Transmettre son entreprise
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Transmettre son entreprise
2007 Transmettre son entreprise : Le choix des stratégies fiscales La fin de l’amateurisme face à la complexité des textes dossier spécial Transmettre son entreprise Le choix des stratégies fiscales SOMMAIRE 1. Vous transmettez votre entreprise par donation 1.1. Comment réduire les droits de donation ? 1.2.Comment réduire, voire éviter, l’imposition des plus-values ? 2. Vous cédez votre entreprise 2.1. Comment chiffrer le coût des droits d’enregistrement supportés par l’acquéreur ? 2.2. Comment seront taxées à votre niveau les plus-values dégagées par la cession ? 2.3.Comment alléger les problèmes financiers du repreneur ? p5 p5 La fin de l’amateurisme face à la complexité des textes p6 p7 p7 p8 p9 3. Comment faire face à l’ISF après l’arrêt de votre activité professionnelle ? p9 4.La fiscalité n’est qu’une problématique parmi d’autres dans le domaine de la transmission p9 Transmettre son entreprise Le choix des stratégies fiscales la fin de l’amateurisme face à la complexité des textes Lorsque vous envisagerez votre arrêt d’activité professionnelle, vous aurez le choix entre transmettre votre entreprise par donation, si vous avez la satisfaction de trouver un repreneur à l’intérieur de votre cercle familial ou céder votre affaire à un tiers. Mais vous pourrez aussi envisager de vendre votre patrimoine professionnel à un membre de la famille. Si votre entreprise est exploitée sous forme de société et que sa transmission est envisagée dans le cadre familial, vous serez peut-être tenté de vendre une partie des droits sociaux et de faire donation du reste. Cette méthode permet d’éviter que le repreneur ne se voit attribuer à titre gratuit un lot excédant largement ses droits successoraux, ce qui conduirait à terme au règlement souvent problématique d’une soulte. Cette solution « mixte » est quelquefois recherchée également pour permettre aux parents qui transmettent leur entreprise par donation de se constituer un patrimoine, donc une sécurité financière. Ainsi, les techniques de transmission ne manquent pas et les combinaisons entre elles sont multiples. Mais qu’il s’agisse d’une entreprise individuelle ou d’une société, que la transmission s’effectue par donation ou par vente, que le repreneur soit un membre de la famille ou un tiers, le chef d’entreprise se trouve confronté à un problème redoutable : comment « naviguer » dans l’océan fiscal dans lequel les nouvelles dispositions légales nous plongent ? Depuis l’apparition de ces dernières, votre expert-comptable dispose, certes, d’un arsenal législatif impressionnant pour réduire très sensiblement le coût fiscal d’une transmission, mais la manipulation des nouveaux outils est délicate. Parmi les régimes de faveur qui se sont multipliés, certains se cumulent d’autres s’excluent, d’autres encore se combinent… La complexité du dispositif fiscal s’est malheureusement élevée à la hauteur des performances espérées. Aussi, faut-il que vous soyez bien accompagné dans l’opération pour utiliser la meilleure configuration des textes, en fonction de vos données personnelles. Seul un examen approfondi de votre situation, de vos objectifs familiaux et patrimoniaux par un professionnel averti peut vous permettre de trouver la voie fiscale la mieux adaptée. Pour que vous ayez une idée de la complexité des textes fiscaux régissant ce domaine et pour vous convaincre que le règne de l’amateurisme est désormais révolu, parcourons ensemble les hypothèses qui peuvent vous concerner. 