Lecture à la maison : Vipère au poing, Hervé Bazin, 1948 Ci

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Lecture à la maison : Vipère au poing, Hervé Bazin, 1948 Ci
Lecture à la maison : Vipère au poing, Hervé Bazin, 1948
2 travaux à rendre:
une biographie très complète qui mette en valeur les éléments nécessaires à
la compréhension du roman. sur 5 points
Un questionnaire auquel vous vous efforcerez de répondre avec précision et
en rédigeant vos réponses. sur 35 points
TOTAL : sur 40 points
Ci-dessous corrigé
BIOGRAPHIE
Hervé BAZIN 1911-1996
Quelques éléments sur ses origines et sa jeunesse
Des origines bourgeoises et dévotes
Hervé Bazin est né au sein d'une famille aisée et bien pensante de la
bourgeoisie terrienne. Son père, Jacques Hervé-Bazin, est docteur en droit, avocat de
profession, et enseigne durant plusieurs années à l'université catholique d'Hanoï, en
Indochine. Sa mère, Paule Guilloteaux, est la fille de Jean Guilloteaux, député puis
sénateur du Morbihan. Sa grand mère paternelle, Marie Bazin, n'est autre que la sœur du
romancier et académicien, René Bazin.
Une jeunesse douloureuse
Il passe son enfance à Marans, dans la propriété du Patis, où il s'oppose à sa
mère qui était une femme autoritaire et très dure. Il fugue plusieurs fois pendant son
adolescence et refuse l'enseignement catholique en droit qu'on lui impose. L'année de
ses vingt ans, il rompt avec sa famille, puis part étudier à la faculté de lettres de la
Sorbonne. Malgré les souvenirs douloureux de son enfance, il reste toute sa vie très
attaché à sa région natale où il situe bon nombre de ses romans.
Son oeuvre
Des débuts chaotiques
Durant quatorze ans, il exerce un très grand nombre de métiers, et, dans
l'angoisse d'être un raté, dans les souffrances d'un divorce et de liaisons
malheureuses, il écrit des poèmes et des romans jamais publiés.
La notoriété
En 1948, il publie Vipère au poing, roman dans laquelle il raconte l'enfance de deux
jeunes garçons sous la coupe d'une mère autoritaire et cruelle, baptisée Folcoche (pour
folle et cochonne!). Vipère au poing est le premier roman d'Hervé Bazin. Celui-ci l'a
rendu immédiatement célèbre. Il a été publié en 1948, et est le premier volet d'une
trilogie qui raconte successivement l'enfance de Jean Rezeau, sa vie de jeune adulte
puis celle d'homme d'âge mûr (jusqu'à la mort de sa mère Folcoche). Cette trilogie (Vipère
au poing, La Mort du Petit Cheval, Le Cri de la Chouette) est très largement
autobiographique. Vipère au Poing a été adapté à la télévision en 1971. Alice Sapritch y
interprète le rôle de Folcoche dans une réalisation de Pierre Cardinal.
On le considère comme LE romancier de la famille. En effet, ses romans abordent
très souvent ce thème, tout en prenant en compte la psychologie des personnages et le
contexte social. Cependant, bien qu'inscrits dans leur époque, ses romans sont d'une
actualité étonnante: les problématiques des relations humaines restent tout à fait
actuelles.
Hervé Bazin a définitivement créé un personnage connu dans le monde entier,
une "Folcoche", portrait universel d'une mère maltraitante. Il déclarera un jour: « Les
enfants privés d’amour se détestent, ne s’aiment pas. Parce que quand on n’est pas aimé,
on croit qu’on n’est pas aimable. »
Questionnaire de lecture 35 points
Vipère au poing de François Mauriac
1.Quels sont les points communs entre le début et la fin du livre ? 2 points
Le début et la fin du livre font référence à une vipère ; celle des premières pages est un animal que
le narrateur tue, celle des dernières pages n'est autre que la mère du narrateur dont il finit par
venir à bout.
2.À quel milieu social appartient le narrateur, justifiez votre réponse ? 2 points
Le narrateur appartient à la haute bourgeoisie de province: sa mère est la fille d'un sénateur, son
père possède une demeure de 32 pièces, la Belle Angerie, des domestiques, des fermiers; il
engage des précepteurs pour ses fils.
3.Faites le portrait de la famille du narrateur en vous aidant des pages suivantes (13, 24, 25,
26). 3 points
Jean Rezeau : dit Brasse-Bouillon, le narrateur, est le second fils de Jacques et Paule Rezeau.
Fils détesté par sa mère, il entre en rébellion avec elle et s’insurge contre son milieu. Il a hérité de
sa mère la dureté de caractère eyt le menton en gondole. Il a une attitude défensive face à sa
mère, pour qu'elle le remarque et pour montrer à ses frères qu'il est plus fort que Folcoche.
