Nachteil" .1 ILO-Studie untersuchte Situation in Gent (dpa). GeringereLöhne. lângere Arbeitszeiten und schlechtere Bildungschancen verhindern weltweit noch immer die Gleichberechtigung von Frauen un Beruf. Das 1st das rgebms emer Studie des internationalen Arbejtsarntes.(ILO),. die heute in Gent vorgelegt wird. ,,Immer rnehr Frauen werden berufstAtig,.doch lessen .sie.rneist nur das Heer der in Armut lebenden Berufstatigen anwàchsen. meint die Autorin des Berichts, Lin Lean Urn. Die meisten dieser Arbeiten selen nãrnlich unterbzahlt, unproduktiv und oft audi gefährlich. der Arbeitswelt bik, ôffnen sich den Frauen immer mehr .technische Berufe und Arbeit irn Verwaltungsbereich. Ibre Chancen ergreifen Frauen dort, wo sie gleiches Geld für gleichen Lohn erhalten und Sozialgesetze helfen, Fa.milie uñd Beruf in Einklang zubringen. Noch werde die Diskriminierung von Frauen etwadurch ibre Konzentratiofl ant bestimmte Berufe gefordert, steilt der Bericht test. So seien 45 Prozent aller Beschäf- tigten in den liSA, GroBbntannien und Frankreich in Berufen, die von elnem Geschlecht bis zu 80 Prozent dominiert würFür die meisten Jobs aul3erhalb der Land- den. In den Exportzonen der aufstrebenden wirtschaft erhalten Frauen gerade drei Vier- asiatischen Staaten würden Frauen ebentel des Lohnes ihrer inünnlichen Kollegen. falls bis zu 80 Prozent der Arbeitskräfte stelDabei mache es kaurn emen Unterschied, len. Rund 70 Prozent aller Frauen, die sich ob die Arbeit in elnem Industrieland oder in In der Dominikanischen Republikmit Geleelnem Entwicklungsland verrichtet werde. genheitsjobs des Nötigste zurn .iJberleben Die Schere schlieSt sich nicht, klagt die verdienten, Iàgen mit ihrem Einkomrnen tinter der Armutsgrenze. Studie. In Deutschland, Kanada mid Australien Selbst in den reichen lndustriestaaten Iagen die Arbeitslosenquoten für Franen zwi- arbeiten MAnner und Frauen etwa die gleischen 50 und 100 Prozent über jenen der die Stundenzahl, stelit die ILO-Studie test. Manner. Ergattern Franen einen guten Job, Im EU-Land Italien aber würden Frauen stoflen sie kaurn in die Spitzengruppe vor. rund em Viertel lAnger arbeiten als Manner, Nur sechs Prozent aller Positionen im Top- in Osterreich zwölf Prozent. Vor allem in Management seien von Frauen besétzt, EntwicklungslAndern hAtten MAdchen zudem mit 'Diskriminierung urn Bildungsfand Lean Lim heraus. Dennoch verzeichnen die Franen audi bereich zu kAmpfen. Dabei trage eine gute kleine Erfolge un Karnpf urn elnen Platz auf Schulbildung nicht nur dazu bei, den Verdem Arbeitsmarkt, vor allem in den 28 Indu- dienst spürbar zu erhöben, sondern auch strielän.dern der OECD. In diesen Staaten, die oft hohen Geburtenraten der armen (aber audi in Lateinarnerika und der Karl- Lander zu senken. Deutschland Frauen werden weitweit diskriminiert einen Untexschied, ob die Albeit in einem Industrieland oder in einem EntwicklUIlgSla1ld verrichtet werde. Selbst in den reichen Industriestaatefl lagen die Axbeitslosenquoten für Frauen zwiscben 50 und 100 Prozent über jenen dér ArStudie des Internationalen aller beitsarnteS (ILO), die in Genf vor- Manner. Nur sechs Prozent mi Top.Managemeflt Positionen gelegt wurde. fand ,Immer rnehr Frauen werden seien von Frauen besetzt, berufstAtig, doch lessen sie meist Lean Urn heraus. In Deutschlalid, Kanada und nur das Heer der in Armut lebenAustralien Manner und den Berufstãtigen anwachsefl", Frauen etwaarbeiten Stundendie gleiche Lin meint die Autorin des Berichts1 zahi, stelit die ILO-Studie fest. Lean Len. Dabei mache es kaum Genf (dpa) Geringere Lobne, Iangere Axbeitszeitefl und scblechtere verbindern BildungSChanCen weitweit noch imnier die GleichberechtigUflg von Frauen im Beruf. Das 1st das Ergebnis einer OSTSEE , 1I. ZEITUNG OSTSEE ' i ZEITUNG R0inirZithiig 16526 BERGEN 19055 ROSTOCK OSTSEE r1j ZEITUNG MV 17490 GREFSWALD - OSTSEFITUNG (Einsne1 bftung 16507 GRIMMEN MV MV MV OSTSEITUNG Flxitz-Danigaiteiw Ztp. B OSTSEiITUNG UPsine-ZIlttE9 17439 WOLGASI OSTSEZITUNG OSTSEE MV ZEITUNG cevesmMinet Ztg. 23939 GREVESMUEtI.EN MV 16439 STRALSUM) MV OSTSEWITUNG OSTSEE ' i ZEITUNG 16209 MD DOBERAN 23965 WISMAR Bad Doberanef Z&tung MV MV 39.076 Deutschland UN: Frauen bei Entlohnung immer noch kraB benachteiligt WSfflNGTON' (ap). Noch iinmer erhalten weitweit Frauen für .die .gleiche geleistete Arbeit weniger Lohn als Manner. !". diesem Schiufi kam die Internationale Abitsoganisation (ILO) tier UN des Männerlohns.. Die Autorm der Studie, die Malaysierin Liii Lean Lixn, kritisierte, daB keune nennenswerten Fortschritte erzielt worden seien seit 124 Regierungen im Jahr 1951 eine Vereinbarung fiber gleiche Löhne für gleiche Arbeit unterzeichnet batten. Der in ciner in Washington verüffentlithtezi Studie. Frauen .erhielten nur zwischen 50 und 80 Prozent ILO gehören 179 Staaten an. RHEINISCHE POST RHEINISCHE POST JJSCHE POST 41747 VIERSEN 51379 LEVERKUSEN 48483 WESEL bW&-Zetwg Greniiend KLlIerVIe($en NW RHEINISCHE POST Ausgabe DUattig 47051 DLJDURG NW RHEINISCHE POST Bi,nttsr Tugebett NW RHEINJSCHE POST Medeitirsche Zsltung 40549 DUESSELDORF NW NW J1SCHE POST 47533 KLEVE NW PHEINISCHE POST Saflnarr lflorpnpoft 41061 MOENCHEPWDMCH NW 42651 SOLINGEN e±echir Ztg. FVieydter Ztg 40212 DUESSELDOAF NW RHEINISCHE P051' RHEINISCHE POST NW l3nuwdje lflorenpoft KR 47441 MOERS NW 4779BKREFELD PHEINISCHE POST KR40( 47906 KEMPEN NW NW 42897 REMSCHEC-LENNEP NW RHEINISCHE POST Hldensrztg. IUnvAnz4 Rheñche Post Ausg. NE.GV 40549 DUESSELDOAF 41464 NEUSS NW NW 31.0716 RHEINISCHE POST 40549 DUESSELDORF NW EIN1SCHE POST 47608 GELDERN P1W Deutschlafld 2ltbciter 9ndjv1rIjti 2lthciter 9adjvtrIjtefl OsthciS(k1 Stonnsmei NithIcMin 23701 EUTIN SH 23843 DAD OLDE&.OE 2Ubeier ndjrtrIjtcn ndjttdten fttbciter a Sit Ausg.D.d Schwartau 23906 GREVESMUEtLEN 20611 MDSCHWARTAU SH 23758 OLDENBURG bestandig wãchst. Sie arbeite- Mäfiner, erhielten aber im SH / Durchschnitt 25 Prozent weniger Lohn. litbeiter 9ndjvMjten Ubcitcr tIndjrtrIten (ILO) nur sechs Prozent aller leitenden Positionen, obwohl ihr Anteil am Arbeitsmarkt ten zwischen zwei und zehn Stunden pro Woche mehr als Osthobtein Nord SH 23556 LUEBECK GENF - Weitweit besetzen Arbeitsorganisation tUtbeder tlZadjrtd)tcn ndvtdjten SUbetter ssnmaIsn Karriereleiter bleibt Franen versperrt Frauen laut Internationaler Meckletixg.NachdCMIfl SH / Segebeiger NactilcMen Lauetig.NathrichtIfl 20795 MD SEGEBERO SN SH 23819 MOELLN 30.07.96 ),JJ 17815 SUEPL hIuot 8W "tudie: Frauen sind im BADISCHE NEUEBTE NACHRICHT!N 8W 78149 KA.8RUHE DADISCHE NEUESTE NACHRICHTEN 8W 76602 BRUCHSAL I EIfIJ NEUESTE NACHRICMTEN III 76530 BADEN-BADEN 8W 06.07.98 Beruf benachteiligt Genf (dpa). Geringere Löhne, lãngere Arbeitszeiten und schlechtere Bildungschancen verhindern weitweit noch immer die Gleichberechtigung von auen im Beruf. Das 1st das Ergebnis elner Studie des Internationalen Arbeitsamtes (ILO), die heute in Genf vorge- legt wurde. - ,,Immer mehr Frauen werden berufstatig, doch lassen sie meist nur das Heer der in Armut lebenden Berufstatigen anwachsen4, meint die Autorin des Berichts, Lin Lean Lim. Denn die meisten Arbeiten seien unterbezahit, unproduktiv und oft auch gefabrlich. Selbst in den reichen Industriestaaten lagen die Arbeitslosenquoten für Frauen zwischen 50 und 100 Prozent über jenen der Manner. Deutschland Hanñxger Morgeost 22763 HAMBURG HH lie! Arbelfurdië Fraueo -aber weolger Geld Weitweite Studie Manner werden Uberall besser beza hit.' Weibliche BiiIig-Arbeitskräfte ermöglichen Asiens Boom Gent - Gleiche Löhne für- gleiche Arbeit - schon 1951 ver- pflichtetensich l24RegierungenauhflesenGrundsatz.Dieaktuelleñ Zahien, die dieInterñafiona1eArbeitoiganisafion(ILO) derUN gestern vorlegte, machen hingegen deutlich, daB dieses Papier lediglich einer Absichtserklärunggleithkommt: Noch -immerverdienenFraueninveigleichbarenlobsgerademaldrei Viertel dessen, was ihremnnnlichen Kollegen bekommen. Em MiBverhItnis,-an dem sich so Liii Lean Lim,Autorin der Studie ,,Mehr und bessere Jobs für 1auenu, un abseh- zumBoomverhalfen-siestellen rund 80 Prozent der ArbeitskrafteimExportbereicbin den entwickeltenLändemarbeiten dagegen 60 Prozent derauen Der 25-Prozent-Bonus für. imService-Bereich,undenLãnManner gUt dabei weitweit - den der OECD, den 25 hndubarer Zeit nichts ändennwird". wenngleich aus unterschiedlichenGrftndenJndenEntwickIungslandenn, allen voran Südund Sudostasien, sind es vor- striestaaten angehoren, besetzen sie zwischen 65 und90 Pro- zentder1ilzeitjobs. Aus den Tefizeitarbeit mid rangig die Frauen,.die durch - . den niednigen Bezugen erklãrt iedrige Lohne der Industrie sichauchderEinstellungsboom von Frauen in den 8Oern. So stiegdieZalilderberufstatigen auen in den OECD-Ländern zwischenl98Ound 1990 doppelt sostäkwiediederManner-un den EU waren in dieseni ZeitraumsiebenvonaclitMilhionen neueingestelltenArbeitskraften uen.Dochnurdiewethgsten tandenden.Wegundiehochdotierten Jobs derChefetagen Dortsitzenweltweitwenigera]s sechsPrbzent auen. EinenerheblichenAnteilhabenFauendagegenamBereich nichtbeiablter Arbeit. Bis zu zehnStundenmehr als Manner leisten sie wochentlich in den ndustrie1ndennzusätzlichab, indenEntwicklungslandernsomdi gar 31 bis 42 Stunden. Deutsch land PER lACES SPIEGEL ,lbeKdze//Jrns/ 8th-Butt" 90403 NUERNBEAG 31.07.96 10185 BERJN B BA 'Fmuen werden nach wie vor sdilechter bezahit Frauen werden Uherall betrogen Secls frozent in Fuhrungspositionen Gni Gtriiigere L.öhne, langere Arbeitszeiten.und .schlechtere Bildungschancen verhindern weitweit noch irnmer die Gleichberechligung von Frauen ixii Berüf, so das Ergebnis elner Studie des internationalen Arbeitsamtes (ILO). Für die melsten Jobs auBerhaib der Landwirtschaft erhalten Fauen etwa drel Viertel des Lohnes threr münnlichen Koliegen. Dabei GENF (èpd). Weitweit besetzen Fmuen nach Angaben der Intemationalen Arbeitsorganisation (1W) nur sechs Prozent alter leitenden Posiflnen, obwohl ihr Anteil am Arbeitsmarkt bestandig wächst. Sie arbeite- ten zwischen zwei und zehn Stunden pro Woche mehr als Manner, erhielten aber da- für im Durchschnitt 25 Prozent weniger Lohn, heiSt es welter in einer jet in Genf veroffentlichten ILO-Studie. Zwar gebe es mache es kaum einen Unter- immer mehr Frauen, die auch in tiuBitionel- schied, ob man in einem Industrie- oder in elnem Entwicklungsland arbeite. Selbst in den len Mannerberufen arbeiteten. Dies beschränke sich aber auf schlecht bezahite Be- es bel Frauen zwischen 50 mid 100 dzent mehr ohne Job a1 bei Mönnern. 42 Stunden in der Woche für unbezahite Haus- und Feldarbeit aufwenden. Manner reichen Indusiesthateflgébe .... reiche. Vor allem in den armen Ländern muilten Frauen zusätzlich zwischen 31 und seien nur flinfbis 15 Stunden in der Woche mit unbezahiter Arbeit beschaftigt Gleich- zeitig wurden Frauen eher entlassen als Manner. Besonders in industrialisierten Lam- der sel die Arbeitsiosenquote oft doppelt so hoch, heiSt es in der Studie. 31.07.96 10969 BERLIN B 30.07.96 80331 MUENCHEN Frauen: Immernoch kein gleicher Lohn Genf - Frauen arbeiten ein.viel groBeres Risiko, gezwar weitweit mehr als die feuert zu werden. Ihre Herren der Schopfung, er- Chancen auf FUhrungspohalten aber für die gleiche sitionen sind scblechtet durchschnitffich Fazit des ILO-Berichts: Die Arbeit immer noch 25 Prozent we- groBe Mehrheit der arbeiniger Lohn a]s die Männen tenden Frauen gehort zu Das geht aus einer gestern den arbeitenden Armen. prasentierten Stuclie der Sogar in den USA betrligt Internationalen Arbeitsor- der Lohn von Frauen un ganisation. (0) hervor. Durchschnitt 68 bin 70 ProAuBerdem Fren. haben zent des Mämer-Lohns. BA 'Frtwen weitwelt miflachtet ñ?-i..4eringere Löhne, lüngere Arbeitszejten und schlechtere Bildungschancen verhin- dern weltwejt noch jiiimer die Gleichberechtjgung von Frauen im Be- ru!, so dna Ergebnis einer Studie des Internationalen Arbeitsamtes (1W). Für die meisten Jobs aullerhalb der Landwirfseh erhalten Frauen etwa drel Viertel des Lohnes ihrer mann- lichen Kollegen. Dabei mache es kaum einen Unterschied, ob man in élnem Industrie- oder in éinem Entwicklungs- land arbeite. Selbst in den reichen Industrie- staaten gebe es bei Frauen zwischen 50 und 100 Prozent mehr ohne Jo1 ala bei Münnern. Deutschland ener1-BsUeI9tr 72764 REIJILINGEN BW 33D76 werden weltiveit diskriminiert. :Fiauen Studie des Internationalen Arbeitsamtes vorgélegt _ Im Beruf gibt es keine Gleichberecbtigung Genf. (dpa) Geringere Löhne, lãngere rbeitszeiten und achlechtere Bildung- thnncen verhindern weitweit noch burner ie Gleichberec$igung von Frauen mi Beif Ds 1st das Ergebnis einer Studie des nternationalen Arbeitsamtes (ILO), die am *Jrnmer 'enstag in Genf vorgelegt hv Frauen werden berufstàtig, doch lasn ste meist nur des Heer der in Axrnut - ebenden Beru.fstAtigen anwaclisenic, meint ie Autorin des Berichts, Un Lean Urn. -in die meisten Arbeiten selen unterbehIt, unprdduktiv und oft auchgefäbrlich. Für die meisten Jobs auflerhaib der Land- rtschaft erhalten Frauen gerade drei Tjertel des Lobnes ihrer m5nnlichen Kolle- en. Dabei mache es kaum elnen Unter chied, ob die Arbeit in elnem IndustrieFoto: prs mid oder in einem EntwicklunIBnd " Wettwett kein Untersched: IriChefetagen gehorenFraUefl zur Minderheit chtet werde. *Die Schere schlieSt sich in des Domini1nniSChefl Republik mit icht'c, klagt die Studie. fen Frauen dort, wo ale gléiches Geld für sich Gelegenheitsiobs dos NOtigste zum ber1eSelbst in den reichen Tndustriestaateil gleichen Lohn erhalten und Sozia]gesetze 1en die Arbeitsiosenquoten für.Frauen zwi- helfen, Faniilie und Beruf in Einkbrng zu ben verdienten, lagen mit ihrem Einkom- rhen 50 und 100 Prozent 1ber jenen des brg nner. Ergattern Frauen einen guten Job, 8en ste kaum in die Spitzengruppe vOr. sechs Prozent alTer Positionen im Top- - men tinter des Armutsgrenze. In Deutschland, Kanada und Australien arbelten Manner und Frauen etwa die gleicite Stunden7hl, steilt die ILO-Studie est. Tm EU-Land Italien aber wOrden Frauen Noch werde die Diskrlininierung VOfl tanagement seien von Frauen besetzt, Frauen etwa durch ilire Konzentration auf bestimmte Berufe gefordert, steilt des e- rund em Viertel langer arbeiten als Mannd Lean Urn heraus. feat. So seien45.Prozent alTer BeschM- ner, in Osterreich zwolf Prozent. Vor allern Dennoch vezzeichnen die Frauen auch rlcht Entwickhmgslandern batten Mãdchen tigten in den. USA, GroBbritaiinien und Platz tin -eine Erfolge urn Kampf urn elnen zudem mit Diskrimlnierung imBildungsbeFrankreich in Berufen, die von elnem Geden 28 Indu rbeitsrnarkt, vor allem in zu kampfen. Dabei trage eine gute e1ündem des OECD. In diesen Staaten schlecht bis zu 80 Prozent doninuert wUr- reich Schulbildung nicht nur dazu bei, den Ver-ber audi in Lateinamerika und des Karl- den. In den Exportzonen des aufstrebenden dienst spOrbar zu erhöhen, sondern audi asiatischen Staaten wurden Frauen ebenrnehr 1k, Offnen sich den Frauen mimer i'cbnische Berufe und BeschaftigUflgen tin falls bis zu 80 Prozent des Arbeitskräfte die oft groBen Geburtenraten des armen 7erwaltungsbereich. Thre Chancen ergrei- stellen. Rund 70 Prozent alTer Frauen, die Lander zu senken. T España E[PAIS. BARCELONA 30 JUL.1996 P Las mujeres trabajan más hOras quelos hombres y percibe un 25% menos de salario,. segün denuncia la OTT - ANAFERNANDEZ, Ginebra Apesardequeel45%deiasmuje- causas principales de la pobreza y de Ia mala calidãd del empieo fe- ies entre 15y 64 afios son econó- menino.Yloqueespeor.lasdifemicamente activas, trabajan más -rencias no disminuyen. Michel boras que los hombres y perciben Hansenne, director general de la un 25% menos de salario por el Orrsentencia: ''La iguáldad de anismo trabajo, segán ci informe oportunidades ye! trato en ci em-. Másy inejores trabajospara hi mu- pico para la mujer estãn lejos de jer-Unaguladeaccion, delaOfici- conseguirse en ci mundo". na Iijternacional del Trabajo Entre las formas más maiiifies(Ow), publicado ayer. El docu- tas de discriininación -por sexo to, que es un seguiniiento de destacan los diferentes estOndares Conferencia de Pekin sobre la de contratación y promoción,, la inujer, y de Ia Cumbre de Ia Po- desigualdad en ci acceso a la forbreza de Copenliague de. 1995, macion y capacitaciOn permanenpone de relieve Ia discriminación te; acceso a los créditos y a otros enlaeducaciónqueesunadelas recursos produclivos; Ia diferencia de retiibución per ci mismo trabaJo; Ia segregación ocupacioflal y, Ia que en ci Tercer mundo las; jeres trabajan hasta 10 horas Ia desiguai participaciOii en la quc los bombres y entre 31 y horas de su trabajo no percibe muneración alguna, frente a toma de decisiones. Menos del 6% de los puestos directivos en ci mundo están ocupados per mujeres. Pero ci mejor resumen de esta discriminaciOn es que ci 70% de los pobres y el.65% de los anlfabetos son mujeres. Segén ci informe, la segregadOn ocupacional continua siendo ntáximo de 15 horas en ci case los hombres. alta en todas las regiones del mando, independientemente de los iiiveles de desarro]lo. guen ofreciendo formaciOn "f: nina" estereotipada, que unvit las jóvenes a convertirse en m nógrafas, enfermeras, costur camareras. En ci capitulo interminable de discriminaciones; ci informe sefia- La discriminación empi pronto, afirma ci informe. Se monte a las silfr'c y ala escuela. cluso cuando hay una oferta cativa, muchas instituciones :pIjl.j. GERONA Fecha. 30-JUL.1996 Les donés treballenfins a deu hores més a 1 setmana que-els. homes perè guanyen menys EFE N Ginebra. Les dones treballen fins a deu bores més a Ia selmana que els homes perô els seus salaris son entre un 50 i un 80% més baixos, segons revela l'informe presentat ahir a Ginebra per i'Organització Internacional del Terball (O1T) Ma I millor #eball per a ks dones. Aquesta discriminaciO salarial anys sOn econàmicanient actives actualment Segons L'OlT, aquest fenomen augmenta a ffiesura que Ia dona s'incorpora al mercat Iabond, la qual cosa ha fet dc manera significativa en les darreres decades. Ai4, ms del 50% de la poblaciO femenina dIs palsos industrialitzats té an treball assalariat,-proporciO que favunt anys era a Europa occidental del 37% Les dones sOn tambO les més afectades per la desocupaciO, que en aiguns palsos industrialitzats Os un 50 per cent superior a la dels homes. 4(Tot I els avancos que s'han experimentat I de tots els Liii Lire, 4cres indica per aia aquesta diferCncia s'estigui discursos politics, la realitat és que duunt*, realitat que es fa exte- les áctivitats econOmiques de les dones continuen concentrades en modalitats de treball escassament remunerat de baixa productivitat a altres sectors econOmics i pendentment del nivell de de volupament del pals en qü Segons Lire, aquestes dife cies salarials es nodreixen r discrIminaciO de què Os obj Ia dona des de Ia unfància, a cola, on en alguns paisos afri és del 25% en els paisos indus- trialitzats, segons l'OIT, que i ais EUA del 30%. Es calcula, a ntás, que set dels vuit milions I duna gran precarietat*, afirma I'autora de l'unforme, Liii Lim. compta les vIctimes d'aquesta de- de persones que es van uncoiporar sigualtat per milions, ja que ci 45% de totes les dones d'edats compreses entre els 15 i els 64 a! mOn del treball a Europa occidental entre ci 1980 i ci 1990 Un dels sectors economics amb mOs grans diferències entre temps Ireballat, salari isexe,Os l'agrIcola, eren dones. reben de mitjana remunera que corresponen a tres qu parts del salari que reben els mes per la mateixa feina. Se on ci gros de les treballadores ci tent per cent d'esco!ari femenina no ha arribat miii a! - Espafla Espafla :i i11Iu!iiIIIIu;I I ). Q_ -, Q4 S u bn.0 t) 'S : I 1g ,. = C >. ç ci) . = . b . ih-' .8I, 'fl ro ' ' '. "S U) L .*E. : O S.D 0) U N - ", - g. wS, ' W ..'Jifli ::L'2 Q8 -. E '88 2 ifl -.U1 U:. 8 S.i U . GI Q) D . ci) 2 U Espafla aOMUNDO MADR Fecha 30 JUL 1996 aS müjeres träbäjäñ rnás y ganafl rnenos que los hombres .1 Diez horas más a la semana,segün uninformede lä Organización -. Jnternacionaid1 Trabajo que en algutios palses industria-. lizados es un 50% superior al de INEBRA.Las mujeres trabajan Los varones. A pesar. de Los Lian experirnenasta diez horasmása Ia semana .avances que ue Los hombres. Sin embargo tadoy de todos los discursospoll-us salarios no son iguales:,exac- ticos in realidad es que las.actiamente entre un .5O..y un 80%. vidades cconómicas do las muje- MUNDO is bajos. Lo dice ci Informe - fás y mejores trabajospara Las :uieres" presentado ayer. por la rganización Internacional del rabajo (Om, segün infonn fecom. rés siguen concentradas en modalidacles de empico escasamente remuneradas, de baja pro- ductividad y de gran precariedad*, afirma .la atora- dci informe, Lin Urn. Esta discriminación salanal es el 25% en los palses industria- scoGmcoi.A.- Uiossecizados, que çuenta Las victimas tores ccondmicos con niayorcs e era desigualdad por mfflone diferdncias entre .tiempo. trabajaa que ci 45% de todas Las muje- do, salario y sexo, es ci agricola.. es con edades entre los 15 y 64. En 61, la mayor parte de las tra ños son econdmicamente acti- bajadoras perciben :en promedio, 'as en La actualidâd en eLmundo. remuneraciones que correpon- gtin 1a O1T, este fenómeno umenta a medida que La mujer incorpora a! mercado laboral, o que ha hecho de forma crcentc en las tSltimas d6cadas. sI;rns del 50% de Ia población emenina de Los palses industriaizados tiene un trabajo asaIaria den a tres cuartos dcI' saLario pagado a los hombres por ci mis- mo trabajo. Segdn Iim, .-Knada indica por ahora que esa dife- rencia se este reduciendow, rca- lidad que es extensiva a otros sectores económicos indepen- COVER Doe mujerss trabajando en Un qufrófano, en una Imagen do archivo dientem'nte del niveL de Ia Off, Michel Hansenne, opine '0, proporción que hace veinte desarrollo del pals en cuestión. que *La igualdad de oportunidaños era en Europa occidental En su opinion, esas diferencias des y de tratro para las mujeres 'ci -37% y del 30% en EEUU. salariales se nutren de La discri- en ci einpleo sigte siendo una calcula además que siete de minaciOn que sufre La mujer des- .meta que hay que esforzarse por os ocho millones de personas de Ia infancia y a partir de La alcanzar en todo ci mundo*. 4cEn España las mujeres 'c se incorporaron al mundo propia escuela, por La que nunca cobran de media un 30% menos pisaron más dcl 90% de las rnñas 't'1 trabajo en Europa occidental .n ci perlodo 1980-1990, eran de muchas naciones africanas y que ci salario de Los hombres, en un mismo trabajow, afirma asiIticas. '. ujeres. No es de extrañar qüe con este Soledad Ruin Seguin, responsaLas mujeres .son también las panorama ci propio director de ble dcl Departamento de La s afcctadas pqr ci desempleo, . - Mujer de UGT. Además, ci saLa- rio inedio femenino en comparaciOn con ci masculiho en Los paIses de la UniOn Europea es: En .Espafia y eL Reino Unido, 70%; en Luxemburgo, 65%; en Irlanda, 69%; eLi BéLgica, 75%, en ALemania y Portugal, 76%; en Finiandia y PaIses Bajos,77%; Grecia y Austria,, 78%; Italia, 80%; Francia, 81%; Dinamarca, 83% y Suecia, 89%.. Espafla EL Du DEL l'alma tk .1,IIII}rt.' Fa 30 JUL.1996 Las mujeres trabajan más y ganan menos que los hombres Diez horas más a Ia semana, segün un informe de Ia Organización Internacional del Trabajo / ELMUNDO hasta diez horas mis a Ia semana quc en algunos pulses industrializados es Un 50'4 superior ai de los varones. A pesar de los avances que se han experimcn- que los hombres. Sin embargo tado y de todos los discursos poli- sus salarios no son iguales: cane- ticos. In realidad es que las actividades cconómicas de las muje- GINEI3RALas mujeres trahajan tamenic entre Un 50 y un 80% mis hajos. La dice ci informe rca siguen concentradas en "Mis y mejores trabajos para las mujeres" presentado aycr por Ia modalidades de empieo escasamente remuneradas. de baja pro- Organizaciin lnternacional dcl Trabajo (OIT). segun informa ductividad y de gran precaricdad'. afirma Ia autora dcl infor- Efecom. me, Lin Lim. Esta discriminaciin salarial es del 25C/r en los paises industrializados. que cuenla las victimas de esa desigualdad por millones. ya que ci 45% de todas las muje. rca con edadcs entre los 15 y 64 años son cconómicamente acti- Segun Ia OIT. este fenimeno den a tres cuarlos del salarlo aumenta a medida quc Ia mujer se incorpora al mercado laboral. pagado a los hombTes par el mismo trabajo. Scgin Urn. nada Ia que ha hecho de forma crcciente en las iltimas dicadas. indica par ahora que esa dife- Sc caicula ademis que siete de los ocho miliones de personas que se incorporaron al mundo del trabajo en Europa occidental en el periodo 1980-19')O. eran mujeres. Las mujeres son tambiën las mis afectadas par ci desempleo. w S. tores econimicos con mayores vas en Ia actualidad en ci mundo. dci 37% y del 30% en EEUU. a. sroftAGIcou. Unodelossecdiferencias entrc tiempo trabajado. salario y sexo. cs ci agricoia. En dl. Ia mayor parte de las trabajadoras percibcn en promedio. rcmuncraciones que correspon- Mi. mis dci 50% de Ia pobiación femenina de los paiscs industrializados tiene un irabajo asalaria. do. proporción que hace veinte años era en Europa occidental , rcncia se este rcduciendo*. rca- lidad quc es extensiva a otros sectores econdmicos indepen- dientemente dcl nivel de desarrolio dci pals en cuestión. En su opinion. esas diferencias salariales sc nutren de Ia discriminaciOn que sufrc Ia mujer des- de Ia infancia a partir de Ia propia escucla. par Ia que nunca pisaron mis dci 90% dc las niias de muchas naciones africanas v asiiticas. No es dc cxtrañar que con este panorama ci propio director de lmag.n di arclilvo di una muj.r tiabajando Ia Oil'. Michel Hansenne. opine que "Ia iguaidad de oportunidades y de tratro para las mujeres en el empieo sigue siendo una Mujer de UGT. Ademis, ci asiario mcdio fcmenino en comparaciOn con ci mascuilno en los paiscs de Ia Union Europea Cs: meta que hay que esforzarse par alcanzar en todo ci mundo. En Espana y ci Reino Unido. "En Espana las mujeres 70%; en Luxemburgo. 65%: en Irlanda. 69%; en Edigica, 75%. cobran de media un 30% menos en Alemania y Portugal. 76%; en que ci salario de los hombres. en un mismo trabajo*. atlrma Finlandia y Paises Bajos77%: Soledad Ruiz Seguin, rcsponsa. 80%; Francia. 81%; Dinamarca. bIn dci Departamento de Ia Orccia y Austria. 78%; ftaiia, 83% y Suecia. 89%. Espafla LA RIOJA LOGROo 30 JUL.1996 Las mujeres tmbajan más qUe los hPn*es y cobrãn tin 25%r.éAós Segthi la OlTthda vez hay máifrabajadoras, peroengroTan la nómica de kis emplëadospobres COLPISA. GINEBRA : Las nnieres trabajan mäs horas que sus colegczs masculinos yen canthio sits ietnl,ucjones son, enttnninos niedios, un 25% inferio-.. res en Cl mundo. No obstante, las'trabajadoras son nids numerosas actualmente en profesiones tradiciônahnente dominadas por los hombn segán informa la Orgw iEaciónintemixjo, del Trabajo. TMCada vez hay más mujerés que ties cüartas partés lel salarià de un trabajan, pew Ia gran mayoria de iombre por el mismotrabajo, exellas se suma a las filas de los tra- duida de Ia agricultura. Esta desibajadores pobre", escribe Un Urn, guàldad es vâlida tanto para los autora de un Informe que seth cia- pafses Industrializados como en vido a conocer miflana por Ia agen- as de desarrollo, diferenda que no cia de las Nadones unidas espedadlsmlnuye. Las princijiales victilizada en cuestiones laborales y mas de Ia xecesión de lo años 90,. sociales, la OIl. "La mayorIa de las mujeres desocupadas, son enellas ocupan empleos precarlos, tie un SOy tin 100% más ma! remunerados y de débil.pro- .. sas que los hombres numeroen muchos ductividad", aflade. Las mujeres representan el.70% de los pobres en el mundo y el pulses industhalizados. Las mujeres sôloocupan el 6% de los cargos de altos ejecutivos end mundo. En America del Nor- 6S% de los mil 'nhlonesde iletrados, segün el informe "Más y mete Europa y Japon; el doble de jor pam el empleo de las mujeres, mujeres que de hombres paso a una gula pam Ia acción". EL estu- formar de Ia pobladOn activa endio, de casi 200 páginas, es tin do- tie l980y 1990. Mientras tanto, cumento de seguimiento de Ia enel Sudeste y el Este de Asia, las conferencia mundial de las muje- niujeres répresentan hasta el 80% res organizada el aflo pasado en de las personas empleadas en las PekIn y de la cumbre social de Copenhague de 1995. Más del 45% de las mujeres en el mundo, cuyas edades &scilan entre los IS y los 64 anos; traba. jan: representan actualmente más de Ia mitad de Ia pc$blaciOn activa industrias explotadoras. El estudio de Ia OIl apreda, sin embargo, algunos.progresos, sobre todo en los pulses industrializados. AsI, existe una neta tendencia a una mayor representaciOn de las mujeres en cargos cualificados: dien los palses industrializados, recdOn, ejecutivos, técnicos, admifrente al 37% en Europa occidental y el 30% en Estados Unidos hace 20 aflos, segün el BIT. El Informe destaca que mayoria de las mu- jeres solo ganan de prornedlo las mstradón, y algunas ilegan inclu- so a la cumbre de Ia jerarquIa. En Estados Unidos, ha aumentado el nümero 'de mujeres que crean empresas. España LA CRONICA AUERIA 30 JUL:!996 Se calcula adeinás que siete de los ocho milbones de perso- nas que so incorporaron al mundo del trabajo en Europa occidental en ci perfodo 1980- Las mujéres 1990 eran mujeiies. Las mujeres son tambiCn trabajan mds ganan menos -. las más afectadas por ci desempleo, que en algunos palses industrializados es un 50% superior a! de los varo- .que los hombres nes. "A pesar de los avances que se han experirnentado y de todos los discursos politicos, Ia malidad es que las actividades EFE .GINEBRA, económjcas de las mujeres Las mujeis tiabajan hasta diez horas más a Ia semana que.los hombies pert, sus salarios son siguen concentrada en moth- bajos, segiin ci infonne "Más y. mejoics Irabajos para las mujeres" piesentado ayer lunes por Ia Organizacion Internacional del Trabajo (O11). anna Ia autora del informe, iâflhiflL lidades de empleo escasamente lemuneradas, de baja producti- vidad y de gran precariedad", enu un 50% y un 80% más Uno de los sectotes econó- Esta dismcjónjal esdel25%enlospafses.jn trializados, indica la Orr, que cuenta las vlctimàs de esa desi- gualdad por millones,ya.que ci 45% de todas las mujeres con odades entre los 15 y 64 micos con mayores difezencias entie tiempo. trabajado, salaiio y sexo, es ci agricola, donde Ia mayor pane de las trabajadoras peiviben en promedio remune- racioncs quc corresponden a - lies cuartos del Salario pagado a los hombres por ci mismo trabajo. alios son económjcamente Segdn Lim, "nada indica activas en Ia actualidád en ci per thom que esa difezencia se estt teduciendo", realidad que Segün Ia On, este fenómeno aumenta a medida que Ia Cs mujer so incorpora a! mercado mente del nivel de desarrollo laboral, b que ha hecho de fonna significativa en las dlii-. del pals en cuestión. En su opinión, esas diferen- mundo. mas decades. AsI, más del 50% de la población femenina de los pal- extensiva a otros sectores cconómicos independiente-. -. cias salariales se nutren de 1a -discriminacidn que sufre la mujer desde la infancia y a que hace veinte años era en partir de Ia propia escuela, por Ia que nunca pisaron más del 90% de las niñas de muchas Europa occidental del 37% y naciones africanas y asiátjcas. ses industrialjzados tiene un trabajo asalariado, proporcion del 30% en EE.UU.. España *STEUDJ'O Fecha. 3OJUL 1996 r )' v,. o ) CI)Q.$. ) o u.j bO ..© . iikiiiiHUll I!1iHhii1 ) . i.. >.. " !@j' .E - u. c. U) o E t .2 s_I 2 ' - i! . o - - 115 WUIJII1hHW I 1E E a 8 .b d1 'J iftfliiI 111111 111Uhi! flu F! - ' IIflI111I 8 oG) r.!. ..iIJiiIIil '11tliui Ii r11' .' * E Uii111II1Ii1IIdIøI )OO Espafla PAMPWNA 30 JUl. 1996 5."Il N . v .5. a 0 H V.5 4 '.' ass I1 w,Ise V Q v u r- 1 I V s.5 U Q fl I) . ) V 0 0 ' 00u..5040. 0 Vc o V.5 .5 0 c3 t .9 V 0 04 8 0 . 00V.5 vtu c i 0 o CI) .0) 0 0 V02V.0v U)VC)U0 .50.5EV.5 .5 0) u0 0 oCc LI V ) .5 u 0 E d) It) . 0) 000 LI CI)0V . U CI) 0 Q) JE V.9Oo _u Cl).) ..0 V : . El rnNU)F I LI0LI .5 V '0 P. cCl . v.< DV vv °E LI . 0 CI) .0 0 Espafla 4tr,Breo Fecha 30 JUL. 199B las mujeres trabajan mas horas que los hombres cobran menos de la mitád GINEBRA. EFE -. Las mujeres trabajan. hasta diez horas .más a Ia semana de.los palses industrializados tiene un trabajo asalariado, pro- porolón que hace veinte afios era en europa occidental de137 quo los hornbres pero sus sala- - por ciento y. do! 30 por ciento rios son entre Un 50 .y unlO per en EEUU.: Se calcula àdemásque siete ciento más bajos, segUn el iri foie Más y mejores trabajos .:de los ocho millones de perso- pw IasinUJemSTesentadO fla ayer por Ia OrganizaciOn Internacional del Trabajo (Ol Esta discriminaci&i salanal es del 25 por ciento en !os pal- ses industrializados, Indica Ia quo se incorporaron at :mundo' del trabajo en Europaoccidental en el peri'odo 19801990 eran mujeres. Las mujores son tamblén las más afectadas por el desem- OIT, que cuenta las vIctimas de .pIao, que en algunos palses in- esa desigualdad por millones, ya que el 45 por. .ciento de to- ciento superior al de los varo- dustrializados os un 50 por das las mueres con edades nes. entre los 15y 64 afios son económicarnente activas en Ia actualidad en el mundo. micos con mayores diferencias entre tiempo trabajado, alario SegUn Ia QIT, este fenómeno äumentaa medida que Ia mujer so incorpora. al mercado labo- Uno de los sectores econó y SeXO, Os el agricola, donde Ia mayor parte de las trabajadoras perciben en proniedio remune- ral, lo que ha hecho de forma significativa en las iltimas dé- raciones que corresponden a ciento do la poblaciOn tenernina bajo. tres cuartos del salàrio pagado cadas. Asi, más ael 50 por a los hombres por el mismo tra- Espalia " C) ( .CC)0G) . E°-0 Q).-. , - . C) V .EEE c 'C O=c3 i c -' i_1. ' U E.. 0C)& C) " 'o8 u 0 Q. fEZ '-a 0 u 8 C)'- V , L. 1 %4I ____ _____ 0 C) . u. C) .C) , U r ___ I 4. C E alJ C) i, 0 cc'-. C) C) 0 C ' V . 8 c-. C') 0 ___ '_t O4C)0 ' 8° U c ( Io cC c) E' ' C) ) C) C) i... Espafla Diario de Ibza F4t23OJULjg .ja)C(fl>. a,0.-a) 0 LS a)mga)0.. -._ 0 O° -a)u) U.0 0. C) L. 0 0. .0 >. 00) U) - U C1 C 0 C5N 0. a, OV C 80 N a) _ E. C .000>. 0) 9 .EQ C C Wa).---0 a, 0a).9 - U) w6E -OIXCW -U) .-0.tCaa) U) . E a m ewo(n C o.2 5 a as- p qq flli4 o2o, U) U) U) CS 0. Cl) - .o w g; .p h I0 0. 8a)coa,o 2".9 C .0E .CEC E000C 'a).0a,a) E..0 to.-' W0a)00) Fh > Co a)Cr5 c0: w. >. 0.W_.W , 0.C. 5' E a) 0 Ca) a) a)C0U)0E .2 °a.°0 4'a). itflhIC.0C0C 'C% C3D9 a) Wa)U) E8L a) I- W5 0 C) ..9. _j Espafla La Opinion - MURCIA 0 JUL 1996 Fecha aati)lO - U) ..a 05 0 EVca iO oc.2 . Ca,.-CflC.a) U) U)tCa0a2o.... w2(uE(o CC CN-C 'oacs 0 W - LI '2L) Q) -o CQ. >.> CU)E wo.0 U)'E Cq) 0Dw> .EU)oC E'°.5'aC .0dWWgEC.WC.2QI.. 'U)O' .'cu.o EoE caa,a,E 0E c U)o0 . a,caU) - .0'- 2 WWU : 2 0) CE 'A '5,.0. , 5 .. \. fflH I2 .Eo°2avI 2 WO . - D 2 - .5 5, U) a .0 E ØC2I 0aju° I- -- i a O-O0) .U)0'EC U)CC,O _5. C a, U)2E=CwoU) 0) 0 C o 0 -E 2a,owc ,E.0a,0 -1g. U) 0 Ct E. C '0øOo>oCa,0. 4 U)'O0)>Q L c E2 CCflV a, E a, wa,t5cv) ' 2 5W U)'O) c EECo Ellfl I- -N c o.c °E o_0)a)2Q 0).0 co o 0'.s- CWr ca '0 C- ui uE'ota, O.0W.0)a,a,O0C Cc CE. E o. a, o. a, a a, o 0 a, > . WCI España LA VOZ DE AVILES 4 AVILES ELCOMERcIO 30 JUL1996 Fecba30 JUL.1996 Lasmues Las mujeres menos y traajan más horas EFE. Gebra Las mujeres trabajan hasta diez horas más a Ia semana que los hombres. pero sus salarios -son entre un 50y un 80 por ciento mas bajos, segUn el informe .cMás y mejores trabajos para las mujeres*,presentado ayer par Ia OrganizaciOn Intemacional del Trabajo (Oil). Esta discriminación salarial es del 25 por ciento en los pal- ses industrializados, indica Ia. OIT, que cuenta lasvlctimas de esadesigualdad por millones, yaque el 45 por ciento de todas las mujeres con edades entre los 15 y64 allos son econOrnicamente activas en Ia actualidad en el mundo. Segtn Ia Off. este fenOmeno aumenta a me'dida que Ia mujer se incorpora al mercado laboràl, Jo que ha hecho de formasignificátiva en las Ciltimas decadas. Más del 50% de Ia poblaciOn fenemina de los palses industrializados tiene un trabajo asalariado, proporciOn que hace veinte altos era en Europa occidental deI 37% y del 30% en EEUU. cobran Un 25% menos que los hombres, segün Ia OIT coLP1SA.GINEBR strabjaninás horas que sus colegas mascu]inos y en cambio sus retribuciones son, en térxninos medios, un 25% inferiores en ci mundo. No obstaflte, las trabajadoras Las m son más numerosas actualrnente en profesiones tradicio- nalmente dominadas por los hombres, segn informa Ia OrganizaciOnlntemacioiial del, abajo (Ofl. Cada vez hay rnás mujeres que trabajan, pero la gran inayorIa de ellas se suina a las filas de los trabajadores pobres, escribe LinLim, automdc un informe que será dado a conocerinaiiana por la agen- cia de las Naciones unidas especializada en cuestiones laboralesysociales,laOlT. La mayorIa de ellas ocupan empleos precarios, inal remunerados y de débilproductividad*, afia- de. Las mujeres representan ci 70% de los pobres en ci mundo y el 65% de los mil millones de iletrados, seg*n ci iriforme Espafla DIARIO DE JEREZ MADam Fecha 30 JuLig9 15 ABO. 1996 EMPLEO FEMENINO: UGI' redama medidas para Ia La población femenina.. igualdad de oportunidades El sindicato UGT exge a! gobierno ha adopción de mcdidas que avancen en la-supresión de las desigualdad laboral entre hoinbrcs y mujeres, segdn un comunicado emitido ayer pore! sindicato. De acuerdo con ci üitimo informe de ha Organizacida Internacional del Trabajo (Off), las trabajamisy gana menos que Ia Las mujeres trabajan rfiás horas que sus colegas masculinosy en cambio sus retribucio- nes son, en terminos medios, un 25% inferiores a nivel mun- dial. No obstante, las trabaja- doras son más numerosas mujeres trabajmás horas a actualmente en profesiones tradicionalmente dominadas la semana que los hombres y siguen percibiendo un 30% menos de salario que éstos, lo que convierte a Espaa en ci pals de La Union Europea con mayor diferencia salariaL por los hombres, seg1n informá la Organizacidn Internacional del Trabajo (OIT). El estudio viene a ser un seguimiento de Ia conferenciade Pekfn que se organizó el año pasado. EL4'DIADELMUNIX ,'alma de MãlkirFecha. 