Erratum 400 QCM ULM

Transcription

Erratum 400 QCM ULM
400 questions pilote ULM
Réf. 1039 / août 2013
Erratum
Page 18. Question CG n°36. La réponse dans l’ouvrage est juste, seul le commentaire a été réécrit.
Le manche commande les axes de roulis et de tangage. Dans cette question, nous nous intéressons au roulis,
donc aux mouvements vers la droite et vers la gauche qui, en agissant sur les ailerons, provoquent l’inclinaison.
En virage, l’aile extérieure parcourt davantage de chemin que l’aile intérieure : elle va donc plus vite que l’autre.
Conséquence, l’ULM s’incline toujours davantage. Il faut donc légèrement contrer ce mouvement en ajustant au
manche. Sur le plan mnémotechnique, il suffit de se rappeler qu’il s’agit d’un «roulis induit» et qu’il faut donc le
gérer avec la commande de «roulis», c’est-à-dire le manche. Enfin, ce roulis induit ne doit pas être confondu avec
le «lacet inverse» qui est dû au surcroit de traînée de l’aile montante et qui doit être géré aux palonniers.
Page 22. Question CG n°53. La réponse dans l’ouvrage est juste, seul le commentaire a été réécrit.
Le lacet inverse est un phénomène qui se manifeste, en virage, par une tendance de l’appareil à tourner son nez
vers l’extérieur du virage. Le mouvement de lacet n’est pas cohérent avec la trajectoire. L’axe de l’appareil n’est
pas tangent à la trajectoire. Le vol n’est pas symétrique. La bille est à l’intérieur. La ficelle est à l’extérieur. La
correction à apporter est de mettre du pied à l’intérieur du virage. La vitesse de lacet augmente dans le bon sens.
L’axe fuselage redevient tangent à la trajectoire. Le vol redevient symétrique. La bille est au milieu. Le brain de
laine flotte dans l’axe.
Page 48. Question FH n°1. La bonne réponse est la réponse B.
Les accélérations sont des phénomènes complexes ressentis par le corps sur les trois axes avant/arrière, droite/
gauche et tête/pieds. Seules les accélérations radiales liées au facteur de charge peuvent éventuellement
engendrer des conséquences physiologiques importantes en provoquant des accumulations de sang dans le bas
et le haut du corps selon leur orientation. On parle alors des « G » positifs (le sang monte au cerveau et peut
engendrer le voile noir) ou négatifs (le sang s’éloigne du cerveau et peut créer un voile rouge). Les effets des
accélérations sur le corps humain dépendent de la vitesse d’installation, de l’intensité et de la durée de
l’accélération. L’intensité ne doit pas être confondue avec la puissance nécessaire au maintien de la vitesse.
Page 59. Question COM n°7. La bonne réponse est la réponse A.
Suite à l’accident de Ténériffe en 1977, l’accent a été mis sur les causes linguistiques des catastrophes aériennes.
Autrefois, le mot «autorisé» était réservé aux contrôleurs. Les pilotes ne devaient pas l’employer dans leurs
collationnements. Toutefois, pour lever tout doute, la règlementation est revenue sur le sujet et permet
désormais l’emploi du mot autorisé exclusivement pour les phases de décollage et d’atterrissage. Voir l’arrêté du
27 juin 2000 modifié, relatif aux procédures de radiotéléphonie, l’usage de la circulation aérienne générale (p.
15).
Page 61. Question COM n°18. La bonne réponse est la réponse B.
Une croyance très répondue semble laisser penser que les pilotes ne devraient pas utiliser le mot «autorisé» dans
leurs collationnements. La règlementation permet depuis 2000 l’emploi du mot «autorisé» mais exclusivement
pour les phases de décollage et d’atterrissage. Voir l’arrêté du 27 juin 2000 modifié, relatif aux procédures de
radiotéléphonie, l’usage de la circulation aérienne générale (p. 15).
Page 89. Question MTO n°28. Le commentaire est juste mais la bonne réponse est la réponse C.
Page 115. Question NAV n°37. Le commentaire est juste mais la bonne réponse est la réponse D.