DP Thierry Drapeau dernière version.indd
Transcription
DP Thierry Drapeau dernière version.indd
DOSSIER DE PRESSE RESTAURANT THIERRY DRAPEAU 2011 Restaurant Thierry Drapeau Logis de la Chabotterie 2 étoiles Michelin 2011 Une gastronomie d’harmonies Logis de la Chabotterie en Vendée Saint-Sulpice-le-Verdon (85) www.restaurant-thierrydrapeau.com Relations Presse Agence CommuniClaire Claire de La Villemarqué – Ellia Tiab 33, rue de Surène 75008 Paris - 01 40 74 03 06 [email protected] / [email protected] Thierry Drapeau est l’étoile culinaire montante en Vendée. Au logis de la Chabotterie, il défend le goût avant tout. « Ce lieu est unique en Vendée. Ce site a une histoire. Nous sommes dans une ancienne étable. Je désirais lui conserver son identité. J’ai voulu garder pour le nouveau décor, l’âme qui existait en y ajoutant une note contemporaine. C’est cela aussi que je cherche à retrouver dans ma cuisine. Je découvre le meilleur produit local et je recherche avant tout à le mettre en avant. Je lui ajoute une herbe, une fleur, ou encore une épice pour le sublimer. Je fais juste une cuisine d’associations pour ne pas le dénaturer. Je tends en progressant dans mon expérience vers la simplicité et le naturel. Le goût. Seulement le goût. Tout le goût. Ce que j’aimerais que l’on dise de moi ? C’est quelqu’un de simple qui fait de belles choses ». Thierry Drapeau : Un homme simple en son jardin Le lundi, jour de fermeture, Thierry Drapeau vient humer la citronnelle et la verveine, toucher la sauge, caresser le pourpier sauvage et le thym frais. Au pied des murs fortifiés du Logis de la Chabotterie, il se promène dans le potager. Dans sa tête, les recettes s’élaborent. Il mettait la table et préparait des entrées bien présentées pour ses parents, commerciaux très occupés. « Je ressentais le besoin de m’épanouir dans le geste, pas dans les études et de faire plaisir ». A 14 ans, son père lui propose de passer deux mois dans un restaurant du Guilvinec. « L’ambiance m’a plu tout de suite. J’ai eu un coup de cœur pour les chalutiers rentrant à 17 h suivis par les mouettes. Je découvrais les casiers débordant de bars frétillants, de rougets et de langoustines encore vivantes. J’aimais les toucher et les servir au naturel. » A 18 ans, BEP et CAP en poche, le jeune homme exigeant se forme à la rigueur dans un deux étoiles parisien de cent couverts par jour. Delà, curieux, il entreprend un vrai tour de France à l’image des compagnons : du Grand Véfour à Courchevel, de Rouen à Carry Le Rouet… En deux ans il passe second, 14 personnes sous ses ordres à 23 ans, « ce qui est plutôt rare ». Puis il devient chef à 26 ans. Il est temps de cultiver son propre jardin. Il investit dans une affaire aux Sables d’Olonne. Le lieu excentré est un défi. De 2 employés il passe à 12 en 5 ans pour 25 couverts. C’est une réussite. En 2003, il décide de s’associer avec sa mère et son beau père en achetant le Château de la Vérie à Challans, magnifique bâtisse hôtel de 20 chambres de catégorie 3 étoiles, 17 hectares de parc. Cependant les 2 générations n’ont pas les mêmes objectifs professionnels et l’atmosphère familiale se dégrade. Il sera contraint d’abandonner son projet. Appelé par ses pairs étoilés débordés, il leur donne un coup de main, de Paris à Aix-en Provence. En 2004, le Conseil général de Vendée recherche un chef inventif et créatif pour le Logis de la Chabotterie, haut lieu historique de la contrée. Thierry vient de trouver l’écrin pour exprimer sa philosophie de la cuisine. En six mois, l’adepte de l’épure pour magnifier le goût du produit, devient espoir 1 étoile au Michelin. En 2006, une première étoile consacre la table. Une force pour sa carrière et une revanche sur ses déceptions passées. Aujourd’hui, dans ses