3 Oj UI. 1996 Las mujeres que trabajan ,yeJfin de la retórica. El informe de Ia Organización Jnternacional del Trabajo (Ofl) presentado aycr aporta upàto que no. de obra femenina igual que Ia hifantil porque resultaba más barata que ha masculina. Es indudable por ser archisabido resulta menos lacerante: las mujeres trabajan más horas que que la situaciOn de la menos. En los palses mdustrializados esta discrimina- recorrer as adn enorme. El informe sefiala, con escepticismo, que esta desigualdad so produce tca pesar de los avances y de todos los mujer trabajadora ha rnejorado mucho, pero no Jo es los .hombres y cobran menos que ci trecho por don salarial Jiega hasta el 25%, una cifra que apenas ha descendido en las ditimas d6cadas. Bien so dirla que Ia filosofia de las con- trataciones laborales se asemeja a ha que prevaleciO discursos polIticos>. Dc bien poco sirven las declaraciones de intenciones si no so acompanan de mcdi- en ha primera revolucidn 'das que erradiqueñ de una industrial. Entonces se vez por todas esta injusta comcnzd a Utili7JIr Ia mano lacra. Espafla SIUorte kn6tiUe VALLADOLID 3OJUL 1996 Is mujeres. cObrafl u.n 25% menos ue los hbmbres, segün Ia OIT davéz hay más trabajadoras, pero engrosan las fila .de los empleados pobres muleres trabajan mis horns quo sus egas mascuflnos yen camblo sus dbuclones son, en t&nilnos medlos, un % Inferlores Ofl 01 mundo. No obstante, -. las trabajadoras Son mis numerous actualmente en profeslones tradiclonalmente dominadas por los hoinbres, sogUn Informa Ia Organlzacl6n . Intemaclonal dot Trabajo (OtT).. Un Informe destaca quo mayorla do las mujeres ocupan empleos precarlo., mat remunerados y do debit productividad. GINEBRA. rCada vez hay. mds mujeres. ! trabajan, pero Ia gran mayo- deellasseswnaalasfilaSde - trabajadores pobrw, escriLin Urn, autora tie un inforque será dado a conocer hoy r la agenda tie las Naciones - ida3 especializada en cues- nes laborales y sociales, Ia IT. .La mayorla de ellas ocun empleos precarios,, malreunerados y de débil.producti- 'Iqd, aade. Las mujeres representan el % tie los pobres en ci mundo ci 65% delos mil millones de trados, se1ln el inorme Mds mejor para ci ampleo dé las ujeres, una gula para la acon. El estudio, de casi 200 pa- nas, es un documento de Se- 'imieilto deJa conferencia undial de las mujeres organida ci año pasado en Pekin y La cumbre social de Copengue de 1995. Más del 45% dc las mujeres - eimundo, cuyas edades osciii entre los .15 y los 64 afios, abajan: representan actual- ente más de.lamitad de la polación activa en Los palses inustrializados, freñte al 37% en uropa Occidental y ci 30% en £tados Umdos hace 20 afios, gün ci BIT.. IguaIdad satarlal El inform destaca que maoria tie las mujerçs sdlo ganan e promedlo las tres cuartaS artes del salario de un hoznbre r ci mismo trabajo, excluida - agricultura. Esta desigualdad -ç válida tanto para los paises Una mujer vietnamlta realizando tareas agrIcolas. Foro EL NoRm industrializaIos corno en vias de desarrolló, diferencia que no disminuye. Las principales vfctimas de Ia recesitin de 10 afios 90, las müje- res. desocupadas, son entre un 50 y Un 100% rnás numerosas que los bombres en muchos palses industrializados. Asimismo, las mujeres stiIo ocupan ci 6% de los cargos tie altos ejecutivos en ci mundo. En .Arn6rica del Norte Europa yJaptin, ci doble de mujeres que tie hombres paso a formar tie la pobiaciOn activa entre 1980 y.l990. Mien- tras tanto, en ei Sudeste y ci Este de Asia, las müjeres representan hasta ci 80% de las jersonas empleadas en las industrias expiotadoras. tLa industrializaciôn basada en in exportación y in competitividad demuchos palses en desarroio reposa en Ia inano de bbra femenina, relativamente barata, destaca Micbei Hansenne, director general tie Ia O1T. El estudio aprecia, sin embargo, algunos progresos, sobre todo en los palses industrializa- dos. AsI, existe una neta ten- denciá a una mayor representa- citin de las mujeres en cargos cualificados: direcciOn, ejecutivos, tOcnicos, administrcitin, y; algunas ilegan incluso a Ia cumbre de la jerarquIa. En EEUU, ha aumentado ci ntimero de mujeres 'que crean empresas. Por lo demás, mu- chos palses del Norte, pero tambiOn del Sur, han adoptado legislaciones sobre igualdad retñbutiva, de manera las condiciones ban mejorado para permitir a las mujeres conmpatibilizar profesiOn y familia. Espafla EL DRIO \SCO SAN SEMSTIAN Fecha. 30 JUL.1996 Las mujeres trabajan más tiempo y ganan menos qUe los hombres Sus salarios son entre tin 5Q% y un 80% más bajos, segün la Organización del Trabajo AGENcZ&. GINEBRA presentado ayer por Ia Organación Intemaclo- Las mujeres trabajan hasta dkez horas más a Ia nal del Trabajo (On). Esta discflminaciOn salariai es del 25% en los paises Wduslrlaiizados, indica Ia O11, que cuenta las vlctimas do esa desigual- mujeres con edades entre los 15 y 64 afios son economicamente activas en Ia actualidad. Segón Ia OIl, este fenómeno aumenta a medida quo Ia mujer so incorpora al trabajo, lo quo ha hecho dad per miilones, ya quo el 45% do todas las do foirna sbgn'dtcallva en las Ottimas décadas. semana que los hornbres pero sus saatios son ernie Un 50% y un 80% rnás bajos, segOn el m. forme 'Más y mejores trabajos para las mujeres' MOS del 50% de Ia poblaciOn fe- menilna de los paises industrializados tiene un trabajo asalariado. proporcion que hace veinte anos era en Europa occidental del 37% y del 30% en EE UU. Sc Ca!cula ademñs que siete de los ocho Las mujeres Más do 45% do las mujeres yëI trabajo del5 a 64 años tienen una actividad laboral Las mujeres recthen salanos que son 25% infenores inillones de personas que se incorporaron al mundo del trabajo en Europa occidental en el perlo- aJ de do 1980-1990 eran mujeres. 25% Las mujcres son también las más afectadas por el desempleo, que en algunos palses indus- 'r los hombres (en promedio en el mundo) trializados es un 50% superior al de los varones. -A pesar de los avances que se han experimen- 70% de las las personas quo viven tado y de todos los discursos politicos. Ia realidad es que las actividades econOrnicas de las mujeres siguen concentradas en modalida- en situadón de extrema pobreza des de empleo escasamente remuneradas. de baja producthidad y de gran precanedad-, afirma Ia autora del informe. Un Jim. Uno de los sectores ecnndmieos 65% de los 1.000 millones do anaffabetos en el niundo son mujeres tiempo trabaado. sala b v sexo, es el agricola. donde Ia mayor parte de las trabajadoras perciben en promedbo remuneraciones que corresponden a tres cuartos del salaiio pagado a los hombi s por da indica par ahora que esa diferencia Se esté reduciendo-. realidad que es extensiva a otros seetores econOmicos independiente- mente del nivel de desarrollo del pals en cuestiOn. En su opiniOn. esas diferencias salarfales se nutren de Ia discriminaciOn de Ia mujer desde Ia infancia v a partir de La propia escuela. par Ia que nunca pisaron más del Actualmente son mujeres con inayores diferenci:s entre el mismo trabajo. Segün Urn. -iia- Haca 20 arias Aw pobreza. -Discriminación en Ia es- cuela y consecuentemente también en La ida laboral-. subrava Urn. que cita entre otras forrnas 90% de las niñas de muchas na- flagrantes de discriminaciOn en el mercado de trabajo la desigualdad en Ia contrataciOn y Ia promociOn s' en el acceso a Ia fonnaciOn y a Ia readaptaciOn pmfesional. Completan esa relaciOn Ia dls- ciones afiicanas v asiOticas. criminaciOn de las mujeles a Ia El resultado es que las mujeres representan el 65% de Ia poblaciOn mundial analfabeta v el 70% de Ia que ive en el umbra! de Ia hora de acceder a créditos y a otros recursos productivos, Is desigualdad en Ia 1emuneraciOn par igual trabajo y Ia exclusion en el Las mujeres Las mujeres representan trabajan por de65a90% to menos 2 horas más de los empleos por semana quo los a tiempo parcial hombres y con de los 28 paises do Ia OCDE frecuencia 5 a 10 horas más. -- La tasa do desempleo do las mujeres es de 50 a 100% supeor aide los hombres (en 2i3 de !ospaisesAdustñeJizados) proceso de toma de decisiones. Para ilustrar esas afirrnacbones, Urn cita entre otros ejempios que el 80% de Ia fuerza de trabajo en las zonas francas de exportaciOn en Asia está constituida par inujeres y que el '71% de las trabajadoras de America Latina y Caribe factura están ernpleadas como obreras y operadoras. mientras que sOlo el 5% ocupa puestos profesionales y técnicos ' un 2% cargos adrninistrativos y de direcciOn. En todo el rnundo se calcula se concentra en el sector de los sericios. Incluso en los sectores mejor remunerados. las muieres que las mujeres. que representan ci 40% de La fuerza laboral inundial. solo ocupan el 1696 de los puestos de gestiOn y menos del 6% de Ia cOpula de direcciOn. Li ocupan los niveles In±èriores de Ia OfT opina que -Ia igualdad de escaladesalarios. As!. cerca de dos tercios de las mujeres empleadas en La manu- oportunidades y de trato pars las niujeres en ei empleo sigue siendo una meta par alcanzar.. Espafla LaOph1I6 3OJLIL 1996 Las mujeres trabajan hasta diez horas más a Ia semana que los hombres pero sus salarios son entre un 50 y un 80 por ciento más bajos, segün el informe 'Más y mejores trabajos para las mujeres" presentado ayer por Ia Organización Intemacional del Trabajo (Off). Esta discriminación sa- lanai Cs del 25 por ciento en los paIses industrializados, indica la Off, que cuenta las victimas de esa desigualdad por millones, ya que el 45 por ciento de todas las mujeres con edades entre los 15 y 64 aiios son econdmicainente activas en la actualidad en el mundo. Irabajar más, ganar menos. Un informe de la OrganizaciOn Internacional del Trabajo revela que el 50% de Ia poblaciOn fern enina tiene empleo pem con mayor jornada laboral y salario menor que el de los hombres GINEBRA (Ere) Segün Ia OIT. cste fenómeno aumenta a medida que Ia mujer se incorpora al mercado laboral, lo que ha hecho de forma significativa en las Oltimas décadas. AsI. más del 50 pot ciento de Ia población femenina de los palses industrializados tien un trabajo asalariado. proporción que hace veinte aflos era en Europa occidental dci 37 pot cien- to y del 30 pot ciento en EE IJU. Se calcula además que side de los ocho millones de perso- nas que Se incorporaron a! mundo del trabajo en Europa occidental en ci periodo 19801990 cran mujeres. Las mujeres son también las más afectadas por ci desempieo. que en algunos palses in- dustrializados es un 50 pot etdnto superior ai de los varones. .A pesar de los avances que se ha experimentado y dc todos los discursos polIticos. Ia realidad es que las actividades económicas de las mujeres Si. guen concentradas en modalidades de empleo escasamente remuneradas. de baja producti- vidad y de gran precariedad. utirma Ia autora del iniorme. Lin Lim. Uno de los sectores económicos con mayores diferencia.s entre tiempo trabajado. salario y sexo. Cs ci agricola. donde Ia mayor parte de las trabajadoras perciben en promedin remune- raciones que corresponden a tres cuartos del salario pagudo a los hombres pot ci mismo trabajo. Segdn Lim. nada indica pot ahora que esa diferencia se estã reduciendo". realidad que es extensiva a otros sectores eco- Las mujeres trabajan inás horas y cobran nienos que los hombres En su opinion. esas diferencias salariales se nutren tIe Ia discriminación que sufre Ia mu- jer desde Ia infancia y a partir de Ia propia escuela. pot Ia que nunca pisaron más del 90 pot ciento de las niñas de muchas naciones africanas y asiáticas. El resuitado es que las mujeres representan el 65 por ciento de Ia población mundial analfa- beta y ci 70 por ciento de Ia que vive en ci timbral de Ia ppbreza. Discriminacidnen Ia escueIa y consecuentemente tanibién en In vida lahoral. subraya Lim. que cita entre otras formas flagrantes de discriminacitIn en el mercado de trabajo Ia desigualdad en Ia contratación y Ia promociOn y en ci accesri a Ia formación y a Ia rca- nómicos independientemente del nivel de desarrollo del pals daptación profesional. en cuestión. discriminaciOn de las mujeres a Completan esa reIación Ia Ia horn de acceder a créditos y a otros recursos productivos. Ia desigualdad en Ia remuneracitIn pot igual trabajo y Ia exclusiOn en el proceso de soma de dccisiones. Para ilustrar esas afirmaciones. Lim cita entre otros ejempbs que ci 80 pot ciento de Ia fuerza de trabajo en las zonas francas de exportación en Asia está constituida por mujeres y que el 71 pot ciento de las Irahajadoras de America Latina y Caribe se concentra en ci sector de los servicios. incluso en los sectores me jot remunerados. las mujeres ocu- pan los niveles inferiores de Ia escala de salarios. AsI. cerca de dos tercios de las mujeres empleadas en Ia manufactura están empleadas como obreras y operadoras. mientras que sOlo ci 5 per ciento ocupa puestos profesionales y tCcnicos yun 2 por ciento cargos administratiyos y de dirección. En todo eI mundo se calcula que las mujeres. que representan el 40 per ciento de Ia fuerza laboral mundial. solo ocupan ci 16 por ciento de los puestos de gestiOn y menos del 6 pnr ciento de Ia c6pula de dirección. No es de extrañar ante ese panorama que ci propio director general tIe In OtT. Michel Hansenne. opine que la igual. dad de oportunidades y de tram para las mujeres en ci empleti sigue siendo una meta que hay que esforzarse pot alcanzar en todo el mundo,. MOxime cuando .la fuerza laboral femenina. relativamente harata. ha servido de piedra angular para Ia industriaiizaciOn y Ia competitividad internacional en muchos paises en desarroho'. agregó Hansenne. Espaila FAR° BE V1GO . Fecna viGo 30 J VI. 1996 Segün el informe de la Organización Intemacional del Trabajo, presentado en Suiza La poblaclén fomenina mundial trabaja más y gana menos quo Ia masculina esa desigualdad por miltones, ya que ci 45 por ciento detodas las mujeres entre sue salarlos son entre un 50y un 80 por uMasymejorestrabalosparalasmUje.. resN presentado ayer por Is Organización intemacional del Trabajo (Off). In- ciento mae bajos, segün ci informe diOflquecuentaiasvictimasde activas en Ia actualidad en ci mundo. mujeres trabajan hasta diez horas más a Ia semana que Los hombres pero ILas los 15 y64 años son econômicamente I GINEBRA Ia OIT este fenómeno aumenta a medida que Ia mujer Se incorpora al meitado laboral, lo que ha hecho de forma significauva en las ültimas décadas. Asi, más del SOpor ciento de Ia población fenemina de los pa- Segün Ises industrializados tiene un trabajo asalariado, proporción que hace veinte aflOs era en Eu- ropa occidental del 37 por dentoy del 30 por ciento en EE UU. Se calcula ademés que siete de los ocho millones de personas que se incorporaron a! mun- do del trabajo en Europa occidental en ci perlodo 1980-1990 I ' eran mujeres. Las mujeres son también las mds afecrrJs por ci desempleo, que en algunos paises industria- lizados es un 50 por ciento superior al de los varones. "A pesar de los avances que se han experimentado y de todos los discwos politicos, Ia ie- alidad es que las actividades económicas de las mujeres siguen concentradas en modalidades de emplco poco remuneradas, de baja productividad y de gran precariedad", afirma La autora del informe, Liii Lint Uno de Los sectores económicos con mayores diferencias entre tiempo trabajado, salario y sexo, es ci agricola, donde Ia mayor parte de Las trabajadoras perciben en promedio remune- raciones que corresponden a tres cuartos del salario pagado a los hombres porel mismo trabaJo. Segtin Lim. "nada indica por ahora que esa diferencia se esté reduciendo", realidad que es cxtensiva a otros sectoreS económicos independientemente del nivel de desarrollo del pals en cuestión. En su opinion, esas diferen- cias salariales se nutren de La M.AwAAcHrvO Las m4.ras, como cads o, ocs pusitos mis ingratoed. I.s.stadsslthoralss. discriminacidn que sufre Ia muicr desde Ia infancia y a partirde promociOn y en ci acceso a Ia forinaciOn y a Ia readaptaciOn Ia propia escuela. por Ia quc nunca pisaron más del 90 por ciento de las niflas de muchas profesional. naciones africanas y asiáticas. El resultado es que las mujetes representan el 65 por ciento de La población mundial analfabetay ci 70 por ciento de Ia que vive en el umbra! de Ia pobreza. "DiscriminaciOn en Ia escueIa y consecuentemente tanibién en Ia vida laboral', subraya Lim, que cita entre otras formas flagrantes de discriminaciOn en el mercado de trabajo La desigualdad en Ia contratación y Ia Para ilustrar esas afirmaciones, Lim cita entre otros ejempbs que ci 80 por ciento de La fuerza de trabajo en las zonas francas de exportaciOn en Asia está constituida por mujeres y que ci 71 por ciento de las trabajadoras de America Latina y Canbc se concentra en ci sector de los servicios. En todo ci mundo se calcula que las mujeres, que representan ci 40 por ciento de Ia fuerza laboral mundial, sOlo ocupan el 16 por ciento de los puestos de gesdOn y mcnos dcl 6 porciento de lacOpulade direcciOn. No es dc extrañar ante ese panorama que el propio director general de Ia Olt Michel Hansenne, opine que "Ia igualdad de oportunidades y de trato para las mujeres en el empieo sigue siendo una meta que hay que esfoizaxse per aicanzar en todo ci mundo". Máxime cuando "Ia fuerza laboral femenina, relativamente barata, ha servido de piedra angular pam Ia industrializacidn y La competitividad internacional en muchos paises en desarroho", agregO Hansenne. Espaila DI1o16 LA c' 30 JUL 1996 16 VIVIR16 Ias nuevas esciavas ilevan faldas Las mujeres trabajan hasta 10 horas más a la semana que los hombres pero cobran un 80% menos, segün la Organización Internacional del Trabajo Gnebra/ EFE.Las mujeres trabajan hasta diez horas másalasemanaquelos hornbres pero sus salarios son entre Un 50 y Un 80 por 100 xnás bajos, segUn el informe "Mâs y mejores trabajos para las mujeres" presentado ayer por Ia Organización IntemacionaldelTrabajo(OFF). Esta dlscrimlnación sobrialesdel2sporlooenlospaises industrlalizados, indica La OFT, que cuenta las victi- mas de esa desigualdad por millones, ya que el 45 por 100 de todas Las mujeres con edades entre los 15 y 64 años son econOrnicamente activas en Ia actualidad en el mundo. SegUn La orr, este fenôrne- no aumenta a medals que Ia mujer se incorpora al niercado laboral. lo qua ha hecho de forma significativa en las dlfimasdécadas. Se calcula ademés que sie- tedelosochomilionesdepersonas que Se incorporaron al mundo del Irabajo en Europa occidental en el periodo 19Q0i990eranmWeres. Las mujeres son tambldn Las mds afectadas par el desempleo, que en algunos palses industrializados es un 50 par 100 superiOr aide los Varones. "A pesar de los avances que so hen experimentadoydetodoslosdisCUrSOSPOliticos. La realidad es que Las actividades econOmicas de las mujerus siguen concentradasenmodaildadesdeempleo escasamente remuneradas. de baja productividaLl y de gran precariedad". afirma Ia aurora del informe, Lin Lam Uno de Los sectores econô- micos con mayores diferencias entre tiempo lxabajado, salario y sexo, as el agricola. donde La mayor parte de Las trabajadoras perciben en promedlo rernuneracioneS que corresponden a tres M*ONORLLasmujeressoatambin lasmasafectadasporeldesemplea, queenalgunospaisesesun5o% supenoral delosvarones. SIN PODER NI MM4DO Ladiscrhninaclonquesufrelamujertfllflbléflse palpaala horadeacceder acréditosya otrosre- cuersosproductivos.asiCOmO suprdcticaexclusldnen elprocesodetomadedeclslones. Secalculaque Las mujeres. que representan e140 porloOdelafuerzalaborallflufldial. sóloocupan ci 16 por ioodelospuestosdegeStlonymeflOsdel 6porlOOdelaCdPUladedirecclófl. No as de extrañarante ese panorama que el proplo director general de Is O1T. MicheiHansenne, opi- neque "lalgualdaddeoportunldadesYdetratO paralasmujeres en elempleoslguestendouna metaque hay que esforzarse poralcanzarentodo elmundo". Mdxline cuando'lafuerzalaboralfemenlna.relativamente barata. haservidode piedra angular para La lndustrialización y La competitivldadlnternaclOnaleflmuChOSPaiseS endesarrollo", agregd Hansenne. cuartos del salario pagado a dial analfabeta yel lopor 100 los hombres par el inismo dela queviveenelumbralde trabajo. Lapobreza que as extensiva a otros sec- subraya Lu. que cita entre ott-as forinas flagrantes de "Discriminaciôn en La asSegun Lim, "nada mdica par ahora que esa diferencia cuela y consecuentemente so esté reduciendo", realidad también en Ia vida laboral". tores econónucos Independientemente del nivel de desarrollo del pals en cuestión. En so opinion, esas diferencias salariales so nun'en dab discriminacion que sufre is mujer desde La infancia y a partir de La propia escuela. discriminación en el mercado de trabajo La desigualdad en La contrataciOn y La promociOnyen el acceso ala formaciOn y a La readaptaciOn profesional. Completan esa relaciOn]adiscrintinaciônde muchas naciones africanas y asiáticas. El resultado as que las mujeres representan el 65 sos productivos, La desigualdad en La reinuneraciOn par igual trabajo y La exclusion porlaquenuncapisaronmds Las znujeres a La horn de accedel 90 per 100 de las nifias de deracrdditos yaotros recur- par 100 de La población mun- enlatomadedecisiones. Espafla { LAVANCUARD1A I MRcELONA F.cha. 3OJUL 1996 4' 4 1 U4MA SAWJ2 N eMANOA los trabajos realizados msyoritariarnente por mujeres tienen menor compenssción salarial que los habitualmcnte mascuiinos Un informe de la OIT revela que las muj eres ganan un 50% menos que los hombres CIUDADANOS Las mujeres son las más afectadas por el paro, y en algunos paises industrializados el desempleo fernenino es un 50 % superior a! de los varones (INF.I3RA,(E1ccoiH) Las niujercs trahajan hasia dicz horas rnás a Ia seinana que los bomb res pero sus sakirios son entre tin 50 y un 80 % rnás bajos. segün ci inforrnc "Más y rncjorcs trahajos para las mujeres" presentado ayer por Ia Organización Internacional dcl Trabajo (OIT). Esta discrirninación salarial es dci 25 % en los paises industrializados. indica Ia OlT. que cuenta las victinlas de esa desigualdad por mihones. ya que ci 45 % de las mujeres de entre 15 y 64 años son eeonómicamente activas en ci mundo. El Programa de Naciones Unidas parael Desarrollo ya habia hlegado a conclusiones similares en su infor- mecorrespondientea 1995 sobreel indice de desarrollo humano. SegOn La OIT. este fcnómeno aumenta a medida que Ia mujer se in- corpora ai mercado laborai. fenómeno especialmente significativo en las Oltimas décadas. Asi. más del 50% de ha pobiación femenina de los paises industrializados tiene Un trabajo asalariado. proporción que hace 20 alios era en Europa occidental del 37% y del 30% en Estados Unidos. Sc calcuia ademis que siete de los ocho millones de personas que se incorporaron al mundo del trabajo en Europa occidental en Ia década 1980-1990 eran mujeres. Las mujeres son tarnbién las rnás afectadas por ci descmpleo. que en algunos paises industrializados es un 50 % superior al de los varones. El documento publicado per Ia OtT es un seguimiento de Ia conicrencia de Ia Mujer celebrada en Pc- kin ci ailo pasado y de Ia cumbre mundialdeCopenhague de 1995. Empleo precario "A pesar de los avances que Se han experimentado y de todos los discursos politicos, Ia realidad es que las actividades econórnicas de las mujeres siguen concentradas en modalidades de ernpleo escasarnenIc remuneradas. de baja productivi- dad y de gran precariedad". afirma Ia autora del informe Lin Urn. Uno de los sectores económicos con mayores diferencias entre tiem- po trabajado. salario y sexo es ci agricola. donde Ia mayor parte de las trahajadoras percihen en promedio remuneraciones que corresponden a ties cuartos del salarin pagado a loshombresporel misinotrahajo. Scgün Lim.nada indicaporahora que esa diferencia se esté reduciendo". realidad que es extensiva a otros sectores económicos independientemente del nivel de desarrollo dcl pais en cuestiôn. En su opinion. esas diferencias salarialessenutren de ladiscriminación que sufre Ia mujer desde La in. fancia y a partir de Ia propia escuela. per la que nunca pasaron más dcl 90% de las niflas de muchas naciones africanas y asiáticas. El resultado es que has mujeres re- presentan ci 65% de Ia poblaciOn mundial analfabeta y el 70% de Ia que vive en ci umbral de ha pobreza. lncluso en los sectores mejor remunerados, las mujeres ocupan los niveles inieriores sic ha escala de sa- larios.a tspaua JE..cORREOESPANOI. I - 30 JUL 1996 Las mujeres ganan un 25% menos que los' hombres pese a que trabajanmás horas Especialmente afectadas por el paro, solo ocupan el 6% de los altos cargos ejecutivos AGENCIAS GINE8RA Las mujeres trabajan hasta diez horas más a Ia sernana que los hombres. pero en las naciones industrializadas sus salarios son un 25% más bajos. una diferencia que se .A 7.s'.sar de bs. arnIues que se ban e.spennzrntado , dt' Sodos Ins dis. rwsos politicos. In realidad ca que las (U Inidadi's i'conórnuas de 1(1% :nzijerrs ciquen concenlradas en dispara hasta el 80% en los paSses en vlas de desarrollo, segün el informe do Ia Organización Internacional del Trabajo (Ofl') 'Más y mejores trabajos para las mujere'runa guia para ha acción'. El estudio, que constata unos niveles de paro quo so duplican entre ha poblaclén femenina, determina que las mujeres solo ocupan ci 6% de los altos cargos ejecutivos del mundo, Aim asi. tamblOn aprecia progresos en su situación laboral. Situaclon laboral de Ia mujer en el mundo Ms do 45% do las mujeres Las mujeres reciben salarios quo son 25% inferiores nzi,datulades de .'inpleo eseasanicOle re,,,nneradas. de !SijU pro- -'S. do15a648ñ05 tienen una actividad laboral aide dui'i irhlaii y de qran l(sl'(anedad-. alirina l.n* I am. autola dci 25% ('510(110. qut' ha realizado un detailado st'eUillliL'fltO (IC Ia conleren- los hombres (en promedlo en el mundo) cia lnuinhial dt' la imit'rt's or;lni,ada ci nui p.is;itici cii I'ekin vdc Ia iiiiuliti' snt'i;il cit Cojieliaguc 70% do las las personas dc l'UI. que viven en situaciOn do exirema El nuliutiw res t-1,i (lilt. tO his pn' iiulustriah,;uln'.. d,uidc las lInijL'rcs supnn('Il rn.n. dc hi ninatl pobreza son mujeres ile ha pohlacit1n ttit. Ia distriiinnación salarial .ikanza unas colas ik'i 23%. Mcm;ic. ci clesi'uiqik'n actavas fl Hace 20 años 'cc hIlL' stihrcii es hO O°n superior al a tie has saranes En Ins Estadoc dcl Sur. I;i dikreiicia Sc incrementa V Ins salarios pueden liegar ( st'r t'ii- 65% doles 1.000 (r(' titi 11)"u v un 8(1. tii.is htos. '3 l.a incc'rs'raCk'fl dc Ia mujur al millones de anallabetos eneimundo inorcada laboral ha vxperimcn- son mujeres tudo tin itotahie increlnellto en los üItll(loS anus s' en Ia aciiialfdad iiias (itI ."u En lie mujeres Tiempo parcial Las mujeres representan do 65 a 90% do los empleos a liempo parcial do los 28 palsos do Ia OCDE 90% Las rnujeres trabalan por 10 menos 2 horas más por semana quo los hombres y con frecuencia 5 a 10 horas más. Desempleo La tasa do desempleo do las mujeres es do 50a100% superior aide los honibres (n adad. los pa(ses indualnaliradOs) dc Ia 1xii,lación Ic- tiicnina nnindial tie (lItre 15 v (34 altos esti cinpicada. -Coda ye: lnlif inns Innt-ri's que Iral,u:un. ELCORREO AlP Fuente SIT ,s'rO 1(1 I/TOil lil(l4OrlO ih' ellas si' simm a Inc fibs de Inc trahaja- (timid'S ptibri's . ak'ria 1.111 liiii. Hii' en clia. his iéiniiias integran el 705i dc' las persnnas itIc S iccIl en ci uinlral tic pnbia. Origen do Ia discrlminaclón En ilpinion Ie Liii,. las clilerencias salarialt's tk'm'i so oiigcn cii Ia cliserilllin,,t'iimli quc pulecc Ia IOU- ;cr desdt' Ia inlalKia. quc se Iradtite t'll tiiia illenlir ('al)aL'it3lc'i(Ifl prok'sional. Eli iiiuclias ilaciotles ;ilricai,as 5' asi.ilicas. ci ilO°m, ilt, las luil;is no w.udc mIllea a Ia t'si'uela V. a 111% ci global. las hhnmnas repre- sL'il(ail ti bj% (IC it's roil miihmes (It' lIllIit,hl)t'tUS eicleiItes. 1)1st rHnivatirni (Ii (ii e.seneba i c,iicm''iu'izlcIiirn1f iunibii'n en Ia 1 1(1(1 hi/mural-. re'alta I,iii till,. que ella. ('litre otra farnias de discritiiiiac'ion lalsiral. Ia (hesilttltllda(l elm Ia ('011tnIt,lCilitl. cii hi prfl coot ' en ci acceso a Ia fi)flflaCi(ili a Ia re'adaptación prolesional. Una lisl;i que se compteta con las itiasores diticuitades que tienen EL CORREO Una mujer sormrie a un compañero de Irabap en Ia Bolsa deJohannesburg las nmwrcs para acceder a crédiIn'. v a otr(ic recUrsos produenvos. las dilerencias Cli Ia rt'Illtlflt'radoll aifle igual tral)a.io v ha exduik' tollia (it' (It'siöii C.'I, ti (IsiuilIt". LII ('Stt' sentido, hi tlncstiga&'mnhl apunta que solo tin 2% de Ins eargals a(lllnnistratiros V de direccbSui i.'ii luaiIuiacttlra' t'St.i 0C(lpa(I() kr 1m'ililliUi. El pnrcentajc as- t'ientk al 5i Cli ci t'asti CIL' puestos prolesionales v (écntcos. Inientras (tl(' t'aSi dais tercius de las einplea- das en Ia induslria trahajan COlil() en los paises industrializados. l.a teiudencia a una maYor represen- mundial, se calcula que las Inujeres (nuicaiiieflte acceden al 113% dc Ins puestos dt' gestioul v a ii,t-- taciOn femenina en cargos cualfficados es cmo de ellos. asi como el lilerelnenlo de mujeres elnprcsarias via adopciOn do legislaciones sabre igualdad retributiva, obreras v operadoras A nhel 111)5 dcl (a's (IC Ia ecipula dt' direc- doll. ProgresOs Entre (anta conclusion negativa. ci doculnento tamblén aprecia algunoc progresos en Ia situaclOn Ia- licirah de las mtjeres. sohre todo Además. se han mejorado las condk'iones do trahajo para perinitir conipatibilizar ci desarrohlo de una (area profesional con las responsahilidades familiares s- ha aumentado ci nOmero de niujeres ahIliadas a sindicatas A pesar de csoc asanccs el director general de Ia 011. Michci Hansenne, considera quc ia iqualdad di' upurinnidadrs ii dr trali, pam las nlztCI('s mum ui i'm ph'o sique siendr, una lOmb-. maxime cuando -Ia fuerza labural p3'menina. reIatiz'anente barns a. ha .cen'jdu, di' ph'dra an quint para In industrializaciOn il Ia (oinpcifli- z'idad inlernacional en niuchos paises en desarrolhm / Espafla : .b Fl) .) 0 o3.o .) i) - I- l ) c I- Espafla I aOMUNDÔ MADRID 0 DELOS,6OcIO MADRID Fectia 30 JuL 1996 Las mujeres que trabajan y el fin de Ia retórica informe de in Organición Internacional del de obra femenina .igual hajo (O1T) presentado er aporta Un dato que no r ser archisabido resulta -as lacerante: las muje- trabajan inás horas que resultaba más barata que in -- que Ia situación de la recorrer es aim enorme. El informe seflala, con escepn salarial ilega hasta el ticismo, que esta desigual%, una cifra que apenas dad se produce ca pesar de descendido en las (titi- los avances y de todos los c dacadas. Bien se dirIa discursos politicosN. Dc Ia filosofla de las con- bien poco sirven las declataciones laborales se raciones de intenciones si meja a in que prevaleció no se acompahan de mcdiin piimera revolución das que erradiquen de una 'ustrial. Entonces se vez por todas esta injusta enz6 a utilizar la mano lacra. . 30 JUL.1995 .,._L'...,. ' ., ns palses iicos, seün Ia OñT rnigercóbñIIiase eThoIn1flibajamas masculina. Es indudable mujer trabajadora ha mejorado mucho, pero no lo es . Esta dfra es del 2 que Ia infantil porquc s hombres y cobran menos que ci trecho por os. En lospalses indus1izados esta discriniina- Fecha. 'ai a.Lasmijeres tabaIa OIT, que jnhasta dies horasms a in se-- dustrIalizados,jndj cuenta las :vfótinias de esa desimann que los hombres pero sus r salarios son enire e50 y.el 80% bajos, segimn-eI infonne Mar y mejore., trabajos paralos muje. es presentado ayer por.la Organizacján Inteniãcional del Traba- jo (Orl La discriminaj sala- - gualdad por millozzes, ya que el 45% de las mleres con edades eatre los 15 .y 64 aflos son ecOfldmicamenteactjvas. Este fenimineno aunlenta con Ia incorporacj n de Ia niujer al rnerchdo Iaboral que se ha incrementado en las tiltinias décadas. tek EIPAI MADRa !1 MADRID Fecha. 30 JUL.1996 110 -16A6O. 1996 - Las mujeres cobran menos Las rnüjeres ganan uñ 25% menos que los hombres por el mismo.empleo, dice la OfT ANA FERNANDEZ. Ginebra A pesar de que ci 45% de las mujeres entre 15 y 64 años son eco- penhague de 1995, pone de relie- ve Ia discriminación en Ia edu- nómicamente activas, trabajan cación. Entre las formas de discriminación destacan los diferentes es- perciben un 25% menos de salario por ci mismo trabajo, segiin ci inforrne Mds y mejores grabajos para Ia mujer- Una guia de acdon, de Ia Oficina internacional tándares de contratación y promoción, Ia desigualdad en ci acceso a la formación y capacitación permanente; acceso a los créditos y a otros recursos pro- ayer. El documeflto, que es un seguimiento de Ia Conferencia de ción par ci mismo trabajo; La sgregación ocupacional; y, Ia de- Pekin sobre La mujer, y de Ia Cumbre de La Pobreza de Co- de decisiones. más horas que los hombres y del Trabajo (OIT), publicado ductivos; Ia diferencia de retribu- sigual participación en la toma informe de Ia Oraniza- Undon Intemacional del Trabajo revela que las mujeres trabajan hasta diez horas más a In semana que los hombres, aunque el personal femenino cobra entre un cmcuenta y un ochenta por ciento menos que sus cornpaneros varones. La discriminaciOri salailal es del veinticinco por ciento en los palses industrializados, mientras que en Espana ese porcentaje es cinco puntos superior. Espafla [4 Adelanto] MA Fecka. 30 JUL.. 1996 Las mujeres soportan peores condiclones laborales que los hombres. La pobiãción fernenina trabája rnás y gana inenos quela inascillina Las mujeres trabajan basta diez horas ñiis a Ia semana. que los hombres pero sus salaries son entre un 50 y un 80 por dento mis bajos, segtIn el inlorme "Más y mejores trabajos para las mujeres" presentado ayer por Ia Organización Internacional del Trabajo (Ott). Esta discriminaciin salarial es del 25 por ciento en los paiSE'industrializados, indica Ia O1],que cuenta las victimas de esa desigualdad pormiUones, ya que el 45 porciento de todas lasmujeres con edades entre los l5y64 añosson económicamente activas en Ia actualidad en el mundo. Segén Ia OH', este fenómeno aumenta a medida que Ia mujer so incorpora al mer cado laboral, lo que ha hecho dé forma signilicafiva en las ültimas décadas. GINEBRA (Elecom).Asf, más del 50 por ciento do Ia todos los discursos politicos, Ia, realidad es que las actividades población fenemina de los pal- econômicas do las mujeres ses industrializados tiene un trabajo asalariado, proporción que hace veinte años era en Europa occidental del 37 por ciento y del 30 por ciento en siguen concentradas en modalidades de empleo escasamen- EEUU. Se calcula además que siete de los ocho rnillones do perso- nas que se incqrpoaron al mundo del trabajo en Europa occidental en el periodo 1980- te emuneradas, de baja produtividad y de gran precariedad",. afirma Ia autorá del informe, Lin Lim. Uno do los sectores econômicos con mayores diferencias entre tiempô trabajado, salario y sexo, es el agricola, donde Ia mayor parte de las trabajado- económicos indepandientemonte delnivdl dedesarrollo del pals en cuestión. En su opinion, esas diferen- cias salariales se nutren de la discriminaciOn qué sufre Ia mujer desde Ia infancia y a par- tftde Ia propia escuela, por Ia que nunca pisaron más del 90 por ciento do .Ias niñas de muchas naciones africanas y asiáticas. El resultado es que las mujeres representan el 65 por. ciento de Ia poblaciOtl mundial analfabeta y el 70 por ciento de. Ia quo vive en. el umbral de Ia pobreza. "DiscriminaciOn en Ia escuela y consecuentemente también en Ia vida laboral", subraya Lim, quo cita entre otras formas flagrantes de discriminaciOn en el mercado do trabajo Ia desigualdad en Ia contrataciOn y Ia promoción yen el acceso a Ia formación y a Ia readaptación profesio- 1990 eran mujeres. Las mujeres son también las ras perciben en promedio remuneraciones que corres- Completan esa relaciOn Ia más afectadas por el desem-' pleo, que en algunos paises industrializados es un 50 por ciento superior al de los varo- ponden a tres cuartos del salario pagado a los hombres por el mismo trabajo. Segün Lim, "nada indica por discrirninaciOn de las mujeres a Ia hora do acceder a créditos y a otros recursos productivos, Ia nes. "A pesar do los avancés quo ahora que esa diferencia so ciOn por igual trabàjo y Ia exclu- esté reduciendo", realidad que se han experimentado y de es extensiva a otros sectores siOn en el proceso do toma de decisiones. nal. desigualdad en Ia remunera- Espana E -- t . c ... '-2 E U) 2- U)8 a - -. gU) 2 2. U)E .E : E .+, U)O ) U) UJt a)U)U)U) u 1 . 2 'E° U)U) U)=-00U)Q _ E ç = V i1ii 2 U) {1U)U tn.. b a E.. - 31 U) U) ' UUI!lfl IIDI UU)HJ! oV E U.'. : '- U)Oa) ' U a) a) ' ) ° a) NU) OU)E U España DIARIO D NAVARRA PAMPLONA Fecha. 30 JUL.1996 OIT. Las mujeres trabajan rns y DIARIDE GIRONA FecJsa.' 30 JUL. 1996 Les dofles treballen més i guanyen menys que els homes Ginebra.