PRODUITS DE LA MANGUE DANS L`INDUSTRIE

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PRODUITS DE LA MANGUE DANS L`INDUSTRIE
NOTE CONCEPTUELLE POUR LE PROJET DE VALORISATION DES SOUS – PRODUITS DE LA MANGUE
DANS L’INDUSTRIE COSMETIQUE
Référence:
Date limite de soumission : Semaine 47
Nom du demandeur:
Titre du projet
Lieux du projet
COLEACP/ PAEPARD – Consortium Cosmétiques
Leader : DACOM (Burkina Faso)
Co-leader : INPH-B (Côte d’Ivoire)
Valorisation des sous-produits de la mangue pour l’industrie
cosmétique
Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Mali, Sénégal
Organisation(s) Bénéficiaire(s)
Nom
Producteurs Transformateurs,
Collecteurs,
Entreprises cosmétiques
Total des coûts du projet
Montant demandé
Pays
Burkina Faso, Côte d’Ivoire,
Mali, Sénégal
Côte D’Ivoire, Burkina Faso,
Sénégal , Mali
Cofinancement
La proposition devra consacrer environ
30% du budget total pour le processus
de détermination des voies et moyens
pour atteindre l’impact par l’équipe de
mise en œuvre du projet et les
principaux bénéficiaires.
Durée totale de l'Action:
(mois)
Coordonnées
Adresse postale:
Numéro de téléphone:
Indicatif
Pays + Indicatif Ville + numéro
Personne contact pour ce
projet:
Adresse e-mail de la personne
contact:
Déclaration du demandeur
Denis FELICITE-ZULMA (COLEACP)/ Jonas MUGABE (PAEPARD)
Aziz DABO (DACOM)
[email protected] / [email protected]
[email protected]
Date
Signature
Dossier N°
Cadre logique
Rubriques
Indicateurs objectivement vérifiables
Moyens de vérification
Objectif global
Valorisation des amendons de mangue pour
l’industrie cosmétique en vue de lutter
contre la mouche des fruits
Au moins 3 unités de transformation ou industries de la
cosmétique utilisant la pulpe et les amandes de mangue
comme matière première sont suscitées et/ou mises en
place.
Etudes et rapport d’enquête.
80% des vergers de mangues sont assainis des fruits non
destinés à la consommation humaine.
Objectifs spécifiques
Développement d’une technologie éco
responsable d’extraction du beurre.
Réduction de la pauvreté et de la prolifération
de la mouche des fruits par création de valeur
Confirmation de l’existence d’un marché
durable pour le beurre de mangue (BM) éco
responsable.
80% des unités de transformation de la mangue sont
assainies des produits dérivés de la mangue non utilisables.
Au moins deux techniques accessibles et compétitives
d’extraction de l’huile selon les exigences de
l’environnement et du marché sont disponibles, éprouvées
et adoptées par les acteurs.
Les revenus des producteurs de la filière sont accrus d’au
moins 20%.
Les fruits non destinés à la
consommation humaine et les
rejets de mangues collectés
quotidiennement, entrainent la
diminution des infestations par
les mouches.
Rapport de recherche
Publications.
Formations des acteurs aux
nouvelles techniques/ Modules
de formation
Rapport d’enquête.
Etude socio-économique en
milieu paysan.
Suppositions
Hypothèses
Le marché mondial de
l’huile (ou du beurre) de
mangue reste
économiquement
dynamique et attractif.
Les unités de
transformation, les
industries cosmétiques et
les instituts de recherche
sont des partenaires dans
le projet.
Les financements de la
recherche sont
disponibles.
Rubriques
Résultats attendus (R1, R2...)
- R1 :
Les teneurs en matières grasses des amendons
de mangue des différentes variétés sont
connues.
-
Indicateurs objectivement vérifiables
Au moins trois unités d’extraction de l’huile (ou du beurre)
adoptent ses nouvelles technologies dans les zones de
production de la mangue sont développées.