1. Vous transmettez votre entreprise par donation Cette opération produit des effets sur deux registres de la fiscalité. Le bénéficiaire de la transmission va être confronté au paiement des droits de donation (§1.1.), tandis que le donateur que vous êtes, risque dans certains cas d’être redevable d’un impôt sur les plus-values au titre des biens donnés (§1.2.). Sur chacun de ces deux registres, les possibilités de réduire, voire de supprimer le coût fiscal sont multiples ; encore faut-il que vous sachiez ne pas passer à côté des opportunités récemment offertes et satisfaire aux conditions exigées. 1.1. Comment réduire les droits de donation ? Tout d’abord, notons qu’au regard des droits d’enregistrement, d’une manière générale, le coût de transmission par donation s’avère bien moins élevé que celui résultant d’une succession. Cette règle est vérifiée naturellement tant pour la transmission d’une entreprise individuelle que celle portant sur des parts ou des actions. La réduction des droits de 50 %, lorsque le donateur a moins de 70 ans, la prise en charge des droits par ce dernier, la réserve d’usufruit, sont autant de facteurs d’allègement des coûts. A cela s’ajoutent d’autres possibilités de réduction de droits propres aux transmissions d’entreprises. L’article 787C CGI pour les entreprises individuelles et l’article 787B CGI pour les sociétés, sous certaines conditions, réduisent les bases taxables, tant en donation qu’en succession de 75 % ! Cette réduction de base, cumulée à la réduction de droit de 50 % prévue pour les donations en général, lorsque le donateur a moins de 70 ans, peut ramener les droits de donation à 2,5 % de la valeur de l’entreprise, voire à 0, si l’on utilise l’abattement de 50 000 € visé à l’article 779.1 CGI pour la transmission en ligne directe. D’autre part, l’article 790A CGI institue sous certaines conditions une exonération totale des droits sur les donations en pleine propriété consenties aux salariés de fonds de commerce, de clientèle d’une entreprise individuelle ou de parts ou actions de sociétés (à concurrence de la fraction de la valeur de titres représentative du fonds ou de la clientèle). Vous noterez que ce dispositif s’applique même si le salarié est un membre de votre famille. Néanmoins, le bénéfice de cette mesure réservée aux opérations portant sur des fonds ou clientèles dont la valeur est inférieure à 300 000 €, ne se cumule pas avec les dispositions des articles 787B et C évoqués précédemment. Il vous faudra donc opter entre ces deux systèmes si vous remplissez les conditions d’accès à ces régimes. Observez d’autre part, que les droits de donation portant sur une entreprise individuelle ou sociétaire peuvent être acquittés sur 15 ans (dont 5 ans de franchise) et que le taux des intérêts réclamés par l’Etat pourra être ramené, dans la grande majorité des cas, à 1/3 du taux légal, soit à 0,7 % pour 2006 ! Enfin, mentionnons que ces droits de donation, même dans l’hypothèse d’un paiement sur 15 ans, viendront immédiatement en déduction des bénéfices imposables du repreneur s’il recueille une entreprise individuelle soumise aux BIC (Bénéfices Industriels et Commerciaux), BNC (Bénéfices Non Commerciaux) ou BA (Bénéfices Agricoles) ou s’il reçoit des parts d’une société relevant des mêmes régimes fiscaux. 