Le Saumon de Norvège fumé, star des assiettes françaises en
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Le Saumon de Norvège fumé, star des assiettes françaises en
D O S S I E R D E P R E S S E Le Saumon de Norvège fumé, star des assiettes françaises en période de festivités… mais aussi toute l’année ! S O M M A I R e 1. 2. 3. Le saumon de Norvège fumé, l’incontournable des assiettes festives de fin d’année L’aquaculture de Norvège, un savoir-faire unique Le fumage du saumon de Norvège, un art délicat à la française 4. La sélection de recettes du Centre des Produits de la Mer de Norvège 1. Le saumon de Norvège fumé, l’incontournable des assiettes festives de fin d’année Sans lui, la fête ne serait pas complète… Le saumon de Norvège est depuis longtemps l’un des produits préférés des Français et sa consommation ne cesse d’augmenter en France. 15% des saumons norvégiens exportés en 2010 y étaient ainsi vendus, soit un chiffre d’affaires de 575 millions d’euros en 2010. A l’origine symbole de festivités, le saumon fait aujourd’hui partie des habitudes culinaires quotidiennes des Français, qui en consomment environ 2,3 kg par an principalement sous forme de pavé, filet et tranches de saumon fumé. Il est estimé que plus de 70% des saumons consommés en France sont d’origine norvégienne. Parmi les différents types de saumon proposés, le saumon fumé est sans conteste le plus apprécié, notamment pour sa texture fondante et son parfum raffiné. 75% des foyers français en ont ainsi consommé en 2010, contre 72% en 2009. Incontournable dans nos assiettes lors des repas de Noël ; presque 30% de tous les achats des ménages en saumon fumé sont concentrés autour de la période des fêtes de fin d’année. Il n’est cependant pas uniquement réservé aux célébrations de fin d’année: disponible en toutes saisons et facile à cuisiner car prêt à l’emploi, il peut se consommer sous de multiples formes, des plus traditionnelles (simplement en tranches accompagnées de blinis, de citron et de crème fraîche) aux plus originales (cuisiné en verrines, raviolis, cannellonis, terrines…). Focus sur l’origine Norvège… La part des saumons fumés qui indiquent clairement leur origine norvégienne ne cesse d’augmenter, 45% des saumons fumés actuellement vendus aux foyers français signalent cette origine. Une part considérable des saumons fumés portant la seule mention « Saumon Atlantique fumé » (25% du marché) serait aussi issue de l’aquaculture norvégienne. En tout, le saumon fumé de Norvège représente plus de 70% du marché du saumon fumé. Le prix moyen du saumon fumé était de 23,6€/kg en 2010. Sur le Saumon Label Rouge origine Norvège Le Label Rouge attesterait qu’un produit alimentaire présente des caractéristiques supérieures à celles des produits « standard ». Pour le poisson, il doit garantir un profil organoleptique supérieur, un contrôle du taux de graisse, en plus des critères obligatoires tels une traçabilité parfaite et une date limite de consommation. Plusieurs exportateurs norvégiens de saumon proposent du saumon Label Rouge d’origine norvègienne. Sur le Saumon Bio Uniquement les poissons d’élevage peuvent obtenir une certification BIO. En effet, seule l’aquaculture permet une vérification complète de toute la chaîne de production, de l’œuf à l’assiette. En Norvège, la certification BIO des poissons d’élevage est contrôlée par l’organisme Debio et comporte un certain nombre de critères spécifiques quant à la santé et le bien-être des poissons, l’impact sur l’environnement, la prévention des maladies et la nourriture. Debio est homologué par l’Union européenne en matière de certification BIO. La demande du marché en saumon BIO a été faible jusqu’alors, mais les producteurs norvégiens ont constaté ces dernières années une hausse de l’intérêt. C’est pour cela que les autorités norvégiennes ont décidé d’accorder 5 nouvelles