210 Anatomie. — Biologie. provoque leur accroissement
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210 Anatomie. — Biologie. provoque leur accroissement
210 Anatomie. — Biologie. provoque leur accroissement excentrique ainsi que des modifications caractéristiques dans leur structure anatomique du bois. Une comparaison de ce bois avec celui des branches horizontales inclinées permet les conclusions suivantes. 1. Les fibres plus ou moins cellulosiques qui se développent à la face supérieure des branches horizontales doivent leur structure particulière à la traction causée par la pesanteur. Ce sont dans le vrai sens du mot des f i b r e s d e t e n s i o n . 2. Les fibres à la face inférieure des branches horizontales sont des fibres de compression. Elles sont plus lignifiées que les fibres de tension et leurs parois sont moins épaissies. Elles subissent une pression perpendiculaire à leur longueur. 3. Le bois de tension possède en général plus de fibres, moins de vaisseaux et des rayons médullaires plus grands que le bois de compression. 4. Les fibres de traction sont généralement plus longues que les fibres de compression. 5. Dans les conditions naturelles les branches d'un arbre peuvent présenter des fibres de tension aussi à la face inférieure ou de côté. Elles résultent alors de l'action du g é o t r o p i s m e n é g a t i f ou d u p h o t o t r o p i s m e qui a agi en sens contraire de la pesanteur. Ces influences plus ou moins antagonistes déterminent la direction prise par les branches. 6. Les fibres de tension typiques se trouvent chez presque tous les arbres (exception: Tilia et Liriodendron). Chez les arbrisseaux et les plantes annuelles lignifiées, elles font défaut. 7. La formation des fibres de tension et de compression n'est pas un caractère spécifique, mais dépend de la durée et de l'intensité de l'excitation mécanique. Elles n'ont pas la signification d'un caractère acquis par hérédité et n'ont aucune signification phylogénétique. 8. Les tensions et compressions longitudinales modifient, selon l'auteur, la perméabilité de la membrane cellulaire, ce qui influe sur la persistance plus ou moins grande du protoplasma et sur le degré de lignification de la paroi cellulaire. Autorreferat. Corrie, L., P o l l i n a t i n g f r u i t t r e e s . (Journ. of Heredity. VII. p. 365-369. I Fig. 1916.) Manche Sorten von Apfel-, Birnbäumen und Stachelbeersträuchern bringen bei Selbstbestäubung samenlose Früchte. Zu M e r t o n (England) gibt es unter den Pflaumenbäumen etwa gleich viel selbstfruchtbare wie selbststerile Formen; letztere herrschen bei Kirsche und Apfel vor. Nicht bestäubte Blüten fallen bei selbststerilen Pflaumen und Kirschen bald nach dem Verwelken der Blumenblätter ab, nach Selbstbefruchtung wachsen aber die Fruchtknoten bis Erbsengrösse heran, um dann abzufallen. Die Versuche mit selbststerilen Formen ergaben: Der Wind besorgt die Bestäubung nicht, wohl aber Bienen. Eine unbestäubte Narbe verliert 8 Tage nach dem Aufblühen der zugehörigen Blüte die Empfangsfähigkeit. Unter den selbststerilen Sorten der englischen Pflaumen können sich folgende gegenseitig ntcht befruchtend bestäuben, während sie sehr gute Früchte erzeugen, wenn sie von anderen Formen bestäubt werden: Cocs golden drop, Jefferson, Cocs violet (als Knospen Variante der ersteren). Beim Apfel ist diese Erscheinung häufiger. Matouschek (Wien).