- Les dones tre- ganan menos que los hornbr GINEBRA. (Efe). Las mujeres trabajan. hasta diez horas mâs a Ia semana que los hombres pero sus salarios son entre un 50 y un 80% más bajos, segün el informe Mâs y mejores trabajos para las mujeresa, presentado ayer par Ia Organizaciôn Internacional del Trabajo (OIT). Esta discriminaciOn salarial es del 25% en los palses industrializados, indica Ia OIT, que cuenta las victimas de esa .desigualdad - 'por nillones,- -ye- quo el 45% de todas las mujeres con edades entre los 15 y 64 años son econômicamente activas en Ia actualidad en el mundo. ballen fins adeu hores més a La setmana que els homes perb els seus salaris son en- MS desempleo Segün Ia OIl, este fenOmeno tre un 50 i un 80% més baixos, segons l'informe. MOs i aumenta a med ida que Ia niujer se inilors feines per a les dones" presentat ahir pe l'Or- quo ha hecho do lorma significati- ganitzaciO Internacioñal del Treball. Aquesta discriminaciO salarial és del 25% en els paIsos industriaiitzats, .indica l'OIT, que compta les victimesaquesta desigualtat per inilions, ja que ci 45% de totes les dones amb edats entre els 15 1 64 anys sen econémicainent actives en I'actualitat al mOn. incorpora al mercado taboral, to va en las Oltimas décadas. Asi, més del 50% de Ia poblaciOn fenemina de los paises industrializados tiene un trabajo asalariado, proporción que hace veinte años era en Europa occidental del 37% y del 30% en EE JJU. Se calcula además que siete de los.ocho millones de personas que so incorporaron at mundodd trabajo en Europa occidental en ci perIodo 1980-1990 eran mujeres. real/dad es que las activ/dades econOm/cas de las mujeres s/guen concentradas en modaildades de empleo escasamente remunera- 'des, de ba/a product/v/dad y de gran precariedad,.i, afirma Ia autora del informe, Lin Lim. Uno de los sectores econOmicos con mayores diferencias entre tiempo trabajado, salario y sexo es el agricola, donde Ia mayor parte de las trabajadoras perciben en promedio remuneraciones que corresponden a tres cuartos del sata- rio pagado a los hombres por el mismo trabajo. SegUn Lirn, nada md/ca por ahora que esa d/ferenc/a se esté reduc/endo#, realidad que es extensiva a otros sectores econOmicos independientemente del nivel de desarrollo del pals en cuestiOn. En su opinion, esas diferencias salariales se nutren de Ia discrimina- ción que sufre Ia mujer desde Ia infancia y a partir de Ia propia escuela, por Ia que nunca pasaron más del 90% de las niñas demu- chas naciones africanas y asiáticas. El resuttado es que las mujeres representan el 65% de Ia poblac iOn mundial analfabeta y el 70% de Ia que vive en el umbral de Ia pobreza. rDiscr/minac/dn en Ia escuela y consecuentemente también en Ia Las mujeres son tambiOn las v/da laborals, subraya Lim, que més afectadas por el desempleo, que en algunos palses industriali- cita entre otras formas flagrantes de discriminaciOn en el mercado zados es un 50% superior al de los varones. wA pesar de los avances de trabajo Ia desigualdad en Ia que se han exper/mentado y de todos los discursos polIticos Ia el acceso a Ia formaciOn y a Ia contrataciOn y Ia promociOn y en readaptaciOn profesional. LE FIGARO 0 MONDE PDPOJ 0. I-. Salaires féminins: _II une décote de 25 % MONDE SaWres fémi LImUO.MaXd3OlUlUSU96 N 16158- CahIer national n'2 France wiedécoteth Ras ia/airec ethorairec frop lourds: leBffdtnonce les conditioizc de frarai/ desfemines dancle monde. eVMiiv k3ITkui GENEVE: NOIW ' Ceaf sur Ia nzath-dvuvz tions collectives sur I'autcl du dCveloppement. D'autant moms quc lea avantages cornparatifs Cvoluent rapidement d'une region a l'autre et que lee 1ththic rclathancnt bon mar- atouts de cc type sont très thó qi iiosent iindwtriaIisa- éphCniCres. L'exemple du textile eat des tion ax6csurks erportationset Ia compétitivitd internationaic plus significatifs, soulinc l'ins- titution. Après avoir quittC La directeur général l'Europe pour ice pays nouvel- condition feminine, caractCri- dans une nouvdlle migration, du Bureau international du lement industrialists d'Asie, travail (BIT) illustre ainsi Ia voilà cette industrieengagte see par les bas salaires et las horaires trop lourds. Dans un notamment vera Ic Bangladesh et Ic Vietnam, ol Ic coüt de Ia nouveau rapport publiC a Ge- main-d'euvre cat plus faible. fanmessont Wig,wrplacnombrcuses I tra miller, Is plupart rCclamer Ic p1cm respect des conventions du travail et de recommander aux pays du Sud nCve, ii note que, s si ks C'est une facon pour Ic BIT de d'dlerivjoi.gncntics iniz de ne pas donner des armes aux tenants d'une clause soaipIoipi*abea, mairdtdbiá dale ccnsCe rCCquilibrer Ic sTuwea Is ma,,*d d'cntre elks ocaoant des des Ira wil commerce international. ctI Dana I ensemble du monde, lea femmes sont en moyenne payCes 25% de moms quc lea hommes Dana lea pays dCveloppés elks travaillent pourtant an moms deux heures de plus par aemaine. En Aik. magne, en Australie et au Canada, Ia durée du travail eat a peu prCs égale alors qu'en halie elks effectent 28 % de travail en plus, 12 % en Autiiche et 11 % en France. Au Japan, cUes consacrent ucuf fois plus de temps que lea homines a dçs activités non rémunCrées. Une chose est sure, partout cites paicnt k tribut Ic plus lourd I Ia recession. Dana les deux tiers du monde industrialisé, Ic taux de chomage pour Ics femmes eat de 50 % a ioo % supéneur I celui des hommes. Atouts très éphémères Legislations spéciales Las grandes conftremxs de Beijing sur lea femmes et de openhague sur Ic développe. ment social avaicnt en 1995 fourni amplement I'occasion de brosser an Ctat des licux. La BIT entend aujourd'hui servir de guide pour redresser Ia Situation. ii prone ainsi Ia prise en compte d'un certain nombre de considerations per-' mettant d'amCliorer Ic sort des femmes au travail. Cest ainsi qu'il réclame l'application du pnncipe dc Is valeur compamblc qui veut qu'un salaire égal soit assure pour.un travail 6 Sans trancher Ic dCbat, e rapport appelie par ailleurs I un cxamen attentif de deux questions très controverstes. Celle des legislations spéciales introduites pour tenir lea La globalisation de l'écono- femmes I l'écart des emplois feinmes, dana Ia mesure 01 lea mvestissements directs, efféctués par exempic par lea multi- dictions du travail de nuit qul constituent dCsormais, scion mie profite pourtant aux péniblea. C'est Ic cas des nternationales dane les zones franches d'exportation, ont créC de multiples postes de tra- vail dont jusqu 1 80 % leur sont rCservCs. Mais il s'a?it presque toujours de labeur intensifet mal rCtubuC. C'est i'occasion pour Ic BIT d'inciter lea gouvernements concernés Inc pas allaiblir Ice certains, de vCritables entraves I l'accession au marchC professionnel. II en irait de mCme pour Ia fixation de quotas rigides, qui permettraient aux femmes d'acctder de facon autoritaire aux postes a pourvoir. Une tulle pratique, souhaitte par ice usa, eat jugCe contre-produc- five par lea autres. Elle pour- attirer lea capitaux Ctrangers, et I ne pas sacrifier Ia libertC rait cependant Ctre pratiquCe I litre provisoire, Ic temps de rttablir uncertain Cquilibie. d'association et de nCgocia- LN. lois Ct rCglements sociauxpour 1' A 11&ICC a) 1LU - C.) °- Cl) =0 LC) Cs.I = a)= Cl) a)a) == -= Eu .2CCS Cl) .Q) Cl) Cl) E Ic - Cl) C) a) C) = .E E = 0 a). =0 0 I- S o aa C) LU - C.) a) = C) 0 C) 0wa -= Cl) C.) =CCl) 0 cs = .23 E c C) >a C.) C) 2-i E = I 0. Li E 11 NO 0 -, i' ,' ;_ - 1k a France Mardi 30 juil et 1996 TEop d'heures et sálairé àIä tralne situation se genéralise. Lea femmes veuScion. le Bureau international to lent des enfants et travailler en même du Iravail, a fonctions égales, temps et elles en subissent lea conséquences. Même si elles ne sont pas toutes elles gagnent en moyenne dans ce cas. On ne voit pas pourQuoi lee 25 % de.moins que leurs fenunes sent moms payées a qualification égale. Dana ce domaine, il y a encore beaucollègnes niascullus coup de progrés A faire *. Thris font pkis dlieuieS quo Iei coIègues masci4lfls et sent pUyées 25% do mo&is en moyeone dens le Lemmes ROSANILMA*, 38 ANS, nndemsessontamuoonnibreuses a4oixhti dana des pessonsfta- it Ellesn'ontplus beaucoup lechoLr. iementdomkiés par fee hommes, rappo.te le Bureau kitematfonal do fraVal (611). De plus en plus defommesfravallent mals Ia gmnde maodté d'entie ales itLe résultat de cette etude ne m'étonne pas. Je rencontre de nombreuses femmes qui mettent de plus en plus de temps a va gtos* es rangs desbval$eurs pauvres *, trouver un emploi. Maintenant, elles n'ont Nalions urges spéclullsée dens los questfons prendre tout ce qu'on leur propose sans iii rappoit pifié p I'agenco des sodale& Nos cthws réagfesent DAMIEN*, 19 ANS, tUn vraipivblême Que les femmes travaillent plus en gagaunt moms, constitue un vrai problème. U eat vrai que lea employeurs prefbrent souvent embaucher des hommes. lJne fois 1e aervce militaire terminé, nous sommes fran- plus beaucoup le choix, elles doivent jouer lea difficiles pour le salaire. C'est un probleme que je connais bien pour l'avoir vécu *. *Mjjg.js, SYDNEY*, 43 MIS, tElles méritent d'êliv mieux payeesquenous!i. Cette situation eat anormale. fl ny a pas cia es,'les femmes, ellea, ont des contraintes raison pour qua lea f'pmm gagnent moms qua as tout au long de leur carriere. * lea hommot1l faudrait qua ce soitle contrmre, udiant (Val.de-Marne) elles mériteraient d'être mieux payées que ARTHUR*, 20 ANS, thy a beaucoup deprogns àfafre it C'est choquant. Ma]heureusement, cet- none I Quand dies sortent du bou1ot elles dcivent encore assumer toutes lea tâches ména- geresets'occuperdesenfanta* Paris Recueilli par Laurence YZELLA France SEtIEUR HEBt,O TRAVAIL Selon le Bureau international du 2 AOUT 96 Travail, les femmes travajilent plus que les hommes mais sont moms bien payées. Dans l'en- sernble du monde, elles sont paydes en moyenne 25% de 3 AOUT 96 LE PROGRES PE CORNOIJAILLE moms que les hommes. Dans les pays développes, eHes travajilent pourtant au moms deux heures de plus que les hommes, notamment en Ita lie, en Autriche et en 3 AOUT 96 LE COURRIER tlU LEON France. 9 0UT 96 PELERIN MAGAZINE Les femmes surexploitées et sous-payees On savait que les femmes Iravaillent, en moyenne, plus que les hommes. Une enquête du BiT (Bureau international du travail) vient d'en faire la preuve avec des résultats portant sur de nombreux pays. De manière générale, les femmes travailient plus longtemps que lea hommes mais leur salaire reste inférieur de 25 %. Par allleurs, Ia majoritd dentre elles occupent des emplois précaires du NoiI, 65 a 90% des emplois et mal rémunérés. Dans lea pays du Sud, elles représentent 70 % pas surprenants, us reflètent parfaitement Ia situation des a temps partiel. Commentaire de Roselyne Bachelot, prdsidente de l'Observatoire pour Ia parité: Ces chiffres ne sont des plus pauvres et, dans ceux femmes en France.>> LE OUOTIDIE'I LIE France 1 AOUT 96 L. REUNI OH LES FEMMES ET LE MARCHE DU TRAVAIL Des bosseuses sous-payéeS If S etsontpayées25% do moms en LOS femmesfontplils dileurOS quo louts cvil&u.smaSCUllllS moyenne dans Ic monile mals ellos sent aussl p1us nombieulos auJouril7iul dans des professions arleshommes rapporte le Bureau intemsUonal du travail jIV. tradltlonneliemellt dom - en plus ii. SOrt 100% plus non*re050s Plus d. 45% des famines quo las honinas dens do nom ttraux psys P.du*la1155. ISi mats Ia grand. m*- dana I. mmd. Igéas do tsiamn1es n'occupeflt quo am bavatfent: alIas raprö ntè dentre eltes vs 64 irnIent .*u!d'IU plus do P. 6% des pastes do cadres supégrossir los rangs des Ira vs dews doors dens P. monde. pauvres -. emit M" Un Urn, mote6 do P. populabofl ctivs - un Améiiquo do Nord. I'auteur du rapport pul,llé mardi dens len pays Induabfal,is. Europe at Japan, deux fats plus par I'agence des Nations unleS conOs 37% un Eumpe asol DE lemmas dialdeCopanta9uede 1995. bavadent dental. at 30% ator Etsts-lJnis speciatlsée dons los questions do lemmas qua d'hOmmea 001 reoUsi Pa populatiOn active efltr. soclales. - La majont...enfra ya2O ens. asIan P. BIT. Los pdndpstesWldiona do 1900 at 1990. altos occt,e des emplols pint- Sn *310 dii Sod-Eat it do l'êtude soot quo: caires, ma! rdmunérds .11 laible - P. majoitté des funenas n. VEst. lea famines rupresentefll product 16 - ajoute+Sba. lusqUe 60% des porsonnes amgagnent an moyenne quo los Los fernmes ropcésentent 70% players dens lea induatnes K des pauvres dons to mood. st trols-quts do sal*a dim portathces. 65% du milliard d'lHettréS. salon homme pow i. mOme Pavoll, an Cast air Ia main d'oeuvre to rapport - Plus at m,eux POIf dehoisdol'agikvftUra.Catteité- rernploi des lemmas. on guide relabv,meflt boo aatit* reals vrae dens las pays f4nllnloo. d'iOdustflaksat,ofl...EcatI na diminue pen. - pritcipoles vidXnes do Is ré- astion aver Vets lea .xpoilations .4titivlIé do nombreux at Is iduat,iali,M comma an vole mU&qUertpOSOl'l1dU5tfl pourl'action-. Le document do prés do 200 pages represenlo Un Stan ci. Ia cool brence mondislo des famines organia6e l'sn dernier I Péktn of du sommet social moo- oesai des avalas 1990, las famines lo chomage aant .1st. pays an dévofoppement -. re- maique IL Michal Hans0000. directal, g4nIral do BIT. Létude do BIT note cependant des progrés, nolamment dana lea pays industrialisés: - one nette tendanco S 000 plus grande representation des famines a des posIes qualifies: dtrectlon, cadres, lechniciens. admInIstration. Certaines soot memo parvenues su sornmet do - six Etats-UnIs, los famines soot plus nombreuses S creer des antreprises. des legIslatIOns sur one egoPita do salaire ant Ste adoptéeS dons do nombreux pays du Nord mats aussi du Sud at los co4i lions as 5001 améhothes pour petmetire aux fommes do conci Pier t&thes pcofessionnelles et reiponsabulltes famikalos. - los famines so ayndicalisent en plus grand ncmbre of lea néant collectives goclationS contzitrué S promouvoir I'égalité des sexes dans de nombreux pays. Les temmes et le travail Plus do 45% des fernmes ageesdei5à64anS travaiflent dons to moride En% Les temntes sontpayées25% e do moms en moy0000 dans le monde par rapport aux hommes .1 I de(emmes actives representeront le même pourcentage de (a main d'oeuvre que los hornmes dans de nombreux pays industrialisCs dicil'an 2000. Bans los pays on vole 70% des d'industrialisation. ones ne torment quo 31% do Ia population active mats tour participation est on augmentation. Ieseuil La hausse du nombre do do pauvreté famines au travail dans los pays du fIord eat due en grande partie danslemoode soot des femmes to monde soot des femmes AlP i*év NéanmOiflS, dl M. Hansenne. - ldgalitd do chance at do tra,te- ment pour las lemmas dons to moodo du travail reste partout 6 arteindre Le BIT prSvoit que les femrnes personneS vivant sous 65% do mIllard dilleltrés dans Eqailte ale chance a '- Les famines Lea femmes reprdsentenl travaillent de65190% aumoins2heuresde desemplois plus par sefnaine quo atemps partiel los honrmes et souvent des28 pays do OCDE 5 a 10 heures do plus Chomage LetauxdethOrnagedesfernmoSestde 500100% sppédetxa celui des honimes (dare 23 do pays tt&isViels) é des emplols S temps partiel. Lea femmes représentent do 65 a 90% des eniplols a temps partiel des 28 pays do I'OCDE. Hors OCDE. riles travaillent en majocite dens l'économio In- fonnelle, moms bien payee et saris protection sociate. Le BIT estimo quo lone des principates causes do Ia paw vreté of do soos-emploi des temnies oat Ia discrimination dent cUes soot victirnes a ltcoto, France 30 JUIL 96 LE COURRIER BE L'OUEST 'Travail : les femmes valent 25 % 30 JUIL 96 NOUVELLE REPUBLIQUE EIU CENTRE OUEST de moms que les hommes Travail: - les femmes moms payées que les hommes Si l'on considOre Ia eftuatlon génerale dana te monde, (es lemmas font plus d'heures do travail que (ours collegues masculins et sont payees25 % de moms en moyenne. Elles sont aussi plus nombreuses aujourd'hui dans des profes- Mud. 45% des f.nimes daas I. monda igèes de l5à54anstravaillent Si les femmes sont dé plus en plus nombreuses a envahir les professions tradiUonnellement réser.vées aux hommes, elles.n'en restent pus moms sous-payées par rapport a leurs collgues mascu- Les principales conclusions quo leurs collégues masculins do I'étUde sont que : .etsontpayées25%dernoins en moyénne dens Ia monde mais elles sont aussi plus nombreuses aujourd'hui dens des professions traditionnellement dominées par los hommes, rapporte le Bureau international du travail (BIT). it Do p1us en plus de femmes travail/ant mais Ia grande ma- jori$ d'entre elles va grossir. - :L.stemmes représentont 70% des pauvres dans le monde at 65% du milliard d'lIlettrés, salon Ia rapport. II ya 20 anttr: ILes GENEVE(ONU). femmes font plus d'heures sions traditionnellement dominéee par las hommes, rapporte Ia Bureau International du travail (On). Deplus en plus do femmes travail/ant, mais Ia grande magrossir jorne d'entre el/es los rangs des trava'illeurs pauvros , dcrlt Mme Un Urn, l'auteur du rapport. La majorlté occupo des emplols precaires, mairémunérés eta foible product/vitO , ajouto-t-eIIe. : 9 -la majoritédes femmes ne gagnent enflloyenne quo los trois-quarts du salaire d'un homme pour Ia méme travail, en dehors del'agriculture: Cette inégalite reste vraie dans los pays-industrialisés comme en voie d'industrialisation at I'écart nedirninue pas.. -principalesvictimes de Ia récessiondes années 1990, los Plus do-45% des femmes dana to monde, Agées de 15 a 64 ens, travaillent : elles représentent aujourd'hui plus de Ia moitiè do Ia population active dane lea pays industrialisés (contré 37% on Europe occidentale et 30 % aux Etats-Unis lly a vingt ans, salon to BIT). Parmi los conclusions do ('étude, on note qua: - l'InOgalité do salaires hommes-femmes reste vraie partout, y compris dana los las rangs des travaileurs pauvres , écnt M Lin Lim lemmas au chômage sont pays Industrialisés. entre 50 at 100 % plus nom- Lamajorité d'entre elles occupe des emplois prdcaires, mat rémunérés eta foible productMtéii, ajoute-t-elle. breuses quo los hommes dans do nombreux pays industrialisés. -les femmes n'occupent que recession des années 1990, (as 70%despauvres 6% des pastes de cadres supérieurs dans le monde. sont des femmes Los femmes représentent 70 % des pauvres dans lemon- de at 65 % du miHiard d'illettrés selor lé rapport Plus at -en Amerique du Nord, Europe at Japon, deux fols plus de femmes qUe d'hommes ont rejoint Ia population active èntre entre 50 ot 100 % plus nom- breuses que los hommes dans de nombreux pays Industrialisés. - en Amérique du Nord, Europe at Japan, deux fois plus do femmes que d'hommes ont rejoint Is population active entre 1980 at 1990. -en Asia du Sud-Est-et de I'Est, les femmes représentent femmes, un guide pour faction . Plus do 45 % des femmes dens le monde âgees de is a. jusqu'à 80 % des personnes 64 ans travaillent : elles représentent aujourd'hui plus do Ia moitié do (a population actn,e feminine, relativement bon dentbleet 30 % aux Etats-Unis femmes au chômago sent 1980 at 1990. mieux pour !'emploi des dans (es pays industrialisés, contra 37 % en Europe occi- - principales victimes do Ia employees dans les industries expórtatrices. t C'est sur Ia main d'oeUvre marché, -que repose I'industrialisation axée vers !es exortations et Ia compétitivité de nombreux pays en développement i. 30 JUIL 96 CENTRE PRESSE POITIERS 30 JUIL 96 LE MAINE LIBRE su c.J JUIL Y6 VUCLUSE MATIN 1 30 dUlL 96 LE EIAUPHINE LIBERE ic,, uJ j 2W I C,, uJ 2 5 z = C,, hUJ I CD SW 1. U. I .-1 i 4 I- France France Les Echos MardI 30 juliet 1996 Les temmes travaillent plus longtemps que les hommes mais SOCIAL elles perçoivent un salaire inférieur de 25 % en moyenne. Dans son demier rapport, publié aujourd'hui, le BIT s'alarme. BIT: la <<discrimination salariale>> frappe sévèrement les femmes structures dconomiques, lphabétisation.. La hate Demographic, i.iduif,asc.aisdscauz1kIUuu$ Za des cntères sur lesquels s'opposent pays IIWIc.hS*1n3U$ développés et en vole de dévehoppement est interminable. II existe pourtant un point vess luel us convergent: he traitement disxiininatoire impose aux feinmes dans he cadre de Leur travail. Dans les deux cas, cUes suppoc- tent en effet une charge de travail supérieure a relic de leurs collègues masculins,pourwisalaireplusfaiblcde 25% en moyenne, rappocte he Bureau international du travail (BIT) dans un rapport publié aujourd'hui. Ce rapport, Chaboré a ha suite de Ia conference monchiale des femmes orga- nisée l'an dernier a P6km et du sommet sodal de Copenhague de 1995, Se livre a Un constat en demi-teinte. Dc plus az plus de femme.c travaillent maLs la graiemajoritCd'enlreelks votztgrossir las sungs des travailleurs pauvres , rC- pays en vole de developpement, et qui sument ses auteurs. d'éconcanies se fondent sur cette inCga- Des lois, la plupan d'ezure elks occupeni des emplois précaires, mal ne tend pas a diminuer pas. Nombre C'esi sur la ,nasn-d'iruvre fémi11t6. nine, relaiivement bon march4 que re- inonde, plus des deux tiers sont des femmes Et lea fonnations ne soft pas toujours de nature a favoriser leur emancipation: Beaucoup d'établissemerits d'enseignement ci de formation professiorindle co,uinuait de cwuonner rémunérés eta foible productivité : les pose l'induc:riolisation ares vers ks femines représentent desormais 70 % des pauvres dans Ic thonde. Depuis quelques annécs, l'entrée des femmes sur he marchC du travail est massive. Plus de 45 % d'entre cUes, en age de iravaihler (de 15 a 64 ans, en théorie), occupent une activitC profes- erportations ella compétiti viM de nombreux pays en vole de devdoppetnent , exphique Michel Hansenne, Ic directeur les flUes dans desspécialuf.c dues 'fCmi- gCn6rai de I'organisation intcrnatio- des discqriines scientifiques ou techniques ', souligne Ic rapport. D'ohl ha nécessité, scion Ic BiT, d'agir trCs tot nonnehie: elks représentent aujourd'hui plus de Ia moitlC de Ia population active dans les pays industriahis6s, contre 37 % en Europe occidentale Ct 30% aux Etats-Unis ii y a seulement vingt ans. Une Cvolution que le BIT quahifle de veritable phénomène de feminisation de Ia main-d'euvre ci de l'emploi mais qui ne se traduit pas par nale. En Ask de h'Est et du Sud-Est, les femmes représentent en effet jusqu'à 80% des personnes employCes dam les industries exportatrices. Pr.mlèrsi victimes du ch6mage Deja frappóes par Ia discrimination salariale. les fernmes n'en sont pas iine amelioration significative de Ia condition fCminine: Ia phupart des moms durement touchées par he chômage. Ce sont mCme hes principales victimes de Ia recession des années 90: les femmes au chomage sont entre une fois et demie ci deux fois plus nombreuses que les hommes dans de nom- femmes n gagnent en moyenne que les breux pays industrialisés. trois quarts du salaire d'un homme pour le même travail (en dehors de I'agriculture). Un écart.constaté dans les pays industrialisés conune dans les Cette situation trouve une explication dans Ia difference de qualification entre hes deux sexes. Sure le milliard d'adultes analphabètes que compte Ie nines": daclylos, inflnnières, couzurières, serveuses, etc., las tenant éloignées en amont *. Tout n'est poultant pas si noir. La BIT relève mCme des progrès dans plusieurs pays. Des lois prOnnt I'Cgaliti des salaires ont ainsi Cté adoptCes dens de nombreux pays, du Nord comme du Sud, et les conditions se sont améliorées pour permeitre aux femmes de concilier tilches professionnelles et responsabilités familiales. Las femmes se syndicahisent en plus grand nombre et leurs conditions de travail sont de mieux en mieux prises en compte par lea conventions collectives. Enfin, el!es sont, aux Etats-Unis, plus nombreuses que les hommes a se lancer dans in creation d'entreprise. France. I d U) E E 0j g( _!1Iibi sq & l)d lLjflJJi France 30 dUlL 96 VAUCLUSE IIATIN 30 qJUIL 96 LE PAUPHINE LIBERE -. ' 1 .C\I -. CI) E a c.o' E iQ) -C) gj : oE.2 E Oc WQ).0C.) C).O a) Cl) J :. -- E a, = Cl) . i: a, E C)>0 ,CE ; i tr LU cc -fr cc 0 cc .1 E = France Viva Septembre 1996 TRAVAIL Les fémmes touj ours sous-payées I les fernmes sont toujours plus nombreuses a travailler, la plupart d'entre elies rejoignent les rangs des Iravailleurs pauvres,laniajorité d'entre des occupantdes enlosprécairesmalretrlbuésetafaihleproductivité .,noteleBureauintemationaldutravail dans mi rapport pani en juiflet denmier. Depuis 1990, les femmes conslituent, dansle monde, le tiers de Ia population active et en repisentaumoinslamoitiéenl'an2O00. Pourtant,les disixninations persistent. Elies gagnentenmoyexme25 % demoinsqueleurs colIèguesmasa&eIessontlespremières victimesduchômage dans beaucoup depays Industiialisés,elles sontenlreunefoisetdemie etdeuxfoisplusnombreuses queleshommes àréchercherun emploL Dans les pays en vole dedéveoppement,un grand nombre tmvaillent de façon infornielle, sans protection sociale. Côté durée du Iravail, l'egalité est a peuprès acquise en Allemagne, en Australie et an Canada, alors qu'en Italie les femmes effecinnt28%defrava11enp1us, enFrance,11 %, sans compterles tâches ménagères.0 France MARD'1 30.-JT.IILLET 1996 17 E.0 ON OH I.E Pour le BIT, 3 hommes égalent 4 femmes Les femmes travaillent plus longtemps queleshommesmaisleursalaireresteinferieurde25%.Uneenquétedu BIT (Bureau international du travail), rEsumant les ddbats de la conference mondialedes femmes rEuniel'an dernierà Pékinsou1eque4cIamajoritdd'ent1e1Iesoccupent dprécairesetma1thnunérds.Au Sud, 70% des pauvres sont des femmes. AuNord,eliesoccupent65 à90% desem- ploisàtempspartieL L' ECHO REPU3LICAIN AOUT 1996 28000 Dcins le monde entier - Lés féniñieiióiit soüspäyées. femmes font plus d'heu- res que leurs collègues -a faible productivit6, ajoute-t-: LESmasculins et sont payées cUe. 25% de moms en moyenne dans des pauvres dana Ic monde -et le monde mals elles sont aussi 65% du alilliArd d'illettrés, scion dans des professions tradition- le rapport Plus et mieux pour I'empioi des fenunes, un guide plus nombreuses aujourd'hui neliement doniinées par les hornmes, rapporte le Bureau interna-tional dutravall (BIT). De plus eli plus de femmes travaiilent mais In grande majo- ritE dentre cues va gmssfr les rangs des travailleurs pauvres, écrit Mme Lin Lim, l'auteur du rapport publié par l'agence des Nations wiles spécialiule dana lea questions sociales. La majolitE d'entre des occupe des empioisprEcaires, malimunExs et - Les femnies représentent 70% pour Faction . En moyenne: 25 %demoins Plus de 45% des fexnxnes dans Etats-Unis il y a 20 ans, Seionic BIT. Lea principales conclusions de l'étude sont que: - lamajoritC des fenimes ne gagnent en Inoyenne que lea trois- quarts du salaire d'un homme pour le même travail, en dehors de ;I'agriculture. Cette inCgalitéreste vraie dans les pays industrialisEs connie en vole d'industrialisation et l'Ccart ne diminue pea. - 6% des postes de cadres supérieurs dana le monde. - en Amérique du Nord, Europe et Japon, deux fois plus de fernmes que d'hommes ont rejoint Ia population active entre 1980 et 1990. - en Asic du Sud-Est et de l'Est, les fenunes représentent jusqu'l 8096 des personnes employées dana les industries cxportatrices. C'est curia main d'cuvrefE- le monde âgdes de 15 1 64 ans travaillent: cUes reprdsentent - principales victmmes de Ia récession des années 1990, les fernmes au chornage sont entre 50 et mmmc, relativement bon marché, que repose iindustriaJisa-' aujourd'hui plus de La moittd de 100% plus nombreuses que les in compEtitivitE de nombrevi hoinnies dana de nombreuz pays industrializes. pays en développement , remarque M. Michel Hansenne, direc- La population active dans lee pays industrialisés, contre 3796 en Europe occidentale et 30% - lea femmes n'occupent que tion axEe vers les exportations et teur général du BIT. France CHARENTE MARITIME .,- r'. t :'.. I_.J 17000 La ROCHth.IZ1 France LA CHARENTE LIBRE . .-., 1. 16000 ANGOtIL-EM .' I Travail '. .Lésfe.mrnespayées 25% : demoins que les hornrnes,. Lea femmes font piLls 'Los lemmas :reprá.nt. dheur.s. que leurs ,collègues masculiñs of sontpayóes 25%. de moms en moyenne dans le monde mals oDes sont ausel plus nombreuses auJourdliul 70% des pauvres dana monde of .65% -du millard dana des professions traditionneilement dominées par los hommes, rapporte le Bureau internationaj du trava (Bfl). l'actioni.. d'illettrés, salon Ia rapport Plus at rn/ow pour I'ernplol des fewnos, on guide pour La document do prèe do 200 pages represent. un suM do Ia conference Tnondlale des femnmes organlsóe Lan demnier a Pékin at du somm.t Ira vall/ent nials La grande majo rite d'enire el/es grossfr los mangs des travaiIleufspaLrwBs écrtt Mme Lin Urn, i'auteur du rapport pubile aujoOrd'hul par lagence des Natiomis Unies s$clalisée dane les questions soclales. .'La m*dté d'entre ellos oocupe des. amp/ole pf !ris, ma! rémunérés eta faIbW' pmdectMté, ajoute-t-elIe; social mondlal de.Copenhaguede 1995. Plus do 45% des femmes. dane to monde àgées do 15 è 64 ans travaUlent oDes representent áijourd'hui plus do Ia moitlé do Ia populatIon-actIve dane lea pays IndustrialisEs, contra 37% en Europe cccldentale of 30% aux Etats-UnI. U y a 20 ens, salon le Brr. 30 JIIIL 96 2 AOUT 96 L' EST REPUBLICAIN LE COURRIER FRANCiIS 2A0UT96 L' ECHO tiE 1. QUEST 2 AOUT 96 LÀ RENAISSANCE PU LOIR ET -. TRAVAIL Solon Ia Ruteati iñternaflonal du Travail, les femmes travaillent plus que les hommes mais sont moms bien payées. Dans I'en- Travail: les femmes mal payées Emplois précaires, mál rémunérés et a faible productivité sont le lot de plus en plus de femmes, selon Ic Bureau international du Travail. Bien qu 'dies fassent semble du monde, elies sont payées en moyenne 25% de plus d'heures que leurs moms que les hommes. Dans Ins pays dévetoppés, elles travaillent payées 25 % de moms en pourtant au moms cleux heures do plus que les hommes, notammont en Italie, en Autriche et en France. collègues masculins, elles sont moyenne. Elles représentent aujourd'hui plus de la moitié de lapopulation active dans les pays industrialisés contre 37% en Europe occidentale et 30 % aux Etats-Unis il y a 20 ans. France 30 JUIL 96 L' EST REPUBLICAIN 30 JUIL 96 JOURNAL BE LA HAUTE , .Travail.:.ies: femmes mal cotees z._. L.. Elles va1ent 25% de moms que les horn- mes sur lé marché. .......... Las fmm nt plus d'heurea que laura coflegues.mascu- vité.'. jóute-t-elle. Las .lIni t sent payee. % de moths en mcenne dens Ia mnnde mats alias sontauuii 'f plus nonibreuaes i*jozrd'hul' dens dee professions traditionncilement .domhee per, lee hcwnvn rapporte Ia Bureau International du travail (Bfl'). " prDe plus en plus de remmes travaillent mats Ia gran- de majorité d'entre elles va grossir las rangs des travailleurspauvresécrjtMme Lin Urn, lauteur rapport pu; m- me. représentent 79% del pauvre.danslemonde.t65% dunflIiard d'lllettrs, s.Ionls i*pport .rPlui at mleux pour Vemplol des femmes, un gui- de pour l?action,.. La docu- ment de prêt de 200 pages re- présente un sulvi dole conerence mondiale des femmes organhaéel'an dernleriPékin at du aommet social mondlal do Copenhague do 1Q95. Plus do 45% des feznmes dansle monde £géesde 15164 ens' travaillent: alias représententaujourd'hulplugdeja unies spécialiaée 'dens moitlé dole population active questions socialee. La mejodana lee pays Industrisilsés rite d'e.ntze. alias occup&dee, c*fltre 37% enEurope peelemp1oiapréc.ir1(g(njj nérép .et. ê .klbiWpçlc U 0 ins, asian 1B,. blié par l'agence dee Nations . o Cies 'sindustrialisés Lea prinâapaies âonIusfóni de l'étude sont que: La rnajorité des ferñthes ne gagne en moyenne que lea trois-quarta du aalaire d'un homme pour le rnêmefrivail, endehors del'agriculture. Cet te Inégalite reste vraie dañi]ee pays induatrialisés comma en voie d'industrialisation et l'écart ne dininue pas. Principaleevlctimesdeln recession des années 199Q, lea femrnes auchérnagesontentre 50 et 100% plus nombreuees que lea hommes dane de nombreux pays Industha]isés. Lea femmes n'occupent que 6% des postes de cadres aupérieurs dana le monde. En .Aniérique duNord, Europe et Japon, deux fois plus de femmes que d'hommes ont rejomt in population active entre 1980 et 1990. En Asie du Sud-Est at de l'Eat, lea fernmes représen. tent jusqu'à 80% des personnes employees dana lee industries exportatrices. C'èst surla main d'oeuvre Mminine, relativement bon marc.hé, que repose l'industrIalisation axée vera 'lea exportations at ii compétitivité de nombreuz en dCveloppement. remarque pays &L Michel Hansenne, directeur general du BIT. L'étude du BiT note cependent des progres, not2rnrnPnt dana lea pays industrializes: tine nette tendance I une plus grande représen- tItlondes femmes I des postee qualiflés: directions, ca- dres, technicians, admin- tration. Certalnes sont même parvenues au sommet do 1* hlérarchle. Aux Etati-Unla, lee fernmae sent plus nombreuses I créer.des entreprises. Des legislations lurune égalite de ealaire ont éte adoptées dens de nombreux pays du Nord maia aussi du Sud et lee conditions se sont amélioréea pour permettre aux femmes de conciller tIthes profesajonnelles et rae- ponsabilités faroiliales. Lee femmes so syndica- lisent en plus grand nombre at lee négociationa collectives ont contribué I prornouvoir l'égalité des sexes dane de nombreux pays. LE PROGRES 30 JUIL 96 France Femmes .: phis de travail moms d'argent !. En nombre, elles pèsentde plus en plus sur le marché du travail. Mais avec des emplois féniininc le plus souvent précaires, mal rémuñérés etpeu qualifies, l'egalité des sexes est loin d'être une réallté, commele montre un rapport de l'ONU ur le marché du travail, ii no fait pas ban .étre une femme. Si elles font plus d'heuros quo leurs collègues masculins, elles sont payées 25% de moms. Ainsi, malgré uelques avancées, los discriminations hommes-femmes prsistent Un rapport de l'ONU, pUblié aujourd'hui, et qui fait Oite do Ia conference mandia- le des femmos organisée lan .dernior a Pékin et du sommet social mondial de Copenhague de 1995, vient confirmer, chiffres I l'appui, ce que tout le monde 4ait déjà. 'iDe plus en plus do iemmestravaillent mais Ia grandemajorité d'entre elles va gros- sir los rangs dos travailleurs pauvresi, écrlt Mrne Lin Urn, rauteur du rapport Solon le Bureau international du travail (BIT), emplois préCaires, mal rémunéres eta faible productivité, sont le lot do Ia rando majorité. Les chiffres par- ten d'eux-mémes 70% des times do Ia recession des années 1990, los femmes constituent entre 50 et 100% do chômeurs de plus que los hommos clans do nombreux pays industrialisés. Le sexisme touche surtout los pastes de responsabilité. puisque seulement6% des pastes do cadres supérieurs dons le monde sont occupés par des femmos, memo si tine nouvoIle tendance so dessine avec une plus grande representation feminine a des pastes qualifies. Certaines sont méme parvenues au sommet do Ia hiérarchie, notamment aux Etats-Unis, øü los fémmes sont plus nombreuses a créer des entreprises. - Des. prbgres sont toutofóis soulignés.. par le rapport, notamment dons les pays .industrialisés. Comme par exemplo, des legislations sur une égalité do salaire. .pauvres dans le monde et 65% Denambreuxpaysdu Nord du milliard d'illettrés sont do mais aussi du Sud en ant adoptéeset lesfemmes disposentde meilloures conditions leur per- Sexe féminin. Car los travailleurs sont do plus en plus destravaillouses. En Amérique du Nord, Europe et Japon, par exemple, deux fois plus do femmes quo d'hommes ont rejoint Ia population active entre 1980 et 1990. La raison essentielle do cette augmentation do travailleuses : Ia multiplication des emplois a temps .partiel. 65 a 90% d'entro eux sont occupés par des femmes, dons los 28 pays do I'OCDE. Ailleurs, -elles travaillent on majorité clans l'économie informelle, moms -bien payee et sans protection sociale. En Asie du Sud-Est et do rEst, los femmes représenfent jusqu'à 80% des employés darn los industriesexportatrices. Los conclusions du rapport 'iPlus at mieux pour lemploi dos femmos, un guide pourEactioni. iônt éloquentes. Pour le mOme travail, Ia majorité des femmes ne-gagnent en moyenne quo los tiois-quarts du salaire d'un hornme, excepté dons l'agriculture. Dons los pays industrialisés comme dans ceux en voie d'indtitriajisation, cette inégalité ne dtmJue pas. Principales vic- mettant de conciliertâches pro- - fessionnelles et responsabilités familiales. Ces avancées en ma- tière d'egalite des sexes dans do nombreux pays n'est pas sans lien avec l'augmentation des syndicalistes parmi les femmes. Néanmoins, 'il'égalité do chance at de traitement pour los fommes dons le monde du travail reste partout a atteindre souligne Michol Hansenne. Un objectif d'autant plus urgent que solon los previsions du BIT, femmes et hommes pèsoront le memo pourcentagede Ia main d'ceuvre dàns de nombreux pays industrialisés d'ici Pan 2000. Et dons les pays en voie d'industrialisation, si elles représentent mains d'un tiers de la:populätion activ,.Ieur participation eat en augmentation. Pour le BIT, Ia discriminatioñ dont elles sont victimos a l'écolo constltue l'uno des principales causes de Ia pauvreté at du sous-emploi des femmes. France 1 INDEPEND.PNT 66000 PERPI TEL :68.35 I11I 1996 Le rapport Las lemmes font plus d'heures que leurs col- 30 JUIL 96 LE POPULAIRE DU CENTRE legues masculins et sont payées 25 % de moms en moyenne dans le monde mais elles sont aussi plus nombreuses aujourd'hui dans des professions traditionnellement dominées par les hommes, rapporte le Bureau international du travail .(Bfl). tes femmes représen- Discrimination i La vãleur des femmes tent 70 % des pauvres dans le monde et 65 % du milliard d'Hlettrés. t1oi oPgIr1oN * J66iI CENTRE PRESSE - AVEYRON MOINS 12000 RODEZi - LOU 0 JUL 1996 Cafltou. de l'homme, Ii femme? Paul-il lire poll. pour tine tell. AVENIR affirmation! Car nos mIres, swwc et compagnes restent a Ia remorque d'une société machi.cte. Dernilre preuve, la publication lzier par le Bureau international du travail d'une étude laissant clairement entEndre que les femmes valeil 25% de nioins que 1.5 hommes stir 1. marché ,h& tra- vail! Des quarts, nos moiliés ? MIme pas, si l'on considère qu 'elks représentent 70 % des pauvres dans 1. monde ci 65% du mihiard d'iletlrés. L.a France n'échappe pus a ladWirence de cell. discrimination noloire. Ii existe bien tin arsenal législatif pour 1. famneux "a travail égal salaire égal'. Mais on se garde de le claironner. Les femmes qui ne vivenl plus sous Ia Intel!. absolue .de .leur niazi depuis 31. ans seulemenl se forgent tine raison de loujours atlendre... Micliel Fillière font plus d'heures que leurs collègues masculins et sont payées 25% de moms en znoyenne dans le monde. Elles sont également plus nombreuses aujourd'hui darts des professions traditionnelienient doniinées par len hommes, rapporte le Bureau international du travail Lfemmes (Bri). De plua en plus de femmes Iravaillent mais Ia grande majorité d'entre elles va grossir len rangs des travailleurs pauvres w, écrit M un Lim, l'auteur du rapport publie aujourd'hui par l'agence des Nations unies spécialisée dans len questions sociales. La majorité d'entre ellen occupe des emplois précaires, mal rémunérés eti bible producthité ., ajoute-t-elle Lea femmes représentent 70% des pauvres dans le. mondeet 65% du milliard d'illettrés. Phis de 45% des femmes dans le monde âgees de 15 a 64 arts Iravaillent : ellen représentent aujourd'hui plus de la moitlé de Ia population active dans lea pays industrialisés, contre 37% en Europe occidentale et 30% aux Etats-Unis 11 y a vingt ans, selon le BIT. L'étude souligne que in majorite des feinmes ne gagne en moyeone que lea trois quarts du salaire d'un homme pour le méme travail, en dehors de l'agriculture. Cette inégajité reste vraie dans lea pays industriaiisés comme en vole d'industrialisalion et l'écart ne diminue pas. Piincipales viclimes de Ia recession des années 1990, lea femmes an chômage sont entre 50 et 100% plus nombreuses que lea hommes dana de nombreux pays industrialisés. Par ailleurs, ellen n'occupent que 6% des postes de cadres supérieurs dans le monde. Ie BIT estime que )'une des principales causes de in pauvreté et du sous.emploi des fernmes est Ia. discrimination dont elies sont victimes a rec1e. France 30 1JUIL 96 L' ECLAIR PYREHEES 30 JUIL 96 VAR MATIN : nbrnbis 30 JUIL 96 LE r1ERItIIONAL Salaires: es femmes, payées. 25% de moins-. fenimes font plus Marché du travail ' les femme's mal loties femmes font plus d'heures que leurs collegues masculins et sont payées 25% de moms en moyenne dans le mando mais elles sont aussi plus nombreuses aujourd'hui dans des pro- LES fessions traditiohnellernent dominées par les hommes1 rapporte Ia Bureau international du travaiL(Bm.4 "De plus en plus do femmes. Lesd'heures que leurs col- "Plus et rnieurpour l'emploi des femmes, un guide pour moyenne dans le inonde mais dans le monde ágees de 15 a publié àujourd'hui par l'agence elles sont aussi plus nom- des Nations unies spécialisóe breuses aujourd'hui dans des 64 ans travaillent: elles représentent aujourd'hui plus professions traditionnelle- de Ia moitié de la population legues masculins et sont payées 25% de moms en meat dominées par les hornmes, rapporte le Bureau hiternational du travail (Bit) "De plus en plus de fernmes travailent mais la grande majorité d'entre elles vs grossir les mangs des travail- l's ction". Plus de 45% des femmes active dans les pays industrialisés, contre 37% en Europe oceidentale et 30% aux Etats-Unis 11 y a 20 ans, selon le Bit. Lea principales conclu- publié aujourd'hui par l'a- sions de l'étude sont que Ia majorité des femmes ne gagnent en moyenne que les trois-quarts du salaire d'un gence des Nations unies spé- homme pour.le méme travail, cialisée dans les questions sociales. 'Ia rnajorité d'en- Principales victimes de la ré- leurs pauvres", écrit Mme Lin Lim, l'auteur du rapport tre elles occupe des emplois precaires, mal rémunérés et a faible productivité", ajoute-t-elle. Les femmes représentent 70% des pauvres dans le monde et 65% du mulliard d'ilettrés, selon le rapport en dehors de l'agriculture. cession des années 990, les femmes at chômage sont entre 50 et 100% plus nombreu- ses que les hommes dans de nombreux pays industrialisés et n'occupent que 6% des postes de cadres supérleurs dans le monde. travailent mais Ia grande majorité d'entre elles va grossir los rangs des travailleurs pauvres", écrit Mme Un Urn, I'auteur du rapport dans les questions sociales. "La .majorité d'entre efles occupe des emplois précairos, ma! rémunérés et a faible productivité", ajoute-t-elle. Los femmes représentent 70% des pauvres dans le monde et 65% du milliard d'illettrés, solon le rapport "Plus et mioux pour l'em- ploi des femmes, un guide pour l'action". La document do pres de 200 pages représente un suivi de Ia conference mondiale des femmes organisée l'an demier a Pdkin et du sommet social mondial de Copenhague do 1995. Plus do 45% des fommos dans le monde âgées do 15 a 64 ans travaillent: oDes représentent aujourd'hui plus do Ia moitié do Ia population active dans los pays industrialisés, cortre 37% en Europe occidentale et 30% aux Etats-Unis ii Va 20 ans, salon le BIT. France 30 JUIL 96 LA REPUBLIQUE E1U CENTRE r .h. ' u 'h hDJ "S. u dcr ;u ro q h: 1) ) - Q) .i ., W aO fl. a o .. 8. '1.Q) . u, w--- .: dZ..:i Cd ti' D'0 o 4 q,. .; . . . v1 c1Ww urn: 'S), waE i Cd 0 I W aj L. F. : CdaZ c'j dfE.E OOO '; w cfl .h !E cø E iW4I hQ C- L hqt -i'i LIIIfllhU 0 . L W vi riI1 b.Q o cI . b ia a :. :: )4 laI*c:. 30 dUlL 96 France LA tIARSEILLAISE HOMMES-FEMMES Elles travaH lent 1ls,mais elles sont moms payées -) u h S.. E :.. .D CC 4' .- z 1IillI i- Etu EE .. . g.uuo_ U. . - ,. h U-U 0 qEt ili :.- ,. u 4 e flqHE t o U .0 ' --L-. U eU iJh *1t " &. I - . 