Paule Rezeau : Paule Pluvignec, mariée à Jacques Rezeau. Surnommée « Folcoche », abrégé de
« folle » et de « cochonne », elle désire une autorité sans limite sur ses fils qui par conséquent la
détestent. Paule est la fille d’un sénateur yparisien qui lui a imposé un mariage avec une famille
bourgeoise ancienne et respectée : les Rezeau. En plus de ysa cruauté, elle est décrite comme
plutôt sale et terriblement avare. Elle a les cheveux secs et le menton en galoche. Elle a une
passion pour les timbres et les clefs, qu'elle enferme soigneusement dans une armoire dont la
« clef principale » ne quitte pas son « entre-seins ».
Jacques Rezeau : Le père de famille, et aussi le « chef de famille », du fait d'être l'aîné des
Rezeau. Il est professeur en droit et yenseignant en université mais préfère ne plus travailler car
pour lui, avoir un emploi, c'est déchoir. Fier de la gloire de yses ancêtres, c'est avec beaucoup
d'orgueil qu'il se déclare « chef de nom et des armes » de sa famille. Il méprise les « nouveaux
riches » (dont fait partie sa femme) eyt le « petit peuple ». Il est affectueux avec ses enfants mais,
maylheureusement, il ne trouve pas le courage de s'opposer à sa femme qui les martyrise. Alors il
préfère prendre la fuite en se réfugiant dans ses recherches sur les différentes espèces de
mouches ou dans ses explorations terminologiques.
Ferdinand Rezeau : dit Chiffe ou Frédie, il est le frère aîné de Jean. Tout comme son père, il n'a
pas le courage de s'opposer à sa mère et subit sans broncher les mauvais traitements infligés.
Bien que décrit comme une « chiffe molle », il seconde toujours son frère Jean et l'admire pour son
courage et son audace. Mais il n'hésite pas à prendre la fuite dès qu'un danger se présente,
laissant son frère dans l'embarras. Son nez est tordu à gauche depuis son plus jeune âge car il se
mouchait toujours avec la narine gauche ce qui a eu pour effet de lui tordre le nez.
Marcel Rezeau : dit Cropette, il est le troisième et dernier fils de la famille. Né en Chine où ses
parents vivaient alors, il est le seul à avoir été élevé par sa mère, qui montre à son égard une
certaine indulgence. Bien que solidaire en apparence de ses frères, il sait obtenir de sa mère de
petites faveurs, au prix de trahisons. Particulièrement intelligent, il est cependant lâche et
opportuniste.
Les abbés : Ils sont sept à se succéder au poste de précepteur des enfants Rezeau et aumônier
de la famille. Les enfants les surnomment BI, BII, BIII, BIV, BV, BVI, BVI,BVII. Parmi eux, BI, le
Père Trubel, est congédié pour mauvaise conduite avec les filles des fermiers. BVI, le Père
Vadeboncœur, un Canadien tuberculeux, s'attache lui aussi aux enfants. Il est renvoyé en
l'absence de Jacques Rezeau. Et enfin, BVII, le Père Traquet, un abbé cruel et violent choisi par
Folcoche pour « mater les enfants ».
Alphonsine : dite Fine, est la cuisinière sourde et muette de la Belle-Angerie. Folcoche profite de
son handicap pour lui imposer toutes les corvées de la maison avec un salaire frôlant le ridicule.
Elle communique par un ensemble de gestes que les Rezeau ont surnommé le finnois. Son
affection envers les enfants est sans cesse entravée par les manigances de Folcoche qui la
déteste.
Marie Rezeau : Mère de Jacques, elle a élevé ses petits-enfants Jean et Ferdinand quand leurs
parents étaient en Chine. Bien qu'intransigeante sur l'éducation des enfants, elle aime sincèrement
ses petits-enfants qui vivent auprès d'elle une existence heureuse. Son décès d'une crise d'urémie
provoque le retour des parents à la Belle-Angerie et constitue ainsi l'introduction, l'élément
« déclencheur » du roman.
4.En quelle année commence le récit (page 22) ? 0,5 point
Le récit débute en 1922, durant l'été.
5.Quel est le surnom du narrateur ? 0,5 point
On le surnomme Brasse-Bouillon. Pour comprendre ce surnom, il faut le remettre dans le contexte
familial et aussi campagnard local. D'abord "brasser" veut dire remuer, agiter. Quant au "bouillon" il
peut s'agir bien sûr d'une soupe très chaude. "Brasse-bouillon" ferait donc référence à quelqu'un
qui a tendance, quand l'atmosphère chauffe, à bien remuer c'est-à-dire à en rajouter au lieu de
laisser les choses se calmer. Une allusion très claire au caractère rebelle, insoumis, insolent, rétif
de l'enfant ainsi surnommé, et aussi à son tempérament "chaud devant", émotif, impulsif etc.
