Lw - Oct 2010 - Les Tontons Tourneurs

Transcription

Lw - Oct 2010 - Les Tontons Tourneurs
Lw - Oct 2010
Lidwine / Ocean Music
‘Until The Light Comes’ opens this French multi-instrumentalist’s debut EP with the sound of a scratchy record, over
which early morning sounds of awakening birds and owls mix with a gentle, evocative fute/clarinet before Lidwine’s
little girl voice (think Bjork-meets-Kate Bush) foats into the room with a fairy tale of a sleeping princess…a lovely
introduction to her romantic take on feminine angst. Tales of loneliness, yearning, reassurance, and hope are woven
around quirky percussives, bubbling electronics, and her soothing harmonium to paint a picture of a young girl in love
with life, seeking the perfect companion to share her “strange behaviour and weird sense of humour” (to quote ‘In The
Half-Light’, a personal favourite).
The harmonium backing and treated vocal pyrotechnics on the eerie ‘Animosity’ recall the best of Ms. Bush, and the
entire EP emits beckoning warmth that suggests Lidwine has more tricks up her sleeves. Hopefully a full-length is in
the ofng soon; in the meantime, fans of Kate Bush and Bjork will do well to seek this out . (Jef Penczak)
January 2nd 2011
Sometimes, comparisons are unavoidable and it’s a fate which will doubtless undermine what Lidwine has achieved.
Close your eyes when listening to her frst EP and you can imagine listening to some lost Björk tracks from the 1990′s.
This is not just because this French lady is a quirky singer-songwriter but she also sounds just like her. A shame,
because the quality of this EP is superb.
‘Until The Light Comes’ overdoes the elongated vowels but the song is an atmospheric slow-builder and a useful scene
setter for what is to follow. Arguably the most stunning moment is reserved for ‘A Resonance Of Myself’,
which features Lidwine’s quivering emotional vocals balanced perfectly atop some gently bubbling electronica. On ‘In
The Half Light’, lyrics such as “If I freak you out with my weird sense of humour” sees the artist acknowledge her
idiosyncracies; the chorus is wonderfully warm and the fnal two songs continue the trend with surprise melodic twists
and emotion aplenty.In fact each track is excellent and exquisitely arranged, marking out Lidwine as a talent to watch
for 2011 and beyond. Whisper it quietly but even if this record may be reminiscent of Björk, it has an intimacy and
likeability which the Icelandic artist lost over a decade ago.
January 28th 2011
Below is an excerpt about Lidwine from her Myspace page, which perked up my interest enough to give her EP a
listen:
'Infuences: Prince, Björk, Kate Bush,Joanna Newsom, Gonjasuf
Sounds Like: A strong wind blowing on an unpredictable sea'
Now I'm going to have a hard time improving on the comparisons that those two simple lines draw because they are
wholly accurate. There is no hiding the fact that Lidwine delivers a very similar quirky, elongated vocal to that of
Iceland's favourite export. Lidwine does though manage to draw you to her music rather than just make you reach for
'Vespertine'.
Lidwine released her debut EP 'Lw' in October 2010, it's a twenty minute journey of bewitching yet beautiful slowburning electro-folk with a sound that could soundtrack a Tim Burton movie or an eerie children's fairy tale by Grimm
Brothers. There is a natural, forest like, breathy sound to the music.
Using many traditional instruments with beautiful results, harp and harmonium especially creating some delicate
and delightful moments, like on this track of the EP, "Animosity".
"In The Half-Light" is another perfect example, the haunting, delicate vocals, luscious soundscapes with
beautifully arranged harmonium melodies and a glorious choir. You can watch the video of the track here.
Lidwine ne devrait plus être un mystère car vous l'ayant déjà présentée il y a un peu plus d'un mois sur la suite de
WMIMM. Au contraire de l'artiste qui se montre assez réservée vu le peu d'informations qui sont mises à disposition.
La jeune femme, qui a signé récemment sur le label Ocean Music, a fait paraître le 18 octobre 2010 un premier mini
album tout simplement nommé Lw. Cette multi instrumentaliste spécialisée dans la harpe : (auto) harpe, Taishōgoto
(sorte de harpe japonaise), harmonium, etc. a réussi à créer un univers musical qui sort de l'ordinaire au sein de la scène
musicale française. Entre pop électronique et folktronica, l'artiste suit les pas de ses prestigieuses aînées : Björk et en
particulier sa compatriote Emilie Simon, tout en se montrant capable d'imposer sa propre vision créatrice.
Entourée d'une équipe de musiciens solide : Renaud Gabriel Pion (clarinette), Paul Jothy (batteur et
percussionniste), Jérémie Poirier-Quinot (fûtiste), François Villevieille (violoniste), etc. Lidwine a créé un premier essai
étonnamment abouti et désaltérant. En efet, Lw ofre des superbes mélodies vénéneuses et entêtantes, des atmosphères
ténébreuses et voluptueuses et, cerise sur le gâteau, met en évidence les vocalises à la fois sensuelles et fragiles d'une
artiste dont l'imaginaire est à la fois piquant et soyeux. Un seul conseil : succombez à sa musique enchanteresse
et saisissante, il vous sera quasi impossible d'être déçu.