1iIiiJh qj) I) a o.m U Eui 111 u-E0 ..g E dil Hi1LU 1 -:'1-H.r !Iitftit1i ud Jill h. .UO Il) IIIU Lat:rQ,1) E C,) 0 HIi ar 1-Lil a U0E France 30 JUIL 96 LA IIEPECHE IIU MIII Elles font pourtant plus d'heures que les hommes. Les salaires des femmes 'toUjóurs' a là tralne femmes font plus d'heu- Lesres que leurs collègues Plus do 45% des femmes ágóes do 15 a 64 ans travaIent dans le monde masculins et sont payées 25 % de moms en moyenne clans le monde. Mais elles sont aussi plus nombreuses aujourd'hui Lesfemmes sont payêes 25% do moms en ::moyenne dans le rnonde par rapport aux hommes clans des professions tradition- nellement domin6es par les hommes, rapporte le Bureau in.tcrnational du travail (BiT). Dc plus en plus de femines travailient, reals lagrande majo- rite d'entre cUes va grossir les rangsdes travailleurs pauvres *, .c; .... .. , --% s écrit M' Lin Lire, i'auteur du rapport publiC hier par l'agence des Nations unies sp6cialisCe jans les questions sociales. KLa plupart d'entre ëlles occupent des emplois prCcaires, mat rC- * .de pauvreté dansIe monde ont des femmes , ajoute-t-dlle. 70 % des pauvres dans le monde et 65 % du milliard d'ilettrCs, fommes scion le rapport <<Plus et mieux Chomage Le taux do chôrnage des femmes est do 50 a 1,00 % ion. -Ic BIT. Les principales conclusions de l'Ctude sont que les femmes ne gagnent en moyenne que les trois-quarts dix salaire d'un hon'une pour le me- me travail, en dehors de l'agriculture. travaillent: elles reprCsentent Principales victimes de la rC- aujoürd'hui pius de la moitiC de cession des annCes 1990, les Ia population active dans les femmes an chômage sont entre pays industrialisCs, contre 37 % 50 et 100 % plus nombreuses que les hommes clans de nombreux pays industriauisés. Par aux Etats-Unis ii y a 20 axis, se- Los femmes Les femmes .représantent travaitlent de65à90% au moms 2 heures do des emplois plus par semaine quo a temps partiet lee hommes et souvent 28 pays do rOCDE 5 a 10 heures de p!us d'illettrês dans lemonde soft des Aijourd'I k, Temps partiel 65% 70 % des pauvres dans le monde en Europe occidentale et 30 % :. llya2Oans dumliard Les femmes reprCsentent mes, organisCc l'an dernier a PCkin, etdu somniet socialniondial de Copenhague de 1995. Dans le monde, plus de 45 % des femmes âgCes de i5ià 64 ans 70% des personfles vmvant sous munCrCs et a faible productivi- pour I'emploi des femnies, un guide pour i'action >. Le document repr6sente un suivi de la conference mondiale des fern- En% de femmes act!yes ailleurs, les femmes n'occupent que 6% des postes de cadres supCrieurs clans le monde. Quelques progrès 'L'etude du BIT note cependant des progrês, notamment dans les pays industrialisés : une nette tendance a une plus grande representation des femmes a des postes qualifies (direction, cadres, techniciens, administration). De mCme, aux Etats-Unis, les femmes sont plus nombreuses a crCer des entreprises. Par - ailleurs, ies fenunes se syndicalisent en plus grand nombre et les nCgociations collectives ont contribuC a promouvoir l'CgalitC des sexes dans de nombreux pays. Le BIT estime que l'une des principales causes de Ia pauvretC et du sous-emploi des femmes est la discrimination dont cites sont victimes des l'Ccole. France I EMPLOI los feinmes soot payêes 25% de moms qu los hoinmes osi mnderappotte le Bueauintemaliofll4etXaVaU(Bfl), moyosne d dans un documentpublié mardi 30 juliet. Mme slretudeduBrrni*edes progrès, notamment dans lee pays indualisés, elle esdme que I'giditi de chance et de lruitwrient pour lesfemmee dons le moude du tmwzil, ieste partoutàafthindre - (APE) lPartout cantonnées dans des emplo!s précaires et mal payés Sept pauvres surdbç soft des femmes.. El.. travalll.nt plus longtsmps mali sont moms bl.n payè.s. El.. r.prósntint 70% d.s pauvr.s t 65 % d.s lll.ttrós... La situation dss fmmss dans l mond n'st dicldómènt La situation des temmes en 1995 pa. brlllant. Mali .11. s'arrang. un p.u, constat Un rapport du Buraau lntrnational du travail ant.yéss :moIa1n eniequaIsé - Partout darts Ia monde, los temmes travaillent davantage et gagnent moms quo los hommos. Tel est, grosso modo, Ia constat HnnáIt 'UsO0cUpIfltUI9O%" unch6rnsgi desetet* $Oèl00%supkisur pa.Ides28$*y* cemtdeshommes. spluskótdellsé dressé - une nouvelle lois - par Ia Bureau international du Ira-. v$IABI dons un rapport publiè .aujourd'hui. Baptise - Plus et mleux pour l'emploi des lemmes, *Wt plois a tempspartlel sur dix sent occupes par des lemmas. Dane un guide pour I'actlon", ce document s'lnscrit dans le . prolongemont do Ia Conference mondlale des fommes de Pékin at du Sommet social do Copenhague qui so aunt tenus Ian dernier. EmpIois.préqaires rite d'.ntre sue, vs groulr los - pales victirnes de Ia recession dos années 90. Dan de nom- los pays los moms mndushialisés, breux pays industrialisés, le taux los femmes travallient en majorité do chOmage férninin est bien plus dansl'économle Intormelle, autre- élevé quo celui dos hommes. fernmont dit,. au noir, sans protection rAinsi, en France, 14% soclale. Autre Injustice: qu'ils vivent ou non dans un pays Industriallsé, pour le memo travail, las . .t Do plus en plus de femmes travallient, miii I. grande male- e mes sont a Id recherche d'un emplol, contre 100% des hornmao. hommes sent en .moyenne payes un tiers do plus quo leurs consurs. Comme le soullgne le BIT, l'ar- Slgneè d'espolr Darts ce tableau trés sombre, le BIT distingue toutefois quel- rings des bavalileurs peuvrss , rivée massIve de Ia population quos signes d'espoir, surtout écrlt l'auteur du rapport, Mme Un urn. Los femmes representent feminine sur le marché du travail et so contribution é Ia production de richàses ont pernils Ia crols- darts los pays developpés: los alnsi 70 % des pauvres darts le monde, at 65 % du milliard d'lllettrés quo compte Ia planèto. El parmi cellos qul travalllent, i Ia majorité occupe des .mplols precakes, mel rémunérés eu falbie Dans los pays du Nord, nombre d'entre elles sont a temps partlel. En France, par exemple, huit em- comma du Sud. i C'ut our cello maIn.d'osuvr relativement bee femmos y sont un peu plus nombreusos a conquerir des pOstes qualities, certains gouvernernents adoptent des legislations surl'égailté des salaires, et le nom saUce axes von los exportation, 'bre do syndiquées progresse. Mels, conclut tout de memo le sance économlque du Nord marché quo reposent ru*l&iails compOutMté do nombreux rapport, ii l'égatfté do chance el pays en développement *, remarquo le rapport. Mais, a l'inverse, los lemmes sont aussi lea princi- parlout C atleIndie Budget 97: ultirnes arbitrages Le Premier ministre a engage sa demière semaine de négocialions avec sos différents ministres atm de boucler le budget 1997. L'exercice est marque par une rigueur sans precedent depuls 1958 et le gel des dépenses. ministères seront touches par Ia reduction du train do vie de i'Etat, qui dolt atteindre un total do soixante milliards de francs; los Impéts devront cependant dimi- 30 JUIL 96 OUEST FRANCE nuer des 1997 denviron vingt cates, avec des rentrées fiscales milliards, ce qui nécessiterait do nouvelles economies; Ia suppression des effectits dans Ia Fonction publique se situeralt aux alentours de 8 a 000 postos, dont 2 000 a 2 500 darts I'Education nationale. Ce qui parait acquis bus les do tnaltement pour los femmes dens le monde du travail reste incertaines et une reprise de Ia crolssañce trop molle. II ost aussi pris en tenaille entre Ia nécessité do respecter lea critères de Maastricht, d'oü Ia reduction des deficits, at Ia crainte de susciter une rentrée sociale agitOe. D'autant quo lea syndicéte Ces demiors chiffres sont en baisse par rapport aux previsions plus élevées des derniers laura. Mais le gouvernement arbitre darts des conditions trés deli- so preparent a agiter le chiffon rouge dos salaires et quo los causes de mOcontentements sont nombreuses (éleveurs, arsenaux. médecins, fonctionnaires...). France 30 JtJIL 96 LE JOURNAL PU CENTRE MARCHE MONDIAL DU TRAVAIL Les femmes "valent" 25 % de moms que leurs collegues masculins Genève. - Lea femmes font plus d'heures que leurs collêgues masculins et sont payées 25% de moms en moyenne dana Ic monde, mais cUes sont aussi plus nombreuses aujourd'hui dans des professions traditionnellement doniinécs par los hommes, rappoxte It Bureau international du travail. ic Do plus en plus do femmes travaillent mais la grande majoritd d'enfre des va grossir lea rangs des fra- vaillours pauvres *, écrit Mine Lin Lim, l'auteur du pulation active enfre 1980 et calisent en plus grand 1990. contre37%enEuropeoccidentale et 30 % aux Etats- nombre et les négociations collectives ont coniribuC A do l'Est lea fenunes repré- TJnis il y a vingt ans. sentent jusqu'à 80 % des promouvoir l'Cgalité des sexes dana do nombreux personnes employees dana pays: lea industries exportatrices. La BiT prévoit quo los fommes représenteront Ic mzne .pourcentage de Ia main-d'ceuvre quo lea do ha population active dana los pays industrialisds, Los principales conclusions do l'átude sont quo: - La majorit6 des moyenne quo lea trois quarts do salaire thin hoinme pOuf lo ni8me travail, en dehors de1culuire,Ceuein6ga. ilic mare VnnC.anS,-Ie:paySY industrialis cdrnme voie dndustrialisation et' I'dcart no diñiine pas. - . - Prrncipøles victimeS do la mccs8icMr des années occupe des emplois pré- mage sont e fible produclivit6 *, ajoutet-dlie. Los femmes représentent 70% des pauvres dans 10 monde Ct 65 % du milhiard 1990, lea femmes an chô- St 100 % plus nombreüses ue los hommes dana do ñombreux pays indusiEiahis6. - Los femmes n!occu pentque6%dospostesde cadres superieurs dana Ic dllettrés. Plus do 45 % des morale. âgées do 15 a 64 ans travail- - En AmCrique du Nord, Europe ot Japon, deux fois fernmes dans lo monde lent: dies représentent aujourd'hui plus do la moiti6 L'Ctude note cependant femmes ne gagne en - des progrès, notarnment rapport. ic La rnajorit6 d'entre cUes cakes, rnal rdmunérés et a EnAsieduSud-Estet plus do femmes quo d'hommes out rejoint la po- . dans lea pays industrialiads: ..- lIne nette tendance a une plus grande représenta- tion.. des femmes A des qualifi6s: direction, ,tochniciens, dmini- hommes dana do nombreux pays industrialisCs d'ici flin2000. Dana lea pays en voic ertaines sont mêrne dindustriahisation, cUes no forment que31 % deJa po- ues au sommet do Ia ,hi6zrôhie. pulation active rnais leur fl. A-Ax Etats-Unis, lea feniiies sont plus nom- breuses" A cr6er des entreprises. -- Des I6gislations sur participation cat en augmentation. La hausse du nombre do femmes an travail dana los pays du Nord eat due en grande panic A des emplois a temps partiel. Los femmes une egalite de salaire out Cte adoptáes dana do nombreux représentent do 65 1 90 % paysduNordmaisaussidu des vingt-huit pays do Sad Ct los conditions so sont amóliorécs pour permetfre aux femnies do concilier tches professionnelles et responsabilites familiales. - Los femmes so syndi- des emplois A tenips partiel 1OCDE. Hors OCDE, cUes travail- lent en majorité dana l'éco- nornie informeile, moins bien payee et sans protection sociale. France 30 dUlL 96 LA REPUBLIQUE LIES P YREHEES 30 JUIL ÉTUDE 1.1 TELEC3I(ArIME DE: BREST Lës femmes aà rabais LES FEMMES a VALENT 25% DE MOINS OUE LES HOMMES SUR LE MARCHE DU TRAVAIL Los femmes font plus dheures que leurs collègues masculins et sorit payees 25 % do moms en moyenne dons le monde mats elles sont aussi plus flora uses atourd'hui dons des professions trothlionnellement domlnées par los hoffimes, rappolte le Bureau international du travail (Sn). Les femmes représentent 70 % des pauvres dans le monde et 65 % du milliard Las lemmas font plus d'heures qua louis collégues masculine at sent payées 26% do mains an moyanna dens Ia monda mais alIas sent eussi plus nombreusas aujourd'hui dons des professions traditionnallament dcminées par lee hommes. rapport. Ia Bureau international du travail (BITh La majodté d'entre alias occupe des emplois précaires, mel rémunérés at a faibte productivité. Las femmos raprésentant 70% des pauvras dane Is moiide at 85% du milliard d'illettrés, salon I. rapport Plus at mieux pour rernploi des lemmas, un guide pour l'ac- tiOns. d'illettrés, solon le rapport Plus do 45% des lemmas dens I. monde agees do 15 ê 64 ans travaillent. Principales victimas de Is rócession des années 1990, las Plus et mieux pour l'emploi des femmes, un guide pour I'action fenimes au chOmage sont entre 50 at 100% plus nornbreusas qua lee hommes dens de nombreux pays industrialisés. Elles noccupant par ailleurs qua 6% des postes de cadres supériaurs dens I. monda. Dee progrés peuvent néenmoins étre constatés une natta tendanca a une plus grande representation des femmes a des pastas qualifies. des legislations stir une egalité do salaira ont éte adoptées dans de nombraux pays du Nord mais aussi du Sud at las conditions sa sent méliorées pour permattra aux fammes do concilier taches professionnelles at responsabilités familialas. Enfin, las fammes se syndicalisant n plus grand nombre at las négociations collectives ont contribué a promouvoir regalite des saxes dens do nombreux pays. . Plus do 45 % des femmes dons le monde égées do 15 a 64 ans travaillent elles représentent aujourd'hui plus do Ia mollié do Ia population -active dons tes pays industiialisds, corttre 37 % en Europe occidentale et 30 % aux Etats-Unis ily a 20 ans, tielon IeBIT. Les principales cønclusions - del'etudesontque: - Ia majorité des femmes ne ga9nent en moyenne quo los trols.quarts du salaire d'un 30 dUlL 96 homme pour 10 méme travail, LA LIEPECHE IIU MUll en dehors do i'agnculture.. Cette Inégalité reste vrale dane los pays Industrialisés cornme en ve d'industrlalisation et I'écart no diminue pas. Les salaires des femmes toüj ours a 1a tralne - principales victimes do Ia recession des années 1990, los femmes au chômage sont entre 50 et 100 % plus noni- breuses que los hommes dons de nombreux pays In- dustrialisés. - les fommes n'occupent que 6 % dos postes do cadres supérieurs dens le monde. - en Amérique du Nord, Europe et Japon, deux fols plus do femmes quo d'hommes ont rejoint Ia population active enlre 1980 et 1990. - en Asie du Sud-Est at do l'Est, los femmes representent jusqu'à 80% des person- nes employees dens los industries exportatrices. s C'est sur Ia main d'oeuvre feminine, relativement bon marchd, quo repose l'industhalisalion axée vers los cxportalions et Ia compétitivité do nombreux pays en développement, remarque M. MI chel Hansonne, directeur général du BIT. L'égalité do chance et do traitement pour los femmes dons 10 monde du travail reste partout a atteindre . Le BIT estime que4'udos principales Causes:dkaUvreté et du sous-emplot des femmes est Ia discrimination dont elles sent victimes a l'école. Photo La Ddp Un rapport du Bureau in ternational dutravail. diguu payée,eñiiöyeññe, 25 % moms cberque les hommes. Salaires féminins: uNe décote de 2, % France Bassalaires etboraires frop lourds: le BIT dénonceles condiflons de Era vail des fernines dansle inonde.. tions collectives sur l'autel du doveloppement. D'autant GENEVE: Laa moms que les avantages corn- M paratifs êvoluent rapidement l'autre et que lea Cect.sur k main.d'zirnv d'une region a Penithrne relatiwmcnt hon mar- atouts de ce type sont très . éphéith d36qxrqnt!ifldU5ttth1LS8 . L'exemplellutextilecStdes flbnar&surlesexportatiansci plus StfllfientlfS, sOUli$fle l'ins- Ia compétitivité internationaie :titution. AprCs avoir quitté kbazzpdeffiCUkelQP 1'Europo pour les pays nouvel- panzL Le directeur générai du Bureau international du travail (BIT) iliustre ainsi La condition feminine, caractCri- see par lea bas salaires et les horaires trop lourds. Dans un nouveau rapport publiC a Ge- lernent industrtaiises d Asic, voilà cette industne engagée dans ñne nouvelle migratiozf, mment vers le Bangladesh et le Vietnam, oü Ic coilt de la main-d'ceuvre est plus faible. C'est une facon pour le BIT de nCve, ii note que, ' si/es réclamer le p1cm respect des fenimes scat toujourspitis nombrcuses a travail/cr, Ia plupart d'cntrc elks rcjoigncntics mugs des rawJlicurspauvres La majoi*é d'cntrc cUes compant des cmp!oispráircs ma! rIttibuà pivductMtén. eta conventions du travail et de re- commander aux pays du Sud de ne pas donner des armes aux tenants d'une clause sociale censée rCequilibrer Ic commerce international. ..Dans.l'enseniblc du monde, les femmes sent en moyenne payées 25 % de moms que les hommes. Dans les pays développés elies travailient pourtant au moms deux heures de plus par sernaine. En Allemagne, en Australie et au Canada, la durée dutravail est a peu prés égale alors qu'en Italie eUes effectuent 28 % de travail en plus, 12 % en Autriche et 11%en France. Au Japon, des consaôrent' fleuf fois plus Legislations spéciales Les grandes conferences de Bemjmn sur les femmes et de Copenliague sur Ic developpe- ment social avaient en 1995 fourni amplement l'occasion de brosser un état des lieux. Le BIT entend aujburd'hui servir de guide pour redresser la Situation. ft prone ainsi Ia prise en compte d'un. certain activités nóil renunerees. lIne .nombre de considerations permettant d'amCliorer le sort des femmes au travail. C'est ainsi chose est sare, partout cites qu'ii réclame l'application du de tempquë1 hommes a des paient le tribut le plus lourd a la-recession. Dans les deux tiers du monde industrialisé, Ic taux de chômage pour les femmes est de 50 % a 100 % supérieur a celui des hommes. Atouts très éphémères - principe dck vaieurcvmpamb/c -m qui veut qu'un salaire égal soit assure pour un travail Sans trancher lé débat, le rapport appelle par ailleurs a un examen attentif de deux questiofls trés controversées. Celle des legislations spéciales introduites pour tenir les femmes a l'écart des emplois La globalisation de l'écouoC'est le ens des intermie profite pourtant aux pénbies. dictions du travail de nuit qui femmes, dans Ia mesure oü rnvestissements directs, effectués par exemple par les multi- nationales dans les zones franches d'exportation, ont créé de multiples pastes de vail dont jusquà 80 % leur sont réservés. Mais ii s'agit presque toujours de labeur intensifet mal thtribué. C'est l'occasion pour Ic BIT d'inciter lea gouvernementS concemés a ne pas affaiblir tes lois et regiements sociaux pour attirer lea capitaux étrangers et a ie pas sacrifier Ia liberté d'associatiOfl et de négocia- constituent désormais, scion certains, de véritables entraves i'accession au marché professionnel. lien irait de même -pour La fixation de quotas rigides, qui permettraieflt aux femmes d'accéder de facon autoritaire aux postes a pourvoir. Une telie pratique, souhaitée par lea uns, est jugée contre-productive par lea autres. Elle pour rait cependant etre pratiquCe a titre provmsoir, le temps de rCtablir uncertain &iuilibre. _ M. LYON FIGARO 30 JUIL 96 France Femmes ps .dè travail, ; 30 1JUIL. 96 LES DEPECHES 30 JUIL 96 LA TRIBUNE LE PR0RES Q.PROVINd C 1996 LE JOURNAL DE L'AIN JOURNAL D LOIRE SAONE ET ' U 71100 CHLON SUR SAO niOins d'argent En nombre, des pèsent de plus en plus sur le marché du travail. Mais avec des emplois -. féminins le plus souvent précaires, mal rémunérés et peu qualifié.s, l'égalité -. des sexes est loin d'être une réalité, commé le montre un rapport de I'ONU le marché du travail, Sur femme. Si ellesfont plus d'heures quo leurs coHègues ii no fait pas bon être une lisation, cette inégalite ne di. minue pas. Pnncipates victimes do Ia recession dos annéos 1990, las femmes constitUent- masculins, ellos sont payées '25% do moms. Ainsi, malgré quolques avancéos, los discriminations hommos-femmes entre 50 et 100% do chômeurs do plus quo los hommes dans do nombreux pays industriali- I'-ONU, publié aujourd'hui, et qui fait suite do Ia conféronco mondiale dos fommes organi- ' sea l'an dernier a Pékin et du sonimet social mondial do Co- Lesexismotouchesurtout los postos do responsabiljtO puisque seulement 6% des postes do cadres supérieurs dans lo mondo sont occupés porsistent. Un rapport do ppnhaguo de 1995, vientconfir- mer, chiffres a l'appui, ce quo sés. par des femmes, memo si une nouvélle tendance so dessine avec une plus grande repré- tout Ia monde salt déjà. De plus en plus do femmes tra- sentation feminine a des vaillent mais Ia grande majorité pOStOS qualifies. Certaines sont dentre elles va grossir les memo parvenues au sommet do Ia hiérarchje, notamment ran,gs des travailleurs pauvres., écrlt Mme Un Urn, l'autour du rapport. Selon-le -Bureau 'internstionel du travail (BIT), emplois précaires, mal rémunérés et produCtivité, sont le. lot aux Etets-Unis, oO les femmes sont plus nombreuses a créer des entreprises. Des progrés sont toutefois soulignes par le rapport, notamment dans los pays industrialises.Commeparexomple, des legislations sur une égalité do .salaire. Do nombroux pays du Nord mais aussi du fble Ia grande majorité. Les oh5ffres parlent d'eux-mOmes: Q% des pauvres dans lemon- 4frt 65% du milliard d'illettrs sont do sexo féminin. -. Sud-en ont adoptees ot les -Carlestravailjeurssontde femmes. disposent tJapon, par exemple, deux meilleures conditions leur permettant do conciliertâches professionnelles et responsabjlj- iDus en plus des travailleuses. EfAmeriquo du Nord, Europe Gi plus de femmes que ont rejoint Ia poulation active entre 1980 et 1990. La raison ossentielle de aette augmentation de travailleuses Ia multiplication des emplois a tomps partiel. 65a 90% d'entre eux SOflt OC cupés par des femmes, dens les28paysderOCDE.p.jIleurs eiros travaillent en majorité dons l'économie informelle, de tésfamjljales.Cesavanoson matière d'egalite des sexes - dans do nombroux pays n'est pas sans lien avec l'augmentation des syndicalistes parmi los femmes. Néanmoins, icl'égalité do chance et do traitemerit pour les femmes dans lo monde du travail reste partout a at- teindrei souligne Michel Han- thoins bien payee et sans protection sociale. En Asie du SudEat at do VEst, los femmes - senne. Un objectif d'autant employés dans los industries exportatricos. r. Los conclusions du rapport 4Plus et mieux pour I'emploi pourcentage do Ia main 2000. Et dans los pays en voie l'action sont éloquentes. Pour l-rhéme travail, Ia majorité des d'industrialisation, si elles représentont moms d'un tiers do Ia population active, leur par- résentent jusqu'à 80% des des femmes, un guide pour femmes no gagnerit en moyen- ne quo los trois-quarts du sa- hire d'un homme, excepté dens lagriculture. Dens les pays industriahisés comme dans ceux en voie d'industria- plus urgent quo selon les pre- visions du BIT, femmes et hommes péseront Ia memo d'cuvre dans de nombreux pays industrialisés d'lci l'an ticipation est en augmentation. Pour le BIT, Ia discrimina- tion dontelles sontvictimes a l'écoleconstitueI'unedesp. cipales causes do Ia pauvreté at du sous-emplol des femma - France 30 JUIL 96 LA CORSE 30 JUIL 96 LE PROVENCAL BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL, Lesfemmes travaillent plus nais sont moms payeeS Les femmes font plus dheu. hommepour, le méme travail, moms en moyenne dans le mon recession des années 1990, les femmes an chOmage sent entre res que leurs collègues nias-. ;Cndaiu0r8 de l'agrlculture. - principales victimes de la culius ét sont payées 25% de. de mais elies sont aussi plus nombreuses aujourd'hui dans des professions traditionnellement dominées par les hommes, rapporte le Bureau internatlonal du travail wm. "De plus en plus de femmes tzavaillentmais in grande majo- rite d'entre elies va grossir les mugs des travailleuiupauvres", 50 et 100% plus nombreuses que les hommes. -ins femmes n'occupent que 6% des postes de cadres supérieurs dans le monde. -en Amérique du Nord, Europe etjapon, deux fols plus de femmes que d'hommes ont rejoint in population active entre écrit Mme JAn 1Am, l'auteur du 1980 et 1990. dial de Copenhague de 1995. Les principales conclusions les femmes commencent a accé- de l'étude sont que: -Ia majorité des femmes ne prises. En outre, des - en Asie du. Sud-Est et de rapport publié hier par l'agençe des Nations umes spéciall- l'Est, les femmes représentent sée.dans les questions sociales.. jusqu'à 80% des personnes emLe document, de pres de 200 pa- ployees dans les Industries exges, représente un suivi de la portatrices. L'étude du BiT note cepenconference mondiale des fernmes orgarnsée l'an dernier a dant des progres, notamñient Pékin et du sommet social mon- dans les pays industrialisés oa gagnent en moyenne que es trois-quait.. u salaire dun der a des postes qualifies unportants et a créer des entre- legislations ont éte adoptée urune egaiité dessalaireF France L' EVEIL DE LA HAUTE LOIRE 43000 LE W JUIL. 1995 $ femmes au travail J PIuS d'heures,, moms d'argent 1s femmes vàlént 25 % é moms que les nmes sur lemarché du travail, se/on le BlT One si.elles sont plus nombreuses a travailler, sont souvent ma! rérnunérées. Sur le marché du travail, il ne fait pas Don Otre une femme. Si elles font plus d'heures que leurs col- lègues masculins, elles sont payées 25 % do moms. Ainsi, matgre quelques avancées, les discri- minations hommes-femmes persistent. Un rapport de I'ONU, publié mardi, et qui fait suite a Ia conférence mondiale des femmes orga- nisée I'an dernier a Pékin et au sommet social mondial de Capon- dans ceux en vole d'ndustrialisacette inégalité ne diminue pas. Principales victimes de Ia récession des années 1990, tesfemmes constituent entre 50 et .100 % do chômeurs do plus que les hommes dans de nombreux pays industrialisés. Le sexisme touche surtout les postes de responsabilité puisque seulement 6 % des postes de cadres supérieurs dans le monde hague de 1995, vient confirmer, sont occupOs par des femmes,chiffres a l'appui, ce quo tout to memo si une nouvelle tendance so monde salt déjà rDe plus en plus. dessine avec une plus grande de femmes travaiientrnais/a.gran- representation -feminine a des de majorité d'entre elles va rossir postes qualifies. Certaines sont les rangs des Ira vailleurs même parvenuos au sommet do Ia pauvres ', écrit MM Un Lim, hiérarchie notamment aux Etatsl'àuteur du rapport. unis,-oi les femmes sont plusnombreuses a créor des entreprises.. LES CHIFFRES PARLENT Solon le Bureau international du DES PROGRES travail (BIT), omplois prÔcaires, mal rémunérés et a faible productivité, sont le lot de Ia grande majori- té. Los chiffres parlent d'eux- memos :70 % des pauvres dans le monde et 65% du milliard d'illettrés sont de sexe féminin. Car tes travailleurs sont de plus en plus des travailleuses. En Amé- rique du Nord, Europe et Japon, Des progrès sont tàutefois souli- gnes par le rapport notamment dans tes pays industrialisés. Comme par exomple, les législations sur uno égalite de salaire. De nombreux pays du Nord mais aussi du Sud en ont adoptées et los femmes disposent deniellioures conditions teur permettant do par exemple, deux fois plus de concilier tâches professionnelles et femmes que d'hommes ont rejoint Ia population active entre 1980 et avancées en matiére d'égalité des 1990. La raison essentielle de cette augmentation do travailleuses : Ia multiplication des emplois a temps partiel. 65 à"90 % d'entre eux sont occupés par des femmes, dans les 28 pays do l'OCDE. Ailleurs, elles travaillent en majorité dans I'éco- nomie informelle, moms bien payee et sans protection sociale. En Asie du Sud-Est et de l'Est, los femmes représentent jusqu'à 80 % des employés dans les industries exportatrices. CONCLUSIONS Les conclusions du rapport Plus et mieux pour l'emp!oi des femmes, un guide pour !'action sont éloquentes. Pour le méme tra- vail, Ia majorité des femmes ne gagnent en moyenne quo los trois- quarts du salaire d'un homme, excepté dans l'agriculture. Dans les pays industrialisés comme responsabilités familiales. Ces sexes dans do nombreux pays n'est pas sans lien avec l'augmentation des syndicalistes parmi los femmes. Néanmoins, l'égalité de chances et de traitement pour les femmes dans le monde du travail reste partout a atteindre souligne Michel Hansenne. Un objectif d'autant plus urgent quo solon los previsions di,- BIT, femmes et hommes pèseront le méme pourcentage do Ia main d'ceuvre dans de nombreux pays industrialisés d'ici l'an 2000. Et dans les pays en voio d'industrialisation, si elles représentent moms d'un tiers de Ia population active, leur participation est en augmentation. Pour le BIT, Ia discrimination dont elles sont victimes a I'école constitue I'une des principales causes do Ia pauvreté et du sousemploi des femmes. s' France 30 JUIL 96 LA flONTAGNE .)j. I e ci) V W w E ( Q. o ' EV .cC) 0, C-) - Cl) V C 0 -- D VI o EV - = Cl) EH .,, o V0,CV g u. i: .E EoEa E&. ii111Ht .jmc'Vc,V 0,D t 0, Ecr C.=VV 2 CI). _.II H2 E V cwEE o C.) a. France Sur Je march du travail Les femmes "valent" 25. %' de moms .;':quë les hommes S 3AOUT9' LIBERATION CHAt1PAGf1E Lés lemmas font plus d'heures qué leure coilegues mascullns et sont payées 25% de mains en moyenne dens le monde male elles sont ausil plus nombreuses aujour- d'hui dana des professions tradftlonnellement dominées par lea hommes, rapporte Ic Bureau International du travail. (BIT). De plus en plus de femmes Iravalilent mals Ia grande majorite d'entre elles va grossil las ranps des travailleurs pauvres", lisation axOe vers los exporta- lions el Ia compétitivité do nombreux pays en développe- mont", remarque M. Michel :écnt M" Un Lim, l'auteur du Hansenne, directeur general du rapport pubile mardi par BIT. 'i'agence des Nations unles L'étude du BIT note capondant des progrès, notamment spécialisée dans les questions sociales. La majorité d'entre elles occupe des emplois precaires, mal rOmunérés at a faible productivite", ajoute-t-elle. dans las pays industrialisOs: - une nette tendance a une plus grande representation des fommes a. des postes quali'flés: direction, cadres, techni- Les femmes reprOsentent 70 % des pauvres dans le dens, administration. Certaines sont memo parvenues au sommet do Ia hiérarchie. monde at 65 % du milliard d'iliettrés, salon So rappoñ Plus at .mieux pour. i'emploi des fern-. Jnes, Un guide pour i'action". Le documeflt de' près do 200 - aux Etats-Unis, los fernmes sent plus nombreuses a créer des entreprises. des legislations sur une pages reprOsente un suivi do Ia égalité do salaire ont ete adop- conference mondiale des fern- tees dans de nombreux pays du Nord mais ausél du Sud at (as conditions sa sent améllorées pour permettre aux fern- mes organisee l'an dernier a Pékin et du sommet social mondial de Copenhague de '1995. mes de concilier tAchas professionnelles el responsabilités miliales. ) , ljus de 45% des femmes tdans le monde égées e 15 a '64 ans travalilent elles repi-esentent aujourd'hui plus de Ia moitiO de Ia population active - las lemmas se syndicallsent en plus grand nombre at dans los pays industrialisés, contre 37% en Europe'occi- las nOgoclations collectivos ont contribuO a prornouvoir I'égalité des sexes dens do nombreux dentale et 30 % aux ,Etats-Unis ily a 20 ans, salon Ia BIT. Las principales . conclusions de l'étude sont que: - Ia majonté des lemmas ne pays. NOanmb$ns, dit M. Han. senne, 'l'égalfté do chance et do traltemant pour las lemmas dens (a monde du travail reste ganent en moyenne que les trous-quarts du sataire d'un homme pour le méme. travail, en dehors de l'agriculture. Cotta Inégalite reste vraie dans les pays industrialisés comme en vole d'industrialjsation at l'écart ne diminue pas. - principales victimes de Ia recession dos années 1990. las femmes su homage sont entre 50 et 100% plus nombreuses qué los hommes dans de nombreux pays 'industrialisés - les femmes n'occupent que 6 % des postes de cadres supérieurs dans le monde. - en AmOrique du Nord, Europe et Japon, deux lois plLrs.de lemmas quo d'hommes ont rejoint Ia population active entre. 1980 at 1990. - en Asie du Sud-Et at do partout a atteindre". - Le BIT prévolt quo las fernmes représenterord Ia memo pourcentage de Ia main d'ceuwe que las hornmes dens do 'nombreux pays industrialisés 'd'ici l'an 2000. Dans las pays en vole dindustrialisrttion, alIas ne torment que 31 % do Ia population active mais leur participation est en augmentation, La hausse du nombre de fern- mes au travail dans los pays du Nord est due en grande partie a des emplois a temps partial. Las femmes représenlent de 65 a 90% des emplois a temps partiel dos 28 pays de l'OCDE. Hors OCDE, elles travaillent en majorité dens l'économie In- formelle, mains bien payee at sans protection soclale. EEst los lemmas représentent jusqu'è 80 % des personnes employees dans les industries exportatrices. "Cest sur Ia main d'uvra feminine, relativemerut bon marché, que repose l'industria- La BIT estime que l'une des principales causes de Ia pau- vreté at du sous-emplol des temmes est (a discrimination dont elles sont victimos a iécole. 1 France 30 JUIL 96 PARIS NORMANBIE 30 JUIL 96 PARIS rIANTES - P0I!38Y : .1 I) a.: h:J iii 111.111!!:;: h q. - - En. G) .6.6 I 1*.. 5E IIIIIH1I InL: piiiq 55uu.a . .2 Co WU .Q E... 0 ij 6 .2J =. =0 iD1 .\ I) AI UI 0.= EEUEO------- -, 8 iHflUE g lilUti VL 5 u6" - 30 JtJIL 96 LYON MATIN Femmes :. plus.de. fravail En nombre, elles pèsent de plus en plus surie marché du travail. Mais avec des emplois féminins le plus souventprécaires, .rnal rémunérés et .peu qualifies, l'égalité des sexes est loin d'être une réalité, comme le 'nontre ün rapport de l'ONU Ic inarché du travail, ii ne fait pas bon être une femme. Si ellesfont plus cYheures que leurs èollègues masculins, elles sont payées times de Ia recession des années 1990, los femmes constituent entre 50 et 100% de ché- Sur mourn de plus quo les hommes dans de nombreux pays indus- 25% de moms. Ainsi,malgré trialisés; I.e sexism&touche surtout quelques avancées, los discri- minations hommes-femmes les postes do responsabilité puisque seulement 6% des persistent. Un rapport del'ONU, publié aujourd'hui, etqui fait postos do cadres supérieurs suite de Ia conference mondiaIc des femmes organisée I'an dernier a .Pékin et du sommet social mondial de Copenhague dons le mondesontoccupes par des fammes, même si une nouvoIle tendance so dessine avec une plus grande representation feminine a des postes qualifies. Certaillessont memo parvenues' au sommet do Ia hiérarchie, noamment aux Efats-Unis, oCles emmes sont plus nombreuses créer des entreptises. Ce 1995, vient confirmer, chiffres a l'appui, ce quo tout le monde Sait déjà. De plus en plus de femmestravajllent mais Ia gran(Iemajoritôd'efltr&ellesvagros.. sir los rangs des travalileurs pauvres., écrit Mme Lin Urn, .t J'auteur durapport. Solon Ia Bureau intêmatio. hel du travail (Bin, emplois precaires, mal rémunéEé$ eta foible productivitê,son I lot, dela grande majonté.tècIres p lent d'eux-mêmes 70% des pauvres dans le mond. et 55% . Des progrs sont toutefois par 18 rapport, no- $ oulignés tamment dons los pays indusnalisés. Comme par exemple, d es legislations sur uno égalité d o salaire. Denombreux pays du Nord du milliard d'illettréssont do mais aussi du Sud en ont adopSexeféminin. ..... , .........,. éeset los femmes disposent de Car los travâilleurs sent do meilleures conditions leur perplus en plus destravailIeuees En.. mettantde conciliertâches proAmérique duNord, Europe et - essionnelles ot responsabilités Japon, par exemple,deux4ois miliales. Ces avancées en maplus defemmesquecPhommes tière d'égafite des sexes dons ont rejoint Ia population active d o nombreux pays n'est pas entre 1980 et 1990. La raison Øssentielle de cette augmentation do travailleuses Ia multiplicatron des emplois à temps ans lien avec l'augmentation dossyndicalistes parmi los femmes. partiel. 65 a 90% d'entre eux sont Néanmoins1 tlégalité de occupés par des femmos, dons les 28 pays do I'DCDE. Ailleurs, elles travaillent on majojité dons chance et detraitement pour les femmes dons Ic monde du travail reste partout a atteindre souligne Michel Hánsenne. Un objectif d'autant plusurgent que léconomje informelle, moms bien payee et sans protection socialo. En Asie du Sud-Est et do l'Est, lesfemmes représentent jusqu'à 80% des employés dons los industries exportatrices. Los conclusions du rapport 'Plus et mieux pour l'emploi des femmes, un guide pour l'action sont éloquentes. Pour le memo travail, Ia majorité des femmos no gagnenten moyenno quo los trois-quarts du salaire d'un hornme, excepté dans lagriculture. Dans les pays industrialisés comme dans ceux en voie d'industrialisation, cette inégalité ne diminue pas, Principales vic- solon los previsions du BIT, femmes et hommes pèseront lo mOme pourcentage do Ia main d'ceuvre dans do nombreux pays industrialisés d'ici Pan 2000. Et dons los pays en voie dindustrialisation, si elles représentent moms d'un tiers do Ia population active, teur participation est en augmentation. Pour lo BIT, Ia discrimination dont ellos sont victirnes a l'école constitue l'une des prin cipalos causes de Ia pauvrete du sous-emploi des fo France LA DEPECHE DTJ MIDI 31000 - - France / TOL3UUT 1996 ,.Les.fèrnmes.:, ut sous-pavees Les salaires des femmes de Toulouse et dela region sont inférieurs de 25 % a ceux des hommes. La diffrecê est plus importante. pour les chefs d'entreprise que pour les ... ouvrières. vaut8tie ouvrière et employee que pa- Mieuxtron... lorsqu'on Les femmes cadres ónt : compare les salaires des femmes Toutefois, ces disparités ne etdeshommesdanslarégion.En sont pas majoritairement le fait de chefs d'entreprisemisogynes. L"ana!yse seraittrop somm2ire. effet, a Toulouse et dans Midi- Pyrénées,les salaires des pIemières sont en moyenne infé rieurs de 25 % a celui des se- conds pour l'ensembledes rémunérations. Maisunefemmechefd'entreprise gagne un tiers de moms (35 %) qu'un homme patron, alors que la difference pour les salaires ouvriers eat de 17 % en défaveur des femmés et de 10 % pour ceux des employés. Toute- fois, une femme patron gagne 9.780 F net par mois et tine ouvriIre 5.3 14 F... Rests que Ia difference entre les salaires fCminins et masculins est éloquente. Les chiffres publiés dans ce domaine enjuil- let dernier par l'Insee de MidiPyrénées - a partir des salaires mensuels nets moyens verses en 1993 illustrent tine fois de plus les disparités criantes enire les hommes et les femmes en matière de rémunCrations. Une situation qui n'est pas propre ala region. On!' observe dans le monde entier comme vient de le démontrer le Bureau International du Travail (le B11) dans tine étude consacrde au travail des femmes. Elie fait appamitre que les salaires de ces des- iièressontinfCrieursde25i% a ceux des hommes (Ia Ddpéche du 30jufflet 1996). Elles illustrent bien davantage in place que les femmes occupent clans lahidrarchie des entreprises et de !'emploi. - En d'autres termes, les fernmes sontplus souvent ihfiriniIres que médecins spécialistes. Un chiffreéloqjient adans laré- gion, !es femmes cadres sont deux fois moms nombreuses que les hommes, a!ors qu'elles sont quatre fois plus présentes chez les employees secteur oh les salaires sont plus faibles. Les fravaux publics àlatramne L'dtude de !'Inse met aussi ledoigtsurle fait que les disparitéc salariales ne se Iimitent pas aux hommes et aux femmes El- las s'observent aussi, pour les deux sexes, entre les secteurs d'activités. - C'est ainsi que Ic bâtimënt et les travaux publics < sontlanterne rouge dam ce domaine affirme l'lnstitut. Les salairessont 25 % inféricurs a ceux de là région. Les Ctablissements industriels sontles plus gCnCreux, me- me pour -les rémunéralions des jeunes do moms de 25 am. Las femmes sent plus souvent infirmières que grand patron de chirurgie. (Photo archives c La Dépéche *) La Haute-Garonne en premièreilign Enfin, les disparités salariales sont aussi géographiques. Le salaire moyen de Ia Haute-Garonne est supdnieur de 8 % àcelui de Un jeune dc cette tranche la region et ceux des departsments ruraux infénieurs a cette d'âge percoit en móyénnéiiiiè.a laire netde 4.227 Fdath l'indusInc. 