licences pour la production de saumon BIO en 2009. Grâce aux nouvelles licences on estime que la production norvégienne de saumon BIO pourra atteindre environ 7000 tonnes au cours de 2012, soit une hausse de 250% sur trois ans. Cela devrait contribuer à renforcer la présence du saumon fumé BIO de Norvège sur les étals français dans un avenir très proche. Et quelques données économiques sur le saumon de Norvège fumé en France Le saumon fumé a, malgré une hausse du prix de la matière première au cours de l’année 2010 (le prix au kilo a augmenté de 17.7%), continué son ascension : entre 2009 et 2010, le volume a augmenté de 9,3%, tandis que la valeur, elle, affiche une progression de 13,5%. Le saumon fumé est désormais le produit de saumon le plus vendu aux foyers français, à la fois devant le frais et le surgelé. 2. L’aquaculture de Norvège, un savoir-faire unique Si le saumon de Norvège a autant de succès, c’est parce qu’il est élevé dans des conditions naturelles, dans les eaux fraîches et limpides des 21 000 km de côtes norvégiennes. Le saumon de Norvège bénéficie donc de conditions de vie parfaitement adaptées pour en faire un produit de qualité. Pionnière en matière d’aquaculture (dès le début des années 60, le pays en a fait un complément de la pêche traditionnelle), la Norvège est devenue un leader mondial dans la production de saumon atlantique. La qualité du saumon de Norvège résulte également des contrôles stricts effectués à tous les stades de son développement. L’activité piscicole est rigoureusement encadrée par la législation : le gouvernement norvégien a imposé un système de contrôles qui garantit une parfaite conformité du saumon aux normes de la réglementation et aux exigences du marché. Quatre ministères différents (Pêche, Environnement, Agriculture et Collectivités locales) se partagent le rôle de supervision (définition et respect) de la réglementation en vigueur à travers un programme d’inspections régulières dans les fermes aquacoles et d’analyses en laboratoires des échantillons de poissons, de la qualité de l’eau... Parallèlement, les autorités de contrôle norvégiennes appliquent avec une extrême rigueur le principe de précaution : les nouveaux développements de fermes aquacoles ne sont autorisés que s’ils sont jugés sans impact pour l’environnement. Depuis des années, la filière aquacole norvégienne s’engage de manière résolue dans le développement d’une aquaculture plus durable. Ainsi, dans cette perspective, le choix des sites où seront implantés les bassins s’effectue en fonction de leur écosystème environnant et de leur capacité d’accueil. Les 7 questions les plus fréquentes sur le saumon d’élevage 1. Est-il vrai qu’il y a des pesticides et des antibiotiques dans la nourriture des saumons d’élevage ? 5. Est-il vrai que la nourriture des saumons contient des colorants dangereux pour la santé ? - L’alimentation des poissons se compose de farine et d’huile de poisson, de minéraux, de fibres et de vitamines. Il est interdit d’y incorporer des antibiotiques ou autres médicaments. - L’usage des antibiotiques pour le traitement des principales infections touchant le saumon a été considérablement réduit grâce à l’apparition de vaccins. L’utilisation de médicaments est scrupuleusement surveillée, aucun antibiotique ne peut être administré sans la double autorisation d’un vétérinaire et des autorités. Dans les rares cas où le saumon est traité aux antibiotiques, il est placé en quarantaine jusqu’à ce que son organisme ne comporte plus aucune trace d’antibiotique. Grâce à ce système, les autorités de la sécurité alimentaire n’ont jamais trouvé de traces d’antibiotiques dans le saumon de Norvège. La substance utilisée dans la nourriture des saumons d’élevage est en réalité un antioxydant appelé astaxanthine. Pigment naturel qui donne leur couleur rose aux plumes des flamants, à la