Moyens de
vérification
Rapport d’étude et
enquête
Les différentes technologies d’extraction de
l’huile (ou du beurre) sont connues,
éprouvées et disponibles pour les acteurs.
Le rendement et la qualité de l’huile extraite grâce à ces
nouvelles technologies sont améliorés d’environ 20%.
Rapport d'analyse
Des unités d’extraction de l’huile ou du beurre
se développent dans les zones de production
de la mangue avec des méthodes efficaces de
collecte, stockage et transformation.
Au moins 100.000 T (partant du principe qu’il y’à environ
400.000 T de déchets de mangues) des mangues infestées sont
collectées pour l’utilisation dans les unités d’extraction de
l’huile (ou du beurre).
Rapport d'enquête
Au moins 25.000 T de noyaux de mangue provenant des unités
de transformation sont valorisés
Rapport ou bilan
d'activités
R2
Les méthodes efficaces de collecte, stockage,
transformation des amendons sont appliquées
par les acteurs.
Les producteurs sont sensibilisés, ont assimilé
les méthodes.
- R3
L’étude de marché du beurre est réalisée
Le positionnement des produits sur des niches
de marché est effectué
Un modèle économique sur mesure est défini
Suppositions
Hypothèses
Les unités de
transformation ou les
industries cosmétiques
confirment leur accord à
investir dans l’extraction de
l’huile de mangue
PLAN OPERATIONNEL
ACTIVITES
INDICATEURS OBJECTIVEMENT VERIFIABLES
MOYENS DE
VERIFICATION
ACTIVITES A/ : MENER DES ACTIONS DE RECHERCHE
-
Les caractéristiques biochimiques et
physico chimiques de la mangue sont
définies pour 3 variétés
- Les conditions et paramètres de collecte
de stockage, de conservation des noyaux
et des amandes de bonnes qualités sont
décrits et diffusés
- Acquisition d’une technique améliorée ou
nouvelle d’extraction des amandes de
mangue
Rapport de
recherche
4 à 5 acteurs privés sont impliqués dans le
projet et permettent une avancée rapide des
résultats
Rapport d’audit
A0 : Identifier les variétés de mangue cultivées dans les différents pays
A1 : Déterminer les caractères physico chimiques de l’amande à différents niveaux de
maturation
A2 : Mettre en place des techniques de collecte efficace
A3 : Déterminer les conditions optimales de stockage pouvant garantir la qualité de la
matière première (amande)
A4 : Déterminer les pré-traitements nécessaires pour l’obtention d’une amande de qualité
A5 : Déterminer les aptitudes technologiques des amandes en fonction de la variété
ACTIVITES B /: REALISER DES TESTS ET ESSAIS
B1: Réaliser des tests et essais des méthodes de stockage et prétraitement déterminées dans
les activités de recherche précédentes auprès des acteurs du partenariat de recherche
B2 : Acquisition, transfert de technologies et expérimentation en vue de l'extraction de l'huile
(ou du beurre) de mangue, selon des techniques utilisant des produits autre que l’hexane.
B3 : Réaliser des tests des produits extraits (beurre ou huile) en partenariat avec les
industries cosmétiques pour une utilisation optimale
B4 : Les acteurs paysans (producteurs, collecteurs) sont formés aux meilleures techniques de
collecte et de stockage conservation des sous-produits de la mangue pour des applications en
industrie cosmétique
Au moins deux technologies d'extraction de
l'huile (ou du beurre) de mangue sont
éprouvées
Au moins trois produits à base d'huile (ou
beurre) sont réalisées par les industries
cosmétiques
80% des acteurs formés utilisent les
techniques de collectes et de stockage
apprises
Fiches des résultats
d’analyse
Rapport d’évaluation
du projet
Rapport des essais
Rapport des tests et
essais
Modules de
formation
Rapport de
formation
ACTIVITES C /: REALISER LA VULGARISATION DES RESULTATS ET EFFECTUER DES ACTIONS
PROMOTIONNELLES

C1 : Sensibiliser et former les acteurs de la chaine des valeurs sur les acquis de la recherche

C2 : Effectuer le positionnement des produits cosmétiques sur des niches de marché (durable
et rémunérateurs)
C3 : Réaliser l’étude du marché du beurre (…concurrence, emballage, shipping etc)
C4 : Définir un modèle économique sur mesure (du verger au laboratoire de formulation
cosmétique
Coût estimatif


Au moins trois unités de décorticage et
d’extraction d’huile d’amande sont
suscitées et développées
Tous les acteurs impliqués dans la chaîne
de valeur sont sensibilisés et formés aux
nouvelles technologies issues de la
recherche.