yeux, brille cette seconde étoile qu’il espérait décrocher pour la Vendée, sa femme et son équipe. Thierry Drapeau est le premier chef 2 étoiles de l’histoire culinaire de la Vendée. Une gastronomie tout en sensations Thierry Drapeau sert des produits locaux réinventés à la façon du XXIe siècle. Il aime tout travailler, des entrées aux desserts, des viandes aux poissons. Il aime mélanger les textures, du croquant au croustillant, du moelleux au confit. Son credo : que rien ne vienne casser le goût en bouche. Des recettes d’hier épurées et déclinées Pour réécrire des recettes fraîches subtiles et savoureuses, le chef simplifie des mets de tradition par : Sa maîtrise des techniques culinaires contemporaines Il utilise l’espumas (émulsion au siphon), comme celui tiède d’oignon pour la garniture de la côte de veau fumée au foin. Il allège les plats à l’aide d’émulsions sucrées ou salées. Les petits pois au lard deviennent une crème de petits pois mentholée avec une émulsion au lard fumé. Il parfume les assiettes de gelée de fruits acides ou d’agrumes, comme celle qui accompagne la chair de tourteau décortiquée. Ses associations de saveurs déclinées Une cuisine herbacée: Pour relever le produit naturel, Thierry use d’une herbe, d’une fleur, plus rarement d’une épice. Elle sera dans le « ton » du plat. Au fenouil sauvage, il joint des subtilités: anis étoilé, cerfeuil ou yuzu. Une cuisine « en déclinaison » pour déguster en gastronome : Le canard se dédouble en cou farci agrémenté d’une cuisse, puis en aiguillettes. Les langoustines se picorent au naturel avec une gelée pomme verveine, entourées de langoustines en tarama, en carpaccio avec fraises des bois et mousse de lait à la verveine, puis et en poêlée avec une salade de haricots verts frais. Une Table saisonnière : le produit régional frais en vedette A la Carte : L’été voit la table de Thierry plus florale dans ses assiettes. Les saveurs de Provence s’invitent aussi avec l’huile d’olive ou la tomate confite. En hiver le gibier est privilégié avec des fragrances de forêt ou de bocage vendéen. Quelques uns des plats parmi les incontournables signés Thierry Drapeau : Les Entrées : Les Escargots Gros gris vendéen, sont roulés en lasagne d’épinards puis gratinés aux noisettes. Ils se baignent dans un jus crémeux au persil simple accompagnés d’un dartois au chèvre local. Le Cèpe reconstitué dont une partie du pied est servi en carpaccio. Puis des cercles sont poêlés au foie gras, posés sur une galette de pommes de terre croustillante. La tête rôtie est posée sur le tout. Les Viandes : Le Caneton croisé des Challans rôti à la pistache et son sablé assorti, servi avec un chutney de cerises et quelques unes poêlées. Le Lièvre à la Royale (d’octobre à février) est entièrement désossé. Des pommes soufflées en cornet, entourent une compotée de choux rouge et de châtaignes au vin du bocage, et un chutney de groseilles. Les Poissons Le Saint Pierre est cuit à basse température, glacé d’un jus tomaté. Pousses de soja en salade acidulée, couteau d’Ecosse et huître en marinière, lui font escorte. Dos de Barbue en coque de pavot et sésame, pamplemousse confit avec sirop de citron. Jeunes poireaux et fils de courgettes aux pousses de soja et huile de Cumbava. Les Desserts : Le Kamok, Chocolat, Moka : Dans une sphère éphémère, le chaud et le froid se rencontrent entre un chocolat moelleux tiède et un moka grillé glacé, accompagnés d’une émulsion au Kamok. Le Millefeuille vanille Bourbon, servi tiède accompagné d’un pot de crème vanille rafraîchi d’une glace. Thierry Drapeau a eu l’idée sympathique et sucrée de proposer à emporter un souvenir gourmand • La Guimauve parfumée de l’enfance aux parfums différents suivant les saisons • Une Variation de chocolat en morceau