chair des saumons et des truites et à la carapace des crevettes, l’astaxanthine est un composé de la famille des caroténoïdes. A l’état sauvage, le saumon s’en procure en mangeant de petits crustacés et planctons qui en contiennent. Outre son caractère indispensable pour le système immunitaire des saumons, elle apporte également une couleur orangée. En fonction des différents marchés, la couleur est en plus un élément d’appétence du produit mais elle est aussi, pour nombre de consommateurs, un gage de qualité. Utilisée comme complément alimentaire pour les humains, l’astaxanthine est sans aucune conséquence pour la santé humaine. 2. Est-il vrai que le saumon d’élevage est nourri de farines animales ? 6. L’augmentation de la production n’est-elle pas une menace pour l’environnement et les côtes norvégiennes ? La Norvège interdit les produits issus d’animaux terrestres dans l’alimentation du saumon d’élevage, même de façon limitée ou partielle. La filière aquacole norvégienne reste ferme et déterminée sur ce point. 3. On entend parfois dire que le saumon d’élevage est moins riche en Oméga-3 que le saumon sauvage, cela signifie-t-il qu’il est de moins bonne qualité ? Pas du tout. - Dans son milieu naturel, le saumon mange ce qu’il trouve dans son environnement. - Au sein des fermes, le saumon est nourri avec une alimentation sèche, étudiée pour être au plus proche de l’alimentation naturelle du saumon. Cette nourriture lui fournit les protéines, lipides et autres nutriments nécessaires à sa santé. Cette alimentation provient en partie du poisson sauvage, notamment des abats de l’industrie de la pêche. Cependant, une proportion de plus en plus importante des besoins en protéines et lipides est fournie par des ingrédients végétaux, comme l’huile de colza et de maïs. L’utilisation d’huiles végétales dans le cadre de l’alimentation du saumon d’élevage permet de limiter l’utilisation de ressources marines sans aucune répercussion sur les propriétés nutritives et gustatives du saumon. En effet, le saumon a la capacité de transformer les protéines végétales en protéines marines. En outre, l’assimilation des Oméga-3 administrés via la nourriture est limitée, ce qui permet de calculer la quantité d’huile de poisson nécessaire dans la nourriture pour produire un saumon tout aussi riche en oméga 3 que son équivalent sauvage. 4. Les saumons d’élevage sont alimentés en continu, ne reçoivent-ils donc pas trop de nourriture ? Les saumons ne sont nullement nourris de manière continue et disproportionnée, non seulement pour des raisons sanitaires mais aussi pour des questions économiques évidentes ! La nourriture représente plus de 50 % des coûts de production, par conséquent, il n’est pas possible pour les éleveurs de la gaspiller ou d’en faire consommer plus que de raison aux saumons. Par ailleurs, le saumon, contrairement à d’autres espèces d’élevage, ne peut en aucun cas être gavé car il ne mangera qu’à son appétit. La quantité quotidienne donnée aux poissons est donc surveillée par les producteurs afin de définir les proportions en fonction de son appétit, variable selon les conditions de température dans l’eau, de lumière... La « Stratégie pour une aquaculture durable » éditée par le Ministère norvégien de la pêche et du littoral reflète à la fois l’importance de l’aquaculture pour la société norvégienne (emplois, économie, survie des communautés le long de la côte…) et la nécessité pour cette dernière de respecter l’environnement et la biodiversité. En Norvège, la viabilité, la rentabilité et la prospérité du secteur de l’aquaculture passent nécessairement par la capacité des acteurs à préserver l’environnement. Le développement de l’aquaculture est aujourd’hui contrôlé par les autorités et la filière elle-même s’investit pour maîtriser l’augmentation de la production. En effet, l’attribution des permis et des licences a considérablement baissé depuis 2002. Par ailleurs, le choix des sites est étudié en fonction de son écosystème, de son environnement et de sa capacité d’accueil. Enfin, il est important de noter que la Norvège applique scrupuleusement le principe de précaution et que de nouveaux développements ne pourront avoir lieu sans que ceux-ci aient été jugés sans danger pour l’environnement. 