3.456 F dana le BTP et de 3.618 F dans le tertiaire. Alors que le salairemensuèl net moyen perçu dana Midi-Pyrénées, toutes categories socio- professionnelles confondues, s'6lve a 8.100 F, ii est de 7.000 F dana le Gers, de 7.750 F clans Ic Tarn et les Hautes Pyre- nées et se situe dam tine four- chette de 8 a 9.000 F dans la Haute-Garonne. En clam, du point de vue du salaire, mieux vaut Ctre un horn-me cadre travaillant a Toulouse qu'une femme employee vivant clans un departement rural. Ginette TOULET JAPAN Women still Mainichi Daily News 31 July 1996 struggling despite some progress GENEVA (AFP-Jiji) - Wo- men work longer hours than men do, but earn on average 25 percent less, the International Labor Office (ILO) says in a report out Tuesday. This is despite the fact that more women today fill jobs that used to be traditional male domains, the U.N. agency says in "More and Better Jobs for Women: An Action Guide." "While more and more wo- men are working, the great majority of them are simply swelling the ranks of the work- ing poor," said Lin Lim, who prepared the report. "Women's economic activities remain highly concentrated in low-wage, low-productivity and precarious forms of employment," she said. Women represent 70 percent of the world's poor and 65 pei- cent of its 1 billion illiterates, the report says. More than 45 percent of women aged 15 through 64 work, representing more than h?If of the working population in industrial countries, cornpared with 37 percent in western Europe and 30 percent in the United States 20 years ago. . These are two of the major findings of the report, which follows up on last year's international women's conference in Beijing and a 1995 world summit on social issues in Copenhagen: Outside agriculture, women earn by average only thrcc-quarters of what men are paid for the same work; that is, 25 percent less - a gap that is found in both industrialized and developing countries. Unemployment among women is 50 to 100 percent greater in several industrialized countries, making women the principal victims of the economic downturn of the 1990s. JAPAN Nihon Keizal Shimbun 30 July 1996 j4, %)__' I FL /0 !i------------- * IJ+ .. S ° %C< Women work longer hours for lower wages, says the ILO report GENEVA, 30 July (Jiji) - While women are obliged to work longer hours than men (including unpaid domestic work), women earn on average three-fourths of the male wage for the same work, says the report released by the International Labour Organization (ILO) today. The report fmds that in developed countries, women work at least two hours per week more than men, and often five to ten hours more per week. In Australia, Canada and Germany, the hourly work loads of men and women are roughly equal, but in Italy women work 28 percent more than men and in France 11 percent. In Japan, family responsibilities weigh unproportionately more heavily on women than on men and the time women spend on unpaid domestic work Is nine times greater than that of men. This is ten times greater than Kenya. The fact reveals the underdeveloped situation of Japanese men in the domestic work. JAPAN Sankei Shimbun 30 July 1996 Women hold only 6% of senior management jobs More women are working but the female-male pay gap stifi exists, says ILO report GENEVA, 30 July (Kyodo) - On 30 July, the International Labour I Organization (ILO) released a report, which fmds that while more and more women are working, as exemplified by the fact that more than 45 percent of all the world's women (aged 15 to 64) are economically, active in 1994, women earn on average just three-fourths of the male wages and hold less than 6 percent of senior management jobs. 'The report entitled More & Better Jobs' for Women says that in the industrialized member countries of the OECD,. 60 percent of women work, compared'to 53 percent in the decade ago. However, even in the OECD countries, women make up between 65 and 90 percent of all part-timers and much of the' growth in the women's labour force has come in part-time employment. Women hold 14 percent of management jobs and only 6 percent of senior management jobs. The gap between male and female average wages is not decreasing. The discrimination starts early from the childhood. Of the approximately 100 million children in the world without any access to primary education, 60 percent are girls. The report highlights the need for several actions such as (i) reducing occupational segregation by sex in order to elTminatë male-female wage differences, (ii) measures to improve security in part-time employment and (iii) '-building family-friendly workplaces through measures such as maternity protection and child care services. Maroc Liberation 30.07.96 I Jf onstat implacable dii Bureau internatiOnal dii travail Los femmes sont surexploitëes et soupayëes d'une égalitd telle qu'elle devrait exister. Outre lea disparités de salaire, les femmes sont plus exposées au chOmage, entre 50 et 100% plus nómbreuses que les hommes dans de nombreux pays industrialisés... Dc plus, cUes n'occupent que 6% des postes de cadres supérieurs dans le monde. Dans bon nombre de pays (Asie du Sud-Est et de FEst...), cUes sont majoritaires dans le secteur des exportatrices. industries Michél Hansenne, directeur général du BiT, en donne '4 d'ailleurs la raison: "C'est sur Ia main d'ceuvie feminine, relativernent bon marché, que repose l'industrialisation axée sur lea exportations et Ia : compétitivité de nombreux pays en ddveloppement". i.e nombre de femmes qui rejoignent Ia vie active augmente comme le souligne Mine Lin Urn, Fauteur du rapport du BIT: "Dc plus en lus et mieux pour l'emploi des femmes, un guide qu'aux trois quarts du salaire qui échôit au sexe oppose plus de femmes iravaillent pour le même travailaccompli. Situation d'autant plus d'enire elles va grossir les pour l'action". II ne s'agit pas de I'intitulé dun manifeste érnanant de quelque groupe avant-gardiste, et hautement féministe, mais plutôt dun rapport dressé en 200 pages par le Bureau international du travail (BiT). Dans le monde du travail, les femmes sont victimes d'une discrimination criarde. Généralement, elles font plus d'heures de tavaiI que lea hommes, pour' un sälIre inférleur. Elles n'ont drnit pour une / bpine partie d'entre cues / grave qu'eIle ne conceme pas mais la grande majorité rangs des travailleurs pauvres trialisés quelques progrès (pour) occuper des emplois pnicaires mal rdrnunénis et a faible productivité". L'une des principales causes de la pauvreté et du aient étd relevés a ce niveau. sous-emploi des femmes, que les seuls pays en voie thndustrialisation, bien que dans les cas des pays indusLes femmes y occupent de plus en plus des postes qualifies: direction, cadres, souligne le BiT, eat la disciimination dont elles sont victimes a l'école. techniciens, administration... llurgedonc defaire" Dans de nombreux pays, plus et mieux pour l'emploi les conditions de travail de la des femmes" qui iuprésentent femme ont été améliorées, et aijounf1iui 70% despauvres des legislations sflr une égali-'4ns le monde. Ct 65% du té de salaire ont etd adoptées. milhiard d'ilettrés. On reste toutefois loin Mohained BENARBIA Luxembourg Luxemburger Wort 30.07.96 J4J ( IL.c-B.eport rr J _Giobaibis!riminiv;aLi (dpa). Gerineb13j1èfangere .Arbeitszeiten und schieclitere Bildungschancen verhindern weitweit nes threr xnnnnlichen Kollegen. Da- gung von Frauen im Beruf. Das 1st strie1ard oder in elnem Entwick- ' bei mache es kaum einen Unter- noch immer die Gleichberechti- schièd, ob die Arbeit in einem Indu- ç1as Ergebx4s einçr Studie des Inter- lungsiçi verrichtet wrde.. ,,Die natiobalèn Arbettsamtes (ILO), die am Montag : in Genf vorgelegt wurde. ,,Imther mebr Frauen wer- den berufstAtig, doch lassen ste meist nur das Heer der in Armut lebenden Berufstatigen anwachsen", meint die Autor n des Berichts, .Lin Lean Lim Denn die meisten-Arbei ten seien unterbezahit, unproduktiv und oft audi geiahrlich Für die meisten Jobs atiBrha1b erhalten Landwirtschaft der - )Jr .) Schere scblieSt sich thcht', wird in der Studie erkl.ärt. Seibst in den reichen Industriestaaten lagen die Arbeitslosenquoten für Franen zwischen 50 und 100 Prozent Ilber jenen der Manner. Er- gattern. Frauth einen guten Job, stoflen ste kaur fn die Spitze- gruppe jór. Nur sehs 1rozent aller Positipnen. im Top- Management sèiéñ von FraUê:; besetzt, fsrnd I41 . i9 L Dennoch verzeichnen e .vrau auch kleine Erfolge im Kanipf urn einen Platz im Arbeitsmarkt, vor allem in den 28 Industrieländern ,dér OECD. In diesen Staaten, aber auch in LateiriRmerika und der Ksribik, offnen sich den Frauen irnmer mehr technische Berufe und BeschaftigUngefl im Verwaltungs- bereich. Ihre Chancen ergreifen Frauen dort, wo ale gleiches Geld für gleichen Lohn erhalten und Sozialgesetze he]fen, Familie und Beruf in Einklang zu bringen. Noch werde die Diskriminierung von Frauen etwa durch thre Kouzentra- tion auf bestimmte Berufe gefor- Lean lAm ILO-Reporv ,,Globale DiskthTlinierUflg von Frauén in a Arbeitswelt" (Fotsetzung von Sete 3) dert, stelit derBericht fest. So seien 45 Prozent slier Beschaftigteñ n den USA, GroBbritaDfliefl und Frankreich in Berufen, die von etnem Geschlecht bis zn 80 Prozent In den doininiert wOrden. Exportzonefl der aufstrebendefl asiatischen Staaten würden Frauen ebenfalls bis zu 80 Prozent der ArbeitskrAfte stellen. Build 70 Prozent alier Frauen, die sich in der DominikaflisChefl Republik mit Gelegenheitsiobs das Notigste zum tThetleben verdientefl, lagen mit ihrem Binkommen unter der Armutsgrenze. In Deutschland, Kanada und Australien arbeiten Manner und gleiche die etwa Frauen - Stundenzáhl, stelit die ILO-Studie feat. Im EU-Land Italien aber wurden Frauen rund em Viertel langer arbeiten ala Manner, in Osterreich zwölf Prozent. Vor allem in batten Entwicklungslanderu MAdchen zudem mit Diskriininierung im BildungSbereiCh zu kampfen. Dabei trage eine gute Schulbilduilg nicht nur dazu bel, den Verclienst spUrbar zu erhohen, sondern auch die oft groi3en Geburtenraten der armen Lander zu senken. 1_. (Fortsetzung Seite 7) Maroc Le Quotidien 08;08.96 SELONLE.B!T :;. lestravailleurs pauvres Lesfemmes ont des horairés plus lourds que les hommes et ont payé 25 % de moms en moyenne, mais elles sont aujourd'hui plus nombreuses dans des professions ipport du bureau international du travail (BIT). tant dans les pays ddve- es femmes sont tou- jours plus nom- Ioppds que dans les pays en ddveloppement et cet dcart ne diminue pas. Dans beaucoup de pays industrialisds, breuses a travailler mais Ia plupart .rejoignent .les rañgs des travailleurs pauvres, Ic taux de chômage des relève Mme Lin Lim, Pau-: teur du rapport.. "La majo-. femmes est de 50 a 100 %' supórieur a celui des rite d'entre ellesoccupent liommes. Moms de 6 % des postes de cadres supdrieurs clans Ic monde sont occupds des emplois prdcaires,. mal remuneres et a faible productivité". Quelque 70: W" des pauvres et.65 %:tles analphabètes sont' xles femmes. Le. rapport du BU. .a thn5%en.. es.ontdo.horaJros plus lowds quo los hommOs, et :indiquc que plus de 45 % environue37%en:Euthpe :1a .majorit& des. iemmes coflornkfucment occidentale et 30% aux ganent en moyenne envi- des femines de .15 a 64 ,ans par des femmes. Dans les 28.pays de I'Organisation. de coop6ration et de-deve- loppement économique (OCDB), Ie.rythmed'.accrôissementde lapopulation activea dtódeux lois sont actives. -Dans,1es pays Etats-Uzus, 11 y a seulement ron les trois quarts dii salai- plus rpide pour les fenimes indüstriälisés,. plus deja. vingt ans Les pnncipales ie que toucbent les hommes moitjédeslemmes travaille conclusions Llu rapport soft 'pour Ic mme travail, en que pour ks honimes entre ;t dehorsdu:secteur agricole,, 1980et 1990. .alors. qu'elles n'dtaient. les suivantes:. .' Maroc Al Alam 06.08.96 ttifl tU 50 tL1 C,! i.dj.iI J..xJI J..I. dti. j_iI3 JI J3Jil LuiJI iLJIøL3?..i L C,J3 J .LLu C,& JLJI oL.óLLLi Li.. Jil Ji.iJ 25 i.Mgl tjLi&i C, )' C,.. 1 i.U.tiI Ji_Lil 3i Jj .LJI $1 Jj .aIJJ4.i C,:4i ZJL&JL .ti3I çJ .Li.L*JI i.I.'JI dL3 Lc.iI I AJI ¼11i 3..J a i...LJI * .aIj&1 J...iJI 3j aLJI 4L1J1 JL...* JI i.Lu .iJ4L*JI Z3 kiiiI. :..J '. 3t jii t.0 - 'F3- iLl C! i..aLUiU, C,t. JLI & J..iJI ja i.LJI J J_,JI sLL (I L..L... .JL_jJI 1JiL& i.LaL.JJ , 6t,Li4I iLLliJ Ja5 t..uI 3j ur -LL.JI .J.a..H )SL. )AJU ..iLiI JUiIj LL2il )i :Li I,lJ..iiI i LiL_. JUl3 tMJi3 .4I Lji&. ,i ZâL1. jJ..L iLG... JL.& Z*it. ..,iiiI3 JU.1j 'i JJaiu U Ii J&2J1 J31.8 J -"3 .Lw JLJI J.IALJI 8.3&J .iI.3t Jj-k 6iI &aLi ,J.u.. J3i33 àLL (i *?IJ .t_JI ,1 JL_ jà LJI .ui.t :,& Li LiI ri i.DLj ,! JI LÔL. - -I JLi3 I iJI C,!j L LM.ai 4.JUJI j.a.g i 1003 4W 50 .a jijJ a Jt Lil JL JLaJI M.L.L.0 (i W jJ 4itit L .LJI JI J.oJ-i3 _it:_. j.ai J ita j.& la.Lhj.1 OJLC3 MjJ. J .LiJ Ll. .JL. L. ,3I jrl JJM$ ,i Ji....iJI ° L' e'- j&LJI3 JL.Oit iL.LQJ 4i.iJI J,1I ,. LJI (a,)LA.jl ,i3 JLJI Ji L&aLi.in :Jj..L LL.... O4J,JI jI,5j tI LdLi iMâ J11 IF iIL&4t jS '' Ji Ij JLJI J,1 j.*J LJI J3.i Jj. .aUI J3JC,Ja_1.jl2 hJ3.L1?.fl J3.33 LLLIJI JI .Il .3f. 4_.t4j ,)_&Jit .6.uS I.&LJ.jI 3w LiJI d.M 5i! jlI ,JL3 çi JJ .3l J3I J_Lit L..L 15 JJUI J3.311 I C,3t._2_.JI iij 27 d.iJIj .JL,ll 3LaJI Ji.. C,.. C3 Lilt.JI J3J113 oj...0 .L3JJJI .IM:Ijt J.i.* 3j3II 3LI The Netherlands ihu)V N F1U8I hlllUOhIidIIllUk bfl il c ift HR c q4 4b § .E E.EOE ._J E 'J . ' ." 1 I! ;uio lilir 0 I 0 r1 11Iu z 4 ;..l The Netherlands Haagsche Courant 29.07.96 I.4 n ynuw kwárt lage dan bij man' Vrouwen werWashington ken steeds meer, maar ze ver- dienen een kwart minder dan mannen. Oat blijkt uit een vandaagverschenen rapport van de llQ, de Internationale Arbeidsorganisatie van deVN. Wereldwijd doet 45 procént van de vrouwen betaald werk. Desondanks is 65 procent vanhen arm en.zeventigprocent ana]fa- beet In de geindustriáliseerde ]anden, Zuidoost-Azië en OostEuropa werkt ruim vijftig pro. cent van de' vrouwen. Maar overal worden .zij een kwart slechter betaald dan mnnnen voorhetzelfde werk. De ILO dringt aanop.betere wetgeving, die vrouwen meer mogelijkheden geeftbij zwan-. gerschap en de zorgvoorkinde- ran. Verder stelt de ILO dat vrouwen zich meer moeten organiseren in vakbonden en dat zj CÁO's moeten afdwingen. Van de.hoogste banen in het bedrijfsleven wordt, slechts zes procent door vrouwenbezet. Disriminatie van vrouwen is zeker iii de ontwikkelingslanden, een groat probleem. Dat begmt al in de schooltijd. Twee- derde van de één aniljard volwaseen analfabeten op aarde zijn vrouwen. In veel Afrikaanseen Ariatische landen ziet negentig procent van de vrouwen nooit .een school van binnen. Van de honderd miljoen kinde- ran die niet naar school gaan/ zijnbjjna tweederde meisjes/ The Netherlands Haarlems Dagblad 29.07.96 WereidwUd onderzoek InternatiOnale Arbeidsorganisatie: VrÔÜw wérkt meer en krijgt iniñdei betaald Vrouwén leveren een groeiend aandeel in de wereld-arbeidsmarkt, maar verdienen een kwart minder dan mannen. Dat staat in een nieuw rapport van de Jntemationale Arbeidsorganisatie ILO dat vandaag is verschenen. Het rapport is een vervoig op de VNvrouwentopconferentje in Peking en de Sociale Top in Kopetthagen. WASHINGTON ANP' Terwiji overal ter wereld steeds meer vrouwen betaald werken (45 procent), blijft 65 procent. arm en zeventigprocent naIfa: beet In de, rijke gemndustrialiseerde landen, Zuid-Oost-Azië en Oost-Europa werkt meer dan vijflig procent van devrouwen en overal worden ze een kwart minder betaald. Het rapport nen waarom .de export in die, nen beginnen een eigen bedrijf, landen zo snel groeit. het 'communistische regime het vooral in dé Verenigde Staten. Ondanks de vooruitgang blijft discriminatie een probleem, In Latijns-Amerika, .Azie en .Afri- aarde zijn vrouwen. In veel Afri- In Oost-Europa, waar onder aantal werkende vrouwen a! vooral in ontwikkelingslanden. meerdan vijftig procent was, is Dat begint a! jong, in de schooldat cijfer sinds de val van het tijd. Tweederde van de één roilcommunisme niet veranderd. jard voiwassen analfabeten op ka zijn dc meeste werkende kaanse en Aziatische landen vrouwen actief in de diensten- ziet negentig procent van de sector en in de landbouw. Dat vrouwen nooit een school van dringt aan op betere wetgeving zijn we! deslechtst betaalde ba- biinen. En van de honderd roildie vrouwen grotere flexibiliteit .nen terwereld. joen kinderen die niet naar garandeert bij zwangerschap en Slechts zes procent van de school gaan, zijn bijna tweederzorgvoor de kinderen. Vrouwen topbaiien in het bedrijfsleven demeisjes. moeten zich verder meer orga- zijn wereldwijd 'oor vrouwen. Als meisjes we! naar school niseren in vakbonden en CAO's Daarentegen is de werkloosheid gaan, krijgen zij ook in de rijke afdwingen om gelijke kansen onder vrouwen iii de industrie- landen minder onderricht in voor mannen en vrouwen te ga- landen vijftig tot honderd pro- techniek of wetenschap, en lerandéren. cent hoger dan die onder man- ren zij vaak de 'typisch vrouweIn de industrielanclen is in de nen. In tijden van economische 'lijke' vakken zoals bedienen, Sejaren tachtig het aandeel van tegenspoed vilegen vrouwen. er cretaressewerk en naaien. In de vrouwen Op de aii,eidsmarkt overal terwereld als eerste uit. armere landen komt daarbij dat tweemaal zo snel oegenomen Toch boeken vrouwen voorél huishoudeijk werk belangrijker als dat van mannen. In Oostelijk in de rijke indusirielanden wordt gevonden dan school, Azië was er gedurende datzelfde vooruitgang en klimmen snel hoewel ieder jaar school vijftien tijdperk een stijging van bijna op de sociale arbeidsiadder. Dc procent meer inkomen betetwintig procent In Oost- en verwachting is dat in. het jaar kent, vijf tot tien procent mmZuid-Oost-Azië produceren 2000 in veel van die landen der kinderen en aanzienlijk werkende vrouwen ongeveer evenveel mannen als vrouwen minder sterfte onder baby's. tachtig procent van de expoxtin- op de arbeidsmarkt actief zullen dustrie. Het is één van de rede- zijn. Meer vrouwen dan man- / The Netherlands Reformatorisch Dagblad 30.07.96 ving.moet4scrnmnatie tgengaan IL. S : .Vrouwwrdient vI ml nder dan WASHINGTON (ANP) Vrouwn begeven zich zich bovendien meer organiseren in reldwijd.steeds meei op de ar- tegaranderen, aldus de ILO. vakbonden en cao's afdwingen om gelijjce kansen voor mannen en vmuwen In de rijke industrielanden is in de beidsmarkt, maar verdienen jaren tachtig het aandëel van vmuwen eeit -kwart miixler dan man- op dc arbeidsmarkt tweemaal zo snel neil. .Dat staat in een nieuw toegenomen als dat van mannen. In Azië was er gedurende datrapport an de. jLO (Infrrnaa oosteijk ze1fde tijdperk een stijging van bijna Arbeidsorganisatie) 20 procent. In Oost- en Zuidoost-Azië fionale dat gisteren is uscbenen. maken werkende vmuwen ongewer Het rapport is een wrvoig op 80 procent wt van de exportindustrie. VN-vmuwentopconferende tie in Peking en de SocialeTop in Kopenhagen. - wordt dc positie van vrouwen sterker, waardoor zij snel klimmen op de sociale arbeidsiadder. Dc wrwachting is dat in het jaar 2000 in veel van die uwen landen evenveel mannen als op de arbeidsmarkt actief zullen zijn. Meer vrouwen dan mannen beginnen cen eigen bedrijf, vooral in de Verenigde Staten. Scholing Ondanks de voonutgang blijft discriminatie een prQbleem, vooral in Bet is een van de redenen voor de ontwikkelingslanden. Dat begint a! meer vrouwen betaald. werken (45 procent), blijft 65 pmcent arm en 70 snelle groei van de export van die lan- jong, in de schooltijcL Twee derde van de een miljard voiwassen. analfabeten den. In Oost-Europa, waar onder het op aarde is vrouw. In we! Afrikaanse communistische . regme het aantal en Aziatische landen ziet 90 procent werkende vrouwen al meer dan 50 van de vrouwen nooit een school van procent was, is dat cijfer sinds de val binnen. En. van de 100 miljoen kindevan het communisme niet veranderd. ren die niet naar school gaan, is bijna Europa werkt meer dan 50 .pmcent tief in dc dienstensector en de land- Terwjjl owral ter wereld steeds procent analfabedt. In de geindustriali- In Latijns Amerika, Azie en Afrika seerde landen, Zuidoost-Azië en Oost- -zijn de meeste werkende vrouwen ac- Overal ter wereld, zowel In øntwikke- bouw. Dat zijn svel dc slechtst betaallingslandeh al in de rijke industrie- de banen ter wereld. Van dc topbanen in het bedrijfslanden, worden vrouwen, geniiddeld een kwart slechter betaald dan mannen lewn wonit wereldwijd 6 procent ingenomen door vmuwen. Daarentegen voorhetzelfde weit is de werkloosheid onder vmuwen in de indtsUielanden 50 tot 100 procent Kinderzorg Om de discriminatie tegen te gaan, hoger dan die onder mannen. In tijden dringt het rapport aan op wetgeving van. economische tegenspoed vliegen die vrouwen gn)tere flexibiliteit garan- vmuwen er overal ter wereld als eerdeeit bij zwangerschap en het rzor- ste uit. Vooral in de rijke industrielanden gen van de kinderen. Vmuwen macten twee derde meisjes. Als meisjes we! naar school gaan, krijgen zij ook in de rijke landen mm- der onderricht in techniek of weten/ schap, en leren zij vaak de ,,typisch vmuweijke" vakken zoals bedienen, secretaressewerk en naaien. In de armere landen komt daarbij dat huishou- dek werk belangrijker wordt genden dan school, hoewel ieder jaar school volgens de ILO ,,15 procent meer inkomen, 5 tot 10 procent rainder kinderen en aanzienlijk rulndc sterfte onder baby's betekent". ...' The Netherlands I I. I I I) I I 2 e.. J 1.b \--o . 2 ..'a I .. .2 ,>aabOCa'a 'a'a20W24I# - o2.o_'a o 'a. a - . . E a.' ia.1_U) 4-. ca.' oE 2 :0. ' bOv-. 22 2 I 'I 0'- = 2 222 ° 8*.°> .E L-- 0 ID 4-. ti ilbU. The Netherlands Algemeen Dagblad 30.07.96 annnzerversIaggeefters WAsRuWrON - In de industrie- landen'werken inhet jaar z000 evenveel vrouwen als mannen, voorspelt de intemationale arvrouwen moeten zich beter organiseren om een even hoog saiaris afte dwmgen als hun mannelijke coliega's die nunog een kwart meer verdienen voor het. zélfde werk. In een rapport - datvoortvloeit ult de VN-vrouwentopconferen- tiemPeldngende SocialeTopm Kopenhagen - constateert de ILO dat vrouwen overal terwereld in toenemende mate toetreden tot de arbeidsmarkt. Inmiddels werkt 45 procent van alle vrouwen (a procent meer dan vorig 'In 2000 werken evenveel vrouwen als mannen. jaar) maar 65 procent bli1ft arm en 70 procent is an1fabeet. In de geindustria]iseerde landen werkt gemiddeldde hdft van alle vrouwen. Van de 14ederIandse vrouwen heeft procent een betaalde baan van meer dan za UUL In Oost- en Zuidoost-Azie maken werkende vrouwen ongeveer 8o procent uit van de exportindustrie, die mede daardoor zo snel groeit. Dc ILO pleit voor wetge- ving die vrouwen rneer mogeijkhedeu biedt werk en zorgtaken te combineren en die hun lij dens een zwangerschap betere rechten geeft. Gelderlander DE 30.07.96 Vrouwen werken meer, maar verdienen minder WASHINGTON (ANP) - Vrouwen leveren een groeiend aandeel san de wereldwijde arbeidsmarkt, maar verdienen een kwart nfinder. Dat staat in een nieuw rapport van de Internationale Arbeidsorganisatie (ILO). Terwiji overal tor wereld steeds meer vrouwen betaald werken (45 procent), bli.jft 65 procent arm en 70 procent analfabeet. In de gemdustrialiseerde landen, ZuidoostAzie en Oost-Europa werkt meer dan 50 procent. Overal ter wereld, zowel in ontwikkellngslanden als in de rijke industrielanden, krijgen vrouwen voor hetzelfde werk een kwart minder betaald dan mannen. Het rapport dringt aan op betere wetgeving 'die vrouwen grotere fledbiliteit garandeert bj zwan- mannen, In Oostelijk Azie was er gedurende datzelfde tijdperk een stijging van bijna 20 procent. In Oost- en Zuid-Oost-Azie maken werkende vrouwen ongeveer 80 procent uit van de huidige exportindustrie. in Latijns Amerika, Azie en Afrika zija de meeste werkende vrouwen aetief in dé dienstensector en de landbouw. Dat zijn we! de slechtst betaalde banen ter wereid. Slechts 6 procent van de topbanen in het bedrijfsleven is were!dwijd voor vrouwen. Tegelijkertijd is de werkloosheid onder vrouwen in de industrie!anden 50 tot 100 procent hoger dan die onder mànnen, In tijden van economische tegenspoed vliegen vrouwen er overal ter wereld als eerste uit. Tweederde van de één mlljard vol. gerschap en kinderzorg. In de rijke.industrielanden is in de jaren tachtig het aandeel van wonwen op de arbeidsmarkt tweemaal wassen analfabeten op aarde zijn 'vrouwen. In veel Mrikaanse en zo snel toegenomen als dat van van binnen. Aziatische landen ziet 90 procent van de vrouwen nooit een school In de rijke industrie!anden is h aandeel van vrouwen op dear- beidsmarktindejàren '8otwee keer zo snel gestegen als dat va mannen. Maar de werkloosheill onder vrouwen is in de industrielanden toch nog 50 tot Ioo procent hoger dan die onder mannen. Vrouwènverliezen in economisch ongunstige tijden dan ook eerder hun baan dan mannen.L Bijleveld, beieidsm dewerker van het vrouwensecre tariaat van deFNV, vindt dat de landen die zich op de conferentie in Peking hebben gecompro rnitteerd aan de verbetering van de positie van vrouwen voor het jaar z000, haast moeten maker omdat ze nog lang niet op de goede weg zijn. aiaris .vrouwen ongeveer kwaitiñiiidérdan man en Van een onzer redacteuren GENEVE, dinsdag Het salans van vrouwen ligt wereldwijd ongeveer een kwart onder dat van mannen, en bet versehil wordt niet kleiner. Toch maken vrouwen behoorlijke vorderingen op de arbeidsmarkt, aldus de Internationale Arbeidsorganisatie LU) in een rapport over vrouwen en werk. Ais onbetaald werk (zoals in hetliuishouden) wordt meegeteld werkenvrouwen in ontwikkelde landen gemiddeld meer dan twee uur per week meer dan inannen. In landen als Australië, Cairnda en Duitsiand is de hoeveelheid verricht werk van mannen en vrouwen on- geveer gelijk. Maar in Italië werken vrouwen 28% meer, in Oostenrijk 12% eninFrankrijk 11%. De economische crisis van enkele jaren geleden bracht een grotere werkloosheid onder vrouwen met zicli mee. In de industrielanden is de werkloosheid onder vrouwen anderhaif tot twee keer zo groot als onder mannen. Toch neemt het aantal vrou- mannen. De achterstand van wen dat betaalde arbeid ver- vrouwen Iaat zich ten deleverkiaren door eon gebrek san onricht overal toe. In West-Europa bijvoor- derwijs. Tweederde van de beeld kwamen er in de jaren naarschattingl miljardanalfa1980-1990 acht miljoen mensen beten op de wereld is vrouw op de arbeidsmarktbij, en van In landen als Benin, Burkina hen waren er zeven miljoen Faso, Guinee-Bissau, Mali, Mozambique, Niger, Senegal, vrouw. In de 28 OESO-landen nam Togo, Afghanistan en Nepal is het aantal vrouwen op de ar. 90% van de vrouwen boven de beidsmarkt twee keer zo snel 5 jaar nooit naar school getoe als hot aantal mannen. weest. Veel vrouwen komen terecht Hetónderwljs datwel wordt in deeltijdbanen. gegeven richt zich vaak op 'ty- Ook in ontwikkelingslan- pisch vrouwehijke' bezigheden zoals typen, verzorgen en betaald werk doen, met uit- naaien. Bovendien worden zondering van de landen rond meisjes 'vaker dan jongens den gaan steeds meervrouwen de Perzische Golf. In Latijns- thuisgehouden omih hot huisAinerika en bet Caribisch ge- houden te helpen. bied met name komen meer In zowel de ontwikkelde ala vrouwen san de slag in leiding- de ontwikkelingslanden zijn gevende, administratieve en, veel vrouwen actief in 'tytechnische funeties. Van she pisch vrouwelijke' beroepen. banen in de Aziatische specia- In de VS, Groot-Brittannië en le exportzones, waar buiten- Frankrijk bijvoorbeeld is ge. landse bedrijven belasting- bleken dat 45% van de bevrije productievestingen neer- roepsbevohking actief is in een zetten, wordt 80% door vrou- beroep waar meer dan 80% uit wen bezet. hetzij mannen dan wel vrouWel is het zo dat veel vrou- won bestaat. wen in ontwikkelingslanden In Japan wordt 95% van de actief worden in de 'informe- banen in de kinderverzorging, le' economie, die zich onttrekt verpleging en huishoudelijke san overheidsregels en waar verzorging door vrouwen gedo lonen zeer laag zijn. Vaak is 'daan. deze :belonkng te weinig om Vai41e management-funcsan demInede tezntsnapties idewereld daarentegen pen. Bovendien verrichten vrou- wordt slechts 6% door vrou- / wen in ontwikkelingslanden wen beldeed. Wel komen veel meer onbetaalde arbeid teeds meer vrouwen in topdan mannen. Vrouwen doen functies terecht en beginnen dat tussen de 31 en 42 uur per in de VS moor vrouwen dan week, tegen 5 tot 15 uur voor rnannen eon eigen bedrijf. / The Netherlands Telegraaf, DE 30.07.96 The Netherlands Volkskrant, DE 30.07.96 VrOuwen krijgen kwart minder loon dan mannen, Van onze versiaggevet AMSTERDAM Vrouwen worden onderbetaald vergeleken mmaakt het niet nit of zij in een ontwikkeld of een ontwikkelingsland werken. Zij verdienen gemiddeld driekwart van het mannelijke salaris en deze kloof is de afge!open jaren niet kleiner geworden. Tot deze conclusies komt de ILO, de internationale arbeidsorganisatie in haar gisteren verschenen rapport over de wereldwijde arbeidssituatie van vrouwen. Het rapport is een vervoig op de VN-vrouwentopconferentie in Peking en de Sociale Top in Kopenhagen. Volgens Michel 'Han- senne, directeur-generaal van de ILO blijkt uit het rapport dat nog nergens ter wereld de gelijkheid van kansen voor en behandeling van vrouwen is bereikt. Volgens het rapport zijn er ook enkele lichtpuntjes, vooral voor .vmuwen in de meer ontwikkelde landen. Daar bereiken steeds ineer vrouwen de top van een bedrijf en is in ieder geval in de wet vastgelegd dat gelijk werk ook gelijk moet wor- den beloond. Ook wordt in steeds meer cao's aandacht besteed aan discriminatie van vrouwen en rage- lingen getroffen om vrouwen het werken makkelijker te maken. Ondanks de vooruitgang blijft discriminatie een probleem, vooral in ontwikkelingslanden. Dat begint al jong, in de schooltijd. Tweederde van de den miljard volwassen analfabeten op aarde zijn vrouwen. In veel Afrikaanse en Aziatische landen niet 90 procent van de vrouwen nooit een school van binnen. En van de 100 miljoen kinderen die niet naar school gaan, zijn bijna tweederde meisjes. Als meisjes we! naar school gaan, krijgen zij ook in de rijke landen minder onderricht in techniek of wetenschap, en leren zij vaak de 'vrou- welijke' vakken zoals secretaresse. In de armere landen komt daarbij dat huishoudelijk werk belangrijker wordt gevonden dan school. Discriniinatie in het onderwijs is volgens de 1W een van de belang- rijkste oorzaken van armoede en werkloosheid onder vrouwen leder jaar school, zo heeft de 1W berekent, betekent 15 procent meer inkomen. / The Netherlands -. 1 U - U -.raJ:oU t uu . uU A C' ___ .-r 0 ouU3 b F( : .L! 4 0 R:.N 1_e I-- . -rcL4 U L . 0 E U r b1J o. E Coo The Netherlands Parool, Het 29.07.96 .w 1IJ . . ° I.. I-I P.S V E aiI!i bi-N fltHII :Egj 0 cl I-I ca ___ U !. ill :' . ilh " . - I - . 1!i.ItUui U : .E E .SfCC00 > .S- :E 0 V . 9U2 The Netherlands reformatorisCh Dagblad 30.07.96 h'gE 12!tqihI i.It.IiUflti .iitI 9 1h IL-4 bO E- tHi 1ItI' Al! i'I4i.i 1UIfl1j croPI c - 0- . 1H L * iIU -;..CI IihIblHtIft4hldlhh I itffliLUflhiIiijflli I IEu-I y. - 111111! i}IiId 1 & The Netherlands 1 H.!tE EE . '3 Eu.E U- U U I- ' .. ot UU C . Eu - . _-U .U.0 ii ir U0 C - '-s-U u S uC) U U ;u . 0. U o- U - u.EU fl1U U V 0 . - UU;©%U U U The Netherlands Cou rant Nieuws van da Dag 30.07.96 S1lárls vrouwén kwart nil' der dan van mannen Van een onzer versiaggevers GENEVE, dinsdag Het salaris van vrouwen ligt wereldwijd ongeveer een kwart onder dat van mannen, en het verschilwordt niet kleiner. Toch maken vrouwen behoorlijke vorderingen op de arbezdsmarkt, aldus de Internationale Arbeidsorganisatie ILO in een rapport over vrouwen en werk. Als onbetaàld werk (zoals in Veel vrouwen komen terecht derwijs. Tweederde van de naar schatting 1 milard analhet huishouden) wordt-meege- in deeltljdbanen. teld werken vrouwen in antOak in ontwikkelingslan- fabeten op de wereld is vrouw. wikkelde landen gemiddeld dengaan steeds meervrouwen In landen als Benin, Burkina meer dan twee uur per week betaald werk doen, met uit- Faso, Guinee-Bissau, Mali, meer dan mannen. In landen zondering van de landen rond Mozambique, Niger, Senegal, alsAustralië,CanadaenDuits- d Perzische Golf. In Latijns- Togo,AfghanistanenNepalis land is de hoeveelhèid ver- Amerika en het Caribisch ge- 90% van de vrouwen boven de richt werk van mannen en bled met name koznen meer 25 jaar nooit naar school gevrouwen ongeveer gelijk. vrouwen aan de slag in leiding- weest. In zowel de ontwikkelde a]s Maar in Italië werken vrou-. gevende, wiminitratieve en wen 28% meer,in Qostenrijk technische functies4 Van alle de ontwikkelingslanden zijn 12% en in Frankrijk 11%. banen in de Aziatische specia- veel vrouwen actief in 'tyDo economische crisis van le exportzones, waar buiten- pisch vrouwelijke' beroepen. elikele jaren geleden braclit landse bedrijven belasting- In de VS, Groot-Brittannië en een grotere werkloosheid on- vrijeproductievestingenneer- Frankrijk bijvoorbeeld is geder vrouwen met zich mee. In zetten, wordt 8Q% door vrou- bleken dat 45% van de beroepsbevolking actief is in een de industrielanden is de werk- wen bezet. loosheid onder vrouwen anDo achterstand van vrou- beroep waar meer dan 80% uit dethalf tot twee keer zo groot wen laat zich ten dele verkla- hetzij mannen dan wel vrouals onder mannen. Toch ren door eon gebrek aan on- wen bestaat. neemt het aantal vrouwen dat betaalde arbeid verricht over- altoe. In West-Europa bijvoorbeeld kwamen er in de jaren 1980-1990 acht miljoen mensen op de arbeidsmarkt bij, en van hen waren er zeven miljoen vrouw. In de 28 OESO-landen .nam het aantalvrouwen op de arbeidsmarkt twee 'keer zo snel toe als het aantal mannen. The Netherlands Dagblad Zaanstreek Alkmaarsche Courant Dagblad voor W-Friesland Nieuwe Noordhollandse Cdt 30.07.96 ILO.onderzoek na riñternationale arbeidsmarkt Vroiiw verdient overal, kwart miñdèr dan man Van ouze redactie economic WASHINGTON - Er ko- men steeds meer 'vrouwen op de wereld-arbeldsmarkt, maarzlj verdlenen gemiddeld port Is een vervoig op de VN- In Oost-Europa waar onder vrouwenconferentle in Pe- het communistische regime het king en de Soclale Top In Ko- aantal werkende vrouwen al penbagen. Terwiji overal ter wereld een kwart minder dan man- steeds meer vrouwen betaald nen In vergeltjkbare beroe- werken (45 procent), blijft 65 pen. Dat staat In een rapport procent arm en 70 procent analvan de ILO (Internatlonale fabeet. In de geIndustrialiseerArbeidsorganisatle), dat gis- de landen, Zuidoôst-Azië en teren is verschenen. Het rap- Oost-Europa werkt meer dan 50 procent. Overalter wereld, zowel in ontwikkelingslanden 1s m de rijke industrielanden, worden vrouwen een kwart slechter betaald dan mannen voor hetzelfde werk. Bet rapport dringt aan op be- tere wétgeving die vrduwen meer dan 50 procent was, is dat cijfer sinds de val van het corn- munisme met veranderd. In Latijns-Amerika, Aziè en Afri- ka zjjn de meeste werkende vrouwen actief in de dienstensector en de landbouw. Dat zi.jn wel de slechtst betaalde banen ter wereld. Slechts zes procent van de topbanen in het bedri.jfsleven is wereldwijd voor vrouwen. Daarentegen is de werkloosheid onder vrouwen in de industrielanden 50 tot 100 procent hoger dan die onder man- bij zwangerschap en kinderzorg. Vrouwen moeten zich nen. In tLjden van economische tegenspoed vliegen vrouwen er overal ter wereld als eerste uit. Toch boeken vrouwenvooral vakbonden en CAO's afdwin- vooruitgang en klimmen snel grotere flexibiliteit garandeert verder meer organiseren in in de rijke industrielanden gen om geli.jke kansen voor mannen en vrouwen to garanderen. Snelle groei In de rijke industrielanden is in de jaren tachtig het aandeel van vrouwen op de arbeids- markt tweemaal zo snel toegenomen als dat van mannen. In oostelijk Azië was er gedurende datzelfde tijdperk eon stij- ging van bijna 20 procent. In Oost- en Zuid-Oost-Azië maken werkende vrouwen ongëveer 80 procent uit van de exportindustrie. Het is een van de redenen voor de snelle groei van de export van die landen. op de sociale arbeidsiadder. De verwachting is dat in het jaar 2000 in veel van die landen evenveel mannen als vrouwen op de arbeidsmarkt actief zul- len zijn. Meer vrouwen dan mannen begrnnen eon eigen bedrijf, vooral in de VS. Ondanks de vooruitgang blijft discriminatie eon probleem, vooral in ontwikkellngslanden. Dat begint aijong, in de schoolt jjd. Tweederde van de édn miljard voiwassen analfabeten op aarde zijn vrou- wen. In veel Afrikaanse en Aziatische landen ziet 90 procent van de vrouwen nooit een school van binnen. The Netherlands Nieuwsblad v/h Noorden 30.07.96 VrouW wordt nog steeds onderbetaald WASHINGTON - Hoewel 45 jaar ge- leden ails afgesprokefl dat vrouwen evenveel loon moeten krijgen voor hetzelfde werk als maimeD blijkt in de praktiik dat vrouwen nag steeds worden onderbetaald, aldus de InbeidsorganiBatis. ternationale ILO in een gisteren verachenen rap- "Vrouwen verdienen wereldwiid tosseD de 50 en 80 procent van de lonen die manneD verdienen," zo scbrijft de vN.organiatie in haar jongate document getiteld 'Meer en Betere banen voor Vrouwefl.' Dc auteur van het rapport, Li Lean Lim, zei dater sinds de ondertekening van een verdrag voor gelijke lonen voor manneD en vrouwen door 124 regeringen in 1951 wel vooruitgang is geboekt, niaar bj lange na niet genoeg. Amerikaafl8eVr0U'en krijgen gemiddeld 68 tot 70 procent minder loon n rnännen. Lim wees erop dqtmerika8maat het verdg zelfs nooit beeft geratificeerd. In Latijili merikaaflBe en Canbische landen verdienen vrouwen soms niinder dan de heift van wat mAnnen van dezelfde leeftijd en met dezelfde ervaning krijgen veer betzefde werk. In sominige rijke Ian- den is bet verschil niinder dan 10 procent. Suisse JOURNAL DE GENEYE et Gazette de Lausanne ti ...tIlItP INSISt IeInIct I 3O.''. cI En moyennej les femmes gagnent 25% de moms' Selon te Bureau internationaL du travaiL, elLes n'occupent pas 6% des postes de cadres supérieurs. femmes sont toujours de chômage des femnes est de plus nombreuses a fla- 50 a 100% supérieur a celui des vail1er 45% d!entre cUes hommes. Dans len pays de l'OCsont économiquement acLes lives dans l'ensemble du monde, scion une étude du Bureau international du fravail (Bfl) publiee mardi. Mais elles sont payées 25% de moms en moyenne et oc- cupent en morité des emplois précaires. Dana les pays industrialisés, plus de ia moitié des femmes Iravailient, alors qu'il y a vingt ans efles etaient 37% a fravailler en Europe de l'Ouest et 30% seulement aux Etats-iJnis. Entre 1980 et 1990, Ia main d'nuvre s'est ac- crue de huit millions de personnes en Europe de i'Ouest, dont sept millions de femmes. Dans len pays en developpe- ment, 31% des femmes Iravaillent. Len pourcentages len plus ban sont situés enAmérique kline (34%), en Aflique septenfrionale (21%), et clans len pays DE, len femmes representent de 65 a 90% de thus len fravailleurs a temps partiel 'Quelque 70% des pauvres clans le monde et prês. des deux tiers du rnilhird d'adultes analphabétes sont des feinmes. Ia majorité des femmes ga gnent en moyenne environ les Irois quarts du salaire que touchent len hommes pour le méme travaiL en dehors du secteur agricole, lant clans len pays développés que clans ceux en voie de developpement. Moms de 6% des postes de cadres supérieurs dans le monde sont occupés par des femmes. Dans les pays develop- pés, len femmes travailient au moms deux heures de plus par semaine que lea hommes etsouvent cinq a dix heures de plus. Le rapport eat publié par le arabes. Les pourcentages les plus bauts de femmes qul tra BIT afin dedonner suite a Ia quatrième Conference mondiale sur vaillent se frouvent en Europe orientale et en Asie du Sud-Est (plus de 50%). Dans len deux les femmes (Pekin, 1995) et au Sommet mondial pour le développement social (Copenhague tiers des pays industriels, Ic taux 1995). (ATS) Suisse LENouvE4u 0110 TJDIEN SALAIRU 1 Fenmies: 25% dè mohis en moyenne sont toujours plus nombreuses a travailler: 45% Lfemmes d'entre elles sontéconorniquement actives clans l'ensernble dumonde, solon une étude du Bureau inter- national du travail (BIT) publiée aujourd'huL Mais cUes sontpayées 25% de moths en moyenne et occupent en majorité des emplois précaires. En Suisse, selon un rapport de l'Offlce fédéral de [a statistique, 54% des femmes âgées d'au moths 15 ans avaient un ernplOi en 94, contre 76% des hommes. Plus de 50% des fémmes travaillant kplein temps ontunrevenü brutinférieur oudgala52000franconfre 20% dos hommos. Dans les paysindus- triallsés, plus de la motile des femmos travaillent, alors qu'il y a 20 ans ales étaient 37% 1 travailleren Europe de l'Ouestot 30% seulementauxEtats-Unis. Dans [es pays en développernent, 31% des femmes travaillont. Los pourcen- tages los plus bas sont sltués on Aniérique latine, en Afrique soptontrionale et clans los pays arabes. Lea pourcentages lea plus haute so trouvent en Europe orientaleet en Asie du Sud-Est. KLes femmes sont toujours plus nombreuses I Iravaliler, mals La plupart rejoignent los rangs des - travailleurs pauvres*, affirme Liii Lean Urn, l'auteur do KP1us de travail et un inelileur travail pour lea femmes un guide pour ['actions. Elies ont payé un lourd tribut ha recession de 90. Dans les deux tiers des pays industriels, le taux de chômage des femmes est do 50 1 100% supéATS rieur I celui des hommes. Suisse IiuP I a) C, CD .