Les produits cosmétiques à base de
mangue sont mieux connus sur un
minimum de deux marchés de niches et
font l’objet de demande.
La collecte et les activités de
transformation sont assurées par un
minimum de 50% par les femmes et les
jeunes
I. Note conceptuelle
Contexte
La culture du manguier, introduite au début du XXème siècle en Afrique de l’Ouest, est devenue très
rapidement une des principales activités d’exportations de certains pays d’Afrique de l’Ouest. En
effet, à elle seule, l’Afrique de l’Ouest contribue pour plus de 80% aux exportations de mangues de
l’ensemble de l’Afrique vers les marchés de l’Union Européenne (statistiques publiées par l’Union
Européenne (Eurostat)) .
Malheureusement, la plupart des producteurs ouest africains, souffrent des conséquences de la
mouche des fruits, une des principales sources d’infestations des vergers qui cause à chaque période
de production, d’énormes pertes financières. Pour l’année 2012, ce sont quelques 2,8 millions
d’Euros, soit 1,83 milliard de Francs CFA que les exportateurs de la CEDEAO ont enregistré comme
pertes due à la mouche des fruits. Pour arriver à les réduire et à donner une plus-value à la mangue,
le COLEACP (Comité de Liaison Europe-Afrique-Caraïbe-Pacifique) appuyé par le PAEPARD
(Plateforme pour les partenariats africains et européens dans le domaine de la recherche pour le
développement) a initié une série de consultations depuis plus de deux ans sur la question de la
valorisation non alimentaire des mangues infestées et écartées.
Un atelier multi-acteurs sur les questions de recherche et de développement organisé par le
COLEACP avec le soutien du PAEPARD s’est donc tenu à Dakar du 11 au 14 mars 2013 sur le thème de
la valorisation non alimentaire de mangue en Afrique de l’Ouest. Cet atelier a mené ses réflexions
sur la base d’une étude documentaire menée durant trois mois (septembre/décembre 2012) dans
trois pays d’Afrique de l’Ouest (la Côte d’ivoire, le Burkina Faso, et le Sénégal) et consolidée au
niveau régional. Cette étude a eu pour objectif d’identifier des initiatives, en cours ou envisagées, par
le secteur privé et par la recherche dans la transformation non-alimentaire de la mangue.
La particularité de cet atelier est qu’il a pu réunir (autour des questions de recherches) des acteurs
clés intervenant dans la filière qui ont pu développer des affinités et travailler ensembles sur les
questions fondamentales de recherche. L’intérêt a été de promouvoir la recherche et les initiatives
nécessaires à la résolution de la problématique de la valorisation non-alimentaire des mangues.
D’encourager les petits producteurs à veiller à l’hygiène de leurs vergers en ramassant
systématiquement les fruits infestés des vergers. Ce qui permettra de leur ouvrir des perspectives
d’usage non-alimentaires des rejets de mangues dans les secteurs de l’énergie, la fertilisation,
l’alimentation animale ou la cosmétique.
Les initiatives dans ces domaines précités ont été identifiées et ont besoin d’être appuyées. Ainsi les
travaux de ces acteurs clés ont permis de faire ressortir les besoins et opportunités identifiés en vue
de relever le défi de la valorisation non alimentaire de la mangue.