7. On entend parfois parler du pou du saumon d’élevage, de quoi s’agit-il ? Le pou de mer est un parasite qui existe naturellement en milieu marin et ne provient en aucun cas du saumon d’élevage. Ce petit copépode marin se fixe à la peau, aux nageoires et aux branchies du poisson, et se nourrit du mucus de la peau. Le pou meurt en eau douce; un saumon sauvage qui en porte en sera donc débarrassé une fois arrivé dans la rivière où il se reproduit. Il est sans aucun danger pour la santé humaine s’il est ingéré. Le pou du saumon peut en revanche être problématique pour les saumons en élevage si la concentration est élevée. Le pou pullule et se répand rapidement dans l’élevage s’il n’est pas maitrisé. Après plusieurs années de travail de l’industrie de l’aquaculture norvégienne un système de surveillance draconien et permanent du taux de poux permet de limiter le problème. La méthode la plus utilisée est celle des poissons nettoyeurs, également connus sous le nom de « vieille commune » (Labrus bergylta). Ces derniers sont élevés conjointement avec les saumons dont ils mangent les poux de mer, permettant ainsi de résoudre ce problème de manière totalement naturelle. L’éventail de réponses complémentaires est large : systèmes de filtration des poux dans les centres d’abattage et sur les bateaux-viviers, augmentation du budget alloué à la recherche et aux études sur l’impact du pou du saumon sur l’environnement… De façon générale, les éleveurs ont la responsabilité éthique et juridique de veiller au bien-être des poissons et à la qualité de leur milieu. En effet, c’est aussi dans leur intérêt, car les poissons malades ou stressés engendrent des pertes importantes pour les éleveurs. 3. Le fumage du saumon de Norvège, un art délicat à la française A l’origine, le fumage du saumon était pratiqué pour permettre sa conservation : les saumons étaient salés puis fortement fumés, et pouvaient ainsi être conservés pendant les mois chauds. Initiée en France à la fin des années 60, la fumaison du saumon s’est fortement développée. Ce sont d’ailleurs des sociétés françaises qui fument aujourd’hui la majorité du saumon norvégien proposé sur le marché français. garantit d’obtenir un produit d’une grande qualité, adapté aux palais des Français, et encadré par le Guide de Bonnes Pratiques Hygiéniques des poissons fumés. Ce guide a été conçu par les professionnels du secteur et validé par la Direction Générale de l’Alimentation. L’aspect nutritionnel de ces produits est étroitement surveillé, le taux de sel est ainsi limité mais suffisant pour garantir la conservation des aliments. Le saumon fumé est transformé en moyenne en six jours, temps requis pour révéler toute sa saveur. Plusieurs étapes sont nécessaires avant d’obtenir un bon saumon, fumé selon la tradition : • le filetage & le désarêtage : les saumons sont reçus entiers puis étêtés, filetés et désarêtés. • le salage & le dessalage : le salage traditionnel, au sel sec, donne les meilleurs résultats et une bonne répartition du sel au sein de la chair du saumon. Les filets sont ensuite rincés pour être dessalés. • le séchage : le surplus d’eau éliminé permet d’améliorer la texture et la conservation du Saumon. • le fumage & le tranchage : le fumage s’effectue traditionnellement dans des fumoirs. Le filet de saumon fumé est ensuite tranché, mis sur plaque et conditionné sous vide. Comment bien choisir son saumon fumé ? Le fumage du saumon de Norvège, un savoir-faire français