Autre possibilité : "Bouillon" désigne aussi, dans les langues d'oil du Grand Ouest, la bouillasse, la
boue etc. "Brasser" veut dire, dans les patois de ces régions, "gicler, faire gicler, en mettre partout
autour de soi, projeter (avec les bras)" etc. Or la famille habite dans cette région et les expressions
locales y sont très vivantes dans les années 20. "Brasse-bouillon" peut ainsi désigner dans ce cas
un enfant qui "saute dans les flaques de boue" - en en mettant bien partout et en éclaboussant les
autres. Le sens redevient le même que précédemment : il désigne un enfant au fort tempérament,
vif et plein d'énergie, et qui a tendance à "foutre la merde" en bon français, bref rebelle, insoumis,
insolent, rétif... levant l'étendard de la révolte contre l'oppression.
6.Pourquoi les enfants ont-ils été confiés à leur grand-mère ? 1 point
Les deux aînés, Jean et Ferdinand, ont été confiés à leur grand-mère car leurs parents sont partis
en Indochine pour le travail du père. Il s'agissait également de les enlever à leur mère maltraitante.
7.Montrez que le narrateur garde un souvenir ému de sa grand-mère. 1 point
La petite enfance sous la garde de la grand-mère est liée à d'heureux souvenirs. Son décès dans
le chapitre III est vêcu comme une tragédie; "Ah! Certes, elle n'avait pas le profil populaire de
l'emploi, ni le baiser facile, ni le bonbon à la main. Mais jamais je n'ai entendu sonner de toux plus
sincère, quand son émotion se grattait la gorge pour ne pas faiblir devant nos effusions. [...]
Grand-Mère mourut. Ma mère parut. Et ce récit devient drame.""
8.Comment se passent les retrouvailles avec la mère (page 22), justifiez. 1 point
Les deux garçons sont surexcités à l'idée de voir leur parents; en se jetant dans ses jambes, ils
empêchent ainsi leur mère de descendre du train. Celle-ci les giffle violemment et leur fait porter
ses bagages. Ilss'agit donc de retrouvailles très brutales.
9.Quel âge a le narrateur au retour de sa mère ? 0,5 point
Le narrateur a alors 8 ans;
10.Relevez trois passages qui soulignent l'humour du texte. 2 points
Page 22 :"Celle (la valise) qui m'échut était beaucoup trop lourde pour mes huit ans. Un coup de
talon dans le tibia me donna des forces."
Pages 24-25 :"Je ne crois rien pouvoir ajouter à ce tableau, sinon qu'elle avait de larges mains et
de arges pieds, dont elle savait se servir. Le nombre de kilogrammètres dépensés par ces
extrêmités en direction de mes joues et de mes fesses pose un intéressant problème de gaspillage
de l'énergie."
Page 27:"Fine ... ne l'était guère. Il faut dire à sa décharge qu'elle était sourde et muette et au
service de la famille depuis une trentaine d'années, ce qui eût largement suffi à l'abrutissement
d'une personne normale."
11.Que pensez-vous de l'éducation du narrateur et de son frère Félix ? 2 points
L’enfance brimée : 05h00
On se lève, on fait son lit, on se lave.
Messe et action de grâce. On apprend
ses leçons.
08h00
Petit déjeuner. Une demi-heure de
récréation en silence.
09h00
Travail jusqu’au déjeuner avec un quart
d’heure d’arrêt vers 10h. Déjeuner. Une
heure de récréation en silence.
13h30
Travail jusqu’au dîner interrompu par
un goûter à 16h. Dîner au cours duquel
on ne parle qu’anglais. Prière du soir à
la chapelle.
21h30
Coucher.
Les enfants travaillent donc 9h par jour, et des contraintes pèsent sur leurs repas.
Nous voyons donc à travers ce tableau le rythme de vie des enfants. Il est très soutenu et très dur!
C’est un travail pénible à fournir pendant 9h par jour. De plus, les seuls moments de «pauses»
auxquels ils ont droit, doivent se dérouler en silence. A table, moment durant lequel la
communication devrait s’effectuer sans retenue, ils sont contraints à parler en anglais et seulement
pour répondre à des questions; lancer des discussions leur été interdit (p. 31).
L’écrasement de Folcoche est tel qu’elle exige la même coupe de cheveux pour tous, c’est-à-dire
tondus (p. 32). Cet acte nous a fait penser au règlement des prisons dans lesquelles chaque
prisonnier dont avoir les cheveux courts. C’est ce qu’a sûrement voulu montrer Bazin, à quel point
cette maison était devenue une prison pour chacun d’eux.