vendu au poids • Un Chutney de saison pour accompagner les fromages, le foie gras Un joli souvenir clin d’oeil à déguster une fois rentré chez soi ! Le décor: entre design et campagne Douceur des couleurs Le restaurant se situe au cœur des communs du Logis de la Chabotterie. Le décorateur, Sylvain Proyart a raffiné le lieu en pierre et bois. Il s’est inspiré de l’esprit originel « écurie » en dessinant des consoles en cuir tabac surpiqué « sellier » et du mobilier de service en chêne lasuré et châtaignier ultra design. La vaste salle de restaurant de 150 m2 a été mise en scène. Dès l’entrée, la haute charpente attire l’œil structurée par des velums légers qui rappellent les ciels de baldaquins. Des planches lazurées sont traversées d’une enfilade de poutres massives en chêne brut. Les murs de grosses pierres claires accueillent avec douceur le flot du jour tamisé par des stores-bateau en crin de poulain brut naturel. Six tonalités de beige, de l’écru le plus pastel au marron le plus glacé, s’entremêlent sans heurt dans une luminosité douce et feutrée. Clarté épurée L’éclairage a été stylisé pour mettre en valeur l’esprit « bille de bois » de la charpente. Six suspensions géantes de forme cloche, couleur moka à l’extérieur et façon lithophanie en biscuit de porcelaine sculpté à l’intérieur (Fleux), structurent l’ambiance lumière venant d’en haut. Pour la parachever, un lampadaire à l’abat-jour miel imposant, se penche sur chaque table pour diffuser une clarté doucement atténuée (Artémide). Vaisselle décalée Thierry Drapeau accorde une grande importance à la présentation de ses recettes. Il a choisi des plats et plateaux au design moderne et discret. Sylvie Coquet, créatrice en art de la table, a conçu des pièces de vaisselle originales pour des mets uniques. Les seaux à bouteille sont en verre conique sur piédestal en fer forgé. Les fromages sont présentés sous des cloches de verre à salade, reposant sur des rondins de bois. Bien-être et cocooning Un petit salon privatisable immaculé, permet à une quinzaine de convives d’apprécier la vue sur un ancien lavoir. En été la terrasse est idéale pour savourer comme un déjeuner sur l’herbe une gastronomie inventive en admirant la nature et les hauts murs du Logis de la Chabotterie. CAPACITE : 45 couverts individuels et une petite salle de 15 places privatisable. Terrasse : 20 personnes. PERSONNEL : 8 en salle, Karine Drapeau dirige la salle ; 13 en cuisine dont un chef pâtissier et deux seconds de cuisine. Une demeure historique, une région héroïque Le Logis de la Chabotterie Au cœur de la Vendée, le Logis de la Chabotterie a été édifié sur les vestiges d’un château féodal au milieu du XVIème siècle La bâtisse est typique du logis bas-poitevin, mélange d’un château et d’une métairie. Autour d’une cour carrée, fermée et fortifiée, il y a la maison de maître, le logement du personnel et les dépendances agricoles. On peut visiter la cuisine, la salle de commandement et une des pièces présente des maquettes de logis typiques de l’habitat vendéen. Le restaurant de Thierry Drapeau occupe le bâtiment de gauche des communs. C’est dans les bois, à côté de cette demeure que s’acheva, la Guerre de Vendée avec la capture du chef royaliste Charette, le 23 mars 1796. http://www.chabotterie.vendee.fr La région est un site riche en histoire Vous découvrirez des forteresses médiévales et des lieux mythiques de la guerre de Vendée. Vous assisterez au spectacle magistral du Puy du Fou en nocturne et aux divertissements proposés régulièrement autour de la vie du Moyen-âge dans les châteaux environnants. Le bocage vendéen Un terroir où il fait beau et bon de se promener au calme. Un paysage peint de haies fleuries de genêt avec de petits sentiers ombragés. Le long des chemins, des