Les acteurs du domaine de la cosmétique et leurs partenaires présents ont relevé les difficultés du
secteur. Ce sont pour l’ensemble des parties, des questions ayant trait à l’amélioration et à
l’optimisation des techniques d’extraction du beurre de mangue, au renforcement des
infrastructures et à l’amélioration des technologies appliquées.
1.1. Titre du projet
Valorisation des sous-produits de la mangue dans l’industrie des cosmétiques
1.2. Pertinence du projet
L’intérêt de ce projet réside dans le fait que chaque année, ce sont des dizaines de tonnes de
mangues qui pourrissent dans les vergers car non utilisables. Cette situation a pour conséquence
d’entraîner d’énormes pertes de gains au niveau des producteurs. Ce projet répond donc à une
attente des producteurs de mangues d’Afrique de l’Ouest qui très souvent sont confrontés au
problème de la mouche des fruits et à ses conséquences. Et le moyen le moins onéreux et le plus
recommandable pour lutter contre ce fléau s’avère être l’élimination systématique des mangues non
utilisées. Cette consigne de lutte est pourtant insuffisamment appliquée par les petits producteurs.
Pour encourager les producteurs au respect de ces mesures minimales, il faut leur proposer des
perspectives concrètes de valorisation des fruits rejetés pour des usages non-alimentaires tels que
l’usage dans le cosmétique qui pourrait représenter une plus value.
L’industrie cosmétique à elle seule représente un secteur prometteur du domaine de la valorisation
non alimentaire des mangues. En effet, les résultats de l’étude européenne réalisée par WUR (Unité
de Recherche de l’Université de Wageningen aux Pays-Bas) pour l’atelier de Dakar, relatent que le
noyau et la pulpe de mangue sont utilisés pour leur richesse en acides gras aux propriétés nutritives
exceptionnelles, capables de nourrir profondément la peau et les cheveux secs et abîmés. La
mangue, également concentrée en caroténoïdes, contient des agents antioxydants naturels capables
de réduire les dommages causés par les radicaux libres, responsables du vieillissement cutané. Ainsi,
toute une gamme de produits cosmétiques peut faire appel aux dérivés de la mangue. Le beurre de
mangue, obtenu par pressage des amandes des noyaux de mangue, a des propriétés assouplissantes,
adoucissantes, nourrissantes et cicatrisantes. Il peut être utilisé dans la fabrication de divers
produits.
L’initiative d’utilisation de l’amande de la mangue dans le domaine de la cosmétique revêt un double
intérêt d’abord parce qu’elle résout un problème majeur (collecte des mangues non utilisées dans les
vergers des petits producteurs) et ensuite parce qu’elle est complémentaire des projets existants
dans le domaine de la revalorisation de la mangue. Contrairement aux autres activités de
transformation alimentaire de la mangue, cette initiative touche à un sous-produit insuffisamment
exploité. Le noyau de la mangue a pourtant de la valeur et peut constituer un gain économique
supplémentaire pour l’ensemble des acteurs.
Aussi, les régions productrices de mangues sont en général dépourvues de toute activité en dehors
de la période d’exportation de la mangue. Ce projet vient donc comme une réponse aux questions de
sous emploi des femmes et des jeunes. En effet, ce sont souvent ces tranches de la population qui
sont les plus impliquées dans la filière mangues de la collecte à la commercialisation, avec comme
retombées de les repositionner dans le tissu économique local.
1.3. Description du projet et impact
L’Afrique de l’Ouest a été ciblée en priorité pour aborder ce thème fédérateur, parce que cette
région contribue fortement aux exportations de mangues de l’ensemble de l’Afrique vers les
marchés de l’Union Européenne.
De très nombreux petits producteurs y sont actifs et l’objectif principal du projet est de réduire les
pertes dues à l’infestation des vergers par la mouche des fruits et contribuer à une meilleure
rémunération de leur activité par la valorisation des amandes de mangue.
La spécificité du projet consiste à impliquer à la fois les producteurs, les acteurs du secteur privé et
de la recherche dans un partenariat multi-acteurs avec un partage de responsabilités et de rôles.