Lidwine a sorti l'un des (mini) albums les plus intéressants et inattendus de cette fn d'année nous faisant croire à juste
titre que la scène française est capable de se frotter aux anglais et américains sans aucunement rougir. Il sera aisé de vous
immerger avec délice dans son univers musical harmonieux, sombre et fantasque.
4 Janvier 2011
Le plus dur, quand on est un artiste émergeant, c'est sans doute de se créer une identité, de se démarquer du
lot, de montrer d'emblée qu'on a du talent. Lidwine a tout ça. On a l'impression qu'elle vient de nulle part, et
pourtant en écoutant le premier EP sobrement intitulé 'Lw' de cette multi-instrumentiste, on se dit qu'elle joue
non seulement fort bien mais aussi depuis fort longtemps.
En l'espace de 6 titres, Lidwine parvient à nous entraîner avec elle dans un univers envoûtant, qui commence
avec des instruments à vent, des bruits de la forêt, un peu comme Pierre et Le Loup de Prokofev. A la
diférence près que la musique de Lidwine est bien plus Pop, et évoque très vite, c'est impossible de ne pas le
dire, la musique de Björk, et notamment ce que l'Islandaise avait fait sur la bande originale du flm 'Selma
Songs'. On pense aussi dans une moindre mesure à Emilie Simon .
Si la comparaison est lourde, elle est entièrement assumée, digérée, car Lidwine n'a absolument rien d'une
Björk au rabais. Elle fait au contraire preuve d'une étonnante maturité. A l'image de 'Until Light Comes' qui
ouvre le disque, chacune de ses chansons est un petit moment de grâce, subtil et enivrant. Qu'elle repose sur les
instruments classiques (la harpe, son instrument, accompagnée de violons, fûtes et clarinettes) ou bien sur les
voix (les choeurs de 'The Coast'), Lidwine confère à chacune de ses compositions quelques chose de féerique,
hors du temps. On se délecte de la volupté avec laquelle elle interprète des chansons telles que 'In The HalfLight' avec cette voix qu'elle a aussi fort belle.
Chroniqué sur le tard, 'Lw' est peut-être tout simplement l'EP de l'année 2010. 21 minutes de soufe épique...
On espère qu'un album viendra vite.
11 Mai 2011
Lidwine, on l’a découverte en concert et ce fut un coup de cœur immédiat pour sa musique, avec tous ses instruments un
peu étranges à commencer par l’harmonium indien, qui est à l’honneur dans cette session, et pour sa très belle voix, dont
le timbre rappelle beaucoup Björk. Musicalement la proximité existe aussi et il serait donc facile de se limiter à cette
comparaison mais pour peu qu’on prenne le temps d’écouter son premier EP ( disponible sur deezer) et de la voir en live,
on s’aperçoit très vite qu’on est loin de la copie carbone.
Et surtout la qualité des compositions est là, les deux morceaux de cette session, que Lidwine a retravaillés spécialement
pour l’occasion, en sont une preuve magistrale : le son de l’harmonium et la puissance de l’interprétation vocale font
vibrer sur The Coast et sur In The Half-Light on touche au sublime quand les voix de Lidwine et de ses choristes
résonnent sous la voute de la très belle église Saint Jean Bosco.
Mars 2011
22 Oktober 2010
Aufgepasst, hier kommt wieder ein kleines Juwel, welches entdeckt werden möchte: Die Rede ist von der französischen
Musikerin Lidwine, die noch vor ein paar Monaten wohl niemand auf dem Radar hatte. Das dürfte sich bald ändern,
denn mit ihrer Debüt EP “Lw” ist ihr buchstäblich ein traumhafter Start gelungen. Man weiß gar nicht, wo man
beginnen möchte: Bei der instrumentalen und stilistischen Vielfalt oder bei dieser bezaubernden Stimme, die gleich
mehrere déjà-vu-Erlebnisse auslöst. Wo ordnet man das Kleinod ein? Am besten irgendwo zwischen Jazz, Chanson,
Alternative, Pop und Electronic… wenn das ausreicht.
Lidwine ist eine begabte Multiinstrumentalistin, die sich m it Renaud Gabriel Pion an der Klarinette, Paul Jothy am
Schlagzeug und Jérémie Poirier-Quinot an der Flöte namhafte Verstärkung für die Aufnahmen herangeholt hat.
Zusammen haben sie sechs kleine Klangwelten erschafen, die zwischen Soundtrack, Melancholie und Leichtherzigkeit
pendeln. Und dann diese Stimme! Fragil, magisch, zart. Es ist so, als fndet hier eine zaghafte Annäherung der Alben
“Vespertine” und “Felt Mountain” statt. Richtig, die Rede ist von BJÖRK und GOLDFRAPP, ich persönlich erkenne
noch ein paar Töne von SULLYs Becke Gainforth. Musik zum Abtauchen, für das Kopfkino oder diesen angenehmen
Schwebezustand, den man beim Schließen der Augen spürt.
Hier gilt nur eins: Zugreifen und Mundpropaganda! Wer auch nur ein Quentchen Begeisterung für die Isländerin
übrig hat, kommt ab sofort auch an der Französin mit der goldenen Stimme nicht vorbei. Was “Lw” mit gerade mal 6
Songs in 21 Minuten schaft, schafen andere Alben nicht mal in der dreifachen Zeit. Deshalb sofort reinhören, kaufen
und unten noch das Video ansehen!