1.2. Comment réduire, voire éviter, l’imposition des plus-values ? Observons en premier lieu, que la transmission à titre gratuit de parts ou d’actions de sociétés relevant de l’impôt sur les sociétés ne donne pas lieu à imposition de plus-values. Seules, les donations ou successions portant sur des entreprises individuelles ou des parts ou actions de sociétés relevant du régime de BIC, BNC ou BA sont susceptibles de générer une taxation. Mais plusieurs textes, dont certains récemment modifiés, d’autres totalement nouveaux, viennent introduire des exonérations totales ou partielles de ces plus-values : • Si votre entreprise individuelle ou sociétaire relevant des BIC, BNC ou BA est rangée dans la catégorie des « petites entreprises » au regard Transmettre sereinement des dispositions de l’article 151 septies CGI, les plus-values résultant de la donation seront soit totalement, soit partiellement exonérées, selon le niveau du chiffre d’affaires de votre exploitation ; • Si votre entreprise ne répond pas aux conditions de l’article 151 septies ou si l’exonération permise par cet article n’est que partielle, votre expert-comptable vous conseillera sans doute, d‘utiliser le dispositif de l’article 41 CGI qui instaure un report d’imposition des plus-values, lequel pourrait se transformer en une exonération totale et définitive, si le donataire conserve l’entreprise individuelle et l’exploite personnellement pendant au moins 5 ans. A l’image du système prévu par l’article 41 CGI, l’article 151 nonies II CGI instaure également un mécanisme de report susceptible de déboucher sur une exonération définitive, lorsque la donation porte sur des parts de sociétés relevant des BIC, BNC ou BA ; • Votre expert-comptable mesurera l’opportunité de recourir plutôt au dispositif de l’article 238 quindecies CGI (dit dispositif Sarkozy) dans l’hypothèse où l’article 151 septies CGI s’avérerait peu performant ou inapplicable dans votre cas et que le recours à l’article 41 CGI n’est pas tenté en raison du risque de voir le repreneur cesser d’exploiter dans les 5 ans de la donation. En cas d’option pour le régime de l’article 238 quindecies, la plus-value constatée sur les éléments du fonds de commerce, s’agissant d’une entreprise individuelle ou sur les parts de sociétés BIC, BNC ou BA peut être exonérée totalement si la valeur du fonds ou des parts n’excède pas 300 000 € et partiellement si elle est comprise entre 300 000 € et 500 000 €. Au-delà de cette limite, ce régime n’est plus applicable. Vous noterez par ailleurs que ce dispositif peut être plus performant dans certains cas, que les deux autres au regard des plus-values sur fonds de commerce. Son application n’est par contre, pas étendue aux immeubles professionnels. Ainsi le choix entre les trois régimes ne peut raisonnablement s’opérer qu’auprès des simulations chiffrées propres à chaque cas par votre expert-comptable. Enfin pour brouiller encore les pistes du fiscaliste amateur, le législateur qui interdit le cumul entre les trois régimes précédents, permet par ailleurs de cumuler le régime qui aura été choisi parmi ces trois derniers avec un régime totalement nouveau, instauré à l’article 151 septies B CGI, s’appliquant exclusivement aux plus-values constatées sur les immeubles professionnels. En effet, à l’instar de ce qui existe en matière de plus-values immobilières des particuliers, un abattement de 10 % par année de détention au-delà de la 5ème année pourra être ainsi appliqué sur la partie long terme des plus-values immobilières professionnelles. A chacun, sa meilleure combinaison ! 2. Vous cédez votre entreprise Dans ce scénario également, il faut affronter la ponction fiscale opérée au titre des droits d’enregistrement et généralement supportée par l’acquéreur (2.1.). A celle-ci vient se cumuler celle opérée au titre de la taxation des plusvalues dont vous devriez assumer la charge en tant que cédant (§2.2.). D’autre part, on ne peut éviter d’évoquer les aspects fiscaux des problèmes rencontrés par l’acquéreur confronté au financement de son acquisition (§2.3.). 