LE SAVIEZ-VOUS ? C’est le plus souvent au bois de Hêtre que le Saumon est fumé, car il est connu pour sublimer ses saveurs naturelles. Le succès du saumon fumé de Norvège s’explique par l’association de l’expertise norvégienne en matière d’aquaculture et du savoir-faire français en matière de fumage. Ainsi, les entreprises françaises de fumaison ont-elles travaillé 107 333 tonnes de saumon en 2009, dont 69% étaient d’origine norvégienne, soit 74 010 tonnes de saumon de Norvège. Ces importations s’élèvent à 416 millions d’euros dont 276 millions d’euros pour les saumons d’origine norvégienne. Faire fumer son saumon en France Afin de choisir un produit de qualité, respectant la tradition du savoir-faire, préférer un saumon fumé dont l’étiquetage précise : • que le fumage a été réalisé au feu de bois, • sur du poisson frais, n’ayant jamais subi de congélation, • et que le salage a été effectué au sel sec fin. • sélectionner de préférence un saumon fumé dont la couleur est homogène et les bordures bien nettes. ? Comment fumer soi-même son saumon ? En Norvège, certains fument leur saumon eux-mêmes. Loin d’être d’une grande difficulté, cette activité se révèle extrêmement ludique, et source d’une grande satisfaction ! Pour fumer un filet de saumon d’environ 1 kg, il faut se munir de : • 1 kg de filet de Saumon de Norvège, sans arêtes. • 60 gr de sel • 30 gr de sucre • Copeaux de bois pour recouvrir la base de la poêle (fumage) • Poêle à frire • Papier aluminium Etape 1 Enlever la peau du filet et découper le filet en deux parties, en longes ventrales et dorsales. Etape Etape Etape 2 4 Recouvrir d’une autre feuille de papier aluminium et laisser fumer pendant 8 minutes. Chauffer le bois dans une poêle, enflammer au bout d’une minute. Éteindre les flammes et placer le poisson sur la feuille de papier aluminium percée au milieu de la poêle. Mélanger le sucre et le sel et en couvrir les longes de saumon. 5 Etape 6 Terminer la cuisson du saumon au four (programmé à 70°) afin que la température au cœur des portions de poisson atteigne 48°C. Au bout de 3 heures, les rincer à l’eau et essuyer avec un chiffon en papier. Etape 3 Découper le saumon à la taille souhaitée et placer les morceaux sur une feuille de papier aluminium percée de quelques trous LE SAVIEZ-VOUS ? Le Saumon fumé se conserve entre 0 et 4°. Une fois l’emballage ouvert, il est conseillé de le consommer dans les 48 heures et de le conserver en refermant bien hermétiquement son emballage. Il est également tout à fait possible de le congeler (à condition qu’il ne l’ait jamais été auparavant). Pour le consommer ensuite, il suffit de le laisser décongeler doucement la veille au réfrigérateur et de le servir le lendemain ! 4. Une sélection de recettes du Centre des Produits de la Mer de Norvège 1. Idées de recettes festives pour les fêtes de fin d’année La texture fondante et la saveur délicate du saumon de Norvège fumé en font un met particulièrement adapté aux festivités de fin d’année. Le Centre des Produits de la Mer de Norvège propose une sélection de recettes, simples ou plus élaborées, qui combleront les papilles de vos invités. Toasts de Saumon de Norvège Cœur de saumon de Norvège fumé, 4 personnes - Temps TOTAL : 10 min. 4 personnes - Temps TOTAL : 40 min. Ingrédients : • 2 Tranches de Saumon de Norvège fumé • 8 fines tranches de baguette • 1 Boule de Mozzarella • Poivre du moulin • 1 c. à soupe de ciboulette ciselée • 1 branche d’Aneth Ingrédients : • 600 g de saumon de Norvège fumé dans le cœur • 4 œufs frais • Fleur de sel de Guérande • 1 betterave rouge • Vinaigrette balsamique / huile d’olive • 1 jus d’orange • 1 pincée de safran • Sel fin • 4 tranches de ficelle • Huile d’olive fumé à la mozzarella Couper les deux tranches en 8 lanières égales. Faire griller les tranches de baguette au four ou au grille-pain. Déposer une tranche de