Ceci étant un facteur de réussite de ce projet.
Ainsi, des organisations professionnelles de la mangue, des institutions de recherche, des entreprises
exerçant dans le domaine de la cosmétique et des bailleurs de fonds locaux participent au projet.
Un tel projet nécessite l’apport de toutes les compétences des pays participants afin d’optimiser les
actions, les activités et partant les résultats. Au terme des travaux de l’atelier de Dakar, la plupart des
structures présentes se sont dites prêtes à collaborer entièrement.
L’atelier de Dakar a rassemblé 47 participants de 8 pays d’Afrique de l’Ouest et d’Europe. L’ensemble
des acteurs de la chaîne de valeur de la filière mangue était représenté, ainsi que le secteur de la
recherche et des universités. Des organisations de producteurs à l’administration publique en
passant par les universités, les ONG, les institutions de financement, les chercheurs, le COLEACP, le
secteur privé, le CORAF (Conseil Ouest et Centre africain pour la Recherche et le Développement
Agricoles), le FARA (Forum pour la Recherche Agricole en Afrique) (PAEPARD), ainsi que les
facilitateurs d’innovations agricoles.
Un facteur, qui peut constituer un risque dans la transformation de la mangue est la courte saison
de production des fruits, surtout en Côte d’Ivoire, environ trois mois par an. Au Burkina Faso la
production est plus étalée du fait de la diversité des variétés et des zones agro-écologiques
Un autre risque économique réside dans le fait d’arriver à trouver des débouchés pour les produits. Il
faut nécessairement faire connaître les produits à la clientèle. Le produit fini étant brut, il peut avoir
besoin d’un partenariat avec de grandes maisons de cosmétiques pour une utilisation optimale.
Au niveau environnemental, il faut s’assurer que le stockage des noyaux n’entraine pas de risque de
pollution de l’environnement et d’attraction des mouches de fruits. Des différentes présentations, il
ressort que le taux de rendement à l’extraction ainsi que le procédé d’extraction posent les
problèmes les plus importants. L’extraction à l’hexane assure le meilleur rendement en huile.
Cependant, le procédé requiert de lourds investissements et le solvant est coûteux tant à l’achat que
pour son élimination (stockage, risque de pollution de l’environnement).
1.4. Durabilité du Projet
La réalisation de ce projet doit amener à terme :
-
A développer l’activité de production d’huile d’amande et de beurre par la valorisation des
noyaux de mangue.
A permettre un meilleur assainissement des vergers et des unités de transformation de la
mangue à usage alimentaire
-
A améliorer les revenus des petits producteurs et créer de l’emploi chez les femmes et les
jeunes en milieu rural.
A répondre à une demande des marchés internationaux (notamment européens) pour un
produit de qualité.
1.5 Suivi et évaluation
Pour assurer le suivi et l’évaluation de ce projet, il convient donc de mettre en place un système qui
comprendra :
- Le suivi interne de l’exécution des activités exécutées par le chargé du suivi.
- Les audits : les fonds qui seront octroyés dans le cadre de l’exécution du projet devront faire l’objet
d’un audit annuel par l’ensemble des parties concernées.
- Le suivi environnemental du projet : le suivi régulier de la réalisation des activités du projet par les
services chargés de l’environnement pour vérifier le respect des normes environnementales.
- Les rapports : des rapports seront produits pendant toute la durée d’exécution du projet.
1.6 Budget (optionnel)
1.7 Glossaire des sigles et dénominations
COLEACP : Comité de Liaison Europe-Afrique-Caraibe-Pacifique
PAEPARD : Platte forme Afrique Europe du Partenariat pour la Recherche Agricole au service du
Développement
FARA : Forum pour la Recherche Agricole en Afrique
CORAF : Conseil Ouest et Centre africain pour la Recherche et le Développement Agricoles
CEDEAO : Communauté Economique Des Etats de l’Afrique de l’Ouest
ONG : Organisation Non Gouvernementale
BM : Beurre de Mangue

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