2.1. Comment chiffrer le coût des droits d’enregistrement supportés par l’acquéreur ? Le coût est variable selon qu’il s’agit de la cession d’une entreprise individuelle ou d’une entreprise sociétaire et, dans cette dernière hypothèse selon que la société est une société anonyme ou non : • Si vous cédez une entreprise individuelle, l’acquéreur devra acquitter des droits de mutation sur les éléments composant le fonds de commerce calculé au taux 0 pour la tranche de prix allant de 0 à 23 000 € et au taux de 5 % au-delà ; le tarif applicable est de 5,09 % pour les immeubles ; • Si vous cédez des droits sociaux, autres que des actions, il sera dû un droit d’enregistrement calculé au taux de 5 % ; • Si enfin, vous cédez des actions, les droits seront calculés au taux de 1,1 % seulement et plafonnés à 4 000 €. Observation étant faite que si la société est assimilée à une « société à prépondérance immobilière » au regard des droits d’enregistrement, le taux applicable sur la valeur des actions vendues est de 5 %, sans aucune limitation. Demandez donc à votre expert-comptable de se prononcer sur la qualification fiscale de votre société anonyme. Trop souvent, le taux de 1,1 % avec application du plafond de 4 000€ est appliqué par erreur. Erreur d’autant plus fréquente que la notion de « société à prépondérance immobilière » est différente selon que l’on se trouve sur le registre des droits d’enregistrement ou sur celui de la taxation des plus-values ! 2.2.Comment seront taxées à votre niveau les plus-values dégagées par la cession ? Ces plus-values sont soumises à un régime distinct selon que vous cédez une entreprise individuelle, des parts de sociétés BIC, BNC ou BA ou des parts ou actions de sociétés relevant de l’impôt sur les sociétés. • Si vous cédez une entreprise individuelle ou des parts de sociétés BIC, BNC ou BA : Vous pourrez bénéficier totalement ou partiellement des exonérations prévues, soit à l’article 151 septies (régime des petites entreprises), soit à l’article 238 quindecies évoquées précédemment, étant précisé que : - Si ces régimes ne permettent qu’une exonération partielle ou aucune exonération (en fonction du niveau du chiffre d’affaires pour l’article 151 septies ou en fonction de la valeur du fonds de commerce ou des parts pour l’article 238 quindicies), on peut utiliser le nouveau dispositif prévu à l’article 151 septies A CGI, conçu en cas de cessions d’entreprise réalisées à l’occasion du départ à la retraite. Cet article permet sous certaines conditions, de bénéficier d’une exonération totale des plus-values réalisées sur les éléments du fonds de commerce, lorsqu’il s’agit d’une cession d’une entreprise individuelle ou de parts, lorsqu’il s’agit de sociétés BIC, BNC ou BA, et ce quel que soit le chiffre d’affaires réalisé et la valeur du fonds ou des parts cédées. A noter que l’exonération issue de ce dispositif ne s’applique qu’au regard de l’impôt sur le revenu calculé au taux de 16 %, mais ne concerne pas les Contributions Sociales dont le taux est de 11 %. - Pour les entreprises individuelles, en cas d’exonération partielle résultant de l’article 151 septies ou en cas d’application du dispositif Sarkozy lequel ne joue que pour les plus-values sur fonds, on peut cumuler l’application de l’un ou l’autre de ces deux régimes avec celui de l’article 151 septies B décrit précédemment et instaurant un abattement pour délai de détention pour le calcul des plus-values imposables sur immeubles