Press Review page

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Ara ApriMan.
Xavier uhache/canal-
Nous ne voulons pas être
un robinet de rediffusion
de séries américaines »
«
ancée en octobre 2012, DB, chaîne
de la TNT du groupe Canal+, avu
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4 sonaudienceprogressercesdemièmême si certains program-
res semaines,
mes n'ont pas rencontré leur public.
Quel bilan dressez-vous trois mois
?
après le lancement de
Avec 3% de parts de marché en
décembre, un niveau qui se confirme
sur les premiers jours de janvier et 3,5 %
surlesCSP+, notre cœur de cible publicitaire, nous sommes inscrits dans notre
trajectoire de réussite, celle que nous
nous étions fixée lors du démarrage,
c'est-à-dire d'être à 4% d'audience d'ici
trois ans. Notre arrivée sur le marché a
rendu la TNT plus audacieuse en termes
de contenu, nous avons donné une nouvelle offre au téléspectateur.
se veut moderne. Cependant,
les deux programmes qui fonctionnent le mieux, « Nouvelle Star»
et « Touche pas à mon poste »,
viennent d'autres chaînes...
«Nouvelle Star» n'existait plus et
c'est un succès que personne n'attendait. On est très fier de redonner vie à un
programme très populaire. La magie du
show opère toujours, car on a su lui donner une modernité. Nous avons montré
est capable de jouer dans la cour
que
des grands dans le divertissement.
Cette émission contribue
très fortement à la notoriété de chaîne. Quant à
celle de Cyril Hanouna, sa mise à l'antenne quotidienne n'est pas anodine.
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« Le Grand 8 », de Laurence Ferrari,
va-t-il enfin trouver son public ?
Lundi 21 janvier, il a réuni plus de
000 téléspectateurs et 5,3 % d'audience sur les CSP+. Depuis la nouvelle for111
mule, on a un gain fort en part de marché sur cette catégorie et nous réalisons
des scores très satisfaisants
pour sa
rediffusion en troisième partie de soi-,
rée. Nous sommes en train de transformer en réussite cette émission qui a été
largement décriée. Toute création met
du temps à s'installer, nous avons trouvé la bonne dynamique.
Êtes-vous satisfait des audiences
de vos deux soirées d'information ?
Nous sommes souvent leader sur ces
deux cases. Notre projet d'offrir une
chaîne généraliste avec des magazines
d'information, deux journaux télévisés
quotidiens, de la fiction inédite et du
divertissement
prend corps. Nous ne
voulons pas être un robinet de rediffusion de séries américaines.
Etre une filiale de Canal+,
cela pose-t-il des contraintes
?
en termes de programmation
est un projet du groupe. Ce que
nous faisons doit avoir une utilité pour
l'ensemble. L'objectif est de trouver de
nouvelles sources de revenus afin de
renforcer nos investissements
dans la
création audiovisuelle. Notre progression d'audience ne s'est pas faite au
détriment de Canal+.
Propos recueillis par Joël Morio
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Interview avec Ara Aprikian, président de
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