- :E. c CO Cl) .i C, uII a) . oa) O ' G i4 WJ Q) CD ..C, 0. D .. = C, 3j !'C i ..> 1, 'C5 .w III1 lriim .. cn. 0 O:.. E: -'-CD.Eu Hi dTl 1114 . I 8 JIrit iHitlirl .3CüiflIq Suisse Ungleichheiten in der Arbeitswelt Em ILO-Handbuch für Frauen Elne nmd 200seitige Unteisuchung des Internalionalen Axbeitsamtes in Genf geht auf die Frauenarbeit em und steilt eine VielzahI von ungleichen Behandlungen fest. Global wird cine wachsende Tendenz des Anteils erwerbstAtiger Frauen festgestellt In einem zweiten Teil werden verschiedene AnsAtze untersucht, wie eine Besserstellung weiblicher Arbeitskräfte er- reicht werden könnte.. nods 37% in Westeuropa oder 30% in den Vereiniglen Staaten vor 20 .Jahren. Auffallend ant' der Das Internationale Axbeitsamt (1W) in Genf ganzen Welt 1st zudem die Tatsathe, dan ira Verlegt em retht umfangreithes Handbuch (Iber die gleicli mit MAnnem seit iahren verhaitnismassig Frauenarbeit und die Möglicbkeiten zu deren mebr Finuen in den Arbeitsprozess eintreten; in Bessersteliung ant'. Die Untersuchung orientiert der Europäischen Union steilten etwa die Frauen sich strukwrell und inlialdich an den Abschluss- zwischen 1980 and 1990 nidit weniger als 7 der 8 erkthrungen der 4. Weltfrauenkonferenz (Pekin& Mio. neu Beschaftigten. Andemeits verdient die September 1995) und des jtlngsten Weitsozialgip- Mehrheit der Frauen fUr eine vergleichbare Arbeit fels (Kopenhagen, Mrz 1995). Don wurde dem in der Industrie and im Dienstleistungssektor nur 1W auth der spezifische Auftrag erteilt, die mit ungefUhr drei Viertel des Gehalts eines Mannes, der Stellung und der Besserstellung weiblither wobei dime DifTerenz sich fiber die Zeit nicht verArbeitskrAfte aufkommenden Probleme gezielt mindert hat. Weitweit werden nur 614 der Kaderwelter zu verfolgen. Das BemUhen der Autorin posten von weiblichen Besch*ftigten gehalten. der ILO.Studie 1st unverkennbar, einerseits mög- Schuiesslich 1st auth die Arbeitslosigkeit bei lithst alle - denkbaren und cpoliuisch geaum- Frauen vergleithsweise. bedeutender als bei MSnten - Benachteiligungen der Frau an Mbeitspro- nern; in zwei Drittein der entwickelten Lander zess zu erOrtern und anderseits gleithzeitig ange- liegt der entsprechende Satz zwischen 50 and messene, wirtsthaftlich einigermassen vertretbare 100% hOher, mid auth in Mittelosteuropa fiberRemeduren auauleuthten. Mit anderen Worten steigen die weiblichen Arbeitsiosenraten mit Am1st man sich beim 1W wohl bewusst, dass markt- nahme von Ungarn, Litauen and Slowenien jesse wirtschaftliche GeseizmAssigkeiten keine ge. der MAnner. schlech*sspezilische Differenzierung kennen. Einer langen Liste derartiger BenachteiligunWw. Genf 29. fuJi Wirtschaftliche Diskriminierung gen steilt die ILO.Untersuchung auth einige Besserstellungen der weiblichen Azbeitskraft gegenuber, die in den Ielzten Jahrzehnten sukzessive vor allem in der industrialisierten and etwas eine uneriassliche Rolle in der Wirtachaft, srs es weniger in der Dritten Welt - Ausnahmen bilden auf internationaler, nationaler oder Haushalts- die asiatischen and sfidamerikanischen Schwelebene, spielen - unabdingbar 1st die Axbeit der lenUnder - sithtbar geworden sind. Der Zugang Frau, auth volkswirtschaftlich gesehen, raft eh von Frauen zu ICaderposidonen alier Art hat sich und je. Etwas anderes und zweifeUos zutreffender etwas geoffnet. In den Vereinigten Staaten 1st 1st die Feststellun& dass die Frau im Axbeitspro- etwa der Anteil der Frauen, die einen elgenen Bezess wirtschaftlith gegenOber dem Mann benach- trieb auflnathen, inzwischen hOlier als bei den teiligt 1st und enisthaft diskriininiert' with. In MAnnem. Viele Staaten haben Gesetre fIber der Arbeitswelt ortet die ILO.Autorin mebrere Gleither Lohn für gleithe Arbeits verabsthiedet. Ungleichheiten, nlmlith in bezug 'auf den Be. Ferner sind auth Verbesserungen in denArbeitsschsftigungszugan& auf Ausbildungs. und Wei- bedingungen and beim sozialen Schulz für 'erterbildungsmoglichkeitefl, auf die Entlohnung fUr werbstalige Frauen fesizustellen vergleichbare Arbeit, auf den Zugang zu Produkweil von ibnen wahrstheinlith kontraproduktive tionsfaktoren, auf den Zugang zur wirtschaftEffekte ausgehen und auth diejenigen, die nicht Rezepte für chic Besserstellung lichen Entscheidungsebene (Kader) und auf die davon profitieren, letztlith diskriminieren; als BefbrderungsaussiChtefl. Ebenso tat eine gewisse Neben einer Lageanalyse unternimmt die lw. gerade glucklicher, aber immerhin mOgliAbtrennung und Konzentration auf eine ver- Studie audi. den Versuch, handbuchartig und tell. nitht ther*usweg with die Vorgabe von Zielen angesegleithsweise kleine Zahi von 4ctypischen Frauen- weiscunter Beizug der einsthlAgigen bestehenden hen. Aussichisreicher werden audi alle jene PolibeschAftigungen erkennbar. li.O.Konventionen die versthiedenartigsten Insektoren und bewertet, die sukzessive an einer besseren Schliesslith wird auth des Risiko für Frauen, strumente mir Besserstellung der weiblichen liken Vermischung von .ctypisch weiblither und mAnnarbeitsios und arm zu sein, deutlidi hOlier eingc- Arbeitskraft ass beieuthten. Dabei with da mid lither> Arbeit futhren (Ausbildung, minimaler, ,dort Sorge dazu getragen, dass sich die Frau nicht Sicherheits- mid Gesundheitsschutz, Arbeitsplatzswft. Dabei 1st seit den achlziger iahren ein Tend dsüth zhstzliche wirtsthaftliche Kosten als Folge bewertung, Anderung rigider hierarchisther offensichtlich, ntunlich der steigende Anteil weib- emner geschlechterspezifischen Sonderbehandlung Strukturen usw.). . hcher Aibeitskr5fte bei den ErwerbstAtigen in der selbat aus dens Arbeitsprozcss ausschliesst. Wo Schliesslich hAlt die ILO.Studie fest, dan sich indusirialisierten and der Thitten Welt. Global soldie -Zuu*zaufwendungen allenfalls aus gesell-' gehen 45% der Frauen zwischen 15 mid 64 Jahren schafihithen oder anderen GrUnden trolzdem als am Erwerbsprozess beteiligte Fmuen grundsAlzelner BeschUftigung nash. Ins OECD-Raum arbei- wertvoll cingestuft werden (z. B. Muttersthafts lich starker auf elnen gesetzlichen Schulz abstfItten inzwischen mehr als die H1fte, gcgenuber schulz), soliten die entsprechenden Schutzsyste- zen, urn dadurch den negativen Effekten der me nitht arbeitgeberbezogen, sondern gemein- MarktkrAfte cntgegenzuwirken. Es gebe keine sthaftsbezogen ausgestaltet scm. ZusAtzliche und Sicherheit, dass der Markt allein wirkungsvolle einseitige Arbeitgeberbelastungen für weibliche mid gleichgewichtige Losungen liefern kOnne, urn Beschaftigte werden dasnit grundsatzlich abge- den sozialen Wert der Frau ins Kindergebaren anlehnt, weil sonst der Anrciz zur Anstellung von gemessen an berucksichtigen; ZnsAtzlich vermittle Frauen vermindert werde. Solche Aufgaben sind der Markt allein der Frau unter Berticksichtigung von der staatlichen Gemeinschaft ins Sinne einer ihrer sozialen und hliuslichen Verantworwng keibreiter abgestfitzten SolidaritAt an ubernehmen. nen gleichwertigen Zugang an den ErwerbsVon den vielen konzeptionellen Beispielen des xnogiichkeiten. Mit anderen Worten: Die Regie. ILO-Handbuchs scien her nur einige wenige rung hat don an intervenieren, wo der Markt die zitiert. Das Steuersystem und die Sozialpolitik weiter gefassten sozialen Werte der Frau nitht ansind so an gestalten, dass sic die FlexibilitAt zur gemessen refiektiert. Freilith mUsse der Staat chic Aufteilung der verfUgbaren Zeit in Bildung mid Mischung mUglichst marktkonformer Regelungen Ausbildung, Lohnatheit, familiaren Verantwort- linden. Sonst bestehe die Gefahr, dass die lichkeiten, freiwillige fltigkeiten, Freizeit USW. er- Frauenarbeit für die Unternehmung an relativer leithtern. Die EinfUhrung von Quotensystemen AttraktivitAt verliere mid sith Ietztlith selber am jeglicher Art ins Arbeitsprozess with abgelchnt, dem Arbeitsmarkt hinauskatapultiere. Die Studie.geht von der historisch zweifelhaf- ten Behauptung aus, dass Frauen zunehmend Sverige 6° I .,C)a) Uc ' A . C)C).4C) : Cl') Q) W E U) bC4.C) C,) I w 1F9 C) UflbL C) ..ci L.i' _____ C) 0 4-4 I 4 = C5 cri - w E flil °E :C) C) 0 H U) :i;tC - ii C) 4 C) 'hd hi!!iIh PiJiian . W E .2 . oU) ' C) -I L = =. f: 02 C) C %1 - E° U)O U) b E_b0 C) i:fl Sverige Goteborqs-Posten Datum: 96-08-18 . .; . . mE a) dhhL ! q- . a. . IexW CMfl E I - I = .= - a) . .X - a a. . tUJ;uut1i Ii;'. .W1H - ., V1Ii11I11DJ111IIt Sverige astervikTTd08-701.70. dni rigert flturn: 96-08-01 'Kvinnors värde är 25 procent i..agre an mans S. GENEVE (TT-AFP) Kvinnor bar Iängre arbetstider an man, men tjänar I genomsnitt 25 procent mindre un dessa. Och detla trots aft kvinnor alit större utstrackning bar anställts boom traditioneilt manliga yrken, heter det I en rapport fran FN-organet Internationella arbetsorganisatlonen IO. Rapporten "Fler och bMttre arbeten fdr kvinnor - en handledning" offentliggjordes I Geneve. - Mcdvi alit Oar kvinnor attic- pan Vidare fraingir an kvinnornon vixande andei iv arbelsstyrkan till star del fiStlaras iv itt de tar dcitidsjobb. I de 28 tat'. - Kvinnans ekonomiska akti- anstilldes dubbeit SM mAngo kvinnor sam mAn mellon 1980 nab 1990; i syddstra och Ostra Asian utgör kvinnorna 80 procent or arbetsstyrkan mom den expoilinriktade industein. iv dcltidsjobbcn. tar. fir de aura fiesta bars anstaiining i l3gavlUnade yrken. sade Lin Lim vid prcscntationan av den 200.sidiga rappor- vitet fdrblir koncentrerad liii ligavlonade. iAgproduktiva och otryggajobb. soda hon vidare. Kvinnor utgor 70 procent iv varidens l'atliga. LikasA utgor - Den relativi biliiga kvinnhigo asbetsssyrkan utgör lyggra. den i den esportinrtktade industnaliseringcn av minga utveckiingslinder. soda iLO.cbe- de 65 procent av jordens an- Can Michel Hansennc. alfabcter. hater dat i rapponcn. kyinnor i Aidrarna niellan iS variden, jimtlrt med 37 pro. cent i vOstra Europa och 30 proccnt i USA for 20 Ar sedan. F kvinnor toppchefer Rapporten Sr en uppfoljning or ruira Arets kvinnokonfcrens i Peking och FN:s sociaba IoppmiSc i Ktlpcnhamn 1995. Rapporiens huvudsakliga slutsatser Sr dais alt Lvinnor utanförjord- bruksscklurn endast ljlinar 75 procent ov den iOn sam mOn i motsvarande anstiliningar hat. I rapporten IramgAr ocksA att arbetsiOsheten bland kvinnnr Ar mellon 50 nab 100 proccnt hogcc On bland mAn i tiara ildnder, Vidore hater dat I rapporten ott kvinnur barn upprdtlhAilcr tao proccnt av de hOgsta beIstt- ninguma i niringslivet. Andra lakia I r.lpporlCn: I Nurdamerika, Europa och Jo. narita meilan 65 nab 90 procent Rapporten redovisar ocksA sinia framstcg (Or kvinnorna under senate Ar. sdrakilt I utvecklings- linderna: alit Oar kvinnor (Ar -..-- __________ ?. r 70%av vAridensiattiga rkvinnor Startar eget Deygt 45 procent iv nib och 64 àr bar i dog article, viiket Sr drygt hUiften av artico.styrkan i den industrisilserade linderna barn OECD bar kvin- ., e Kvjnnornas värld k Kvinnor nob utbikining Anaitabetism u-thodema Kvkmoi I rogoring och perlament statiSt egna Ibretag; iagar fir jAmstAildbel bar antagits i alit Kvbnnor MAn 59 80% 6%lregering Genoin tiderna har det tunntts 21 valda kvinnllga stalsUverhuvud Oar lAnder i sAvil industrialiserade sam 10%ipatlament - jobb i ledande bcfalmingor Oar amerikanska kyinnor Mn mAn I bela vtriden (inns dii 600 mlloiter utvecltlingslMnder. nab arbetsvillkoren bar IOrbitt- f t .. kvinnor som line kan lAsa rats sS itt kvinnor littare tan kombinera yrkeslivet med ía- Kvionor I ledande position '' miljcsitualionen; kvinnor anslu- tar sig i alit hdgrc utsirickning till facktbreningar nab alit tIer koilektivavtai triflas sam gynnor jilmiikhct. - Men jimlikbct har Mnnu in- 14% Oretag 0th oflentlig tOrvaltnbng Under 10% av alla banidAn gAr till kvinnor -. te uppnAtts nAgonslans i sArIden. pipckade Hnnscnnc. ILO bcrAknar itt kvinnosna i ilinderna kommer ati utgtlia en lika stor dcl sam mitt iv de arbetslOsas skara rid Mr 2000. I hemmer uivcckiingslindema kvinnorna ott utgOra 31 proccot -. Kvinnor I arbetsilvel Koraíbelar 13 %Ilngrs ,man ttedjedelaravderas arb1id Ar obetald : as dc arbetslosa. s. (Mannees en tled!edeb) a, Uppdeining av atheter lu-lAnder Sla yki tOdsel .T:__it kvinnor MAn Kvtnnor MAn KvinnolOnerna Ar for bela j 10 Industdländer Wrje Ar dOr 500 000 kvinnor pga graviditet vlrtden genomsnittligt 75% av mAnnens lOner betaid och obetald arbetstid Sverige Nri.ngs liv ±1 Lytt blicken Stellan Artin! AVKETII ZETrERVALL.THAPPER urt sa raven! llattre ican jag inn for- mm resktion pa Steflan \muiera Artins paretiska hot nyligen i en inW tervju i Dagens Nyheter om ate SAF ccii andra gwarorganisationer tanker lamna ILO och dittoed tro sig man konjunkeuranpassa lOnra2srnas ntrigheter. Det ekonomislta uppsving torn Europa behover koinmer sannolike ate beralas av Europas lOnragarc i form av inga dIet myckee bcgransade ritrigheeer. Det ir dee torn at SAPs definition av en marknadaanpassning av arbetsiivet. ILO mste modemiseras! Ha, svararSuL(an Awn direktpd in- vis ails telesrberande i i-varlden var Iaggeefrdn TCO: enlige arbersgivarnas uppfartning fel. Für dem finns inte minsea behov are infOra byrilerstiserade overvaknslngs-, kunna punktera denna organisacion. Sir- skiltsom det at linderna, I det hit failet fin grislIer flu pa den nys ILO- Keth Zenervall-Thappervisar i sitt in- Svezigesom tillsarnmans med 171 andra konventionen torn anger minimiriteigheterna for hemarbetande. iagg art hon lika liter torn under iron Men bista Stellan Artin Lyft blickea ccii se lire lingie in till bars Europal Hemarberande tom bar problem finns Overailt I virlden, framfor silt i uc- ILO befinner sig i. Fi av [LOs 172 mediemslinder ra- lander ar mediemmar i ILO och inn organisauoncrna ide oiika iinderna. Der ar inn firsts gangen torn SAP uttalar dens hot. Infor ILOs axbetskonfe- rens 1993 dundrade SAFs divarande ordforande Ulf Launn uc ssmma budship. SAP misslydrades den gingen, trots Laurins forsOk art sInks liv i den egna intemationdla orgsnisationen. international Organization of Employers. JOE. sum (ram till dess Ievt en mydret penfert liv. Man kommer inn ate lycicas flu heller. harsâvil under ILOsarbetakonferenser sum i den svenska ILOkommirtn ena sidan havdar art ILO aren tandlos organisacion (EU ar mycket birere, men bars nar direkriven sum rat (ram Jigger i linje med SAPs in- SAP vecldingslSnderna pa de snabbe vaxande axbeesmarlcnsdernas informella sekeorer. Dar finns de stora skarorna av hemarbctande och kontrakrsansrSilda. I sin totals avsaknad av regiering ger dessa arbeesrnarlcnadcr optimal flcxibiliret, paradisee für Scellan Astin, SAP ocii andra arberagivare. Men vi tom samanbe- rat med facidiga kollegor i dexta lander ser till vilkee pris dens sker. idessa tinder Sr dee forenat med livefasi, rorryr och tr7akaasciier art vera lack- iigt akeiv I dens tinder finnsanaifabctismen ccii fattigdomen. framflir silt bland andes sedan hivdar an den kvinnor ccii barn. I dens tinder finns ir aildelet for maktfullkomiig. Med sins over 177 instrument i form av konvenrioner. torn pa en miniminiva regierar lonragarnas villkor I arbeisliver omojlig- slav- och barnazbetdrna. scm dyst Br be- cressen) och got den en expansive foreragande. Jag viii jail stuhhet paminnaArtin otis varfOr ILO en ging bildadet. Nat (redsavraler I Versailles skrevs infordes en paragraf torn blev etnbryor till [LO. Parsgrafén sack art viridens regeringar nthre arbcra moe sociala oricrvisor ccii fanig- tala de vinster torn de seers foretagen aroppar i egna fidcor. Jag nor art det finns mojlighecer are skapa sysseisisening uran art tuila pa di minsidiga cdi fackliga rattighetesna. Err allddes lysandeexennpd at Svenge dir en vii flingerandeasbetamarlenad med idara ccii tydiiga regier under decennier gjort cci till firegingaland. dom for art i frainriden undvika social Jag set med seer ow pa dc db scm nu hocar cdi konstaeerar med belda- crc efressom dee lean teds till konflikrer i gande art SAP till viss dcl vane (ram- form av keig elier revoiutioner. Dct ir da fir art dersom hinde i Tsarryssiand 1917 skuile sprida sig till andra under. gingsrik i sin mimperandeom act tysselsinning bars lean skapss genom samre villkor fir iontaganna. Inoni TCO tyckervi art anbetee I ILO Sr vikeige ccii an ILOs roll kommer art Sjilvklarr bidrog dena till arbersgivarnas bli in met viktig i (rsmtiden. Eniigr vir villa are ge virldens tontagare bitrac bedomning enbjuder iLO en av de viktigrace arenorna fir art verka fir err samhue uran fartigdoni ccii sociala otsttvisor ccii med enygga ccii vil fungerande precis vad ILO alltsedaxs dais har gjorr. Axbetsgivarna var pa den tiden liveid- snstullnings- och sodaiavil&or Nu titer dee annoriunda. Nu it flexibilker i arbetsliver losningen pa ails problem. framfOr silt problemer med for Jig sysselsirming. I riderav dill8 ekonomi5k aktivitet viii arberspiatser. Föfanaren dv inmisaüonzllsekretererepd TCO ILO-konferens fOrstice vilken kris snrnilnings- ccii regiseerregler med mets. Dens vigrade dock forslagets anhingare are gi med p1. principielia invindningen rikcade sig moe art icerigen ants en konvention - err nyte dott papper - sum I bista fail tificerar (antar) di konventioner de rOsrat igenom pa konferenserna (Se fotnot). Dee framstir tom absurr ccii meningslost are vats med cm are urarbeta regler torn srods pi konferensen, men direfrer ignoreras och icke antas av de lander sorn bitt behOver dcm. Ate vad scm anras som minimiregler senate lean snvandas mor avanccrade dernokratiska tinder torn Sverige ccii Norge. medan tinder torn Kina midgin knitik trots avsaicnaden av grund- laggande mansicis..rtigheter - visar att nigorir let. nigra ir sedan gay dirfir anbetsgivsrna firslag till hut ILO skulle reformerat. Dee ensterande konventionsbestindee mitre moderniscras. Koncentrera anseringningarna pi respckren for minskliga FOr rittighceer. Siuta goes vizidsomfatean- Den skuile rarificeras av ert eioeai tinder. Denna urveciding Sr i sig etc hot moe iLO. Dee Sr ociesi err reeik hot for en organisstion. scm skryrer med ace represcneera crc parter. art den p5 eec aS flagrant sate gir heir emor en av parrerns. Denna stindige OverkOrda part lean inre vats skyidig ate delta i dens missbruk sv resurser och fortroendekapital ccii dinigenom ge organisationen Iegieimieee. Dee Sr nagor som Keels Zcttervall-Thapper inte cycks kunna fOrsti. [LOs generandirekror Hansenne visade diremot deer omroatningen den oro ccli cfeertinksamher torn vi eftcnlysr, ccli utlovsde err omrinlcande. de deealjregler. Priorirera urbildning ccli eekniskr bistind. Effektivisera aS kailade hotee ate gnillige ILO cdi at till ate silt kunnande torn limna for are man fariorse it finns i organisationezs venkligen hammer till praktisk nyeta. Kore sage, atbetagivanna vile och vill modennisera i stiller en omtanke om DeeaUraS ILO, etc krav pa art organisa- en forildrad organisasion. Kraven pa nyeinlcande mOrn seod fain minga regexingar. men kompskc motsxind (rise arbetseagarna. Enlige facken var slit redan pexfèke. och ingeneing lick indraa. Nit sedan facken dray igenom an psssas till dagens och morgondagens aebeesliv. Vi viii ince delta i dee fore- 1995 ccli 1996 irs ILOkonferenser skulie utailicta en konveneion om hemaxbeee. uttalade arbeesgivarna stanita tvivei pi dee meningsfulla i dens. Det it en avgrundsdjup skillnad mellan "hemarbeee" i err mo dennr eunopeiske land och i u-under.Tvivlet vaxte till beslursamhet are inre ha nigor art gOra med en sidan korivent ion. Aven flees regeringsdelegarer vat emot den. Si arbecsgivarna seed frkriske inn heir ensamma. Vits invindningar gailde bade sakinnehiliec i konventiorsen och de mets lingsiktiga principerna. Minga hemarbeeande I ulunder hat der wire ccii it i eringande bchov sv tirbirtrsde villkor.Ur den sspekeen finns fürscielse for ieminsrone ambitionerns bakom forslsgen. Men ate r samma konveneron ornfstea aven exempei- rionen mitee moderniseras ccli an- sates forfallee med produkeion sv normer scm ingen viii ha ccii ants for eget brisk Viharsvirr art firvina uppdragsgivare (Oridara och forsvara ate vi genom eget delrsgande legieimerar vad vi inn lean at nigon nytra med. 0th vi bar lika seine see lyssna pi hyilninganna till en crepartism torn evi av parreins rotale struntar I nan dee hammer till prakrisk handling. Ste/Ian Awn dv cheffor internarionellafrdgor i SAF Farnse. Under 70-islet an:o ILO 23 nya konvenrroner. Till 1995 bade (rattan iv dma ran literate av 20-40 lander, fern iv 40-60/Onder. snxavfiüreän 10. Under 80-tile: miser 16 nra kin venneowv En torn handskappaaei bar fin 56 ran/ikanoner, en annan larbetemaivnathsnansuk) nan .10. Ates konvennoner l'sranraus an 10-30 Iandet see konvennoner at three an 10. Sverige Datum: 96-08-06 JR Battre kvinnolöner riskfyllt och snârigt Kraven pa hdgre mn tox kvinnor & fdrenade med svái risker som snklgheter. Ldnedlskrlmtnertn ken vera avAr att faststJIa, samlldigt sam en generell kvinnolOfleS8t8flhT1 medfdr en Okad risk fOr SAV1 hoWe InfiStlon SCm hOgre WbOdOShSt. 1 veckan faststhllde ILQ, Internattonal Labour skarnafram till att kvinnor med sammaiobb och I sa!nma Inrattnlng I genomsnitt tJanar indian 2och 6 procentmlndre n mannen. Stu dlerfrân USA bar visat aft mba och kvinnor I samma yrken och med samma arbetsglvare tJAnar I stort sett lika mycket. Uppenbara risker Organisatlon, att vrldens kvinnor har en Ijardedel lagre Ion an mbnnen, med lbngre arbetstld. Det ráder knappast nâgot tvlvel am att IUnediskrlml nering forekommer. dbremot är losningefl svArare att âstadkom Kraven frAn kvInnor I lagavlonade yrkesgrUP- perochavkvlflflOrl alimAnhet Sr dock fOr- knlppade med uppenbare risker, bAde for de sj6lva och for samba!let som helliet. For det ftlrsta riskerar hoga loneavtal aft leda ma. I Sverige uppmanar blträdande arbets- j tlllfbrreiobb. framlbr - alit I ktlrva besparingstider. Den hUgre arbetsbisbeten bland handelsansthflda och anstallda mom vârden sAgs olin been pa detta. FOr del andra riskerar en generelikvinnoloneatsnIng alt pressa UPP inflatlonstrycket. Det marknadsmifllster UIrika Messing lone- diskriminerade kvin. nor ati vbnda sig till arbetsdomstolefl, Al). Problem uppstâr genast len rAthrIs utvftrdering om lOnediskrlminering fOre' grsv5rtafttAnkaslg llgger. en kompenserande Tvá fall, sam JAmO. IOflSIkflIfl mom fra. in jametAfldbetsombudsditlonella. mnervAlbemanflen. drivit I AD 811 Iãkare Istàl!et, kWnnor, sâ fr ni ocksâ hogn beWser delta med ill loner, tycker debattören. FOr detiredle lnnebSr sin tydlighet. I decemhoida kvinnolOner ber 1996 dbmde AD tll1av regisJämnO:s fOrdel dA konsdkrlmflerflgfa3blOP genom regleringaren yttezilgare form 1lThdWfle- -. narRhtad pa en a u..1Ian* r,ultnftmSsekononter p5 samma - - ring sAttnhig knappast gynnar tlllkomsten av nya arbetsplats men med olika Ion. Jobb. Dlskvlmlnering Alt kvinnor Ionedlskrhnifleras Ar bite acceptaVid en AD-dopt 1apr11 196 kunde man dock belt, men ofta kan.det till och med vara battle tote iaststAlla aft IOnedlskrbnlnering mellan en itt satsa pA utbildning efler aft byta yrkesbana. ' kvinnllg barmnorska oth en manlig sjukhustekolker ibrelAg. Forutom diskrhnlnering mellan olika yrkesgrupper, pekar mycket pA att dlskrbnmnering ocksA forekommer loom samma yrke och pA samma arbetsplats. I en studle av den norska arbetsmarknaden (Petersen et al, Oslos universitet) kommer for- ' ',,.,',, ,. c- - Eft iltet exempel: Sverlges mest vAlbetalda yrkesgruppAr lAkare. Idag Ar det 11cr kvinnor An man som studerar pA en lakarutblldnlng. SA var det Inte fOrr. ULF HAMBRAEIJS/FTI :AibetspIât' ' *U1tVU5ltI1J -. S8143; 2 'it Sverige Nordvästra Skânes Tidningar Datum: 96-08-06 S nâr.iga kvinnolöfler -- Kraven pa0 1nogre lull for kvinnor är fore- h,oprtjettamed all sin tydlighet. i december AI UIJVIL 14W nade med SâVal flS ker som snarigheter. LflediSkrimiflmg kan vara svâr aft faststälia, samtidigt som engenerell vjflflo1onesatsmng rnedför en ökad risk for SãVäl hOgre inflation somliogre arbetslöshet. I veckan- faststO]1d-ll International Labour Organisation, aft varldens kvinnor har en fjardedel lagre ion On mOnnen, med liingre arbetstid. Det rOderknaPPaSt nOgot tyivel om aft lonediskrimin- ring fOrekonlmer, dOEmot Or losningen svãráre aft Ostadkomma. I Sverige uppmaflar bitrOdande arbetsmarklladsmu niqtr 'tilrika Messing lonedisitriminerade kvinnor aft vOnda sig till arbetsdOmsto 1,.problemUppStarge- nast i en rOttvis utvOrdering om onediskrimifle1i1Ig fOre-ligger. TvO fall, som JOmO, jOm- 1995 dömde AD till JOmO:S fastslogs mellan tvâ. fOrvaltningsekoflOmer p0 samrna ar betsplatS men med olika lOh. Viden AD-dom i april 1996 kunde man dock inte fast- själva och for samhllet som belhet. FOrdetfôakeh0 löneaVtal aft leda till fOrre jobb, framför alit i kOrva besparingstider. Den högre betslOShetefl bland handelsanstOilda och anstOilda mom vârden sags ofta bero pa det- st011a aft lonediskfl1fleg ta. For det andra riskerar en ska och en- manlig sjukhuStekniker forelOg. generell jnf101onesatSflhng aft pressa upp inflatiOflS trycket. Det Or svârt att tOnexkomPeflSeraflde lomellan olika yrkesgruPPer, kasig nesankning inomtraditioflel pekar niycket p0 aft diskrimansyrla, nier vlilbetalda mmnering-OCkSO forelcommer inom samnia yrke och p0 innebOr höjsámma arbetsplatS; - -- -. .-- For det tredje regleda kvinnolöner genom I en studie av den nórska ringar en ytterligare form av arbetsmarknadefl (Petersen regiering p0 en arbetsmark: et al, Oslos universitet) kom- nad dOr regierad ionesattning mer forskarna frain till aft knappast gynnar tillkomsten kvinnor med samma jobb och av nya jobb. i samma inrLittniflg i genomAft kVinnor lönediskrimimitt tjOnar mellan 2 ocli 6 neras Or inte acceptabelt, men procent mindre On mOnnen. oftä kan till och med *rara Studier frnhJSAharvisat aft bättre aftdet satsa p0 utbildning samma mOn och kvinnor I eller aft bytvyrkeSbana. yrken och med sainma arEtt litet exempel: Sveriges .betsgiVaretiOnar I stort sett FOrutOm uica myCKet. jskrimmfleriflg - Uppenbara risker mest vOlbetaida YrkesPP Or lOkare. Idag -Or det fler nnorOnmans0m1 SO var Kraven fran kvinnor i lOg- p0 en 1karutbi1dning. det inte fOrr. avionade yrkesgruPPer och av kvinnOr i aUmänhel Or dock forknippade med upULF HAMBRAEUS penbara risker; bOde for de Sv erige - :0 (I E' (1) d1 &iih; 0 'U I I m- I_ I U-I V I . V EJHiZ w 1W .U-I .. ci qi Sverige ostgota Correspondenteri Datum: 96-08-12 Kampen mot Ionediskriminering Linkoping pa rättvä Det ma ha knorrats mom vissa mansdominerade yrkesomrAden, efter Linköpings kommuns.senaste loneforhandling. Men kommunen är pA rätt vfig nilr det galler loneutjarnning mellan könen och bOr fortsatta- pA arbetsmarknaden fAngar upp 58 procent av kvinnoma och 40 stilhidhet i arbetslivet uppnfls. helt omojligt aft med fantasins De skail särskilt verka fOr aft Ut- hjalp fOrsOka sfitta sig in i vissa dessa trettio yrken efter den gemAnadslönen nomsnittllga i lOner och andra anstilllningsvilikor mellan kvinnor och man som utför arbete som fir aft betrakta som lika eller likvardigt. Vad som fir "lika vfirde" avgOrs med hansyn till det arbete som ska utfOras, inte till hur det utförs eller av vem. Vid lika och Dessa har ju under mAnga Ar lo- likvfirdigt arbete fir det sjfiivfallettillAtet med olika iOn, somt ex beror pA individuella skifinader ijuli -96 pA aft mer fin 45 procent procent av mfinnen. Ordnas jflmna och fOrhindra skillnader kvinnogruppers finns männen i allinfinhet pA den övre och kvinnorna pA den nedre delen av rangordningen. med sift aktiva jilinstilild- Löneskillnader hetsarbete, anser CATHARINA ALPKVIST, jamstillldhetsdirektOr, länsstyrelsen i Linköping. Pram till mitten av 1980-taiet minskade Jöneskillnadetna mellan kvinnor och man for stora grupper pA arbetsmarknaden. . Dfirefter stannade IDAG FINNS kvinnor i sam- minskningen av ochi dag finns ma utstrilckning som mãn.pA ar- tendenser till Okade löneskillbetsmarknaden. Detharvariten nader. En del av iöneskillnaderkontinuerlig ökning av kvin- na har aft gora med aft kvinnor nors förvarvsarbete under bela och kvinnors arbete fortfarande situation. nediskriminerats - enbart fOr aft jobben utfOrts nfistan huvud- saldigen av kvinnor. Most cieltidsjobb I en FN-rapport av arbetsorganisationen IJQ visar man nu av vfirldens kvinnor i dag ar ute pA athetsmarknaden. Mycket mellan olika arbetstagares ar- stor del av kvinnojobben ar betsinsats. Principen utesluter emellertid deltidsjobb. Och 10mte individuell lonesilttning. neskilinaderna mellan könen LOneskillnader fA.r dock inte ha visar ingenstans nAgra tendirekt eller indirekt samband denser aft minska. I Ost- och Sydostasiens arbetskraftsintenmed kön. siva lAgioneindustri fir upp till 1900-talet. De senaste decenni- vfirderas iflgre an man och mans emaharokningengáttsnabbare arbete. Det fAr konsekvenser Arbetsvürdering 80 procent av de anstfihlda kvin- ochberört andra grupper an tidigare - gifta kvinnor och kvinnor med smâbarn. Förvärvsarbete har bhvit en sjilivklarhetför kvinnor.. ilflr det gfiller bi a Ion, anstfillning och befordran. ' I Linkopings kommun hararbetsgivare och facklig organisa- nor. Kvinnorna har emellertid Tud&ad arbetimarkiiad Det finns en tydlig - om fin kke önskvfird - athetsdelning mellan kvinnor och man pa arbetsmarknaden. Kvinnor arbetar frarnför alit morn undervisning, sjukvArd och socialvArd. Aven mom sam- ma yrke finns kvinnor och man pA olika befattningsnivfler och med olika arbetsuppgifter. Genonigflende blir det dA sA aft det som kvinnor arbetar med vfirde- ras iflgre fin de arbetsuppgifter som mAn i första hand flgnar sig at. De trettio vanligasteyrkena Inomi stortsettaliayrkesom- lion pA ett mycket beromvilrt rAden, bAde mom privat och of- sfittmedvetet arbetat enligtjflmstAlldhetslagen i den senaste 10- fentlig sektor, harkvinnor lagre IOn an nifinñen. Tradilionella varderingar, fOrestllllningar och fordomar lever kvar. Den grundlaggande frAgan fin Hur vfirderas kvinnors arbete i sambAllet? . Konventioner och lagar Sverige hargenom attratificera olika internationella konventioner förbundit sig aft se till aft principenom lika ion for arbete av lika vArde fOr kvinnor och man genomlOrs i praktiken. Sedan 1980 finns ocksA en jamstahidhetsiag sm sager aft: "Arbetsgivare och arbetstagare skall samverka fOr aft jam- neforhandlingen. Efter aft tillsammans ha .genomfort ett arbetsvilrderingsprojekt inom Skaf-omrAdet, har man ocksA med stort ansvartagit nfista steg i syfte aft utjfimna de löneskillnader som finns och som visat barn tre firdedelar av mflnnens lOner. Endast5 procent av kvin- nornaivarldenstillverkningsindustri arbetar som tjfinstemän och 2 procent arbetar som chefer. Vi vill inte leva ien uppenbarligen orAttvisvfirld. Kvinnors atbeten mAste uppvfirderas. Kvinnors arbetsiOshet mAste tas pA ailvar. LinkOpings kommun har sig inte bero pA nAgot annat fin kön. Detta har dA givit till resultat aft vissa Overvfigande man- visat handlingskraft och bOr fortsfitta med sift aktiva jam- liga yrkesomrAden kflnner sig nesattning dfir man bortser frAn fOrfOrdelade och missgynnade. traditioneilt och ensidigt manligt tfinkande, och försOker se andra och nya dimensioner i ar- Det flrfOrstAs svArt aft i en sAdan situation forsOka se problemet i ett stOrre perspektiv och kanske inse det "rfittvisa" i arbetet med en lflngsiktig loneutjamning. Det borde emellertid inte vara stälidhetsarbete. En rfittvis 10- betsuppgifterna fir den enda vagen till mera rfittvisa lOner CATHARINA ALPKVIST Sverige Sverige Sinai andsposten Datum: 96-08-03 Dagens eko enligt uppgifter fran ILO Toppstyrt Moderaterna är i clag det framhâller förre socialde- och ledningens dorninans Or fuflstandig. Aftonbiadet (ober s) betsmarknadspolitik, Allan nisationen). FrAn ILO intet nytt alltsA. Expressen (ober) han inte vad Kenth Petters- LOr om! mokratiske finansxninistern, numera generaldirektoren mast toppstyrda partiet i svensk politik. Carl Bildts for EU-kommissionens arson sager? Larsson-Pettersson De gainla arbetsrättsla- garna duger inte langre for framtidens kunskapsbaserade jobb. De kraver i stallet en ny arbetsrtt som inte hindrar de nya Larsson. Vad flu da? Hör jobben, Barometern (m) Gamma! sanning Kvinnor arbetar langre tid fOr lagre loner On mOn och de har drabbats hArdare av den ekonomiska nedgãngen, Aktuc-.1)t I Po1jtjJc--1 Anmäl iönédiSkriminerinq! -Kvinnorsarbetemâsta1 bätfresta Del. sager jamstafldhetsminis- ter.UhicaMessingi enkommentar till en rappOrtithn Intematlo:nella arbetsorganisationen, ILO. Del arlktIgt alt kvinnors vlIlkorvãddon.ver blir synhiga, sager Ulnca Messing. Ju tier rapporter som visar hur det stAr till, deslo kraftfullare kan kvinnor stAlla krav pA rAtt till aT- bete:och rAttvisa.löner, rnenar jamstahklhetsministem. Hon uppmanar.kvinnorafl an mAla 0th pt6vas1tt fail cm de misstAnker alt de Ar lônediskri- mhernde..: .. 01) (Internationella arbetsorga- - LO och andra fackliga organisationer mAste Ater lära sig att verka pA arbetsmarknaden utan att ha lAngtgAende statliga regleringar bakom sig. Norrbottens-Kuriren (m) Sverige W c- jj . 1. I = Obo D1il liIH L- .T. a g I!I 01 ! . .c o I rI) ft - .a) Sverige Sverige Arbetarb 1 adet Datum: 96-08-01 I dagarna har vi eft gott exempel pA detta. När Kommunal försOker höja sina lAgavlonade kvinnors loner genom speciella pofter kommer protesterna frAn männen i fOrbimdet. Det känner sig plOtsligt lOne- diskriminerade trots aft de ofta har en bra mycket hOgre lon an sina kvinnliga kolleger i fOr- 44 Fortfarande. lang vagtill lönerättvisa vinnor arbetar längre tid fOr lagre loner. Det är lutsatsen len undersOkning som FN-organet ILO, den internationella arbetsorganisationen, gjort. Inget nytt under solen. Det är en gammal sanning aft kvinnolönerna släpar efter. Aven I ett utvecklat land som Sverige bar kvinnolOnerna en tydlig tendens aft hamna pa efterkälken i jämfOrelse med männens. När fOrsOk till utjäinrnng gOrs känner sig ofta man ásidosatta. bundet. Det är markligt hur ofta solidaritet i defta land endast sifter pA ytan. Eft slags marklig teflon-solidaritet. Mânga man mânar om hogre kvinnolOner, men tydligen bara nAr det inte gár Ut Over den egna loneutvecklingen. Det ILO pAtalat, och ofta genom aft htinvisa till utvecklingslander fOr aft markera loneskiflnader och lAnga arbetstider, finns fOrvisso liven hos oss. FOr Kommunal och andra fackfOrbund med en stor kvinnomajoritet galler det bara aft stã pa sig. LOneskullnaderna och orlittvisorna màste jäninas Ut. Sedan far till exempel de brandmän som flu protesterar met aft kvinnorna for en gling skull fAft litet mer I lönekuvertet tycka vad de viii. Om det finns man i Kommunal som känner sig trampade pA tArna dlirfor aft kvinnor hävdar aft de ska ha rAttvisa loner fOr eft värdefullt och viktigt arbete, sA far de naturligtvis motivera varfOr de ska ha en hogre lOn an sina kvinnliga kolleger. Dessutom bOr de kiara ut hur lAgavlonade kvinnor ska kiara sig pA sin inkomst. FOr idag är det mãnga kvinnor som inte klarar sig pA en heltidslOn. Sverige Datum: 96-07-31. TCX)Ti.dn irigerl Fattiga, trots aft de bar jobb I dag ãr 45 procent av världens kvinnor ekonomiskt aktiva. Andà ãterfinns majoriteten av dem pa listan over arbetande fattiga. dar de dessutoni Okar. Trots att kvinnorna arbetar fler timmar fk de i genomsnitt 25 procent lägre loner an man. ett gap som är ett stort hinder fr Nyi Luc3vka Tdning "Anmäl orättvisor" STOCKHOLM (IT) - Kvinnors arbete mtiste fA bättre status. - Det sager jämställd- hetsniinister Ulnica Mes- kvinnornas ntveckling. Enligt ao liar emellertid sing i en kommentar till en rapport fran Internationella arbetsorganisa- manligt dominerade jobb. Andâ Samtidigt fastnar mnga bestâr de allra fattigaste i vanden till 70 procent av kvinnor och av aMa analfabeter an 65 kvinnor i lâglonearbeten, procent kvinnor. ligt ILO-rapporten. kvinnar vttit betydande fbr delargenomattgâinitidigare lionen, ILO. Kvinnor arbetar mer. osakra anställningsforhAllanden och deltidsarbeten, en- - Det är viktigt aft kvinnors vilikor världen over blir synliga, sager Ulrica Messing. Ju fler rapporter som visar hur det star till, desto kraftfWlarekan kvinnor stalla krav pA raft till arbete och rättvisa loner, menar jämställdhetsministerii. Uppmanar till anmälan Hon uppmanarkvinnor aft anmala och prOva sift fallom de misstänker aft de at lOnediskriininerade. Kvinnors växande andel av arbetsstyrkan fOrklaras I ILO-rapporten till stor del av aft de tar deltidsjobb. Ulrica Messing sager aft hon ska verka for aft de del- tidsarbetslosas mojligheter till heltidsjobb fOrstarks. Sverige Norra Skáne flitum: 96-07-30 - GENEVE - Kvinnors värde lagre KvinnOr har Iingr. arbotstidor an mm, men tJãnar I gonomsnitt25 procont mlii- noriAidrarnamellanl5och64 Ar her i dag arbete, vilket ar och 1990; i sydOstra och Ostra drygt hAiften av arbetsstyrkan i cent av arbetastyrkan mom den exportinriktade undustrin. bob Mt kvhnnor I Mt stöITe jAmibrt med 37 procent i vAstra Europa och 30 procentiUSA fOr 2OArsedan.. dre in dessa. Och detta utstracknhng har anstilits 11mm traditlonellt manilga yrken, heter dot 'I en rapport fran .FN-organet Internatlonella arbetsorganlsstionen ILO. Rapporten 'Pier och bAttre arbeten fOr kvinnor - en hand1edning' offentlggjordes 1 Geneve pA tisdagen. - Medan alit flerkvinnor arbe tar, fAr de aura fiesta bara anstailning i IAgavlonade yrken, sade Liii Limvid presentationen ày den 200-sidiga rapporten. - Kvinrnrns ekonomiska akti- den industrialiseradO variden, vA KVINNOR TOPPCHEFER Rapportei Ar ennppfoljning av fOrra Arets kinnokonferens i Peking o& :s sociala toppmote i KOpenbamn 1995. Rapportenshuvudsakilga stutsatser - -Denrelativtbilligakvliga arbetsstyrkan utgorryggraden .i den exportinriktadeundustria- liserungen av inAnga utvecklingsiAnder, sade .ILO-chefen Michel Hansenne. STARIAR EGET Rapporten redovisar ocksA stora framsteg fOr kvinnorna Ar dais att kvinnor utanfjord- under senare Ar, sArskilt I brukssektorirendast tjAnar.75. utvecldingslandernaTill exemprocentavdén ion soth'inAn i .pel fAr alit fier kvinnor jobb i mats nd& Ansth]Iningar liar. .iedax4e befattningar och fier I rapporten frAmgAr ockAA att ., amerikauska kvinnor An mAn arbetslOshetenblthidkvinnor Ar startar egna foretag mellan50 och 100 pr cent hogrO An bland mAni flerá ilAnder. vitet fOrblir koncentrerad tifi lAg- Vidaréheter det irapporten avlonàde, lAgproduktiva och aft kvinnor bara upprattliAller sex procent av de hogstabefattningarna i nAringslivet.' otryggajobb, sade hon vidare. Kvmnor utgor 70 procent av Asien utgor kvinnorna 80 pro- -Men jämlikhet har Amiu inte uppnAtts nAgonstans i vAnden, pApekade Hansenne. ILO berAknar aft kvinnorna i ilAiiderna kommer aft utgora en lika star del som mAn av de. vAridens fattiga. LikasA utejir de Andra fakta 4. rapporten: i 65 procent avjordens analfabetar, heter det i rapporten. Nordaunerika, Europa och Japan utvecklingsiAnderna kommer anstAildes dubbelt sA mAnga kviniior som mAn mellan 1980 kvinnorna aft utgora 31 procent av de arbetslösa.