professionnels. • Si vous cédez une société relevant de l’impôt sur les sociétés : Vous acquitterez un impôt calculé au taux de 16 % et des contributions sociales dont le taux s’élève à 11 %, ces deux taux étant assis sur le montant des plus-values réalisées lors de la vente des parts ou actions. Mais votre expertcomptable vous expliquera comment échapper à de tels prélèvements dans l’hypothèse où vos droits sociaux sont destinés à être vendus dans le cadre de votre groupe familial. Si la cession projetée ne s’inscrit pas dans un tel contexte, il tentera de vous faire bénéficier alors d’un nouveau dispositif, celui de l’article 150 OD Ter CGI, susceptible de déboucher sur une exonération de l’impôt sur le revenu calculé au taux de 16 %, dans la mesure où vous envisagez un départ à la retraite. Dans le cadre de ce dispositif, votre Conseil saura vous faire éviter les erreurs à ne pas commettre, comme celle consistant par exemple, à partir à la retraite avant d’avoir vendu ! Enfin, il vous expliquera comment, en prenant certaines précautions, vous pouvez échapper à l’impôt sur le revenu (taux de 16 %) et aux contributions sociales (taux 11 %) en faisant précéder la vente d’une donation. 2.3. Comment alléger les problèmes financiers du repreneur ? Lorsque celui-ci contracte un emprunt pour acquérir les parts ou les actions de votre société, il ne peut en général, financer son remboursement que grâce aux revenus qu’il escompte retirer de la société acquise. Or, les revenus qu’il percevra, des dividendes en l’occurrence, devront subir naturellement, des prélèvements fiscaux qui ne manqueront pas de diminuer la capacité de remboursement de l’acquéreur et donc sa capacité d’emprunt. Ainsi, il lui sera vivement conseillé, dans ce contexte, de faire acquérir vos parts ou actions par un « holding de reprise ». C’est celui-ci, dans ce contexte, qui souscrira l’emprunt et qui devra faire face au remboursement grâce à des dividendes. Mais dans un tel schéma, ces derniers échapperont à toutes impositions, grâce à l’option pour le régime « d’Intégration Fiscale » applicable au groupe composé du holding et de la société rachetée. De plus, cette option permettra de rendre totalement déductibles des bases de l’impôt sur les sociétés, les intérêts de l’emprunt qui aura financé l’acquisition des droits sociaux. Ces « effets de levier », générateurs d’économie fiscale, contribueront dans bien des cas à accroître la faisabilité financière de l’opération de reprise. Là encore, faut-il ne pas commettre d’erreurs dans la mise en place d’un tel outil. L’assistance de votre expert-comptable vous sera ici aussi indispensable. 3. Comment faire face à l’ISF après l’arrêt de votre activité professionnelle ? Lorsque dirigeant de société, vous abandonnez votre mandat social, sans pour autant forcément céder immédiatement votre affaire, les parts ou actions que vous continuez à détenir cessent d’être qualifiées de « biens professionnels » et deviennent, en conséquence, soumises à l’ISF. Peu importe que vous transmettiez par la suite, par donation la nue-propriété de vos droits sociaux à un enfant, cet impôt continuera à s’appliquer puisque la seule conservation par vous-même de l’usufruit a pour effet de maintenir imposable sur votre tête la pleine propriété de ces biens. Certes, dans cette dernière hypothèse, le dispositif visé à l’article 885 O quinquies CGI permet de limiter la taxation à la seule valeur de l’usufruit conservé. Encore faut-il remplir les conditions imposées par le législateur et notamment ne pas commettre l’erreur, pourtant fréquente, de cesser son activité préalablement