FEMME MAGAZINE

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1) Ouvrir une nouvelle page de traitement de texte Word
2) Taper le texte suivant sans pour le moment le mettre en forme (pas de gras,
souligné, police, …) FAIRE ATTENTION A NE PAS OUBLIER DE TAPER
LA PONCTUATION :
FEMME MAGAZINE- AVRIL 2002
Noir désir, noir amer
La voix presque brisée de Bertrand Cantat, le chanteur du groupe français Noir Désir, a fait
entendre à un public beyrouthin qui n’en est pas forcément coutumier un chant de contestation
mariant poésie, rock et engagement. L’amertume en plus.
« C’est une déesse, vous savez… et les déesses portent parfois des dentiers. » Le compliment
ressemble à son auteur : Bertrand Cantat, le chanteur de Noir Désir. Il s’y mêle une ironie qui
s’amuse de tout (et peut mordre parfois !), le goût des mots qui s’entrechoquent dans une
étincelle de vraie provocation… et une admiration de gamin -toute en sincérité- pour Brigitte
Fontaine, cette diva déglingue et zazou qui a chanté sur le dernier album du groupe, Des Visages
et des figures. « Une seule prise ! » précise-t-il, pour une litanie de vingt-trois minutes intitulée
L’Europe. « Il n’y avait qu’elle pour arriver à faire cela ! »
Quel souvenir le public libanais conservera-t-t-il du passage à Beyrouth de ce groupe que la
Mission culturelle française, organisatrice de l’événement en partenariat avec la C.D-Thèque, a un
peu pompeusement sacrer « groupe phare de la scène rock française » ? Il restera sans doute
l’image de ce keffieh blanc et noir brandi par Bertrand Cantat pendant le concert, en signe d’un
soutien sans réserve au peuple palestinien. Ce keffieh, qu’il arborait depuis longtemps comme
tant de jeunes Français des années 80, en simple signe de contestation, est devenu à Beyrouth
l’emblème d’un engagement politique qui semble se vouloir plus mûr, et surtout plus lucide.
Pierrick Madinier- Femme Magazine- avril 2002
3) Mettre en forme le texte tapé de la façon suivante :
le titre
en gras, souligné, centré
police : Verdana, taille de la police : 18
le sous-titre « noir désir, noir amer »
en gras, aligné à gauche
police : Arial, taille de police : 12
le chapeau de « la voix presque brisée » à « … l’amertume en plus »
-1-
en italique
police : Time New Roman, taille de police: 14
le reste du texte de « c’est une déesse » à « …plus lucide »
justifié
police : Time New Roman, taille de police: 12
-
le pied de page Pierrick Madinier- Femme Magazine- avril 2002
aligné à droite
4)
5)
6)
7)
8)
police : Time New Roman, taille de police: 12
Mettre tout ce qui est entre «… » en italique
Mettre les noms des personnes en gras
Mettre le titre en bleu et le sous-titre en vert
Surligner le texte en jaune.
Et voila ce que vous devez obtenir :
FEMME MAGAZINE- AVRIL 2002
Noir désir, noir amer
La voix presque brisée de Bertrand Cantat, le chanteur du groupe français Noir Désir, a fait
entendre à un public beyrouthin qui n’en est pas forcément coutumier un chant de contestation
mariant poésie, rock et engagement. L’amertume en plus.
« C’est une déesse, vous savez… et les déesses portent parfois des dentiers. » Le compliment ressemble à son
auteur : Bertrand Cantat, le chanteur de Noir Désir. Il s’y mêle une ironie qui s’amuse de tout
(et peut mordre parfois !), le goût des mots qui s’entrechoquent dans une étincelle de vraie
provocation… et une admiration de gamin -toute en sincérité- pour Brigitte Fontaine, cette diva
déglingue et zazou qui a chanté sur le dernier album du groupe, Des Visages et des figures. « Une
seule prise ! » précise-t-il, pour une litanie de vingt-trois minutes intitulée L’Europe. « Il n’y avait
qu’elle
pour
arriver
à
faire
cela
!
»
Quel souvenir le public libanais conservera-t-t-il du passage à Beyrouth de ce groupe que la
Mission culturelle française, organisatrice de l’événement en partenariat avec la C.D-Thèque, a un
peu pompeusement sacré « groupe phare de la scène rock française » ? Il restera sans doute
l’image de ce keffieh blanc et noir brandi par Bertrand Cantat pendant le concert, en signe d’un
soutien sans réserve au peuple palestinien. Ce keffieh, qu’il arborait depuis longtemps comme
tant de jeunes Français des années 80, en simple signe de contestation, est devenu à Beyrouth
l’emblème d’un engagement politique qui semble se vouloir plus mûr, et surtout plus lucide.
Pierrick Madinier- Femme Magazine- avril 2002
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