La femme est un surhomme… Chaque femme est une fleur, Un

Transcription

La femme est un surhomme… Chaque femme est une fleur, Un
La femme est un surhomme…
Chaque femme est une fleur,
Un nectar, un concentré de douceur,
Et quiconque voudra la cueillir,
Devra savoir l'enchanter, la séduire.
Telle une orchidée, rare et infinie,
II devra l'entourer de chaleur.
Pour qu'aux douze coups de minuit,
Elle demeure Princesse au royaume du Bonheur.
La femme est bien l'égale de l'homme,
Ne vous y trompez pas : Elle est bien plus que cela en somme,
Bien inférieur celui qui ne veux pas le croire,
L'affirmant haut et fort, ne peut être qu'une poire.
Car aujourd'hui, et ce depuis fort longtemps,
Jamais l'homme n'aurait vu le jour, sans une simple maman.
L'homme ne critique que sa femme, et non sa mère,
Celui à blâmer dans cette sinistre affaire,
N'est autre que le gredin de compagnon,
Qui n'a pas su choisir la bonne direction.
Ainsi, le « non !» aurait-il été prononcé en son temps,
Celui-ci n'aurait pas à la critiquer autant...
Moi, je vous le dit,
Tout homme que je suis,
L'Homme est un sinistre gredin,
Et cela ne changera pas demain !
Robert Clémar