(TT-AFP) Drygt. 45 procent av alla kvin- arbetslösas skara vid Ar 2000.1 Sverige Kvinnor värderas m yckét lag r e an man. mote I Kopenhamn 1995. RapKvinnor har langre portens huvudsakilga slutsatarbetstider an1 mün, serärde1sattkvinnmutanfOr men tjänar I genom -- -- -jordbrukssektornendast Ijanar 75 procént av den ion som man sniff 25 procent i motsvarande anställningar mindre. Och delta hat IrapportenframgárocksA trots alt kvinnor i alit aft arbetslösheten bland kvinnor är ni.pl]an 50 och 100 prostörre utsträckning cent hogre an bland man i flehar anställts mom ra iländer. Vidare heter det I rapporten traditionelit manliga aft kvinnor bara upprätthâlier yrken, heter det i en sex procent av.de hogstabefattrapport fran FN-orningarna I naringslivet. Andra fakta i rapporten:.i ganet Internationella Nordamerika, Europa och Jaarbetsorganisatio-. pan ansthlides dubbelt sâ nen ILO. Datum: 96-07-31 Skãnska Dagbladet mánga kvi±inor som man mellan 1980 och 1990; i sydostra och.- Rapporten "Fler ochbättre-. betenibrkvinnor-enbandledningoffentliggjordes i ye pãtisdagen. - Medanalitfier oslraAslenutgOr.kvinnorna80' procitav arbetsstyrkan mom den exportlnriktade Industrin. Den ielativt bilhiga kvinnliga arbetssty$can utgor ryggbetar,frde aUra flestajbara an. - radenidenexportlnriktade Industria]isetingenvmánga Utstu1nfrig I lãgavlonade yxkén, sade Lin LIm vid presentatlo-. vecklinändeisade ILO-chenen av den 200sidigarappor- ...fenMIchelMansemie. ten.. STARTAR EGEI.- Kvinnans ekon6miskakRapportén redovlsr.ocksâ tivltetfOrbllrkoncentreradtffl stora framsteg fOr kvinnorna lâgvlonade IágprO&zktiva och under senare ár, särskilt jut'otryggajobb, sade hon vidare. veckllngslãnderna: alit tier Kvinnor utgor 70 procent av kvinnor far jobb I ledande bevärldens fattiga. Likasá utgor fattnlngar; tier amerikanska de65 procent av jordens analk*innor an man startar egna fabeter, heter det i rapporten. fdreta lagar for jâniställdhet Drygt 45 procent av allakvinbar antagith i alit tier lander I nor i âldrarna mellan 15 och 64 sávâi industria]Iserade som utár liar i dag arbete, vllket är vecklings]andez och arbetsvilldrygt baiften av arbetsstyrkan koren liar fOrbättrats sâ aft iden induslrialiseradevärlden, kvinnor iãttare kan kombinejämfbrt med 37 procent i vastra yrkeslivet med familjesituaraEuropaoch 30 procent i USA tionen kvinnor ansluter sig i fOr20trsedan. alit hogre utstracknmg till FA TOPPCHEFER Rapporten är enuppfoljning avfOrra ãrets kvinnokonferens i Peking och FN:s socia]a topp den, pApekade Hansenne. ILO berãkxiar aft kvinnorna i iländerna kommer at utgöra en lika stor del som man av de arbetslösas skara vid àr 2000.1 fackfOreningar och alit fler kol- lektivavtal träffas som gynnar jämiikhet. - Men järniikhet harännu inte uppnátts nagonstans Ivan- utvecklingsländerna kommer kvrnnorna aft utgöra 31 procent av de arbetslösa. Vidare franigar aft kvinnornas växande andel av arbets- styrkan tifi stor del förklaras av aft de tar deltidsjobb. I de 28 landernainom OECD bar kvinnorna méllan 65 och 90 procent av deltidsjobben. ('rF-AFP) Sverige L9.c1 _= IU) °E '- : E mI d OOE ;E.E} 2.2 tird '- E ' <c .2 : --E 2 2 c- p. EU :2 = E.p9 C 2 s- 2 - 0.. E.-. -- United Kingdom FINANCIAL TIMES t'!ñ'iuffered. most --' i,,. )ai recession ifl::1 D R st-Ta Ior,- nher of women migrant tl -' ": workers to increasing steadily. Empêoyrnsnt Editor -'-: -'' iLL;. :-. The -substantial growth In Women workers suffered more the number of women workers hours than men for lower pay, earning only between 50 and 90 per cent of men's wages worldwide. As many as two-thirds of the than mena.crossthe worJ,din' In .1ndustria1ised nations the economic recession -of reflects .the increase In nearly lbn adult illiterates In recent-years, accordlng';to a' parttime employment. Women the world are female. Sixty per report' ublished-today b$-'the r mAke up between 65 and 90 per cent of the lOOm children withGeneva-based.InterflatiOflál. -cent of.ali part-timers In indus- out access to primary educaLabour Organisation. .!:. - .:thallsed -economies. 1n -.developing countries lised-comitties the jobless rate women-make up a substantial for women is between 50 and part of the labour force In the 100 per oent higher than for Informal sector in low paid, men. -Unemployment among unregulated activities. More women Is also considerably In .two4hlrds of Edustria-.- higher than among men In subSaharan Africa, Latin America and the Caribbean. 'Ihe survey Bhows that Worldwide, women work tion are gir]s. "Equality of opportunity and treatment for .women in employment has yet to be achieved anywhere In the world," Mr Michel Hansenne, 11.0 dIrector-general, said yesterday. The report says that "increasing employment opportunities for women is net suffi- women Indeveloping countries longer., hours cient; -there must be action to' Improve the terms and condi- than-men for lower pay tions of such employment." year 2000 there will be asmany of the make .up 81 per world's labour force.-' By the women - In work - as men In many industrialised econo? rams. in south-east Asia 54 per cent It recommends the enforce- ment of international labour standards to ensure the princi- ple of "comparable worth by of workers axe women and In than a third of the female providing equal pay for work workforce in Africa work in of equal value", greater secuthe informal sector with 72 per rity for part-time workers, Women make up 34 per cent of cent of those in Zambia and 65 the Caribbean 49 per cent. per cent in the Gambia. More than 65 per cent of women in the Indonesian labour market Only the Gulf states con- .bave jobs In the Informal sec- the workforce In Latin 'Amer ica and 21 per cent In northern ........ tinue -ito -res1st ;the -trend towards increased female employment, says. the study, written by Ms Lin Loan Lim, an ILO official. But even here tOL - The survey also shows women face, widespread discrimination. It says women work longer guarantees of freedom of association and the right to collective bargaining for women and "appropriate" labour market regulation to protect women. More and Better Jobs for Women - An Action Guide by Lfn Learn Lim, £1&50, from ILO, Vincent House, Vincent Square, London SW1 2NB I United Kingdom Workplace trends Women's wages still lag lolig after global accord '['hey receive only 50%_8(Y%, Of what men are paid w)rIdwide *OC1ATIDPIfl'Jft WASH1NqTOI -- Dc. spite a tmlf-ccnt.ury..old worldwi4e ageement that a woman and a:flhan must earn equal wages for equal work, women's pay levels still average far beloW men's. the Internatinnal ihnr Organize. I Labor Secretary Robert Reich promised Isat mdnt.h to get President Clinton to seek Senate approra3 B. of another agreement bannthg job dIscrimination, including discriminatory treatment of women, That ILO agreement dates from 1958. l.tm's paper points to a special difficulty for u.s. compliance: Each state. labor laws, and the federal government has trouble getting them to conform. "In some states ... women etild not legally be required UI lifi. loads of more than 30 Women's pa,y still lags men's bug after accord [Wai?es,from Page Id country to discriminate against half fl.s population,"! .Im said. Her report. says that In Latin Americtu and the Caribbean, an t.Ion says. average woman can earn as little "Women tLlI earn he. poundç the paper says. as half a man's pay. In rich count.ween 50 an 80 percent of "This was used to justify pay. trios, the difference can be les men's wages Worldwlde, the ingtmenj.ahlgherwage." than 10 percent. In an Interview, Lim said United NaUos agency said In a preface to the guide, ILO In "More and Be1.t.er Jobs for her country, Malayai$, has Director General Michel Han. Women," an :11O document moved closer to equality be- senne said women have unequal cause a continuing economic made public iest erclay. chances for training, access to Lin Lean 1irn. the paper's boom has created a labor choice ofjobs, share in deci. author. said advances have shortage forcing It. to Import loans, slon-maklng, family responsibilibeen made si.nce 124 govern. workers from the Philippines ties, career r'rospects or steady ments signed t.he equal- and elsewhere. wor1 --as well as unequal pay. More Malaysian girlS are wages agretment in 1951, The 3L0 has 179 member counbut. "progn's has been nei- attending schools, she said, tries, with headquarters In Gene. considers the sinwhich she ther unlversl nor sustained, even In couijtric.s and areas gle most Important require- va. ment for Third World counwhich have made explicit el tries to rectify man-woman forts." American women receive pay discrepancies. More education Increases 68 percent to an average 70 percent ol men's pay, the a woman's earning power, cuts the population growth estimated. The UnWed States and and increases the likelihood other rich ctuntrles should that children of both sélces be the first t. enforce the ac.. will survive, be bct.te sred cord, she .uge.st.cd. hut br and cducat.ed, she said. "it. flI3kCS WJ CCOflQñU( noted that. the U.S. SuatC SrnfiE' fora I'e IVies, JE7r1 never rat ifind It. United Kingdom hratIp t1rrapl1 30 JUL 1991 Women work longer hours than men and are paid on average 25 per cent less, according to a report issued today by the International Labour Organisation. Between 1980 and 1990, women accounted for seven million of the eight million entrants to the labour force in western Europe. In two-thirds of countries, FINANCIALTIMES uptotwiceasniany women as men are 3' unemployed. Gordon Martin, Gen JUL ig Womn los out at woric Worldwide: Women work longer hours than men for lower pay world. wide, says an International Labour Organjsatjo report.: THE The Daily Telegraph - London TIMEs JUL 7ot 30 JUL 1U Cheap labour Wofoen work longer hours than men and are paid on average 25 per cent less, according to.a report issued today by the International Labour Organisation. Between Geneva: Women work longer hours than men but earn on average 25 per cent less, despite filling jobs that used to be traditional male occu pations, the International 1980 and 1990, women accounted for seven million of the eight million entrants to the labour force in western Europe. In two-thirds of countries, up to twice as many women as men are Labour Office said. 4FP) unemployed. Gordon Martin, Geneva The Guardian Weekly -4 AUG 1996 average pay levels are still well below WOMEN'S men's, despite a 50-year-old worldwide agreement that the senes must earn equal wages for equal work, the International our rganisBon Maid. United Kingdom Women Sufféredi: most jfl recession FINANC1ALT1MES . By Robert Taylor,' EymeEdlt*T: Women workers suffered iñore ."ihan men across the world In the economic recession of recent years, according to a I mPost1 report published today by the Geneva-based jternationai Jbour OrganisatiolL' 1n twthlrds of industria-. used countries the jobless rate for women has been from 50 to 100 per cent higher than for men. The survey also shows women worked longer hours for lower pay, earning between 50 and 80 per cent of men's wages worldwide. "Equality of opportunity and treatment for women In employment has yet to be achieved anywhere In the world," Mr Michel Hansenne, ILO director-general, said 'yes- terday.' Women are playthg an increasing role in the formal economy. In developing countries they make up 31 per cent of the world's labour force and by the. year2000 In many Industrialised economies there will be as many in work as men. But many jobs for women are part-time or In the unregulated Informal sector where opportunities for discrimination and. exploitation are rife. "Increasing employment opportunities Tor women is not sufficient; there must be action to 30 JUL 1996. It's still a man's, man's maii's world Women in rich and poor the world work longer hours but are paid 25 per cent less than men docountries around ing the same job, claims a report by the International La- -boar Organisation (ILO). Although more women were entering the global labour market, they ran a higher risk of unemployment and had had little success in mounting the Ladder to top management posts. "The bottom line is that while more and more women are working, the great majority of them are simply swelling the ranks of the working poor," said the report, written by UN agency analyst Ms Lin Leaii "Women's economic activities remain highly concentrated in low-wage, low-productivitY and precarious forms on -employ- improve the terms and condi-' tions of such employment," the report says. It recommends the enforce. ment," she added. standards to ensure the principie of "comparable worth by providing equal pay for work of equal value", greater security for part-time vorkers, and "appropriate" labour market women's unemployment rates ran from 50 to 100 percçnt more than for men and around the world women held less than six percent of senior man- ment of international labour regulation to protect women.- The report shows the problem starts early. As many as two-thirds of the nearly lbn adult illiterates in the world are female, and 60% of the lOOm children without access - to primary education are girls. More and Better Jobs for Women - An Action Guide by Lin Learn Lim, £13.50, from LW, Vincent gouse, Vincent Squai London SWI 2NB The ILO said the majority of women earned about three quarters of the male wage for the samb work. In many richer countries, agement posts. TheGuardiafl 30 JUL 1996 Women still get raw pay deal average pay levels are still well beWOMEN'S low men's, despite a 50 year-old worldwide agreement that the sexes must earn equal wages for equal work, the International Labour Organisation said yesterday. The United Nations agency claimed women still earn between 50 and 80 per cent of men's wages worldwide. It said advances have been made since 124 governments signed the equalwages agreement In 1951. In rich countries, the difference between men and women's pay can be less than 10 per cent, but In Latin America an average woman can earn as little as haifa man's pay. - AP. United States of America IMPERIAL VALLEY PRESS EL CENTRO, CA DAILY 15, 500 TUESDAY JUL 301996 Half a century after accord, women's wages stifi trail men's By CARL HARTMAN Associated Press Writer ti enforce the accord, she suggested, but noted that the U.S. Senate never ratified it. WASHINGTON (AP) - Despite a half-century-old worldwide agreement that a woman and a man must earn equal wages for equal work, the International Labor Oganization says women's pay levels still average far below men's. "Women still earn between 50 and 80 percent of men's wages world- wide," the. U.N. agency said in "More and Better Jobs for Women," an 11.0 document made public Monday. Lin Lean Lim, the paper's author, said advances have been made since 124 governments signed the equal- wages agreement in 1951, but "progress has been neither universal nor sustained, even in countries and areas which have made explicit efforts." American women receive an average 68-70 percent of men's pay, she estimated. The United States and other rich countries should be the first to Labor Secretary Robert Reich promised last month to get President Clinton to ask Senate approval of another agreement banning job discrimination including discriminato.. ry treatment of women. That ILO agreement dates frpm 1958. Ms. Lim's paper points to a special difficulty for US. compliance: pach state has labor laws, and the federal government has trouble getting them to conform. "In some states ... women could not legally be required to lift loads of more than 30 pounds," the paper says. "This was used to justify paying (men) a higher wage." In an interview, Ms. Lim said her country, Malaysia, has moved closer to equality because a continuing economic boom has created a labor shortage forcing it now to import workers from the Philippines and elsewhere. More Malaysian girls are attending schools, she said, which she considers the single most impor- tant requirement for Third World countries to rectify man-woman pay discrepancies. Women's pay still trals men's United States of America 45 years after accord, wages reflect inequality Associated Press 1J( WASHINGTON - Dpite !Ilãlf-century.old orldwre ment that' a woman and a .niañ must earn. equal Wages 'fo equal work, the International Lithor Orization says women's pay levels shit average far below men's. "Women still earn between 50 and 80 percent of men's wages worldwide," the U.N. agency said in "More and Better Jobs for Women," an ILO document made public yesterday. Lin Lean iim, the paper's au- thor, said advances have been made since 124 governments signed the equal-wages agreement in 1951, but "progress has been neither universal nor sustained, even in countries and areas which have made explicit efforts." American women receive an average 68-70 percent of men's pay, she estimated. The United States and other rich countries should be the first to en- force the accord,jhe.suggestedJt noted that the U.S. Senate never ratified it. Labor Secretary Robert Reich promised last month to get President Clinton to ask Senate approval of another agreement banning job discrimination including discriminatory treatment of women. That ILO agreement dates from 1958. Lim's paper points to a special difficulty for U.S. compliance: Each state has labth laws, and the federal government has trouble getting them to conform. "In some states . . . women could not legally be required to lift loads of more than 30 pounds," the paper says. "This was used to justify paying (men) a higher wage." In 'an interview, Lim said her country, Malaysia, has moved closer to equality because a continuing economic boom has createda labor shortage forcing it now to import workers from the Philippines and elsewhere. More Malaysian girls are attending schools, 8he said, which she considers the single most important requirement for Third World countries to rectify manwoman pay discrepancies. More education increases a woman's earning power, cuts the popu- lation growth and increases the' likelthood that children of both sexes will survive, be better cared for and educated, she said. -. J MARIN INDEPENDENT JOURNAL NOVATO, CA DAILY & SUNDAY 41, 839 TUE SDAY JUL 301996 United States of America DAILY BREEZE TORRANCE, CA DAILY 80,800 11L0: Women earn less than mefl TUESDAY JUL 30 1 996 Desp1te a half-century-old worldwide agreement that a woman and, a man must earn equal wages for equal worlç, the Ijiternatinnal T.nhnr flr,grniit'Uoii. says women's pay levels still average far below men's. OUTLOOK SANTA NONICA, CA DAILY 27,572 Women still earn between '50 percent and 80 percent of men's wages worldwide, the TUESDAY JUL 301996 U.N. agency said in Morv and Better Jobs for Women, an 1W document made public Monday. MANTECA BULLETIN NANTECA, CA DAILY & SUNDAY 7, 200 TUESDAY JUL 301996 Women's pay still lagging WASHINGTON (AP)óspite a half-century-old worldwide agreement that a woman and a man must earn equal wages for equal work the public Monday. Lin Lean Lim, the paper's author, said advances have been made since 124 governments signed the equal- International Labor Organization wages agreement in 1951, but' says wcmens pay ie'veas suit aver- "progress has been neither universal .nor sustained, even in counties and age far below men's. "Women still earn between 50 areas which have made explicit and 80 percent of men's wages worl- efforts." dwide," the U.N. agency said in American women receive an "More and Better Jobs for average 68-70 percent of men's pay, Women," an 1W document made the estimate The United States and other rich countries should be the first to enfor- ce the accord, she suggested, but noted that the U.S. Senate never rati- fied it. Labor Secretary Robert Reich promised last month to get President Clinton to ask Senate approval of another agreement banning job discrimination including discriininatory treatment of women. That ILO agreement dates from 1958. United States of America THOUSAND OAKS STAR THOUSAND OAKS, CA DAILY & SUNDAY 19, 877 MOORPARK STAR TUESDAY JUL 30 1 996 VENTURA, CA DAILYSSUNDAY 6,000 TUESDAY JUL 30 1 996 SIMI VALLEY STAR SIN! VALLEY, CA DAILY S SUNDAY 12,688 TUESDAY JUL 301996 'Decades after world acord, pay equality. eludes women 'WASHJNGTON:..j(AP) - baniiingjdb discrimination including discriminatory treatment of women. That :ILO agreement Despite a ba1f..centur-old worldwide agreement that a woman. and a man must earn equ1 .wges for dates from 1958. ,:equàl work,; the luternatinnal . Lini's paperäints"tó a Special ' Labor' Organlaatioi says women's- difficulty for 'i.LS. compliance: .pay4eyelssili 'average far below Each stte' has labor .iaw, and the meifs;' '1 'ff..'." "federal government has trouble. Wómen.'L earn between SO and' 80 percent of men's wages getting' them,io conform. worldwide," the UN. agency said cculd'ñot legally be required to lift :' "In some states ... women in' "More and Better Jobs :for. loads' of more than 30 pounds," Women," n JLO document made the paper says. "This was used to public Mbnday ', justify paying'. (men) a higher '.' .Lia Lean';Lirn, the. paper's. wage.' : . an interview, tim said her made. since :124 governmentS couniry, Malaysia, has moved 'signed 'the equal-wages agree- closer to equality because a conauthor,, said 'advances have been ment in 1951 but "progress has tinuing economic boom has creat-' been neither universal nor sus- ed a labor shortage forcing it now tamed; even 'in countries' and to, import .workers from the 'areas which have made explicit Philippines and elsewhere. More efforts." . ", ', Malaysian girls are attending' American women receive an average, 68-70 percent of. men's pay, she' estimated. The United States and other rich countries should be the .first to enforce the accord, she suggested, but noted schools, she said, which she con.siders the single most important the U.S. Senate never ratified it. Labor Secretary Robert Reich woman's, earning power, cuts pop-. requirement for Third World countries to rectify man-woman, pay discrepancies. ' More education increases a ulation growth and increases the promised lát month' to 'get likelihood that children of both President Clinton to ask Senate. sexes will survive, be better cared approval of another agreement for and educated, she said. United States of America STAR-NEWS PASADENA, CA 45,000 DAILY TUESDAY SAN GABRIEL VALLEY TRI BUNE JUL 301996 COVINA, CA DAILY 122,500 TUESDAY JUL 301996 DAILY NEWS IHITTIES, CA DAILY & SUNDAY 17, 200 Women stIH earn less than men, U.N. reports TUESDAY JUL 301996 "%VASHINGIONDespiteahalfcentury-Old worldwide agreement that a woman and a man must earn equal wages for equal work, the International Labor Orgni- / gn..says women's pay levels still average far below men's. "Women still earn between 50 and 9) percent di men's wages worldwide," the U.N. agency said in "More and Better Jobs for Women," an LW document made pubc Monday. Liii Lean Lim, the paper's author, said advances have been made sInce 324 governments signed the equal-wages agreement in 1931, but 'progress has been iieither universal nor sustained, even incounfries and areas which have made explicit efforts." Abovówater Bird-watching author - Roger Peterson dies 'OLDLYME, Conn.RogerTory Münir Busøhn and his :ijiother rescue their cat in Dhaka Bangladesh. Peteron, a modern-day John James Audubon who turned mUlions of Americans into bird watchers with his easy-to-use field .00dingthérehaS. guides, has died at 87. Peterson, who died Sunday idlled at least 115 people. Eight' ilitia members' face conspiracy charges SEATTLE - Seven man and a woman arrested over the. weekend on federal charges of conspiring. C to make and possess explosive devices made initial appearances Monday in federal court Pasenelli said four of those arrested were members of the anti-government Washington State Milltia its founder and former executive director, John Pitner,Mathn Lane Mack, Gary Marvin Kuehnoel and Frederick Benjamin Fisher. The other four - John Lloyd Kirk, Judy Carol Kirk, Richard Frank Burton and William Smith - were members of a Seattle-area group referred to by Pitner as ' "Freemen," according to the feder- al complaint '. P after suffering a mild stroke several months ago, wrote, illustrated and edited 15 books that sold mulions of copies and were translated into at least 12 languages. Hunicane leaves 35 dead in Central America GUATA Cfl Guatema A Caribbean-born hurricane emerged newly potent in the Pacif ic on Monday, leaving at least 35 people dead in its sweep across Colombia and Central America Renamed Hurricane Douglas from Hurricane Cesar because of the change in oceans, the storm was about 330 miles west di Guatemala City at midday Monday, menacing Mexico's Pacific Coast The Mexican government issued a tropical storm warning from Sauna Cruz to Acapulco as Doi'glns headed west - Fnim wire reports United States of America SANTA MARIA TIMES SANTA MARIA, CA a SUNDAY 22, 500 DAILY TUESDAY JUL 301996 SALARIES' omen's men's L4 M. Labor Secretary Robert ' Reich promised last month to get President Clinton to aSk Senate approval of'r - By Carl Hartman. agreement hanning job die-' criminatioñ including dis- Assodated Press Writer. criminatory treatment ôf WASHINGTON Despite a half-century-old worldwide agreement that .* woman and a man must earn equal wages for equal work' women. That 1W agreement dates from 1958., the :Internatiônal Labor Ms. Urn's paper points to! -a special difficulty for U.S. 'compliance: each state has, ,Organizafion says women! labor laws, and the federal ' pay levels atill averagt far below nen's. :.', ""Women .stlliean between 50 and 80 pácëntOf' men's wages worldwide," the U.N. agency said in "More and Better Jobs for Women," an 1W document thadeiub- government has trôublegCt- :tingthemtoconfoi.'"' "In some stated .. women could not legallybe ieqUi!. to lift loads ofmoiethañ30 pounds," the .paperziys. "Thiiwas used to justify - Un Lean Um th paper's author, said 'advance! have paying (men) a higherage." In an interview, Ms. Lini said her country, Malaysia,,' has moved closer toeqa1ity been made since 124.-govern ments signed the equal-wages because a continuing economic boom has created a lic Monday. ' agreement in 1951,, but "progress has beCn neither universal nor sustained, eva in countries and areas thich have made explicit effor.": American women receive an average 68-70 percent of men's pay, she esthnated. The United States and labor shortage forcing it now to import workers frorn.thc Philippines andelsewheie. More education increases a woman's earning power, cuts the population growth and increases the likelihood that children of both :sexes will survive, be better caied other rich countries should be. forand educated, she said. the first to enforce the accoid,. she suggested, but noted that the U.S. Senate never ratified countries. it. . The ILO has 179 minber United States of America U) tg4,4) 4) )Ei, E United States of America - (1) o E - . E a) E G'r1 C u2U3 .-C)S.4.4-J 0 C'Q) ) a 0a)2o W 'U U- 0 UI C,). SM 0 O w&- - E2 W UI UI . -c.!. a) E :' u32 E'-' oc' UJ b wEw .vi C) 0 C) ;_ 0 C) E 1- Cl) i; C)Q. oui ._ -..C) . . a).2d ©-I% . c- Cl) Cl) LLI mo . .o-,w_ c .0 E . w W..!. .:00 E . _D Q UI0C)M.9 0 C.) . HJ Cl) . 0 0 0 'C2 a) 0. . ow C C .2 a) ILO w w2ow wcnEa'E O0Ot0 E uIIuI a E C) : E a d a pp. o -u C) [ = .ELI 5V H; . } C . , q . iiIIi= ;i.2 .2 21L= ;ihk DC E 9 E ill u Ii qk UU v . LL 0 U . oF 1V ;kL: lCD u u.UtCü .5 C. c .,5I-=.o C) - A U United States of America SUN BALTIMORE. lID 343.844 DAILY IJEDNESDAY AUG 21 1SSG Btter j ohs for women EDITORIAL are smaller. Worldwide, women's wages fall LOfl hours, low wages &iwauon, equaW. somewhere between 50 and' 80 percent of the ;benqfltshouseJwfrfr fema(euvr wages paid to male workers. The low wages paid to women workers feed a HE TIME when wornen% work was In the. vicious cycle in which girls are given less school- home is long past In this country, ad the. ing and, consequently, have to seek out lower-j paying jobs. Despite their hard work, their low same trend holds true around the world. According to a new report from the In- wages keep their families mired In poverty, retematlonal LabQ gj,aJion by tIiiT ducing the chances that their own daughters year 2000, womiiWllLpartIcipate In, the labor' can seekabetter education. Educating young girls Is one' of the best inforce in about the same percentage as men in - vestments a country can make. Each additional 'many Industrialized countries. In developlag.countrles, where few women. year of schooling can raise a woman's earnings ' have the luxury of leisure, female workers win' by about 15 percent, compared with 11 percent .iinake up about one-third of the formal labor for males. Better schooling also reduces fertility fates by 5 to .10 percent and helps avoid 43 In;forcebythen. ' Considering their household responsibilities, fant deaths for every 1,000 educated girls.: The problems of women workers - from bewomen In most countries work longer hours. In :lndustriallzed countries, women work at. least ing ghettoized In certain kinds of jobs to paytwo hours more per week than men, sometimes checks that do not reflect the comparable value .up to 10 hours more. In poorer countries, worn- of their work - vary only In degree around the .en spend up to 42 'hours per-week in unpaid world. But women are an increasingly Imporuwork In the 'home, while men spend only be- tant part of the global work forëe and signifitween five and 15 hours in unpaid chores cant sources of household income. Paying at-' tention to their concerns can produce big benearound the house. And not surprisingly, women's paychecks fits for.famllies, and for countries. BURLINGTON FREE PRESS BURLINGTON, VT SUNDAY 70,000 AUG 4 1996 where women are less likely to lag Most of the new jobs being report author Lin Lean Lim. "Taking into account the educational differences, the productivity differences, there is an element of pure discrimination," she said. Some of her other findings: temporary jobs that offer few or behind men in education, said filled by women are part-time, I Occupational segregation, Study: Women earn 25% less than men WOthCU tdckat lower-pay-ing jobs, remains high. with U Of 8 million people who joined Western Europe's work Wothen around the world are force during tearing down barriers to joining were women. the1980s, 7 million the work force, yet they earn an average of 25 percent less than men do, a new report by the jnternational Labor Orgajzatjo. says. The earnings gap persists even in developed countries, F no benefits. I One thing hasn't been changed by gains in women's employment: They still do twothirds of the housework. I 4. in iÔiicforcè puce the WOM from page DII. 4.5 waiting for friends to build. them up. -. For instánce,.a vrnan might relOalk . knowledge. . The garment indusiry, in partic- ular, is an example of the concentration of women in low-paying sectors, : two-thiIds of the global workfomve is female, the study said. There are many reasons women that she is fat, expecting a reply .tlt she isn't Asking.for a raiserequires self-promotion, something few wornen are taught to do, she writes. Even fewer. are taught to fight. for equal treatment. "It takes guts to stand up for your still get paid less than men. One rights. Women need to fight. But reason is that women have difficulty addressing the pay gap because thej' to do most women don't have the courage that. They're too scared," earn. explained Childress, the time-share saleswoman who sued her emplçyer. "But it won't stop unless more of us make is troubling because "pay is a stand up for our rights. Unfortu- don't know what their colleagues Finding out how much people topic more taboo than religion or sex," said Carol Counter, a career ounselor in Tempe. "Women have to resort to espio- nately, lawsuits are expensive, and they require lots of time. How many viomen can afford .that?" Since Childress sued the Orange nage to find out how their pay Tree, more women have been decompares with the. men in the office," Counter said. "Then when they get the information, there's not manding equal pay at the resort "My lawsuit helped other wornen," Childress said. "It.was worth it. muchtheycandowith.itjuStpUsh. Butitwaspaimiful." More often than not, women for larger pay increases. But,by that choose to run fiom the situation.. time it's too late." For instance, when Marcia Angelo Companies often blame the pay imbalances on women's poor negoti- discovered that the management ating skills. However,, women corn-- cozisulting finn she worked for 'iii plain that men don't have to California was paying male consultnegotiate pay. Many women corn- ants more, she quit. "I didn't give a reason oi plain that they often get lesser offers. "My husband has never had to come back and say the salary wOn't do," said Jane Elliot of Chandler, an engineer. "Md he does the same job as I do. I've never been offered the kind Of money he. gets offered, and we have the same credentials and education. It's awful." More important, even when worn- en do discover pay inequities, they rarely fight to have .them rectified. That's because women aren't accustomed to fighting for their rights or promoting themselves, according to Deborah Tannen, author of You Just Don't Understand. Tannen writes that girls are taught not to stand out. Later, as women, they make selfderecatin remarks, anything," said Angelo, who. quit last year and is attending Arizona State University to obtain an advanced degree. "So what did I accomplish? Nothing, I guess." Many employment-rights attorneys don't believe the .. situation will improve anytime soon because corn- panies have been tightening their purse strings. "Jobs and money are scarce because of the downsizing movement. Unfortunately, that means the guys are going to protect the guys," said Joseph Goldçn, a Michigan attorney and former president of the National Employment Lawyers Association. "I see things getting worse for women." jJ United States of America Ridchmond Times Dispatch 30.07.96 Womensti trail men in wages despite accor flfl ASSOCiATED PRESS WS1HINGTOH - Despite a 45eyearold global agreement that, a w!nman and a man must earn equal wages for equal work, the tnternational Labor Organization says women's par still averages far ke1ov men's. 50 "Women still : betWe age 68 percent to 70 percent of ireii'$' pay, she estimated. . The United States and other.rich countries should be. the Srst to force the accord, she sestOdj. noted that theU.S. Senate nëer fiedit -, The 11.0 h*s 179 :jjner tries, with hèadquaxters üeneYk! [percent] and 80 percent of men's Switzerland. It indudes rpreiâflwages worldwide;" the UN; atency said in. "More and Better .Jols for Women," an 11.0 document made public yesterday. .Lin LOan Lim, the paper's a4thor, said advances have been made ince 124 governments signed the 4qual. wages agreement in 1951, but "prog- ress has been neither tiniversl nor sustained, even in . tountries and areas which have made explicit efforts." American wonien receive an aver- labor. rI) 1'_ - :. .4) . 0) 4-00 4)CtC0 C) 4)04)00) Qfl. E .E 00C)4? 8 4) 0. 0) - 0t 2. 00 0) rC3.4) . rL0) 0) Coy . e CO 1li ooco. 4) 0) ' -:4).4) C E0 CO 4) Eo 0 I-I- - 04)0 s:.CO00 E #icOC'3 4)'0.4) 82 o. COC E004)O 4)4)CO .C_ 0) 0) CO E0 0 4) EEE C ( g LEh 8 I ; A -. I - L3 U, CC ) E C . E 4 t1 .. ____ .: <L 3 8c5 , : O& =._ w_t_. .E . lC .J-,--.-. .- o DOe C I. ,g: E- . DOOC) .E h: CC4 Pjce CC2 otnCC54 .0 o..o %c v.L C C fl L1 U V .E ) (- O C .0 C/) o I bli!Ii -:E. . C E C/).0 C 0 0C C )) .C )0C E DO.0 ) 0< r, C- Qo oc oc'.e C c OO I C C i-. N I= 0 .= 2 co0 - EcoW C -C c> I-. .'3) EE '3) '3) E CO ..-100w JoE d C CO (fl rn - C Lh -- ).. .e. o E jJJ Li ..% C E ° 0 0 C WC,.0 g4 I.-. < E- 0 Z 3 Li _.1-- w Cl) I b iic i.ibii.; WINONA DAILY NEWS MESABI DAILY HEWS WINONA, MN DAILY & SUNDAY 15,000 VIRGINIA, MN 12,245 DAILY pay still f Women's trails men ) TUESDAY ment that a woman and a man JUL 30 1996 TUESDAY must earn equal wages for equal worlç the jternati.Qnal Lihnr Or- JUL 30 1996 g_anization says women's pay 1evëIs stli average far below men's. American women receive an average 68-70 percent of men's , (Women S Lpay still trails that of men's pay. 3 p. 1 POST-BULLETIN United States of America ROCHESTER, MN DAILY & SUNDAY WASHINGT( (AP) - Despite a haif-centuly-Old worldwide agreement that a woman anda man must earn equal wages fbr equal work, the jmIaUQnal_ JorQaidto!LsaYSW0me8 pay levels stiff average far below men's. Wonien still earn between.O and 80 percent of men's wages worldwide," theU.N. agency sId In "More and Better Jobs for Women," an ILO document made public Monday. Un Lean. Urn, the papeis author, said advances have b$n made sInce 124 governments signed the equal-wages agrment In 1951, but "progress has been neither universal nor sue- tamed, even In countries aid' areas which have made cpIlt efforts." American -women receive -uiaverage 68-70 percent of mena pay, she estimated. The United States and other rich countries should be the first to enforce the accord, she suggested, but noted that the Ua8. Senate never ratified It. Labor Secretary Robert Reich promised last month to get Pres- ident Clinton to ask Senate approval of another agreement banning job dlscrlmlnatlp*1 including discriminatory treatment of women. That ILO agree- ment dates from 1958. Ms. Urn's paper points to'a special difficulty for U.S. compliance: each state has labor laws, and the federal government has. trouble getting them to conform. "In some states ... women could not legaflybe required to lift loads of more than 30 pounds1" the paper says. "This was usedin justify paying. (men) a higher wage." WASHINGTON - Despite. a. half-century-old worldwide agree- 42,000 TUESDAY JUL 30 1996 cwomen not closing . 