mozzarella, donner un tour de moulin à poivre et replacer les tranches au four 3 à 4 minutes à 225° C jusqu’à ce que le fromage commence à fondre. Veiller à ce qu’il ne fonde pas trop. Déposer un peu de ciboulette ciselée sur chaque tranche, garnir d’une tranche de Saumon de Norvège fumé et décorer d’une pluche d’aneth. Servir aussitôt. œuf mollet et betteraves à l’orange Les œufs mollets : Faire bouillir de l’eau, plonger les œufs un à un, laisser cuire 6 minutes, au terme de la cuisson, retirer les œufs avec une araignée et les plonger dans de l’eau glacé pour arrêter la cuisson. Les retirer de l’eau et les écaler, les déposer sur un papier et les mettre au frais. La betterave croquante : Eplucher la betterave, la tailler en tranches très fines à l’aide d’une mandoline, la plonger dans un saladier contenant de l’eau froide et des glaçons. Préparer une vinaigrette avec l’huile d’olive et le vinaigre, ajouter le jus d’orange et parfumer avec le safran. Tailler des tranches fines dans le morceau de saumon. Réchauffer les œufs dans une casserole d’eau chaude pendant 4 minutes. Egoutter les pétales de betteraves, les assaisonner de vinaigrette et de sel fin, dans les assiettes bien froides, déposer délicatement les tranches de saumon et dessus déposer les pétales de betteraves. Saucer de quelques gouttes de vinaigrette. Saumon de Norvège fumé, asperges blanches en vinaigrette mimosa 4 personnes - Temps de préparation : 30 minutes - Temps de cuisson : 20 minutes Ingrédients : • 4 tranches de saumon de Norvège fumé • 12 crevettes de Norvège cuites • 10 g de cacahuètes grillées • 12 asperges blanches • 4 œufs durs • 2 c. à s. de mayonnaise • 1/2 botte de persil plat ciselé fin • Huile d’olive • Vinaigre balsamique blanc • Poivre • Fleur de sel • Piment d’Espelette • Jeunes pousses de salade (pour la décoration) Eplucher les asperges blanches, casser les queues et rectifier la taille des asperges pour qu’elles soient toutes de la même longueur. Les attacher ensemble avec une ficelle et faire cuire dans de l’eau bouillante salée pendant environ 7 à 8 minutes. Au terme de la cuisson, sortir de l’eau et laisser tiédir à température ambiante. Dans un saladier, mélanger le jaune d’œuf dur, ajouter le persil ciselé et la mayonnaise, saler et poivrer. Puis remettre la préparation dans les blancs d’œufs. Assaisonner les asperges blanches de vinaigrette d’huile d’olive et de vinaigre balsamique blanc, et de fleur de sel. Dans les assiettes, déposer les asperges puis les œufs mimosa, les crevettes de Norvège décortiquées, quelques feuilles de salade et les tranches de saumon de Norvège fumé sur les asperges. Parsemer de cacahuètes grillées, de piment d’Espelette et de fleur de sel. Saumon de Norvège fumé, toast de pain de seigle, œuf de Caille confit et émulsion d’amandes 4 personnes - Temps TOTAL : 30 min. Ingrédients : • 4 tranches de saumon de Norvège fumé • 4 jaunes d’œufs de caille • 2 dl d’huile de tournesol • 2 dl de lait • 10 g d’amandes pelées • 5 g de raifort Placer les jaunes d’œuf dans l’huile et porter à une température de 65°C. Les œufs sont prêts au bout de 10 minutes. Faire bouillir le lait pendant 10 minutes. Ajouter les amandes, le raifort et mélanger le tout pendant quelques minutes. Filtrer et laisser refroidir pour atteindre une température de 70° C. Utiliser un fouet à main pour réaliser l’émulsion avant de servir. Servir le saumon accompagné de toasts de pain de seigle, de pluches d’aneth et d’œufs de Saumon de Norvège. 