à la donation de la nue-propriété. Prenez donc conseil, là encore, pour connaître la bonne marche à suivre. Des textes récents (article 885 1 Bis CGI et 885 1 quater CGI) ont créé deux systèmes d’exonérations partielles en matière d’ISF, utilisables par les salariés ou les mandataires en activité ou partis à la retraite en ayant conservé des droits sociaux. Quelle que soit votre situation au regard de ces biens, consultez pour connaître le dispositif le mieux adapté à votre cas, si vous voulez supprimer ou réduire l’impact de l’ISF. 4. L a fiscalité n’est qu’une problématique parmi d’autres dans le domaine de la transmission En envisageant la transmission de leur entreprise, trop de dirigeants limitent le champ de leurs préoccupations au seul domaine fiscal. C’est une erreur grave et néanmoins fréquente. D’autres questions de nature juridique, familiale, patrimoniale et financière doivent être traitées en pleine harmonie avec le dispositif fiscal à mettre en place. Citons-en quelques unes : • Après la cessation de votre activité professionnelle, votre sécurité financière serat-elle assurée ? • A votre décès, quelle sera la situation patrimoniale de votre conjoint ? • L’attribution de lots à vos enfants ne débouchera t-elle pas sur une inégalité donnant naissance à des soultes trop lourdes ? • La transmission du pouvoir dans l’entreprise, à votre départ, se réalisera t-elle efficacement et … harmonieusement ? Vous envisagez par ailleurs de prendre des dispositions testamentaires, de consentir une donation au dernier vivant, voire de changer de régime matrimonial, de souscrire un contrat d’assurance-vie…. Pensez à faire intervenir votre expert-comptable et votre avocat dans ces domaines. N’oubliez pas que seule une collaboration étroite entre ces derniers et votre notaire permettra de coordonner au mieux de vos intérêts, l’ensemble des dispositions à prendre tant sur l’aspect fiscal que sur les différents aspects patrimoniaux et familiaux. 10 BKR EURUS regroupe 37 cabinets indépendants d’expertise comptable implantés dans plus de 125 villes en France. Ils mettent en commun leurs moyens pour accompagner leurs clients à chaque stade de leur développement. Les experts-comptables membres de BKR EURUS ont la volonté de vous apporter les informations dont vous avez besoin. Ils ont regroupé dans ce document les principales dispositions fiscales dans le domaine de la transmission connues au 31 décembre 2006. N’hésitez pas à contacter votre interlocuteur habituel pour plus de renseignements, il saura construire avec vous les solutions qui correspondent à vos besoins. 11 >01 OYONNAX CONVERGENCE Tél : 04 74 12 03 33 Cabinet GAVARD Tél : 04 74 77 06 57 Cabinet MERMET Tél : 04 74 81 20 10 BOURG EN BRESSE FIDUCENTRE Tél : 04 74 32 31 11 >04 DIGNE-LESBAINS ANSEMBLE HAUTEPROVENCE Tél : 04 92 32 15 54 MANOSQUE ANSEMBLE DURANCE Tél : 04 92 70 95 00 >05 EMBRUN ANSEMBLE HAUTEPROVENCE Tél : 04 92 43 47 39 GAP ANSEMBLE GAPENCAIS Tél : 04 92 53 66 40 >06 NICE AGS CONSULTANTS Tél : 04 97 08 85 85 CANNES FIREC MEDITERRANNEE Tél : 04 93 46 80 44 VENCE SODECO Tél : 04 93 58 25 73 >13 MARSEILLE ANSEMBLE EUROMEDITERRANEE Tél : 04 96 15 15 70 ANSEMBLE MARSEILLE METROPOLE Tél : 04 91 74 27 96 Cabinet ABEILLE CONSULTANTS Tél : 04 91 13 80 90 VITROLLES ANSEMBLE PAYS D’AIX Tél : 04 42 89 1 03 >14 BAYEUX AEXO DUPONT Tél : 02 31 92 15 95 CAEN AEXO DUPONT Tél : 02 31 29 36 36 CAEN AEXO DUPONT Tél : 02 31 29 36 36 DEAUVILLE AEXO DUPONT Tél : 02 31 88 18 32 FIDUCIAIRE COTE FLEURIE Tél : 02 31 81 31 07 DOUVRES AEXO DUPONT Tél : 02 31 31 30 36 FALAISE AEXO DUPONT Tél : 02 31 90 13 45 