'pay gap with men, U.N. reports says By cad Hártman Assodad Pss Urn's paper points to a special 9 difficulty for U.S. compliance: WASHINGTON - Despite a half-eentuiy-old worldwide agreement that a woman and a man must earn equal wages for equal work theJjQpa. each state has labor laws, and the federal government has trouble getting them to conform. "In some states ... women could not legally be required to lift loads of more than 30 pounds," the paper says. "This was used to justi1r paying (men) a higher wage." Labor Oiganizafion says women's pay levels still average far below men's. "Women still earn between 50 and 80 percent of men's wages In an interview, Urn said her worldwide," the U.N. agency country, Malaysia,, has moved said m "More and Better Jobs closer to equality because a confor Women," an ILO document tinuing economic boom has cremade public Monday. ated a labor shortage forcing it now to import workers from the Lin Lean Lim, the paper's author,. said advances have been Phiuippines and elsewhere. More Malaysian girls are attending made since 124 governments schools, she said, which she consigned the equal-wages agreesiders the single most important ment in 1951, but "progress has requirement for Third World been neither universal nor sus-tamed, even in countries and countries to rectir man-woman pay discrepancies. areas which have made explicit efforts." More education increases a American women receive an woman's earning power, cuts the average 68 percent to 70 percent population growth and increases of men's pay, she estimated. the likeithood that children of both sexes will survive, be better The United States and other rich countries should be the first cared for and educated, she said. to enforce the accord, she sug"It makes no economic sense gested, but noted that the US. for a country to discriminate Senate never ratified it. against half its population," Urn Labor Secretary Robert Reich said. promised last month to get President Clinton to ask Senate Her report says that in Latin America and the Caribbean, an approval of another agreement average woman can earn as little banning job discrimination as halfarnan's pay. In rich counincluding discriminatory treatment of women. That ILO agree- tries, the difference can be less than 10 percent. ment dates from 1958. - I "Study fid women'S pay 'RONICLE- TRIBUNE trails men's2. MARION, IN 21,000 DAILY WASHINGTON (AP) Despe a. TUESDAY half.century-oId worldwide agreement JUL 301996 that a woman and a man muat earn equal wages for equal work, the International Labor Organization says worn- en's pay levels still average far below men's. "Women still earn between 5tand 80 percent of meó's wages. worldwidn,"; U.N. agency. said In More and Bet-. .f ter Jobs for Women, an ILO document . made public Monday. - Un lean lAm, 'the paper's author,. said advances have 'been. made since 124 governments signed the equalwages agreement in 1951, but progress has been neither universal nor suatamed, even in countries and areas which have made explicit efforts. American women receive an average 68 percent to 70 percent of men's pay,. she estimated. The United States and other rich countries should be the first to enforce the accord, ale suggested, but noted "In some states .' women cci11d not legally be requiredtoliftlosd$ of. more than 30 pounds," the paper says., "This was used to justify paying (men) a higher wage." lAm said her country, Malaysia, has moved closer to equality became a. continuing economic boom has crc-ated a labor shortage forcing It now to import workers from the Philippines and elsewhere. More Malayslall girls are attending schools, she said, which she considers the single most impor- tant requirement for Third World countries to, rectify man-Woman pay discrepancies. More education Increases s worn'an's eaxning power, cuts the popula- tion growth and increases the likelihood that children of both sexes will survive, be better cared for and educated, the salt "It makes no economic sense for a country to discriminate Rgninst half its population," Urn said. Her report says that in Latin Ameri- ca and the Caribbean, an average woman can earn as little as half a man's pay. In rich countries, the difference can be less than 10 percent. In a preface to the guide, ILO Direc- that the U.S. Senate never ratified it Labor Secretary Robert Reich prom- tot General Michel Hansenne said women have unequal chances for training, access to loans, choice of teed last month to get President Bill Clinton to ask Senate approval of an- jobs, share In decislon.n1king, family other agreement banning job discrimi-' steadywork_asWellaSUfleqUaIpaY. The ILO has 179 member countries, nation including discriminatory: treatment of women. That ILO agree- responsibilities, career prospects or mont dates from 195& with headquarters in Geneva. It includes representatives of govern- Len's paper points to a special dlffl-culty for US. compliance: Each state jnents, employers and labor. has labor laws, and the federal govern-' men has trouble getting them to ecn form.. LA PORTE HERALD- ARGUS LA PORTE, IN DAILY United States of America 13,300 TUESDAY JUL 301996 !W4,nêns pay stilTtrails meü's thor, said advances have been Senate never ratifie4 it. a half-century-old 'worldwide, made since 124 governments Labor Secretary Robert Reich agreement that a woman and a signed. the equal-wages agree- promised last month to get Presman must earn equal wages for: merit in 1951, but "progress has ident Clinton to ask Senate apequal work the InternationL been neither universal nor sus- proval of another agreement Labor Oraniza9fiayS women's. tained, even in countries and banning job discrimination Inpay levels still average far below ' areas which have made explicit cluding discriminatory treatment efforts." of women. That ILO agreement men's. American women receive an dates from 1958.. "Women still earn between 50 and 80 percent .of men's. wages average 68-70 percent of men's WASHINGTON'ZP) - Despite . worldwide," the U.N. agency said pay, she estimated. Urn's paper points to a special The. United States and other difficulty for. U.S. compliance: in "More and Better Jobs for Women," an ILO document made rich countries ahoñld be.thè first each state has labor laws, and to enforce the aàcord, she sug- the federal government has public Monday. Liii Lean Lim, the paper's au- gested, but noted that the J.J.S.- trouble getting them to conform. U .o u E E I- U o . E a. c2 q) U 1 _t U OU U U 2O Lfl ='.a :: z. ( jhiU 2'-2 I!I1j! E IE B2 '.C) , ; ø1C) .0 U .0.c#) E 0' U0 & 2° .- E I & L'° E00 cU tUI c1 E o'ou U UVt 2 COo, Pd U -E. E c ...a U .Iiflit E .0 . EO.E U Lu ... .0 U- ! :! . r .,- .E w z .m. l.a aa .0 C) - ..a1a = u C) .s.i a, U9 .0 .V 0 0 U a.a. a, WV.. "Cl) L d b Cl) Cl) E I;g: I. : .- :L E2 WOO iiIbow fiPh 0 hi Imm 43 1..WW) c' EsE -.flj 1I cnC.W' - bL.CI) . LF ..B .- .0 E ..a,c... ri bO.E ° o0 Eou. 0_..0 W4. wE0 ITh&2 . United States of America a = - ._ - Ig ,c 1= . !IIk'::1;II1! I4o U O --- '-'o . C V I to I U j aU 0 iiI1IIII I United States of America C0URIERNEIS BRIDDEVATER, NJ 50,000 DAILY ASBURY PARK PRESS TUESDAY ASBURY PARK, Ni 166,305 DAILY JUL 30 1996 TUESDAY JUL 30 1996. Women earn less around the world espite 45-year-old agreement, women stifi paidiess tharimen j THE ASSOCIATEC) PRESS WASHINGTON - Despite a nearly half. century-old worldwide agreement that a WASHINGTON (AP) - Despite a half-century-old worldwide agreement that a woman and a man must International Labor Organization zatijjays women's pay levels still average The United States and other rich countris should be the first to enforce the accord,.sae Women," an ILO document made public yes- 80 percent of men's wages worldwide," the U.N. agency said in "More and Better Jobs for Women," an ILO document made public Monday. Lin LeanLim, he paper's author, said advances have been ade since 124 governments signed the equal-wages agreement in '.1 Un Lean Lim, the paper's author) said advances have been made since 124 governments signed the equalwages agreement in 1951, but "progress has been neither universal nor suggested, but noted that the U.S. Sense never ratified it. Labor Secretary Robert Reich promised last month to get President Clinton to ask Senate approval of another agreement baüning job discriminatiwjjpcluding discnhnina- From page estimated. . The United States and other rich countries should be the first to enforce the accord, she suggested, but noted that the U.S. Senate never rati. fled it. tory treatment of women. That ILO agreement dates from195& Ms. Urn's paper points to a spedaj Labor Secretary Robert Reich promised last month to get Presidex4 - 'difficulty for US. compliance: Each state has labor laws, and the federal government has trouble getting them other agreement banning job dis toconform. crimination Including discriminatory treatment of women. That ILO agreement dates from 1958. Lim's paper points to a special ditj "In some states ... women could. not legally be required to lift loads of more than 30 pounds," the paper says. state has labor laws, and the federal government has trouble getting them to conform. (men) a higher wage." ficulty for US. compliance: each "In some states ... women could not legally be required to lift loads of morethan 30 pounds," the paper says. "This was used to justify paying (men) a higher wage." More education increases a woman's earning power, cuts the population growth and increases the likelihood that children of both sexes will survive, be better cared for and educated, she said. "It makes no economic sense fore country to discriminate against halt its population," Urn said. S PleaseseeWomSa, pageB6 Women... sustained, even in countries and areas which have made explicit efforts." American women receive an average of 68-70 percent of men's pay, she Clinton to ask Senate approval of an- American women receive an average 680. 70 percent of men's pay, she. estimated. cent of men's wages worldwide," the ILN. agency said in "More and Better Jobs for says women's pay levels still average far below men's. "Women still earn between 50 and which have made explicit efforts." woman and a man must earn eual wages for equal work, the Infernational Labor Organifai below men's. "Women still earn between 50 and 80 per- earn equal wages for equal work, the 1951, but "progress ha been neither univ&sal nor sustained, even in countries and are'às "This was used to justify paying "It makes no economic sense for a country to discriminate against half its population," Ms. lAm said. Her report says that in Latin Ainer- ica and the Caribbean, an average woman can earn as little as half a man's pay. In rich countries, the difference can be less than 10 percent. 1 J I .-, EI) "o o QO4w.._OG)OtUO_ c-v -. CI 1 , Q IJffl 11 : j ' E .E $1EI dUIHJ : ' . 0 t1:v0U c;- "E' 8 N i. 4J!2E U R I-,. !;llffl1 E. _ ° .!ij2 : a. ? . .= C5 -;.. Bgo: C). . U0CC 82&: )'C)VjC) h 0 C) ZUE C) - C) Lr)O Ec D C) 04 ' E E ' bg4. E<i.:, -. 0 . . c_ . . . ci p ,n - a. C) C)cC '0 0., 0 C0\ C) C)dCC) United States of America SUN BALTIMORE, MD 343,844 DAILY Worl4ilace trends Women's wages still lag. TUESDAY JUL 30 1996 long after global accord They receive only. 5OWo-80°io of what men are paidworidwide: *IIQCIATIDPRIU Labor Secretary Robert last B. . Reich promised month to get President Clinton to seek Senate approval of another agreement banning job discrimination, Ineluding discriminatory treatment of women. That ILO agreement dates from 1958. Lim's paper points to a WASHINGTON - Despite a half-century-old special difficulty for U.S.. worldwide agreement that a compliance: Each state has woman and aman must earn labor laws, and the federal equal wages for equal work, women's pay levels still average far below men's, the IntenaUona1 Labor Oran1 tjo says.. government has trouble gettlngthemto conform. "In some states ... women could not legally be required to lift loads of more than 30 "Women still earn be- pounds,". the paper says. tween 50 and 80 percent of "This was used tojustlfypaymen's wages worldwide," the Ing (men] a higher wage." In an interview, Tim said United Nations agency said In "More andEetter Jobs for her country, Malaysia, has Women," an flO document moved closer to equality bemade public yesterday. Lin Lean Lim, the paper's cause a continuing economic wages agreement In 1951, but "progress lias been nei- More Malaysian girls are attending schools, she said, which she conEkiers the single most Important requirement for Third World countries to rectIT man-woman boom has created a labor shortage forcing It to Import been made since 124 govern-, workers from the Philippines ments signed. the equal- and elsewhere. author, said advances have ther universal nor sustained, even In countries and areas which have made explicit ef. forts." American women receive pay discrepancies. More education Increases an average of 68 percent to 70 percent of men's pay, she. a woman's earning power, cuts the population growth estimated. The United States and and increases the likelihood other rich countries should that children of both sexes be the first to enforce the ac- will survive,, be better cared never ratified It. sense bra (3ee1VqUes lOc] country 'to discriminate against cord, she suggested, but for and educated, she said. "It makes ncecpñinlc noted that he U.S. Senate half its population," Tim said. Her report says that In Latin, America and the Caribbean, an average woman can earn as lltte as half a man's pay. In rich coün- tries, the difference can be le . than 10 percent. In a preface to the guide, ILO . Director General Mlôhel Han- .senne said women have unequal chances for training, access th loans, choice ofjobs, share In deck sion-TYlAking, family responsibilV ties, career prospects or steady workasweliasunequalpay. The flO has 179 member cot tries, with headquarters In Geneva. I United States of America OC)) , - . J'h I .- - U i a ri c C) '- )a)Q u' - E Cl) 1 E.'8. p- = WcCl n o b h Cl i a a 4- -o CQt) o? 8' i E .1JL u5 CCli E h I- -0 CI)Z z= 0 I_.e c) <J Lu_ i-rn). I -1 0 -, nI 0c0 I ii!1" E VU) ca) WoE tLO'i- c . a llE'E j bJ I.. - CI) i}fJit .E. 00 .$ fill ,1E Ø P v. U) p 0 F9 'il O) ' . Q' FI I I V iRu 1 h C) 4.1 * OQ)' zI- ,- 0 -piV (0 0) LU zg i'-'. -J z_ 0 t I- 0 Lii -) 'C g I 0) u.n 0 J 9 ilft I b 01 Iu4- United States of America a) r'1 a) a) w. 8b . I II thur1 --.5 a) a) a) C'u. 4{J -1 .lJIilUIa .'. a) wEa a)0a).4. C, - . )-- -1 C I)= a) I--4 _j -a> H.J C I a) a mtu44 .ii :! -o e1 '4.4 a) RnUa)OS. I - ,. - -S ea)ø E d a)a)a) 1d' -"4 a) a) E I E a) r ;;I mI I f '*4 L i!I( ' a !H: a.!a : E t4,r-i .0 fl&U4 BE! a411 ! S United States of America Women's pay rate DALLAS MORNING NEWS DALLAS, TX DAILY 536,153 still lags.. TUESDAY JUL 301996 Trend continues - glObalij, study says Pr.m1reRq WASHINGTON - Despite a half- century-old worldwide agreement ' that a woman and a man must earn equal wages for equal work, thi International Labor Organization says women's pay levels still aver"Women still earn between SO [percent] and 80 percent of men's wages worldwide," the U.N. agency said in More and Better Jobs for Women, a document made -public Monday. -Un Lean- -lAm, -the paper's author, said advances have been versal nor sustained, even in coui- ; - of men's pay, she estimated. '- . The United States and' other wealthy countries should be the first to enforce the accord, she suggested, but she noted that the -U.S. Senate never ratified it Labor Secretary Robert Reich promised last month to get President te e4 approv. i of 4aeek- thèi' rr'_ ent :.on, banning .. ,'.' . Including . o . a ment of womflfaNnternatIonal Labor OrganizatiOn datesfroml9S8. Ms Urn's paper"Ai ment IJ spe- cial difficulty for U.S. compliance: Each state has labor laWs-aid the federal government has "trouble getting them to conform. "In some states, ... women could not legally be required to lift loads of more than 30 pounds," the paper says. "This was used to justify paying [men] a higher wage." Women, who make up almost 70 percent of the world's poor and6 Please see WOMEN'S on Page 14I) crepancies, she said. More education increases a woman's earning power, cuts popula- tion growth and increases the likelihood that children of both sexes will swelling the ranks of the working survive, be better cared for and edupoor;" Ms. Urn said. Women also continue to carry the cially in developing nations, according to the study. In developing countrieziomen spend 31 to 42 hours per Iries and areas which have madft. -. 'The bottom line is that while requirement for Third World countries to rectify gender-based pay dis- more and more women are working, the great majority of them are simply burden of household chores, espe- made aince 124 governments signed the equal-wages agreement in 1951, but "progress has been.nelther uni- American women -receive average of 68 percent to 70 perceit Women's pay lags men's worldwide, report says Contin ad from Page 1D. percent of its illiterate, hold less than 6 percent of the senior management jobs in the world, the study said. age far below men's. explicit efforts." -- -jc cated, she said. "It makes no economic sense for a country to discriminate against half its population," Ms. lAm said. Her report says that in Latin we& working in the home, while America and the Caribbean, a woman can earn as little as half a man's pay. hours.. can be less than 10 percent men pend between five and 15 In wealthy countries, the difference - Mt Urn said her country, MalayIn a preface to the guide, Internasic,: has moved closer to equality tional Labor Organization director -beciuse a continuing economic boom general Michel Hansenne said has created a labor shortage, forcing women have unequal chances for it to Import workers from the Philip- training, access to loans, choice of pines and elsewhere. More Malaysian jobs, share in decision-making, family glrla are attending school, which she responsibilities, career prospects or considers the single most important steady work as well as unequal pay. / United States of America ANCHORAGE DAILY NEWS ANCHORAGE, AK DAILY WAGES: MaI&female gap widens Continued from Page 0-1 the first to enforce the ac- cord, she suggested, but noted that the U.S. Senate never ratified it. 76,488 TUESDAY Labor Secretary Robert JUL 301996 Reich promised last month to Pày'stiII higher for fflefl Equality accord now 45 years old 4 By CARL HARTMAN get President Clinton to ask Senate approval of another agreement banning job discrimination. including dis- criminatory treatment of women. That ILO agreement dates from 1958. Urn's paper points to a special difficulty for U.S. compliance: Each state has labor laws, and the federal government has trouble get- ting them to conform. "In some states ... women could not legally be required to lift loads of more than 30 pounds," the paper says. "This was used to justify paying (men) a higher wage." The Associated Press WASHINGTQN Despite a half-century-old worldwide agreement that a woman and a man must earn equal wages for equal work, the International Labor Organization says wometi'i pay levels still average far below men's. - In an interview, Lim said her country, Malaysia, has moved closer to equality because a continuing economic boom has created a labor shortage forcing it now to import workers from the Philippines and elsewhere. More Malaysian girls are at- "Women -still earn be- tending schools, she said, men's wages worldwide," the single-most important re- and Better Jobs for Women," an ILO document made public Monday. Liii Lean Lim, the paper's countries to rectify man- been made since 124 govern- and increases the likelihood that children of both sexes will survive, be better caredfor and educated, she said. tween 50 and 80 percent of which she considers the U.N. agency said in "More quirement for Third World author, said advances have ments signed the equal- wages agreement in 1951, but "progress has been nei- ther universal nor sustained, even in countries and areas which have made explicit efforts." American women receive an average 68-70 percent of men's pay, she estimated. The United States and oth- er rich countries should be A Please see Page D-2, WAGES woman pay discrepancies. More education increases a woman's earning power, cuts the population growth "It makes no economic sense for a country to dis- criminate against half its population," Urn said. Her report says that in Latin America and the Caribbean, an aver- age woman can earn as little as half a man's pay. In rich countries, the difference can be less than 10 percent. In a preface to the- guide, ILO Director General Michel Hansenne said women have unequal chances for training, access to loans, choice of jobs, sharing in decisionmaking, family responsibili- ties, career prospects or steady work, as well as unequ1 pay. United States of America 11I1H tr j:E iIfl* II I;b 031 .E E11 di hil .1 a3: ri a - I hj b I.. L ID - P !IhII ii I i 4!] 1! fi ; i1-Vi! ' ' I1 L.tfl!41111 ! . C; United States of America DAYTON DAILY NEWS DAYTON, OH DAILY 177,001 PLAIN DEALER TUESDAY CLEVELAND, OH JUL 30 1996 CENDER EQUALITY Pay gap remains after 45years WASHINGTON Despite a half-century-old worldwide agreement that a woman and a man must earn equal wages for equal work, the International Labor Organization says women's pay levels still average far below men's. "Women still earn between 50 and 80 percent of men's wages worldwide," the U.N. agency said in More and Better Jobsfor Women, an ILO document made public Monday. Lin Lean Lim, the paper's author, said advances have been made since 124 governments signed the equal-wages agree- TUESDAY JUL 30 1996 1NTERNATIONAL - .1 WdMEN'S PAY: Women earn SO percent to 80 percent of men's wages worldwide, the international Labor Organiz9tron ment in 1951, but "progress has been neither universal nor sustained, even in countriesand - ASSOCIATED PRESS 409,536 DAILY said yesterday. Th ILO, an agency of the United Nations, added that it is the 45th anniversary of an international agreement calling - forequal wages. areas that havemade explicit efforts." American women receive an average of 68 to 70 percent of men's pay, she estimated. The United States and other rich countries should be the first to enforce the accord, she suggested, but noted that the U.S. Senate never ratified it. Labor Secretary Robert Reich promised last month to get President Clinton to ask Senate approval of another agreement banning job discrimination including discriminatory treatment of women. That ILO agreement dates from 1958. PITTSBURGH POST-GAZETTE PITTSBURGH, PA 250,204 DAILY TUESDAY 3UL 30 1996 [Women, around the globe, are still paid less than men By Carl Hartman The Associated Press WASHINGTON - Despite a haif-centuiy-old worldwide agreement that a woman and a man must earn equal wages for equal work the International Labor Organization says women's pay levels still average far below men's. "Women still earn between 50 and 80 percent of men's wages worldwide," the U.N. agency said in "More and Better Jobs for Women," an ILO document made public yesterday. Liii Lean Lim, the paper's author, said advances have been made since 124 governments signed the equal-wages agreement in 1951, but "progress has been neither univer- sal nor sustained, even in countries and areas which have made explicit efforts." American women receive an average 68- 70 percent'of men's pay, she estimated. The United States and other rich coun- tries should be the first to enforce the accord, she suggested, but noted that the U.S. Senate never ratified it. Labor Secretary Robert Reich promised last month to get President Clinton to ask Senate approval of another agreement banning job discrimination including discrimi- natory treatment of women. That ILO agreement dates frorn 1958. Urn's paper points to a special difficulty for U.S. compliance: Each state has labor laws, and the federal government has trouble getting them to conform. In an interview, Urn said her country, Malaysia, has moved closer to equality because a continuing economic boom has created a labor shortage forcing it now to import workers from the Philippines and elsewhere. More Malaysian girls are attending sëhools, she said, which she considers the single most important requirement for Third World countries to rectify man-wom- an pay discrepancies. More education increases a woman's earning power, cuts the population growth and increases the likelihood that children of both sexes will survive, be better cared for and educated, she said. Her report says that in Latin America and the Caribbean, an average woman can earn as little as half a man's pay. In rich countries, the difference can be less than 10 percent. In a preface to the guide, ILO Director General Michel Hansenne said women have unequal chances for training, access to loans, choice of jobs, share in decisionnialdng, family responsibilities, career pros- pectsorsteadyworkaswellasunequal pay. LL)ur e(Ler xwt)erl. xteica pwrnIsed last month to get President Clinton to ask Senate approval of another agreement banning job discrimination including discriminatory treatment of women. Urn's paper points to a special difficulty for U.S. compliance: each state has labor laws, and the federal government has trouble getting them to conform. "In some states ... women could not legally be required to lift loads of more than 30 pounds," the paper says. "This was used to justify paying (men) a higher Women's pay SI. PAUL PIONEER PRESS ST. PAUL. nil 212.648 DAILY TUESDAY Jul1 30 2I5G - still lagging worldwide a Equal-earning accord wage." In an interview, Urn said her country, narly 50 years old Malaysia, has moved closer to equality CARL I4ARTMAN ASSOCIATED pss because a continuing economic boom has created a labor shortage forcing it now to import-workers from-the Phifippines espite a global agreement signed DWASHIN&ON nearly five decades ago that a woman and elsewhere. More Malaysian girls are attending schools, she said, which she considers the single most important'requirement for Third World countried to and a man must earn equal wag& for ited States of America equal work, the International Labor Organization says women's pay teveis suil average iar nelow men's. Women still earn between 50 percent rectify man-woman pay thscrepancie. More education increases a wontén's and 80 percent of men's wages world- earning power, cuts population grth wide, the U.N. agency said in "More and Better Jobs for Women," an Internation- and increases the likelihood that children of both sexes will survive, be better al Labor Organization document made cared for and educated, she said. Her report says that in Latin America public Monday. Un Lean Urn, the paper's author, aid and the Caribbean, an average woman can earn as little as half the pay a man. In rich countries, the difference in advances have been made since 124 governments signed the equal-wages agree- ment in 1951, but "progress has been be less than 10 percent. In a preface to the guide, International neither universal nor sustained - even in countries and areas which have made OUSTON CHRONICLE HOUSTON, TX DAILY 416,004 TUESDAY JUL 301996 explicit efforts." American women receive an average 70 percent of men's pay, she estimated. The United States and other rich ctun- Labor Organization Director General Michel Hansenne said women have tin- equal chances for training, access to tries should be the first to enforce" the accord, she suggested, but noted thatthe U. Senate never ratified it. loans, choice of jobs, sharing in decision- making, family responsibilities, career prospects or steady work - as well as W9meñ still lag behind men WASHINGTON (AP) - Despite a half-century-old worldwide agreement that a woman and a man must earn equal wages for equal work, the International Labor Oruaniz- per's author, said advances have &lillfar below men's. "Women still earn between 50 and have made explicit efforts." U.S. women receive an average 80 percent of men's wages world- 68-70 percent of men's pay, she esti- "More and Better Jobs for Women," an ILO document made public Monday. Lin Lean Lim of Malaysia, the pa- The United States and other rich countries should be the first to enforce the accord, she suggested, but been made since 124 governments signed the equal-wages agreement in 1951, but "progress has been neither universal nor sustained, Uon says women's pay levels still av- even in countries and areas that wide," the U.N. agency said in mated. noted that the U.S. Senate never ratified it. Labor Secretary Robert Reich promised last month to get President Clinton to ask Senate approval of another agreement banning job discrimination, including discriminatory treatment of women. That ILO agreement dates from 1958. Urn's paper points to a special dif- ficulty for U.S. compliance: Each state has labor laws, and the federal government has trouble getting them to conform. "In some states ... women could in pay wOrldwide, ILO finds man-woman pay discrepancies. ferencean be less than 10 percent says. "This was used to justify pay? ing (men) a higher wage." woman's earning power, cuts the population growth and increases rector General Michel Hansenne tinuing economic boom has created for and educated, she said. "It makes no economic sense for a country to discriminate against half its population," Lim said. not legally be requireto lift loads of more than 30 pounds," the paper More education increases a Lim said Malaysia has moved, the likelihood that children of both closer to equality because a con- sexes wilPsurvive, be better cared a labor shortage forcing it now to import workers from the Philippines and elsewhere. More Malaysian girls are attending schools, she said, which she considers the single Her report says that in Latin America and the Caribbean, a In a preface to the guide, ILO Di- said women have unequal chances for training, access to loans, choice: of jobs, share in decision-making, family responsibilities, career prospects or steady work - as well as unequal pay. The ILO has 179 member countries, with headquarters in Geneva1. Switzerland. It includes representa-' most important requirement for woman can earn as little as iialf a tives of governments, employers. C. Third World countries to rectify man's pay. In rich countries, the dif- and labor. United States of America SIGNAL & SAUGAS ENTERPRI SE SANTA CLARITA, CA 43,000 DAILY ANTELOPE VALLEY PRESS TUESDAY JUL30 1996 PALUDALE, CA DAILY & SUNDAY 52, 034 Women's pay still TUESDAY JUL 301996 WASH1NGTO? Despite a half-century-old worldwide Womefl's :. agreement that a woman and a man must 'cain equal wages for equal work, theinternationalLabor Orjanization says womón's pay still pay. levels still averagefar below men's. ris3 trails nn'.0 'Woinen still earn betweçn 50 and 80 percent of men's wages worldwide," the U.N. agency saidin"MoreandBetterjobSfOr WASHINGTON (P) - I te a half-century-old worl ie agreement that a woman '' d a man must earn equal waged equal work the Internationaa- Women," an ILO document made public Monday. Liii Lean Lim, the paper's author, said advances have been bor Organization says women's ây made since 124 governments signed the equal-wages agree- levels still average far ment in 1951, but "progresshas been neither universal nor sus- and 80% of men's wages wide," the U.N. agency "More and Better Jobs for Wom- men's. "Women still earn betweefi U% tamed, even in countries and areas which have made explicit efforts." American women receive an en," an ILO document made public Monday. Lin Lean Lim, the paper's au- average 6870 percent ofmen's. pay, she estimated. The United States and other thor, said advances have been mde 8ince 124 govern!S , ich countries should be the flrst. to enforce the accord, she suggested. See WOMEN'S WAGES on Cl Wornen'swages From C5 The United States and othe signed the equalWages agreement rich countries should be the first t enforce .the accord, she suggested even in countries and. areas which. have made explicit efforts." American women receive an average 68%-70% of men's pay, she estimated. never ratified it. in .1951, but "progress has been neither universal nor sustained, but noted that the U.S. Senat job discrimination including discriminatory treatment of. women. Lim's paper points to a special difficu1tr for U.S. compliance: each state has labor laws, and the feder- al government has trouble getting them to conform. "In some states ... women could not legally be required to lift loads Labor Secretary Robert Reid promised last month to get Presi dent Clinton to ask Serate approv al of another agreement bannin, of more than 30 pounds," the paper said. "This was used to justify paying (men) a higher wage." ALBUUERJE JOURNAL United States of America ALBUQUER9IJE, NM DAILY 115,766 TUESDAY ]IJL 30 1996 omen Stifi Earn Less Than Men ?nfries Don't Uphold Equal Pay Pact Signed in 1951, Study Finds RL HARTMAN - ciociated Press SHINGTON - Women's pay levels still e far below men's despite a 45-year-old 'wide agreement that a woman and a man earn equal wages for equal work, the iitional Labor Organization says. omen. still earn between 50 and 80 per- of men's wages worldwide," the U.N. cy said in "More and Better Jobs for en," an Jternational Labor Organization ment made public Monday. Lean Urn, the paper's author, said that ces have been made since 124 governsigned the equal-wages agreement in but "progress has been neither universal -ustained, even in countries and areas h have made explicit efforts." erican wàmen receive an average 68-70 nt of men's pay, she estimated. United States and other rich countries d be the first to enforce the accord, she ested, but noted that the U.S. Senate nev- er ratified it. Labor Secretary Robert Reich promised last month to get President Clinton to ask Senate approval of.another.agreernent banning job discrimination including discriminatory treatment of women. That agreement dates More education increases a woman's earn- ing power, cuts the population growth and increases the likelihood that children of both sexes will survive, be better cared for and educated, she said. "It makes no economic sense for a country to discriminite against half its population," from 1938. Urn's paper points to a special difficulty for Urn said. U.S. compliance: Each state has labor laws, Her report says that in Latin America and and the federal government has trouble get- the Caribbean, an average woman can earn as ting them to conform. little as half a man's pay In rich countries, the "In some states ..., women could not legally difference can be less than 10 percent. be required to lift loads of more than 30 pounds," thepaper says. "This was used to justify paying (men) a higher wage." In a preface to the guide, International Labor Organization Director General .Michel Hansenne said that women have unequal In an interview, Urn said her country, chances for training, access to loans, choice of Malaysia, has moved closer to equality jobs, share in decision-making, family responbecause a continuing econom c boom has created a labor shortage forcing it now to import workers from the Philippines and elsewhere. More Malaysian girls are attending schools, she said, which she considers the single most important requirement for Third World countries to rectify gender pay discrepancies. NEWS CREENUILLE. SC 100.000 DAILY sibilities, career prospects or steady work as well as unequal pay. The International Labor Organization has 179 member countries, with headquarters in Geneva, Switzerland. It includes representatives of governments, employers and labor. It's still a man's world on pay scale, group says TUESDAY JUL 30 1SSG By Cail Hartrnan ThE ASSOCIATED PRESS WASHINGTON - Despite a half-century-olc worldwide agree- American women receive an average 68-70 percent of men's pay, she estimated. The United States and other rich countries should be the first enforce the accord, she sugment that a woman and a man to gested, but noted that the U.S. must earn equal wages for equal work, the InternatiQaaLLabarOtganization says women's pay levels still average far below men's. 'Women still earn between 50 and 80 percent of men's wages worldwide," the U.N. agency said in "More and Better Jobs for public Monday. Liii Lean Lim, the paper's au- thor, said advances have been made since 124 governments Senate never ratified it. Labor Secretary Robert Reich promised last month to get Presi- dent Clinton to ask Senate approval of another agreement banning job discrimination includ- ing discriminatory treatment of women. That ILO agreement dates from 1958. Ms. Lim's paper points to a special difficulty for U.S. compliance: each state has labor laws, and the federal government has trouble signed the equal-wages agree- getting them to conform. "In some states ... women could not legally be required to lift loads of more than 30 pounds," the paareas which have m de explicit ef- per says. "This was used to justify - .payixg (uw) a higher wage.'L. .a.iforts. ment in 1951, but "progress has been neither universal nor sustained, even in countries and .:;,._, - Nonconforming labor laws Urn's paper points to a special difficulty for U.S. compliance: each state has Iaboi laws, and the federal government ha trouble getting them to conform. "In some states ... women could n legally be required to lift loads of mor than 30 pounds," the paper says. "Thi HERALD ROCK HILL. Sc 31.060 DAILY & SUNDRY was used to justify p wage." In an interview, Jul. 301.556 WASHINGTON - Despite a balf-centi9 :-iy-old worldwide agreement that a *oma and a man must earn equal wages for4 equal wQTk the International Labor Organsation says wornen's,pay levels still age far below mens. "Women still earti between 50 and percent of men's wages worldwide," the UN. agency said in "More and Bet* Jobs for Women," an 1W ocume'' public Monday. . Liii Lean Urn, the paper's author, sai advances have been made since 124 go4 emments signed the equal-wages ment in 1951, but "progress has been theruniversal nor sustained, evenin ries.and.areas"wbicli'have idC e.fforts." :'" American women receive an,average 70 percent of men's pay, she estimated The United States and other rich ctries shOzildbe the first to enforce th accord, she' suggested, but noted that the U.S. Senate never ratified it Labor Secretaiy Robert Reich promise last month to get President Clinton to as 1 Senate approval of another agreemei banning job discrimination including di ciriminatoiy treatment of women. That PRESS ATLANTIC CITY. NJ 79.3?? DAILY ILO agreement dates from 1958. - '' her T TUESDAY (men) a hjghei countly, Malaysia, has moved closer to equality because a continuing economic boom has created Itmakesno.' economic senseJ for a country to discriminate against half ib a labor shortage population.. forcing it now to import workers . LiNLMNUM,ALm4OOF ANDSEFTER from the Philip- WoN," AN TnONAt pines and else- io ONuAON P where. More MaIaysian girls are attending schOols, she said, which she considers the single most, important requirement for Third World: countries to rectify man-woman pay dis-: crepancies More education increases a woman's earning power, cuts the population growth and increases the likelihood that children of both sexes will survive, be better cared for and educated, she said. "it makes no economic sense for a coundiscriminate against half its popula' lion," Urn said. Her report says in Latin America and' the Caribbean, a woman can cam as little as half a man's pay. In rich countries, the difference can be less than 10 percent. In a preface to the guide, ILO Director General Michel Hansenne said women have unequal chances for training, access to loans, choice of jobs, share in decision nialdng, family responsibilities, career prospects or steady work - as well as unequal pay. The ILO has 179 member countries, with headquarters in Geneva, Switzerland. TUESDAY It includes representatives of govern- JUL 30 1556 ments, employers and labor. U.N. reports women still em less than men - Despite a 45-year-old 'worldWASHINci9ON wide agreement that a woman and a man must earn equal wages for equal work, the jiternational La- borOrEanization says women's pay levels still average far below men's. "Women still earn between 50 and. 80 percent of men's wages worldwide," the U.N. agency said in "More and Better Jobs for Women," an ILO document made public Monday. Lin Lean Lim, the paper's author, said advances have been made since 124 governments signed the equal-wages agreement in 1951, but "progress has been neither universal nor sustained, even in countries and areas which have made explicit efforts." American women receive an average 68-70 percent of men's pay, she estimated. United States of America