2. Les idées recettes du Chef Daniel Rougè Madesen, des recettes simples à cuisiner tous les jours Le chef norvégien Danièl Rougè Madsen anime « Assiette Norvégienne » sur M6, programme court de recettes d’une minute à base de produits de la Mer de Norvège. A la fois simples et équilibrées, ses recettes modernes et originales pourront aisément être réalisées et appréciées par toute la famille ! Salade « César » selon Danièl 4 personnes - temps total : 10 min Ingrédients : • 10 tranches de saumon de Norvège fumé coupées en lamelles • 2 Salades romaines • 200 g Bacon fumé et grillé • 100 g Croûtons nature • 10 cl Crème liquide ou crème fraiche • 100 g Mayonnaise • 100g Parmesan râpé • 1 gousse d’ail râpé • 1 Citron pressé • Sel, poivre La sauce : Mélanger la crème fraiche, la mayonnaise, le parmesan râpé, l’ail râpé et le jus de citron. Mélanger la salade romaine et le saumon fumé coupé en fines lamelles. Ajouter la sauce. Mélanger encore. Saler et poivrer. Servir la salade et ajouter dessus le bacon fumé grillé, un peu de parmesan râpé et les croûtons. Omelette au saumon de Norvège fumé et fromage 2 personnes - temps total : 15 min Ingrédients : • 3 Tranches de saumon de Norvège fumé • 3 Œufs • 10 cl (ou 7 c. à soupe) de lait ou d’ eau • 30 g Fromage râpé • 3 c. à soupe de Crème fraiche • 1 Bouquet de ciboulette • Raifort râpé • Huile de tournesol • Sel, poivre Battre les œufs avec un peu d’eau ou de lait. Saler, poivrer. Ajouter un peu de ciboulette. Verser dans la poêle à feu doux, avec un peu d’huile de tournesol. Ajouter le fromage pendant la cuisson, puis les tranches de saumon fumé. Refermer. Pour servir, disposer dessus, 3 quenelles de crème fraiche et un peu de raifort râpé. Toast de saumon de Norvège fumé et œufs brouillés 4 personnes - Temps TOTAL : 25 min. Ingrédients : • 8 Tranches de saumon de Norvège fumé • 4 Pains sandwich baguette ou 1 baguette coupée en 4 • 4 Œufs • 3 C. à soupe Beurre • Cresson • Aneth • Sel, poivre Pizza au saumon de Norvège fumé et mozzarella 4 personnes - temps total : 25 min Dans un bol, fouetter les œufs avec du beurre fondu. Saler et poivrer. Verser le tout dans une poêle avec un peu d’huile de tournesol, remuer et laisser cuire 2 minutes à feu moyen. Faire toaster le pain. Pour servir, mettre d’abord les feuilles de cresson, puis les œufs brouillés et le saumon fumé, et enfin un peu d’aneth. Ingrédients : • 6 Tranches de saumon de Norvège fumé • 1 pâte à pizza • 30 cl Sauce tomate à l’ail et au thym • 250 g Mozzarella râpée • 20 cl Crème fraiche • Salade de roquette Préchauffer le four à 200°C. Etaler la pâte à pizza sur une plaque graissée à l’huile d’olive et saupoudrée de farine. Etaler la sauce tomate sur la pâte à pizza puis ajouterla mozzarella râpée. Bien répartir. Mettre au four 15-20 minutes à 200°C. Sortir la pizza du four. Poser les tranches de saumon fumé dessus, ajouter la roquette et la crème fraiche. Velbekomme ! Bon appétit ! Danièl Rougè Madsen A propos du Centre des Produits de la Mer de Norvège Le Centre des Produits de la Mer de Norvège est un organisme norvégien représenté à Paris, dont le siège (NSEC/Norwegian Seafood Export Council) est situé à Tromsø, en Norvège, à 600 kilomètres au nord du cercle polaire. Le NSEC a été créé par le Ministère norvégien de la pêche en 1991 afin de renforcer la notoriété des produits de la mer de Norvège de par le monde. Ses activités sont financées par le secteur de la pêche et de l’aquaculture via un prélèvement sur les exportations des produits de la mer. Les principaux axes de communication du CPMN sont l’origine norvégienne, les qualités gustatives et nutritives des produits et la sécurité alimentaire que garantit le savoir-faire des Norvégiens en matière de pêche et de pisciculture. La France est le 1er marché d’exportation pour les produits de la Mer de Norvège avec plus de 680 millions d’euros par an, ce qui fait également de la Norvège son plus gros fournisseur en matière de produits de la mer. Pour en savoir plus : www.poissons-de-norvege.com Co n ta c t P resse • Elodie Denis : 01 41 34 21 18 [email protected] • Zineb Idrissi : 01 41 34 21 85 [email protected] • Anne-Laure Devès : 01 41 34 20 41 [email protected] • Claire Baaklini : 01 41 34 20 54 [email protected]