logis sont accrochés solidement à des corps de fermes massifs. Au carrefour des chemins, des croix sont les témoins de la foi vendéenne ancestrale. Accès et informations pratiques Saint Sulpice le Verdon est un point central entre la Roche sur Yon, Nantes, la côte vendéenne, les Herbiers, le sud Vendée avec de grands axes routiers. C’est un véritable point de rendez-vous. En avion : Aéroport de Nantes puis 50km jusqu’à la Chabotterie En Taxi : En voiture : Marie Barluet de Beauchesne au 06 23 06 22 38 à Saint Sulpice le Verdon Coordonnées GPS : 46°52’47.76’’N – 1°24’14.13’’O Axe Nantes-La Roche sur Yon - A 83 (Bordeaux) Sortie Montaigu, D763 La Roche-sur-Yon (10km), D18 La Chabotterie (1,7km) Axe La Roche sur Yon-Nantes - D763 La Roche sur Yon (15km), D18 La Chabotterie (1,7km) Depuis l’aéroport Nantes Château Bougon : - A 83 Sortie Montaigu, D763 La Roche sur Yon (10km), D18 La Chabotterie (1,7km) En train : - TGV direct de Paris à La Roche sur Yon puis 25 km jusqu’à la Chabotterie - TGV direct de Paris à Nantes puis 45km jusqu’à la Chabotterie Hébergement : A 5 km en chambres d’hôtes ou hôtels de la région en attendant l’hôtel 4 étoiles de Karine et Thierry Drapeau. Ouverture prévue Pâques 2012. Adresse : Karine et Thierry Drapeau Restaurant Thierry DRAPEAU Logis de la Chabotterie 85260 Saint Sulpice Le Verdon Tél. : 02 51 09 59 31 Fax : +33 (0) 2 51 09 59 27 [email protected] www.restaurant-thierrydrapeau.com Fermeture hebdomadaire : Dimanche soir, Lundi et Mardi Fermeture annuelle : 2010 : Du 25 octobre au 8 novembre 2010 et du 27 au 30 décembre 2011 : Du 27 juin au 17 juillet ; du 24 octobre au 6 novembre et du 26 au 30 décembre 2011 Dates principales du Parcours de Thierry Drapeau 2012 Ouverture de l’hôtel 4 étoiles prévue pour Pâques 2011 Deuxième étoile Michelin attribuée au restaurant du Logis de la Chabotterie Obtention Médaille de Bronze du tourisme Début des travaux en janvier d’un hôtel de 14 chambres en catégorie 4 étoiles 2010 Concours du MOF en novembre Espoir pour une 2ème étoile au Michelin 2007 Admission au cercle de l’Académie Culinaire de France avec le soutien d’Yvon Garnier et Charles Peletier 2006 Une étoile Michelin attribuée au restaurant du Logis de la Chabotterie 2005 Admission au club gastronomique Prosper Montagné et diplôme de « Maison de Qualité » 2004 Directeur et Chef de cuisine au Logis de la Chabotterie à Saint Sulpice Le Verdon Finaliste au concours « un des meilleurs ouvriers de France » 2002 Consultant pour l’ouverture de l’hôtel restaurant Le Château de la Vérie à Challans (85) 2001 Admission aux Jeunes Restaurateurs d’Europe 2000 Admission à Eurotoque France 1996 – 2001 Propriétaire et chef de cuisine du restaurant Le Robinson, Les Sables d’Olonne, (85) cité au Bib Gourmand et Guide Michelin 1993 – 1995 Restaurant « L’Escale » 2 macarons Michelin, Carry Le Rouet (13) Chef de Cuisine 1990 – 1992 Restaurant « Gill » Mr Tournade 2 macarons Michelin, Rouen (76) Second de Cuisine 1989 – 1990 Restaurant « La Pomme de Pin » Mr Jacob 2 macarons Michelin, Le Bourget du Lac (73), Second de Cuisine 1987 – 1989 Restaurant « Le Bateau Ivre » Mr Jacob 2 macarons Michelin, Le Bourget du Lac (73), Chef de Partie 1986 – 1987 Restaurant « Le Grand Vefour » Mr Signoret 2 macarons Michelin, Paris 1er Commis de Cuisine 1984 – 1985 Restaurant « Jenny Jacquet » 1 macaron Michelin, Neuilly (92), 1er Commis de Cuisine Distinctions 2 étoiles 14.5 et 3 sigles sommellerie 2 toques 1 étoile et Coup de Cœur
Documents pareils
Communique Thierry Drapeau 2eme etoile.indd
Je découvre le meilleur produit local et je recherche avant tout à le mettre en avant. Je lui ajoute une herbe, une fleur, ou encore une épice pour le sublimer. Je fais juste une cuisine d’associat...
Plus en détail