Conférence-débat - Les établissements hospitaliers de
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Conférence-débat - Les établissements hospitaliers de
Vivre ensemble : vers une déshumanisation du lien ? 2ème partie : Quel espoir ? ds sur le Une croisée de regar après lien humain, avant et Charlie Hebdo... re Vendredi 18 septemb de 18h00 à 21h30 rreguemines Amphi 0 - IFSI de Sa -Jacques SCHATZ 8 rue du Dr Eugène Serge LESOUR D niversité de logie Clinique à l’U Professeur de Psycho s, Psychanalyste Nice Sophia-Antipoli Elsa GODART Docteur en nalyste, Essayiste, Philosophe, Psycha logie philosophie et psycho ANN Christian HOFFM ité Paris-Diderot athologie à l’Univers Professeur de Psychop Entrée libre Conférence organisée par l’Association du Collège des Psychologues du Centre Hospitalier Spécialisé de Sarreguemines, en partenariat avec L’Université Paris-Diderot et l’Hôpital de Sarreguemines Conférence-débat Programme 18h00 - Accueil / 18h15 - Introduction : Véronique Kauffholz 18h30 - Serge Lesourd « Pas d’un sans l’autre » 19h30 - Elsa Godart « Le sentiment d’humanité dans la clinique du sujet » 20h30 - Christian Hoffmann « Quelle éthique pour demain? » Débats Notre regard s’était porté en juin sur ce qu’il en est de l’humain dans notre société contemporaine et les conséquences éventuelles de la difficulté d’un « vivre ensemble ». Ces conséquences qui occupent le devant de la scène médiatique, (Attentats, profanations de tombes, agressions diverses) restent observables par tous, dans notre vie de tous les jours.. Nous avons reçu Monsieur Freddy Raphael, Professeur émérite de la Faculté de sociologie de Strasbourg, qui nous a fait réfléchir sur les fonctions possibles de l’humour comme moyen, entre autres, de lutter contre la vanité, de préserver ou faire émerger des restes d’humanité dans des contextes où l’homme est méprisé, déshumanisé. Avec Daniel Lemler, Psychanalyste strasbourgeois, nous avons abordé la manière dont l’homme dans son « être humain », peut être considéré comme « faute professionnelle » La Loi du marché prédominant sur une Loi plus symbolique qui permettrait au sujet d’advenir, de trouver des repères afin de se situer. Cette loi du marché objectalise l’homme et le place dans une position à partir de laquelle il doit servir, être rentable, travailler, vite… L’homme réduit à n’être plus qu’une ressource humaine… Enfin, avec Christian Hoffmann, Professeur de Psychopathologie à l’Université Paris Diderot, nous avons tenté d’aborder les conséquences d’un capitalisme dit « sauvage » qui met en valeur la reconnaissance des biens, de l’objet, de l’accumulation et donc, qui pose la question de l’avoir au détriment de l’être et du sentiment d’existence. D’où cette parole si fréquente concernant le sentiment de vide que l’on peut entendre dans une pratique quotidienne de clinicien. Nous ouvrons à présent, pour ce deuxième volet, notre vision sur l’idée de l’espoir avec cette question : « La déshumanisation : quel espoir ? »