Yang LIU - Centrale Paris

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Yang LIU - Centrale Paris
Yang LIU
Doctorant
Encadré par B. DKHIL
 [email protected]
 01 41 13 15 87
Parcours
 2013-
Doctorat - Laboratoire SPMS (Structure, Propiétés et Modélisation
des Solides) - UMR 8580 CNRS / Ecole Centrale Paris
Multicaloric effect in ferroic materials.
 2012-2013
Etudiant en visite-MMRC, Frontier Institute of Science and
Technology, Xi’anjiaotong University (Chine)
Effectof a built-in electric field in asymmetric ferroelectric tunnel junctions.
 2009-2012
Master-School of Physical Science and Technology, Lanzhou
University (Chine)
Landau mean-field theory : Application in the nanoscale ferroelectric thin
films and superlattives.
Activité de Recherche

Effet multi-calorique dans les matériaux ferroïques :
Cette activité vise à mieux comprendre et proposer de nouveaux matériaux dits
"multicaloriques" dans lesquels les effets électrocalorique, élastocalorique,
magnétocaloriques et barocalorique peuvent coexister ou se coupler entre eux. Il est en
effet inutile de combiner ces effets caloriques dans un même système pour améliorer
l’efficacité du refroidissement. Nous utilisons notamment des ferroélectriques sous forme de
films ultraminces ou de monocristaux comme systèmes modèles et nous démontons que
des effets caloriques géants peuvent être atteints dans ces systèmes. En outre, nous nous
concentrons sur le rôle de la contrainte et de la pression mécanique pour moduler l'effet
électrocalorique.

Effet électrocalorique dans les relaxeurs ferroélectriques et dans les
antiferroélectriques :
Cette activité vise à comprendre le nouveau phénomène qu’est l’effet électrocalorique
négatif observé dans les matériaux relaxeurs ferroélectriques et les antiferroélectriques.
Cet effet électrocalorique négatif, si il est important, peut être prometteur pour des
applications en le combinant à l’effet électrocalorique positif, plus classiquement observé,
pour améliorer l’efficacité du refroidissement. En outre, le recours à des mesures directes
de ces effets nous permettrons de vérifier l’applicabilité des relations de Maxwell,
habituellement utilisées dans la méthode dite indirecte.