BORDEAUX CECAF Tél : 05 56 33 39 30 GUJAN MESTRAS ERECA Tél : 05 56 66 48 22 SALLES ERECA Tél : 05 57 71 99 35 Tél : 05 59 31 43 63 >17 LA ROCHELLE FIGEC Tél : 05 46 44 00 08 >35 SAINT MALO COMPTAGESMA Tél : 02 99 40 96 52 >21 DIJON SOGEREX Tél : 03 80 73 05 73 >22 DINAN COMPTAGESMA Tél : 02 96 85 27 85 >25 BESANCON EXCOM ENTREPRISE Tél : 03 81 25 03 03 RFC Tél : 03 81 53 12 67 >26 VALENCE FCG Tél : 04 75 44 69 12 >30 NÎMES AFIREX Tél : 04 66 38 54 10 >31 TOULOUSE ACTIF CONSEIL Tél : 05 62 47 49 00 >33 ANDERNOS ERECA Tél : 05 57 76 04 40 ARCACHON ANACOGES Tél : 05 56 83 94 38 BIGANOS ANACOGES Tél : 05 56 82 74 44 >34 LATTES GMCO - CONSEIL & EXPERTISE Tél : 04 67 99 82 82 LUNEL ACTIF CONSEIL Tél : 04 67 83 54 40 MONTPELLIER CONSEIL & EXPERTISE Tél : 04 67 65 95 80 >36 ISSOUDUN CABINET DAUBRY Tél : 02 54 03 11 88 ORLEANS ORCOM Tél : 02 38 77 76 75 >37 TOURS ST AVERTIN ORCOM AUDEXCOM Tél : 02 47 71 20 20 >38 GRENOBLE CABINET HUGON Tél : 04 76 27 80 50 SFC - FIDUCIAIRE CENTREX Tél : 04 76 48 64 36 SR CONSEIL Tél : 04 76 90 36 26 >39 DOLE RFC Tél : 03 84 79 48 88 LONS LE SAUNIER CONVERGENCE Tél : 03 84 24 47 49 MOREZ SOCOGEST Tél : 03 84 33 36 80 >41 BLOIS ORCOM Tél : 02 54 43 75 57 >45 ORLÉANS ORCOM Tél : 02 38 77 76 75 MONTARGIS ORCOM Tél : 02 38 95 03 10 SOFIMEX Tél : 02 38 93 34 55 SULLY SUR LOIRE ORCOM Tél : 02 38 36 46 03 >46 CAHORS QUERCY GESTION Tél : 05 65 23 70 70 >49 ANGERS SOREX Tél : 02 41 68 66 11 CHOLET SOREX Tél : 02 41 65 84 55 >50 COUTANCES AEXO DUPONT Tél : 02 33 45 17 87 GRANVILLE AEXO DUPONT Tél : 02 33 50 69 90 PERIERS AEXO DUPONT Tél : 02 33 46 63 86 SAINT-LO AEXO DUPONT Tél : 02 33 05 51 15 VALOGNES AEXO DUPONT Tél : 02 33 40 02 04 >51 REIMS PVA Tél : 03 26 86 70 41 >54 NANCY REVILEC Tél : 03 83 28 07 45 MARBACHE REVILEC Tél : 03 83 23 21 67 >57 METZ FIGEC Tél : 03 87 54 11 55 >59 LILLE FEAC Tél : 03 28 38 06 60 TOURCOING STC AUDIT ET CONSEIL Tél : 03 20 69 99 69 VALENCIENNES CECH Tél : 03 27 28 01 60 >61 ALENCON AEXO DUPONT Tél : 02 33 31 14 31 DOMFRONT AEXO DUPONT Tél : 02 33 38 66 26 >63 CLERMONT FERRAND Cabinet BAUBET Tél : 04 73 19 01 23 Tél : 05 59 72 13 72 >64 BAYONNE AUDIT SUD CONSEIL Tél : 05 59 31 43 63 PAU AUDIT SUD CONSEIL Tél : 05 59 72 13 72 >65 TARBES AUDIT SUD CONSEIL Tél : 05 62 33 96 80 >66 PERPIGNAN ACTIF CONSEIL Tél : 04 68 66 90 90 >68 COLMAR WAGNER & ASSOCIES Tél : 03 89 21 20 00 MULHOUSE CABINET LEVY Tél : 03 89 33 43 80 >69 LYON SFC - FIDUCIAIRE CENTREX Tél : 04 78 17 17 17 >72 LE MANS FIGECOMA Tél : 02 43 74 77 77 >73 ALBERTVILLE SR CONSEIL Tél : 04 79 31 11 40 AIX LES BAINS SR CONSEIL Tél : 04 35 60 52 BOURG SAINT MAURICE SR CONSEIL Tél : 04 79 04 15 00 CHAMBERY SR CONSEIL Tél : 04 79 25 19 18 MOUTIERS SR CONSEIL Tél : 04 79 24 21 75 SAINT JEAN DE MAURIENNE Cabinet PRAZ Tél : 04 79 64 05 22 >74 ANNECY SR CONSEIL Tél : 04 50 23 19 27 AIX LES BAINS SR CONSEIL Tél : 04 35 60 52 CHAMONIX SR CONSEIL Tél : 04 50 53 32 16 THONONS LES BAINS SR CONSEIL Tél : 04 50 71 08 42 >75 PARIS BKR SEFITEC CONSEIL ET EXPERTISE Tél : 01 49 29 55 10 Cabinet AVEC Expertise et Conseil Tél : 01 46 47 69 30 Cabinet DAUBRY Tél : 01 42 93 04 00 Cabinet MULLER CONSEIL & EXPERTISE Tél : 01 49 29 55 10 CEFRECO PARIS Tél : 01 55 28 36 00 FCAC Tél : 01 46 22 38 29 ORCOM Tél : 01 53 79 63 63 SFC - Société Francilienne de Conseils Tél : 01 53 32 29 00 >76 ROUEN CABINET MOUCHONNIER Tél : 02 32 96 00 60 >77 FONTAINEBLEAU ORCOM Tél : 01 64 69 58 58 MELUN ORCOM EDEX Tél : 01 64 37 13 13 SAINT FARGEAU PONTHIERRY CFEC AUDIT Tél : 01 60 65 72 53 www.bkreurus.fr 36 rue de Laborde 75008 Paris - 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