12.Pourquoi le frère plus jeune jouit-il d'un traitement de faveur de la part de la mère ? 1 pt.
C'est le dernier né, il a été élevé par sa mère car il est né à l'étranger. Il n'est sans doute pes le fils
de monsieur rézeau d'où le traitement de faveur dont il jouit.
13.À quoi la mère est-elle comparée au début du chapitre VII ? 0,5 pt.
Elle est comparée à une gardienne de prison pour femmes.
14.Pourquoi la mère invente-t-elle la pratique de la confession publique (pages 40 à 42)?
1 pt.
Elle invente cette pratique afin de connaître toutes leurs bêtises et de mieux pouvoir les punir.
15.De quel sentiment qui grandit est-il question dans le premier paragraphe de la page 52 ?
1 point
Il s'agit d'un sentiment de haine qu'éprouve de plus en plus Jean envers sa mère.
16.Expliquez ce qu'est la scène de la pistolétade (page 52). 1 point
Le pistolétade consiste pour Jean à fixer sa mère le plus longtemps possible dans les yeux sans
baisser le regard.
17.Quel moyen la mère a-t-elle trouvé pour réduire les dépenses vestimentaires à l'occasion
de la réception annuelle (page 58) ? 1 point
Elle a acheté un seul costume pour ses trois fils qui le portent à tour de rôle pendant la réception,
chacun attendant son tour diismulé aux yeux des invités.
18.Pourquoi la mère ne veut-elle pas se faire opérer de la vésicule biliaire ? 1 point
Elle ne veut pas qu'on la voie affaiblie, ni quitter sa maison afin de continuer à exercer son pouvoir
de tyran.
19.La mère éprouve cependant une certaine forme d'admiration pour le narrateur,
pourquoi? 1 point
Elle éprouve une certaine forme d'admiration car c'est le seul qui a le courage de l'affronter.
20.Comment les enfants réagissent quand leur père leur apprend que leur mère peut
mourir? (page 77). 1 point
Ils exultent et se mettent à chanter : "Folcoche va mourir".
21.Qu'est-ce qu'une coalition (page 85)? 1 point
Il s'agit de l'alliance de plusieurs personnes pour affronter un adversaire.
22.Pourquoi la mère est-elle obligée de changer de tactique à partir du chapitre XIII et
laquelle va-t-elle employer ? 1 point
L'alliance de ses enfants la met en difficulté, elle s'efforce donc de les diviser pour reprendre le
pouvoir.
23.Pourquoi le père ne travaille-t-il pas ? Que fait-il à la place? (page 119) 1 point
Il n'a pas besoin de travailler car il peut vivre de ses rentes. A la place, il se passionne pour l'étude
des insectes (l'entomologie).
24.Par quel procédé le narrateur fait-il participer le lecteur au récit (page 122) ? 1 point
Il interpelle le lecteur : "Ne craignez rien" pour le faire participer au récit.
25.chapitre XVI, à quelles extrêmités en arrivent les enfants ? 1 point
Ils en viennent à imaginer de la tuer en cherchant à la noyer.
26.Qu'est-ce qu'une "maison de correction" ? Comment la mère s'y prend-elle pour tenter
d'y envoyer le narrateur ? 1 point
Il s'agit d'une institution aux règles très strictes destinée à réinsérer des mineurs posant des
problèmes de discipline et de petite délinquance. La mère dissimule un porte-monnaie dans la
chambre du narrateur pour l'accuser d'avoir volé et pouvoir l'envoyer en maison de correction.
27.Comment le narrateur gagne-t-il la bataille? 1 point
Folcoche cache une grosse somme d’argent dans la chambre de Jean et espère ainsi le faire
accuser de vol. Mais elle ne voit pas que celui-ci l’épie. Avant même qu'elle ne donne l’alerte pour
ce vol, Jean lui rapporte la liasse de billets, et pour la première fois, lui montre clairement qu'il n'a
plus peur d’elle ! Menacée par son fils de révéler cette affaire à tous les membres de la famille, il
exige de quitter la maison pour devenir interne au collège. Acculée, Folcoche ne peut qu’accepter :
Jean a enfin gagné.
28.Pourquoi la mère dit-elle page 184 :"Je te prédis, moi, ta mère, un avenir dont tu n'auras
pas le droit d'être fier ." 1 point
Elle est certaine qu'il tournera mal et deviendra un délinquant.
29.Que représente la vipère dans le dernier paragraphe? 1 point
Cette vipère représente la mère du narrateur. Le fait qu'il marche une vipère au poing, signifie qu'il
en est devenu le maître, qu'il est sorti vainqueur de leur combat.
30.Que pensez vous de cet ouvrage ? Justifiez (8 lignes minimum). 2 points

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